Nos choix
Posté par othoharmonie le 12 août 2010
Zones erronées
Vous trouverez ici, différentes techniques issues du livre du Docteur Wayne W.DYER que j’ai moi-même utilisées.
Techniques audacieuses mais simples pour prendre en main les schémas malsains de notre comportement.
Vous allez me dire : « Pourquoi malsains ? »
Tout simplement parce que nous pouvons tous nous corriger avant de vouloir corriger les autres.
EXEMPLE :
Choisir la santé au lieu de la maladie
On peut également choisir d’éliminer certaines souffrances physiques qui ne sont pas liées à des mauvais fonctionnements organiques connus. Par les maux les plus courants qui n’ont généralement pas leur origine dans des désordres physiologiques, citons : la migraine, les maux de reins, les ulcères, l’hypertension, les poussées de boutons, les crampes etc…
Une cliente jurait que, depuis quatre ans, elle avait la migraine tous les matins. A 6 h 45, elle attendait que ça vienne et prenait aussitôt un calmant. En outre, elle tenait ses amis et ses collègues au courant de ses souffrances. Le docteur W.Dyer lui laissa entendre qu’elle voulait avoir ces maux de tête, qu’elle avait, en réalité, choisi de les avoir pour se faire remarquer, pour attirer la sympathie de se faire plaindre. Il lui souffla aussi qu’elle pouvait apprendre à refuser d’avoir mal et à déplacer le siège de sa migraine. Elle saurait ainsi qu’il était en son pouvoir de contrôler ses maux de tête en modifiant leur localisation.
Le lendemain matin, elle se réveilla à 6 h 30 et attendit. Quand la migraine se manifesta, elle parvint par un effort mental à en changer le site. Elle avait choisi une modalité nouvelle et, finalement, elle choisit de ne plus jamais avoir de migraine.
Des indices de plus en plus nombreux viennent étayer l’hypothèse selon laquelle les gens vont jusqu’à choisir des affections comme des tumeurs, la grippe, l’arthrite, les maladies de cœur, les « accidents » et bien d’autres infirmités, y compris le cancer qui a toujours été considéré comme une sorte de fatalité extérieure. Divers chercheurs qui traitent des patients tenus pour incurables commencent à penser qu’aider le malade à ne pas vouloir la maladie, sous aucune forme, peut être un moyen de l’améliorer. Les sciences nous apprennent que, dans certaines civilisations, on s’attaque à la douleur en prenant totalement possession de l’intellect de sorte que le contrôle de soi devient synonyme de contrôle mental.
Le cerveau, qui est composé de milliards et de milliards d’éléments fonctionnels, a largement la place d’enregistrer dix faits nouveaux chaque seconde. On a estimé que le cerveau humain pouvait stocker une masse d’informations équivalente à cent trillions de mots et que nous n’utilisons qu’une infime fraction de sa capacité de stockage. On dispose là d’un puissant outil qui nous accompagne partout et l’on peut fort bien choisir de l’employer pour des usages prodigieux auxquels personne n’a encore songé. Gardons cela en mémoire en lisant la suite et essayons de choisir des modes de pensée nouveaux.
Il n’est pas rare que des personnes tombent mystérieusement malades lorsqu’elles se trouvent dans une situation délicate ou évitent d’être malades lorsqu’il est « impossible » de l’être pour telle ou telle raison, mais le moment venu laissent apparaître les symptômes ajournés, une fièvre par exemple, et doivent s’aliter.
Par exemple, un monsieur de 35 ans dont la vie conjugale était infernale. Le 15 janvier, il décida qu’il quitterait sa femme le 1er mars. Le 28 février, il fut pris de vomissements irrépressibles et il avait 40° de température. Cela devint une sorte de routine. Chaque fois que l’échéance arrivait, il avait une indigestion ou attrapait la grippe. En fait, il s’agissait là d’un choix. Il lui était plus facile d’être malade que d’affronter le sentiment de culpabilité, la peur, la honte et l’inconnu qui vont de pair avec une séparation.
Prêtons attention à cette publicité ; « Je suis agent de change.. vous imaginez sans peine la tension et les maux de tête que j’éprouve. Pour les faire disparaître, je prends la pilule Machin. » Quel est le message que véhicule cette publicité ?
Nous ne pouvons pas contrôler nos sensations si nous exerçons certaines professions (si nous sommes enseignant, si nous sommes cadre, si nous sommes parent). Reposons-nous donc sur quelque chose d’autre qui le fera à notre place.
Nous sommes journellement bombardés par des messages de ce genre. L’implication en est claire ; nous sommes des prisonniers impuissants qui avons besoin de quelqu’un ou de quelque chose d’extérieur pour agir à notre place. C’est absurde. Nous seuls pouvons améliorer notre sort, nous seuls pouvons nous rendre heureux. C’est à nous qu’il incombe de prendre le contrôle de notre esprit et, dès lors, d’avoir les sentiments et les comportements de notre choix.
LE CHOIX , liberté ultime
Si vous êtes toujours convaincu que vous ne choisissez pas d’être malheureux, essayez d’imaginer chaque fois que vous êtes dans cet état, que vous êtes victime d’un traitement pénible. On vous enferme dans une pièce, seul, pendant un laps de temps interminable, ou à l’inverse, on vous oblige à rester debout pendant des jours et des jours dans une cabine d’ascenseur pleine de monde.
Privé de nourriture ou forcé à manger quelque chose que nous détestons tout particulièrement. Ou encore, on nous torture – il s’agit d’une torture physique provoquée par autrui et non d’une torture mentale provoquée par nous-mêmes. Combien de temps pensez-vous que nous tiendrions dans ces conditions ?
Il y a de fortes chances pour que nous ne tardions pas à changer d’attitude. La question n’est donc pas de savoir si nous pouvons assumer le contrôle de nos sentiments, mais de savoir si nous le voulons.
Quelle somme de souffrances devons-nous supporter avant d’en arriver à faire ce choix ?
Certaines personnes préfèrent la folie. D’autres capitulent tout simplement, se résignant à une existence misérable parce que les dividendes de compassion qu’elles reçoivent sont supérieurs aux intérêts à escompter du bonheur.
La seule vraie question, c’est celle de notre capacité à choisir d’être heureux à chaque instant de notre vie ou, tout au moins, à ne pas choisir d’être malheureux. C’est là un concept révolutionnaire, mais il convient de l’étudier avec soin avant de le rejeter. Le repousser sans réfléchir revient à admettre que quelqu’un d’autre est responsable de nous. En fin de compte, choisir d’être heureux pourrait sembler plus facile qu’un certain nombre de choses qui sèment quotidiennement le chaos dans notre existence.
De même que nous sommes libre de choisir d’être heureux au lieu d’être malheureux, face à la multitude d’événements auxquels nous sommes chaque jours confrontés, nous sommes libre d’adopter un comportement enrichissant et de renoncer à un comportement négatif. Si nous sommes conducteur, nous devons nous trouver souvent coincé dans les bouchons. Vous mettrez-vous en colère ? Injuriez-vous les autres conducteurs ? Vous en prendrez-vous à vos passagers ? Si tel est le cas, c’est que vous avez une certaine conception de votre personne et de votre manière d’agir au milieu des embouteillages.
Mais, si nous décidions de penser différemment, d’utiliser notre cerveau de façon enrichissante ? Cela prendrait du temps certes, mais nous pourrions apprendre à dialoguer autrement avec nous-mêmes, à adopter de nouveaux modes de conduite, par exemple siffloter, chanter, écrire mentalement notre courrier et même pourquoi pas, nous chronométrer de demi-minute en demi-minute pour savoir combien de temps nous pouvons nous contenir avant de laisser éclater notre colère !
Nous pouvons choisir de considérer chacune de nos expériences comme quelque chose d’agréable, comme un défi. Les réceptions sinistres, les conférences assommantes sont un terrain favorable pour qui veut choisir d’éprouver de nouveaux sentiments. Quand nous nous ennuyons, nous pouvons faire travailler notre cerveau de façon passionnante en orientant différemment la conversation à l’aide d’une remarque judicieuse, en imaginant le premier chapitre d’un roman ou en élaborant des plans qui nous éviteront de nous retrouver dans la même situation à l’avenir.
Ce travail exige d’abord d’évaluer les gens et les événements qui nous sont le plus néfastes, puis de décider de faire l’effort mental grâce auquel nous les obligerons à travailler pour nous. Au restaurant, si nous avons coutume de protester contre la médiocrité du service, commençons par nous demander pourquoi nous ne choisirions pas de ne pas nous énerver sous prétexte que quelqu’un ou quelque chose ne fonctionne pas comme nous le voudrions.
Notre valeur est trop précieuse pour laisser quelqu’un avoir prise sur nous, particulièrement quelqu’un qui compte si peu dans notre existence. Alors, mettons sur pied une tactique afin de modifier la situation, partons ou faisons ce que nous voulons, mais ne nous laissons pas émouvoir. Faisons travailler notre cerveau pour notre propre compte et nous finirons par prendre l’habitude de conserver notre flegme quand les choses iront de travers et tout nous paraîtra merveilleux.
A suivre……..
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