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Amour de Soi

Posté par othoharmonie le 21 août 2010

Vous trouverez ici, différentes techniques issues du livre du Docteur Wayne W.DYER que j’ai moi-même utilisées. Techniques audacieuses mais simples pour prendre en main les schémas malsains de notre comportement. Vous allez me dire : « Pourquoi malsains ? » 

Tout simplement parce que nous pouvons tous nous corriger avant de vouloir corriger les autres

EXEMPLE

amourPremier amour 

Il se peut que nous soyons atteint d’une maladie sociale dont une simple piqûre ne peut pas avoir raison. Il est fort possible que nous souffrions d’une infection de dénigrement de soi dont le seul traitement connu est un injection massive d’amour de soi. 

Mais on vous a peut-être inculqué, comme à beaucoup d’autres, l’idée qu’il est mal de s’aimer soi-même. Pensez aux autres, nous dit la société. Aime ton prochain, nous exhorte les églises. Mais il est un précepte que tout le monde semble oublier : aime-toi toi-même

C’est précisément ce que nous allons devoir mettre en pratique pour jouir du moment présent. 

Enfant, nous avions appris que s’aimer soi-même, ce qui était alors une chose tout à fait évidente pour nous, c’était faire preuve d’égoïsme ou de vanité. Nous avons appris qu’il fallait d’abord penser aux autres pour devenir quelqu’un de « bien ». Nous avons appris à nous effacer et on nous a abreuvé de maximes archaïques. « Partage tes affaires avec tes cousins« , nous ont dit nos parents. Et tant pis s’il s’agissait de nos trésors, de nos objets bien aimés, tant pis si papa et maman, eux, ne partageaient pas leurs jouets de grandes personnes avec les autres. Souvent aussi nous devions « rester à notre place » et l’on voulait bien « nous voir mais pas nous entendre ». 

Les enfants pensent tout naturellement qu’ils sont beaux et terriblement importants, mais lorsqu’ils sont devenus adolescents, les messages de la société ont pris racine en eux. Alors fleurit le manque de confiance en soi, et il se renforce au fil des années. « Voyons ! Vous n’allez pas sombrer dans le narcissisme ! Qu’est-ce que les autres penseraient de vous ? » 

Ces insinuations sont subtiles et elles ne sont nullement mal intentionnées, mais elles obligent l’individu à rester dans le rang. Par l’intermédiaire de ses parents et de ses proches, de l’école, de l’église et de ses amis, l’enfant apprend toutes ces bonnes manières qui sont la marque de l’univers des adultes. Jamais les gosses ne se conduisent selon ces règles quand ils sont entre eux, sauf quand ils veulent faire plaisir à leurs aînés. « Dis s’il-te-plaît et dis merci ; ne mets pas les coudes sur la table ; lève-toi quand une grande personne entre ; demande la permission si tu veux sortir de table ; laisse-toi pincer les joues et caresser les cheveux quand j’en ai envie« . 

Le message est limpide : ce sont les adultes, les autres qui comptent, non pas les enfants. 

Le premier corollaire de ces aphorismes est cet impératif : « Ne te fie pas à ton propre jugement« . Pour étayer ce principe, ce ne sont pas les formules lues dans la rubrique « politesse » qui manquent, loin de là. Ces règles, dissimulées sous le masque des « bonnes manières », nous ont aidés à intérioriser le jugement d’autrui aux dépens de nos propres critères d’appréciation. Il n’est pas étonnant que les mêmes incertitudes et les mêmes attitudes d’autodénigrement persistent chez l’adulte. Et comment ces doutes nous handicapent-ils ? 

Par la façon dont nous aimons les autres. L’amour que l’on donne à autrui est directement lié à l’amour que l’on porte à soi-même.

amour et tendre sentimentsTentative de définition de l’amouramour et tendre sentiments 

Il existe autant de définitions de l’amour que de gens qui cherchent à le définir. 

Essayons celle-ci à toutes fins utiles : l’amour est la capacité et la volonté de laisser ceux pour qui l’on a de l’affection être ce qu’ils choisissent d’être sans exiger que leur comportement nous donne satisfaction.

 

Cette définition est peut-être valable, mais il n’en demeure pas moins que bien rares sont ceux qui peuvent l’adopter pour eux-mêmes. Comment parvenir à laisser les autres être ce qu’ils choisissent d’être sans exiger qu’ils répondent à notre attente ? 

C’est très simple : en nous aimant nous-mêmes. En ayant le sentiment que nous avons de l’importance, que nous possédons une valeur propre, que nous sommes beaux. Lorsque nous saurons à quel point nous sommes estimable, nous n’aurons pas besoin que les autres viennent confirmer notre valeur en ayant un comportement conforme à nos oukases. Si nous sommes sûrs de nous, nous n’aurons ni l’envie ni le besoin qu’autrui soit semblable à nous. D’abord, nous sommes unique. Ensuite, cela dépouillerait les autres des caractères qui font qu’ils sont uniques, eux aussi, et ce que nous aimons en eux n’est rien d’autre que ce qui les distingue de tout le monde, ce qui constitue leur originalité.

 

Les choses commencent à s’arranger. En nous exerçant à nous aimer nous-mêmes, nous voilà soudain capable d’aimer les autres, de donner aux autres, de servir les autres en donnant d’abord à nous-mêmes, en nous servant d’abord. Ce n’est nullement là un stratagème. Nous n’agissons pas ainsi pour qu’on nous remercie, ni par souci de rentabilité, mais pour le plaisir authentique que nous ressentons à aider ou à aimer nos semblables. 

Si le moi est considéré comme indigne, si on ne l’aime pas, donner de l’amour devient impossible. Comment en donner quand on est méprisable ? Et si l’on ne donne pas d’amour, on n’en reçoit pas. En effet, que vaut l’amour prodigué à un être indigne ? Pour aimer, pour donner et recevoir l’amour, il faut commencer par aimer totalement son moi. 

amour et tendre sentimentsNoah était un monsieur d’un certain âge qui prétendait aimer tendrement sa femme et ses enfants. Pour leur prouver son affection, il leur offrait des cadeaux très coûteux, il leur payait des vacances luxueuses et se faisait un point d’honneur, quand il était en voyage d’affaires, de terminer ses lettres par « avec tout mon amour ». Et pourtant, Noah avait toujours été incapable de dire à sa femme ou à ses enfants qu’il les aimait. Il avait le même problème avec ses parents qu’il adorait. Les mots, il les répétait dans sa tête, mais chaque fois qu’il essayait de dire : « je vous aime », les mots s’étranglaient dans sa gorge. 

Dans son esprit, s’il disait « je vous aime », il fallait que quelqu’un réponde « moi aussi, je vous aime Noah ». A ses déclarations d’amour devait répondre l’affirmation de sa propre valeur. Dire ces mots, c’était à ses yeux, prendre un trop grand risque car s’il n’obtenait pas la réponse attendue, sa propre valeur serait remise en question. Si, en revanche, il avait pu partir du postulat qu’il était susceptible d’être aimé, il n’aurait eu aucune difficulté à dire « je vous aime ». Si le « moi aussi, je vous aime, Noah » désiré ne s’ensuivait pas, tant pis ; cela n’aurait rien eu à voir avec sa valeur personnelle qui serait demeurée intacte. Qu’il fût ou non aimé en retour aurait été le problème de sa femme ou de la personne que Noah aimait à ce moment-là. Il pouvait assurément vouloir que quelqu’un l’aime mais ce n’aurait pas été essentiel pour confirmer sa valeur propre. 

Nous pouvons remettre en cause tous nos sentiments envers nous-mêmes en fonction de notre capacité à nous aimer, nous. Rappelons-nous que jamais et en aucun cas la haine de soi est plus valable que l’amour de soi. Même si nous avons eu une attitude que nous réprouvons, ne nous prenons pas en horreur ; cela ne ferait que nous bloquer et nous porter préjudice. Au lieu de nous détester, ayons des sentiments positifs. Tirons la leçon de notre erreur et prenons la décision de ne pas la renouveler, mais ne l’associons pas à notre valeur propre. 

Là est la racine de l’amour de soi et de l’amour des autres. Ne confondons jamais notre valeur propre (elle existe une fois pour toutes) avec notre comportement, ni avec le comportement que les autres ont vis-à-vis de nous. Répétons-le encore ; ce n’est pas facile. Les messages sociaux sont accablants. On dit : « Tu es un méchant garçon » au lieu de « tu t’es mal conduit » ; « Maman ne t’aime pas quant tu te conduis comme ça » au lieu de « Maman n’aime pas que tu te conduises comme ça ». Peut-être, en tirant la leçon de ces messages, nous sommes-nous dit : « Puisqu’elle ne m’aime pas, je dois être un bon à rien » au lieu de : « elle ne m’aime pas. Ça la regarde et, même si cela me déplaît, je suis toujours quelqu’un d’important ». 

Rompre avec les habitudes de pensées de l’enfance n’est pas une tâche aisée. L’image que nous avons de nous-mêmes peut être encore fondée sur l’opinion que les autres ont de nous. S’il est vrai que c’est d’abord par l’opinion des adultes que nous concevons une première image de nous, il n’est pas vrai, en revanche, que nous devions obligatoirement garder cette image intacte. Oui, il est pénible de se débarrasser de ces vieilles chaînes qui nous entravent, mais il est encore plus pénible de les conserver si nous en considérons les conséquences. Grâce à l’action mentale, nous pourrons faire des choix fondés sur l’amour de nous-mêmes qui nous étonneront. 

 

Le comportement des personnes qui savent aimer est-il autodestructeur ? Jamais. Ces personnes se dénigrent-elles et se cachent-elles dans un petit coin ? Absolument pas. amour et tendre sentimentsSavoir donner et recevoir l’amour, cela commence par soi-même, cela commence par le serment d’en finir avec tous les comportements d’abaissement de soi qui sont devenus un véritable mode de vie. 

Avant toute chose, nous devons liquider le mythe selon lequel nous n’aurions qu’une seule et unique image de nous-mêmes et que celle-ci serait à tout jamais positive ou négative. Les images que nous avons de nous-mêmes sont nombreuses et elles varient tout le temps. Si l’on nous demandait : « Est-ce que vous vous aimez ? », nous aurions peut-être tendance à grouper toutes les idées négatives que nous nous faisons de nous en un seul bloc et à répondre par un « non » global. 

Dissocier nos aversions générales en leurs éléments constitutifs et nous aurons alors des objectifs précis sur lesquels axer notre action. 

Nous avons une idée de nous-mêmes sur le plan physique, intellectuel, social et affectif. Nous avons une opinion sur nos aptitudes dans le domaine de la musique, du sport, de l’art, de la mécanique, de l’écriture etc… Nos autoportraits sont aussi nombreux que nos activités et à travers tous ces comportements, c’est toujours nous qui agissons, nous, la personne que nous acceptons ou que nous refusons. 

Notre valeur propre, cette ombre amicale toujours présente, le mentor qui nous met sur la voie du bonheur individuel et de la maîtrise de soi, ne doit pas être liée aux jugements que nous portons sur nous-mêmes. Nous existons. Nous sommes un être humain. C’est tout ce dont nous avons besoin. Notre valeur, c’est nous qui la déterminons et nous n’avons d’explication à fournir à personne. Ainsi définie, elle n’a rien à voir ni avec notre comportement, ni avec nos sentiments. 

Peut-être dans telle ou telle circonstance, avons-nous une conduite que nous nous reprochons, mais c’est sans aucun rapport avec notre valeur propre. Nous pouvons choisir d’être définitivement digne de nous-mêmes et, à partir de ce moment, à nous de nous appliquer à améliorer les images que nous avons de nous. 

Votre valeur personnelle, ce ne sont pas les autres qui peuvent l’estimer, mais vous. Si vous dépendez des autres pour l’apprécier, cette valeur n’est plus personnelle puisqu’elle est tributaire d’autrui

amour

A suivre…….. 

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D’humeur exotique !

Posté par othoharmonie le 21 août 2010

D'humeur exotique ! dans Humeur   Mon humeur est à l’exotisme en ce moment !!! 

Plusieurs personnes, durant ce mois d’août, m’ont offert des fleurs !! 

Pourquoi ? ben…… je ne sais pas ! mais elles sont toutes exotiques !

 dans Humeur

Certes, ces derniers temps, je pense beaucoup à l’Inde où je vais bientôt séjourner !a5i0ecrh

Il y a aussi le fait que j’ai retrouvé mon ami Jean-Luc, séparés de lui depuis 30 ans et qui est d’origine martiniquaise…… ! 

yole_image_article  Ah oui, Beaucoup de choses me ramènent à l’exotisme effectivement…. 

 

Alors je me laisse porter au gré de mon humeur !  

logo

 

 

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Ce qui fait le charme et l’attrait de l’Ailleurs, de ce que nous appelons exotisme, ce n’est point tant que la nature y soit plus belle, mais que tout nous y paraît neuf, nous surprend et se présente à notre œil dans une sorte de virginité…. 

composition-exotique

Après tout, la faculté de rêverie est une faculté divine et mystérieuse ; car c’est par le rêve que l’homme communique avec le monde ténébreux dont il est environné 

C’est dans la rêverie que nous sommes des hommes libres……. Alors rêvons !biaussat_reverie_15f_mini

gotic

 

 

 

danse

 

 

 

czdre

 

 

 

               Les drapeaux acceptent les services des vents les plus exotiques, eh bien moi aussi !

-   000201AD - 

Gifs...Papillons

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