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La dernière de Mylène

Posté par othoharmonie le 30 septembre 2010

 

 La dernière de Mylène dans Musique au coeur 00020321 Mylène Farmer  00020321 dans Musique au coeur 

 

Image de prévisualisation YouTube

Oui mais,… non – écoute intégrale, paroles et réactions (MAJ 14h30)

Par HypaepaExclusivité, Oui mais,… Non,

Et bien on ne nous avait pas mentit NRJ a diffusé ce matin à 7h30, le nouveau single de Mylène Farmer. Un titre très punchy dans des sonorités nouvelles. Avouez qu’on attendait pas Mylène dans ce registre.
Alors votre avis ?

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Voici une retranscription des paroles (commencer à les apprendre)

Tout pas tout dit, le monde entier dépend de nous
Destin fragile et monde hostile on devient fous
Tout pas tout dit, mais la vie m’effraie elle a bon dos oh oh,
De voir que toi rien qu’une fois rend tout plus beau

Regarde moi
Être « au pas », c’est n’être pas
C’est peut-être chic, de faire du toc
Tac au tac, c’est l’ère du toc
C’est non, han han, bon
C’est peut être chic, c’est l’ère du toc
Pour l’authentique faudra qu’du stock
Du tac au tac, changement d’époque
Et oui, dis moi…

Dis moi oui mais non ne dis plus jamais non
L’amour, le loup est risque.
Dis moi oui mais non,
Ne dis plus jamais non
Et plus mon cœur sous x
Dis moi oui mais non
Ne dis plus jamais non
l’amour, mon loup se risque
Dis moi oui mais non
Dieu, mon Dieu que c’est long !
Sans toi, mon corps sous X
Quand il m’a allongé sur le dos
L’amour rend tout plus beau
Oh oh, oh oh oh
Dis moi oui mais non, ne dis plus jamais non,
Amour le loup c’est ton nom
.

Tout pas tout dit, l’ode à la vie, la mort compose,
La nuit se couche, les yeux rougis, l’aube est morose
Tout pas tout dit, si la vie est gaie tout va à l’eau oh oh
Oh bateau ivre et joie de vivre me fait défaut.

Regarde moi
Être « au pas », c’est n’être pas
C’est peut-être chic, de faire du toc
Tac au tac, c’est l’ère du toc
C’est non, han han, bon
C’est peut être chic, c’est l’ère du toc
Pour l’authentique faudra qu’du stock
Du tac au tac, changement d’époque
Et oui, dis moi…

Dis moi oui mais non ne dis plus jamais non
L’amour, le loup est risque.
Dis moi oui mais non,
Ne dis plus jamais non
Et plus mon cœur sous x
Dis moi oui mais non
Ne dis plus jamais non
l’amour, mon loup se risque
Dis moi oui mais non
Dieu, mon Dieu que c’est long !
Sans toi, mon corps sous X
Quand il m’a allongé sur le dos
L’amour rend tout plus beau
Oh oh, Oh oh oh
Dis moi oui mais non, ne dis plus jamais non,
Amour le loup c’est ton nom.

You baby boy, you baby love
You baby boy, I love…La la … (quater)
You…

Dis moi oui mais non,
Ne dis plus jamais non
Et plus mon cœur sous X…
Dis moi oui mais non
Ne dis plus jamais non
l’amour, mon loup se risque
Dis moi oui mais non
Dieu, mon Dieu que c’est long !
Sans toi, mon corps sous X
Quand il m’a allongé sur le dos
L’amour rend tout plus beau
Oh oh, Oh oh oh
Dis moi oui mais non, ne dis plus jamais non,
Amour le loup c’est ton nom.

Un énorme merci à Julien A. du MFFCF pour cette retranscription –  14h30___________________________________

Selon Universal : Le single sortirait le 11 octobre. (confirmation de la new ici)
Merci à Albin

 

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Mylène sur France Soir (MAJ 8h40)

Par HypaepaPresse,

On vous l’annonçais hier soir, France soir à prévu un petit article sur son journal ce matin. Voici ce qui est paru ce matin sur leur site internet. A voir si le journal papier sera plus bavard.

On est loin des révélations de la mort qui tuent. On sait juste que Mylène a fait sa cachotière, même Polydor n’était au courant de rien. L’album comporterait au moins 10 titres et serait composé par plusieurs grosses pointures de la musique. On en bave d’avance…

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—– MAJ 8h40, merci à Anthony MFG, pour cette capture —–

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00h45 bilan de la journee

Par RoketeExclusivité, Oui mais,… Non,

myleneouimaisnon

Infos complémentaires sur l’album:

A savoir que l’album de Mylène Farmer sera un album studio 100% inédit.
L’équipe a fini le mixage de l’album le 10 Septembre 2010.

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00h45

Comme vous le voyez ce soir (cette nuit) Mylene a parfaitement maitrisé son buzz. Rien n’a filtré. Elle peut s’en féliciter:)
Demain matin France soir consacrera sa une à l’événement. Il semblerait que des révélations soient prévues. Sans aucun doute une estimation de sortie (janvier)

LAURENT BOUTONNAT SERA LE GRAND ABSENT DE CET ALBUM!!!

Merci a Senzox pour l’info de France Soir

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A 18h00 nous vous dévoilerons une première partie du visuel du single « Oui mais,…non »

Merci à Inconnu

Une exclusivité MFFCF….

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Et si… Mylène revenait ? OUI MAIS NON = C’est OUI !!!! Nouveau single et nouvel album

Par HypaepaExclusivité, Oui mais,… Non,

Alors que nous nous focalisions tous sur les deux duos à venir de Mylène Farmer, voici que l’artiste débarque là ou on ne l’attendait pas !


Non non vous ne rêvez pas, il s’agit bien d’un nouveau single ! Avouez que vous ne l’attendiez pas de si tôt ?
Mylène nous surprendra toujours !  Rien de tel pour ravir ses fans et créer à nouveau un « Big Buzz » made in Farmer ; « serveurs préparez vous, Mylène Farmer débarque !!! ».

Le single sera en écoute mercredi 29 sur les radios


Mais ce n’est pas tout !!!
Sachez que ce nouveau single « OUI… MAIS NON » n’a pas été composé par Laurent Boutonnat ; une grande première, n’est ce pas ?
Mais qui est le compositeur ??? Il s’agit de
RED ONE qui est notamment compositeur et producteur de la talentueuse Lady GAGA.

Retrouvez en bas de l’article une petite biographie de ce compositeur/ producteur.


Allez soyons fous, une bonne nouvelle en amène une autre ? Vous souvenez vous du jour où nous vous avions annoncé en tant que rumeur que Mylène sortirait prochainement un nouvel album ? Et bien, cette fois ci, l’information se confirme ! Vous souhaitez en savoir plus, n’est ce pas ?

Et bien, il vous faudra patienter jusque DÉBUT 2011 pour découvrir le 8ème opus de Mylène Farmer ! A vos marques, compte à rebours : GOOOOOOOOOO !

C’est Mylène qui a décidé d’envoyer sans plus attendre ce nouveau single en radio, une réunion chez Universal avait eu lieu ce matin pour discuter de ce projet soudain.

A savoir que le facebook d’Universal officialise cette info!

DIFFUSION: Propos d’Anthony MARTIN sur son facebook:

Mercredi 9h : on découvre sur RTL une nouvelle chanson de Mylène Farmer. Pour la première fois elle chantera ses mots sur une musique qui n’est pas de Laurent Boutonnat. La chanson a été composée par Red One (producteur de Lady Gaga). Rdv mercredi! »

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Qui est Red One ?
Natif de Tétouan, RedOne, de son vrai nom Nadir Khayat, a émigré en Suède à l’âge de 18 ans pour se consacrer entièrement à la musique. Plus tard, il part pour Hollywood où il est devenu producteur de Hip-hop et de Pop. Il opère désormais dans sa propre boite de production, RedOne Konvict, une coentreprise créée avec le rappeur Akon.
En 2006, RedOne s’est fait connaitre dans le monde entier avec « Bamboo », un remix de « Hips Don’t Lie » de Shakira en featuring avec Wyclef Jean, désignée chanson officielle de la Coupe du monde de football en Allemagne. RedOne est devenu par la suite, l’un des producteurs et compositeurs pour Lady Gaga.

En plus de Lady Gaga, il travaille avec Akon, mais il collabore aussi avec Backstreet boys, Mika (pour « We Are Young » la bande originale du film « Kick Ass »), Kat De Luna, Enrique Iglesias, Space Cowboy, Ciara, Usher, Christina Aguilera, Michael Jackson et Lionel Richie; et récemment avec Enrique Iglesias pour son prochain album.
Au cours de la même soirée, « Love Story » de l’Américaine, Taylor Swift, a été désigné « chanson de l’année », le chanteur américain et guitariste de rock, John Fogerty, « icône BMI ».

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Heureux ?

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…Soyez très attentifs…

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Champ d’action de l’esprit

Posté par othoharmonie le 30 septembre 2010

Champ d'action de l'esprit dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérir – Le principe universel de la guérison. (Dr.Bailes

(si vous avez des difficultés, alors pour mieux comprendre les pouvoirs de votre esprit, reportez-vous S.V.P à mon second blog :      http://channelconscience.unblog.fr/tag/humanite/   et   catégorie : Allan Kardec

 

 

tube ailes

 

-         1 – REALITE ET CHAMP D’ACTION DE L’ESPRIT 

 

La connaissance exacte est une condition préalable de la guérison. Ce chapitre, par conséquent, posera la base d’une entente commune sur les termes employés et les faits sur lesquels nous fondons notre assurance de guérir. Dès le début, il est nécessaire que nous définissions et comprenions nos termes, vu que toute la science de guérir est basée sur une compréhension vraie de l’esprit, sa manière d’opérer et sa relation avec le grand Esprit de l’univers

 

tube ailes

1.     L’Intelligence cosmique 

 

Les gens qui pensent sont capables de voir la claire évidence d’une Intelligence cosmique à l’œuvre à travers tout l’univers. Le professeur Albert Einstein a dit qu’il y a une évidence indiscutable de lois d’ordre dans l’univers. En cela, il est appuyé par Jeans, Eddigton, Millikan et bien d’autres physiciens de premier plan. 

 

Avant que nous acceptions le fait d’une Intelligence à l’œuvre dans l’univers, nous devrions avoir le droit de demander : « Où est l’évidence de cette Intelligence ? ». 

 

Nous voyons l’Intelligence travailler selon une loi lorsque des particules de matière sont attirées l’un vers l’autre ou se repoussent l’un l’autre. La science chimique entière est basée sur le travail sans aucune déviation de cette Intelligence ordonnée. Chaque brin d’herbe qui pousse suit un plan ordonné ; chaque cellules construite dans une tige de céleri est construite selon un plan intelligent. L’emplacement et le mouvement des étoiles et des planètes témoignent d’une Intelligence créatrice qui les guide. 

 

Les organismes variés existant sur notre propre planète – du plus minuscule des microbes au plus grand des éléphants – montrent dans la construction de leurs corps un plan intelligent qui se déploie tout en se réalisant en structures exactes destinées à faire un travail précis. Ce n’est pas un hasard si le cœur, l’estomac, les nerfs et les vaisseaux sanguins sont construits comme ils le sont et si dans chaque espèce ils soient construits de la même façon. 

 

Si nous pouvons admettre qu’il y a une Intelligence à l’œuvre dans l’univers, la question logique suivante sera : « Quelle est notre relation avec cette Intelligence ? ». Si nous pouvons y répondre, nous pouvons résoudre le problème de la maladie, car le secret de la guérison – que cela soit dit dès maintenant – se trouve dans la capacité de l’homme à s’unir consciemment avec cette Intelligence universelle, d’en disposer pour éloigner les pensées types de maladie et leur substituer les pensées types de guérison. 

 

Cela est beaucoup plus facile à faire que la plupart des gens ne se l’imaginent. Des millions d’hommes et de femmes l’ont déjà accompli et ont ainsi éliminé la maladie des faits à expérimenter. Je le constate tous les jours de ma vie chez ceux avec lesquels je suis mis en contact. Là où jadis le terme « guérison mentale et spirituelle » était salué par un rire moqueur, il est aujourd’hui traité avec le respect qu’il mérite, même parmi les savants matérialistes. Il n’est pas facile de railler des gens aujourd’hui en parfaite santé et qui, autrefois, étaient considérés comme perdus et destinés à mourir de maladies telles que cancer, diabète, affections cardiaques, paralysie… pour ne rien dire de troubles prétendus moindres. Ils ne sont pas toujours capables d’expliquer comment cela se produisit exactement, mais ils ont fait une expérience précise, comme dans l’histoire de Jésus, l’homme censé avoir dit ; « Je ne sais ni qui il est ni comment il le fit, mais je sais que j’était aveugle et que maintenant je vois« . Après tout, les résultats parlent plus haut que les explications et ne peuvent pas être changés par des arguments. 

 

La pratique de la guérison mentale et spirituelle gagne de plus en plus sa place légitime dans note vie quotidienne. Les médecins les plus avancés l’étudient et beaucoup l’exercent, même quand ils n’osent pas le reconnaître publiquement. Le médecin de l’avenir corrigera la vie de la pensée de son malade, traitant ainsi la cause au lieu de soigner l’effet. 

 

tube ailes

2.     Intelligence individuelle et Intelligence universelle 

 

Mais retournons à la parenté de l’homme avec l’Intelligence pénétrant d’un bout à l’autre l’univers. La science a prouvé que toute l’Intelligence est Une, exactement comme elle a découvert que toute la matière est Une et que toutes les prétendues lois de l’univers ne sont en réalité qu’Une Loi. 

 

L’intelligence dont use l’homme pour bêcher son jardin ou choisir et planter des fleurs est la même Intelligence qui dirige l’univers. Elle ne diffère qu’en son degré, jamais en sa nature. L’homme peut ne pas comprendre cette vérité, mais le fait demeure : toutes les fois qu’il pense, il se sert de l’Intelligence Une de l’univers. 

 

Il n’existe rien de semblable à « votre » intelligence et à « mon » intelligence. Ce que nous appelons intelligence individuelle est simplement la part de l’Intelligence universelle que nous pouvons employer à un moment donné. Il n’existe rien de semblable à « mon » air et à « votre » air, il n’y a qu’un seul air également distribué autour de la planète, et ce que j’appelle « mien » est simplement la quantité de cet air environnant que j’ai pu aspirer dans mes poumons sur le moment. A un autre moment, il peut être aspiré par les poumons de quelque autre personne et devenir « sien ». 

 

Lorsque nous comprenons que cette Intelligence universelle remplit l’univers, nous pouvons alors l’imaginer tel un vaste océan enveloppant dans lequel nous sommes tous immergés et duquel nous disposons. Cette Intelligence est subjective ou subconsciente, c’est-à-dire qu’elle n’a aucune faculté de choisir mais qu’il lui faut être dirigée vers l’action

 

Elle est hautement compréhensive, possède en soi tout le savoir de l’univers, mais n’est pas une Intelligence qui raisonne. Elle connaît une chose ; se mouvoir dans la direction vers laquelle elle est dirigée

 

La question pourrait être posée ; qui ou quoi choisit, raisonne et dirige ? 

Cela est accompli par la Cause première, ou l’Esprit. En retournant en arrière, au-delà de tout ce qui a pris forme, nous sommes forcés de conclure que l’univers a dû être formé par la pensée. La science sait qu’il est possible que la terre se soit seule donné l’existence. L’attribut principal de la matière est l’inertie, c’est-à-dire qu’elle n’a, en aucun point, le pouvoir de se mouvoir. La matière doit toujours être mise en mouvement par quelque forme d’énergie en dehors d’elle-même. Toute forme d’énergie que nous connaissons dans l’univers est matérielle en sa source, sauf une : la pensée

 

La pensée est le produit de l’Intelligence ; c’est pourquoi nous pouvons assurer sans hésitation qu’avant que la matière ait pu prendre forme, il faut qu’il y ait eu une Intelligence capable de déterminer cette condensation en une forme. Certaines personnes nomment cette Intelligence « Dieu », mais le nom importe peu, c’est le fait de son existence qui importe. 

 

 

tube ailes

3.     Les trois vibrations de l’univers 

 

Cette Intelligence opère de deux manières : premièrement comme Intelligence sélective et créatrice qui détermine ce qu’elle désire voir accompli, deuxièmement comme Intelligence qui obéit, exécutant les ordres de l’Intelligence créatrice. 

 

Cette Intelligence secondaire opère toujours et entièrement comme Loi, possédant toute la connaissance nécessaire pour construire tout ce qui est, mais travaillant toujours avec devant elle un modèle dont elle est incapable de s’écarter. Si elle était capable de s’en écarter, il n’y aurait pas de Loi de l’univers et le chaos en résulterait. En fait, il n’y aurait jamais pu y avoir en premier lieu un univers car, à moins que deux et deux ne fassent toujours quatre, rien ne saurait être construit. Comme le célèbre physicien Lord Kelvin l’a dit ; « L’univers est le produit d’un Penseur pensant systématiquement ». 

 

Une fois que nous sommes arrivés à admettre Dieu comme Intelligence de l’univers, nous pouvons séparer en trois ses activités – ou manifestations – afin de mieux comprendre la méthode selon laquelle il opère. A ce point de jonction, il ne doit y avoir aucun malentendu. Dieu est indivisible et ne peut certainement pas être séparé en parties ; par conséquent, cette séparation est entièrement une question de mots, afin que nous puissions maintenir dans la ligne droite notre pensée limitée. 

 

Nous avons alors le Dieu Un, opérant sur ce que nous pouvons appeler trois plans, explicables par l’emploi d’un terme dont on a abusé et qu’on a mal compris : le terme vibrations

 

Nous avons ainsi Dieu comme Esprit, la plus haute vibration, la moins tangible, désirant créer un univers organisé. Pour l’Esprit, désirer, c’est créer

 

En l’Esprit est la grande substance informe de l’univers, qui peut à juste titre être appelée le corps de Dieu. Cette substance, caractérisée par son inertie, ne peut être activée que par une force en dehors d’elle-même. Elle a la vibration la plus basse, la plus tangible. Donc, l’Esprit emploie l’Intelligence en qualité de Loi pour mouler et former l’univers et en faire cette matière dense que nous connaissons. 

 

La Vibration de l’Intelligence étant moindre que celle de l’Esprit, elle s’assujettit à l’Esprit, et étant plus élevée que celle de la matière, elle assujettit cette matière ; et voilà pourquoi Dieu comme Intelligence peut être défini comme vibration moyenne. 

 

Ainsi, l’Esprit manifeste sa volonté et l’Intelligence obéit sans discuter, modelant la matière selon la forme du modèle que détient l’Esprit. 

 

Comme l’homme est en petit ce que Dieu est en grand, l’homme est une trinité semblable. Il est matière en son corps, un avec Dieu en la vibration la plus basse. Il est un penseur, son intelligence le rendant Un avec Dieu sur le niveau mental ; et il est esprit, UN avec Dieu au degré le plus élevé de la vibration. 

 

 

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4.     L’homme, corps de Dieu 

 

Il est nécessaire, avant de pénétrer profondément dans le mode opératoire de la guérison, de comprendre clairement que l’homme est fait de la grande substance informe de l’univers qui fut appelée corps de Dieu. Le corps de l’homme n’est donc en aucune façon une chose vile. Il est un temple sacré en lequel habite l’Esprit et à travers lequel l’Esprit opère par la Loi de l’Intelligence. 

 

Il est vrai que le corps de l’homme est d’une vibration inférieure à celle de l’Esprit ou de l’Intelligence, étant plus dense, mais en même temps le corps est substance spirituelle et, à moins que l’on ne saisisse clairement cette vérité, on sera privé d’une bonne part de la connaissance nécessaire pour guérir. 

 

L’intelligence de l’homme est l’Intelligence de Dieu. 

Le psychologue nous dit que la mentalité humaine se répartit sur deux plans, non pas deux intelligences, mais deux phases d’une même intelligence nommées consciente et subconsciente, ou objective et subjective. L’intelligence objective de l’homme raisonne, choisit et dirige ; elle crée moins qu’elle ne dirige l’activité créatrice. L’intelligence subjective de l’homme est créatrice. Elle se trouve en ces grandes profondeurs cachées, inconscientes, où sont accumulées toutes les réminiscences des pensées et actions passées, qui n’ont pas disparu alors même que l’homme ne peut s’en souvenir consciemment, mais qui remontent à la surface en rêves et en complexes. 

 

L’intelligence subjective est celle qui exerce les multiples activités du corps. Rien dans l’univers ne se fait sans l’intelligence, et cela demeure vrai aussi pour le corps. L’intelligence subjective entretient les battements du cœur, l’abaissement et l’élévation du diaphragme de telle façon que les poumons aspirent l’air et l’expulsent, maintient tous les processus digestifs et éliminateurs, fait que les nerfs acheminent l’énergie nerveuse à chaque pouce du corps ; elle fabrique des fluides, hormones et enzymes dans le corps ; elle maintient toujours la température qui convient en veillant à la consommation d’une quantité correspondante de combustible et en contrôlant l’appareil régulateur de la chaleur. 

 

Elle fait tout cela, et bien plus encore, facilement et sans effort, comme nous le démontrerons plus loin, exécutant ainsi des opérations que l’intelligence consciente de l’homme ne sait pas comment réaliser. La raison pour laquelle elle peut faire tout cela est que l’intelligence subjective de l’homme est en réalité une partie de l’Intelligence subjective universelle. 

 

 

coeur dans L'Esprit  Guérisseur

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L’âme universelle

Posté par othoharmonie le 29 septembre 2010

L'âme universelle dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérir – Le principe universel de la guérison. (Dr.Bailes

(si vous avez des difficultés, alors pour mieux comprendre les pouvoirs de votre esprit, reportez-vous S.V.P à mon second blog :      http://channelconscience.unblog.fr/allan-kardec/merveilleux-et-surnaturel/   et   catégorie : Allan Kardec

 

tube ailes

 

5.     Le modèle vital 

 

Quand nous comprenons qu’il n’y a qu’une seule Intelligence dans l’univers entier et que l’homme est en cette Intelligence et issu d’elle, nous pouvons aisément voir que l’Intelligence qui créa les cellules premières du corps peut tout aussi facilement construire de nouvelles cellules, empreintes de l’image de la vie. Et quand nous comprenons que cette Intelligence subjective universelle construit toujours selon un modèle déposé par l’Esprit, il est facile de voir comment l’homme peut la mettre en mouvement dans la direction qu’il désire, lorsqu’il comprend que toute la puissance de l’univers attend qu’il se reconnaisse lui-même comme étant Esprit et possédant le privilège de prononcer le mot qui ordonne à l’Intelligence de suivre le modèle placé par lui devant elle. 

 

L’Intelligence objective – ou consciente – de l’homme correspond à l’Esprit en la Divinité. En affirmant cela, nous ne suggérons point que sa pensée soit parfaite – nous savons que parfois elle est diabolique – mais l’homme est esprit en ce qu’il possède le pouvoir de raisonner, de choisir, de sélectionner, et la faculté d’aiguiller l’Intelligence subjective sur la voie pour laquelle il a opté. Cette faculté humaine peut être observée dans une expérience aussi insignifiante que celle du réveil, que la plupart connaissent ; vous décidez de vous lever une heure plus tôt que d’habitude (il s’agit là d’un choix conscient), et l’Intelligence subjective vous réveille exactement à cette heure, souvent juste quelques secondes avant la sonnerie. C’est un exemple de ce que nous entendons par l’affirmation que l’homme, comme esprit ou intelligence objective, a un serviteur – intelligence subjective – qui obéit à ses choix conscients. 

 

L’âme est la même chose que l’Intelligence subjective : l’Ame universelle est l’Intelligence subjective universelle, l’âme individuelle est l’intelligence subjective individuelle. Peut-être sa caractéristique la plus importante est-elle son obéissance absolument neutre à l’Esprit. Elle n’a positivement nuls désirs propres, nulles préférences. Elle demeure pour toujours le serviteur de l’Esprit. Il n’y a là nulle contrainte, mais égalité. La situation est semblable à celle d’un foyer heureux où chaque partenaire considère l’autre comme son égal ; l’homme sort pour subvenir aux besoins matériels du foyer, la femme reste à la maison pour l’entretenir. L’homme suggère qu’il aimerait manger du poulet à son dîner ; ce n’est pas un commandement, mais l’harmonie entre eux deux est telle que ses désirs sont ceux de sa compagne, et elle accède à son désir sans aucun sentiment de coercition, en égale. C’est là le rôle qu’elle a accepté lors de la réalisation de leur union. 

 

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6.     Dieu au service de l’homme 

 

Une des choses difficiles à concevoir pour certains est que l’Intelligence universelle, toute-puissante de tous les pouvoirs de la Divinité, soit disposée à devenir le serviteur de l’homme et à entrer en action dans la direction qu’il lui plaît d’indiquer. Les sceptiques ont été imprégnés de l’idée que l’homme est un ver de terre et Dieu l’Autocrate des cieux et qu’il est donc inimaginable que toute la puissance et l’activité de Dieu attendent la parole directrice de l’homme, disposée et prêtes à entrer en action créatrice comme il l’ordonne. 

 

C’est pourtant exactement ce qui les attend lorsqu’ils comprennent leurs privilèges comme incarnations de Dieu. Aussi longtemps qu’ils hésiteront et regarderont ce pouvoir avec crainte, ils seront abandonnés et pataugeront dans un marécage, un marécage entièrement de leur propre création. Du moment qu’ils acceptent leur place légitime et mettent la Loi en mouvement pour eux-mêmes, ils reconnaissent qu’ils traitent avec une puissance qui, assez grande pour les briser, s’abandonne entièrement à leur volonté. 

 

Il ne doit y avoir ni superstition ni crainte lorsqu’on approche ainsi la Loi de l’Intelligence. Cette puissante force guérisseuse n’est pas une personne, mais un Principe ; en fait, elle est le seul Principe de l’univers. Nous pourrions imaginer un Pygmée d’Afrique centrale approchant pour la première fois un commutateur électrique avec crainte et effroi, alors qu’un enfant occidental sait qu’il n’a qu’à presser sur le bouton pour avoir la lumière. La loi de l’électricité est absolument neutre ; l’enfant, le Pygmée ou le savant peuvent appuyer sur le bouton et l’électricité rayonne en réponse. Elle n’a pas de désirs à elle. Elle restera inactive jusqu’à ce que quelqu’un la mettre en action, et qui le fait lui est indifférent. 

 

Sa nature est d’entrer en activité lorsque quelqu’un exécute les actes nécessaires. Mais les lois de son activité doivent être respectées ; les contacts doivent être bien ajustés et elle doit être reliées à la source de sa puissance. C’est tout. 

 

De la même manière, la Loi de l’Intelligence répond à un usage intelligent de sa puissance. Sa force créatrice peut être mobilisée dans toutes les voies que l’on désire, l’unique condition étant que les lois de son activité soient respectées. Nous apprendrons plus loin ce que sont ces lois, mais il suffit de faire pour le moment que chacun doit retenir le fait qu’il existe, en cet instant même, un flot de Puissance universelle voué à son usage, attendant sa parole et pouvant entièrement servir ses désirs. De plus, nous n’avons nul besoin de prier cette force, de lui demander quoi que ce soit, de l’implorer, de souffrir pour elle. Nous n’avons qu’à la reconnaître purement et simplement, à savoir qu’elle est nôtre pour le développement de notre vie, de notre santé, de notre bonheur et de notre prospérité. 

 

Après avoir dit que cette Loi n’a pas besoin d’être approchée avec crainte ou effroi puisqu’elle est une loi naturelle et non une personne, nous pourrions continuer en disant que tout en étant impersonnelle, elle possède toute l’Intelligence. Elle n’a pas de désir à elle, elle est entièrement neutre et prête à accorder – sur le commandement de l’homme – sa puissance créatrice ; et néanmoins, elle n’a pas plus de conscience d’elle-même que la loi de l’électricité. Mais tout cela ne doit pas nous faire supposer qu’elle n’a pas d’intelligence. Au contraire, son intelligence est infinie. 

 

Si nous réunissions tout l’art, tout le savoir et toute l’intelligence de tous les savants du monde, cela ne suffirait pas pour créer et faire pousser un ongle sur un doigt. Cependant, cette Intelligence subjective universelle sait exactement comment poser cellule après cellules dans un million d’ongles et comment construire parfaitement chacune, ainsi qu’elle le fait à ce moment même. Nul ne sait comment mettre le parfum dans une seule fleur, et pourtant tant cette Intelligence touche journellement un million de fleurs de sa baguette magique et distille en parfum leurs essences subtiles venant du sol, de l’eau, de l’air et du soleil. L’homme s’extasie de chacune de ses minuscules découvertes alors que cette Loi d’Intelligence les connaît toutes avant qu’il ne cherche à tâtons son chemin hésitant vers elles. 

 

tube ailes

 

7.     Le meilleur allié de l’homme 

 

Cette Loi d’Intelligence sait comment est construite toute affaire qui a du succès, sait dans le détail précis juste ce qu’il faut pour transformer des idées en argent, sait comment rendre une entreprise prospère ou comment transformer en un chef-d’œuvre une vie qui a échoué. Elle n’a pas besoin de raisonner, elle sait. Elle sait d’avance que l’homme a besoin de s’élever au-dessus de toute circonstance qui le limite et d’inonder sa vie de biens, mais jamais elle n’offre ni n’impose ses services ; elle attend qu’on la reconnaisse. C’est l’une des tragédies de la vie, car c’est à l’homme de découvrir par lui-même qu’il a un allié puissant prêt et capable de le mener à la place où il désir être, pour tous buts pratiques. Toutefois, cet allié n’est pas là tant que l’homme ne le découvre pas et ne s’en sert pas

 

L’homme est en voyage pour la découverte de lui-même. La vieille théorie selon laquelle Dieu a pitié de l’homme, intervient et se révèle Lui-même lorsque l’homme est au bout de ses ressources, n’est plus acceptable ni tenable. Dans les âges obscurs de l’Antiquité, l’Intelligence directrice de l’univers prit les formes de la vie tout juste aussi loin que chacun pouvait aller. Depuis la vase de son lit primordial dans l’Océan, le protoplasma était habité par l’Intelligence, et comme cet organisme se conformait à ce qu’il était capable de percevoir, il développa un emploi plus large de cette Intelligence. Il eût pu être un homme, mais il ne le savait pas. Il était un protoplasma et fonctionnait comme tel, se procurant de la nourriture, éliminant des déchets et se reproduisant. 

 

Mais comme le plan créateur général avançait irrésistiblement, cet organisme unicellulaire fut capable d’user d’un tout petit peu plus de ce vaste réservoir d’Intelligence, et se développa en phase progressives et à travers de longues périodes, jusqu’à ce qu’il arrivât au rang où il eut la conscience de soi. Jusqu’alors, sa vie intelligente avait été entièrement subjective, disposant de la grande Intelligence subjective universelle. Mais après des millions d’années, il arriva à la phase de développement où une pointe d’objectivité avait été poussée au-dessus du niveau de sa subjectivité, et il devint alors un homme  à l’image et la ressemblance de Dieu. Cette image et cette ressemblance consistaient en sa conscience de lui-même en tant qu’homme, en sa raison et son pouvoir de choisir. 

 

Au point de vue spirituel, l’homme est donc devenu son propre maître. A partir de ce moment, son développement ultérieur dépend de sa faculté de reconnaître son libre accès au pouvoir illimité. Quelques-uns, néanmoins, ne s’en rendent pas compte et pataugent à la merci des circonstances. 

 

Cependant, alors qu’ils font de futiles efforts pour avancer, la même Intelligence infinie serait à leur disposition s’ils s’en rendaient seulement compte. Elle ne veut pas s’imposer à eux, ils doivent amener leurs yeux à s’ouvrir à elle. Beaucoup sont arrivés au moins où ils aperçoivent cette vérité, et pour eux se lève une vie nouvelle ; ils sortent du lieu de la maladie et de la défaite pour entrer dans le lieu qui leur est destiné : celui de la santé et de la maîtrise. Leur nombre s’accroît à chaque instant. Ce nouveau savoir gagne actuellement le monde, et l’homme peut avancer aussi rapidement qu’il peut arriver à le connaître. 

 

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8.     L’homme dresse ses propres limites 

 

Il n’y a pas de limite posée par l’Intelligence infinie. L’homme peut aller aussi loin qu’il le désire ou rester où il se trouve. Le seul facteur limitatif est l’homme lui-même. S’il continue à rester inactif, à grelotter dans le froid, geignant et se lamentant, cela est son droit. Mais il peut se lever et se mettre en route vers la chaude lumière du feu éternel, pour entrer dans une vie qui contient tous les éléments du bonheur. Personne d’autre ne le fera ou ne peut le fait pour lui, même pas Dieu. C’est l’affaire de l’homme et la sienne seule. En son voyage de découverte en lui-même, il est le capitaine de son bateau et, par conséquent, uniquement responsable de son entrée au port. 

 

La responsabilité de l’homme réside donc dans le choix de sa destination ; la force motrice pour l’y amener est fournie par la Loi impersonnelle. Ce n’est que lorsqu’il saisit ce fait fondamental qu’il est préparé à renoncer à ses propres efforts accomplis sans aide et à compter sur l’Intelligence cosmique pour maintenir en marche les machines pendant qu’il gouverne le bateau. Tout aussi impersonnellement que les machines d’un bateau répondent à une direction appropriée, la Loi universelle de l’Intelligence répond à la direction consciente de l’homme. 

 

coeur dans L'Esprit  Guérisseur

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Dieu en l’homme

Posté par othoharmonie le 28 septembre 2010


Dieu en l'homme dans L'Esprit  Guérisseur coeur
Votre esprit peut vous guérir – Le principe universel de la guérison. (Dr.Bailes

(si vous avez des difficultés, alors pour mieux comprendre les pouvoirs de votre esprit, reportez-vous S.V.P à mon second blog :      http://channelconscience.unblog.fr/2010/07/05/accepter-la-responsabilite-de-son-pouvoir/    et   catégorie : Allan Kardec

 

 

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9.     Un réservoir infini 

 

Nous nous rendons compte que nous vivons dans un océan d’Intelligence subjective. Nous appelons Intelligence subjective universelle celle qui nous entoure ; celle dont nous nous servons, nous l’appelons intelligence subjective individuelle, mais elles sont identiques. Plus on est capable de se concevoir soi-même comme usager de l’Intelligence universelle, plus la pensée devient puissante. 

 

L’individu peut accroître à l’infini sa conception de la puissance disponible pour son service s’il rend assez claires sa vision et sa compréhension ; il trouvera alors qu’il y a toujours à sa portée autant de cette puissance qu’il en peut accepter mentalement

 

Et il n’a pas besoin d’avoir peur d’atteindre le point où il pourrait épuiser l’Universel. Il pourrait, s’il le désirait, employer le tout de la Puissance cosmique sans réduire celle-ci d’une unité. Même si chaque âme qui vit était suffisamment éveillée de façon que toutes, dans la plus large mesure, aient recours à l’Universel, il n’y aurait néanmoins aucune diminution de cette puissance. Cette puissance est infinie, sans limites, inépuisable. 

 

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10.      Le Tout de Dieu 

 

L’homme vit dans un monde des sens. Il est lié par ses conceptions erronées de l’espace et du temps. Il applique des termes quantitatifs à des choses spirituelles, ne réalisant pas que Dieu n’a pas de dimensions. En fait, le tout de Dieu remplit l’univers entier et, cependant, le tout de Dieu est dans chaque homme, dans chaque cellules séparée du corps, dans chaque minuscule organisme, dans chaque brin d’herbe. 

 

Cependant, il n’y a pas de séparation en morceaux ; Dieu étant indivisible est en chaque endroit, à n’importe quel moment, avec le tout de Lui-même. Il n’est pas taillé en des trillons de pièces minuscules afin de résider dans les différents organismes. Débarrassons-nous donc de cette notion matérielle qui est le résultat d’un raisonnement matériel. 

 

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11.     La maladie est une fausse image 

 

Il y a davantage en ce qui précède que ce que nous voyons au premier abord. C’est un principe fondamental que nous devrions saisir, car lorsque pour la première fois nous nous éveillons à sa signification, nous sommes frappés par une conception qui bouleverse l’imagination. La première fois qu’un être prend conscience du fait qu’il est habité par toute la puissance et la présence de Dieu – et sent se réveiller en lui un sentiment de sécurité qu’il n’avait jamais cru possible auparavant. Lorsqu’il entrevoit cette immense vérité que toute la Puissance universelle coule à travers son corps, il est capable de demeurer en une calme assurance, avec une totale absence de peur à l’apparition de la maladie. Car sa peur fut créée par l’image qu’il s’était faite de son être envahi par un ennemi fort, cruel et sans pitié ; voilà la raison pour laquelle il ne fut jamais capable de croire que sa petite mentalité pourrait peut-être bien se mesurer avec ce monstre de la maladie. 

 

Mais à présent, il possède une nouvelle image. Cette image de maladie n’est plus une chose créée qui le domine. Toutes choses sont relatives. En face de la Puissance guérisseuse et de la Présence universelle, l’image de maladie pâlit jusqu’à l’insignifiance, se recroquevillant en une apparence chétive et mal nourrie qui essaie de l’épouvanter. Il la reconnaît pour ce qu’elle est ; une image essayant de prendre l’aspect de la réalité. Il sait que la seule réalité dans l’Univers est l’Esprit, que le monde matériel, avec toutes ses formes changeantes, n’est qu’un monde de fantômes alors que le monde réel est le monde de l’Esprit et de l’Intelligence. Ainsi l’homme est-il libéré de sa peur de toute vie devant la maladie, parce que « plus grand est Celui qui est pour nous que ceux qui sont contre nous ». 

 

L’homme n’a pas besoin d’accepter une prétendue révélation pour connaître Dieu. Incontestablement, les écritures saintes nous ont révélé beaucoup de choses sur le Divin, mais il n’est pas nécessaire que nous acceptions leurs conclusions lorsqu’elles violent notre raison ou sont en contradiction avec ce que nous-mêmes sommes capables d’observer. Après tout, les saintes écritures ne sont pas tant une révélation de Dieu à l’homme, que les résultats des tâtonnements de l’homme cherchant Dieu. Il est vrai que des hommes à la vision élevée et à l’intuition spirituelle les ont rédigées, et les considérant comme telles nous devrions être reconnaissants de la pensée qu’elle expriment. Mais ce n’est pas une obligation pour nous de les accepter en totalité comme définitives. Nous aussi possédons raison, jugement et faculté d’observation ; la connaissance que nous atteignons par notre propre développement mental est une révélation aussi valable que cette transmise par tout homme ayant vécu dans le passé. 

 

L’homme peut observer pour lui-même le travail de l’Intelligence dans l’univers et édifier ainsi sa propre foi en cette Puissance universelle. Il construit ainsi sur des fondations posées par lui-même plutôt que par un autre. 

 

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12.     Un pouvoir sans limites 

 

Considérons l’univers comme une démonstration du travail de l’Intelligence. Nous savons que la planète sur laquelle nous vivons est une masse lourde, se mouvant autour du soleil en une orbite bien définie. De même, huit autres planètes de dimensions diverses se meuvent autour du soleil en un horaire exact, constituant ainsi notre système solaire. Plus loin, dans l’espace, d’autres corps célestes se meuvent – en réalité, notre système solaire entier tourner lui-même autour d’une autre étoile. 

 

Les dimensions de ces étoiles et planètes ainsi que leurs distances de l’une à l’autre bouleversent l’imagination. Notre terre mesure approximativement 12 700 kms de diamètre et est à une distance de 150 millions de kilomètres du soleil, une distance qui nous est presque incompréhensible. Pourtant, des millions d’étoiles qui nous apparaissent tels de faibles points de lumière sont distantes de la terre de billions de kilomètres. Toute cette multitude de corps célestes traverse l’espace comme une armée de soldats, chacun poursuivant sa course sans chemin à travers des millions d’années-lumière d’étendue, chacun exactement à l’heure, comme s’il était guidé par les doigts invisibles d’un maître de marionnettes. 

 

L’agent invisible qui dirige tout cela est l’Intelligence universelle, manifestant un ordre élevé d’intelligence, infini. Elle démontre un pouvoir sans limites. Une énergie formidable doit être déployée pour mettre en mouvement à travers l’espace ces corps massifs, et cependant cela se fait silencieusement, sûrement, infailliblement, par cette Intelligence infinie qui doit être aussi Puissance infinie. 

 

C’est là la Puissance intelligente à laquelle ‘homme a accès parce qu’il est un avec elle. Aussi longtemps qu’il persiste à rester aveugle devant ce fait, il continue à vivre en esclave. Cette Puissance extraordinaire est à sa portée, mais elle ne veut pas servir l’homme à moins que celui-ci ne l’appelle lui-même. Lorsqu’il comprend et accepte le fait que la même Puissance qui maintient en action l’univers est prête à maintenir son corps livre de maladie, il peut se rendre compte qu’il n’y a pas de maladies incurables – seulement des gens incurables, incurables parce qu’ils demeurent aveugles en face de leur guérison possible. Ceux qui pensent que leur guérison dépend de leurs propres et faibles efforts mentaux tels que concentration force de volonté et ainsi de suite, seront désappointés. Mais ceux qui apprennent le moyen de permettre à cette Intelligence universelle de s’épancher en leur faveur trouveront la libération et la guérison. 

 

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13.     Une force gigantesque à vos ordres 

 

Voici donc l’Intelligence et la Puissance que l’homme peut faire entrer en action. Assez forte pour maintenir en harmonie un univers, cette Intelligence obéit à la pensée et à la parole de l’homme et peut être dirigée vers l’édification d’une santé parfaite, du bonheur et de la prospérité par quiconque comprend sa responsabilité entière. Telle est la Loi de l’Intelligence dont nous évoquons la puissance. Elle est plus grande que toute chose paraissant s’opposer à nos désirs. 

 

Rien dans l’univers n’a le pouvoir de nous frustrer de quoi que ce soit, parce que nous sommes Un avec l’Intelligence-Dieu et la Puissance-Dieu. 

 

 

coeur dans L'Esprit  Guérisseur

 

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Notre richesse

Posté par othoharmonie le 28 septembre 2010

Exercice simple :

Notre richesse dans Exercices simples image-arbre-zen      Notre richesse 

 

Amenez votre corps vers la tranquillité et sentez le pilier de lumière s’éveiller, se nettoyer tout en rappelant à votre corps ses fonctions idéales. Formez l’intention que le pilier de lumière emplisse votre corps, et que la santé et le bien-être palpitent dans vos cellules et l’essence de votre identité. 

 

Tout en ressentant cette énergie qui pénètre votre corps, combinez l’énergie qui est vôtre avec l’environnement d’une façon bénéfique à tous. Détendez-vous et entrez en vous-même par des rayons lumineux. Dans la région du plexus solaire, un lieu de volition, de sentiment et de pouvoir. Imaginez que vous en retirez quelque chose, une pièce d’or, un diamant, un joyau inestimable. Tenez dans vos mains cet objet que vous considérez sans prix, découvert en vous. Emerveillez-vous de la beauté majestueuse de votre trésor. 

 

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Imaginez que vous vous trouvez en compagnie d’un vaste groupe de gens et que chacun d’entre vous tient son joyau intérieur d’une valeur inestimable. Un par un, vous vous approchez d’un tissu vert et doré, et vous y posez votre trésor avec grande délicatesse et révérence. Il symbolise la valeur intérieure que vous êtres prêt à partager de façon à en faire bénéficier l’humanité entière. Votre don peut être aussi grand ou aussi petit que vous le désirez. 

 

Une fois le joyau déposé, retirez-vous et rejoignez le cercle, en contemplant l’ensemble de la contribution de votre groupe. Ressentez également notre présence. Ressentez les effets découlant de l’addition de votre richesse à celle du reste du groupe. 

 

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Imaginez maintenant l’apport que vous souhaitez que cet amas de richesse apporte à la Terre. Imaginez aussi les désirs de votre cœur.  Ressentez l’énergie que le pilier de lumière fait pénétrer en vous au moment où votre richesse est acceptée. Qu’est-ce qui fera la différence pour la Terre, selon vous ? 

 

Maintenez votre vision aussi clairement que possible. Ressentez l’énergie qui  agite le cercle des consciences. Laissez l’énergie tournoyer et tourbillonner, allant rapidement d’une personne à l’autre, vous rappelant de vous investir, avec l’esprit et le cœur, dans l’avenir de la Terre. 

 

 

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Dijon

Posté par othoharmonie le 26 septembre 2010

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Venez me rejoindre sur le FORUM http://devantsoi.forumgratuit.org/

 

Dijon est la capitale de la moutarde. Le verjus de Bourgogne, qui entre dans la fabrication de la moutarde de Dijon, permet de développer l’essence et le piquant de la graine.

  • Dijon se veut une capitale de la gastronomie, avec sa foire internationale et gastronomique qui se tient chaque année à l’automne, et dont un pays est hôte d’honneur, et la Biennale internationale des arts culinaires (BIAC). Initiée par le maire Gaston Gérard en 1921, la Foire internationale et gastronomique de Dijon, surnommée la « Foire », est destinée à promouvoir la culture et le bon vivre bourguignon à travers le monde.

  • Dijon est la capitale administrative d’une des régions vinicoles les plus connues au monde, la Bourgogne. C’est toutefois Beaune qui est la capitale du vin de Bourgogne.

 

 

Dijon dans Ma Bourgogne En détails dijon-051

 

Les Salles de spectacles

Les principales salles de spectacle de Dijon sont:

  • Le Zénith de Dijon jaugeant 7 800 places au maximum.

  • L’ Auditorium de Dijon qui compte 1 600 places assises et qui est réputé pour faire partie des meilleures salles européennes en termes d’acoustique.

  • Le grand théâtre, construit au début du XIXe siècle sur l’emplacement de la Sainte-Chapelle.

  • De nombreuses salles de moindre taille existent, comme La Vapeur (600 places environ), le Parvis Saint-Jean qui occupe l’église Saint-Jean désaffectée, le théâtre Mansart près du campus universitaire, l’Atheneum au cœur du campus ou encore le théâtre des Feuillants. De petites structures privées couvrent en outre de nombreux styles de théâtre et de musique. L’Espace Autogéré des Tanneries, un centre social, culturel et politique, occupe une friche industrielle depuis octobre 1998

 

 

 dans Ma Bourgogne En détails

 

Les Musées  

Dortoir des moines, ancienne abbaye bénédictine Saint-Bénigne, transformé en salle d’exposition du musée archéologique

Dijon possède de nombreux musées disposant de collections régionales importantes, tous installés dans de prestigieux monuments historiques.

Le musée des Beaux-Arts de Dijon est installé dans le Palais des ducs de Bourgogne. Dans la « salle des gardes » sont exposés les tombeaux des ducs Philippe le Hardi et de Jean sans Peur, provenant de la chartreuse de Champmol. Les autres salles renferment des collections de peinture et de sculpture allant du Moyen Âge à l’époque contemporaine. Le musée est gratuit depuis 2004.

Le musée archéologique occupe une partie des anciens bâtiments de l’abbaye Saint-Bénigne et détient des pièces provenant des fouilles régionales. La collection lapidaire gallo-romaine et les bois provenant du sanctuaire des sources de la Seine sont de tout premier ordre.

 

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Le musée de la vie bourguignonne Perrin de Puycousin renferme des reconstitutions de scènes quotidiennes et d’anciens magasins dijonnais. Une partie est réservée aux enfants célèbres de Dijon.

Le musée d’art sacré de Dijon, installé dans l’ancienne église des Bernardines, présente d’intéressantes collections liturgiques et un morceau de sculpture magistrale : la Visitation, provenant du couvent du même nom, aujourd’hui détruit.

Le musée Magnin occupe l’ancien hôtel Lantin, rue des Bons-Enfants. Il renferme une magnifique collection de tableaux et de meubles réunie par les Magnin, une famille d’amateurs.

Le musée François Rude, situé dans le transept de l’ancienne église Saint-Étienne, abrite les moulages de diverses statues de François Rude, et donne accès à l’abside de l’église ; on peut y observer des restes de l’ancien castrum, enceinte gallo-romaine de Dijon.

Les bâtiments du Muséum d’Histoire Naturelle – Planétarium – Jardin des Sciences se trouvent parmi les collections botaniques du jardin de l’Arquebuse.

Le musée de l’électricité présente l’évolution de l’électricité à travers les thèmes de l’éclairage, du chauffage, de la chimie, de la force motrice, des communications. Il repose ainsi sur une large collection de lampes, appareils de mesure, electroménager, son et images.

Le musée de la moutarde de Dijon, qui a fermé ses portes en 2006, se situait sous l’usine Amora appartenant au groupe Unilever

 

 

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Les Monuments et lieux touristiques

 

Église Notre-Dame depuis la tour Philippe le Bon

La maison Millière et l’hôtel de Vogüé s’élèvent derrière l’église, rue de la Chouette.

L’église Saint-Étienne de Dijon est le plus ancien lieu de culte du castrum dijonnais. D’abord église romane (les fondations sont encore visibles), abbaye de chanoines réguliers au Moyen Âge, cathédrale en 1731, désaffectée à la Révolution, elle a abrité jusqu’en 2007 la chambre de commerce. Le musée Rude occupe toujours le chœur, mais pour encore peu de temps. En effet, le musée des Beaux-Arts faisant l’objet de travaux importants et d’une restructuration, la conservation et les services administratifs de ce musée, après travaux, doivent s’installer dans cet édifice.

 

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L’église Saint-Jean, qui date du IVe siècle, a été reconstruite en 1448, en gothique flamboyant.

La chapelle de l’hospice de la charité possède un autel à dais de présentation qui est une composition baroque en bois doré due au sculpteur Jehan Maitrier.

Le couvent des Carmélites est le premier monastère de femmes à Dijon et date de 1608.

De l’ancienne Chartreuse de Champmol, sur le site de laquelle est aujourd’hui construit un hôpital psychiatrique, subsistent le puits de Moïse, sculpté par Claus Sluter à la fin du XIVe siècle, et le portail de la chapelle.

Le palais de justice a été construit à la fin du XVe et au début du XVIe siècle pour abriter le parlement ; il est toujours le siège de tribunaux. Le charpentier Antoine Galley en a bâti le plafond en 1522 alors que la grande porte est de l’artiste Hugues Sambin.

La porte Guillaume, située place Darcy, s’élève à l’emplacement d’une porte fortifiée des remparts de la ville. Elle fut érigée en 1788 par Caristie en l’honneur du prince de Condé. Elle est parfois nommée « Arc de Triomphe dijonnais », en raison de sa situation au sommet de la Rue de la Liberté, appelée « Champs-Élysées Dijonnais » en référence à son caractère commerçant, comme la célèbre avenue parisienne.

Les remparts de Dijon ont laissé malheureusement peu de traces : la voie ferrée passe sur l’ancien rempart dit « de la Miséricorde ». Rue de l’Hôpital, il subsiste des vestiges du bastion de Guise, qui constituait l’angle sud-ouest du rempart ; rue de Tivoli et rue Berlier, deux pans de murs sont également encore préservés. Un panneau a été mis en place rue Vaillant, signalant la fin de l’ancien Castrum dijonnais.

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L’église du Sacré-Cœur de Dijon date quant à elle des années 1930.

Les toits bourguignons sont également des éléments du patrimoine culturel de Dijon. Composés de tuiles vernissées multicolores disposées selon des motifs géométriques, ils se découvrent sur quelques bâtiments du centre ville comme l’hôtel de Vogüé, la maison Aubriot, la cathédrale Saint-Bénigne…

Les méridiennes, indiquant le midi solaire vrai, sont mises en valeur. L’une se trouve rue de la Liberté, une autre sur la façade du palais des ducs, une troisième à l’intérieur de la tour Philippe le Bon. On peut observer le midi solaire vrai sur ces méridiennes aux heures légales données par le tableau ci-dessous

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Culture locale et patrimoine  

Dijon dispose de l’un des premiers secteurs sauvegardés de France, avec 97 hectares de monuments classés et remarquablement conservés. Reconnu internationalement, son patrimoine s’est bâti au fil des siècles, et continue de se construire aujourd’hui avec des édifices publics comme le Zénith ou l’Auditorium ou à travers des bâtiments de haute-technologie comme la tour Elithis. Le « vieux Dijon » ou centre historique comporte d’innombrables maisons anciennes, hôtels parlementaires, maisons bourgeoises mais aussi demeures plus modestes, qui donnent un charme incomparable aux rues du centre ville. Pour la plupart, ces monuments datent du Moyen Âge. Des réalisations modernes, datant du XIXe siècle, de type « hausmannien », complètent ce patrimoine dijonnais.

La création d’un secteur sauvegardé, la réfection progressive de la plupart des demeures historiques et le développement d’une zone piétonne en constante extension depuis les années 1970, permettent aujourd’hui aux Dijonnais comme aux visiteurs d’un jour de profiter de ce riche patrimoine qui s’intègre dans un tourisme départemental et régional, autour du vin et de l’héritage médiéval.

 

A suivre………

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Dijon suite…

Posté par othoharmonie le 25 septembre 2010

DIJON SUITE ….

Les lieux de Cultes à DIJON

Dijon suite... dans Ma Bourgogne En détails 330px-Tourphlebon-1

Catholiques

  • Cathédrale Saint-Bénigne, place Saint-Bénigne
  • Église Notre-Dame, place Notre-Dame
  • Église Saint-Michel, place Saint-Michel
  • Église Saint-Pierre, place du Président-Wilson
  • Église Sainte-Chantal, avenue Gustave-Eiffel
  • Église Saint-Joseph, rue de Jouvence
  • Église Saint-Paul, rue Clément-Janin
  • Église du Sacré-Cœur, rue Racine
  • Église Sainte-Jeanne-d’Arc
  • Église Saint-Bernard, 12, boulevard Alexandre de Yougoslavie
  • Église Sainte-Bernadette, boulevard des Martyrs de la Résistance,
  • Église Saint-Jean-Bosco
  • Église Bienheureuse Elisabeth de la Trinité,
  • Chapelle Saint-Vincent-de-Paul
  • Chapelle Chapelle Saint-François-d’Assise
  • Chapelle Saint-Joseph-Cottolengo
  • Chapelle Saint-Jacques
  • Chapelle Sainte-Anne
  • Centre cultuel Cardinal-Albert-Decourtray.

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Musulmans

  • Mosquée En-Nour, impasse Clément d’Esormes.
  • Mosquée El-Imane, rue de la Loire.
  • Mosquée El-Khir, rue Charles Dumont.
  • Mosquée El-Iman, allée du Doubs.

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Protestants

  • Temple, rue du Temple.

Juifs

  • Synagogue, rue de la Synagogue.

Saints des derniers jours

  • Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours, paroisse de Dijon, rue Père de Foucauld

 

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Établissements d’enseignement supérieur

15 établissements de tous domaines forment avec l’université de Bourgogne le réseau d’enseignement supérieur comme Sciences Po Dijon, l’École supérieure de commerce de Dijon, l’école Agrosup Dijon, l’École nationale des Greffes, l’École inter-régionale d’avocats, l’Institut de formation des cadres de la santé, l’École nationale des beaux-arts entre autres.

 

L’université de Bourgogne

Article détaillé : Université de Bourgogne

L’université compte en 2009-2010 plus de 27 000 étudiants[]. La grande majorité de ses bâtiments et effectifs concernent Dijon, aux côtés des antennes de Chalon-sur-Saône, Auxerre, Le Creusot et Nevers. En plus des UFRs traditionnels, elle a mis en place 36 Unités de Recherche labellisées dont certaines uniques à la région comme Agrosup Dijon ou l’Institut universitaire de la vigne et du vin Jules Guyot d’œnologie. Le campus, d’inspiration nord-américaine a été créé en 1957 et s’étend sur 150 hectares dans le quartier Montmuzard. La ville prévoit d’inclure l’université et ses zones de résidences au projet 2025 de la future gare tramway. Dès 2013 le « Grand Campus » devrait multiplier les logements étudiants et les instituts de recherche et de coopération avec les universités étrangères.

 

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Manifestations culturelles et festivités 

Folkloriques : Les Fêtes de la Vigne en septembre

  • Les journées de Rhénanie-Palatinat organisées à la maison de Rhénanie-Palatinat, rue Buffon. Ces journées permettent de découvrir les spécialités et traditions franco-allemandes.

 

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Le « Grand Dijon » 

Article détaillé : Grand Dijon.

Les communes composant l’agglomération du Grand Dijon en 2009.

La Communauté de l’agglomération dijonnaise (COMADI), devenu en 2005 le « Grand Dijon », couvre 22 communes. Dijon est ainsi le centre d’une communauté d’agglomération qui n’a cessé de s’étendre, formée théoriquement de 116 municipalités appartenant au périmètre du « Schéma de Cohérence Territoriale » (SCOT). Le nombre d’habitants est ainsi de 251 802 habitants en 2009 (soit 49% de la Côte-d’Or) dont 155 340 habitants à Dijon même, en en faisant la 18e communauté d’agglomération de France.

Le Grand Dijon est divisé en 8 cantons :

 

Depuis 1945

Après la guerre, la population est restée stable, aux alentours de 100 000 habitants. Dijon est globalement une ville tertiaire et le milieu social est dominé par les cadres moyens et les employés. Le chanoine Kir, maire de Dijon de 1945 à 1968, dote la ville d’un lac artificiel inauguré en 1964. Sous son mandat se crée également à partir de 1957 un vaste campus universitaire à Montmuzard, sur près de cent hectares. La municipalité multiplie les bâtiments de service public comme, en 1962, l’hôpital du Bocage. Avec l’essor économique des Trente glorieuses, la surface urbanisée de l’agglomération double afin de répondre à la pénurie de logements. Le quartier des Grésilles, la ZUP de la Fontaine-d’Ouche sont aménagés et les municipalités satellites comme Quetigny ou Chevigny-Saint-Sauveur s’accroissent. Après la mort de Félix Kir en 1968, le docteur Veillet assure quelques années sa succession, jusqu’en 1971. À cette date est élu le gaulliste Robert Poujade, qui devait assumer le plus long mandat de maire dans l’histoire de Dijon : trente ans, de 1971 à 2001. Robert Poujade s’attache à la protection et à la mise en valeur du secteur sauvegardé de Dijon, où les monuments sont restaurés. Renonçant à la construction de grandes barres, il aménage de nouveaux quartiers -Petit-Cîteaux, Port du canal, Hauts de Montchapet, Mansart- avec des immeubles à taille plus humaine. De nombreuses bibliothèques sont créées dans les quartiers, ainsi que des jardins publics. La construction de l’auditorium est une des dernières grandes réalisations de la période Robert Poujade. En 1977, Dijon emporta le titre envié de première ville écologique avec l’aménagement en 1975 notamment du parc de la Combe à la serpent, le plus étendu de la ville.

Le 18 mars 2001, le candidat de gauche François Rebsamen est élu maire de Dijon, pourtant de tradition conservatrice.

 

A SUIVRE …….

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Dijon suite

Posté par othoharmonie le 25 septembre 2010

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Dijon (prononcé [di.ʒɔ̃]) est une ville de France située entre Bassin parisien et Bassin rhodanien, à 310 kilomètres au sud-est de Paris et 190 au nord de Lyon. C’est la préfecture du département de la Côte-d’Or et le chef-lieu de la région Bourgogne. Ses habitants sont appelés les Dijonnais.

En 2007, la population de Dijon intra-muros était de 151 543 habitants, ce qui en fait la 17e ville la plus peuplée de France. L’agglomération dijonnaise, qui a pris en 2000 la forme d’une structure intercommunale nommée le « Grand Dijon », compte quant à elle environ 250 000 habitants. La ville comptait déjà presque 35 000 habitants en 1850.

Héritière d’un riche patrimoine historique et architectural, ancienne capitale du Duché de Bourgogne aux XIVe et XVe siècles, Dijon est une ville touristique dont l’attrait est renforcé par la réputation gastronomique de la région. C’est aussi une ville verte au secteur tertiaire important, vraie capitale de région dans les domaines scolaire, universitaire, judiciaire, hospitalier et administratif qui assurent une tradition de vie culturelle forte. Dijon est également un centre économique régional au tissu diversifié mais plutôt en crise avec un pôle agro-alimentaire traditionnel (moutarde de Dijon, crème de cassis de Dijon et Kir, pain d’épices, chocolat Lanvin…) et un secteur pharmaceutique réputé.

Ville de congrès, la capitale de la Région Bourgogne est située sur l’axe Paris-Lyon-Méditerranée et prochainement sur la ligne ferroviaire à grande vitesse Rhin-Rhône. Elle est d’ailleurs en terme démographique, le principal pôle français de la Métropole Rhin-Rhône qui s’étend de Bâle au Creusot[].

 

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Localisation 

Dijon est la préfecture de la région de Bourgogne et du département de Côte-d’Or. La commune se situe sur la Côte des Vins de Bourgogne aussi nommée Route des Grands Crus (qui s’étend de Dijon à Beaune pour sa partie côte-d’orienne). La capitale bourguignonne se situe au cœur d’une campagne composée de deux rivières convergentes : le Suzon qui la traverse du nord au sud et l’Ouche au sud de la ville ; à l’ouest s’étend la « côte » de vignobles qui donne son nom au département. Elle se situe à 310 kilomètres au sud-est de Paris, 190 au nord-ouest de Genève et 190 au nord de Lyon.

Devenue depuis la fin du XIXe siècle l’un des plus grands centres ferroviaires du pays (ligne Paris-Lyon-Marseille, bifurcations vers Besançon, Belfort, Nancy, la Suisse, l’Italie (par le Mont-Cenis et le Simplon), elle est aujourd’hui desservie par un des principaux nœuds autoroutiers français aux croisements des autoroutes A6, A31, A36 et A39.

« Dijon prend naissance dans la plaine alluviale du Suzon, creusée dans les argiles tertiaires de la « Plaine » qui s’étend largement à l’est », suivant le cours de la Saône. La plaine est en effet un fossé tectonique situé à une vingtaine de kilomètres de Dijon, remblayé par les marnes et les argiles oligocènes atteignant une hauteur géologique de 100 mètres à Dijon

 

 

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Transports en commun

Un bus du réseau Divia (Citaro G II GNV caréné sur la ligne 6).

La ville se dotera d’ici 2012, d’un réseau de tramway en site propre. Le réseau sera constitué de deux lignes avec un tronc commun entre la gare et la place de la République.

Il s’agit d’un retour à un mode de déplacement collectif pour lequel Dijon était à la pointe. En effet les premiers projets de tramways à Dijon remontent à 1876, gérés par la Compagnie des tramways de Dijon. Le réseau comptait en 1911 cinq lignes et en 1950, il était couplé par des trolleybus. Les bus sont apparus en 1966. Au début des années 1970 fut créée la STRD, devenue Divia en 2004. Le réseau de bus « Divia » comporte 28 lignes intercommunales en service de 5 h 30 à 20 h 30 et 7 lignes de soirées de 20 h 30 à 0 h 30 ainsi que 15 lignes scolaires « Bus Class’ ». La fréquentation était de 37,3 millions de voyages en 2008 (+6,6% par rapport à 2007) soit 148 voyages par habitant et par an contre une moyenne de 115 pour des villes similaires.

En outre, il existe un service de navette gratuite en centre-ville (« Diviaciti ») avec une fréquentation supérieure à 100 000 voyages par mois, ainsi qu’un service de vélos en libre accès, baptisé « Velodi », dont l’opérateur est Clear Channel Communications, sur le modèle des services similaires parisiens et lyonnais. Lancé le 29 février 2008, il compte 400 vélos répartis dans 40 stations. Des extensions pourraient voir le jour sur Longvic et Chenôve au sud de Dijon.

Préhistoire 

Il n’y eut jamais de véritables travaux de fouilles archéologiques. Aucun document néolithique n’existe alors que la période protohistorique a surtout été l’objet d’investigation à la périphérie de la ville. Un silo dans l’actuel quartier des Grésilles, du mobilier de l’âge du Bronze près du quartier des Bourroches ont été retrouvés. Quelques menus objets domestiques, fragment d’assiette décoré d’ornements géométriques incisés de l’époque hallstatienne et une pince à épiler de l’époque de La Tène III, ont été mis au jour en plein centre ville (rue du Tillot et rue du Château). Deux ouvrages compilent les découvertes antérieures au début du XXe siècle : le Recueil d’Esperandieu (1911) et les Inscriptions antiques de la Côte-d’Or de Pierre Lejay (1889).

Les premières traces d’habitat remonteraient au Néolithique (site des Lentillières). La vallée aurait en effet été investie bien avant l’époque gallo-romaine. La confluence des routes dans une vallée fertile, irriguée par le Suzon et l’Ouche, permet le développement d’un petit village.

Le Dijon médiéval 

Au Ve siècle, Dijon devient le séjour des évêques de Langres, après la mise à sac de la cité en 407, et ce durant quatre siècles. Leur influence permit l’édification d’édifices religieux et notamment d’un groupe cathédral composé de trois bâtiments : Saint-Étienne, Sainte-Marie et Saint-Vincent. Deux basiliques furent ensuite élevées dès le XIe siècle par saint Urbain (actuel Saint-Jean) notamment.

Dijon fut ensuite occupé par les Burgondes qui furent défaits par Clovis en 500 ou 501. Les Arabes l’envahissent en 725 alors que les Normands n’y parvinnent pas en 887. C’est à cette époque qu’apparaissent les premiers comtes de Dijon, Aimar, Eliran, Raoul issus de la maison robertienne. En 1002, l’abbé Guillaume de Volpiano entreprend de reconstruire l’abbatiale Saint-Bénigne et les bâtiments monastiques annexes (actuel Musée archéologique de Dijon). Il fait élever dans l’abbaye une rotonde abritant le tombeau de l’évangélisateur de la Bourgogne, saint Bénigne, qui suscite un pèlerinage important. Il n’en reste aujourd’hui que l’étage inférieur, dit crypte de Saint-Bénigne.

Au début du XIe siècle, Dijon est composé d’une ville forte enclose de murs gallo-romains, restes de l’ancien castrum, et d’un bourg s’étendant jusqu’à l’abbaye Saint-Bénigne. Autour, des petits hameaux, Dompierre, Trimolois, Charencey, Bussy et Prouhaut, disparus depuis, ceinturent la ville. Les ducs de Dijon règnent alors sur la région. En 1015, le roi Robert Ier essaye de conquérir le Dijonnais : il s’attaque d’abord au village de Mirebeau-sur-Bèze et sa région puis vient mettre le siège devant le castrum de Dijon. Mais devant la vigoureuse résistance de l’évêque de Langres, Brunon de Roucy, soutenu par l’abbé de Cluny et le comte de la ville, il renonce à donner l’assaut. Dès l’année suivante, la mort de l’évêque lui permet de négocier avec son successeur, Lambert de Vignory, la cession du comté de Dijon au roi de France, en 1016. La ville rejoint le duché de Bourgogne et en devient la capitale. Dès 1017 le roi Robert vint à Dijon y affirmer ses droits et annonça la nomination de son fils cadet Henri, âgé de 9 ans, à la dignité de duc de Bourgogne. En 1026, le fils aîné du roi meurt et Henri devient l’héritier de la couronne royale. Roi à la mort de son père en 1031 il entre en lutte contre son frère Robert qu’il finit par vaincre. Il lui pardonne alors son insoumission et lui donne en apanage Dijon et le duché de Bourgogne en 1034. L’arrivée du duc Robert Ier, dit le « Vieux », installe durablement la famille des Capétiens à Dijon où elle va régner sans discontinuité pendant trois siècles.

Le 28 juin 1137, un grand incendie réduit Dijon en cendres. Les ducs reconstruisent alors une enceinte beaucoup plus large que la précédente, qui abritera la cité jusqu’au XVIIIe siècle. À la fin du XIIe siècle et au XIIIe siècle, Dijon s’orne de monuments de valeur : la Sainte-Chapelle, l’hôpital du Saint-Esprit, l’église Notre-Dame, etc. Auprès de chaque porte se développent de petits bourgs même si la ville ne grossit jamais plus que les limites de son enceinte. Les ducs de Dijon possèdent un château (actuelle mairie de Dijon) et y exercent avant tout un pouvoir de justice. En 1183 le duc Hugues III permet la rédaction d’une charte de commune, conservée aux Archives municipales qui permet l’entraide entre le duc et les habitants. Grâce à cette charte, qui fut beaucoup copiée dans d’autres villes de Bourgogne, les ducs s’enrichirent.

La Sainte-Chapelle dut son édification à un vœu fait par le duc Hugues III. Pris dans une tempête alors qu’il se rendait en Terre Sainte, il fit la promesse de construire près de son palais une église dédiée à la Vierge et à saint Jean l’Évangéliste. La construction commença dès 1172. Elle possédait un chœur à déambulatoire, achevé dès 1196. La triple nef fut élevée au XIIIe siècle dans le style gothique bourguignon. Les tours de la façade furent élevées de 1495 à 1515. Sa flèche s’élevait à plus de cinquante mètres. La dédicace n’eut lieu qu’en 1500. À la Révolution, les statues furent transférées, mutilées ou détruites. Jugée insignifiante par son architecture et d’un entretien trop coûteux, elle fut détruite en 1802.

 

 

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Dijon et le duché de Bourgogne 

Dijon connaît une période brillante sous les quatre ducs Valois de Bourgogne, qui règnent de 1363 à 1477. Elle est la capitale du duché de Bourgogne, ensemble d’États qui s’étendent jusqu’aux Pays-Bas. Centré sur ce duché, l’État bourguignon s’étend alors, pendant plus d’un siècle (1363-1477), par héritages et mariages jusqu’en Picardie, Champagne, Pays-Bas bourguignons, Belgique, Germanie, duché de Luxembourg, Alsace, comté de Flandre et Suisse.

Le duc Philippe le Hardi (1364-1404) est le premier duc de la dynastie des Valois et prend possession de Dijon, sur ordre du roi, en 1363. Il fonde à Dijon sa nécropole dynastique, la chartreuse de Champmol, dont il fait un foyer d’art. Jean Ier sans Peur (1404-1419) lui succède. Le duc Philippe III le Bon (1419-1467) reconstruit l’hôtel ducal et institue en 1432 la chapelle de son palais comme siège de l’ordre de la Toison d’or. Pourtant, Dijon n’est pas une ville populeuse ; encore rurale et en raison des épidémies elle ne compte que 13 000 habitants en 1474. Le duc Charles le Téméraire (1467-1477) qui ne vit pas à Dijon échoue dans sa lutte contre le roi de France et meurt à la bataille de Nancy contre le duc de Lorraine René II de Lorraine, allié à Louis XI. Le puissant État bourguignon s’effondre alors, permettant à Louis XI d’annexer le duché le 1er février 1477.

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Le duc de Bourgogne Charles le Téméraire au XVe siècle.

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La Bible Entête

Posté par othoharmonie le 24 septembre 2010

Titres : 

La Bible Entête 

Auteur : 

André CHOURAQUI  

 

                                                                  LA BIBLE ENTETE 

                                                                                          (La Genèse) 

 

 

 

Traduit Et Commentée Par André Chouraqui : La Bible - Entête (La Genèse) - Livre

  

 

L’oeuvre est composée comme une symphonie. L’auteur débute par le thème le plus général qui se puisse concevoir : la création de l’univers. De là il passe à celle de l’humanité, au récit de sa chute que suit le premier assassinat, le meurtre d’Èbèl (Abel) par son frère Caïn (Caïn). Puis vient le déluge, après lequel l’humanité prend un nouveau départ. Abrahâm (Abraham), descendant de Noah (Noé), est un nouvel Adâm autour de qui s’articule l’histoire d’un peuple. Ainsi la symphonie traite-t-elle de thèmes de plus en plus restreints. Le récit continue en maniant les genres avec maîtrise : les dialogues de IHVH-Adonaï et d’Abrahâm, le pacte et la promesse, la rencontre de Malki-Sèdèq (Melchisédech) à Shalèm (Jérusalem), l’épisode savoureux de l’annonciation d’Is’hac (Isaac), le bannissement d’Ishma‘él (Ismaël), et enfin l’un des sommets de la littérature biblique : le récit du sacrifice offert par Abrahâm (ch. 22).

Les histoires de Ia‘acob (Jacob) et de Iosseph (Joseph) terminent allégrement le livre sur le thème de la réconciliation et du salut d’Israël et des nations, la promesse faite aux Hébreux du don de leur pays étant confirmée.

La guerre des rois, rapportée au ch. 14, est un texte très ancien, que certains supposent avoir été écrit en akkadien ou en cananéen, puis traduit en hébreu, et dont plusieurs protagonistes sont difficiles à identifier.

La tradition judéo-chrétienne attribue la paternité de ce volume, comme d’ailleurs de tout le Pentateuque (la Tora), à Moshè (Moïse). Cependant, dès le IIe siècle de notre ère, des voix s’élèvent qui mettent en cause cette attribution. Au XIIe siècle, Abrahâm ibn ‘Ezra (Espagne) fait remarquer que plusieurs passages du Pentateuque, notamment le verset 9 du chapitre 31 du Deutéronome, ne pouvaient se concilier avec la thèse traditionnelle. Il fallut cependant attendre les premiers essais de la critique biblique, au XVIIe siècle, pour voir le problème sérieusement soulevé.

C’est alors que Baruch Spinoza et Richard Simon ouvrent la voie à un courant de pensée qui aboutira à la théorie documentaire, adoptée aujourd’hui par la quasi-unanimité des exégètes : le Pentateuque n’est pas l’oeuvre d’un seul homme, Moshè ; c’est une collection d’écrits rédigés, au cours des siècles, par de nombreux écrivains. Les exégètes fondent leurs conclusions sur des anachronismes, sur l’alternance dans le texte de noms différents pour désigner Dieu, sur la diversité du vocabulaire, du style, et même de l’inspiration. Auprès d’un premier document dit yahwiste (J), il existerait une source élohiste (E), un document sacerdotal (P), et enfin une tradition deutéronomiste (D), tout entière contenue dans le dernier livre du Pentateuque.

Si le morcellement de l’ouvrage semble indéniable quant à son origine, le texte, cependant, résiste à ce traitement de la critique. Il garde une incontestable unité et ne cesse de s’imposer à nous, tant par son contenu que par son style et sa composition.

CLIC ICI  et lis : L’intégralité de la Bible Chouraqui en ligne 

 

 

 

L’auteur :

La Bible Entête dans C et D chouraqui

 

 

 

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Ma vie parmi les ombres

Posté par othoharmonie le 24 septembre 2010

Titres

Ma vie parmi les ombres 

Auteur

Richard MILLET  

 

 

                                                   MA VIE PARMI LES OMBRES 

 

 

 

Ma vie parmi les ombres

  

 

Il a souvent été reproché à Richard Millet la violence de ses écrits, la noirceur de ses propos. Le cadre romanesque de prédilection de l’écrivain est le petit village de Siom, encerclé par les hautes terres corréziennes. Cette terre natale, mais aussi ses habitants, il en parle avec un phrasé émaillé de patois, cette langue terreuse et évanescente, seul vestige d’une civilisation au seuil de la mort ; car c’est bien de la fin d’un monde dont parle l’écrivain corrézien : la mort du monde des campagnes, celui qu’il a connu et qui l’a élevé

Ma vie parmi les ombres s’inscrit dans la droite lignée des récits corréziens. L’écrivain s’intéresse ici à sa propre famille, les Bugeaud, dont il est le dernier représentant. Le récit est construit sur une conversation entre deux amants d’aujourd’hui. Pascal, un écrivain de cinquante ans (dont on reconnaîtra parfois les traits dissimulés de Richard Millet), raconte à sa jeune maîtresse, Marina, elle-même d’origine corrézienne, sa jeunesse à Siom. Tous deux sont nus, enlacés, seuls dans une chambre parisienne. Le temps semble s’arrêter. Seuls comptent l’échange, la parole, qui vont redonner corps à un passé révolu. Cette conversation permet aux deux amants de replonger dans leurs origines corréziennes, dans ce monde souterrain et moribond dont ils sont issus. Ici, point de tentative de cristalliser ce pays, de glorifier les humbles qui l’ont habité. Il s’agit simplement de transmettre le souvenir d’une génération perdue et de lui rendre hommage. 

À travers ce parcours singulier, c’est toute la vie de ce petit village qui est esquissée. Une vie rythmée par des rites et des habitudes ancestrales, une vie sans espoir et sans illusions. Quelques grandes figures jaillissent de cette longue chronique villageoise. Ce sont celles des femmes qui ont élevé Pascal. Il y a tout d’abord Marie Bugeaud. La vie de Marie, veuve éternelle, est presque entièrement consacrée au culte de la mémoire de son défunt mari, mort à la guerre alors qu’ils étaient jeunes mariés. Et puis il y a Jeanne, sa sœur, qui vit au côté d’un homme étonnamment vide. Ces deux femmes se sont occupées du jeune Pascal avec un amour puissant et protecteur sous l’œil aimant de la grand-mère, Louise. Une quatrième figure vient hanter les pages de ce livre. C’est celle de la mère, présence envoûtante et fantomatique. Une mère toujours fuyante et froide, belle et impressionnante, que la carrière a menée loin des terres corréziennes, loin de son enfant. Face à ces grandes figures féminines, point d’homme pour élever ce jeune enfant. À l’image de la mère, le père est absent et mystérieux. Qui est-il, que fait-il, est-il toujours vivant ? Est-ce cet homme infirme aperçu un jour à Vichy au côté de sa mère ? Pascal est l’enfant du mystère et du secret, enfant à peine désiré, à peine aimé. Ses journées sont consacrées au travail de la terre, aux besognes quotidiennes mais aussi, parfois, à la lecture des grandes œuvres de la littérature. C’est grâce à ses rares et précieux moments de lecture et de découverte, halo de paix et de culture dans ce monde froid et rude, que l’enfant tombe amoureux de la langue et des mots. Des mots si puissants qu’ils peuvent redonner vie à des êtres fascinants et sans avenir. 

Dans Ma vie parmi les ombres, Richard Millet nous prouve encore une fois toute l’étendue de son talent. Moins excessif, moins violent que Lauve le Pur ou L’Amour des trois sœurs Piale, Ma vie parmi les ombres est un échange, une longue conversation amoureuse d’où jaillissent les souvenirs de l’écrivain. Cette oscillation permanente entre un passé froid, mortifère et un présent comme érotisé, où des amants enlacés parlent et échangent, éclaire d’une pâle lumière d’espoir l’univers si tragique de l’écrivain. Le temps du récit, les mots, semblent arriver à rivaliser avec la mort et l’oubli. On retrouve dans ce dernier opus du cycle corrézien tous les thèmes chers à Millet : le sentiment de l’éphémère, l’enfermement, l’abandon… L’auteur les tisse et les entremêle avec virtuosité, donnant relief et sinuosité au récit. Encore une fois, le lecteur, fasciné et effrayé par cet univers si sombre, si sobre, vit une expérience littéraire inoubliable, dont il ne peut ressortir indemne. N’est-ce pas là l’apanage de tout chef-d’œuvre ?

 

 

L’auteur :

Ma vie parmi les ombres dans L à  N millet

 

 

 

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Les arcanes du chaos

Posté par othoharmonie le 24 septembre 2010

Titres :  Les Arcanes du Chaos 
Auteur :  Maxime CHATTAM  

 

 

                                           LES ARCANES DU CHAOS  

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De quoi ça parle

Les Arcanes du Chaos est un roman à suspense de Maxime Chattam publié en 2006 faisant partie du Cycle de l’Homme.

Les Arcanes du Chaos donne un aspect troublant du monde où tout n’est que manipulation, argent et pouvoir, illustré par d’étranges mais authentiques exemples qui mènent à se poser des questions.

Première Partie : Le Monde des Ombres (chapitres 1 – 20) Deuxième Partie : Le Royaume des Théories (chapitres 21 – 62) 

Troisième Partie : L’Empire du Chaos (chapitres 63 – 85) 

Pour écrire son roman, Chattam s’est inspiré des théories du complot, particulièrement vivaces après les attentats du 11 septembre contre les tours du World Trade Center. Le roman commence par des événements fantastiques, mais au fur et à mesure de l’intrigue, on s’aperçoit que tout a une explication rationnelle.

L’écrivain s’appuie sur beaucoup d’exemples tirés de la réalité. Certains passages peuvent d’ailleurs paraître longs et nuire à la fluidité de l’intrigue.

Maxime Chattam entrecoupe le roman d’extraits du blog de Kamel Nasir. Ce blog est écrit après les événements du 11 septembre, alors que l’intrigue se déroule avant, et qu’elle se termine au moment de ces attentats. Le blog de Nasir permet aussi à l’écrivain de s’affranchir de l’intrigue romancière pour donner au lecteur des éléments de réflexion directement puisés de la réalité. Les extraits du blog permettent de donner une perspective à l’histoire elle-même.

Les premières lignes

C’était un jeudi. Yael se délassait dans un bain chaud, la mousse crissait mollement, tandis que ses deux mains crevaient la surface onctueuse pour tenir magazine et stylo. La jeune femme avait ramené ses cheveux bouclés au dessus de la nuque, formant un essaim de serpentins bruns.

 Pour une fois, le test de Cosmo n’était pas complétement mièvre. Pas intelligent pour autant ! « Faites votre bilan du moment en 10 questions. » Tout un programme. Yael décida d’y répondre avec la plus grande franchise, entourant les réponses qui lui correspondaient. 

1.    En amour, vous êtes plutôt du genre


A. Célibataire de longue haleine. 

B. Adepte forcée du
speed-dating


C. Pour les liaisons qui durent… un temps ! 
 


D. Un pour le mercredi, un pour le samedi, et un autre le dimanche s’il est mignon. 


E. Casée et rangée. 

Yael hésita. Elle avait eu sa période C, et oscillait à présent entre le A et le B : un amant occasionnel entrecoupé de longues périodes de célibat. 

Présentation de l’éditeur

 Quand les ombres envahissent ses miroirs, la vie de Yael bascule dans le cauchemar, la violence, la confusion. Pourquoi ces étranges messages l’invitant à regarder de l’autre côté du monde ? Qui sont ces hommes qui tentent de la détruire, et pourquoi ? 

Esotérisme, codes secrets, sectes millénaires, complots… 

Des entrailles de Paris aux tours de Manhattan, Chattam entraîne le lecteur dans une terrifiante course contre la montre, contre la mort. 

Après le succès de sa trilogie, Maxime Chattam nous entraîne dans une terrifiante course contre la montre, contre la mort, au-dela du mirroir. 

Toutes les victimes se croyaient à l’abri du chaos. Exactement comme vous !    

Maxime CHATTAM maxime_chattam dans C et D

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La pensée cause la maladie

Posté par othoharmonie le 23 septembre 2010

La pensée cause la maladie dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérir – Le principe universel de la guérison. (Dr.Bailes) 

(si vous avez des difficultés, alors pour mieux comprendre les pouvoirs de votre esprit, reportez-vous S.V.P à mon second blog :      http://channelconscience.unblog.fr/tag/pensee/    et   catégorie : Allan Kardec

 

 

tube ailes

 

-         2 – COMMENT LA PENSEE CAUSE LA MALADIE 

  

 

LHOMME vit sa conscience intérieure, non au-dehors dans le monde extérieur. Il ignore qu’il se heurte contre un obstacle matériel jusqu’à ce que le message ait été porté par ses nerfs en sa conscience. Sous l’influence d’un anesthésique annihilant sa conscience, il ne sent pas la douleur. En certains états où son esprit est dirigé dans un sens opposé, il n’éprouve aucune souffrance ; des femmes sous influence hypnotique furent menées à travers l’accouchement sans ressentir le moindre malaise. Les choses que l’homme souffre, il les souffre en sa conscience quand ses nerfs en transmettent la sensation. 

 

 

 

tube ailes

1.     Nos états mentaux sont responsables de la maladie 

 

Comprenons la vraie relation entre l’esprit et le corps pour voir pourquoi nous affirmons que les états mentaux sont responsables de la maladie. L’homme n’est pas un corps contenant l’esprit, mais esprit opérant à travers un corps. C’est une vérité fondamentale qui doit être acceptée, pour que se réalise une guérison mentale et spirituelle. Le corps lui-même est le résultat de l’activité de l’esprit, il est moulé par l’esprit et transformé par l’esprit

 

Des changements physiques d’une nature superficielle peuvent être observés à la suite d’états mentaux qui ont changé. Il paraît à peine nécessaire de mentionner le fait qu’un sentiment subit de honte fait rougir le visage et que la peur le fait pâlir. Le savant explique cela en disant que la dilatation et la contraction des vaisseaux sanguins sont sous le contrôle des nerfs vasomoteurs, eux-mêmes sous l’influence émotionnelle. Les expériences du docteur Canon, de Harvard, démontrent que des sentiments d’amour consciemment cultivés font briller l’œil, améliorent la circulation, la digestion et provoquent un fonctionnement harmonieux du système d’élimination, alors que les émotions opposées de peur, d’envie et de haine affectent le corps entier d’une façon opposée. 

 

Le Docteur Abraham Myerson , de Boston, mit en évidence que les ulcères d’estomac, l’asthme, les maladies de la peau et les troubles cardiaques sont fréquemment causés par des bouleversements mentaux qui se prolongent un certain temps. Des états émotifs contraires réduisent la production des globules rouges du sang, menant ainsi à l’anémie, et une grande partie des indigestions prétendues nerveuses sont des indigestions émotives. 

 

C’est une chose de retracer ces états physiques consécutifs à des causes mentales, s’en est une autre lorsque se pose la question ; « des conditions physiques peuvent-elles être corrigées lorsqu’on corrige l’état mental ? ». Le docteur Myerson a vu beaucoup de cas d’éruptions de la face et du corps s’améliorer rapidement par un traitement mental approprié, après s’être montré totalement incapable de répondre à un traitement médicamenteux contre l’infection. Le docteur Léon J.Saul, de Chicago, (Résumé par: Walter Briehl Walter Briehl) affirme qu’une frustration prolongée ou sévère de désirs d’amour, d’attention ou de repos peut être un facteur important des rhumes chez certaines personnes. L’une de ses enquêtes révéla que dans un groupe d’hommes et de femmes qui souffraient fréquemment de coryzas, tous les rhumes coïncidaient avec des états de privation s’opposant à de fortes exigences, le plus souvent subconscients et plus ou moins accompagnés de rage réprimée

 

Aux désordres mentionnés ci-dessus s’ajoutent les observations du docteur Julius Haiman qui enregistre des sinusites, des polypes du nez, des colites, des désordres nerveux et beaucoup d’autres troubles physiques ayant une origine mentale. 

 

Récemment, le Physicien de New York rapportait que, sous l’influence de pensées négatives le système nerveux autonome cause un flux excessif de sécrétions aqueuses s’épanchant dans les tissus et les membranes. Opérations, médecines et régimes enlèveront l’excédent des liquides mais, par habitude, l’esprit fait un nouveau travail de remplissage et le plus souvent il n’y a pas de guérison permanente jusqu’à ce que l’état mental et émotif soit transformé en un état de foi

 

 

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2.     Le corps pense 

 

Comment se peut-il que l’esprit ait un tel pouvoir d’influencer le corps, allant même jusqu’à développer de réels états de maladie ? C’est parce que l’homme pense non seulement avec son cerveau, mais avec son corps entier. Chaque minuscule cellule séparée est une étincelle infinitésimale de l’Intelligence. Il n’est pas un seul point dans l’univers entier qui ne soit habité par l’Intelligence, par conséquent, il n’est dans le corps pas un seul atome qui soit à aucun moment séparé de l’activité mentale. 

 

L’homme est tellement accoutumé à se représenter deux mondes – le physique et le mental – qu’il trouve difficile de concevoir les deux comme faisant Un. En réalité, le corps est intelligence condensée en une forme, comme elle-même est Esprit condensé en une forme. L’activité mentale ne peut pas être détachée de la manifestation physique, car la manifestation physique est une manifestation mentale. Dans un sens, ce que pense l’intelligence, le corps le pense ; ce que le corps pense se réalise. Tout état mental qui varie s’enregistre dans le corps, et lorsque l’esprit change, il s’opère dans le corps un changement correspondant, une réflexion exacte de la pensée modifiée

 

 

tube ailes

3.     Toute maladie est une pensée négative 

 

La maladie est quelque idée déformée ayant assumé la domination. Dans le sens le plus vrai, il n’est pas juste de dire que la maladie est « causée par «   l’esprit ; la déformation que nous appelons maladie est simplement la déformation de la pensée à l’état visible. Le problème est en premier lieu un problème de la pensée, et la solution de même. Le contrôle de la maladie est mental, parce que la maladie elle-même est mentale. De lui-même, le corps n’a aucun pouvoir d’engendrer la maladie ; il est simplement l’ombre projetée par l’esprit, et un esprit sain projettera une ombre qui sera un corps sain

 

Toute nouvelle cellule créée dans le corps est une pensée – soit négative, soit positive – devenue forme et substance. En des jours plus anciens on avait l’habitude de dire que les cellules étaient construites « sous l’influence » d’une pensée négative ou positive. En réalité, les cellules sont la pensée elle-même. Des pensées saines signifient des cellules saines, des pensées malades signifient des cellules malades. Il est nécessaire d’être convaincu de cela si l’on veut produire un état physique de santé florissante. 

 

Si nous considérons que les cellules du corps sont créées avec la rapidité de l’éclair, nous pouvons comprendre comment elles sont une pensée qui a pris forme. Par exemple, les globules rouges du sang sont formés dans la proportion approximative de 150 000 par seconde, et normalement meurent dans la même proportion. Multiplier cela par les différents autres tissus du corps, et nous verrons aisément que cet organisme que nous nommons homme est une dynamo actionnée par l’énergie de la pensée, l’intelligence prenant forme inlassablement. Cela établi, ce n’est pas aller chercher trop loin que d’affirmer que le contrôle de la maladie se trouve dans le contrôle de la pensée et que, pour changer un état physique, il faut changer la pensée. Comment, alors, changer le caractère du flux de la conscience ? 

 

Nous y arriverons dans un chapitre suivant ; il est suffisant de répéter, à cette phase de notre exposé, que la technique ne consiste pas en force de volonté, en « concentration » ou en la répétition de la formule : « de jour en jour, à tous les points de vue, je vais de mieux en mieux« . Elle consiste en l’unification de nous-mêmes avec l’Intelligence universelle qui, de son propre chef, n’a jamais une pensée de maladie et, par conséquent, ne peut jamais prendre la forme d’une maladie ; et il existe une technique très précise à l’aide de laquelle le lecteur peut se diriger lui-même vers cette unification. La maladie est l’évidence et le signe extérieur d’une perturbation intérieure. La santé est le signe extérieur d’un esprit intégré en l’Intelligence universelle

 

L’évidence d’une pensée qui a pris forme se voit dans le tour que joue à son camarade en train de réciter sur l’estrade l’écolier qui suce un bonbon en face de lui. Le flux de salive qui en résulte chez le camarades est purement mental en sa cause. 

 

Le docteur Arthur L. Bloomfield (1), de Stanfort, a fait un pas de plus. En des essais entourés de toutes les garanties nécessaires, il se servait de douze personnes pour déterminer l’effet de l’action mentale sur leurs activités digestives. Ces expériences n’avaient pas le moindre rapport avec le flux de salive dans la bouche,  fait bien démontré. Elles avaient comme objet la détermination du changement quantitatif, à supposer qu’il s’en produisit un, dans le flux des sucs digestifs de l’estomac. Afin de s’assurer que seul le facteur mental causait le changement, on ne permettait aux sujets ni de voir, ni de sentir la nourriture. Ils étaient placés dans une chambre et on leur demandait de parler de leurs mets favoris et de leur  préparation. Les sucs digestifs de l’estomac étaient recueillis et mesurés avant et après les expériences. Chez deux d’entre ces sujets, une conversation de dix minutes portant sur des plats délicieux avait augmenté les fluides digestifs de 600 % ; chez d’autres, la sécrétion accrue se classait entre 100 % et des proportions moindres. 

 

Cette expérience démontre qu’il n’est pas nécessaire de penser à la manifestation particulière pour l’obtenir. Certains objecteront qu’ils « ne pensaient pas au diabète » mais qu’ils en furent néanmoins atteints. Les sujets de l’expérience citée ne furent pas priés de penser au flux des sucs digestifs, mais seulement invités à penser à des mets délicieux et à en parler. Consciemment, ils pensèrent à une nourriture savoureuse, subconsciemment ils produisirent un effet différent, celui de l’augmentation du flux digestif, chose proche de celle à laquelle ils pensaient, mais non exactement la même. 

 

Les connaissances personnelles de ces sujets concernant le processus de la digestion étaient d’ailleurs très limitées. Ils ne savaient pas qu’à l’idée de la nourriture, les fluides digestifs se mettent à couler, et même ne connaissaient pas grand-chose de l’existence de tels fluides. Mais l’Intelligence universelle connaît le processus entier, car elle en est l’auteur, et édifie les structures nécessaires à son exécution dans tous fœtus avant la naissance. Comme l’intelligence subjective individuelle qui gouverne le processus digestif est en réalité l’Intelligence subjective universelle, il est évident qu’il n’y a qu’une seule Intelligence qui se manifeste en certaines fonctions sous l’influence de notre pensée consciente, et indépendamment de notre pensée consciente en d’autres fonctions. Cette Intelligence connaît la connexion entre nos pensées portant sur la nourriture et le flux du fluide digestif, et se met à créer conformément à cette connaissance. 

 

 

 

tube ailes

 

(1)   A lire :  http://histsoc.stanford.edu/pdfmem/BloomfieldA.pdf 

Ou encore

http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://histsoc.stanford.edu/pdfmem/BloomfieldA.pdf&ei=8tCVTNeyENOQjAem7Km9BQ&sa=X&oi=translate&ct=result&resnum=1&ved=0CB8Q7gEwAA&prev=/search%3Fq%3DArthur%2BL.%2BBloomfield%26hl%3Dfr%26sa%3DG%26rls%3Dcom.microsoft:fr:IE-SearchBox%26rlz%3D1I7ADFA_fr%26prmd%3Do 

coeur dans L'Esprit  Guérisseur

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La Loi de la Pensée

Posté par othoharmonie le 23 septembre 2010

 

 
La Loi de la Pensée dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérir – Le principe universel de la guérison. (Dr.Bailes) 

(si vous avez des difficultés, alors pour mieux comprendre les pouvoirs de votre esprit, reportez-vous S.V.P à mon second blog :      http://channelconscience.unblog.fr/tag/pensee/    et   catégorie : Allan Kardec

 

 

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4.     Rien n’existe que ce que nous avons demandé 

 

Cela nous amène à une autre étape dans notre recherche de la technique infaillible de la guérison par la pensée. Rien n’est jamais en notre vie que ce que nous avons demandé. Peut-être devrions-nous formuler cela un peu différemment, bien que le sens soit le même lorsqu’on pénètre assez profondément sous la surface. Nous pourrions dire que rien n’est jamais entré dans notre vie que ce que « nous avons attiré ». Réconcilions ces deux manières d’énoncer la même chose. 

 

Il y a quelque temps, un homme souffrant d’arthrite très grave vint me voir. En réponse à une remarque de ma part, il éleva l’objection « qu’il n’avait jamais pensé à l’arthrite, mais qu’il l’avait eue tout de même« . La discussion qui s’ensuivit révéla le fait que la sœur de sa femme vivait à quelques kilomètres, dans la même ville. Il détestait sa belle-sœur et son mari, mais sa femme insistait pour qu’ils se rendissent chez eux tous les dimanches après-midi. Il avait essayé tous les subterfuges pour s’échapper à ces visites hebdomadaires, mais elles avaient néanmoins continué pendant des années, son épouse étant dotée d’une volonté extrêmement forte. Ce conflit intérieur et sa rage cachée, additionnés de son désir très fort de trouver un moyen qui empêchât ces visites, devinrent la pensée type dominante jusqu’à devenir un facteur dirigeant. 

 

Environ douze ans plus tard, il commença à développer de l’arthrite. Ce fut une évolution très graduelle et, finalement, il ne put plus faire ses promenades hebdomadaires. Ils n’avaient pas de voiture et par conséquent le malade reste à la maison. Il se soumit à tous les traitements possibles, mais l’arthrite persistait toujours. 

 

On lui fit remarquer la possibilité que son expérience mentale pourrait bien être en connexion directe avec son état physique et que son désir inavoué de ne pas rendre visite à sa belle-sœur pourrait bien avoir été absorbé par l’Intelligence universelle, qu’ainsi il avait attiré lui-même cet état physique – et que même il l’avait demandé. On lui montrait comment il pouvait s’adapter à la situation de manière à éloigner de lui tout sentiment d’irritation la concernant, et en deux mois, l’arthrite avait disparue. 

 

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5.     La loi de la vie est impersonnelle 

 

Quelques-uns pourraient remarquer : « Je détesterais avoir un Dieu donnant de l’arthrite à un homme simplement parce que celui-ci ne voulait pas se rendre chez une parente dont il avait horreur« . C’est une conclusion hâtive et fausse. Nous avons précédemment fait ressortir le fait que l’Intelligence universelle est entièrement neutre ; elle n’a pas de désir personnel et opère selon une Loi impersonnelle. Connaissant la connexion entre articulations enflées et incapacité de marcher, elle est poussée à l’action par notre désir exprimé ou inexprimé, si ce désir est assez fort et assez précis pour devenir dominant. 

 

L’Esprit est personnel, mais la Loi est impersonnelle. Elle est la Loi de la Pensée, juste comme il y a une loi de l’électricité. Cette loi de l’électricité, impassiblement et impersonnellement, tuera la personne qui saisira un fil dénudé en charge aussi bien qu’elle fera griller son pain, parce qu’elle ne sait rien d’autre qu’opérer selon la loi de son activité propre. 

 

Cela demande de la réflexion et un examen approfondi pour séparer en ses divers phases l’activité de l’Universel – pour se rendre compte que l’Intelligence divine opère strictement selon la Loi de son Etre, même lorsque notre ignorance nous fait attirer la souffrance sur nous-mêmes par le fonctionnement inexorable de cette Loi. Comme nous l’avons déjà fait, l’homme est sur un sentier de découverte de lui-même. C’est son affaire d’apprendre à connaître l’univers dans lequel il vit, et il souffrira jusqu’à ce qu’il l’ait appris. L’enfant subira les égratignures du chat jusqu’à ce qu’il apprenne qu’il ne doit pas lui tirer la queue. La même loi de gravitation bienfaisante qui empêche l’homme de s’envoler de cette planète dans l’espace, le tuera s’il se penche trop en dehors d’une fenêtre élevée. 

 

La Loi semble toujours cruelle à qui ne la comprend pas et, par conséquent, se heurte à elle. Toutes les lois sont nos maîtresses aussi longtemps que nous ne les comprenons pas ; lorsque nous les comprenons, elles deviennent nos servantes. 

 

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6.     Le pouvoir de choisir 

 

Juste comme celui qui saisit le fil électrique dénudé demande ou attire à son insu la mort parce qu’il fait la chose qui, dans un univers régi par la Loi, ne peut lui apporter rien d’autre que la mort, celui qui se laisse saturer par des pensées destructives attire des manifestations physiques destructives. D’autre part, connaissant le caractère strictement impersonnel de la Loi d’Intelligence, il peut se tourner vers une coopération avec elle du côté constructif et commencer à expérimenter ce côté bienfaisant. Dieu n’est pas injuste. Il dit simplement : « J’ai placé devant vous la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction, choisissez ! » En l’homme repose le pouvoir du choix qui peut refaire son monde personnel

 

Exactement la même Loi d’Intelligence qui rend un homme malade le guérira. La maladie n’est pas un châtiment du péché. Avec Dieu, il n’est point de châtiment.  La maladie est la conséquence d’une fausse compréhension et application de la Loi d’Intelligence, tout comme une canne à pêche brisée est le résultat d’une fausse compréhension et application des lois relatives à l’attraction, ou bien la chute d’un avion est la conséquence d’une application fausse des lois de l’aérodynamique  ou de la mécanique. L’élément personnel entre Dieu et l’homme n’intervient nullement dans le sens d’une condamnation ou d’une punition. De même, l’argument que Dieu est cruel de causer la maladie en tant qu’effet de frustrations est une façon de raisonner incorrecte. 

 

Car aussi sûrement que l’observation exacte des lois de l’aérodynamique soulèvera un homme dans les airs et le portera aisément à son lieu de destination, la Loi de l’Intelligence le soulèvera et le mènera à un niveau élevé de vie, libre de maladie et jouissant de l’existence lorsqu’il la comprendra. 

 

Si n’importe quelle loi pouvait être suspendue pour un moment, le chaos en résulterait. Les éléments composant la matière conflueraient et se sépareraient sans rime ni raison, l’univers se détruirait lui-même. Que nous aimions le faire ou non, il nous faut regarder en face le fait que nous vivons en un univers régi par la Loi invariable. Le bonheur résulte d’une juste adaptation à la Loi universelle, le malheur d’une adaptation défectueuse à cette Loi. 

 

Le progrès de l’humanité depuis la caverne jusqu’à l’appartement moderne est résulté de la découverte de la loi physique ayant été le besoin le plus pressant de l’homme, les siècles furent donc consacrés à le réaliser. L’homme apprit comment se servir de la Loi afin de pallier la chaleur et le froid des saisons, afin de s’assurer un approvisionnement complet et varié d’aliments, se vêtir convenablement et pourvoir à un déplacement plus rapide que celui que pouvaient fournir ses jambes. Par les sciences de la chimie et de la physique il fouille sans cesse la structure de la matière et, incontestablement, il découvrira des lois appartenant à la matière qui rendront la vie encore plus facile et plus confortable. 

 

 

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7.     La grande libération 

 

Mais l’homme est en premier lieu un penseur et ne pourra jamais se contenter d’un bien-être purement animal. A présent, la voix du penseur est entendue. Il a reconnu le fait que son monde mental est gouverné par la Loi aussi certainement que l’est son monde physique, et il fait des efforts sérieux pour découvrir la Loi mentale et s’en servir. De même qu’il trouvera à son grand plaisir qu’un emploi judicieux de la loi naturelle augmentait son bien-être physique, il découvre maintenant que l’emploi judicieux de la Loi mentale multiplie son bien-être mental et spirituel. Il y a loin de l’homme préhistorique grelottant dans son abri pendant les hivers glacés, à l’homme moderne dans son appartement chauffé électriquement et muni d’une aération bien conçue. Si l’on avait osé élever la voix en des temps préhistoriques pour hasarder la prédiction que le destin de l’homme était le confort et le luxe de la civilisation du XXIè siècle, on eût été hué tellement il est difficile pour une intelligence moyenne d’imaginer une liberté dont elle ne jouit pas sur le moment. Mais la maîtrise de la loi matérielle a mené l’homme à cette nouvelle liberté. 

 

La maitrise de la Loi d’Intelligence lui apportera la plus grande libération qu’il ait jamais connue. Les avantages physiques qu’il a acquis jusqu’à présent ne sont rien comparés à ceux qu’il est sur le point d’obtenir, ses recherches, fouillant de plus en plus profondément toutes les ramifications de la Loi mentale. Il extirpera la maladie, abolira la guerre et les oppressions de toutes sortes et trouvera en lui-même une paix et un bonheur qu’il n’a jamais connus ; il communiquera télépathiquement avec autrui aussi aisément qu’il le fait par des mots ; il verra des gens et des endroits éloignés comme s’ils étaient physiquement présents devant lui. Aux huées des sceptiques, incapables d’accepter quoi que ce soit sans qu’ils ne l’aient expérimenté, nous dirons volontiers ; « rappelez-vous l’homme des cavernes« . 

 

Bien que le genre humain considéré comme un tout ne sache pas encore jouir des avantages complets de la Loi mentale, des millions d’hommes trouvent, par l’emploi individuel de cette Loi, une maîtrise croissante de la vie s’appliquant aussi bien à la délivrance de la maladie qu’à leurs besoins financiers. L’indigène profondément ignorant du centre de l’Afrique peut ne pas croire qu’il existe un luxe pareil à celui dont jouissent des millions d’Occidentaux ; ce même luxe n’en est pas moins à la disposition de chacun de ces derniers, capables de l’acquérir. 

 

 

 

coeur dans L'Esprit  Guérisseur

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Guérison Spirituelle : des faits

Posté par othoharmonie le 23 septembre 2010

Guérison Spirituelle : des faits dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérir – Le principe universel de la guérison. (Dr.Bailes) 

(si vous avez des difficultés, alors pour mieux comprendre les pouvoirs de votre esprit, reportez-vous S.V.P à mon second blog :      http://channelconscience.unblog.fr/tag/pensee/    et   catégorie : Allan Kardec

 

 

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8.     La preuve par les faits 

 

Le monde a mis beaucoup de temps à s’apercevoir du fait que la Loi mentale renferme son bonheur bien plus que ne le fait la loi physique. Qui voudrait tenter de nier les merveilleux bienfaits découlant de la découverte des lois de la physique, de la chimie et autres sciences serait de bien mauvaise foi. Mais nous répétons que ces bienfaits pâlissent d’insignifiance en présence de ceux – gigantesques – de la science mentale. 

 

Un jour nouveau se lève, en réalité, le soleil est bien au-dessus de l’horizon. Depuis les premiers temps, il y eut toujours des guérisons spirituelles et mentales, ainsi que des guérisseurs spirituels et mentaux. Longtemps avant que Moïse élevât son serpent d’airain, des guérisons spirituelles et mentales furent relatées. Depuis lors, jamais un siècle n’a passé sans qu’aient été signalés des cas sporadiques de guérison souvent accomplis par des hommes qui n’étaient pas en premier lieu des guérisseurs, mais qui apportaient un message de vie spirituelle. Combien d’hommes et de femmes, auparavant maintenus en esclavage spirituel aussi bien qu’en détresse physique, vécurent le miracle d’obtenir une guérison physique instantanée dès lors que leur état mental fut transformé par ce que l’on appelait alors « conversion ». 

 

Le mouvement guérisseur a pris maintenant des proportions énormes et s’accroît par sauts et par bonds. Partant de guérisons isolées, en apparence accidentelles, il s’est développé en des institutions bien organisées partout dans le monde. La guérison spirituelle a depuis longtemps dépassé le point où l’on en faisait dédaigneusement mention comme d’un culte ; aujourd’hui rien qu’aux Etats-Unis elle est la méthode de guérison exclusive employée par plus de dix millions de personnes. Ses principes sont connus à présent, les raisons amenant des résultats sont connues, et les raisons d’insuccès apparent dans des cas isolés sont connues également. Les choses qui entravent la guérison sont connues et les attitudes mentales qui produisent la guérison sont cataloguées, codifiées, classifiées et systématisées. La guérison spirituelle et mentale est passée d’un culte à une science, le tout en l’espace d’un siècle. Chaque année voit de plus en plus de gens qui l’acceptent pour le bonheur de toute leur vie ; comme une boule de neige gigantesque, elle roule vers l’acceptation populaire. 

 

Comment a grandi cette nouvelle science de traiter la maladie ?

 

 Par une seule chose : elle a fait ses preuves elle-même par ses résultats. 

 

Considérons qu’elle implique un changement révolutionnaire de nos idées admises sur l’origine de la maladie. Elle transporte l’origine du monde physique où elle était établie depuis les premiers temps, dans le monde mental et spirituel. Elle fait appel au courage de s’abstenir de tout soulagement par des méthodes traditionnelles et de compter uniquement sur le pouvoir intangible de la pensée. Elle ne saurait être comparée au simple changement d’une croyance en l’allopathie en l’homéopathie, ni à un passage de la rhumatologie à l’ostéopathie. Elle exige un bond d’un bort à l’autre d’un large abîme béant ; toutefois, les rares pionniers qui risquèrent ce bond obtinrent des résultats contraignant les observateurs à réfléchir. 

 

Peu à peu, d’autres, avec une certaine précaution, firent leurs propres expériences et, à leur ravissement, trouvèrent qu’après tout il y avait là quelque chose. tout ce qui fait ses preuves gagnera des adhérents et ainsi, telle une lettre faisant chaîne, chaque nouvelle guérison amènera beaucoup d’autres adeptes à l’acceptation de cette vérité nouvellement découverte. 

 

C’est une ancienne vérité, bien que découverte il y a peu de temps seulement. Elle est aussi vieille que l’univers parce qu’elle est une vérité de base de l’univers. Lorsqu’on étudie l’univers matériel avec des yeux impartiaux, on est forcé de conclure qu’il doit avoir été formé par l’action de l’esprit, parce que la matière n’a aucun pouvoir de se créer elle-même. 

 

Cette grande vérité fondamentale – dont les guérisons isolées provoquées par elle à travers l’histoire ont attesté la présence – est pareille à un continent sous-marin dont les montagnes formeraient les îles dispersées à travers l’océan. Elle n’est nouvelle qu’en sa réaffirmation et sa présentation systématique. Vaguement et empiriquement connue avant, elle est à présent définie très exactement. Sans l’ombre d’un doute, nous savons que les conditions physiques ne sont que la réflexion d’états mentaux et peuvent être changées sans l’intervention d’aucun moyen matériel, simplement par la pensée transformée. 

 

 

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9.     Le réveil religieux 

 

Les différentes écoles de guérison mentale abordent le sujet sous des angles différents, mais toutes convergent vers ce point unique : la pensée transformée amène une activité physique transformée. Le psychologue et le psychiatre maintiennent leur travail au niveau d’une stricte performance mentale, hésitant à introduire l’élément spirituel parce qu’ils considère l’approche religieux du travail comme étant en dehors de leur ressort. Nous, de l’autre école, ayant observé que la plupart des guérisons de cette espèce mène à un intérêt nouveau pour les questions spirituelles nous abordons le sujet en admettant nous trouver devant une science religieuse. Par conséquent, nous en appelons à la nature spirituelle de l’homme, certains que son réveil spirituel est la preuve d’une perfection intérieure qui a été dévoilée et a mené à sa guérison. 

 

Cela ne signifie pas qu’il s’agisse là d’une religion nouvelle. C’est un réveil religieux, mais son un réveil confessionnel. Cette vérité peut être appliquée à n’importe quelle confession, sans contrarier aucune croyance religieuse personnelle. Il n’y a qu’un seul Dieu dans l’univers entier. Les hommes peuvent trouver leur chemin vers Lui par la voie confessionnelle de leur choix. La chose qui importe est de L’atteindre et d’établir un contact personnel. 

 

Lorsqu’un bateau quitte le port, des êtres chers s’efforcent de maintenir aussi longtemps que possible le contact avec leurs amis qui s’en vont. Les serpentins lancés du pont sur la jetée peuvent être jaunes, rouges, bleus ou de n’importe quelle autre couleur – seul le contact ainsi établi importe. Il serait ridicule pour le détenteur d’un serpentin bleu de dire que le serpentin vert de son voisin n’a pas la bonne couleur, aussi longtemps que ce serpentin vert relie l’ami à l’ami. De même, la chose importante en cette vie est d’établir le contact avec le Créateur ; la couleur confessionnelle de l’agent intermédiaire signifie peu de chose. une splendide banderole dorée qui ne réussit pas à établir la liaison de l’un ou l’autre ne vaut pas la ficelle toute simple qui atteint ce but. 

 

Le premier principe de cette science est le lien qui rend l’homme capable d’entrer en contact avec la Réalité. Ce principe peut être revêtu de n’importe quelle couleur de l’arc-en-ciel, parce qu’il peut être appliqué par n’importe quelle personne de n’importe quelle confession, n’importe quelle couleur, secte ou contrée. Le principe est universel. 

 

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1O. Psychologie et spiritualité 

 

Nous pensons que la méthode d’approche du psychologue est bonne aussi loin qu’elle peut aller, mais plus faible que la nôtre parce que le psychologue reconnaît la présence de nombreuses intelligences individuelles alors que nous ne reconnaissons qu’une seule Intelligence qui embrasse toutes les intelligences prétendues individuelles. Une fois arrivés à une conclusion relative à la condition éternelle de cette Intelligence unique – qui est à jamais paix, tranquillité, puissance, amour, foi, harmonie, expansion, santé et plénitude – notre objectif est d’amener ce que nous appelons notre intelligence individuelle en un état d’unité avec l’Intelligence unique. 

 

Ainsi, vu que l’Intelligence universelle demeure pour toujours impassible devant toute force hostile, qu’elle ne reconnaît jamais l’existence de rien qui diffère d’elle, notre intelligence – étant issue de cette Intelligence unique – ne peut expérimenter quoi que ce soit qui ne soit déjà expérimenté par cette Intelligence. 

 

Cela n’est qu’un seul point dans la guérison spirituelle et mentale, mais il indique une différence dont l’explication est souvent cherchée par la question : « En quoi votre méthode diffère-t-elle de la méthode psychologique ? ». 

 

 

coeur dans L'Esprit  Guérisseur

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Le Pendu (12)

Posté par othoharmonie le 23 septembre 2010

Interprétation des cartes du Tarot de Marseille 

     

 Le Pendu (12) dans Tarots et tirages Cartes 00020260 

 

 

LE PENDU 

 

Le 12 

 

  

hanged_man dans Tarots et tirages Cartes

 

 

Signification de la carte dans un tirage du Tarot de Marseille  

 

La carte est tirée à l’endroit :  

La carte du Pendu se trouvant à l’envers et voyant les choses de façon inversée, on ressent une certaine douceur, loin des schémas conventionnels et rigides. Les perspectives sont différentes et sont peut être plus faciles à vivre dans cette position. Le Pendu est plus réceptif, ses capacités d’adaptation sont plus importantes. En raison de ses pieds et de ses mains liées, le consultant a tout le temps de réfléchir à la situation, de méditer, d’utiliser son esprit. Ainsi c’est le moment de l’attente, de la réflexion, toute action est exclue. Il faut accepter les blocages, les retards comme un signe du destin demandant d’agir avec prudence. Il faut passer par une épreuve nécessaire pour pouvoir avancer, pour gagner un avenir meilleur. Ce n’est que de cette façon que l’avenir sera positif et la régénération totale. Pour cela il faut savoir accepter un arrêt parfois long.


Toute question matérielle et physique se trouve subordonnée aux valeurs morales. Le consultant devra peut être changer son point de vue sur les choses et les décisions (posture du Pendu à l’envers). De même la situation actuelle peut sans doute s’inverser totalement par rapport à ce qui était prévu au départ. C’est une lame positive. Les changements même négatifs en apparence ne peuvent être que positifs à la longue en profondeur. Lorsque l’arcane se trouve avec des cartes positives, elle annonce des succès après une longue épreuve, un long travail, des sacrifices ou une épreuve bénéfique. Peut être le consultant doit-il sortir de son train de vie actuel et se tourner vers un autre choix de vie plus basé sur la méditation, peut être un peu en retrait du monde 

  

                                                                                                            

Résumé : Sacrifice, charité, oubli de soi-même, désintéressement de la matière, prudence, discipline morale, pardon obtenu, amour platonique 

 

La carte est tirée à l’envers

Quand la carte est entourée de cartes négatives ou qu’elle sort à l’envers, elle se retrouve accentuée dans son inertie et ses blocages. Ainsi le consultant peut s’attendre à des événements défavorables, des occasions perdues, des incertitudes paralysantes, l’incapacité de se résoudre au renoncement pour améliorer sa situation. Il risque de s’ensuivre des échecs en cascade, une perte de contact avec la réalité, la fuite dans des paradis artificiels comme les drogues ou l’alcool, des dépressions. Toutes sortes de désillusions sont possibles, l’amertume liée à l’impossibilité d’agir, la solitude, l’incompréhension. 


Il est urgent et indispensable de se remettre en question.
Il peut aussi être la victime de mensonges, de pièges, de haines et de règlements de comptes. 

 

Résumé : Pertes, désillusions, solitude, période difficile, erreurs, défaites, échecs, séparation, obstacles insurmontables

 

 Synthèse :  

 

Le consultant doit prendre en considération son passé et son présent pour prendre des décisions concernant son avenir. En l’état actuel, les choses, les actions ne sont pas suffisamment mûres pour conclure. Sur le plan mental, le consultant manque peut être de maturité ou de détermination pour faire des choix qu’ils appartiennent à la sphère sentimentale, intellectuelle ou matérielle. Il faut peut être renoncer à quelque chose  

 

 

Nous tirons les cartes en pensant à une personne en particulier

 

Dans le domaine professionnel : Le travail ne lui fait pas peur et elle assume toutes les contraintes et toutes les tâches. Elle fait passer son dévouement par dessus tout. C’est un excellent employé 

 

Dans le domaine sentimental : Il s’agit d’une personne très dévouée, capable de s’effacer et de se sacrifier pour vous. Cependant, elle peut subir des contraintes qui ne lui permettent pas de s’engager immédiatement auprès de vous. Prenez patience, elle viendra dès que ce sera possible. Vous pouvez compter sur sa parole

 

Dans le domaine financier : Les difficultés économiques ne lui font pas peur, elle est capable de faire de nombreux sacrifices pour la bonne cause 

  

  Le message général du Pendu

Un temps d’arrêt est nécessaire avant de reprendre le chemin

 

francesca

Et maintenant, pour aller un peu plus loin dans l’analyse 

 

Le Pendu est le seul personnage du tarot qui a la tête en bas. Il est pendu par le pied gauche à une poutre avec le pied droit plié sur la jambe gauche en croix (voir l’analogie avec l’Empereur qui a aussi le pied replié sur la jambe ou avec Le Monde qui a exactement la même position mais à l’endroit). 


Se retrouvant à l’envers et attaché par le pied ou plutôt le talon, le jeune homme est dans l’impossibilité d’agir, il n’est plus en contact avec la terre et le monde matériel, par contre l’intellect lui, demeure libre. Par sa posture inversée, il voit les choses différemment, sous un autre angle. 


La corde semble ne pas retenir le personnage puisque plutôt que d’entourer la cheville, elle passe autour du talon, ce qui rend suivant les lois physiques impossible une telle posture, d’ailleurs si on retourne la carte, on se rend compte que le personnage a l’air de flotter dans l’air. Le Pendu n’est donc pas contraint dans cette position, mais il affiche sa faiblesse et sa vulnérabilité il est pendu par le talon gauche (le talon d’Achille) et de plus cette posture était une torture réservée au Moyen Age aux débiteurs, dans l’Antiquité aux chrétiens. 


Cette immobilité à laquelle il est contraint correspond à la vision orientale de la recherche du savoir qui ne peut venir que par l’immobilité du corps. Son renversement est peut être le signe que les choses doivent être comprises par leur envers, il faut abandonner les schémas traditionnels ou qu’elles ne sont pas forcément comment on pourrait l’imaginer au premier abord. 


Il est attaché par une corde et ses mains se trouvent derrière son dos et elles sont probablement également attachées mais on ne peut que le supposer parce qu’on ne les voit pas. Cette position accentue l’impossibilité d’agir sur le plan matériel (les mains sont des attributs importants porteuses de sens soit par leurs actions soit par les objets qu’elles tiennent). quoiqu’il en soit ses mains étant cachées il est dans l’impossibilité d’agir, il est contraint dans cette position, il est passif comme le démontre la couleur BLEUE  de ses chaussures et de ses cheveux. 


La couleur ROUGE nous informe cependant que le personnage a en lui un potentiel d’énergie inutilisée important : bien qu’il ne puisse que méditer dans cette position, cette médiation est active, initiatique, elle constitue un apprentissage et un passage. 


Le mélange des deux couleurs donne au personnage une certaine innocence et une vitalité contre les forces du mal contre lesquelles il lutte grâce à sa force intérieure, son âme. Sa force musculaire est inutile et inefficace dans cette position. 

Autre fait surprenant, il se tient parfaitement droit et perpendiculaire aux deux arbres qui l’entourent qui font peut être référence aux colonnes du temple de Salomon, Jakin et Boaz. Cette étonnante verticalité semble montrer qu’il a trouvé un parfait équilibre entre les forces. Les arbres par leur couleur semblent plus actifs que le Pendu lui-même. Sans doute cela exprime que l’entourage du Pendu a une vitalité et une vie propre indépendante de lui. La nature vit ses propres cycles et a sa propre énergie indépendante de l’homme. Enfin le VERT  présent dans l’arcane nous montre que les forces extérieures sont importantes.

 

  

Interprétation des couleurs dominantes dans cette carte du Tarot  

 

 

 

Le bleu


Cette couleur s’oppose au rouge et crée une dualité symbolique. C’est un bleu intense, vif mais foncé. C’est la couleur de l’extérieur. Elle ne peut être dedans. Le bleu est une couleur faite de multitudes de couches, c’est une couleur collective ou impersonnelle, peu violente tout à l’inverse du rouge. Elle rappelle la couleur des profondeurs, de la mer, du ciel, c’est la couleur de l’infini, des grands espaces. C’est une couleur impalpable. On retrouve cette couleur sur les vêtements, les cheveux, les plantes, les étoiles, les chevaux… Le bleu est la couleur du plan spirituel, du pouvoir intemporel. Il exprime la stagnation mais aussi la permanence des choses. Il peut rappeler à certains égards l’inconscient collectif. 

 

 

Le rouge :   

C’est la couleur du sang, du feu. C’est une couleur pleine de vie et d’énergie, c’est la couleur de l’action, de l’oxygène nécessaire à la vie. Le rouge, qui symbolise le sang dans le jeu doit rester dans le corps (signe positif de santé) lorsqu’il s’en échappe, il change de couleur. Cette couleur est la couleur de l’intérieur dans l’ordre naturel des choses. Le rouge est la couleur du plan matériel, du désir, du pouvoir temporel mais absolu. Il s’oppose diamétralement au bleu. Le rouge sert à habiller les personnages du tarot et nous donne l’indication de leur position par rapport à son complément qui est le bleu.

Le vert 
Il apparaît dans le tarot sombre et soutenu. Il se distingue totalement des jeunes pousses vert tendre que l’on peut trouver dans la nature. Ce vert est un vert résistant des plantes qui ont su lutter contre la nature pour rester en vie, il représente la vitalité profonde, la résistance au temps. Elle rappelle l’énergie violente de la nature. C’est la couleur directrice de la vie. On le rencontre peu dans le jeu

 

 

 

 

Vous pourrez apprendre vous-même ici : http: // le-chariot.com/methodes.html  

 

 

 

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L’Arcane sans Nom (13)

Posté par othoharmonie le 23 septembre 2010

 Interprétation des cartes du Tarot de Marseille 

  

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L’ARCANE SANS NOM 

 

Le 13 

 

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Signification de la carte dans un tirage du Tarot de Marseille  

 

La carte est tirée à l’endroit :  

L’Arcane Sans Nom est par essence l’arcane de la transformation, du mouvement vers l’avant, de l’abandon d’un état pour passer à un autre meilleur et plein de promesses. Le pire est passé, l’avenir ne peut être que positif.
Dans un tirage c’est souvent la carte de la revitalisation, de la libération, l’évolution est profitable. Ce passage se fait malgré tout dans la douleur, l’abandon du passé, de ses liens affectifs, des projets ou illusions, des rêves n’est pas facile mais sera toujours profitable et positif.
C’est peut être le début d’un nouvel amour, d’un nouveau métier, de nouveaux projets, désirs, d’une nouvelle vie. Tout cela comporte malheureusement toujours un prix à payer symbolisé par l’Arcane Sans Nom. La souffrance de la rupture et de la perte de tout ce à quoi on tenait avant et que l’on considérait comme indispensable. Mais cela vaut la peine car à partir de maintenant, tous les obstacles même les plus difficiles pourront être surmontés.
L’Arcane Sans Nom représente aussi tout ce qui est lié au coté obscur, à la mort, aux ténèbres et donc héritages, rites initiatiques… 

  

                                                                                                            

Résumé : Transformation, renouveau, évolution, solitude temporaire, fin bénéfique, progrès 

 

La carte est tirée à l’envers

Lorsque que L’Arcane Sans Nom sort à l’envers, c’est là que l’arcane prend son sens le plus angoissant et le plus lourd. Ainsi les changements sont mal vécus, tout est mal perçu, tout va mal. La situation doit être revue et modifiée dans la plus grande urgence. Annonce d’échecs dus à des obstacles insurmontables et indépendant de la volonté du consultant. Le consultant n’a pas la bonne attitude; il est négatif, mélancolique, dépressif. La carte peut aussi annoncer la mort lorsque les cartes voisines accentuent le sens de l’arcane. Cette mort peut être physique ou spirituelle

 

 

Résumé : Désillusion, douleur, mélancolie, dépression, obstacles, inertie, refus obstiné du changement, séparation définitive, deuil, découragement

 

 Synthèse :  

 

Cette lame concrétise le renouvellement totale et la transformation profonde. Elle peut aussi parler d’éloignement, d’arrêt, d’immobilité ou de mort. 

  

 

 

 

Nous tirons les cartes en pensant à une personne en particulier

 

Dans le domaine professionnel : Pour le travail ne comptez pas trop sur elle, elle est en pleine reconversion et va sans doute changer d’activité

 

Dans le domaine sentimental : Il s’agit d’une personne en plein bouleversement et remise en question. Elle cherche à repartir sur de nouvelles bases et à effacer son passé

 

Dans le domaine financier : Ne lui confiez pas votre argent, elle est en pleine restructuration

 

  

  Le message général de l’Arcane Sans Nom

Il faut savoir trancher et se détacher totalement du passé pour se renouveler pleinement


 

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Et maintenant, pour aller un peu plus loin dans l’analyse 

 

L’Arcane sans Nom représente un squelette muni d’une faux qui semble faucher les hommes. C’est la représentation de la mort telle qu’elle a pu apparaître dans de nombreuses fresques ou peintures. Cependant si on regarde de plus près la faux on se rend compte que le manche est carré, ce qui ne doit pas être très pratique pour faucher. En fait, le squelette semble plus balayer que faucher. Ce squelette de couleur CHAIR semble représenter tout ce qui a trait à l’homme par sa couleur et en même temps la vie comme l’atteste sa colonne vertébrale en forme d’épi de blé, (symbole traditionnel de vie avec le pain), de plus il est actif, il se déplace vers la droite.  


Ainsi par la faux, le squelette ne tue pas mais annonce une transformation telle la mort dans les religions qui n’est qu’un passage vers un autre état. Le manche de la faux est JAUNE, principe divin et cosmique et qui montre qu’elle est animée par une force divine supérieure. La mort est dans l’ordre naturel des choses et elle est nécessaire pour assurer l’évolution et la progression.  


L’arcane porte le nom de l’Arcane Sans Nom, celle que l’on ne nomme pas (traditionnellement on ne nomme pas la mort) , de même elle porte un nombre inquiétant : XIII. Mais elle n’est inquiétante que pour ceux qui craignent les changements, pour les autres elle ne peut qu’être bénéfique car tout changement, toute amélioration passe forcément par une transformation nécessaire ou par une rupture. 


Les morceaux de corps présents sur le bas de l’arcane montre que le corps peut être divisé, morcelé alors que l’âme, elle, reste toujours intègre, et unique. Si on analyse d’un peu plus près les morceaux, on trouve 3 mains (les actes que l’homme accompli), un pied (le cheminement), deux têtes (la qualité des pensées). La présence des os nus montre que la transformation doit être profonde et intégrale, aller jusqu’à l’os. Il s’agit d’une remise en question jusqu’au plus profond de l’être. Quant aux têtes, la couronne sur l’une d’elle montre qu’aucun pouvoir matériel ne nous permet de nous soustraire à cette logique, qui que nous soyons nous subissons tous le même sort et sommes soumis aux mêmes lois.  


Les quelques brins d’herbe de couleur BLEUE
et jaune nous annonce que l’arcane est symbole de vie spirituelle, la mort n’est qu’un passage vers la vie et que cette vie est d’essence divine. En aucun cas la mort n’est une fin en soi. Ainsi de cette façon, L’Arcane Sans Nom représente une transformation sur le plan physique, le corps disparaît mais pas la vie qui continue sous une autre forme plus simple et plus avancée. 

Sur le plan symbolique, dans le sens ou la transformation est un changement radical, l’homme en perdant son corps, perd aussi tous ses biens et ses créations matérielles, il s’en trouve affranchi et peut enfin s’élever.

 

 

Interprétation des couleurs dominantes dans cette carte du Tarot  

 

 

La chair :  Cette couleur n’est pas éclatante, elle est un peu blafarde. C’est la couleur de la peau, elle symbolise l’humain, l’homme. On la retrouve sur les personnages mais aussi sur les objets qui deviennent alors des prolongements de l’homme. C’est aussi la couleur de la conscience, du pouvoir sur le temporel et le spirituel 

 

 

Le jaune 

Cette couleur rappelle la couleur de l’or, du miel, certaines fleurs, certains fruits murs, du soleil. Le jaune montre un travail, un processus par lequel, une chose atteint un autre stade, un fruit qui mûrit grâce à l’action du soleil. C’est ainsi que le jaune donnera l’idée de travail, de temps qui aboutit à une métamorphose après un processus de transformation. Le jaune peut aussi être interprété comme la couleur du plan divin, celle de la sagesse universelle et du pouvoir ; c’est la couleur des Dieux, qui devient sur Terre l’attribut de la puissance des Rois. La maturité associée au travail évoque l’idée de métamorphose. Le jaune est aussi la couleur de la lumière et elle possède en elle de ce fait toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Le jaune supervise la dualité entre la couleur bleue et la couleur rouge 

 

 

Le bleu


Cette couleur s’oppose au rouge et crée une dualité symbolique. C’est un bleu intense, vif mais foncé. C’est la couleur de l’extérieur. Elle ne peut être dedans. Le bleu est une couleur faite de multitudes de couches, c’est une couleur collective ou impersonnelle, peu violente tout à l’inverse du rouge. Elle rappelle la couleur des profondeurs, de la mer, du ciel, c’est la couleur de l’infini, des grands espaces. C’est une couleur impalpable. On retrouve cette couleur sur les vêtements, les cheveux, les plantes, les étoiles, les chevaux… Le bleu est la couleur du plan spirituel, du pouvoir intemporel. Il exprime la stagnation mais aussi la permanence des choses. Il peut rappeler à certains égards l’inconscient collectif

 

 

 

 

 

 

Vous pourrez apprendre vous-même ici : http: // le-chariot.com/methodes.html   

 

 

 

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La tempérance (14)

Posté par othoharmonie le 22 septembre 2010

Interprétation des cartes du Tarot de Marseille

     


 

La tempérance (14) dans Tarots et tirages Cartes 00020260

  

 

LA TEMPERANCE 

 

Le 14 

 

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Signification de la carte dans un tirage du Tarot de Marseille  

 

La carte est tirée à l’endroit :  

Tempérance est l’arcane de l’échange, de l’écoulement serein de la vie. Il est positif. Les choses coulent normalement et tranquillement vers l’amélioration. C’est l’arcane de la régénération, du respect de toutes les valeurs nobles (de l’auto discipline, de la tempérance, de la modération). Les énergies internes par l’écoulement des fluides doivent reprendre leur cours, tout doit se rééquilibrer après l’épreuve de la transformation de L’Arcane Sans Nom. C’est l’arcane de l’harmonie, de la coopération, de la sociabilité. Elle annonce toujours des bonnes surprises. 

                                                                                                            

Résumé : régénération, sérénité, réflexion, bonheur, adaptation, sociabilité, communication, équilibre, évolution, progrès, calme, tempérance, protection, apaisement 

 

La carte est tirée à l’envers  

L’arcane à l’envers est tout son inverse. C’est l’excès et l’exagération. L’instabilité, la dispersion et la prodigalité deviennent les points dominants de la carte. Les obstacles sont difficiles à surmonter, tout est instable, déséquilibré, sans harmonieux, problématique. Le consultant a des problèmes de communication, d’échanges avec son milieu. Son entourage est médisant, mesquin. Tout va mal en raison du manque de communication et d’harmonie

 

 

Résumé : paresse, indifférence, imprévoyance, antipathie, frustration, avarice ou l’inverse, désordre, désaccord.

 

 Synthèse :  

 

C’est l’arcane de la conciliation, de l’impartialité, de l’équilibre des jugements. La communication est un trait important, mais il n’y a pas d’évolution. Tout demeure tel qu’il est. C’est une carte un peu statique, pour savoir si une entreprise réussira il faut l’apport d’autres cartes plus significatives sur le mouvement. 

  

 

 

 

Nous tirons les cartes en pensant à une personne en particulier

 

Dans le domaine professionnel : Son domaine privilégié est la négociation et les échanges en tout genre. Elle est faite pour le travail en équipe et elle est capable de s’adapter à n’importe quelle situation

 

Dans le domaine sentimental : Il s’agit d’une personne très équilibrée, d’une grande tolérance, sachant s’adapter aux situations et aux gens. Elle est très attachée à son équilibre et ne supporte pas de le voir rompu. Pour la séduire, rentrez dans son univers mais ne transformez pas sa vie, elle pourrait vous en vouloir à mort. 

 

Dans le domaine financier : Les tâches caritatives lui conviennent parfaitement. Elle est à l’écoute de tous et cherchera toujours à trouver une solution aux problèmes d’autrui

 

  

  Le message général de la Tempérance

Pas de passions ou de propos excessifs, soyez modéré et souple. 

francoise

 

Et maintenant, pour aller un peu plus loin dans l’analyse

 

Tempérance représente l’ange de la vie qui transvase d’une urne à l’autre le fluide de la vie. Les ailes sont de couleur CHAIR, ce qui la rapproche de l’humain. Les ailes donnent une impression de légèreté, de détachement. Ici tout est douceur et légèreté. Le passage du fluide dans les urnes, les ailes, les courbes du personnage qui sont harmonieuses. Il n’y a aucun effort apparent. L’ange représente l’intuition, la sensibilité, la raison, elle est stable et fluide, c’est l’antithèse du chaos. 


Son corps se trouve de face, mais sa tête est légèrement tournée vers la gauche, symbolisant la réflexion et le passé. Les cheveux sont BLEUS et longs ce qui donnent une dimension spirituelle et initiatique à l’arcane. Les cheveux sont ornés d’une fleur ROUGE, le rouge étant la couleur de l’action, elle n’est pas passive dans sa dimension spirituelle, on retrouve cette même combinaison dans les vêtements symbolisant à nouveau l’action et l’esprit. Elle semble immuable dans son geste qui est perpétuel. 

 

 

Interprétation des couleurs dominantes dans cette carte du Tarot  

 

 

La chair :  Cette couleur n’est pas éclatante, elle est un peu blafarde. C’est la couleur de la peau, elle symbolise l’humain, l’homme. On la retrouve sur les personnages mais aussi sur les objets qui deviennent alors des prolongements de l’homme. C’est aussi la couleur de la conscience, du pouvoir sur le temporel et le spirituel 

 

 

Le rouge :  

 

C’est la couleur du sang, du feu. C’est une couleur pleine de vie et d’énergie, c’est la couleur de l’action, de l’oxygène nécessaire à la vie. Le rouge, qui symbolise le sang dans le jeu doit rester dans le corps (signe positif de santé) lorsqu’il s’en échappe, il change de couleur. Cette couleur est la couleur de l’intérieur dans l’ordre naturel des choses. Le rouge est la couleur du plan matériel, du désir, du pouvoir temporel mais absolu. Il s’oppose diamétralement au bleu. Le rouge sert à habiller les personnages du tarot et nous donne l’indication de leur position par rapport à son complément qui est le bleu.  

 

 

Le bleu


Cette couleur s’oppose au rouge et crée une dualité symbolique. C’est un bleu intense, vif mais foncé. C’est la couleur de l’extérieur. Elle ne peut être dedans. Le bleu est une couleur faite de multitudes de couches, c’est une couleur collective ou impersonnelle, peu violente tout à l’inverse du rouge. Elle rappelle la couleur des profondeurs, de la mer, du ciel, c’est la couleur de l’infini, des grands espaces. C’est une couleur impalpable. On retrouve cette couleur sur les vêtements, les cheveux, les plantes, les étoiles, les chevaux… Le bleu est la couleur du plan spirituel, du pouvoir intemporel. Il exprime la stagnation mais aussi la permanence des choses. Il peut rappeler à certains égards l’inconscient collectif. 

 

 

 

 

 

 

Vous pourrez apprendre vous-même ici : http: //le-chariot.com/methodes.html     

 

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Le diable (15)

Posté par othoharmonie le 22 septembre 2010

Interprétation des cartes du Tarot de Marseille

     


 

Le diable (15) dans Tarots et tirages Cartes 00020260

  

LE DIABLE 

Le 15 

  

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Signification de la carte dans un tirage du Tarot de Marseille  

La carte est tirée à l’endroit

 Cet arcane est lourd de signification et tous les aspects négatifs se trouvent concentrés quand le Diable sort à l’endroit. Il faut s’attendre à des changements négatifs, des dangers indépendants de la volonté du consultant et contre lesquels il ne peut pas résister. Ainsi le mal peut être excès ou manque. Excès lorsqu’il devient destructeur, ainsi dans ce cas-là, le mal triomphe, domine et emporte tout. Des bouleversements terribles peuvent survenir. Manque, quand il s’agit de manque d’énergie, de nihilisme, d’apathie, de la soumission et de la dépendance à d’autres personnes ou forces. 

                                                                                                            Résumé : culte de la personnalité, paresse, arrogance, destruction, superficialité, abus de pouvoir, amour narcissique, avilissement, tyrannie, mensonge, intrigues, escroquerie, calomnie, perversion, lubricité. 

La carte est tirée à l’envers 

A l’envers, le diable est beaucoup plus facile à vivre. C’est son énergie qui apparaît surtout, énergie psychique, sexuelle, magnétisme, pouvoir de séduction et de magie qui permettent d’exercer un certain pouvoir sur les autres et de les dominer. Les actions sont plus faciles et se réalisent spontanément. Busques changements de situations, événements et surprises inattendues à saisir avant qu’il ne soit trop tard. Le consultant devient courageux, intrépide, il n’a peur de rien, il se sent sûr de lui comme aidé par des forces obscures. Le Diable symbolise toujours la témérité

Résumé : magnétisme, risques, amour du luxe et des richesses, audace, impulsivité, rapports sexuels intenses, séduction

 Synthèse :  

C’est une lame de la réussite et de la fortune mais celle-ci est toujours obtenue de manière un peu douteuse, par des procédés peu orthodoxes et peu légaux. Elle peut aussi exprimer une grande puissance et beaucoup de pouvoir et d’influence sur les autres. Dans certains cas, la lame peut annoncer la prison. 

Nous tirons les cartes en pensant à une personne en particulier

Dans le domaine professionnel : Ses intentions ne sont pas forcément louables. Evitez de collaborer avec une telle personne

Dans le domaine sentimental : Il s’agit d’une personne fascinante ayant un très fort magnétisme, mais elle est aussi sans scrupules et est capable de n’importe quelle bassesse. Elle est dangereuse pour vous d’autant plus qu’elle est très attirante et vous promet mille plaisirs. 

Dans le domaine financier : Ne lui confiez surtout pas votre argent, vous avez affaire à un escroc. Elle saura utiliser tous les moyens à sa disposition pour vous voler

     Le message général du  Diable Veillez à rester dans le droit chemin, ne cédez pas aux tentations, faites attention aux dangers et méfiez-vous des autres. 

francoise

Et maintenant, pour aller un peu plus loin dans l’analyse

Le Diable apparaît nu avec des attributs de la nudité fortement marqués tels les seins dessinés et inesthétiques et le sexe masculin qui se devine sous son pantalon. Tous les attributs de l’assujettissement au corps et au sexe sont présents. C’est le désir tel qu’il apparaît chez l’homme qui est ici mis en scène. Il porte les deux sexes et il est mi-humain, mi-animal (les cornes de chèvre, les ailes de chauve-souris, les griffes). L’homme est plus près de la bête, il est soumis à ses passions et ses instincts primaires. C’est ce qui attend l’homme qui cède à ses instincts les plus vils, la chute.

Le Diable nonobstant ne semble pas menaçant. Il tient son épée de façon pacifique. Cela est important car Le Diable ne lutte pas mais séduit, Le Diable, attire il ne répulse pas, au contraire, il est là pour nous procurer du plaisir et assouvir nos sens. Il est extrêmement dangereux car par ses méthodes, il asservit et il enchaîne ses victimes. Il est de face, ce qui lui donne une action directe et immédiate sur les personnes et sur les choses.

 

En dessous nous trouvons deux diablotins, l’un yin et l’autre yang, le masculin et le féminin, à demi humains, enchaînés par une corde autour du cou au piédestal ROUGE  sur lequel se trouve le diable. La corde les lient, entravent les mouvements, nuit à l’indépendance. Ils sont dominés par le diable et lui ressemblent. Ils sont impuissants et n’ont plus de volonté propre comme l’attestent leur mains liées dans le dos.

  

Interprétation des couleurs dominantes dans cette carte du Tarot  

Le rouge :  

C’est la couleur du sang, du feu. C’est une couleur pleine de vie et d’énergie, c’est la couleur de l’action, de l’oxygène nécessaire à la vie. Le rouge, qui symbolise le sang dans le jeu doit rester dans le corps (signe positif de santé) lorsqu’il s’en échappe, il change de couleur. Cette couleur est la couleur de l’intérieur dans l’ordre naturel des choses. Le rouge est la couleur du plan matériel, du désir, du pouvoir temporel mais absolu. Il s’oppose diamétralement au bleu. Le rouge sert à habiller les personnages du tarot et nous donne l’indication de leur position par rapport à son complément qui est le bleu.  

Vous pourrez apprendre vous-même ici : http: //le-chariot.com/methodes.html  

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Se protéger (exercice)

Posté par othoharmonie le 21 septembre 2010

Se protéger (exercice) dans Exercices simplesQuestion : Certaines personnes disent qu’il faut se protéger avant d’entrer en méditation, protéger sa voiture chaque fois que l’on prend le volant, protéger sa maison chaque fois que l’on s’absente. Je pense personnellement que les Etres de Lumière nous protègent en permanence, sans qu’il soit nécessaire de faire un rituel.

 dans Exercices simples

« Le mot « protection » est souvent relié à la peur. Celui qui n’a pas peur n’a pas besoin de protection ! Nous allons quand même vous dire ceci : 

Ce que nous vous conseillons, c’est de placer le plus souvent possible votre maison, votre voiture ou vous-mêmes dans la Lumière et l’Amour Christiques. Ce n’est pas forcément pour vous protéger, mais simplement pour éviter des énergies perturbatrices. 

Voici un exercice non pour vous protéger mais pour élever votre fréquence vibratoire : 

Visualisez-vous tout d’abord dans la Lumière et l’Amour du Christ ou la Lumière et l’Amour du Père, dans une magnifique Lumière dorée. Imprégnez tout votre corps et vos cellules de cet Amour Inconditionnel et Universel. 

Ensuite faites ce travail sur votre maison. Appelez la Lumière et l’Amour Christique ou Universel sur votre maison afin qu’ils pénètrent et illuminent toutes les pièces. 

Faites-le ensuite pour votre village ou votre ville. Appelez la Lumière et l’Amour Universels sur le village ou la ville où vous habitez. Vous les visualisez totalement dans la Lumière dorée et dans l’Amour du Père. 

Faites-le ensuite pour votre région, pour votre pays, puis pour toute l’Europe et enfin pour le monde entier, jusqu’à ce que vous ayez visualisé votre planète entière dans la Lumière et l’Amour du Christ ou du Père. 

Cela n’est pas du tout une protection, c’est une élévation vibratoire des individus, des lieux, des pays ou de la planète. 

Ceux qui ont l’habitude de se protéger peuvent continuer par sécurité. Un moment viendra où ils sauront qu’ils n’en ont pas besoin car la plus grande protection est celle de leur Christ intérieur, de leur Divinité. Une autre très grande protection est celle de leurs guides et des Hiérarchies de Lumière. 

De quoi ou de qui se protègent-ils ? Souvent les hommes devraient se protéger contre eux-mêmes, cela éviterait à l’humanité beaucoup de déboires et d’incompréhensions, mais cela est un autre problème !

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes : 

* qu’il ne soit pas coupé
* qu’il n’y ait aucune modification de contenu
* que vous fassiez référence à notre site http://ducielalaterre.org
* que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

Esprit-Zen

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Choisir son image

Posté par othoharmonie le 20 septembre 2010

Choisir son image dans Zones erronées dyn001_original_400_300_pjpeg_2647620_89702da6f45f07bd69af36f0fe96bbf9Vous trouverez ici, différentes techniques issues du livre du Docteur Wayne W.DYER que j’ai moi-même utilisées. Techniques audacieuses mais simples pour prendre en main les schémas malsains de notre comportement. 

Vous allez me dire : « Pourquoi malsains ? » 

Tout simplement parce que nous pouvons tous nous corriger avant de vouloir corriger les autres

ange etre imaginaire

EXEMPLE

Choisir des images de soi plus positives 

Choisir une image de soi-même ne dépend que de nous. Nous pouvons choisir de nous considérer comme intelligent en nous appliquant nos propres critères. 

En fait, plus nous nous rendons heureux, plus nous sommes intelligents. Si nous avons des lacunes sur certains points, comme les maths, l’orthographe ou l’écriture, c’est tout simplement la conséquence naturelle des choix que nous avons faits jusqu’à maintenant. 

Si nous décidions de mieux connaître ces matières en y consacrant le temps qu’il faut, nous ferions sans aucun doute des progrès. Peut-être nous croyons-nous comme quelqu’un qui n’est pas tellement intelligent. Dans ce cas, rappelons-nous ce que nous avons dit au début : si nous nous sous-estimons, c’est parce que nous nous sommes mis cette idée dans la tête et que nous nous comparons aux autres en fonction de critère d’ordre scolaire. 

Cela va peut-être surprendre, mais nous pouvons choisir d’être aussi brillant que nous le désirons. En réalité, la compétence n’est en rien une qualité innée ; c’est une fonction du temps. Le système d’attribution des diplômes en est bien la preuve. Il est clair, d’après les normes en vigueur, que les résultats obtenus par les meilleurs élèves d’un niveau donné le sont aussi plus tard par la majorité des élèves à un niveau ultérieur. Les recherches dans ce domaine ont montré que si la plupart des élèves finissent par acquérir la maîtrise de n’importe quelle discipline, certains y arrivent plus tôt que d’autres. Cependant, on qualifie souvent de « faibles », quand ce n’est pas de « retardataire », ceux qui mettent plus longtemps à dominer telle ou telle matière. 

Si nous y consacrons suffisamment de temps et d’efforts, nous pouvons maîtriser presque toutes les disciplines académiques. Mais nous ne faisons pas un tel choix et cela pour d’excellentes raisons. Pourquoi prodiguerions-nous notre énergie à résoudre des problèmes obscurs ou à apprendre des choses qui ne nous intéressent pas ? 

Etre heureux, vivre efficacement et aimer sont des objectifs autrement plus importants. L’intelligence n’est pas une chose que l’on a héritée ou un privilège qui nous a été octroyé. Toute la question est là. Nous sommes aussi intelligent que nous choisissons de l’être. Ne pas croire en son intelligence, c’est tout bonnement se mépriser soi-même et cela ne peut que grever notre existence. 

La capacité de choisir les images que l’on se fait de soi-même s’applique à tous les autoportraits que l’on a dans la tête. On est l’être social que l’on choisit d’être. Si notre comportement social nous déplaît, il nous est loisible de le modifier, mais sans confondre ce comportement avec notre valeur propre. Nos capacités dans le domaine de l’art, de la mécanique, de l’athlétisme, de la musique etc… sont aussi, pour une large part, le résultat de choix et il ne faut pas les confondre avec notre valeur propre. Dans la même optique, on a insisté dans le chapitre précédent sur le fait que notre vie affective résulte de nos choix. Nous pouvons dès maintenant prendre une décision en ce qui concerne l’acceptation de nous-mêmes, fondée sur ce que nous croyons être conforme à notre être. Corriger ses déficiences peut être une entreprise passionnante et il n’y a aucune raison de choisir de se sentir indigne pour la simple raison que certains aspects de soi-même sont à parfaire.

ange etre imaginaire

L’aversion de soi revêt de nombreuses formes et il se peut que nous pratiquions l’autodénigrement. Voici un petit catalogue de comportements typiques de cette autocensure : 

-         Rejeter les compliments. (Oh ! cette vieille histoire ?… Non, je ne me suis pas conduit comme un grand chef, j’ai eu de la chance, voilà tout ! ») 

-         S’excuser quand on vous félicite de votre élégance. « Ma coiffeuse est sensationnelle », « Croyez-moi, c’est ma façon de m’habiller qui vous donne cette impression ». « Le vert est ma couleur« ) 

-         Attribuer à d’autres ce qui doit légitimement vous revenir. (« Heureusement que Michel est là. Sans lui, je ne serais rien ». « C’est Marie qui a tout fait. Moi, je me suis contentée de superviser« ). 

-         Se référer à autrui dans la conversation. (« Mon mari dit que… », « Ma mère estime que… », « George n’arrête pas de répéter que… ») 

-         Refuser de commander quelque chose dont vous avez envie, non point parce que ce serait une folie (encore que vous vous retranchiez peut-être derrière cette raison) mais parce que vous pensez que vous ne le méritez pas. 

-         Penser, si quelqu’un vous invite au restaurant ou au spectacle : « C’est comme ça que cela commence, mais combien de temps est-ce que ça va durer quand il s’apercevra de ce que je suis réellement ? » 

ange etre imaginaire

Si un certain nombre de points relevés dans cet inventaire peuvent paraître futiles, ce sont néanmoins, à leur échelle réduite, des indices de la volonté de se récuser soi-même. Si, par goût du sacrifice, par refus de la moindre extravagance, nous préférons par exemple, commander un sandwich plutôt qu’une côtelette d’agneau, c’est parce que nous ne nous estimons pas digne d’un mets plus succulent. Peut-être nous a-t-on enseigné que la politesse puérile et honnête exige que nous refusions les compliments qu’on nous adresse ou peut-être pensons-nous que nous manquons effectivement de séduction. Quand on nous a seriné cela pendant des années et des années, se refuser soi-même devient une seconde nature. 

Les exemples d’un tel comportement qui se manifestent dans la conversation et dans les conduites quotidiennes sont légion. Et chaque fois que nous adoptons une attitude de dénigrement vis-à-vis de nous-mêmes, nous apportons de l’eau au moulin du vieil épouvantail dont les autres nous menacent, et nous réduisons la part de l’amour dans notre vie, qu’il s’agisse de l’amour de soi ou de l’amour que nous portons aux autres. Une chose est sûre ; nous avons trop de valeur pour continuer à nous rabaisser de la sorte. 

ange etre imaginaire

S’aimer soi-même, c’est s’accepter comme quelqu’un de valable parce qu’on l’a choisi. C’est aussi ne pas se plaindre. 

Les ens qui vivent en harmonie avec eux-mêmes ne se plaignent jamais. Ils ne se plaignent surtout pas que les pierres soient dures, que le ciel soit couvert ou que la glace soit trop froide. S’accepter, c’est ne pas ronchonner et être heureux, c’est ne pas rouspéter à propos de choses qui échappent à notre action. Gémir est le refuge de ceux qui n’ont pas confiance en eux. 

Il y a deux cas où les doléances sont particulièrement mal venues : 

1)    Quand vous dites à quelqu’un que nous êtes fatigué 

2)    Quand vous dites à quelqu’un que vous ne vous sentez pas très bien

Si vous êtes fatigué, plusieurs options sont ouvertes, mais nous plaindre au premier venu, surtout si c’est quelqu’un que nous aimons, c’est agresser ce malheureux. Et cela ne nous soulagera nullement de notre fatigue. La même logique s’applique au second point. 

ange etre imaginaire

 Nous ne nous élèverons pas ici contre le fait que nous nous plaignons à autrui de ne pas nous sentir bien si nos interlocuteurs peuvent nous aider si peu que ce soit. Mais il est inutile de nous lamenter devant des personnes qui ne peuvent rien faire sinon supporter nos récriminations. Par ailleurs, celui qui s’attache véritablement à pratiquer l’amour de soi et qui éprouve telle ou telle incommodité, tel ou tel désagrément, cherchera à régler son problème tout seul au lieu de s’appuyer sur quelqu’un d’autre pour lui faire porter une part de son fardeau. 

Etre capable de s’accepter sans se plaindre implique que l’on comprenne à la fois l’amour de soi et le mécanisme de cette insatisfaction, qui sont des termes s’excluant mutuellement. Si nous nous aimons réellement, nous lamenter devant des tiers qui ne peuvent rien pour nous est absurde et indéfendable. Et si nous remarquons chez nous et chez d’autres, des choses qui nous déplaisent, il est préférable d’agir pour les corriger au lieu de soupirer inutilement. 

La prochaine fois que nous nous trouverons en compagnie de 4 couples ou davantage, livrons-nous donc au petit exercice suivant ; calculez le temps passé dans la conversation à se plaindre de soi, des autres, de la situation, du coût de la vie, du temps qu’il fait etc… et quand les invités seront séparés, demandez-vous ; « A quoi ont abouti toutes les récriminations qui ont été formulées au cours de la soirée » ; « Qui s’intéresse vraiment à toutes les lamentations qui ont été échangées ? » 

Et quand nous serons sur le point de nous lamenter, remémorons-nous la vacuité de cette conversation. 

A suivre……..

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Arnay le Duc (Côte d’Or)

Posté par othoharmonie le 19 septembre 2010

Arnay le Duc (Côte d'Or) dans Ma Bourgogne En détails reference-arnay

Arnay-le-Duc est une commune française, située dans le département de la Côte-d’Or et la région Bourgogne

 

Cette commune est située entre le Morvan et l’Auxois. Il s’agit d’un carrefour où se rejoignent la RN 6 (Paris-Lyon) et la RN 81 qui dessert le centre, via Autun; ces routes étant tracées sur d’anciennes voies de communication d’abord gallo-romaines (entre Autun et Alesia), puis médiévales entre le couloir rhodanien et les foires champenoises. Source de la rivière Arroux (étang de Barraux) qui se jette dans la Loire à Digoin (120 km).

 

260_arnay_place_larger dans Ma Bourgogne En détails

Histoire 

 

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Blasonnement 

Blason  « D’azur aux trois tour crénelées et couvertes d’argent, ouvertes d’or, ajourées, maçonnées et girouettées de sable, celle du milieu plus haute. » 

 

      120px-Arnay-le-duc_-_Chateau_Princes_de_Conde_1    93px-Arnay-le-duc_-_Eglise_Saint-Laurent_1

 

Lieux et monuments 

  • L’église Saint-Laurent 

  • Le château des princes de Condé 

  • La tour de la motte forte 

  • Les hospices Saint-Pierre 

 

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Visite 

Ville de passage entre l’Auxois et le Morvan où l’on aime se mettre à table pour déguster du jambon persillé, elle réunit à l’automne les gourmets de la Confrérie de la Poule au Pot d’Henri IV et du Pays d’Arnay. Elle a gardé un riche patrimoine historique (belles maisons anciennes dont la maison Bourgogne du XVIe s. ornée de grotesques et d’une échauguette, tour médiévale, château..) ainsi qu’un côté nature avec la base de loisirs de l’étang Fouché et le jardin de plantes aromatiques et médicinales de Milléfolia. 


De nombreuses animations sont proposées : animations en centre ville (marché, foire, les Nocturnes Estivales qui animent le centre-ville les jeudis soir en juillet -août), expositions artistiques, expositions sur les arts de la table et la gastronomie, festivités du 14 juillet autour de l’étang Fouché, évènements sportifs reconnus (cyclosportive Claudio Chiappucci,, cross national du 11 novembre) 

 

Jumelage   

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Personnalités liées à la commune   

  • Bonaventure Des Périers, conteur français peut-être né en 1510 à Arnay-le-Duc et mort en 1543 au même lieu. 

  • Charles Théveneau de Morande, libelliste, espion, journaliste polémique français né le 9 novembre 1741 à Arnay-le-Duc et décédé à Arnay-le-Duc en 1805

  • Général Baron Claude Testot-Ferry, vétéran des armées républicaines, impériales et royales, commandeur de la légion d’honneur, né à Arnay-le-Duc le 20 mai 1773 et décédé à Châtillon-sur-Seine le 25 août 1856. Une plaque commémorative a été déposée le 16 septembre 2007 sur sa maison natale (rue des trois Tourelles) lors d’une journée organisée en sa mémoire par la ville et le Souvenir Napoléonien présidé par Alain Pigeard. 

  • François Auguste Dubois, né à Arnay-le-Duc en 1814 et mort à Paris en 1888, député de la Côte-d’Or entre 1871 et 1888

  • Claude Guyot, professeur agrégé de français, de latin et de grec au lycée Sadi-Carnot de Dijon, ancien député de la Côte-d’Or, maire d’Arnay-le-Duc jusqu’en 1965. Il décèdera dans l’exercice de ses fonctions après une trentaine d’années de magistrature municipale à la tête de la ville d’Arnay-le-Duc. Grand résistant pendant la seconde guerre mondiale, il fut président du Comité Départemental de la Libération de la Côte-d’Or. En hommage, la ville donnera son nom au collège. Décorations : officier dans l’Ordre national de la Légion d’Honneur, Croix de Guerre avec palme, chevalier dans l’Ordre des palmes académiques. 

  • Denis Barberet (1714 -1770), médecin, homme de science. 

  • Jules Poillot, député sous la Troisième République

  • Pierre Meunier, député-maire de la commune, né à Dijon le 15 août 1908, fait carrière dans la finance publique et devient contrôleur financier aux ministères de la santé publique et du travail. Il fait la connaissance de Jean Moulin au cabinet de Pierre Cot ministre de l’air en 1936. Le 27 mai 1943, il est nommé secrétaire général du Conseil national de la Résistance que préside Jean Moulin. Après l’arrestation de Jean Moulin il continue la lutte clandestine aux côtés de Georges Bidault qui préside le C.N.R. En 1945-46 Pierre Meunier est chef de cabinet de Maurice Thorez, ministre d’État, chargé de la fonction publique, à ce titre il élabore le statut général des fonctionnaires. Pierre Meunier remplit de nombreux mandats électifs : membre de l’assemblée consultative, il est élu conseiller général d’Arnay-le-Duc en 1945, député de la Côte-d’Or de 1946 à 1958, vice président de l’assemblée Nationale, conseiller régional de Bourgogne de 1976 à 1979. Il sera maire d’Arnay-le-Duc de 1971 à 1983. 

  • Scipion (le doc’) Nasica, né à Prato en Haute Corse, fils de militaire. Il devient médecin et arrive par erreur à Arnay le Duc où il s’installe comme généraliste. En 1939, la guerre éclate mais Nasica surnommé  » le Doc’ » continue à être « le médecin des pauvres » mais il incite à la haine envers l’envahisseur Allemand. Plus tard, ces derniers et Vichy s’intéressent à lui, il part et participe à la création du maquis René Laforge. Il meurt finalement pendant une fusillade entre résistants et soldats allemands. Plusieurs monuments lui sont dédiés. En 2008 un documentaire accompagné d’une fiction est sorti. C’est l’aboutissement de deux ans de travail entre les élèves de l’école Pierre Meunier et du collège Claude Guyot. 

  • Albert Albrier, (1845-1878), écrivain 

  • Tristan Maya, (1926-2000), écrivain, poète, critique littéraire, romancier, membre de l’Académie du Morvan 

 

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Info Mairie 

 

·         Place Bonaventure des Periers
21230 ARNAY-LE-DUC
Tél. 03 80 90 03 44 – Fax 03 80 90 09 17

 

mini_fleche_b_b_002 CLIQUEZ pour vous renseigner sur l’activité de votre choix et visiter  

 

Visite commentée d’Arnay le Duc


Visite commentée d’arnay-le-duc pour les journées du patrimoine
Quoi :
Visites guidéesOù : 21230 Arnay-le-DucQuand : du 18 Septembre au 19 Septembre 

 

            Exposition de Corentin Pernet


Cette tour médiévale ronde et crénelée est le seul vestige de l’ancien château fort de la motte forte.
Quoi :
ExpositionsOù : 21230 Arnay-le-DucQuand : du 01 Septembre au 19 Septembre 

 

            Expositions à la Tour de la Motte Forte


Cette tour médiévale ronde et crénelée est le seul vestige de l’ancien château fort de la motte forte. elle possède 3 étages et est…
Quoi :
ExpositionsOù : 21230 Arnay-le-DucQuand : du 04 Juin au 19 Septembre 

 

            Visites commentées d’Arnay-le-Duc pour les Journées du Patrimoine


L’office de tourisme du pays d’arnay vous propose une balade dans le centre ville pour découvrir le patrimoine (les anciens hospices saint pierre, la tour médiévale de…
Quoi :
Visites guidéesOù : 21230 Arnay-le-DucQuand : du 18 Septembre au 19 Septembre 

 

            Billetterie Concert Pascal Danel et Lydie Errard


Billetterie du concert pascal danel et lydie errard à l’office de tourisme à arnay-le-duc
Quoi :
Concerts / FestivalsOù : 21230 Arnay-le-DucQuand : du 22 Mai au 02 Octobre 

 

            Billetterie concert Pascal Danel et Lydie Errard


Concert pascal danel et lydie errard. pascal danel (les neiges du kilimandjaro) et lydie errard (la longue dame blanche) chantent au profit de l’association parkinson espoir…
Quoi :
Concerts / FestivalsOù : 21230 Arnay-le-DucQuand : du 23 Mai au 02 Octobre 

 

            Marché d’automne


Producteurs régionaux : fruits, légumes, plantes diverses, produits alimentaires de toutes sortes dans les jardins de la maison régionale.
Quoi :
Expositions | Marchés | FêtesOù : 21230 Arnay-le-DucQuand : le 03 Octobre 

 

            Exposition de Miriam STERN et de Agnes NIEHORSTER


La galerie des bains douches se trouve à côté de la maison régionale des arts de la table. créée dans les anciens bains douches publics, elle…
Quoi :
ExpositionsOù : 21230 Arnay-le-DucQuand : du 01 Septembre au 03 Octobre 

 

            Expositions de peintures


Quoi : ExpositionsOù : 21230 Arnay-le-DucQuand : du 05 Mai au 03 Octobre 

 

            Exposition 2010 :  »Le Bleu dans l’Art de laTable »

Exposition sur le thème du bleu dans l’art de la table (faïence, porcelaine, verrerie, nappes, décors de table….) du 18ème siècle à notre…
Quoi :
ExpositionsOù : 21230 Arnay-le-DucQuand : du 09 Avril au 11 Novembre

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La guérison est mentale

Posté par othoharmonie le 18 septembre 2010

La guérison est mentale dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérir Le principe universel de la guérison. (Dr.Bailes(si vous avez des difficultés, alors pour mieux comprendre les pouvoirs de votre esprit, reportez-vous S.V.P à mon second blog :      http://channelconscience.unblog.fr/tag/maladie/  et   catégorie : Allan Kardec

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-         3 – LE PRINCIPE UNIVERSEL DE LA GUERISON 

  

il est manifeste qu’il existe dans l’univers un Principe guérisseur opérant indépendamment de toute médication donnée par l’homme. Un oiseau qui se casse une aile ou une patte est guéri après un certain laps de temps. La peau déchirée d’un animal sauvage guérit sans intervention extérieure. 

Cependant, une rivalité intense existe entre les diverses écoles de la guérison sur le plan humain, chacune clamant haut et fort que sa méthode est l’unique et que toutes les autres devraient être rayées de la pratique ! 

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1.     Toutes les guérisons primitives furent mentales 

Si tous les traitements réussis consistaient en l’emploi d’une méthode bien spécifique, il paraîtrait raisonnable de supposer que cette seule technique ramènerait les gens à la santé et que nulle autre des méthodes en compétition n’aboutirait à la guérison. Cela n’étant pas le cas, nous atteignons un but plus précis dans notre recherche de la vraie guérison en essayant de découvrir, dans ces méthodes matérielles, le facteur exact qui accomplit en réalité le rétablissement éventuel du malade. 

Il y a très longtemps, aux premiers jours de l’existence de l’homme, on croyait que la maladie était due à l’envahissement du  corps par des esprits mauvais. Le médecin sorcier procédait par incantations progressives destinées à chasser ces mauvais esprits. Dans quelques cas cette méthode se révélait efficace, et le guérisseur conserva ces formules spéciales comme base de son traitement puis, peu à peu en ajouta d’autres paraissant produire des effets de guérison

Ces premiers médecins-sorciers étaient des observateurs sagaces et commencèrent à noter que certaines herbes possédaient des propriétés médicales ; pulvérisées ou préparées en infusions, elles pouvaient être appliquées extérieurement pour la guérison de blessures et de contusions, ou prises par voie interne contre la douleur et d’autres malaises. Ces guérisseurs ajoutèrent alors peu à peu une matière médicale naissante à leurs incantations. Cette connaissance ayant de la valeur pour lui car le rendant capable de conserver de l’autorité sur sa tribu, le sorcier ou le chaman la gardait jalousement, ne permettant à personne de pénétrer son secret qu’il transmettait oralement à ses fils (ou à l’aîné d’entre eux), conservant strictement ce savoir au sein de sa famille et l’entourant d’une atmosphère de mystère

Avec le temps, ce fonds de connaissances prit, entre les mains des médecins sorciers, des proportions remarquables. Ceux qui préconisaient les méthodes par les herbes abandonnèrent peu à peu les incantations, alors que ceux qui préféraient la méthode incantatoire s’y spécialisèrent en excluant plus ou moins les herbes médicinales. Ainsi naquirent deux grandes professions : le médecin et le prêtre. 

Le grand développement de la science médicale est familier au monde. Depuis l’époque du médecin-sorcier, ceux qui ont exercé la médecine ont constamment accru leurs connaissance de la valeur thérapeutique des herbes. La profession médicale a attiré quelques-uns des esprit les plus brillants et a fait de spas formidables dans presque tous les domaines de la recherche. Avec l’aide de techniques de laboratoire perfectionnées, elle a avancé sur tous les fronts, de telle manière qu’aujourd’hui la science médicale se trouve en une positon inspirant le respect à tous

Il y a loin du chemin « inspiré » au médecin moderne très instruit avec sa connaissance des plantes, des médicaments de synthèse, des substances glandulaires, des vitamines et des minéraux… pour ne mentionner qu’un côté de son savoir. Peu importe la force de notre sentiment concernant l’efficacité du traitement spirituel et mental – et nous sommes convaincus que c’est la forme la plus élevée de la thérapeutique – seuls les ignorants mal informés ou les individus de mauvaise foi refuseraient à la science médicale la reconnaissance qui lui est due pour toutes ses réalisations

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2.     Les mutations de la science médicale 

Dans le domaine de l’exercice de la médecine toutefois, beaucoup de changements eurent lieu. Lorsque la médecine devint un ensemble organisé de connaissances et de techniques, ses adaptes furent d’avis qu’il était nécessaire d’employer les médicaments à hautes doses. Ainsi, la première école de médecine fut-elle l’allopathie qui administra à nos grands-parents des quantités importantes de plantes et d’extraits de plantes, et quelquefois des mixtures plutôt bizarres d’autres choses qui n’était pas tout à fait aussi agréables. 

Mais, en 1796, un médecin allemand nommé Samuel Hahnemann (à voir dans lire la suite) fit sursauter le monde en déclarant que la pratique médicale courante était tout à fait fausse. Il démontra que des doses infinitésimales de drogues produiraient de meilleurs résultats curatifs que les grandes doses allopathiques. Son système homéopathique était édifié sur la phrase latine « Similia similibus curantur (les semblables sont guéris par les semblables) ». Il démontra qu’un médicament qui produirait des symptômes violents donnée en dose trop forte guérissait, en très petites doses, une maladie montrant des symptômes similaires, bien que ces symptômes n’aient pas été provoqués par des doses médicamenteuses trop élevées. 

Immédiatement, le corps médical se mit en devoir de le remettre à sa place, le persécutant et le repoussant partout. Les allopathes prétendaient qu’il était ridicule et subversif, faisant étalage de leurs nombreuses guérisons pour soutenir le fait qu’eux seuls détenaient le secret de la guérison. De son côté, Hahnemann démontrait que sa théorie était la vraie réponse à la maladie et se référait à une longue liste de personnes guéries afin d’étayer son affirmation. Rappelez-vous que ces illustres messieurs vivaient en une époque si ignorante qu’ils ne connaissaient même pas encore l’existence des bactéries. Par conséquent, ils ne pouvaient voir ce qui était la vérité réelle, à savoir qu’en dessous des deux systèmes se trouvait ce principe guérisseur fondamental avec lequel on entre en contact chaque fois que quelqu’un guérit quelqu’un. 

Le temps marche ! En 1874, Andrew Still, médecin dans le Missouri (à voir dans lire la suite…), affirma que tous deux, allopathe et homéopathe, se trompaient en ce qui concerne les causes de la maladie et la vraie méthode de guérison. Le docteur Still démontra en partie que la maladie était due à une paresse des fonctions vitales. Il pratiquait une méthode de manipulation musculaire dont il disait qu’elle stimulait la circulation du sang et de la lymphe et insistait sur le fait que le corps n’avait pas besoin de médicaments. Beaucoup de gens furent guéris par le traitement de Still. Les médecins allopathes, aidés et soutenus par les médecins homéopathes – qui à ce moment avaient gagné considération et estime – fondirent sur Still et ses ostéopathes et mirent tout en œuvre pour les faire jeter en prison. 

Il y avait maintenant trois écoles de la guérison, chacune prétendant posséder la seule méthode vraie et chacune, ouvertement ou secrètement, dépréciant l’autre. Alors vint la quatrième. 

En 1895, D.D Palmer, de Davenport (Iowa), émit la théorie que toute maladie était due au traumatisme subi par les nerfs à leur sortie des petites ouvertures entre les vertèbres spinales, ce pincement ayant pour résultante une diminution de l’apport nerveux aux parties affectées. C’est ainsi qu’est née la chiropraxie. A ce moment, les ostéopathes – qui étaient parvenus à se faire reconnaître – se joignirent donc à leurs confrères médicaux pour persécuter le nouveau venu. Mais les premiers chiropracteurs étaient des zélateurs aussi bien que des guérisseurs ; les sentences les condamnant à la prison ne firent qu’attiser la flamme de leur enthousiasme et, finalement, ils furent reconnus dans la plupart des Etas parce que leurs méthodes e traitement guérissaient aussi les gens.

  

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3.     L’Intelligence divine, cause réelle de la guérison 

Il paraît étrange que ces quatre écoles – se servant de techniques si différentes les unes des autres, proclamant chacune qu’elle seule possédait exclusivement l’unique méthode vraie de guérison – puissent chacune obtenir d’excellents résultats. Il est évident qu’il doit y avoir là, en dehors de chacun de ces systèmes, quelque chose qui contribue au retour à la santé du malade. 

Il nous faut donc aller au-delà du système spécifique pour trouver la cause réelle de la guérison. Notre conviction est qu’aucun de ces systèmes n’a pu s’approprier en totale indépendance le domaine de traitements menés avec succès. L’évidence que chacun d’entre eux aide le malade à recouvrer la santé paraît indiquer qu’il doit y avoir là, à la base de chacun d’eux, un principe de guérison profondément établi ; ce principe n’est la propriété exclusive d’aucun d’eux, mais chacun, d’une façon ou d’une autre, devra atteindre la profondeur à laquelle repose ce principe, y puiser à un certain moment de son traitement, tout comme des puits de pétrole voisins – même exploités par des compagnies pétrolifères différentes – puisent à une même nappe pétrolifère commune. 

Quel est ce principe fondamental de guérison ? C’est l’Intelligence divine, l’Intelligence de Dieu qui sature chaque particule de matière dans l’univers. Il n’est pas nécessaire d’être superstitieux dans notre attitude vis-à-vis de l’Intelligence divine, ni d’adopter une attitude bigote à son égard. Cette Intelligence est celle qui assure la cohésion des atomes dans un rocher ou fait monter la sève dans un arbre. Ce n’est pas une chose qui doit être approchée avec terreur et génuflexions, mais qui doit être recherchée en tout ce qui existe. Le savant qui, dans son laboratoire, brise l’atome à l’aide du cyclotron géant, ou regarde attentivement à travers son microscope s’efforçant de trouver l’origine de la vie, étudie simplement l’œuvre de Dieu et cherche à suivre les travaux de l’Intelligence divine. Quand l’homme suit cette dernière exactement, il avance ; quand il l’interprète mal, il est retardé. 

L’homme qui regarde la nature en face regarde Dieu en face. Il peut l’ignorer, ne pas y prêter attention ou le nier, mais le fait demeure que l’univers peut être nommé à juste titre le corps de Dieu. Trop longtemps les théologiens ont obscurci la question en entourant de nuages, de séraphins et d’anges la Divinité – Etre majestueux, terrifiant – dont il fallait éviter la colère ; bref, une extension d’eux-mêmes, mais possédant une toute-puissance que ce Dieu était prêt à lâcher à la minute, sur la témérité des pêcheurs méritant d’être châtiés. La vérité est que Dieu est Intelligence impersonnelle aussi certainement qu’Il est Esprit personnel, et son activité comme Intelligence est l’affaire d’une Loi fixe et immuable. Les tremblements de terre et le tonnerre ne sont pas des « punitions pour le péché », mais le mouvement de la matière par l’activité de la Loi. Exactement la même Intelligence qui cause le tremblement de terre guérit le corps

Cela pourrait résonner comme une déclaration sensationnelle. Il n’en est rien. Nous saurons comment nous guérir nous-mêmes – ou d’autres personnes – quand nous comprendrons comment travaille la Loi divine. Le médecin qui se sert de méthodes matérielles sera un meilleur guérisseur lorsqu’il découvrira ce qui, exactement, dans sont traitement a produit véritablement et définitivement la guérison, car c’est quelque chose de plus profond et de plus fondamental que ses drogues ou ses manipulations

Cela est prouvé par les guérisons qui se produisirent à travers l’histoire sans l’intervention de moyens matériels quels qu’ils fussent. Les premiers récits bibliques nous montrent que le peuple d’Israël fut guéri de ses morsures de serpents en contemplant le serpent d’airain dans le désert, espèce d’homéopathie spirituelle par laquelle des semblables furent guéris par des semblables, si nous pouvons oser la comparaison. L’histoire profane rapporte beaucoup d’exemples de guérisons mentales avant le temps de Moïse. La guérison mentale et spirituelle peut ou non comprendre l’emploi d’objets matériels, mais elle ne dépend pas d’eux. L’Ancien Testament est rempli de guérisons mentales et spirituelles. Elisée, Elie, Daniel et beaucoup d’entre les anciens prophètes étaient des guérisseurs spirituels, exerçant ce don au milieu de leur vaste activité comme une chose qui s’entend de soi.

 

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Jésus

Posté par othoharmonie le 18 septembre 2010

Jésus dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérir Le principe universel de la guérison (Fr.Bailes)

(si vous avez des difficultés, alors pour mieux comprendre les pouvoirs de votre esprit, reportez-vous S.V.P à mon second blog :      http://channelconscience.unblog.fr/tag/jesus/  et   catégorie : Allan Kardec

 

 

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4.     Le message de Jésus 

 

Puis vint Jésus ! Le Charpentier de Galilée apporta au monde un nouveau message de guérison, soutenant que toute maladie était le résultat d’états intérieurs mentaux troublés ; il enseignait que si les états mentaux en question étaient corrigés, la maladie physique disparaîtrait. Ses enseignements renfermaient beaucoup plus que cela, mis cela suffit à l’objet de notre discussion. A ce point précis, nous pourrions noter que les médecins modernes répètent actuellement la thèse de Jésus en leur propre langage en s’efforçant de corriger les états mentaux troublés, cause fondamentale de la maladie. Jésus dut attendre deux mille ans la justification scientifique de sa doctrine, mais elle apparaît aujourd’hui avec force. 

 

S’il est vrai que Jésus apporta un message de vie spirituelle intérieure, il est plus vrai encore que le centre et le principe fondamental de sa doctrine furent négligés et demeurèrent cachés dans le dédale du dogme théologique. Il ne parla pas tant d’un salut ultime au-delà de la tombe que d’une vie spirituelle amendée, destinée à être la solution des problèmes de la vie terrestre. Un observateur sans préjugés constaterait que la majeure partie de son œuvre et de son enseignement se rapportait au bien-être matériel, physique de l’homme. Il enseigna un niveau spirituel élevé de la vie, non pas comme moyen de gagner le ciel après la mort, mais comme clef d’une vie pleine ici-bas et dès maintenant. 

 

Il enseigna que l’Intelligence-Dieu à travers le monde était une avec l’intelligence de l’homme, que l’homme et le Père étaient un, que séparé de la Source, l’homme ne peut rien faire. Et que toute activité de l’homme était purement et simplement l’œuvre de cette Intelligence cosmique se manifestant par lui. La libération de l’homme se réaliserait dans la mesure où celui-ci se rendrait compte de l’activité de cette Intelligence divine en lui  ; et puisque cette dernière fonctionnait selon une Loi, l’homme pouvait apprendre à se placer au même niveau que cette Loi, et alors cesserait toute friction. Nous pourrions comparer cette Intelligence divine en l’homme au cours uni et silencieux d’un grand fleuve, ne se soulevant en bouillonnements que lorsqu’un rocher ou quelque autre obstacle cherche à entraver sa marche dirigée vers l’océan par la loi de gravitation. 

 

Jésus enseigna que l’intelligence de l’homme est Une avec l’Intelligence divine universelle, et qu’aussi longtemps que l’homme avance de concert avec l’Intelligence divine, aucun sentiment de mésentente, de privation ou de discordance ne peut naître ; que les états mentaux de l’homme peuvent élever des obstacles devant l’Intelligence divine, et que lorsqu’il le fait l’homme souffre. En ces temps lointains, cette doctrine fut une belle philosophie qui, aujourd’hui, repose sur une base scientifique. Mais, même en cet autre temps, elle fut plus qu’une théorie ; Jésus en donna des preuves concrètes par ses nombreuses guérisons qui intriguèrent les chefs de son époque et continuent à intriguer certains chercheurs des temps présents. Ils arrivèrent à la conclusion que Jésus devait avoir possédé des pouvoirs surnaturels et, pour cette raison, affirmèrent qu’il devait avoir été le Fils unique de Dieu, ce qui, soit dit en passant, est une relique de la mythologie païenne primitive. 

 

Le monde dormit ainsi pendant vingt siècles, gémissant sous ses fardeaux. Si le message de Jésus avait été interprété correctement, le cours entier de l’histoire en eût été changé. Des guerres n’eussent jamais été nécessaires. La maladie et la pauvreté eussent été éliminées complètement, ou réduites à une quantité négligeable, se manifestant seulement chez ceux qui avaient la compréhension spirituelle la plus basse, et avec le temps qui passait, l’on eût compté de moins en moins de ces âmes enveloppées d’obscurité. 

 

Le développement stupéfiant de la recherche scientifique concernant la nature de l’univers apporte une recrudescence à l’enseignement de Jésus. Les deux convergent et le point où ils se rencontrent est le terrain de la guérison. Chaque jour, des milliers d’hommes et de femmes franchissent les frontières du domaine du traitement spirituel et mental, suivant ainsi la véritable interprétation des paroles de Jésus et d’autres grands maîtres guérisseurs. 

 

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5.     La vraie nature de l’homme 

 

Jésus enseigna la vraie nature de l’homme. L’homme n’est pas un ver de terre, né dans le péché et condamné par un Dieu scandalisé et horrifié. Il n’est pas voué à une vie de misère, dans un monde qui lui est hostile, un condamné soupirant de soulagement lorsque la mort le délivre de son esclavage pour l’introduire dans la félicité éternelle. 

 

Jésus enseigna que l’homme était de la plus haute naissance et doué du destin le plus élevé, en vérité un fils de Dieu. Il enseigna que l’homme était le maître de sa situation, mais qu’il avait été hypnotisé jusqu’à se croire un esclave. Il enseigna que le monde n’était pas un lieu hostile, mais qu’il était le serviteur de l’homme ; que le péché et la maladie n’avaient aucun droit de le maintenir sous leur domination, et que le seul péché était l’aveuglement devant ce fait. Qu’aussi longtemps que l’homme croirait être enchaîné, il souffrirait de chaînes forgées par lui-même, mais que son privilège était de se lever, de secouer ses chaînes et d’entrer dans la glorieuse liberté d’un fils de Dieu. 

 

Jésus avait une conception merveilleusement claire des droits de l’homme comme fils de Dieu. Il avait rejeté la mentalité des humains et osait proclamer qu’il avait le droit, par sa naissance, à une liberté entière. Sa pensée sondait les vastes profondeurs de la vérité et trancha sur la façon de penser superficielle de son temps, comme elle tranche sur la pauvreté de pensée du XXè siècle. Sa vision et sa compréhension claires, sa conscience intérieure de la vérité de l’unité de l’homme avec Dieu, surpassaient celles de tout penseur que le monde ait jamais vu ; sa conviction intime de l’activité inexorable de la loi naturelle, mentale et spirituelle lui permit de se mettre sur la même ligne que l’Intelligence divine et d’amener des résultats qui, même aujourd’hui, sont considérés comme miracles par  de « pauvres âmes à la vision amoindrie ». 

 

tube ailes

6.     Les trois plans de l’être 

 

Bref, Jésus enseigna que l’homme est une trinité opérant sur trois plans en une personne. Si nous pouvons nous figurer l’homme comme un être représenté par trois cercles concentriques, nous aurons une meilleure conception de la manière de voir de Jésus. 

 

Dans le cercle intérieur, l’homme au centre de son être est Essence spirituelle divine ou Etre divin. Ce centre est semblable à Dieu, il n’est jamais malade, jamais souffrant ni limité d’aucune façon. Il possède toujours une santé et un bonheur parfaits, une paix parfaite, il est complètement en harmonie avec l’univers et chacun des êtres que celui-ci renferme. Tel est le côté immuable de l’homme. Là rien ne le trouble jamais, et nulle chose jamais ne peut le blesser ou le vaincre, pas plus qu’elle ne peut troubler, blesser ou vaincre Dieu. C’est de ce centre spirituel que provient toute guérison, d’où se développe toute maîtrise de la vie. C’est en lui que l’homme atteint son monde personnel des causes

 

Le second cercle, ou cercle intermédiaire, est celui de l’intelligence

 

Le cercle extérieur représente pour l’homme le monde personnel des effets. L’agent par lequel la cause devient effet est l’Intelligence. L’homme possède le pouvoir de choisir. Il peut tourner ses pensées au-dehors vers le cercle extérieur, ou au-dedans vers son cercle central intérieur. S’il permet à ses états mentaux de se fixer dans le cercle extérieur avec ses maladies, sa souffrance, sa pauvreté et sa limitation, ces choses seront perpétuées par la puissance créatrice de sa pensée. Si, d’autre part, il emploie sa faculté de choisir pour se fixer dans la paix, la perfection et l’entière harmonie de son être le plus intime, ces qualités se manifesteront dans la vie extérieure parce que l’intelligence de l’homme a une puissance créatrice

 

tube ailes

7.     Tout commence par une idée 

 

Chaque expérience est d’abord une idée retenue en l’intelligence. Tout ce dont nous jouissons à un moment quelconque fut d’abord une idée dans l’intelligence, et tout ce qui nous dépouille du bonheur fut également en premier lieu une idée. L’Intelligence est entièrement neutre dans son activité créatrice ; elle travaille sans arrêt, même pendant que nous dormons, créant et donnant forme à ce que nous acceptons mentalement comme idées. Chaque entreprise ne fut d’abord qu’une idée dans l’intelligence de son fondateur. Chaque demeure qui se construit est d’abord une idée dans l’intelligence de son propriétaire. Chaque maladie est en premier lieu une idée dans l’intelligence de celui qui pense. La perte d’un travail, d’amis ou de sécurité est tout d’abord une idée retenue en l’intelligence. 

 

L’homme fait quelquefois objection à cette affirmation parce qu’il n’a pas toujours prêté assez d’attention pour se rendre compte de la qualité de sa pensée. Quelquefois une pensée n’est qu’un éclair momentané avant d’être mise en réserve dans les profondeurs de l’intelligence subjective. Une fois là, sous le niveau de la conscience, elle n’est plus reconnue par l’individu qui, parfois, nie avec indignation avoir jamais songé à pareille chose. mais la pensée enfouie est travaillée sans arrêt par la grande Loi de l’Intelligence et continue à faire monter en nous des sensations que parfois nous sommes embarrassés d’expliquer. 

 

Mais nous pouvons établir comme vrai que rien ne se manifeste jamais dans la vie extérieure sans avoir été accepté et mis en réserve par la vie subjective qui est plus qu’un entrepôt mental – elle est l’usine transformant des causes en effets selon la Loi qui ne varie jamais. La faculté de choisir de l’homme le rend capable de penser comme un ange ou un démon, un roi ou un esclave. Quelle que soit la chose qu’il choisit, l’Intelligence créera et manifestera cette chose. 

 

Jésus insista sur la nécessité de maintenir l’intelligence tournée vers notre centre spirituel et répéta avec insistance que, cette condition étant remplie, la perfection spirituelle affluerait par notre mental jusque dans nos physique. Réciproquement, si les états mentaux d’un être son envahis par le monde extérieur avec ses états physiques changeants, cet être continuera à expérimenter ce qu’il aura contemplé. Il y a là une grande vérité qui, trop souvent, n’est pas remarquée. Chaque fois que l’attention d’un homme est détournée du Centre spirituel éternel – qui ne connaît ni maladie, ni défaite – qui est l’image et l’aspect de Dieu en l’homme, qu’il se détourne de ce qui l’avertit de ce Centre divin, alors et alors seulement des manifestions physiques de la maladie deviennent apparentes. La méthode de guérir de Jésus consistait à nier la réalité de l’apparence extérieure pathologique pour affirmer la réalité de la perfection intérieure. 

 

Telle est la méthode employée aujourd’hui par des praticiens et consultants des méthodes mentales et spirituelles. Le point qui doit être bien compris, néanmoins, est que le traitement se passe entièrement dans l’esprit du praticien. Celui-ci n’exerce sur le patient aucun pouvoir de volonté. Il n’essaie pas d’influencer l’esprit du patient sauf lorsqu’il entre dans une explication des processus de la pensée dans le but d’éclairer la compréhension du malade. Quand nous arriverons aux méthodes véritables à employer dans un traitement mental, nous verrons que tout l’effort à faire par le praticien pendant la durée d’un traitement est de se convaincre lui-même sans l’ombre d’un doute que la personne pour laquelle il travaille est parfait, et d’écarter de son propre esprit toute croyance en une idée d’imperfection la concernant. 

 

Parce que nous voyons des signes évidents de l’Intelligence cosmique exerçant son activité parmi les étoiles, nous nous croyons entourés d’un océan d’Intelligence répandu jusqu’à l’infini ; nous pensons que cette Intelligence est la seule dans l’univers et que, lorsqu’un être quelconque pense, il le fait en se servant d’Elle. Ce que nous appelons intelligence individuelle n’est en réalité que de simples gouttes dans cet océan d’Intelligence, et pourtant elles sont cette Intelligence unique. L’Intelligence est indivisible, et c’est pourquoi ce qui est connu en un point l’est immédiatement en tout autre point de cette Intelligence. 

 

  

 

coeur dans L'Esprit  Guérisseur

 

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Don de guérison

Posté par othoharmonie le 18 septembre 2010

Don de guérison dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérirLe principe universel de la guérison (Fr. Bailes)(si vous avez des difficultés, alors pour mieux comprendre les pouvoirs de votre esprit, reportez-vous S.V.P à mon second blog :      http://channelconscience.unblog.fr/tag/humanite/   et   catégorie : Allan Kardec) 

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8.     Eloigner le témoignage des sens 

Le patient vient au praticien en se plaignant d’une maladie très réelle pour lui, dont l’évidence lui est révélée par ses sens. Le praticien sait que le témoignage des sens paraît réel, mais qu’il n’est pas l’ultime Réalité. Cette ultime Réalité est Esprit, Esprit immuable. Réalisant que le patient a une vue déformée de lui-même et de son état, le praticien doit guérir cette fausse croyance. Il se convainc lui-même par le raisonnement, par la vision nette de la Réalité, de la fausse conception du malade. Il doit absolument se tenir détaché de la fausse croyance apportée par le malade, comme le sauveteur doit empêcher les mains de celui qui se noie de se cramponner à lui. En se persuadant lui-même de la perfection spirituelle du patient, le praticien met en mouvement une idée vraie, opposée à l’idée fausse de celui qui souffre. Malade et praticien existant tous deux en la même Intelligence unique, le praticien a la certitude que le patient sait ce qu’il sait lui-même de la perfection spirituelle du malade, même si au moment présent cette connaissance se trouve entièrement dans l’intelligence subconsciente du patient, et est pour cette raison non encore reconnue par lui. Dès que le patient substitue à sa propre pesée imparfaite le pensée parfait du praticien, la guérison se manifeste. 

C’est le seule méthode que Jésus ait jamais employée. Il ne se fiait pas à la concentration, à la volonté, à la suggestion, à l’hypnotisme ni à aucun autre de nos procédés psychologiques bien connus. Il en appelait toujours à la Loi plus haute de l’Esprit contemplant l’image parfait en laquelle il se réfléchit lui-même, ensuite à la vertu créatrice de l’Intelligence qui reproduit cette image réfléchie et parfaite dans le corps, l’Intelligence et les circonstances de la vie du patient. On pourrait demander ici si le praticien n’use pas d’une forme subtile de suggestion. A cela nous pourrions répondre que si le patient s’imaginait simplement avoir la maladie et si le praticien s’imaginait simplement l’avoir guéri, tout le processus serait alors une espèce d’expérience irréelle de rêve. Il doit y avoir une loi selon laquelle des résultats physiques sont provoqués par le praticien chez le patient. 

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9.     L’image mentale est la réalité 

Cette loi pourrait être énoncée brièvement comme suit : l’image mentale est la réalité, et la forme extérieure est simplement la projection de cette réalité. L’Intelligence étant plus ancienne que le corps, elle a créé le corps. En fait, elle recrée continuellement le corps – une cellules à la fois. Le corps se renouvelle entièrement au bout de quelques années, mais l’Intelligence demeure continue, rappelant des expériences d’enfance soixante-dix ans plus tard. L’Intelligence donc doit être la cause et le corps l’effet. L’Intelligence doit être la substance et le corps l’ombre. L’ombre est toujours déterminée par la nature de la substance, par conséquent les conditions corporelles succédant à un traitement sont nécessairement un double de la conviction mentale retenue d’abord par le praticien et acceptée tôt ou tard par le patient. Il doit y avoir une acceptation mentale entière de la guérison complète du patient et chez le praticien et chez le patient. Quand on se traite soi-même, il faut naturellement faire siennes l’acceptation et la conscience de la perfection. 

Des centaines de cas dont l’authenticité est bien établie confirment que l’Intelligence modèle le corps. L’histoire est pleine d’exemples dans lesquels des marques physiques furent imprimées au corps par une contemplation mentale de certains types particuliers de blessures. Certains catholiques romains fervents ont pratiqué un exercice religieux nommé « Contemplant les blessures de Jésus ». Dans des centaines d’exemples démontrés, ces dévots ont véritablement produit dans leur propre chair les stigmates des blessures des mains, des pieds, du côté ou du front du Christ. Dans un cas notoire, celui de saint François d’Assise, adorateur de grande dévotion et entièrement consacré au Seigneur, des cicatrices se produisirent dans la paume de ses mains sous la forme de têtes de clous si réelles que ceux qui le préparaient pour son ensevelissement essayèrent de tirer les clous de ses mains avec des tenailles. 

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10.      Le don de guérison 

Si cette Loi d’Intelligence est capable de travailler contre la tendance de la nature en produisant un tissu morbide au lieu de chair saine, combien plus grande devrait être notre confiance lorsque nous approchons la question de la transformation d’un tissu malade en substance saine. Qui comprend la puissance et l’étendue de cette Loi d’Intelligence a à sa disposition une source d’énergie infinie. Sa confiance, par conséquent, ne repose ni sur quelque force intellectuelle lui appartenant à lui seul, ni sur quelque « don de guérir » supposé lui étant accordé, mais sur une chose infiniment plus grande que l’homme ; l’Intelligence cosmique vouée à l’usage de celui-ci et guidée par ses instructions. Voilà pourquoi nous disons qu’un traitement est « un mouvement défini de la pensée dans une direction spécifique, devant atteindre un résultat spécifique en se reflétant lui-même dans une forme matérielle ». 

Ce don n’est pas la propriété particulière de quelques favorisés ; il est offert à chacun

Nous pouvons y accéder tout autant que le plus grand maître. Mais ce don ne sera jamais nôtre avant que nous ayons accepté mentalement qu’il est véritablement nôtre, et que nous nous appliquions à le mettre en mouvement. 

Voilà pourquoi nous affirmons qu’il n’y a pas de maladies graves ou bénignes, curables ou incurables. Nous avons affaire à une Puissance et à une Intelligence qui ne connaissent ni grand, ni petit parce qu’elle dirigent avec aisance l’univers. Grandeur et petitesse sont des termes relatifs. Ce qui est grand pour l’intelligence limitée est petit pour l’Intelligence illimitée. 

Le médecin uniquement tourné vers le physique, donc ignorant cette Loi de la guérison, est limité par son propre art et par l’efficacité des médicaments qu’il administre. Il doit être exact dans son diagnostic, car celui-ci est la base de son traitement. Ensuite, il doit choisir avec sagesse le médicament ou le mode de traitement propre à ce diagnostic. Son attention est occupée par les effets matériels observés dans le passé par d’autres médecins eux aussi uniquement préoccupés de l’état physique. Il hésite à dépasser les observations signalées, bien que les quelques hardis pionniers arrivés au-delà de ces précédents aient été les garants des progrès splendides des sciences médicale et autres. Il confine autant que possible ses recherches au laboratoire, les publiant rarement avant qu’une série de tests cliniques soigneusement vérifiés par des techniques éprouvées l’aient convaincu d’avoir découvert une nouvelle méthode par laquelle on pouvait triompher des conditions matérielles. 

Nous, au contraire, nous essayons de secouer le passé qui nous lie par des chaînes du doute. « Cela n’a jamais été fait », tels sont le boulet et la chaîne qui ont empêché les hommes de revendiquer leur liberté. Les hommes dirent la même chose à Colomb, prédisant qu’il naviguerait jusqu’à ce qu’il tombât des bords d’une terre plate. Nous aussi, nous nous aventurons sur une mer imparfaitement délimitée, osant croire que nous voyageons vers un monde nouveau dans lequel les mots d’ordre sont : « Nous sommes la personnification de ce que nous pensons… Quoi que l’intelligence puisse concevoir, elle peut l’accomplir. » 

Et comme l’a dit Swedenborg : « Les anges lisent l’autobiographie de l’homme dans sa structure ». Des millions d’hommes émigrent vers ce monde nouveau et trouvent en lui le pays de la liberté, de la paix et de la santé.

coeur dans L'Esprit  Guérisseur

 A suivre…

Pour information supp. : 

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Victor

Posté par othoharmonie le 17 septembre 2010

Signature Prénom (Victor)

 Victor

 

Etude de prénom

 

Etymologie :  Victorieux (latin)

 

 

 

Victor dans Etude de Prénoms n9zmkp27

 

Fête : 21 juillet 

 

Qui sont les Victor ? 

   

Une certaine force tranquille filtre au travers de leur personnage, au demeurant réservé et équilibré. Victor sont des êtres sécurisants, ennemis des complications de la vie. Ils cherchent à plaire et à vivre en harmonie avec les autres. Le sentiment prend une place importante dans leur existence. Tout chez eux se passe par coups de coeur, que ce soit pour choisir un vêtement, un livre ou pour un choix professionnel. Ce sont aussi des amis merveilleux, disponibles, généreux et hospitaliers, qui savent partager simplement. 

 

Ils sont particulièrement sensibles à l’esthétique, à la beauté ou à l’art et sont des artistes nés, d’un raffinement exquis, sensuels et hédonistes. Parfois narcissiques ou simplement coquets, ils peuvent se montrer perfectionnistes, voire maniaques, au point de focaliser sur certains petits détails primordiaux à leurs yeux. Extravertis, ils sont sociables mais souvent influençables, notamment par les êtres qu’ils aiment ainsi que par leur famille. Ils hésitent souvent, tant dans leurs choix professionnels que dans leurs inclinations affectives. Leur volonté n’est pas toujours dominante face aux sollicitations sensorielles ou aux sentiments. Néanmoins, ils sont actifs et travailleurs, même si leur rythme est inégal, et possèdent en général une grande conscience professionnelle.

 

 Enfants, Victor sont charmants, tendres, gourmands, affectueux, et usent de leur charme sur leurs parents qu’ils savent parfaitement manipuler avec douceur et habileté. Ils sont très soucieux de plaire, désireux de faire plaisir et supporteront très mal un déséquilibre ou une dysharmonie familiale. Ils préféreront se désintéresser de leur famille et fuir plutôt que de supporter des tensions. L’injustice leur est insupportable et les fait immédiatement réagir. La collectivité les stimule et les activités de groupe leur conviennent pleinement. De plus, toute activité artistique est à encourager et pourra déboucher sur une future profession. 


Qu’aiment-ils ? 

Plaire, charmer, apporter chaleur et réconfort aux autres, tel est leur bon plaisir… La sphère sentimentale est primordiale chez eux, toujours en quête de l’âme soeur. Mais le problème du choix n’est pas si évident que cela pour ces Roméo dont souvent le coeur balance, et qui trouvent au harem une forte séduction !… La famille est également importante et Victor  sont des pères remarquables et attentifs, une fois leur donjuanisme dépassé ! 


Que font-ils ?

 

Indécis au moment du choix professionnel, ils peuvent être tentés de rechercher la facilité en reprenant une entreprise familiale par exemple. Sinon, deux grandes orientations les tenteront : la sphère artistique ou esthétique, les activités où ils se sentiront directement utiles aux autres (domaines médical, paramédical, justice), tout ce qui touche au confort, à l’immobilier, à la maison, à la gastronomie, à la famille et à son bien-être… 

 

 

 

Extrait de choisir son prénom, choisir son destin de Martine Barbault  

 

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h98ho3qa dans Etude de Prénoms

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