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Prénom : Colette

Posté par othoharmonie le 5 septembre 2010

ETUDE ET SIGNIFICATION DES PRENOMS  

Prénom : Colette dans Etude de Prénoms 00020540

   

Les….. Colette

 Etymologie :  Victoire du peuple (grec). 

Fête : 6 mars 

  

  

1e1cd5e3 dans Etude de Prénoms: Volontaires, efficaces, entreprenantes, actives et courageuses, elles ont une puissante personnalité et tendent à diriger et à commander. Elles aiment briller, impressionner et attirer le regard sur elles. Elles sont originales et leur allure est altière (elles sont souvent marquées par le signe du Lion). Les Colette méprisent la médiocrité et ne sont pas faites pour les rôles subalternes. Aussi ne supportent-elles pas l’échec qui les rend aigries, envieuses ou amères. Heureusement, elles savent parfaitement saisir les opportunités qui s’offrent à elles et sont rapides d’exécution. Sensibles au standing, elles apprécient les bijoux, les fourrures. Par ailleurs, impatientes et pressées, elles ont tendance à être irritables et man­quent de tolérance parfois. 


Fillettes, elles se montrent parfois indociles, fières et susceptibles. Elles sont tyranniques et exclusives et ont du mal à partager avec leurs frères et soeurs, d’autant qu’elles aiment cultiver leur jardin secret. 

1e1cd5e3Qu’aiment-elles ? 

Si les domaines matériel et concret les intéressent, elles sont aussi, contradictoirement, attirées par le monde de l’esprit. Elles apprécient des périodes d’isolement ou de solitude dans la tranquillité, où elles passent du temps à réfléchir, méditer, s’enrichir intellectuellement. 

L’étrange, le merveilleux ou l’ésotérisme (surtout si elles sont nées en juillet ou un 7, 16, 25 ou possèdent un chemin de vie 7) les fascinent ; surtout Albane et Anne-Cécile qui sont karmiques en 7 et en 8. 


En amour, Colette ne laisse pas paraître ses émotions et ses sentiments. Elles sont particulièrement mystérieuses et insaisissables. Elles recherchent avant tout une communauté de vues ou d’intérêts, et sont extrêmement sélectives dans le choix de leur partenaire ou de leurs amis. Intuitives, elles sont fines psychologues, et si elles connaissent parfaitement leur conjoint, elles attendent d’être devinées par lui… 

1e1cd5e3Que font-elles ? 


Peu orientées en priorité sur la vie de couple et de mère, les Colette voudront en premier lieu réaliser leur vie personnelle et professionnelle. Ainsi seront-elles attirées par des professions libérales, le domaine de la finance ou de l’expertise, les spécialités techniques, l’Administration, les activités liées aux bijoux, à l’orfèvrerie, au luxe ou à la mode. 

Extrait de choisir son prénom, choisir son destin de Martine Barbault

sigantures C GROS BISOUS   00020155 

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Traitement mental

Posté par othoharmonie le 5 septembre 2010

Traitement mental dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérir Le principe universel de la guérison(si vous avez des difficultés, alors pour mieux comprendre les pouvoirs de votre esprit, reportez-vous S.V.P à mon second blog : http://channelconscience.unblog.fr/allan-kardec/manifestation-intelligente/     catégorie : Allan Kardec) 

 

-         5  – LA PRATIQUE DU TRAITEMENT MENTAL    

La technique du traitement mental peut être dirigée selon plusieurs méthodes différentes. En dernière analyse, chaque individu doit élaborer sa propre formule de mots à employer et, si possible, sa propre méthode. Ce qui suit est la méthode que l’auteur a trouvée éminemment heureuse pour lui-même aussi bien que pour beaucoup d’autres auxquels il l’enseigna pendant les vingt dernières années. Si quelqu’un, en se développant, désire modifier cette méthode, il a le droit de le faire aussi longtemps qu’il ne varie pas en ce qui concerne les fondements par lesquels il dirige l’Intelligence universelle vers l’action.

 

000200C5 dans L'Esprit  Guérisseur

  

1.     L’action mentale 

Un traitement est une action mentale, un mouvement défini de l’Intelligence dans une direction spécifique et pour une personne spécifique. Il n’est pas nécessaire d’imposer les mains à une personne qu’on traite ; nous nous dissocions ainsi immédiatement de tous les genres de « guérisons magnétiques ». En outre, nous n’employons l’hypnotisme dans aucun sens du terme. Le psychiatre emploie l’hypnotisme de façon à pouvoir déplacer la barrière de l’intelligence consciente et découvrir le subconscient pour y planter ses propres suggestions. Nous n’avons pas de critique à émettre, car la psychiatrie fut l’agent qui permit de faire disparaître complexes et obsessions, et le psychiatre se sert de bien plus que d’hypnotisme. 

Nous mentionnons ici l’hypnotisme afin d’éclaircir notre position dans l’art de guérir. Nous n’employons pas l’hypnotisme. Nous ne nous servons pas de la force de volonté pour imposer nos idées ou nos images à la volonté plus faible du patient, ce serait user de force personnelle. Nous ne nous servons pas de suggestion comme celle qui implique la répétition de certaines formules. Nous usons de mots, mais ils ne servent que dans le but de communiquer des idées précises, et c’est l’idée qui est à la base, qui guérit. Nous n’avons pas de formule magique qui puisse être répétée en temps de détresse et qui, par son pouvoir, fait disparaître cette détresse. Tout cela entre dans le cadre de la suggestion. Nous n’essayons en aucune façon d’influencer l’esprit du patient. Nous « n’envoyons pas une pensée » ni ne « retenons une pensée » pour un autre. 

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2.     Chacun est parfait dans l’Esprit de Dieu 

Un traitement mental et spirituel se déroule entièrement dans l’esprit du praticien. Le point de départ de ce dernier est la vérité fondamentale que la personne traitée est une idée parfaite dans l’Esprit de Dieu, et toute la façon de procéder du praticien est destinée à éloigner de son propre esprit toute idée ou image d’imperfection ou de maladie concernant le patient, qu’il se traite lui-même ou qu’il traite une autre personne. S’étant convaincu du fait que l’Intelligence a créé un véhicule parfait par lequel l’Esprit désire s’exprimer, et ayant constaté de quelle manière merveilleuse l’Intelligence se précipite pour réparer le corps lorsque quelque chose va mal, il essaie alors de placer sa propre pensée sur le même plan que l’Intelligence universelle. Il agit donc au-dedans de lui-même, afin de détruire en lui toute croyance en la déformation physique apparaissant chez la personne en traitement. 

Le patient a accepté la croyance qu’il est malade, le praticien refuse de se joindre à lui en cette croyance. Il sait que la croyance en cet état maladif maintien cette réalité vivante chez le patient ; il s’ensuit qu’il lui faut croire lui-même en la réalité de la perfection s’il veut arriver  à neutraliser la fausse croyance de celui sui souffre. 

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3.     Il n’y a qu’une Intelligence 

Le praticien sait qu’il n’y a pas plusieurs intelligences, c’est-à-dire que chaque individu n’a pas une intelligence séparée de l’intelligence de son voisin et séparée de l’Intelligence universelle. Il sait qu’il n’est dans l’univers qu’une seule Intelligence embrassant tout, que ce que nous appelons nos intelligences individuelles est exactement la quantité de l’Intelligence universelle dont nous nous servons lorsque nous pensons. Il sait qu’il est impossible pour cette Intelligence Une d’être à la fois malade et bien portante. Il sait que lui-même est bien portant en la même Intelligence en laquelle celui qui souffre croit être malade. 

Une fontaine ne peut pas dispenser en même temps et de l’eau douce et de l’eau amère ; par conséquent, ou bien les gens bien portants ne sont pas bien portants, ou bien les gens malades ne sont pas malades. Les deux ne peuvent pas dire la vérité en décrivant leurs états physiques opposés. Et par tout ce que le praticien a appris de l’univers, il sait que la santé est normale alors que la maladie est anormale

En outre, il sait que la Loi de l’Intelligence est une Loi de réflexion qui travaille sans arrêt. En allant et venant, la navette de l’Intelligence travaille à former avec des particules de matière un modèle matériel, et ce modèle est l’exacte reproduction du modèle mental placé devant elle. Comme celui qui souffre maintient en lui-même un modèle de maladie, le praticien devra maintenir en lui un modèle de santé, et en prononçant sa parole avec confiance en l’obéissance de l’Intelligence subjective universelle, il est ainsi capable de diriger ce Travailleur Géant et de lui faire suivre son propre modèle de préférence en lieu et place de celui du patient. S’il travaille pour lui, alors que ses sens lui disent qu’il est malade, son intelligence objective doit lui affirmer consciencieusement et délibérément que le témoignage des sens est incorrect et déclarer sa perfection divine. 

Chacun sait qu’en des moments de grande excitation – une bataille ou un sauvetage – ceux qui y sont engagés ne sentent pas la douleur des coups qui serait atroce si l’esprit acceptait le témoignage des sens. Il nous est donc possible de maintenir notre esprit dans une direction telle que nous en oublions la douleur, la nausée et d’autres désagréments. Pour bien des gens, il faut une grande crise pour les rendre capables de cet oubli, mais le point essentiel est que cela a été fait et peut être fait.   

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 4.     La symbiose médecin / patient 

La première chose à faire dans un traitement est d’obtenir un relâchement aussi complet que possible. Prendre une position qui assure un relâchement physique. Détendre l’esprit. On ne peut bien traiter si on est sous l’influence de la peur, des soucis, de la colère ou de l’anxiété. Cette détente mentale peut être amenée par la calme méditation du fait que nous vivons dans un univers qui nous veut du bien, que l’Intelligence universelle cherche toujours à pousser le bien vers nous. Nombreux sont ceux qui parviennent au calme et à la détente en lisant tranquillement quelques pages d’un bon livre traitant de ce sujet. Beaucoup se servent à cet effet des Psaumes XXIII ou XCI. Mais quelle que soit la méthode employée pour obtenir cette détente mentale, elle est la condition première et essentielle d’un traitement heureux. 

Dès lors, puisque le praticien sait que tous deux – celui qui traite et celui qui souffre – sont dans la même Intelligence Une, et puisque ce qui est connu en un point de l’Intelligence doit forcément être connu en tous les points, il s’ensuivra que le calme détachement, chez le praticien, du mal qui étreint le patient devra être en même temps, l’état réel, mais non encore reconnu de ce patient. Ainsi, celui qui souffre commence très souvent à se sentir mieux dès qu’il se trouve en présence du praticien, ou bien au moment où il vient de raccrocher le téléphone après lui avoir demandé de l’aide. 

En d’autres cas, ce calme obtenu par le relâchement n’est pas éprouvé immédiatement par celui qui est traité ; mais celui qui traite continue à savoir en lui-même que dans les profondeurs de l’Intelligence subjective il y a toujours un calme, et que l’état mental troublé du patient est simplement une émotion de surface. Finalement, ce que le praticien connaît profondément en lui-même sera connu consciemment par le patient. 

Le mieux est de traiter la personne sous ses nom et prénom habituels. Afin de préciser encore davantage, il est bon d’ajouter l’adresse dans le but de rendre le traitement plus personnel. On pourrait donc dire ; « Je prononce ces mots pour Pierre Durant, 158 Bd Péreire, Paris, France pour lequel je fais ce traitement« , ou bien : « Ce traitement est pour mon fils Michel qui, en ce moment, est ici dans cette chambre avec moi« . 

coeur

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Aucune pensée ne meurt

Posté par othoharmonie le 5 septembre 2010

Aucune pensée ne meurt dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérir Le principe universel de la guérison

(si vous avez des difficultés, alors pour mieux comprendre les pouvoirs de votre esprit, reportez-vous S.V.P à mon second blog : http://channelconscience.unblog.fr/allan-kardec/manifestation-intelligente/     catégorie : Allan Kardec)

coeur dans L'Esprit  Guérisseur

5.     Aucune pensée ne meurt 

Nous ne parlons pas dans le vide : notre pensée va quelque part, mais jamais ne meurt ni ne s’efface. Nous sommes entourés d’un océan d’Intelligence, cette Intelligence créatrice de l’univers qui reçoit notre pensée exprimée par nos paroles et qui entreprend immédiatement de la traduire sous une forme matérielle parce qu’elle agit ainsi sans arrêt envers toute pensée. Reconnaissons le fait que cette Intelligence à la faculté de créer n’importe quoi, et qu’elle est prête à créer aussi volontiers l’état de santé que l’état de maladie parce qu’elle est la Servante de l’Esprit et que l’homme est Esprit. Soyons convaincus de l’obéissance absolue de cette Loi d’intelligence au commandement de l’Esprit, et l’assurance qu’elle déploie tout son pouvoir dans la direction vers laquelle elle est menée par notre parole. 

Cet océan d’Intelligence s’étend à travers l’univers ; c’est toujours la même Intelligence créatrice bien loin dans l’espace, au-delà du soleil et des étoiles, à New York, Paris, Moscou, Dakar ou Pékin, la distance n’est donc pas une barrière pour un traitement couronné de succès ; réalisons que cette Intelligence remplit l’espace entier dans la ville où l’on travaille, rempli la pièce où l’on est assis, remplit notre propre conscience et qu’elle est notre propre conscience aussi bien que celle du patient que nous traitons. 

Soyons consciemment Un avec cette Intelligence Une ; le praticien lui-même, le malade et cette Intelligence ne font qu’UN dans le Grand Tout. Il ne peut jamais y avoir entre eux aucune séparation et cette personne traitée a entretenu en elle la notion fausse qu’elle était séparée de Dieu ; il est possible qu’elle n’ait pas exprimé cela exactement en ces termes, ni même qu’elle ne soit rendu compte qu’elle le pensait. Mais le fait demeure que l’Esprit n’est pas et ne peut jamais être malade, la personne souffrant de maladie peut ainsi nourrir cette idée uniquement parce que convaincue qu’elle était séparée de Dieu. 

Qui voit et connaît son unité essentielle avec l’Esprit sait qu’il ne peut pas être malade plus que Dieu ne peut l’être. Cette apparence de maladie donc doit être la forme d’une pensée altérée n’ayant aucune base dans la réalité, et n’ayant pas d’existence séparée comme entité. 

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6.     La maladie n’a aucun droit sur le corps 

L’unique loi de l’univers est la Loi d’unité. Tout ce qui est dissemblable de l’Un ne peut être réel. Par conséquent, le mal qui apparaît dans toute sa laideur n’a aucune Loi pour le soutenir. Son existence ne saurait avoir aucune base vraie. 

Aucune place ne fut ménagée pour lui dans le corps lorsque l’Intelligence créa ce corps. Il peut être douloureux et terrifiant, mais c’est là une fausse terreur, exactement comme les expériences douloureuses qu’on subit dans un cauchemar disparaissent au réveil alors même qu’elles paraissent bien réelles pendant le sommeil. La maladie n’a aucun droit sur le corps. Elle est un usurpateur, ne se maintenant en sa forme qu’en leurrant sa victime. 

Sur ce point, il serait bon de remarquer que dans nos traitements nous ne consacrons pas beaucoup de temps et d’attention à la contemplation de la forme-maladie. Plus nous la regardons ou la discutons, plus nous renforçons la fausse réalité dont nous l’investissons. Nous ne lui accordons que juste assez d’attention pour savoir ce que nous devons traiter ; ensuite, nous nous détournons d’elle pour nous tourner vers la contemplation spirituelle du patient, que nous savons être la véritable Réalité. 

Chaque fois que l’on se trouve saisi d’un sentiment d’horreur ou de dégoût à l’aspect d’un malade, on devrait se traiter soi-même pour se rendre compte que cet aspect est irréel et qu’il est minuscule et futile comparé à l’Intelligence de l’univers. Chaque fois que le praticien se surprend à considérer une forme de maladie comme grande, difficile ou incurable, il devrait s’élancer par la pensée à travers l’univers et emplir sa conscience des preuves évidentes de la grandeur, de l’étendue, de la puissance et de la sagesse infinies de cette Intelligence créatrice, devant laquelle cette forme laide n’est rien. De cette façon il refuse de s’unifier avec cette forme-maladie, unifiant sa personne et le patient avec l’Intelligence créatrice et son merveilleux pouvoir de guérir. 

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7.     Le doute ne doit pas exister 

Quand le praticien voit et sent en lui-même que le malade devant lui est parfait, il est arrivé au point où son traitement va devenir efficace. Mais quelquefois, pour parvenir à cette certitude, il lui faut dissiper ses propres doutes, lesquels peuvent persister sous l’influence de diagnostics médicaux sur l’incurabilité de la maladie, ou encore provenir de l’évidence et de l’acuité de la détresse du patient, détresse dont le praticien peut être affecté en son propre mental. 

Quelle que soit leur origine, ces doutes doivent être chassés avant que le traitement puisse avoir du succès. On devra peut-être passer par une suite de raisonnements pour arriver à ce point. Le praticien devra peut-être discuter avec lui-même, ce qui est parfois l’un des aspects les plus importants du traitement. Il lui faudra peut-être répéter à maintes reprises : 

« Je ne me soucie pas de ce que disent les médecins. L’Intelligence peut ressouder un os cassé, eux ne le peuvent pas. L’Intelligence peut fabriquer des hormones qu’ils ne savent pas comment réaliser. L’Intelligence opère par un anesthésique pour calmer la douleur, et elle peut, sans moyens matériels pour supprimer la souffrance, amener le calme, la paix, le repos et la libération de toute douleur. Je sais que cette douleur n’est pas réelle parce que l’Esprit ne peut éprouver aucune douleur, et ce corps est substance spirituelle pure en toute cellule nerveuse ou autre. 

« Où habite l’Esprit règnent toujours la paix, le calme, le repos la confiance, la perfection. L’Esprit se trouve en ce moment à l’endroit même où cette laide et fausse manifestation essaye de se rendre réelle, et Il passe à travers afin de remplir de sa propre Présence chaque simple petite cellule. Partout où passe cette Présence elle guéris toutes les formes fausses, et je traite ma fausse croyance afin de reconnaître que l’Esprit est tout ce qui est et que ce corps entier de la tête aux pieds, de l’atome le plus caché au-dedans jusqu’à la partie de la peau la plus exposée, est la résidence de bien d’autre que l’Esprit. » 

« Quelle que soit la cause de la perturbation à l’intérieur de ce corps, elle n’a aucun droit à se trouver là, n’a pas la moindre autorité ou puissance, n’a pas la faculté de produire douleur ou souffrance. Nul poison ne peut rester un poison en la présence de l’Esprit, car Dieu fit toutes choses bonnes et, selon la Loi de l’harmonie, rien dans une partie du corps de Dieu ne pourrait désirer nuire d’une façon quelconque à toute autre partie de ce corps. Toute chose dans l’univers coopère avec toutes les autres afin de ne voir aucune hostilité, mais seulement une activité harmonieuse bienfaisante dans ce corps. Dieu est, et Il rempli ce temple de la Présence de Sa Paix, de Sa Santé et de Sa perfection, en ce moment même ». 

Une fois que le praticien est arrivé au point où il réalise la perfection intérieure éternelle de celui qu’il traite, il le saura car il sera arrivé lui-même à un point de tranquillité, de calme confiance intérieure, juste comme s’il était arrivé à travers une mer houleuse et une barre redoutable dans la sécurité des eaux du port. Lorsque ce point est atteint, le praticien est prêt à céder sa part du travail à l’Intelligence. Cet aboutissement à la réalisation intérieure peut prendre une seconde ou une heure ; la durée variera à différents moments de la même semaine parce que, après tout, celui qui traite est toujours un être humain, quelquefois mal influencé par ses propres dispositions d’esprit. 

En parlant de disposition d’esprit, nous voulons dire qu’étant enfant de la race humaine, nous sommes empreints de la mémoire collective de cette race. Nous avons hérité d’un grand fond de pensée concernant notre espèce qui connut beaucoup de défaites, de peines et de maladies. Mais nous n’avons pas besoin de nous sentir liés par les chaînes de la croyance en la race, et plus notre connaissance de la Loi s’élève, plus nous débarrassons notre vision spirituelle des nuages de la pensée négative, plus directement et rapidement nous arrivons à ce haut point de réalisation – la réalisation de la perfection spirituelle de celui que nous traitons ou, lorsque nous nous traitons nous-mêmes, la réalisation de notre propre perfection spirituelle. 

Rappelons-nous que nous devons nous libérer de tout sentiment de responsabilité quant au résultat du traitement. « Le Père ne moi, c’est Lui qui fait le travail. De moi-même, je ne puis rien faire », cela devrait être gravé dans le cœur de tout thérapeute en ce domaine. Nous ne sommes jamais responsables de la guérison, et nul honneur ne devrait être recherché lorsque celle-ci est accomplie. D’autre part, lorsque nous réalisons que nous ne sommes pas responsable d’une choses ; mettre en mouvement la Loi, cela nous libère de toute nervosité et de toute incertitude.

coeur

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La Loi d’Intelligence

Posté par othoharmonie le 5 septembre 2010

La Loi d'Intelligence dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérir – Le principe universel de la guérison(si vous avez des difficultés, alors pour mieux comprendre les pouvoirs de votre esprit, reportez-vous S.V.P à mon second blog : http://channelconscience.unblog.fr/allan-kardec/manifestation-intelligente/     catégorie : Allan Kardec) 

dyn002_original_350_350_gif_2585831_bb71f4715b05814866183f64658e5b68 dans L'Esprit  Guérisseur

8.     S’en remettre au Grand Médecin 

Nous arrivons maintenant au moment où notre part du traitement est pratiquement terminée. Jusque-là, notre responsabilité fut d’édifier l’image claire de la perfection toujours présente de nous-mêmes et de celui que nous traitons, d’écarter tous doutes en ce qui concerne cette perfection et toute crainte que le pouvoir de cette Intelligence ne soit pas assez fort pour manifester la santé en la personne traitée. A présent, nous remettons notre image parachevée de la Perfection au Grand Médecin, l’Intelligence universelle que nous pouvons décrire comme le Serviteur se tenant à notre côté pendant que nous écrivons nos instructions. 

En fait nous disons : « Voici mes instructions. Vous êtes un Serviteur parfait. Je sais que vous les exécuterez à la lettre parce que vous n’avez encore jamais failli. » Ayant dit cela, nous nous détournons et nous occupons de nos autres affaires, sachant au fond de nous-mêmes que nous avons mis en mouvement la Loi, que nous lui avons donné la pensée modèle parfaite, et qu’immédiatement elle a mis en œuvre son activité créatrice pour façonner notre pensée. En réalité, nous pourrions nous servir des mots exacts cités ci-dessus comme de la méthode à suivre pour remettre le traitement à l’Intelligence, abandonnant notre parole et notre idée parfaite à la seule énergie créatrice du monde. Cela devrait être un abandon complet. 

Lorsqu’on se surprend à retourner sans cesse vers le sujet et à traiter trop fréquemment, il est évident que l’on n’a pas complètement abandonné ses paroles à l’Intelligence. S’il en est ainsi, cela démontre que le praticien n’a pas encore entièrement compris qui, en réalité, fait le travail. Son effort mental n’aide pas la Loi qui possède tout le pouvoir nécessaire pour parachever n’importe quelle guérison, peu importe la gravité du cas à l’échelle de la vue humaine. L’effort du praticien est tendu vers un but, et un seul ! présenter à l’Intelligence la pensée modèle parfaite. Celle-ci une fois remise, c’est le Père qui est à l’œuvre, et les faibles efforts de l’homme n’aideront en rien. Ainsi, si le praticien se surprend à donner une petite poussée, il devrait se reprendre et dire ; « eh bien, je suis content que la Loi d’Intelligence soit à l’œuvre dans ce cas ! Je sais qu’elle fait un travail sérieux, compétent et parfait ». 

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9.     Lâchez prise 

Un simple exemple pourrait être ici de quelque secours. Supposons qu’un cuirassé se soit échoué sur la grève à marée basse et ne puisse se dégager. Qu’allons-nous faire ? 

Embaucher cent mille hommes pour le pousser au large. 

A un individu ignorant les lois de l’univers cela paraîtrait peut-être la meilleure chose à faire. Mais un homme pourrait intervenir ; « Attendez quelques heures, jusqu’à ce que se manifeste la Loi des marées« . Lentement, la marée qui monte amène sous ce lourd cuirassé et autour de lui l’aide puissante de l’océan, le soulevant aussi aisément qu’on soulèverait une épingle, le renflouant de telle façon que les machines puissent de nouveau l’entraîner vers la haute mer. Il serait plutôt ridicule qu’un homme restât seul dans l’eau à s’efforcer et tirer violemment, essayant d’aider la marée à soulever le navire ou poussant à l’arrière de celui-ci pour l’aider à gagner le large. C’est précisément ce qui se produit lorsqu’on continue à faire des efforts après voir abandonné le traitement de la Loi d’Intelligence. Lâchez prise et confiez-vous à elle, elle ne faillira pas

J’ai constaté que c’est une bonne chose de remercier le Serviteur lorsqu’on lui abandonne la personne traitée. La Loi est entièrement impersonnelle et n’est donc pas affectée par nos remerciements, mais lui rendre grâce et la glorifier apporte quelque chose au praticien. Cela l’aide à affermir en lui la certitude que l’affaire entière est dès lors en mouvement, sous une direction compétente, et qu’il a mis en marche quelque chose que rien ne peut arrêter. Généralement, nous ne rendons pas grâce pour une chose que nous sentons ne pas avoir reçue ; cette gratitude est donc un signe que nous croyons réellement en ce que nous avons dit.

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10.     Nombre et répétition des traitements 

Nous avons mis en garde contre le « surtraitement ». Mais ici s’élève une interrogation : « Un seul traitement suffit-il ? » En vérité, un seul traitement devrait être tout ce qu’exige un état de maladie. Pour autant qu’on le sache, il ne fut jamais nécessaire à Jésus de dispenser plus d’un traitement. Mais, peu de gens, si jamais il y en a, ont la vision et l’illumination de Jésus. C’est sans doute lui qui eut la vision la plus pénétrante parmi tous ceux qui vécurent jamais. Il avait un tel sentiment d’unité complète avec le Divin que lorsqu’il prononçait sa parole de commandement, c’était comme la voix de Dieu. « Moi et le Père nous sommes un » n’était pas une répétition vide comme elle l’est parfois dans la bouche de quelques-uns d’entre nous. c’était une conviction inébranlable, parce que Jésus connaissait cette unité sans l’ombre d’un doute. 

Même pour les meilleurs d’entre nous, nous restons bien en dessous de son idéal sublime, par conséquent nous trouvons nécessaire de répéter les traitements de temps en temps. La ferme certitude de la guérison se communiquait par l’Esprit à la plupart de ceux qu’il traitait, sauf à Capharnaüm, « où il ne put faire d’œuvres puissantes à cause de leur incrédulité ». Notre vision ne pénètre pas toujours au travers de l’incrédulité de ceux que nous traitons. Rappelons-nous que le traitement n’est achevé que lorsqu’il est accueilli en la conscience de celui qui le reçoit avec une entière acceptation mentale ; un traitement répété est donc parfois nécessaire à cause de la conscience obscurcie du patient. 

Généralement, deux ou trois traitements par jour sont le maximum à appliquer à n’importe quel cas. Si l’un de ces cas persiste à se rappeler au praticien pendant les intervalles du traitement, il peut se dire tranquillement à lui-même : « Je suis content que la Loi d’Intelligence s’occupe de ce cas » et l’écarter de son esprit. Quand il s’agit de continuer les traitements jusqu’à leur pleine acceptation mentale par le patient, chacun d’eux devrait être exécuté comme une action séparée. Donnons chaque traitement comme si nous n’en avions jamais donné d’autre auparavant à cette personne. Repartons chaque fois du commencement pour arriver enfin à l’entière réalisation de la perfection du patient, et pour remettre cette image parfaite à l’Intelligence, avec le même complet abandon. Lorsqu’on pense qu’on aura à appliquer plusieurs traitements, ou même des séries de traitements, gardons-nous de la tendance à admettre qu’il n’est là point de perfection. Des séries de traitements sont nécessaires dans bien des cas. Quelques-unes des guérisons les plus manifestes que j’ai observées résultèrent de traitements échelonnés à travers plusieurs mois. Très souvent cela demande du temps à celui qui souffre d’atteindre le point où il n’oppose plus aucune résistance à l’Intelligence. 

Ainsi, si plusieurs traitements semblent s’avérer nécessaires, soyez soucieux de ne pas regarder la personne en pensant ; « Cela va prendre un temps fort long ! » En agissant ainsi, vous reniez votre propre conviction en la perfection immédiate chez la personne traitée. Une chose que le praticien doit toujours maintenir en premier lieu dans son esprit est que tous les hommes sont maintenant parfaits, sauf en leur propre esprit et en l’esprit de leurs parents, amis, docteurs, et de toutes personnes avec lesquelles ils peuvent avoir discuté de leurs malaises. 

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11.      Restituer l’image pure originelle 

Le praticien ne guérit jamais celui qu’il traite. Son rôle est de connaître l’éternelle Perfection, de la déclarer, de démentir la réalité et la vérité de toute apparence du contraire, et d’attendre avec confiance que le grand Serviteur manifeste que la santé reconnue par le praticien existe en ce moment même. Puisque l’Intelligence est la substance et le corps l’ombre, comme nous l’avons déjà montré, cette forme de maladie n’a pas de réalité ; elle est seulement l’ombre projetée par la forme altérée de la pensée, et en effaçant cette déformation pour lui substituer la pensée modèle d’une perfection qui ne fut jamais amoindrie, la vérité profonde de l’être rayonne à nouveau. Elle avait toujours été présente et ne peut jamais être perdue. Mais elle avait été recouverte temporairement par une image imparfaite. En guérissant nous resituons au Serviteur l’image pure placée devant lui lorsqu’il édifiait le corps  d’un enfant à naître. 

Qu’il nous soit permis, en terminant ce chapitre, d’offrir un mot d’encouragement. Ne vous découragez pas si les guérisons ne sont pas bien manifestes au début. S’il est vrai que des débutants obtiennent souvent les plus belles guérisons, il est vrai aussi que, un travail heureux dans ce domaine étant basé sur une connaissance exacte et une illumination intérieure claire, plus nous apprendrons, plus notre compréhension deviendra manifeste et, en « croissant en grâce » nous verrons se développer notre pouvoir de guérir avec succès. 

L’Intelligence unique se trouvant simultanément en tous les lieux, on peut traiter avec succès une personne éloignée de milliers de kilomètres. J’ai ainsi moi-même soigné avec succès des sujets se trouvant aussi loin que la Nouvelle-Zélande ; ayant commencé, je n’ai ensuite pas hésité à traiter n’importe qui, n’importe où. 

coeur

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