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Comment édifier sa foi

Posté par othoharmonie le 13 septembre 2010

Comment édifier sa foi dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérirLe principe universel de la guérison.(Dr Bailes

(si vous avez des difficultés, alors pour mieux comprendre les pouvoirs de votre esprit, reportez-vous S.V.P à mon second blog :      http://channelconscience.unblog.fr/tag/pensee/   catégorie : Allan Kardec

 

 

 

 

-         4 – COMMENT EDIFIER UNE FOI FORTE 

  

 

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La plus grande difficulté peut-être que rencontre la personne entrée dans le domaine de la guérison mentale et spirituelle est le sentiment d’un manque de confiance : « Je cois que ceci est la vérité et je vois des gens qui ont en elle une grande foi, mais sans doute suis-je sceptique de nature car je suis incapable de soulever en moi une foi aussi forte, quels que soient les durs efforts que je fais ».

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1.     La foi repose sur son objet 

 

Ces gens mettent la charrue avant les bœufs. La foi n’est pas un état émotionnel que l’on « exalte ». Ce n’est pas quelque chose comme de l’air dont nous gonflons une bouée que nous transportons. La foi ne se trouve pas dans le sentiment que nous développons ; elle repose toujours sur son objet, et quand cet objet est assez fort aucune question ne se pose plus. La foi suit naturellement la connaissance. Nous acquérons d’abord la connaissance et ensuite nous nous apercevons que nous possédons déjà la foi, qu’elle vient de son propre gré lorsqu’elle trouve un sujet assez substantiel sur lequel reposer. 

 

Un voyageur dans une contrée étrangère trouverait difficile de développer en si une foi le convainquant qu’un fruit nouvellement découvert n’est pas vénéneux. Mais en voyant d’autres personnes en manger sans dommage, il n’aurait pas à fouetter sa foi car il aurait immédiatement confiance en l’innocuité du fruit. 

 

Toute foi est basée sur l’observation et la connaissance, et c’est le but de ce chapitre de montrer combien, il est facile d’avoir confiance en cette Loi de guérison. Si le lecteur veut bien oublier tout ce qui concerne sa foi – ou son manque de foi – il trouvera en progressant que sa foi s’élèvera au niveau exact de sa connaissance de la Loi. 

 

La foi n’est pas bâtie sur l’incertitude ou sur la révélation. Nous n’avons à accepter nuls écrits sacrés. Droit devant nos yeux se trouve le Constructeur le plus parfait de la foi que nous ne verrons jamais. Le corps humain est le plus grand exemple de l’activité de l’Intelligence divine qu’il soit possible de voir au monde. Bien compris, ses travaux et ses activités établiront la base d’une foi qui fera de n’importe qui un guérisseur de lui-même et des autres

 

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2.     La merveilleuse machine humaine 

 

Le corps humain est la machine la plus merveilleuse qui ait jamais été construite. Il est plus grand que les sept merveilles du monde antique réunies, plus complexe que la machine la plus compliquée jamais inventée par l’homme. Il se dresse tel un témoignage vivant des opérations de l’Intelligence, car là où nous pouvons l’observer nous avons la preuve manifeste de l’Intelligence divine et de la manière dont elle procède. 

 

Du moment de la conception jusqu’au dernier soupir, nous pouvons voir un plan défini, fixé d’avance. C’est comme si un ingénieur s’installait avec ses plans complets et construisait pièce par pièce les milliers de constituants d’une machine, les assemblait et mettait le tout en marche ; avec ce miracle en plus que cette machine humaine fonctionne avant d’être achevée et se construit tout en fonctionnant. 

 

Observons cette évidence d’un plan et, par conséquent, l’évidence d’un créateur de ce plan. Ce corps est le résultat de l’union d’une cellule mâle et d’une cellule femelle. Cet ovule fécondé, pas plus grand qu’une minuscule pointe d’épingle de vie, est le commencement du plan. Enveloppées et cachées en cette sphère de masse gélatineuse sont les caractéristiques héritées des générations passées ; la couleur des cheveux à venir, des yeux, le timbre même de la voix et les traits caractéristiques mentaux héréditaires sont tous là. 

 

En regardant un garçon marcher en conquérant dans la rue, nous pouvons dire : « Regardez ce jeune homme. Il marche exactement comme son grand-père, lève son menton de la même façon ! » Et pourtant, ce garçon qui n’a jamais connu son grand-père ne pourrait pas l’avoir imité. Son propre père ne marchait pas comme le grand-père, donc la démarche du jeune homme est quelque chose qui doit avoir été caché dans les gènes, ces porteurs de qualités héréditaires enfouies dans la cellule primitive dont l’enfant est issu. Car une fois que cette cellule est scellée, elle ne reçoit plus aucun apport de la mère ou du père. 

 

Cette cellule possédait des possibilités en puissance parce qu’elle était habitée par toute l’Intelligence de Dieu, qui se mit immédiatement à suivre un plan dont elle voyait l’achèvement dès le commencement. En cette cellule résidait toute l’Intelligence indivise de Dieu – que l’on choisisse de l’appeler Intelligence cosmique, Intelligence divine, Intelligence subjective universelle… peu importe l’adjectif. Pendant une période de neuf mois cette Intelligence manifesta son activité. Elle avait connaissance de structures qui seraient nécessaires plus tard, celles des dents, des os et ainsi de suite, et elle les a fixé de long mois avant qu’on eût besoin d’elles. A certaines étapes intermédiaires définies le long de ce chemin, certaines formations commençaient à se dessiner, toujours strictement selon le plan, comme si elles étaient placées là par un architecte invisible.

 

  

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3.     Le plan divin au service de l’homme 

 

Le Psalmiste dit : « Je suis fait terriblement et merveilleusement« . Devant la science moderne de l’embryologie il fût resté muet, car le développement de cette cellule mère en des billions et trillions de cellules filles est roman, drame et miracle tout en Un. Pourtant, cela se fait avec tant d’aisance et de compétence que c’est devenu pour nous une chose banale. A ce propos, il pourrait être bon de rappeler à ceux qui s’efforcent et peinent pour se débarrasser d’un vulgaire rhume, comment l’Intelligence se mit en mouvement rapidement et sûrement pour construire un corps complet avec tous ses systèmes organisés de façon à être en harmonie l’un avec l’autre pour le bien de l’ensemble. Le plan parfait fut dressé par l’Esprit ; le serviteur créateur, l’Intelligence, suivit et exécuta le plan. L’Intelligence prête toujours son pouvoir créateur infini à la personne qui a un plan clair, car elle ne connaît rien d ‘autre que de suivre un plan, étant donné qu’elle est Intelligence subjective. 

 

Observons l’Intelligence au travail dans l’organisme. Cette cellule primitive est divisée en deux par un processus si impliqué qu’il nous surprendrait si nous étions capables de l’observer dans chacun de ses changements, puis ces deux divisées en quatre, ces quatre en huit, ces huit en seize et ainsi de suite jusqu’à ce qu’un million de cellules soient entrées dans l’existence. Et rappelons-nous que toutes sont sorties de la cellule primitive. C’est comme si un charpentier devait prendre un fragment de bois miraculeux et construire avec lui une maison entière, tirant de lui des étages, des murs, des côtés et des plafonds, selon ses besoins. 

 

La cellule originelle est molle et gélatineuse, cependant celles qui lui succèdent sont dotées de textures différentes afin de satisfaire aux besoins dont l’Intelligence prévoit l’apparition. Quelques-unes restent molles et plastiques ; d’autres se durcissent en fibres et sont liées ensemble et ensuite en os durs rigides. Des charnières et des jointures sont toutes incorporées aux endroits appropriés. Les muscles sont attachés à la charpente osseuse exactement aux points convenables, de façon à pouvoir déplacer rapidement et sans secousse cette charpente raide. Quelques cellules se développent en fils hautement sensible le long des quels pourront courir les messages pareils à l’éclair envoyés par le résident de ce temple grandissant, l’Intelligence. Des raccourcis sont tracés dans ce système nerveux, afin que certaines impulsions de douleur n’aient pas à s’attarder pour atteindre le cerveau et retourner au point de cette douleur. D’ordinaire, les nerfs sensitifs portent le message au cerveau et le message est renvoyé le long des nerfs moteurs pour éloigner la main. Mais dans certains contacts dangereux, par exemple un doigt touchant un poêle chauffé au rouge, le message de douleur se précipite au long d’un nerf sensitif jusqu’à un point de jonction et retourne au doigt le long d’un nerf moteur causant l’éloignement réflexe du doigt avant que le cerveau ne réalise ce qui se passe. Et tout cela est construit avant que l’enfant en devenir ne soit achevé ! 

 

Peu à peu, certaines cellules particulièrement douées forment en groupes minuscules les glandes endocrines dont l’intelligence se servira pour associer les substances tirées de la nourriture et pour en former des hormones qui gouverneront une multitude d’activités, les processus de vie et de mort inclus. Quelques cellules sont assemblées sous forme d’une pompe minuscule et puissante, le coeur, l’organe le plus résistant à propos duquel bien des gens se tourmentent beaucoup trop, car il continue à faire son travail vaillamment même s’il a été traité fort durement. Quelques cellules encore sont réunies en tuyaux et en tubes de calibres divers, les artères ayant trois parois alors que les capillaires n’on ont qu’une. L’Intelligence construit les parois qui conviennent à un travail approprié. 

 

Lorsque les os se développent, des ouvertures y sont ménagées en des points précis, de petits trous ronds ou de forme singulière à travers lesquels les nerfs et vaisseaux sanguins se dirigeront vers les différentes parties du corps. De même, des ouvertures sont laissées dans les ligaments et les muscles. L’anneau inguinal dans l’aine est une ouverture laissée dans un muscle pour le passage, de la région abdominale aux jambes, des nerfs et des vaisseaux sanguins ; des hernies se forment quelquefois à cet endroit. En voyant cet édifice, le corps prenant forme, le moment où les diverses parties sont réunies étant parfaitement calculé, on dirait deux voies de chemin de fer construites l’un à partir de la côte Est et l’autre à partir de la frontière Nord, toutes deux calculées et exécutées avec tant de précision qu’elles se croisent exactement au moment et à l’endroit prévus. 

 

Cette Intelligence dont nous observons l’immense travail dans le corps est la même qui sait parfaitement comment réparer l’édifice qu’elle a construit. En neuf mois elle construisit un organisme compliqué avec un système de courroies de transmission, de poulies, de charnières, de trappes, avec cuisine, office, salle à manger, circuit hydraulique, chauffage constant à 37°5, et même muni de fils récepteur pour capter les sons et les images. Il n’est pas raisonnable de penser qu’après cela l’Intelligence puisse perdre tout intérêt pour son œuvre. Elle y habite et l’emploie comme véhicule pour ses activités. 

 

L’Intelligence sut comment tirer du néant toutes ces cellules, elle sait certainement comment en reconstruire de nouvelles lorsqu’un incident a rendu malades les anciennes. Nous n’avons pas besoin de la solliciter de guérir – il lui faut, en réalité, un véhicule en bon état ; notre rôle est de placer devant elle le plan parfait à suivre pour reconstruire.

 

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4.     Modèle de maladie ou modèle de santé 

 

Nous devons toujours nous rappeler que cette activité de la pensée tout en étant hautement intelligence, capable d’édifier parfaitement n’importe quelle structure, est une Intelligence qui ne raisonne pas. Elle connaît le mécanisme de la construction des cellules, mais il lui faut toujours suivre un plan. Elle suivra un modèle de maladie aussi facilement qu’un modèle de santé. Ainsi, la personne dont la pensée est destructive – avec ses peurs, ses haines, ses rancunes ses envies, avec ses discussions sur la maladie et la tristesse et son absorption en celles-ci – créée de cette manière une pensée modèle que l’activité créatrice incessante de l’Intelligence convertira en formes de maladie, tout à fait impersonnellement, mais non moins infailliblement. 

 

Notre privilège est de prendre des mesures précises pour changer cette pensée modèle négative de vase en une pensée modèle de santé, d’amour, de paix, de bonheur. Cela fait, l’Intelligence suivra ce dernier modèle et la santé et le bonheur qui en résulteront ne seront pas un miracle, mais le simple effet de la Loi universelle. 

 

 

 

coeur dans L'Esprit  Guérisseur

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Les barrières mentales

Posté par othoharmonie le 13 septembre 2010

Les barrières mentales dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérir – Le principe universel de la guérison. (Dr.Bailes

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5.     Le Constructeur ne raisonne pas 

 

Poursuivant notre affirmation de l’activité en dehors de tout raisonnement de l’Intelligence subjective, notons que, sachant exactement comment construire, elle ne discute pas du bien ou du mal fondé de construire certaines cellules en un endroit donné. Le docteur Alexis Carrel, dans l’Homme cet inconnu, mentionne le fait que cette Intelligence fixera des cellules, même là où l’on n’a pas besoin d’elles. Dans son laboratoire, il prit un groupe de cellules épithéliales (cellules protégeant la surface de la peau), les dispersa en un milieu approprié, et bientôt elles se fixèrent elles-mêmes en un pavé de mosaïque, juste comme elles l’eussent fait dans la peau, pour protéger une surface à vif qui n’était pas là. Cela paraît être leur nature de se disposer elles-mêmes de cette façon, parce que l’Esprit a destiné les cellules épithéliales à la protection des surfaces. L’Intelligence, par conséquent, travaillant docilement selon le plan, cherche toujours à les grouper en cette mosaïque où qu’elles soient ; elle connaît l’art de réunir des cellules les unes aux autres. Un chirurgien pourrait greffer un lambeau de peau sur le bout du nez d’un patient, et cette Intelligence qui ne raisonne pas le ferait croître là, se balançant à la brise, quand bien même on n’aurait pas besoin de lui

 

C’est pour cette raison que l’Intelligence peut détruire le corps aussi bien qu’elle peut le construire. C’est ainsi qu’elle reçoit notre pensée morbide et la suit fidèlement pour reproduire des conditions pathologiques. En d’autres termes, l’Intelligence construit sans arrêt des cellules nouvelles, mais la qualité de ces cellules est déterminée par la qualité de notre pensée, car c’est la pensée qui est le modèle. 

 

Le docteur Carrel mentionne la merveilleuse Intelligence se révélant dans la construction de l’œil. Nul savant ne sait exactement comment cela s’est produit, mais l’Intelligence connaît la formule pour amincir la peau sur la rétine en formation et pour la rendre peu à peu transparente de façon à ce que nous puissions voir à travers. L’Intelligence construit l’œil en sections séparées, chacune de celles-ci étant d’une structure différente ; toutes, néanmoins, lorsqu’elles sont réunions dans l’organe de la vision, fonctionnent ensemble comme une unité harmonieuse. L’Intelligence crée le cristallin, le faisant merveilleusement élastique afin qu’il puisse se contracter ou s’aplatir pour saisir des objets de la vision proches ou éloignés. Elle construit deux chambres contenant des fluides. Elle construit le nerf optique avec ses myriades de terminaisons nerveuses dirigées vers l’extérieur de manière qu’elles puissent capter certaines vibrations du monde extérieur, les transformant dans le cerveau en objets visibles. Cette Intelligence ne manque jamais une occasion. Elle a construit un corps, organisé pour vivre et destiné à être une chose exprimant la joie. L’homme abuse trop souvent de ce corps par des pensées et des actions destructives, le transformant en une chose triste. 

 

Une autre chose remarquable concernant l’œil consiste en ses mesures de protection adéquate. Nous clignons immédiatement des yeux en présence d’un danger pour le globe oculaire. La partie la plus sensible et la plus facilement percée du globe oculaire est la pupille. Pour la protéger, l’Intelligence a formé dans la paupière un petit disque de cartilage très résistant. Quand la paupière clignote, ce disque est ramené sur la pupille et fonctionne en protecteur. C’est ainsi que l’Intelligence pourvoit à la protection appropriée pour le bon fonctionnement des organes construits par elle. 

 

L’oreille fournit une autre illustration de la coordination intelligente des parties pour former un outil parfait. Des personnes à la vue ou à l’ouïe faibles devraient se rappeler que l’Intelligence a construit ces organes pour fonctionner parfaitement. L’Intelligence peut restaurer la vue et l’ouïe, et le fera à condition de recevoir un concours opportun. L’oreille externe est la partie du corps en forme de coquille communément appelée l’oreille. Il y a aussi l’oreille moyenne qui héberge le tympan, et trois petits osselets ou os, l’un et l’autre séparés, mais se touchant et nommés l’enclume, le marteau et l’étrier à cause de leurs formes particulières. 

 

Le nerf auditif conduisant au cerveau, exactement comme le nerf optique conduit de l’œil au cerveau, est en contact avec le tympan de l’oreille. Les ondes sonores frappent ce tympan (ou diaphragme) capable de vibrer et le font vibrer de leur longueur d’onde propre et spéciale. Ces vibrations sont captées et portées jusqu’au cerveau par le nerf auditif qui les enregistre selon leur longueur d’onde. C’est ainsi que nous sommes capables de distinguer un son haut d’un son bas, un ton aigu d’un ton sourd. Renfermée dans l’oreille interne, se trouve une petite formation osseuse nommée limaçon, enroulée comme un coquillage. En l’ouvrant, on constaterait qu’elle a la forme et l’apparence d’une harpe, la partie osseuse formant la base et le dos de la harpe. De cette base osseuse s’étendent des milliers de minuscules filaments ressemblant à des cheveux et correspondant aux cordes de la harpe, fils gradués en longueur comme des cordes de harpe et qui captent et enregistrent la hauteur des vibrations du son. 

 

C’est ainsi que l’Intelligence élabore des formations de structures différentes qui, réunies, coopèrent pour composer une seule unité, l’organe de l’ouïe.

 

 

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6.     Le gardien du corps 

 

L’intelligence pourvoit également à la réparation du corps. Beaucoup de gens sont frappés de maladie sans même en rien savoir, parce que l’Intelligence entre en activité rapidement et sans effort afin de pourvoir à la défense et à la restauration du corps. Par exemple, chez un grand nombre de personnes, une tuberculose se développe à une certaine période de leur vie, mais elles ignorent toujours qu’elles l’ont ou l’ont eue. La personne en qui traîne un rhume opiniâtre pendant deux longs mois a fort probablement une tuberculose naissante. Le poumon a été envahi par le bacille de la tuberculose qui a trouvé là un endroit où se fixer et commence à se multiplier. Si l’on n’a pas assez de calcium, de phosphore et d’autres matériaux de réparation dans le sang, le cas progressera sans doute en une tuberculose active. Si l’on a suffisamment de minéraux et de vitamine D, l’Intelligence fera appel aux forces réparatrices du corps afin qu’elles fassent affluer leurs réserves vers la région envahie du poumon. 

 

Ces troupes réparatrices se mettent immédiatement à construire un mur de calcium autour du point affecté, le séparant sévèrement du reste du poumon et enfermant les bacilles à l’intérieur, ce qui équivaut pratiquement à une prison. Après la mort, des dissections révèlent très fréquemment ces cicatrices tuberculeuses chez des personnes ayant vécu jusqu’à un âge avancé et n’ayant jamais imaginé que seule fois en avoir souffert. Ce principe de guérison opérant en dehors de notre conscience devient une arme forte entre les mains de celui qui en a reconnu la vérité et qui apprend comment le mettre en mouvement. 

 

Observons la façon dont l’Intelligence protège le corps en cas d’appendicite. Nous possédons tous une membrane séreuse appelée omentum, ou grand tablier, suspendue dans la cavité abdominale. Il est pareil, par sa dimension et sa forme, à ces minuscules tabliers portés par les serveuses dans les salons de thé. Quand l’appendice suit une inflammation grave et est sur le point d’être perforé, il n’est pas rare que ce tablier l’enveloppe et se plisse en un sac hermétiquement clos. De cette façon, si l’appendice se rompait, le pu ne pourrait s’échapper dans la cavité abdominale et provoquer une péritonite. Chaque chirurgien ayant une assez longue pratique a rencontré un ou plusieurs cas de ce genre, et lorsque cela lui arrive, il abandonne ce cas à lui-même avec une prière de reconnaissance, parce qu’il sait que cette matière purulente dans le sac sera absorbée en temps voulu et neutralisée par la nature. 

 

On peut de même constater le merveilleux travail de l’Intelligence universelle lorsqu’on s’est fait une coupure au doigt. C’est pour nous une petite chose et nous ne la craignons pas, sachant que le sang s’arrêtera très vite de couler. Mais réalisons-nous qu’il y a là une intervention directe de l’Intelligence qu’il est tout à fait en dehors du pouvoir de l’homme de reproduire ? Cette coupure nous tuerait si, pour guérir, elle était abandonnée au seul art de l’homme. Aucun homme vivant ne sait comment faire croître une cellule nouvelle partie de rien pour guérir une blessure. Dans une opération chirurgicale le médecin peut accomplir la tâche mécanique d’enlever un organe. Ensuite il recoud le patient – autre tâche mécanique – et là s’arrête son travail, les cellules se réunissent à nouveau pour cicatriser. Seule l’Intelligence fait que ces cellules se reforment et se rejoignent en vue de la restauration cutanée. 

 

Mais retournons à la guérison de la coupure au doigt. Certaines personnes hémophiles ont un sang qui ne veut pas se coaguler parce que différentes substances lui font défaut. Cela signifie qu’une coupure continue à saigner, ce qui est naturellement fort dangereux. Tout le savoir de la science a échoué jusqu’à présent dans ses efforts pour reproduire ces substances absentes, bien que certaines familles royales aient offert pour cela des fortunes fabuleuses. Cependant, journellement, pour tous les autres hommes, l’Intelligence pourvoit aisément à la réparation des coupures. Une certaine substance est maintenue en solution dans le sang aussi longtemps que celui-ci n’entre pas en contact avec l’air extérieur. Quand survient une coupure et que le sang commence à couler à l’extérieur, entrant ainsi en contact avec l’air, cette substance change de forme et produit des fils ou bâtonnets minuscules qui ressemblent quelque peu à des cheveux ébouriffés. Ces fils et bâtonnets forment un réseau dans la blessure et prennent au piège les globules blancs, qui graduellement, se constituent en caillot jusqu’à ce que soit formée une croûte qui isole efficacement la blessure, mise ainsi à l’abri de l’air. En même temps, d’autres globules blancs sont entraînés vers la coupure par le flux sanguin, quelques-uns pour s’engager dans les travaux de réparation et de reconstruction, d’autres pour dévorer toutes bactéries qui pourraient envahir la blessure. Des substances nutritives sont dirigées vers ce point et de nouvelles cellules sont construites afin de remplacer celles qui furent détruites par la coupure. 

 

Les nouvelles cellules sont reformées du fond de la blessure, sous la protection de la croûte. Si l’on arrache la croûte avant que la reconstruction entière ne soit achevée, la coupure saigne à nouveau et le processus complet se répétera ; formation du caillot, de la croûte, et ainsi de suite de façon à ce que la réparation puisse être terminée selon le plan de l’Esprit placé devant l’Intelligence opérant dans le corps.

 

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7.     Il n’y a pas de maladie incurable 

 

L’homme se glorifie de son savoir, et il en a le droit. C’est à grands pas qu’il a acquis la connaissance de son corps, mais il est loin de connaître la réponse au problème de la vie. Il ne sait pas comment former une nouvelle cellule dans cette coupure, mais une Intelligence plus grande le fait rapidement. Voici pourquoi, lorsque l’homme dit que tel ou tel état est incurable, il parle d’après son propre savoir limité. 

 

Dans le traitement mental, nous sommes allés plus loin, nous reposant sur cette grande Intelligence cosmique dont nous arrivons à comprendre la Loi de guérison. Nous voyons ainsi des cas désespérés, condamnés par le médecin expérimenté, guéris complètement et définitivement par cette Intelligence lorsqu’elle est dirigée par la personne qui comprend la Loi selon laquelle elle opère. Nous disons donc qu’il n’y a pas de maladies incurables mais des gens incurables. Ceux qui insistent sur le fait « que les médecins ont tout essayé, qu’il est inutile de rien tenter d’autre », sont inguérissables. En revanche, ceux qui acceptent mentalement la vérité qu’avec Dieu (l’Intelligence) toutes choses sont possibles sont des gens guérissables. 

 

L’Intelligence accomplit un prétendu miracle en réparant un os cassé. Tout ce que l’homme peut faire dans ce sas est d’accomplir certains actes mécaniques. Le savoir du médecin est inappréciable lorsqu’il s’agit de réduire une fracture et de soutenir l’os par une éclisse ou un plâtre, mais il lui faut s’arrêter là. Il sait – et il est très franc en le reconnaissant – qu’il n’a pas encore acquis la connaissance nécessaire dans l’art de réparer pour savoir comment faire pousser l’os de façon à rétablir son unité. Mais voyez comment l’Intelligence vient à son secours. 

 

Lorsqu’un os est fracturé par un coup, la contusion des tissus attire le sang vers cet endroit, formant une enflure. Avec ce flux de sang, des substances nutritives et réparatrices sont portées rapidement au siège de la blessure. Pendant ce temps, les fibres périostales déchirées commencent à se transformer en un cartilage qui est le précurseur de l’os. L’Intelligence se prépare ainsi à accélérer, avec des matériaux qu’elle a à sa portée, le processus de construction de nouvelles cellules osseuses. Une espèce de ciment est déversé pour souder les pointes de l’os cassé après que le médecin les a remises en place. Ensuite, le patient gardant le membre au repos, l’Intelligence produit des substances toutes neuves là où il convient, et bientôt le membre va mieux qu’auparavant. Si l’Intelligence divine peut faire cela, elle peut faire tout ce que nous désirons la voir faire. En outre, elle exécute tout cela silencieusement, aisément, sans effort et sans agitation. 

 

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 8.     Abaissons nos barricades mentales 

 

La force affluant en un corps malade peut guérir tout état pathologique. L’homme s’affole alors que l’Intelligence est toujours sûre d’elle-même. Elle sait comment réparer tout ce qui va mal dans le corps, comment construire n’importe quelle espèce de cellule, comment rétablir des fonctions perdues, comment arracher une personne du bord de la tombe… avec une dépense d’énergie ne dépassant pas celle déployée par un homme pour soulever un fétu de paille. En réalité, cette dépense est encore moindre, car l’Intelligence n’est jamais consciente d’effort ou de tension. Toutes ces activités variées mises en œuvre, toute cette Intelligence qui sait exactement que faire et comment faire furent employées à construire cet univers, à le maintenir et le régler, à y conserver la vie, à continuer à l’entretenir depuis des temps immémoriaux ; cependant, cette Force et cette Intelligence n’ont ni diminué ni faibli, nulle division ne les épuisa. Elles sont toutes autour de nous et en nous à ce moment même, prêtes à se mettre en mouvement silencieusement en notre faveur, dès que nous aurons cessé d’obstruer ce flux par nos propres barricades mentales. 

 

Voyons comment travaille l’Intelligence dans les larges blessures accompagnées d’une perte de sang importante. La quantité totale du sang dans notre corps diminuant par suite du traumatisme, la tension dans les artères baisse automatiquement ; c’est pourquoi les vaisseaux sanguins se contractent afin de maintenir la tension artérielle normale. En même temps, les divers tissus du corps cèdent de l’eau qui se fraye rapidement un chemin jusque dans le système circulatoire, ramenant ainsi le volume total du sang à la normale. Le transfert d’eau des tissus dans le sang cause une soif extrême, raison pour laquelle un blessé demande à boire lorsqu’il y eut déperdition de sang. L’intelligence cherche ainsi à rétablir dans le corps l’état normal. 

 

Mais dans un tel cas il y a également une perte considérable de globules rouges. L’eau restaure le volume, mais non la qualité de sang ; c’est pourquoi la moelle rouge des os et d’autres parties du corps, servant de réserves commencent à déverser des quantités supranormales de globules rouges jusqu’à ce que le sang ait été ramené à sa qualité normale. C’est ainsi que par une série de mesures promptes et sûres, l’Intelligence résidant dans le corps entre en activité afin de sauver ce dernier, aussi rapidement que possible. Une fois de plus, nous voyons une action intelligente, compétente, qui va bien au-delà de l’art et du savoir des esprits les mieux préparés. C’est l’Intelligence dont nous usons dans la guérison mental et spirituelle. 

 

 

coeur dans L'Esprit  Guérisseur

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La santé est naturelle

Posté par othoharmonie le 13 septembre 2010

La santé est naturelle dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérir – Le principe universel de la guérison. (Dr. Bailes

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9.     La santé est chose naturelle 

 

Nous devrions être remplis d’admiration à la vue des travaux de l’Intelligence infinie construisant, reconstruisant et restaurant ainsi le corps en des cas critiques, sans aucune direction consciente de notre part. Tout se passe comme si l’esprit avait la passion dévorante de sauver le corps et de le maintenir dans sa meilleure condition. La santé est une chose naturelle ; la maladie est contraire à la nature. La maladie ne commence jamais du côté de Dieu, mais toujours du côté de l’homme. C’est l’homme qui suscite les obstacles à la guérison, alors que l’Intelligence-Dieu essaie toujours de maintenir ou de rétablir le corps dans sa condition de temple parfait où habite l’Esprit. 

 

On pourrait citer en exemple n’importe quelle maladie infectieuse, mais nous nous servirons de la pneumonie. Il y a d’abord une invasion microbienne de l’organisme. Quelque fois ces bactéries sont déjà dans le corps, attendant – comme une « cinquième colonne » – que l’organisme soit complètement épuisé pour entrer en activité. A ce moment où elles deviennent actives dans le corps, des messages contenant la nouvelle sont envoyés au quartier général. L’intelligence s’organise immédiatement pour la lutte. Toutes les forces défensives du corps sont appelées à l’action. Elles commencent sur-le-champ à fabriquer des anticorps, des shrapnels et les balles qui défendront le corps contre l’envahisseur. Rien ne paraît se produire pendant neuf jours, laps de temps nécessaire à la préparation d’une quantité suffisante de munitions pour que l’ennemi puisse être attaqué  avec une certitude raisonnable de succès. 

 

L’Intelligence donne le mot d’ordre et les soldats entrent en action. La batille est maintenant sérieusement engagée entre les bactéries envahissantes et les anticorps défensifs. Cette période de la pneumonie est nommée crise – le point où l’issue de la bataille tourne au mieux ou au pire. Si des anticorps en quantité suffisante ont été rassemblés, les bactéries sont annihilées ; si la provision est insuffisante, la bataille est perdue et le patient meurt. 

 

Le peu de place de ce livre nous défend d’étudier les nombreux aspects des opérations défensives de l’Intelligence dans le corps. Il suffit de dire qu’il n’est pas une partie du corps – de la tête aux pieds – qui ne soit équipée pour se défendre elle-même contre l’invasion. Des centaines de minuscules ganglions lymphatiques sont disséminés à courts intervalles, ressemblant à des forts où sont concentrées des forces défensives. Les globules blancs sont capables de voyager avec une extrême rapidité d’une partie du corps à l’autre, de façon à se concentrer en un point quelconque où se produirait une infection. Ils dévorent rapidement les bactéries, se dirigeant vers elles et les entourant en masse, les digérant promptement. Ils pourraient être comparés aux unités mobiles de la police, percevant les points dangereux et s’y rendant rapidement. 

 

Toutes ces unités défensives sont sous la direction de l’Intelligence, et notre intelligence est une, avec cette Intelligence universelle. Nous avons donc en nous le pouvoir de diriger cette merveilleuse Intelligence, qui sait tout ce qui est à savoir dans l’univers et cependant est soumise à notre direction consciente. Les implications de ce fait sont stupéfiantes.

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10.      La foi repose toujours sur la connaissance 

 

La foi n’est pas une chose que nous édifions tant bien que mal dans notre ignorance ; elle repose toujours sur la connaissance. Il n’est pas difficile de permettre à notre foi de se reposer sur une Intelligence qui embrasse tout d’une façon aussi souveraine. Plus tard, lorsque nous arriverons à la technique à employer pour nous placer sur le même plan que cette Intelligence, nous comprendrons comment il est possible que l’homme si faible puisse guider la Puissance qui dirige l’univers. C’est un fait, aussi stupéfiant qu’il paraisse. La guérison mentale et spirituelle est le résultat, non des efforts de l’homme tout petit, mais de son habileté à diriger l’Intelligence cosmique, exactement comme un sondeur dirige la flamme d’oxyacétylène qui, tout en brûlant, trace son chemin à travers l’acier où le soudeur, sans cet appui, ne pourrait se frayer un passage. 

 

On pourrait écrire un livre entier sur les diverses merveilles chimiques et digestives du corps ; nous en mentionnerons brièvement une ou deux. La digestion serait impossible sans les enzymes qui s’emparent des différents aliments et les divisent de façon à ce qu’ils puissent être utilisés dans l’organisme. Ces mystérieuses substances invisibles ne sauraient être fabriquées par l’homme, cependant elles sont créées instantanément par l’Intelligence, employées, remplacées, disparaissant pendant qu’elles font leur ouvrage, et recréées pour effectuer le prochain travail. 

 

Les glandes endocrines fabriquent les composés chimiques les plus complexes dont un grand nombre ne sauraient être reproduits par le pharmacien, avec sa rangée de files de substances chimiques brutes. Cependant, l’Intelligence les crée en puisant dans les produits que nous fournissons chaque jour à notre corps. Chacune de ces fantastiques hormones affecte les autres lorsqu’elles entrent en contact mutuel, et si l’une de ces petites fabriques cessait de produire ses hormones, la mort s’ensuivrait. 

 

Le diabète se déclare lorsque quelques groupes de cellules hautement spécialisées du pancréas se sont mises en grève et refusent de fabriquer l’insuline. Une petite capsule sise au-dessus de chaque rein fabrique activement d’adrénaline qui maintient en mouvement le cœur et a fort à faire avec la respiration, comme ne le savent que trop bien les asthmatiques. Ces glandes surrénales ne sont pas plus grandes que l’ongle d’un doigt, cependant les hormones qu’elles produisent ont une telle importance que si ces glandes refusaient de travailler, l’individu dépérirait et mourrait rapidement. Les glandes thyroïdes et pituitaires fabriquent également des substances extrêmement précieuses qui contrôlent le poids aussi bien que l’équilibre mental du sujet. Toutes ces substances et beaucoup d’autres sont tirées des aliments quotidien par le Maître Chimiste de l’univers, et tout cet art est à notre disposition pour guérir. Il n’existe aucun état physique que ne puisse guérir l’Intelligence. Il n’y a pas de maladies incurables. Je fus moi-même guérie par l’action de cette Intelligence et, depuis, j’ai eu la grande joie de voir des milliers d’hommes et de femmes sortir du désespoir et de la tristesse pour entrer dans la santé et la paix, ayant été amenés à constater que cette Intelligence peut tout faire. Tout ! 

 

L’Intelligence n’a pas besoin de produits chimiques faits sur commande. Une personne absorbe un verre d’eau et une pincée de sel. L’eau se compose d’hydrogène et d’oxygène, le sel de sodium et de chlore. L’Intelligence sépare l’hydrogène de l’eau, le chlore du sel, et les recombine comme acide chlorhydrique qui sert de suc digestif.

 

  

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11.      La maladie est une rupture d’harmonie 

 

L’Intelligence construisit le corps avec l’intention qu’il fonctionnât toujours parfaitement. La maladie est l’intervention de l’homme dans ce dessein. L’Intelligence vit toujours le corps dans un état de perfection et travaille infatigablement à faire disparaître tout ce qui pourrait menacer la vie harmonieuse de ce corps, à vrai dire, celle de chacune de ses cellules individuelles. La maladie est purement et simplement la rupture de cette harmonie. 

 

L’harmonie est la note dominante de l’univers. Toutes choses dans l’univers vibre d’un rythme stable et harmonieux. Toute perturbation de ce rythme signifie malheur. 

 

Depuis les premiers temps l’homme a observé le rythme de l’univers. Il remarqua que les étoiles se montraient chaque nuit au ciel, que le soleil apparaissait tous les matins et poursuivait sa course tranquille vers l’Ouest en une succession rythmique des heures ; que la lune montrait son visage avec une régularité rythmique, que les oiseaux s’accouplaient et muaient selon la saison, que la terre devenait fertile et donnait des récoltes avec une régularité infaillible, que les marées montaient et descendaient selon un rythme réglé d’avance, qu’un rythme identique faisait battre le cœur de l’homme et respirer sa poitrine, que les fonctions physiologiques des hommes et des femmes avaient une certaine périodicité… Il remarqua en outre qu’aussi longtemps que ces phénomènes maintenaient leur suite rythmique, les choses allaient bien pour la terre et pour l’homme et que toutes les fois que ce rythme était détruit apparaissaient le malaise et la tragédie. 

 

Les savants ont maintenant découvert qu’il en va de même pour la vie de notre pensée ; l’amour est harmonie alors que la haine est dissonance, la générosité est harmonie et l’égoïsme dissonance, la confiance est harmonie et la jalousie dissonance, l’espoir est harmonie et le désespoir dissonance, la foi est harmonie et la peur dissonance, l’honnêteté est harmonie tandis que la fraude est dissonance… Aussi longtemps que l’état mental de l’homme est maintenu en harmonie avec le rythme de l’univers, son bien-être est assuré. Lorsque la dissonance est tolérée dans la vie de la pensée, ce bien-être se perd. 

 

La raison de tout cela est que nous avons affaire à une Intelligence universelle dont nous ne pouvons apprendre les lois que par l’observation. Puisque nous avons constaté que l’harmonie est la note dominante de l’univers, tout être désirant que l’Intelligence coopère avec lui devra coopérer avec elle. Des états mentaux troublés produisent la maladie parce qu’ils vont à l’encontre d’une Loi d’harmonie universelle établie de toute éternité. Il n’est pas nécessaire qu’il y ait une note de dévotion exagérée dans notre attitude envers l’Intelligence ; hommes et femmes sachant raisonner, reconnaissons simplement que l’Harmonie Universelle est un fait, et constatons que lorsque nous rompons cette harmonie, Dieu ne se met pas en devoir de changer pour nous satisfaire ; c’est nous qui devons changer. 

 

Le secret de la guérison consiste donc pour nous, à être UN avec l’Intelligence cosmique. Suffisamment de choses furent dites dans ce chapitre pour établir le fait que cette Intelligence a une connaissance infinie de la voie à suivre pour guérir et une infinie bonne volonté pour produire la forme parfaite, de sorte que nous pouvons compter implicitement dans le flot de Sagesse éternelle qui pénètre et traverse nos corps quand nous lui laissons la voie libre et cessons de l’entraver. 

 

« Dieu en nous est puissant pour guérir ». 

 

 

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