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La guérison est mentale

Posté par othoharmonie le 18 septembre 2010

La guérison est mentale dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérir Le principe universel de la guérison. (Dr.Bailes(si vous avez des difficultés, alors pour mieux comprendre les pouvoirs de votre esprit, reportez-vous S.V.P à mon second blog :      http://channelconscience.unblog.fr/tag/maladie/  et   catégorie : Allan Kardec

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-         3 – LE PRINCIPE UNIVERSEL DE LA GUERISON 

  

il est manifeste qu’il existe dans l’univers un Principe guérisseur opérant indépendamment de toute médication donnée par l’homme. Un oiseau qui se casse une aile ou une patte est guéri après un certain laps de temps. La peau déchirée d’un animal sauvage guérit sans intervention extérieure. 

Cependant, une rivalité intense existe entre les diverses écoles de la guérison sur le plan humain, chacune clamant haut et fort que sa méthode est l’unique et que toutes les autres devraient être rayées de la pratique ! 

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1.     Toutes les guérisons primitives furent mentales 

Si tous les traitements réussis consistaient en l’emploi d’une méthode bien spécifique, il paraîtrait raisonnable de supposer que cette seule technique ramènerait les gens à la santé et que nulle autre des méthodes en compétition n’aboutirait à la guérison. Cela n’étant pas le cas, nous atteignons un but plus précis dans notre recherche de la vraie guérison en essayant de découvrir, dans ces méthodes matérielles, le facteur exact qui accomplit en réalité le rétablissement éventuel du malade. 

Il y a très longtemps, aux premiers jours de l’existence de l’homme, on croyait que la maladie était due à l’envahissement du  corps par des esprits mauvais. Le médecin sorcier procédait par incantations progressives destinées à chasser ces mauvais esprits. Dans quelques cas cette méthode se révélait efficace, et le guérisseur conserva ces formules spéciales comme base de son traitement puis, peu à peu en ajouta d’autres paraissant produire des effets de guérison

Ces premiers médecins-sorciers étaient des observateurs sagaces et commencèrent à noter que certaines herbes possédaient des propriétés médicales ; pulvérisées ou préparées en infusions, elles pouvaient être appliquées extérieurement pour la guérison de blessures et de contusions, ou prises par voie interne contre la douleur et d’autres malaises. Ces guérisseurs ajoutèrent alors peu à peu une matière médicale naissante à leurs incantations. Cette connaissance ayant de la valeur pour lui car le rendant capable de conserver de l’autorité sur sa tribu, le sorcier ou le chaman la gardait jalousement, ne permettant à personne de pénétrer son secret qu’il transmettait oralement à ses fils (ou à l’aîné d’entre eux), conservant strictement ce savoir au sein de sa famille et l’entourant d’une atmosphère de mystère

Avec le temps, ce fonds de connaissances prit, entre les mains des médecins sorciers, des proportions remarquables. Ceux qui préconisaient les méthodes par les herbes abandonnèrent peu à peu les incantations, alors que ceux qui préféraient la méthode incantatoire s’y spécialisèrent en excluant plus ou moins les herbes médicinales. Ainsi naquirent deux grandes professions : le médecin et le prêtre. 

Le grand développement de la science médicale est familier au monde. Depuis l’époque du médecin-sorcier, ceux qui ont exercé la médecine ont constamment accru leurs connaissance de la valeur thérapeutique des herbes. La profession médicale a attiré quelques-uns des esprit les plus brillants et a fait de spas formidables dans presque tous les domaines de la recherche. Avec l’aide de techniques de laboratoire perfectionnées, elle a avancé sur tous les fronts, de telle manière qu’aujourd’hui la science médicale se trouve en une positon inspirant le respect à tous

Il y a loin du chemin « inspiré » au médecin moderne très instruit avec sa connaissance des plantes, des médicaments de synthèse, des substances glandulaires, des vitamines et des minéraux… pour ne mentionner qu’un côté de son savoir. Peu importe la force de notre sentiment concernant l’efficacité du traitement spirituel et mental – et nous sommes convaincus que c’est la forme la plus élevée de la thérapeutique – seuls les ignorants mal informés ou les individus de mauvaise foi refuseraient à la science médicale la reconnaissance qui lui est due pour toutes ses réalisations

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2.     Les mutations de la science médicale 

Dans le domaine de l’exercice de la médecine toutefois, beaucoup de changements eurent lieu. Lorsque la médecine devint un ensemble organisé de connaissances et de techniques, ses adaptes furent d’avis qu’il était nécessaire d’employer les médicaments à hautes doses. Ainsi, la première école de médecine fut-elle l’allopathie qui administra à nos grands-parents des quantités importantes de plantes et d’extraits de plantes, et quelquefois des mixtures plutôt bizarres d’autres choses qui n’était pas tout à fait aussi agréables. 

Mais, en 1796, un médecin allemand nommé Samuel Hahnemann (à voir dans lire la suite) fit sursauter le monde en déclarant que la pratique médicale courante était tout à fait fausse. Il démontra que des doses infinitésimales de drogues produiraient de meilleurs résultats curatifs que les grandes doses allopathiques. Son système homéopathique était édifié sur la phrase latine « Similia similibus curantur (les semblables sont guéris par les semblables) ». Il démontra qu’un médicament qui produirait des symptômes violents donnée en dose trop forte guérissait, en très petites doses, une maladie montrant des symptômes similaires, bien que ces symptômes n’aient pas été provoqués par des doses médicamenteuses trop élevées. 

Immédiatement, le corps médical se mit en devoir de le remettre à sa place, le persécutant et le repoussant partout. Les allopathes prétendaient qu’il était ridicule et subversif, faisant étalage de leurs nombreuses guérisons pour soutenir le fait qu’eux seuls détenaient le secret de la guérison. De son côté, Hahnemann démontrait que sa théorie était la vraie réponse à la maladie et se référait à une longue liste de personnes guéries afin d’étayer son affirmation. Rappelez-vous que ces illustres messieurs vivaient en une époque si ignorante qu’ils ne connaissaient même pas encore l’existence des bactéries. Par conséquent, ils ne pouvaient voir ce qui était la vérité réelle, à savoir qu’en dessous des deux systèmes se trouvait ce principe guérisseur fondamental avec lequel on entre en contact chaque fois que quelqu’un guérit quelqu’un. 

Le temps marche ! En 1874, Andrew Still, médecin dans le Missouri (à voir dans lire la suite…), affirma que tous deux, allopathe et homéopathe, se trompaient en ce qui concerne les causes de la maladie et la vraie méthode de guérison. Le docteur Still démontra en partie que la maladie était due à une paresse des fonctions vitales. Il pratiquait une méthode de manipulation musculaire dont il disait qu’elle stimulait la circulation du sang et de la lymphe et insistait sur le fait que le corps n’avait pas besoin de médicaments. Beaucoup de gens furent guéris par le traitement de Still. Les médecins allopathes, aidés et soutenus par les médecins homéopathes – qui à ce moment avaient gagné considération et estime – fondirent sur Still et ses ostéopathes et mirent tout en œuvre pour les faire jeter en prison. 

Il y avait maintenant trois écoles de la guérison, chacune prétendant posséder la seule méthode vraie et chacune, ouvertement ou secrètement, dépréciant l’autre. Alors vint la quatrième. 

En 1895, D.D Palmer, de Davenport (Iowa), émit la théorie que toute maladie était due au traumatisme subi par les nerfs à leur sortie des petites ouvertures entre les vertèbres spinales, ce pincement ayant pour résultante une diminution de l’apport nerveux aux parties affectées. C’est ainsi qu’est née la chiropraxie. A ce moment, les ostéopathes – qui étaient parvenus à se faire reconnaître – se joignirent donc à leurs confrères médicaux pour persécuter le nouveau venu. Mais les premiers chiropracteurs étaient des zélateurs aussi bien que des guérisseurs ; les sentences les condamnant à la prison ne firent qu’attiser la flamme de leur enthousiasme et, finalement, ils furent reconnus dans la plupart des Etas parce que leurs méthodes e traitement guérissaient aussi les gens.

  

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3.     L’Intelligence divine, cause réelle de la guérison 

Il paraît étrange que ces quatre écoles – se servant de techniques si différentes les unes des autres, proclamant chacune qu’elle seule possédait exclusivement l’unique méthode vraie de guérison – puissent chacune obtenir d’excellents résultats. Il est évident qu’il doit y avoir là, en dehors de chacun de ces systèmes, quelque chose qui contribue au retour à la santé du malade. 

Il nous faut donc aller au-delà du système spécifique pour trouver la cause réelle de la guérison. Notre conviction est qu’aucun de ces systèmes n’a pu s’approprier en totale indépendance le domaine de traitements menés avec succès. L’évidence que chacun d’entre eux aide le malade à recouvrer la santé paraît indiquer qu’il doit y avoir là, à la base de chacun d’eux, un principe de guérison profondément établi ; ce principe n’est la propriété exclusive d’aucun d’eux, mais chacun, d’une façon ou d’une autre, devra atteindre la profondeur à laquelle repose ce principe, y puiser à un certain moment de son traitement, tout comme des puits de pétrole voisins – même exploités par des compagnies pétrolifères différentes – puisent à une même nappe pétrolifère commune. 

Quel est ce principe fondamental de guérison ? C’est l’Intelligence divine, l’Intelligence de Dieu qui sature chaque particule de matière dans l’univers. Il n’est pas nécessaire d’être superstitieux dans notre attitude vis-à-vis de l’Intelligence divine, ni d’adopter une attitude bigote à son égard. Cette Intelligence est celle qui assure la cohésion des atomes dans un rocher ou fait monter la sève dans un arbre. Ce n’est pas une chose qui doit être approchée avec terreur et génuflexions, mais qui doit être recherchée en tout ce qui existe. Le savant qui, dans son laboratoire, brise l’atome à l’aide du cyclotron géant, ou regarde attentivement à travers son microscope s’efforçant de trouver l’origine de la vie, étudie simplement l’œuvre de Dieu et cherche à suivre les travaux de l’Intelligence divine. Quand l’homme suit cette dernière exactement, il avance ; quand il l’interprète mal, il est retardé. 

L’homme qui regarde la nature en face regarde Dieu en face. Il peut l’ignorer, ne pas y prêter attention ou le nier, mais le fait demeure que l’univers peut être nommé à juste titre le corps de Dieu. Trop longtemps les théologiens ont obscurci la question en entourant de nuages, de séraphins et d’anges la Divinité – Etre majestueux, terrifiant – dont il fallait éviter la colère ; bref, une extension d’eux-mêmes, mais possédant une toute-puissance que ce Dieu était prêt à lâcher à la minute, sur la témérité des pêcheurs méritant d’être châtiés. La vérité est que Dieu est Intelligence impersonnelle aussi certainement qu’Il est Esprit personnel, et son activité comme Intelligence est l’affaire d’une Loi fixe et immuable. Les tremblements de terre et le tonnerre ne sont pas des « punitions pour le péché », mais le mouvement de la matière par l’activité de la Loi. Exactement la même Intelligence qui cause le tremblement de terre guérit le corps

Cela pourrait résonner comme une déclaration sensationnelle. Il n’en est rien. Nous saurons comment nous guérir nous-mêmes – ou d’autres personnes – quand nous comprendrons comment travaille la Loi divine. Le médecin qui se sert de méthodes matérielles sera un meilleur guérisseur lorsqu’il découvrira ce qui, exactement, dans sont traitement a produit véritablement et définitivement la guérison, car c’est quelque chose de plus profond et de plus fondamental que ses drogues ou ses manipulations

Cela est prouvé par les guérisons qui se produisirent à travers l’histoire sans l’intervention de moyens matériels quels qu’ils fussent. Les premiers récits bibliques nous montrent que le peuple d’Israël fut guéri de ses morsures de serpents en contemplant le serpent d’airain dans le désert, espèce d’homéopathie spirituelle par laquelle des semblables furent guéris par des semblables, si nous pouvons oser la comparaison. L’histoire profane rapporte beaucoup d’exemples de guérisons mentales avant le temps de Moïse. La guérison mentale et spirituelle peut ou non comprendre l’emploi d’objets matériels, mais elle ne dépend pas d’eux. L’Ancien Testament est rempli de guérisons mentales et spirituelles. Elisée, Elie, Daniel et beaucoup d’entre les anciens prophètes étaient des guérisseurs spirituels, exerçant ce don au milieu de leur vaste activité comme une chose qui s’entend de soi.

 

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Jésus

Posté par othoharmonie le 18 septembre 2010

Jésus dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérir Le principe universel de la guérison (Fr.Bailes)

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4.     Le message de Jésus 

 

Puis vint Jésus ! Le Charpentier de Galilée apporta au monde un nouveau message de guérison, soutenant que toute maladie était le résultat d’états intérieurs mentaux troublés ; il enseignait que si les états mentaux en question étaient corrigés, la maladie physique disparaîtrait. Ses enseignements renfermaient beaucoup plus que cela, mis cela suffit à l’objet de notre discussion. A ce point précis, nous pourrions noter que les médecins modernes répètent actuellement la thèse de Jésus en leur propre langage en s’efforçant de corriger les états mentaux troublés, cause fondamentale de la maladie. Jésus dut attendre deux mille ans la justification scientifique de sa doctrine, mais elle apparaît aujourd’hui avec force. 

 

S’il est vrai que Jésus apporta un message de vie spirituelle intérieure, il est plus vrai encore que le centre et le principe fondamental de sa doctrine furent négligés et demeurèrent cachés dans le dédale du dogme théologique. Il ne parla pas tant d’un salut ultime au-delà de la tombe que d’une vie spirituelle amendée, destinée à être la solution des problèmes de la vie terrestre. Un observateur sans préjugés constaterait que la majeure partie de son œuvre et de son enseignement se rapportait au bien-être matériel, physique de l’homme. Il enseigna un niveau spirituel élevé de la vie, non pas comme moyen de gagner le ciel après la mort, mais comme clef d’une vie pleine ici-bas et dès maintenant. 

 

Il enseigna que l’Intelligence-Dieu à travers le monde était une avec l’intelligence de l’homme, que l’homme et le Père étaient un, que séparé de la Source, l’homme ne peut rien faire. Et que toute activité de l’homme était purement et simplement l’œuvre de cette Intelligence cosmique se manifestant par lui. La libération de l’homme se réaliserait dans la mesure où celui-ci se rendrait compte de l’activité de cette Intelligence divine en lui  ; et puisque cette dernière fonctionnait selon une Loi, l’homme pouvait apprendre à se placer au même niveau que cette Loi, et alors cesserait toute friction. Nous pourrions comparer cette Intelligence divine en l’homme au cours uni et silencieux d’un grand fleuve, ne se soulevant en bouillonnements que lorsqu’un rocher ou quelque autre obstacle cherche à entraver sa marche dirigée vers l’océan par la loi de gravitation. 

 

Jésus enseigna que l’intelligence de l’homme est Une avec l’Intelligence divine universelle, et qu’aussi longtemps que l’homme avance de concert avec l’Intelligence divine, aucun sentiment de mésentente, de privation ou de discordance ne peut naître ; que les états mentaux de l’homme peuvent élever des obstacles devant l’Intelligence divine, et que lorsqu’il le fait l’homme souffre. En ces temps lointains, cette doctrine fut une belle philosophie qui, aujourd’hui, repose sur une base scientifique. Mais, même en cet autre temps, elle fut plus qu’une théorie ; Jésus en donna des preuves concrètes par ses nombreuses guérisons qui intriguèrent les chefs de son époque et continuent à intriguer certains chercheurs des temps présents. Ils arrivèrent à la conclusion que Jésus devait avoir possédé des pouvoirs surnaturels et, pour cette raison, affirmèrent qu’il devait avoir été le Fils unique de Dieu, ce qui, soit dit en passant, est une relique de la mythologie païenne primitive. 

 

Le monde dormit ainsi pendant vingt siècles, gémissant sous ses fardeaux. Si le message de Jésus avait été interprété correctement, le cours entier de l’histoire en eût été changé. Des guerres n’eussent jamais été nécessaires. La maladie et la pauvreté eussent été éliminées complètement, ou réduites à une quantité négligeable, se manifestant seulement chez ceux qui avaient la compréhension spirituelle la plus basse, et avec le temps qui passait, l’on eût compté de moins en moins de ces âmes enveloppées d’obscurité. 

 

Le développement stupéfiant de la recherche scientifique concernant la nature de l’univers apporte une recrudescence à l’enseignement de Jésus. Les deux convergent et le point où ils se rencontrent est le terrain de la guérison. Chaque jour, des milliers d’hommes et de femmes franchissent les frontières du domaine du traitement spirituel et mental, suivant ainsi la véritable interprétation des paroles de Jésus et d’autres grands maîtres guérisseurs. 

 

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5.     La vraie nature de l’homme 

 

Jésus enseigna la vraie nature de l’homme. L’homme n’est pas un ver de terre, né dans le péché et condamné par un Dieu scandalisé et horrifié. Il n’est pas voué à une vie de misère, dans un monde qui lui est hostile, un condamné soupirant de soulagement lorsque la mort le délivre de son esclavage pour l’introduire dans la félicité éternelle. 

 

Jésus enseigna que l’homme était de la plus haute naissance et doué du destin le plus élevé, en vérité un fils de Dieu. Il enseigna que l’homme était le maître de sa situation, mais qu’il avait été hypnotisé jusqu’à se croire un esclave. Il enseigna que le monde n’était pas un lieu hostile, mais qu’il était le serviteur de l’homme ; que le péché et la maladie n’avaient aucun droit de le maintenir sous leur domination, et que le seul péché était l’aveuglement devant ce fait. Qu’aussi longtemps que l’homme croirait être enchaîné, il souffrirait de chaînes forgées par lui-même, mais que son privilège était de se lever, de secouer ses chaînes et d’entrer dans la glorieuse liberté d’un fils de Dieu. 

 

Jésus avait une conception merveilleusement claire des droits de l’homme comme fils de Dieu. Il avait rejeté la mentalité des humains et osait proclamer qu’il avait le droit, par sa naissance, à une liberté entière. Sa pensée sondait les vastes profondeurs de la vérité et trancha sur la façon de penser superficielle de son temps, comme elle tranche sur la pauvreté de pensée du XXè siècle. Sa vision et sa compréhension claires, sa conscience intérieure de la vérité de l’unité de l’homme avec Dieu, surpassaient celles de tout penseur que le monde ait jamais vu ; sa conviction intime de l’activité inexorable de la loi naturelle, mentale et spirituelle lui permit de se mettre sur la même ligne que l’Intelligence divine et d’amener des résultats qui, même aujourd’hui, sont considérés comme miracles par  de « pauvres âmes à la vision amoindrie ». 

 

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6.     Les trois plans de l’être 

 

Bref, Jésus enseigna que l’homme est une trinité opérant sur trois plans en une personne. Si nous pouvons nous figurer l’homme comme un être représenté par trois cercles concentriques, nous aurons une meilleure conception de la manière de voir de Jésus. 

 

Dans le cercle intérieur, l’homme au centre de son être est Essence spirituelle divine ou Etre divin. Ce centre est semblable à Dieu, il n’est jamais malade, jamais souffrant ni limité d’aucune façon. Il possède toujours une santé et un bonheur parfaits, une paix parfaite, il est complètement en harmonie avec l’univers et chacun des êtres que celui-ci renferme. Tel est le côté immuable de l’homme. Là rien ne le trouble jamais, et nulle chose jamais ne peut le blesser ou le vaincre, pas plus qu’elle ne peut troubler, blesser ou vaincre Dieu. C’est de ce centre spirituel que provient toute guérison, d’où se développe toute maîtrise de la vie. C’est en lui que l’homme atteint son monde personnel des causes

 

Le second cercle, ou cercle intermédiaire, est celui de l’intelligence

 

Le cercle extérieur représente pour l’homme le monde personnel des effets. L’agent par lequel la cause devient effet est l’Intelligence. L’homme possède le pouvoir de choisir. Il peut tourner ses pensées au-dehors vers le cercle extérieur, ou au-dedans vers son cercle central intérieur. S’il permet à ses états mentaux de se fixer dans le cercle extérieur avec ses maladies, sa souffrance, sa pauvreté et sa limitation, ces choses seront perpétuées par la puissance créatrice de sa pensée. Si, d’autre part, il emploie sa faculté de choisir pour se fixer dans la paix, la perfection et l’entière harmonie de son être le plus intime, ces qualités se manifesteront dans la vie extérieure parce que l’intelligence de l’homme a une puissance créatrice

 

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7.     Tout commence par une idée 

 

Chaque expérience est d’abord une idée retenue en l’intelligence. Tout ce dont nous jouissons à un moment quelconque fut d’abord une idée dans l’intelligence, et tout ce qui nous dépouille du bonheur fut également en premier lieu une idée. L’Intelligence est entièrement neutre dans son activité créatrice ; elle travaille sans arrêt, même pendant que nous dormons, créant et donnant forme à ce que nous acceptons mentalement comme idées. Chaque entreprise ne fut d’abord qu’une idée dans l’intelligence de son fondateur. Chaque demeure qui se construit est d’abord une idée dans l’intelligence de son propriétaire. Chaque maladie est en premier lieu une idée dans l’intelligence de celui qui pense. La perte d’un travail, d’amis ou de sécurité est tout d’abord une idée retenue en l’intelligence. 

 

L’homme fait quelquefois objection à cette affirmation parce qu’il n’a pas toujours prêté assez d’attention pour se rendre compte de la qualité de sa pensée. Quelquefois une pensée n’est qu’un éclair momentané avant d’être mise en réserve dans les profondeurs de l’intelligence subjective. Une fois là, sous le niveau de la conscience, elle n’est plus reconnue par l’individu qui, parfois, nie avec indignation avoir jamais songé à pareille chose. mais la pensée enfouie est travaillée sans arrêt par la grande Loi de l’Intelligence et continue à faire monter en nous des sensations que parfois nous sommes embarrassés d’expliquer. 

 

Mais nous pouvons établir comme vrai que rien ne se manifeste jamais dans la vie extérieure sans avoir été accepté et mis en réserve par la vie subjective qui est plus qu’un entrepôt mental – elle est l’usine transformant des causes en effets selon la Loi qui ne varie jamais. La faculté de choisir de l’homme le rend capable de penser comme un ange ou un démon, un roi ou un esclave. Quelle que soit la chose qu’il choisit, l’Intelligence créera et manifestera cette chose. 

 

Jésus insista sur la nécessité de maintenir l’intelligence tournée vers notre centre spirituel et répéta avec insistance que, cette condition étant remplie, la perfection spirituelle affluerait par notre mental jusque dans nos physique. Réciproquement, si les états mentaux d’un être son envahis par le monde extérieur avec ses états physiques changeants, cet être continuera à expérimenter ce qu’il aura contemplé. Il y a là une grande vérité qui, trop souvent, n’est pas remarquée. Chaque fois que l’attention d’un homme est détournée du Centre spirituel éternel – qui ne connaît ni maladie, ni défaite – qui est l’image et l’aspect de Dieu en l’homme, qu’il se détourne de ce qui l’avertit de ce Centre divin, alors et alors seulement des manifestions physiques de la maladie deviennent apparentes. La méthode de guérir de Jésus consistait à nier la réalité de l’apparence extérieure pathologique pour affirmer la réalité de la perfection intérieure. 

 

Telle est la méthode employée aujourd’hui par des praticiens et consultants des méthodes mentales et spirituelles. Le point qui doit être bien compris, néanmoins, est que le traitement se passe entièrement dans l’esprit du praticien. Celui-ci n’exerce sur le patient aucun pouvoir de volonté. Il n’essaie pas d’influencer l’esprit du patient sauf lorsqu’il entre dans une explication des processus de la pensée dans le but d’éclairer la compréhension du malade. Quand nous arriverons aux méthodes véritables à employer dans un traitement mental, nous verrons que tout l’effort à faire par le praticien pendant la durée d’un traitement est de se convaincre lui-même sans l’ombre d’un doute que la personne pour laquelle il travaille est parfait, et d’écarter de son propre esprit toute croyance en une idée d’imperfection la concernant. 

 

Parce que nous voyons des signes évidents de l’Intelligence cosmique exerçant son activité parmi les étoiles, nous nous croyons entourés d’un océan d’Intelligence répandu jusqu’à l’infini ; nous pensons que cette Intelligence est la seule dans l’univers et que, lorsqu’un être quelconque pense, il le fait en se servant d’Elle. Ce que nous appelons intelligence individuelle n’est en réalité que de simples gouttes dans cet océan d’Intelligence, et pourtant elles sont cette Intelligence unique. L’Intelligence est indivisible, et c’est pourquoi ce qui est connu en un point l’est immédiatement en tout autre point de cette Intelligence. 

 

  

 

coeur dans L'Esprit  Guérisseur

 

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Don de guérison

Posté par othoharmonie le 18 septembre 2010

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8.     Eloigner le témoignage des sens 

Le patient vient au praticien en se plaignant d’une maladie très réelle pour lui, dont l’évidence lui est révélée par ses sens. Le praticien sait que le témoignage des sens paraît réel, mais qu’il n’est pas l’ultime Réalité. Cette ultime Réalité est Esprit, Esprit immuable. Réalisant que le patient a une vue déformée de lui-même et de son état, le praticien doit guérir cette fausse croyance. Il se convainc lui-même par le raisonnement, par la vision nette de la Réalité, de la fausse conception du malade. Il doit absolument se tenir détaché de la fausse croyance apportée par le malade, comme le sauveteur doit empêcher les mains de celui qui se noie de se cramponner à lui. En se persuadant lui-même de la perfection spirituelle du patient, le praticien met en mouvement une idée vraie, opposée à l’idée fausse de celui qui souffre. Malade et praticien existant tous deux en la même Intelligence unique, le praticien a la certitude que le patient sait ce qu’il sait lui-même de la perfection spirituelle du malade, même si au moment présent cette connaissance se trouve entièrement dans l’intelligence subconsciente du patient, et est pour cette raison non encore reconnue par lui. Dès que le patient substitue à sa propre pesée imparfaite le pensée parfait du praticien, la guérison se manifeste. 

C’est le seule méthode que Jésus ait jamais employée. Il ne se fiait pas à la concentration, à la volonté, à la suggestion, à l’hypnotisme ni à aucun autre de nos procédés psychologiques bien connus. Il en appelait toujours à la Loi plus haute de l’Esprit contemplant l’image parfait en laquelle il se réfléchit lui-même, ensuite à la vertu créatrice de l’Intelligence qui reproduit cette image réfléchie et parfaite dans le corps, l’Intelligence et les circonstances de la vie du patient. On pourrait demander ici si le praticien n’use pas d’une forme subtile de suggestion. A cela nous pourrions répondre que si le patient s’imaginait simplement avoir la maladie et si le praticien s’imaginait simplement l’avoir guéri, tout le processus serait alors une espèce d’expérience irréelle de rêve. Il doit y avoir une loi selon laquelle des résultats physiques sont provoqués par le praticien chez le patient. 

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9.     L’image mentale est la réalité 

Cette loi pourrait être énoncée brièvement comme suit : l’image mentale est la réalité, et la forme extérieure est simplement la projection de cette réalité. L’Intelligence étant plus ancienne que le corps, elle a créé le corps. En fait, elle recrée continuellement le corps – une cellules à la fois. Le corps se renouvelle entièrement au bout de quelques années, mais l’Intelligence demeure continue, rappelant des expériences d’enfance soixante-dix ans plus tard. L’Intelligence donc doit être la cause et le corps l’effet. L’Intelligence doit être la substance et le corps l’ombre. L’ombre est toujours déterminée par la nature de la substance, par conséquent les conditions corporelles succédant à un traitement sont nécessairement un double de la conviction mentale retenue d’abord par le praticien et acceptée tôt ou tard par le patient. Il doit y avoir une acceptation mentale entière de la guérison complète du patient et chez le praticien et chez le patient. Quand on se traite soi-même, il faut naturellement faire siennes l’acceptation et la conscience de la perfection. 

Des centaines de cas dont l’authenticité est bien établie confirment que l’Intelligence modèle le corps. L’histoire est pleine d’exemples dans lesquels des marques physiques furent imprimées au corps par une contemplation mentale de certains types particuliers de blessures. Certains catholiques romains fervents ont pratiqué un exercice religieux nommé « Contemplant les blessures de Jésus ». Dans des centaines d’exemples démontrés, ces dévots ont véritablement produit dans leur propre chair les stigmates des blessures des mains, des pieds, du côté ou du front du Christ. Dans un cas notoire, celui de saint François d’Assise, adorateur de grande dévotion et entièrement consacré au Seigneur, des cicatrices se produisirent dans la paume de ses mains sous la forme de têtes de clous si réelles que ceux qui le préparaient pour son ensevelissement essayèrent de tirer les clous de ses mains avec des tenailles. 

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10.      Le don de guérison 

Si cette Loi d’Intelligence est capable de travailler contre la tendance de la nature en produisant un tissu morbide au lieu de chair saine, combien plus grande devrait être notre confiance lorsque nous approchons la question de la transformation d’un tissu malade en substance saine. Qui comprend la puissance et l’étendue de cette Loi d’Intelligence a à sa disposition une source d’énergie infinie. Sa confiance, par conséquent, ne repose ni sur quelque force intellectuelle lui appartenant à lui seul, ni sur quelque « don de guérir » supposé lui étant accordé, mais sur une chose infiniment plus grande que l’homme ; l’Intelligence cosmique vouée à l’usage de celui-ci et guidée par ses instructions. Voilà pourquoi nous disons qu’un traitement est « un mouvement défini de la pensée dans une direction spécifique, devant atteindre un résultat spécifique en se reflétant lui-même dans une forme matérielle ». 

Ce don n’est pas la propriété particulière de quelques favorisés ; il est offert à chacun

Nous pouvons y accéder tout autant que le plus grand maître. Mais ce don ne sera jamais nôtre avant que nous ayons accepté mentalement qu’il est véritablement nôtre, et que nous nous appliquions à le mettre en mouvement. 

Voilà pourquoi nous affirmons qu’il n’y a pas de maladies graves ou bénignes, curables ou incurables. Nous avons affaire à une Puissance et à une Intelligence qui ne connaissent ni grand, ni petit parce qu’elle dirigent avec aisance l’univers. Grandeur et petitesse sont des termes relatifs. Ce qui est grand pour l’intelligence limitée est petit pour l’Intelligence illimitée. 

Le médecin uniquement tourné vers le physique, donc ignorant cette Loi de la guérison, est limité par son propre art et par l’efficacité des médicaments qu’il administre. Il doit être exact dans son diagnostic, car celui-ci est la base de son traitement. Ensuite, il doit choisir avec sagesse le médicament ou le mode de traitement propre à ce diagnostic. Son attention est occupée par les effets matériels observés dans le passé par d’autres médecins eux aussi uniquement préoccupés de l’état physique. Il hésite à dépasser les observations signalées, bien que les quelques hardis pionniers arrivés au-delà de ces précédents aient été les garants des progrès splendides des sciences médicale et autres. Il confine autant que possible ses recherches au laboratoire, les publiant rarement avant qu’une série de tests cliniques soigneusement vérifiés par des techniques éprouvées l’aient convaincu d’avoir découvert une nouvelle méthode par laquelle on pouvait triompher des conditions matérielles. 

Nous, au contraire, nous essayons de secouer le passé qui nous lie par des chaînes du doute. « Cela n’a jamais été fait », tels sont le boulet et la chaîne qui ont empêché les hommes de revendiquer leur liberté. Les hommes dirent la même chose à Colomb, prédisant qu’il naviguerait jusqu’à ce qu’il tombât des bords d’une terre plate. Nous aussi, nous nous aventurons sur une mer imparfaitement délimitée, osant croire que nous voyageons vers un monde nouveau dans lequel les mots d’ordre sont : « Nous sommes la personnification de ce que nous pensons… Quoi que l’intelligence puisse concevoir, elle peut l’accomplir. » 

Et comme l’a dit Swedenborg : « Les anges lisent l’autobiographie de l’homme dans sa structure ». Des millions d’hommes émigrent vers ce monde nouveau et trouvent en lui le pays de la liberté, de la paix et de la santé.

coeur dans L'Esprit  Guérisseur

 A suivre…

Pour information supp. : 

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