Don de guérison

Posté par othoharmonie le 18 septembre 2010

Don de guérison dans L'Esprit  Guérisseur coeurVotre esprit peut vous guérirLe principe universel de la guérison (Fr. Bailes)(si vous avez des difficultés, alors pour mieux comprendre les pouvoirs de votre esprit, reportez-vous S.V.P à mon second blog :      http://channelconscience.unblog.fr/tag/humanite/   et   catégorie : Allan Kardec) 

tube ailes

8.     Eloigner le témoignage des sens 

Le patient vient au praticien en se plaignant d’une maladie très réelle pour lui, dont l’évidence lui est révélée par ses sens. Le praticien sait que le témoignage des sens paraît réel, mais qu’il n’est pas l’ultime Réalité. Cette ultime Réalité est Esprit, Esprit immuable. Réalisant que le patient a une vue déformée de lui-même et de son état, le praticien doit guérir cette fausse croyance. Il se convainc lui-même par le raisonnement, par la vision nette de la Réalité, de la fausse conception du malade. Il doit absolument se tenir détaché de la fausse croyance apportée par le malade, comme le sauveteur doit empêcher les mains de celui qui se noie de se cramponner à lui. En se persuadant lui-même de la perfection spirituelle du patient, le praticien met en mouvement une idée vraie, opposée à l’idée fausse de celui qui souffre. Malade et praticien existant tous deux en la même Intelligence unique, le praticien a la certitude que le patient sait ce qu’il sait lui-même de la perfection spirituelle du malade, même si au moment présent cette connaissance se trouve entièrement dans l’intelligence subconsciente du patient, et est pour cette raison non encore reconnue par lui. Dès que le patient substitue à sa propre pesée imparfaite le pensée parfait du praticien, la guérison se manifeste. 

C’est le seule méthode que Jésus ait jamais employée. Il ne se fiait pas à la concentration, à la volonté, à la suggestion, à l’hypnotisme ni à aucun autre de nos procédés psychologiques bien connus. Il en appelait toujours à la Loi plus haute de l’Esprit contemplant l’image parfait en laquelle il se réfléchit lui-même, ensuite à la vertu créatrice de l’Intelligence qui reproduit cette image réfléchie et parfaite dans le corps, l’Intelligence et les circonstances de la vie du patient. On pourrait demander ici si le praticien n’use pas d’une forme subtile de suggestion. A cela nous pourrions répondre que si le patient s’imaginait simplement avoir la maladie et si le praticien s’imaginait simplement l’avoir guéri, tout le processus serait alors une espèce d’expérience irréelle de rêve. Il doit y avoir une loi selon laquelle des résultats physiques sont provoqués par le praticien chez le patient. 

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9.     L’image mentale est la réalité 

Cette loi pourrait être énoncée brièvement comme suit : l’image mentale est la réalité, et la forme extérieure est simplement la projection de cette réalité. L’Intelligence étant plus ancienne que le corps, elle a créé le corps. En fait, elle recrée continuellement le corps – une cellules à la fois. Le corps se renouvelle entièrement au bout de quelques années, mais l’Intelligence demeure continue, rappelant des expériences d’enfance soixante-dix ans plus tard. L’Intelligence donc doit être la cause et le corps l’effet. L’Intelligence doit être la substance et le corps l’ombre. L’ombre est toujours déterminée par la nature de la substance, par conséquent les conditions corporelles succédant à un traitement sont nécessairement un double de la conviction mentale retenue d’abord par le praticien et acceptée tôt ou tard par le patient. Il doit y avoir une acceptation mentale entière de la guérison complète du patient et chez le praticien et chez le patient. Quand on se traite soi-même, il faut naturellement faire siennes l’acceptation et la conscience de la perfection. 

Des centaines de cas dont l’authenticité est bien établie confirment que l’Intelligence modèle le corps. L’histoire est pleine d’exemples dans lesquels des marques physiques furent imprimées au corps par une contemplation mentale de certains types particuliers de blessures. Certains catholiques romains fervents ont pratiqué un exercice religieux nommé « Contemplant les blessures de Jésus ». Dans des centaines d’exemples démontrés, ces dévots ont véritablement produit dans leur propre chair les stigmates des blessures des mains, des pieds, du côté ou du front du Christ. Dans un cas notoire, celui de saint François d’Assise, adorateur de grande dévotion et entièrement consacré au Seigneur, des cicatrices se produisirent dans la paume de ses mains sous la forme de têtes de clous si réelles que ceux qui le préparaient pour son ensevelissement essayèrent de tirer les clous de ses mains avec des tenailles. 

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10.      Le don de guérison 

Si cette Loi d’Intelligence est capable de travailler contre la tendance de la nature en produisant un tissu morbide au lieu de chair saine, combien plus grande devrait être notre confiance lorsque nous approchons la question de la transformation d’un tissu malade en substance saine. Qui comprend la puissance et l’étendue de cette Loi d’Intelligence a à sa disposition une source d’énergie infinie. Sa confiance, par conséquent, ne repose ni sur quelque force intellectuelle lui appartenant à lui seul, ni sur quelque « don de guérir » supposé lui étant accordé, mais sur une chose infiniment plus grande que l’homme ; l’Intelligence cosmique vouée à l’usage de celui-ci et guidée par ses instructions. Voilà pourquoi nous disons qu’un traitement est « un mouvement défini de la pensée dans une direction spécifique, devant atteindre un résultat spécifique en se reflétant lui-même dans une forme matérielle ». 

Ce don n’est pas la propriété particulière de quelques favorisés ; il est offert à chacun

Nous pouvons y accéder tout autant que le plus grand maître. Mais ce don ne sera jamais nôtre avant que nous ayons accepté mentalement qu’il est véritablement nôtre, et que nous nous appliquions à le mettre en mouvement. 

Voilà pourquoi nous affirmons qu’il n’y a pas de maladies graves ou bénignes, curables ou incurables. Nous avons affaire à une Puissance et à une Intelligence qui ne connaissent ni grand, ni petit parce qu’elle dirigent avec aisance l’univers. Grandeur et petitesse sont des termes relatifs. Ce qui est grand pour l’intelligence limitée est petit pour l’Intelligence illimitée. 

Le médecin uniquement tourné vers le physique, donc ignorant cette Loi de la guérison, est limité par son propre art et par l’efficacité des médicaments qu’il administre. Il doit être exact dans son diagnostic, car celui-ci est la base de son traitement. Ensuite, il doit choisir avec sagesse le médicament ou le mode de traitement propre à ce diagnostic. Son attention est occupée par les effets matériels observés dans le passé par d’autres médecins eux aussi uniquement préoccupés de l’état physique. Il hésite à dépasser les observations signalées, bien que les quelques hardis pionniers arrivés au-delà de ces précédents aient été les garants des progrès splendides des sciences médicale et autres. Il confine autant que possible ses recherches au laboratoire, les publiant rarement avant qu’une série de tests cliniques soigneusement vérifiés par des techniques éprouvées l’aient convaincu d’avoir découvert une nouvelle méthode par laquelle on pouvait triompher des conditions matérielles. 

Nous, au contraire, nous essayons de secouer le passé qui nous lie par des chaînes du doute. « Cela n’a jamais été fait », tels sont le boulet et la chaîne qui ont empêché les hommes de revendiquer leur liberté. Les hommes dirent la même chose à Colomb, prédisant qu’il naviguerait jusqu’à ce qu’il tombât des bords d’une terre plate. Nous aussi, nous nous aventurons sur une mer imparfaitement délimitée, osant croire que nous voyageons vers un monde nouveau dans lequel les mots d’ordre sont : « Nous sommes la personnification de ce que nous pensons… Quoi que l’intelligence puisse concevoir, elle peut l’accomplir. » 

Et comme l’a dit Swedenborg : « Les anges lisent l’autobiographie de l’homme dans sa structure ». Des millions d’hommes émigrent vers ce monde nouveau et trouvent en lui le pays de la liberté, de la paix et de la santé.

coeur dans L'Esprit  Guérisseur

 A suivre…

Pour information supp. : 

 Emmanuel_Swedenborg

  

Emanuel Swedenborg naquit le 29 janvier 1688 à Stockholm. Son père, Jesper Svedberg, était un pasteur luthérien d’origine modeste qui devint ensuite professeur de théologie à l’université d’Uppsala et évêque de Skara grâce à l’appui de Charles XI. Il transmit notamment à son fils son intérêt pour les thèses piétistes et sa croyance en la présence des anges et des esprits sur Terre.

Emanuel étudia à l’université d’Uppsala. À la fin de ses études, en 1710, il voyagea à travers l’Europe et s’installa à Londres pendant quatre ans. Il y étudia la physique, la mécanique et la philosophie. Il s’intéressa aussi à la poésie (lecture et écriture). Il fut aussi grand organiste et joua souvent dans la cathédrale d’Uppsala. C’est à cette époque que son goût pour la vie scientifique se développa. il aimait jouer au football et allait pécher.

 

Connaître mieux, allez ICI :  http://fr.wikipedia.org/wiki/Emanuel_Swedenborg 

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