Dijon suite…
Posté par othoharmonie le 25 septembre 2010
DIJON SUITE ….
Les lieux de Cultes à DIJON
Catholiques
- Cathédrale Saint-Bénigne, place Saint-Bénigne
- Église Notre-Dame, place Notre-Dame
- Église Saint-Michel, place Saint-Michel
- Église Saint-Pierre, place du Président-Wilson
- Église Sainte-Chantal, avenue Gustave-Eiffel
- Église Saint-Joseph, rue de Jouvence
- Église Saint-Paul, rue Clément-Janin
- Église du Sacré-Cœur, rue Racine
- Église Sainte-Jeanne-d’Arc
- Église Saint-Bernard, 12, boulevard Alexandre de Yougoslavie
- Église Sainte-Bernadette, boulevard des Martyrs de la Résistance,
- Église Saint-Jean-Bosco
- Église Bienheureuse Elisabeth de la Trinité,
- Chapelle Saint-Vincent-de-Paul
- Chapelle Chapelle Saint-François-d’Assise
- Chapelle Saint-Joseph-Cottolengo
- Chapelle Saint-Jacques
- Chapelle Sainte-Anne
- Centre cultuel Cardinal-Albert-Decourtray.
Musulmans
- Mosquée En-Nour, impasse Clément d’Esormes.
- Mosquée El-Imane, rue de la Loire.
- Mosquée El-Khir, rue Charles Dumont.
- Mosquée El-Iman, allée du Doubs.
RUE DU TEMPLE A DIJON
Protestants
- Temple, rue du Temple.
Juifs
- Synagogue, rue de la Synagogue.
Saints des derniers jours
- Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours, paroisse de Dijon, rue Père de Foucauld
Établissements d’enseignement supérieur
15 établissements de tous domaines forment avec l’université de Bourgogne le réseau d’enseignement supérieur comme Sciences Po Dijon, l’École supérieure de commerce de Dijon, l’école Agrosup Dijon, l’École nationale des Greffes, l’École inter-régionale d’avocats, l’Institut de formation des cadres de la santé, l’École nationale des beaux-arts entre autres.
L’université de Bourgogne
Article détaillé : Université de Bourgogne.
L’université compte en 2009-2010 plus de 27 000 étudiants[]. La grande majorité de ses bâtiments et effectifs concernent Dijon, aux côtés des antennes de Chalon-sur-Saône, Auxerre, Le Creusot et Nevers. En plus des UFRs traditionnels, elle a mis en place 36 Unités de Recherche labellisées dont certaines uniques à la région comme Agrosup Dijon ou l’Institut universitaire de la vigne et du vin Jules Guyot d’œnologie. Le campus, d’inspiration nord-américaine a été créé en 1957 et s’étend sur 150 hectares dans le quartier Montmuzard. La ville prévoit d’inclure l’université et ses zones de résidences au projet 2025 de la future gare tramway. Dès 2013 le « Grand Campus » devrait multiplier les logements étudiants et les instituts de recherche et de coopération avec les universités étrangères.
Manifestations culturelles et festivités
Folkloriques : Les Fêtes de la Vigne en septembre
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Les journées de Rhénanie-Palatinat organisées à la maison de Rhénanie-Palatinat, rue Buffon. Ces journées permettent de découvrir les spécialités et traditions franco-allemandes.
Le « Grand Dijon »
Article détaillé : Grand Dijon.
Les communes composant l’agglomération du Grand Dijon en 2009.
La Communauté de l’agglomération dijonnaise (COMADI), devenu en 2005 le « Grand Dijon », couvre 22 communes. Dijon est ainsi le centre d’une communauté d’agglomération qui n’a cessé de s’étendre, formée théoriquement de 116 municipalités appartenant au périmètre du « Schéma de Cohérence Territoriale » (SCOT). Le nombre d’habitants est ainsi de 251 802 habitants en 2009 (soit 49% de la Côte-d’Or) dont 155 340 habitants à Dijon même, en en faisant la 18e communauté d’agglomération de France.
Le Grand Dijon est divisé en 8 cantons :
- Le canton de Dijon-1 est formé d’une partie de Dijon et des communes de Bretigny, Brognon, Clénay, Orgeux, Ruffey-lès-Echirey, Saint-Apollinaire, Saint-Julien et Varois-et-Chaignot (29 512 habitants)
- Le canton de Dijon-2 est formé d’une partie de Dijon et des communes d’Arc-sur-Tille, Bressey-sur-Tille, Chevigny-Saint-Sauveur, Couternon, Crimolois, Quetigny, Remilly-sur-Tille et Sennecey-lès-Dijon (37 848 habitants)
- Le canton de Dijon-3 est formé d’une partie de Dijon (21 440 habitants)
- Le canton de Dijon-4 est formé d’une partie de Dijon et d’une partie de Chenôve (18 956 habitants)
- Le canton de Dijon-5 canton est formé d’une partie de Dijon et des communes de Corcelles-les-Monts, Flavignerot, Fleurey-sur-Ouche, Lantenay, Pasques, Prenois et Velars-sur-Ouche (28 960 habitants)
- Le canton de Dijon-6 canton est formé d’une partie de Dijon (22 925 habitants)
- Le canton de Dijon-7 canton est formé d’une partie de Dijon (23 163 habitants)
- Le canton de Dijon-8 canton est formé d’une partie de Dijon (19 532 habitants
Depuis 1945
Après la guerre, la population est restée stable, aux alentours de 100 000 habitants. Dijon est globalement une ville tertiaire et le milieu social est dominé par les cadres moyens et les employés. Le chanoine Kir, maire de Dijon de 1945 à 1968, dote la ville d’un lac artificiel inauguré en 1964. Sous son mandat se crée également à partir de 1957 un vaste campus universitaire à Montmuzard, sur près de cent hectares. La municipalité multiplie les bâtiments de service public comme, en 1962, l’hôpital du Bocage. Avec l’essor économique des Trente glorieuses, la surface urbanisée de l’agglomération double afin de répondre à la pénurie de logements. Le quartier des Grésilles, la ZUP de la Fontaine-d’Ouche sont aménagés et les municipalités satellites comme Quetigny ou Chevigny-Saint-Sauveur s’accroissent. Après la mort de Félix Kir en 1968, le docteur Veillet assure quelques années sa succession, jusqu’en 1971. À cette date est élu le gaulliste Robert Poujade, qui devait assumer le plus long mandat de maire dans l’histoire de Dijon : trente ans, de 1971 à 2001. Robert Poujade s’attache à la protection et à la mise en valeur du secteur sauvegardé de Dijon, où les monuments sont restaurés. Renonçant à la construction de grandes barres, il aménage de nouveaux quartiers -Petit-Cîteaux, Port du canal, Hauts de Montchapet, Mansart- avec des immeubles à taille plus humaine. De nombreuses bibliothèques sont créées dans les quartiers, ainsi que des jardins publics. La construction de l’auditorium est une des dernières grandes réalisations de la période Robert Poujade. En 1977, Dijon emporta le titre envié de première ville écologique avec l’aménagement en 1975 notamment du parc de la Combe à la serpent, le plus étendu de la ville.
Le 18 mars 2001, le candidat de gauche François Rebsamen est élu maire de Dijon, pourtant de tradition conservatrice.
A SUIVRE …….
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