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Chercher l’approbation pour quoi faire ?

Posté par othoharmonie le 19 novembre 2010

animaux  Chercher l’approbation  animaux 

Vous trouverez ici, différentes techniques issues du livre du Docteur Wayne W.DYER que j’ai moi-même utilisées. Techniques audacieuses mais simples pour prendre en main les schémas malsains de notre comportement. 

Vous allez me dire : « Pourquoi malsains ? » 

Tout simplement parce que nous pouvons tous nous corriger avant de vouloir corriger les autres

Rêvons un peu……animaux 

Supposons que nous souhaitions recueillir l’approbation de tout le monde et que ce soit possible. Supposons, en outre, que ce désir soit sain. Cela étant posé, quel sera le meilleur et le plus efficace moyen d’atteindre la fin que nous nous proposons ? 

Avant de répondre, songeons à la personne qui, parmi nos relations, est le plus approuvée. A quoi ressemble-t-elle ? Quel est son comportement ? Qu’a-t-elle donc qui séduise ainsi les gens ? 

Vous avez probablement en tête, tout comme moi, une personne franche, sans détour, directe, indifférente à l’opinion d’autrui, épanouie. Elle consacre vraisemblablement peu de temps – voire pas du tout – à solliciter une approbation. Il ne fait pas de doute qu’elle dit ce qu’elle pense sans se soucier des conséquences. Peut-être estime-t-elle le tact et la diplomatie moins importants que la sincérité. Elle n’est pas offensante ; c’est simplement quelqu’un qui ne voit aucun intérêt à se fatiguer au petit jeu consistant à tourner sept fois sa langue dans sa bouche pour éviter de hérisser ses interlocuteurs quand elle émet une opinion.  Quelle ironie, n’est-il pas vrai ? 

Les gens qui rencontrent le plus vaste consensus semblent être ceux qui ne quémandent jamais l’approbation, qui ne s’en soucient pas et qui ne cherchent pas à l’obtenir.

animaux

J’ai une petite fable ; qui est tout à fait en situation puisque le bonheur est l’absence du besoin d’approbation : 

« un gros matou voyant un petit chat courir après sa queue lui demanda : 

-         Pourquoi cours-tu comme ça après ta queue

Le petit chat lui réponds : 

-         J’ai appris que ce qu’il y a de mieux pour un chat, c’est le bonheur et que le bonheur, c’est ma queue. Alors, je cours après elle. Quand je l’aurai attrapée, je serai heureux

-         Moi aussi, mon fils, répondit le vieux chat, je me suis intéressé aux problèmes de l’univers. Moi aussi, j’ai pensé que le bonheur était dans ma queue. Mais, j’ai constaté que chaque fois que je courais après elle, elle m’échappait et que, quand je vaquais à mes affaires, elle me suivait partout où j’allais« . 

Ainsi, si vous aussi vous cherchez l’approbation générale, et tout le paradoxe est là, la manière la plus efficace pour parvenir à nos fins est de ne pas la solliciter, de ne pas la pourchasser et de ne pas exiger la sanction de chacun. En étant en accord avec soi-même et en se référant à une image positive de soi, on recueille davantage l’approbation. 

Assurément, le monde entier n’approuvera jamais tout ce que nous ferons. Mais si nous nous considérons comme un individu ayant sa propre valeur, la désapprobation ne nous laissera pas accablés. Nous y verrons la conséquence naturelle du fait que nous vivons sur une planète dont les habitants ont une sensibilité subjective. 

Il ne s’agit pas de se mobiliser pour refuser globalement l’approbation, mais de s’efforcer de ne pas se bloquer sur des points mineurs sous le prétexte futile que l’on n’obtient pas les flatteries auxquelles on aspire. La louange est agréable et l’approbation pleine de charme. Notre objectif, c’est de ne pas souffrir quand on ne nous applaudit pas. De même que celui qui cesse de fumer ne prend pas la mesure de sa détermination après avoir renoncé à la première cigarette… 

Nous pourrons jurer nos grands dieux que nous sommes capables de conserver notre sérénité devant la critique et que nous ne demanderons à personne de nous acclamer. Notre juge de paix, ce sera la confrontation avec le désaveu. Si nous parvenons à liquider cette zone erronée gênante, le reste nous paraîtra facile parce que nous avons été conditionnés à quêter l’approbation depuis l’instant où nous avons poussé notre premier vagissement. Cela exigera beaucoup d’efforts, mais ce sont des efforts qui en valent la peine. 

Ne pas se laisser abattre par la désapprobation que l’on rencontre, c’est la promesse d’une liberté délicieuse, d’une liberté de tous les instants et pour toute la vie. 

A suivre….

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Comment s’aimer ?

Posté par othoharmonie le 19 novembre 2010

animaux Comment s’aimer   animaux 

Vous trouverez ici, différentes techniques issues du livre du Docteur Wayne W.DYER que j’ai moi-même utilisées. Techniques audacieuses mais simples pour prendre en main les schémas malsains de notre comportement. 

Vous allez me dire : « Pourquoi malsains ? » 

Tout simplement parce que nous pouvons tous nous corriger avant de vouloir corriger les autres

animeaux

L’amour de soi commence au niveau de l’intellect. Il faut apprendre à contrôler ses pensées, ce qui exige une grande lucidité toutes les fois que l’on adopte un comportement de dénigrement de soi. Si nous nous surprenons en train de céder à cette tentation, il nous est possible de remonter jusqu’à la pensée qui détermine ce comportement, pour la refouler. 

Quand nous venons de dire quelque chose comme : « Non, je ne suis pas aussi fort. Si j’ai une bonne note, c’est que j’ai eu de la chance« , un clignotant doit s’allumer dans notre tête : « ça y est ! Me voilà encore en train de me déprécier. Mais, ce coup-là, je m’en suis rendu compte et, la prochaine fois, je m’abstiendrai d’employer ces formules que j’ai répétées tout ma vie« . La stratégie consiste à rectifier le tir en disant, par exemple : « Je viens de parler de chance mais la chance n’a rien à voir là-dedans. J’ai eu cette bonne note parce que je la méritais« . 

C’est là un petit pas vers l’amour de soi ; reconnaître que l’on a eu une attitude négative et décider d’en changer.  Jusque-là, nous avions une habitude. Maintenant, nous avons la volonté de nous conduire différemment et nous avons fait le choix que cela implique. C’est exactement comme l’apprentissage de la conduite automobile ; on fini par acquérir de nouvelles habitudes qui ne nécessitent pas d’avoir constamment conscience des gestes que l’on fait. Et, avant longtemps, nous aurons tout naturellement une attitude d’amour envers nous-mêmes, dans beaucoup de domaines

animaux

A présent que notre intelligence travaille pour nous au lieu de travailler contre nous, une foule de possibilités d’amour de soi se profilent à l’horizon. Voici une petite nomenclature des comportements que nous pourrons adopter au fur et à mesure que nous parviendrons à un respect de nous-mêmes fondé sur le sentiment de notre propre valeur : 

·        Chercher à avoir d’autres réactions quand autrui nous manifeste son amour ou tente de nous montrer qu’il nous accepte tel que nous sommes. Au lieu de répondre automatique par le scepticisme devant un geste d’affection, dire : « Merci » ou « Je suis content que vous pensiez cela« . 

·        S’il y a quelqu’un que nous aimons vraiment, lui dire franchement : « Je vous aime » et, en guettant la réaction de l’intéressé, félicitons-nous d’avoir sauté le pas

·        Au restaurant, commander un plat dont nous sommes gourmand, même si c’est cher. Choisir systématiquement les choses que nous préférons sans nous préoccuper du reste. Se faire plaisir parce que nous le méritons. Proscrire les sacrifices, sauf lorsqu’ils sont absolument nécessaire – et c’est bien rare

·        Après une matinée fatigante et un repas copieux, faire une petite sieste ou aller nous promener, même si nous sommes débordé de travail. Cela nous aidera à nous sentir cent fois mieux

·        Adhérer à une association ou pratiquer une forme d’activité qui nous tente. Nous ne l’avons pas fait jusqu’à maintenant parce que nous avions trop de responsabilités et nous n’avions pas le temps. En choisissant de nous aimer, nous constaterons que ceux qui partagent nos opinions commenceront à prendre confiance en eux. Et nous constaterons aussi que nous n’avons aucune hostilité à leur égard. Ce sera par choix et non par obligation que nous leur rendrons service

·        Eliminer la jalousie en reconnaissant que c’est une façon de nous rabaisser nous-mêmes. Se comparer à quelqu’un et s’imaginer qu’on nous aime moins que ce quelqu’un, c’est considérer que les autres sont plus importants que nous. Nous mesurons alors notre mérite en fonction d’autrui. Rappelons-nous qu’on peut toujours nous préférer quelqu’un sans que cela ait d’incidence sur nous, et que le fait d’être ou de ne pas être préféré n’a rien à voir avec notre valeur propre. Si nous sommes jaloux, nous nous condamnons à douter perpétuellement de nous parce qu’on ne peut jamais savoir comment une personne réagira à tel jour, à tel moment. Si cette personne nous préfère quelqu’un d’autre, c’est l’élu qui est en cause, pas nous. Si  nous pratiquons l’amour de nous-mêmes, toutes les circonstances qui avaient auparavant déterminé un sentiment de jalousie chez nous seront renversées. Nous aurons une telle foi en nous que nous n’aurons plus besoin de l’amour ni de l’appréciation des autres comme critère de notre propre valeur

·        S’aimer soi-même peut aussi se traduire par une nouvelle façon de traiter son corps. Par exemple, choisir des  aliments sains et diététiques, éliminer son excès de poids, faire régulièrement de la marche à pied ou de la bicyclette, respirer l’air pur parce que c’est agréable, et plus généralement, se maintenir en forme et soigner son physique. Tout cela à condition de vouloir être en bonne santé. Pourquoi ? parce que nous sommes importants et que c’est en fonction de cette importance que nous allons nous traiter nous-mêmes. Passer une journée enfermé entre quatre murs ou à se livrer passivement à une routine assommante, c’est se déclarer la guerre à soi-même. A moins que nous préférions effectivement nous isoler, auquel cas c’est un choix que nous faisons

·        C’est dans le domaine de la sexualité que l’on peut pratiquer le plus intensément l’amour de soi. Se placer tout nu devant un miroir et admirer notre beauté. Nous pouvons dialoguer avec notre corps, l’explorer sensuellement, nous faire frissonner de plaisir. Quand nous sommes deux, nous pouvons aussi choisir de parvenir à la plénitude sexuelle au lieu de considérer que le plaisir de notre partenaire est plus important que notre propre plaisir. Ce n’est qu’en optant pour l’assouvissement personnel que nous pouvons lui donner du plaisir. Si nous ne sommes pas heureux, notre partenaire est généralement déçu. En outre, si nous choisissons notre satisfaction personnelle, il est plus facile aux autres de choisir d’être heureux eux-mêmes. Nous pouvons atteindre à l’expérience physique ultime en étant convaincus que nous le méritons. Et nous pouvons alors, et ce sera grisant, vérifier par nous-mêmes que c’est vrai. Pourquoi ? parce que nous le méritons

·        Nous pouvons cesser d’établir un rapport direct entre nos performances et notre valeur personnelle dans tous les domaines. Il se peut que nous perdions notre emploi ou que tel ou tel  projet sur lequel nous travaillons se solde par un échec. Il se peut que nous n’aimions pas la façon dont nous avons réalisé ceci ou cela. Mais cela ne veut pas dire que nous sommes nuls. Nous devons nous convaincre que nous valons quelque chose, indépendamment de ce que nous avons accompli. Autrement, nous nous vouons à confondre immanquablement notre être et nos activités extérieures. Il est aussi absurde de faire dépendre sa propre valeur, d’une réalisation externe, que de lier cette réalisation à l’opinion d’un tiers. Une fois délivrés de cette confusion, nous serons capables de nous lancer dans toutes sortes d’entreprises et le résultat final, quel que soit l’intérêt qu’il présente pour nous, ne sera aucunement déterminé par notre valeur en tant qu’individu

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Toutes ces attitudes, et beaucoup d’autres semblables sont celles de gens qui s’aiment eux-mêmes. Elles peuvent souvent être en contradiction avec les leçons que nous avons apprises en grandissant. Mais très jeunes, nous étions l’amour de soi incarné. Enfant, nous savions instinctivement que nous avions une valeur précieuse. 

Revenons-en maintenant aux questions posées au début : 

-         Pouvez-vous vous accepter sans arrière-pensée ? 

-         Pouvez-vous vous aimer tout le temps ? 

-         Pouvez-vous donner l’amour et le recevoir ? 

Voilà des points sur lesquels nous sommes capables d’agir ; nous fixer pour objectif d’être amoureux de l’être le plus beau, le plus passionnant, le plus précieux qui ai jamais existé – NOUS-MEMES

A suivre………. 

  

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