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Puissance Mentale…

Posté par othoharmonie le 5 décembre 2010

Titre

COMMENT DEVELOPPER VOTRE PUISSANCE MENTALE         

Auteur

Christiane DENRYCK  

 

                                      COMMENT DEVELOPPER VOTRE PUISSANCE MENTALE        

 

 

 

Comment Développer Votre Puissance Mentale Grâce À La Nouvelle Radiesthésie de Christiane Denryck - Livre

De quoi ça parle

Initiée aux techniques de maîtrise du mental et de la radiesthésie, Christiane Denryck met tout son savoir à la portée de tous dans ce livre fascinant.
Vous y découvrirez une véritable méthode qui vous prend par la main et vous guide pas à pas vers le succès.

Grâce à des exercices simples, vous obtiendrez facilement des résultats rapides. Vous apprendrez par exemple à développer votre mémoire subconsciente, votre pouvoir de concentration, votre capacité à visualiser et votre sixième sens. Vous maîtriserez l’auto-hypnose et bientôt vous saurez manier la baguette et le pendule. Vous pourrez alors appliquer vos connaissances à votre vie de tous les jours et vous trouverez ainsi une réponse à toutes vos questions.

Qu’il s’agisse de découvrir des sources, de deviner la météo, de déceler l’origine d’une maladie, de déterminer quels numéros jouer, la méthode de Christiane Denryck vous donnera à coup sûr la réponse.

 

Pas de note sur l’auteur …. 

 

 

Puissance Mentale... dans C et D 7f962cd7

 

 si vous aussi vous voulez vous procurer ce livre, vous le trouverez ICI : 

http://www.priceminister.com/offer/buy/19583488/Denryck-Christiane-Comment-Developper-Votre-Puissance-Mentale-Grace-A-La-Nouvelle-Radiesthesie-Livre.html 

 

 

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Sophrologie et applications

Posté par othoharmonie le 5 décembre 2010

Titre

LE SCHEMA CORPOREL EN SOPHROLOGIE ET SES APPLICATIONS THERAPEUTIQUES      

Auteur

Michèle DECLERCK  

 

                                                       LE SCHEMA CORPOREL EN SOPHROLOGIE 

                                                       ET SES APPLICATIONS THERAPEUTIQUES    

 

                                                                                Le corps à témoin 

 

                                                         Sophrologie et applications dans C et D 389085130_L

De quoi ça parle 

 

Le propos des auteurs consiste à travers quelques cas exemplaires, à montrer comment l’intégration de ce schéma corporel  » comme réalité vécue  » peut permettre de parvenir à une autonomie si vacillante aujourd’hui, et à travers elle, de maîtriser les peurs qui sont à l’origine du malaise, du simple stress aux phobies les plus spectaculaires, de la dépression à ses déguisements tels que la boulimie et autres dépendances. 

 

LIRE UN EXTRAIT ici :

 

 http://books.google.fr/books?id=nHGr973VgBoC&lpg=PP1&ots=ZCqA279LNZ&dq=LE%20SCHEMA%20CORPOREL%20EN%20SOPHROLOGIE%20ET%20SES%20APPLICATIONS%20THERAPEUTIQUES%20de%20DECLERCK&pg=PP1#v=onepage&q&f=false 

 

L’auteur

                              photo : 121844 dans C et D

 

 

CONTACTER M.DECLERCK / Tél. : 01 40 46 93 12 (du lundi au samedi) 

 

michele.declerck@gmail.com
77, rue Cardinal Lemoine – 75005 Paris 

 

 

 

 

Psychanalyste et Sophrologue 

25 ans d’expérience professionnelle. 


Diagnostic et conseil pour pathologies telles que phobies (notamment phobies sociales), dépressions, hypocondrie, troubles du comportement alimentaire. 

Egalement, conseil en orientation scolaire et professionnelle.

 

  

Vidéo : Image de prévisualisation YouTube

 

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Alexandra

Posté par othoharmonie le 4 décembre 2010

ETUDE ET SIGNIFICATION DES PRENOMS   

 

 

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Etymologie : Défense de l’humanité (grec). 

 

 

Fête : 20 mars 

 

 

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Qui est elle ? 

  

  

Alexandra est une femme de caractère ! En effet, sa personnalité est très forte et elle n’a rien à envier aux représentants du sexe masculin. Comme eux, elle est ambitieuse, courageuse, impatiente, autoritaire même. Elle a besoin de combattre et de se dépenser physiquement. Dotée de qualités plus fréquemment attribuées aux hommes qu’aux femmes, elle est franche, droite, brusque, orgueilleuse, entêtée et loyale. Elle sait saisir les opportunités lorsqu’elles se présentent. Tact, tolérance, passivité, douceur et faiblesse lui sont inconnus. Malgré tout, elle cache émotivité et sensibilité et, face à l’adversité, notamment lors de crises affectives, elle a tendance à se refermer sur elle-même et à s’affoler. Bien que matérialiste et concernée par l’argent, elle n’en demeure pas moins généreuse et capable de sacrifice, que ce soit pour les êtres qu’elle aime ou pour les causes qui la touchent. Parents, ne vous fiez pas trop à son côté garçon manqué, et ne vous laissez pas impressionner par son apparente détermination, car, au fond, c’est un coeur tendre, une inquiète, qui recherche surtout la sécurité… Cela ne l’empêchera pas d’être débordante d’énergie, tyrannique, jalouse, entière et possessive.

 

 Elle peut même de temps en temps entrer dans de violentes colères : ce sera simplement pour vous montrer qu’elle existe ! C’est une enfant sincère et honnête qui vous aime avec passion. Laissez-la trouver son équilibre et satisfaire son esprit de compétition par la pratique d’un sport… La musique, la peinture ou la sculpture pourraient aussi motiver son intérêt et satisfaire son besoin d’émotions et de sensations fortes… 


Qu’aime-t-elle ? 


Passionnée, Alexandra a besoin de trouver un sens à sa vie : aussi est-elle attirée par les réalisations concrètes, solides et tangibles. Elle cherche à réussir, par elle-même ou par l’intermédiaire de son partenaire, qui devra être à la hauteur! Personnage double, elle aime aussi s’évader et ce peut être par des voyages lointains, au-delà des frontières, ou par l’imaginaire, qui est chez elle très développé. Fascinée par tout ce qui est étrange, merveilleux, fantastique ou irrationnel, elle peut même avoir quelques dons de médium… 


Sa vie sentimentale est tout aussi double : elle sait ce qu’elle veut, a besoin d’admirer son partenaire, et fera passer la sécurité avant tout. Aussi, gare à celle qui s’approchera de trop près de lui ! Possessive et jalouse, exigeante, elle ne sera pas du tout docile, à moins qu’elle ne se soit rendu compte qu’elle est allée trop loin… Par ailleurs, ce n’est pas toujours la maîtresse de maison rêvée : elle dépense parfois sans compter, surtout pour elle, et peut faire des économies de bouts de chandelle lorsqu’il s’agit des autres… 

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Que fait elle, Alexandra? 

N’ayant pas particulièrement la vocation de femme au foyer, Alexandra sera tentée par les orientations suivantes: les carrières en rapport avec l’argent ou les affaires (banque, comptabilité, gestion…), les carrières en rapport avec un pouvoir (l’armée, la police, le sport…), les carrières en rapport avec les voyages et l’étranger, les activités liées à l’audiovisuel, au journalisme, ou privilégiant le contact avec le public, le domaine social (justice) ou médical, les activités où elle mettra à profit son intuition ou son « inspiration » (activités artistiques, parapsychologie…). 

 

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Isabelle

Posté par othoharmonie le 4 décembre 2010

ETUDE ET SIGNIFICATION DES PRENOMS   

 

 

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Etymologie : Dieu est serment (hébreu). 

 

 

Fête : 22 février 

 

 

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Qui est elle ? 

  

Douceur et fragilité émanent de la charmante Isabelle. Féminine jusqu’au bout des ongles, elle est agréable, conciliante et tout particulièrement sensible. Son émotivité à fleur de peau n’est pas sans lui poser quelques problèmes : impressionnable, suggestible, Isabelle est très perméable à l’ambiance dans laquelle elle se trouve. Cette réceptivité, si elle favorise l’éclosion de talent artistique (musical ou autre), n’en est pas moins à l’origine d’inquiétude ou de peurs. Lors de situations difficiles, comme celles d’examen ou face à l’inconnu, elle perd facilement 

 

ses moyens. En revanche, elle donne le maximum d’elle-même lorsqu’elle se trouve dans un environnement qui lui convient. Isabelle est une douce rêveuse, imaginative voire fantasque, éprise de merveilleux ou de magique. Un brin de fantaisie l’anime, elle est ennemie de la routine. Vivre, pour elle, c’est rêver, s’abandonner à ses émotions ou à ses sensations. Les basses réalités matérielles la laissent de marbre. Souvent, dans la vie, Isabelle évolue par identification. Ainsi elle joue du piano parce qu’elle a été séduite par un virtuose qui la fascine. Elle peut encore choisir telle ou telle activité pour faire plaisir à l’un de ses proches ou suivre un ou une amie tendre… Tout chez elle passe par l’affectif. C’est d’ailleurs une amie charmante, à l’écoute des autres, serviable, disponible et d’excellent conseil. Humaine et généreuse, elle sait donner beaucoup d’elle-même. Si elle arrive à vivre à la hauteur de son maître nombre, Isabelle parviendra à concrétiser ses aspirations humanistes ou idéalistes. C’est alors qu’on la verra participer à des groupements ou à des associations à objectif social, humanitaire, artistique, mystique ou politique, dans lesquels elle s’épanouira en partageant. Elle aura alors un grand ascendant sur autrui. Si la vie ne lui permet pas de vivre ses idéaux, elle tendra à se réfugier dans les chimères, l’utopie, rêvant sa vie puisqu’elle ne peut vivre son rêve… Elle pourrait même rechercher une certaine prise en charge pour se sentir pleinement sécurisée, dans la soumission, la passivité et la dépendance. Enfant, Isabelle est un ange ayant besoin d’affection, de tendresse, de câlins et de douceur. Le monde lui fait peur, aussi tend-elle à se réfugier dans la douce sécurité du sein maternel. Si la famille n’apporte pas le soutien affectif dont elle a besoin, Isabelle prendra facilement le chemin d’une opposition passive. Elle délaissera alors le travail scolaire, et se réfugiera dans les rêves, la paresse, la fugue ou la fuite… Développez son goût pour la musique. 

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Isabelle ; Qu’aime-t-elle ? 


Elle apprécie la compagnie des autres : sociable, extravertie, elle est sentimentale, romantique, et rêve du Prince Charmant. Mais, blessée dans ses sentiments, elle a tendance à se réfugier dans sa tour d’ivoire. Ne vous méprenez pas non plus, si elle a l’air distante et réservée, c’est principalement à cause de sa timidité. Féminine, elle privilégiera sa vie sentimentale et maternelle, la tendresse étant sa source d’eau vive. Elle a le sens de l’amitié, aime coopérer dans des activités de groupe qui la stimulent, car sa nature profonde est davantage la contemplation, ou la paresse. C’est une intimiste, narcissique, un peu égocentrique, qui adore s’épancher lorsqu’elle se sent en confiance. C’est aussi une sensorielle, une gourmande et une épicurienne. 


Que fait elle Isabelle ? 

Les études ne sont pas nécessairement son domaine de prédilection, sauf si une motivation puissante la pousse. Elle possède pourtant une excellente mémoire, un sens psychologique inné, ce qui la rend fine, astucieuse et volontiers critique. Elle est donc attirée par les sciences humaines (psychologie, sociologie, puériculture, pédagogie), et ce, surtout si elle est née un 2, 11, 20, 29, ou si elle possède un chemin de vie 2 ou 11. À défaut, elle peut être tentée par les voies de la presse, de l’audiovisuel, des voyages, de l’art, de la communication, voire de la parapsychologie, surtout si son jour de naissance est un 9, 18, 27. Si elle n’aime pas assumer des responsabilités, elle se révélera une excellente collaboratrice, ou une maîtresse de maison accomplie… 

 

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Les cloches de la pleine conscience

Posté par othoharmonie le 3 décembre 2010

 

Lorsque vous entendrez la cloche, la sonnerie du téléphone ou la musique du carillon, vous remarquerez que tout le monde autour de vous s ‘immobilise et s’arrête de parler.

 

 Ce sont nos cloches de pleine conscience. Quand elles retentissent, nous arrêtons tout ce que nous sommes entrain de faire, nous relâchons notre corps et notre esprit et nous retournons à notre respiration. Nous faisons cela le plus naturellement possible, avec plaisir, sans être solennels ni rigides. Le son de la cloche nous interpelle: 

« J’écoute, j’écoute, ce son merveilleux me ramène à ma vraie demeure. » 

 

En nous arrêtant, en revenant à notre respiration et restaurant notre calme et notre paix, nous devenons libres, notre travail devient plus agréable et l ‘ami qui est en face de nous devient plus vivant. Quand vous rentrerez chez vous, vous pourrez utiliser la sonnerie du téléphone, les cloches de l’église de votre village ou de votre quartier, le chant d’un oiseau ou tout autre bruit familier. Avec seulement trois respirations conscientes, nous pouvons relâcher les tensions dans notre corps et dans notre esprit et redevenir plus calmes et plus libres.

Les cloches de la pleine conscience dans Noble Silence-Vipassana pilgrimage-to-peace

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La méditation assise

Posté par othoharmonie le 3 décembre 2010

 

La méditation assise dans Noble Silence-Vipassana noble-silence-flowers

La méditation assise est un moyen de retourner chez soi et de prendre soin de soi. A l’instar de la représentation du Bouddha sur l’autel, nous pouvons, nous aussi, rayonner la paix et la stabilité. Nous nous asseyons le dos bien droit avec dignité et retournons à notre respiration. Nous portons notre pleine attention à ce qui se passe à l’intérieur et autour de nous. Nous laissons notre esprit devenir ouvert et sans limites et notre cœur doux et aimant. 

 

La méditation assise apporte beaucoup de bienfaits. Nous réalisons que nous pouvons être un avec ce qu’il y a à l’intérieur de nous : notre douleur, notre colère, notre irritation ou notre joie, notre amour, notre paix. Nous sommes seulement avec ce qui est là sans nous laisser entraîner. Laissons ce qui est là apparaître, s’installer puis repartir. Nul besoin de rejeter ou de réprimer une pensée, ni de prétendre qu’elle n’est pas là. Observez les pensées et les images de votre esprit avec un regard tolérant et amical. Nous sommes libres de demeurer immobiles et calmes en dépit des orages qui peuvent éclater en nous. 

 

Si vos jambes, vos cuisses ou vos pieds s’ankylosent pendant l’assise, il est essentiel de modifier votre position. Vous pouvez le faire lentement tout en suivant votre respiration, sans bruit et sans déranger vos voisins. La méditation assise doit être un moment agréable. Et comme il est inutile de souffrir à cause de la position, vous devez donc trouver celle qui vous convient. 

 

Entre les deux périodes d’assise, nous pratiquons kinh-hanh* dans la salle de méditation. C’est une marche lente et silencieuse où l’on fait un pas le temps de l’inspiration et un pas le temps de l’expiration. Nous sommes conscients des autres tout autour de nous, nous nous sentons en harmonie avec le Corps de la Sangha. Tout le monde se déplace dans un même mouvement, lentement et en pleine conscience. 

 

Nous pourrons trouver d’autres suggestions pour agrémenter cette marche dans les livres de Thy ou en demandant des conseils aux Sœurs et aux Frères aînés. Il est préférable d’arriver dans la salle au moins cinq minutes avant le début de la méditation, pour que chacun puisse trouver une place et s’asseoir confortablement avant que la cloche ne soit invitée. Si malencontreusement vous arrivez après le premier son de cloche, n’entrez pas s’il vous plaît. 

Nous vous invitons à faire une marche méditative à l’extérieur et à revenir pour la deuxième période d’assise après le kinh-hanh. 

 

 

 

*NB : kinh-hanh = Marche lente silencieuse, à petits pas. 

 

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La cuisine

Posté par othoharmonie le 3 décembre 2010

  

 

 

La cuisine est aussi un lieu où l’on pratique la méditation. Quand nous sommes de cuisine ou que nous devons nettoyer la cuisine, nous devons aussi exercer notre pleine conscience. Nous ne parlons qu’en cas de nécessité absolue, et seulement à propos de ce que nous sommes en train de faire. Avant de commencer notre travail, nous pouvons offrir de l’encens sur l’autel de la cuisine pour exprimer notre gratitude de nous rappeler de rester en pleine conscience. Quand nous sommes de cuisine, nous prévoyons assez de temps pour ne pas avoir à nous dépêcher. Soyons conscients que nos frères et nos sœurs comptent sur cette nourriture pour leur pratique. Si nous restons vigilants, notre pleine conscience nous aidera à préparer une nourriture saine et pleine d’amour. 

 

Si nous sommes affectés à une autre activité, nous pouvons apporter notre soutien à l’équipe qui cuisine en évitant de la déranger. N’entrons dans la cuisine que si c’est absolument nécessaire et en respectant le silence. 

 

Quand nous nettoyons la cuisine ou lavons notre vaisselle, nous le faisons comme si nous lavions le bébé Bouddha. De cette manière, la joie et la paix qui nous habitent rayonnent autour de nous.

 

 

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Guérison

Posté par othoharmonie le 3 décembre 2010

    Guérison dans Auto-Guérison 2064515980_small_1   Georges Barbarin

Supposons une médecine qui ne tiendrait pas compte de l’intérieur du corps humain et qui se contenterait, en présence d’un abcès ou de coliques violentes, d’appliquer des emplâtres sur la peau. 

Une telle médication nous semblerait impuissante à provoquer un drainage des tissus profonds ou à corriger une défectuosité des organes internes. Et cependant, la thérapeutique moderne, qui n’hésite pas à intervenir dans les replis les plus secrets de l’organisme humain, ne fait elle-même rien de plus que le barbier de jadis, distributeur de saignées, de purges et de cataplasmes. 

Car sous le squelette d’os, l’homme de chair comporte un squelette psychique, lui-même doublé d’un squelette spirituel. 

Tant qu’on n’a pas agi sur le squelette spirituel, on n’a pas agi valablement sur le psychique, ni durablement sur le physique. 

C’est la raison pour laquelle tant d’affections corporelles chassées d’un endroit du corps par la médecine ou la chirurgie reparaissent à un autre endroit, sous une autre forme pour la plus grande angoisse du malade et le plus grand souci du médecin. 

C’est la raison aussi pour laquelle le thaumaturge ne se préoccupe pas de l’anatomie du malade, mais impose les mains sur son organisme spirituel. 

Dès qu’il a agi sur l’esprit, la guérison corporelle survient d’une manière foudroyante. Dans ce cas, tous les processus habituels de la matière sont mis de côté. Le vice de l’apparence et la défectuosité de la forme se réparent instantanément. 

Quel est l’agent du miracle ? 

Rien d’autre que la pensée. Celle-ci est intervenue dans son propre domaine, qui est celui de la cause d’où découle l’effet. L’opération a porté sur le territoire réel au lieu de porter sur le territoire imaginaire, car il faut bien nous persuader que, dans la vie, c’est ce qui nous semble réel qui est imaginaire et ce qui vous semble imaginaire qui est réel

extrait du livre : Comment on soulève les montagnes ; Georges BARBARIN 

 

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Les Cinq Entraînements à la Pleine Conscience

Posté par othoharmonie le 2 décembre 2010

colombe   Les Cinq Entraînements à la Pleine Conscience sont la base d’une vie libre et heureuse pour l’individu, la famille et la société. Ils offrent le moyen de protéger la vie et de la rendre belle. En les pratiquant, nous pouvons éviter de commettre des erreurs, de causer de la souffrance et du désespoir. En suivant ce chemin, nous cultivons l’amour, la liberté, le bonheur, et aidons les autres à faire de même. 

 

Les cinq entraînements nous permettent d’approfondir notre compréhension de l’inter-être de toutes choses, et de mieux comprendre que notre bonheur et notre souffrance sont interdépendants du bonheur et de la souffrance d’autrui. 

 

La pratique des Cinq Entraînements à la Pleine Conscience est également un entraînement à la concentration et à la vision profonde. Elle nous donne ainsi accès à la vision de l’inter-être qui nous libère de toute peur et de toute séparation. 

 

Ces entraînements ne sont pas des commandements. Il est important de les recevoir et de les vivre dans un esprit ouvert, avec souplesse et sans dogmatisme, en tenant compte des exceptions possibles. 

Le premier entraînement : Protection de la vie 

Conscient(e) de la souffrance provoquée par la destruction de la vie, je m’engage à ne pas tuer, à ne pas laisser tuer et à ne soutenir aucun acte meurtrier dans le monde, dans mes pensées ou dans ma façon de vivre. Je suis déterminé(e) à cultiver mon attention et ma compassion, afin d’apprendre comment protéger la vie des personnes, des animaux, des plantes et des minéraux. Je trouverai les moyens d’aider les autres à voir combien la vie est précieuse, en eux et autour d’eux. 

 

Je m’entraînerai à entrer en contact profond avec la nature interdépendante de toutes choses. Je pourrai ainsi transformer la discrimination, la peur, la colère, l’avidité, en moi et dans le monde, de manière à prévenir la violence et la guerre, qui s’exercent souvent au nom d’une religion ou d’une idéologie. 

Deuxième entraînement : Equité et générosité 

Conscient(e) de la souffrance provoquée par l’injustice sociale, le vol et l’oppression, je m’engage à respecter la propriété d’autrui et à ne pas tirer profit, ni soutenir l’exploitation des êtres humains ou de toute autre forme de vie. 

 

Je suis déterminé(e) à pratiquer la générosité et à partager mon temps, mon énergie et mes ressources matérielles avec celles et ceux qui en ont besoin. 

 

J’apprendrai les moyens d’offrir la joie, la paix et le bonheur à tous les êtres. Je m’entraînerai à reconnaître mes véritables besoins de façon à mener une vie simple et heureuse. En transformant l’avidité en moi, je contribuerai au développement de la générosité dans le monde et à l’établissement d’une société plus juste. 

Troisième entraînement : Conduite sexuelle responsable 

Conscient(e) de la souffrance provoquée par une conduite sexuelle irréfléchie, je suis déterminé(e) à développer mon sens de la responsabilité et à ne pas avoir de relations sexuelles sans amour ni engagement à long terme. Conscient(e) que dans notre société, l’amour est souvent réduit à la sexualité, je m’engage à bâtir ma vie affective sur les quatre fondements de l’amour véritable : la bonté aimante, la compassion, la joie et l’équanimité. 

 

Je vois que le corps et l’esprit ne font qu’un, et je suis conscient(e) que la sexualité ne peut pas suffire à dissiper le sentiment de solitude et à combler les besoins affectifs. Afin de préserver mon propre bonheur et celui des autres, je suis déterminé(e) à traiter mon corps et celui d’autrui avec respect et non avec désinvolture. Je serai respectueux(se) de mes engagements ainsi que des engagements des autres. Je m’engage à faire tout mon possible pour éviter les conséquences d’une conduite sexuelle irresponsable, comme la désunion des couples et des familles, la situation dans laquelle la question de l’avortement devrait être affrontée, ou l’abandon des enfants. Je ferai également tout ce qui est en mon pouvoir pour protéger les enfants des abus sexuels. 

Quatrième entraînement : Ecoute profonde et parole aimante 

Conscient(e) de la souffrance provoquée par l’incapacité à écouter autrui et par des paroles irréfléchies, je suis déterminé(e) à développer une écoute bienveillante et à parler à tous avec compassion, afin de soulager les souffrances et de cultiver la joie et le bonheur. 

 

Je m’engage à écouter profondément, sans juger ni réagir de manière impulsive, afin de comprendre réellement l’autre, et je m’entraînerai à être attentif(ve) aux perceptions erronées et aux malentendus possibles. 

 

Je m’engage à parler avec sincérité, en employant des mots qui inspirent la confiance en soi, qui nourrissent l’harmonie et l’espoir, et qui œuvrent à la réconciliation dans tous les conflits si petits soient-ils. Je m’entraînerai à dire la vérité de manière à ce que l’autre puisse l’accepter sans se sentir blessé. Je ne répandrai aucune information dont l’authenticité ne serait pas établie et ne condamnerai ni critiquerai ce dont je ne suis pas certain(e). Je ne chercherai pas à me mettre en valeur et à impressionner les autres. 

 

Je m’entraînerai, grâce à la pratique de la respiration consciente, à apaiser l’énergie de la colère, qui empêche l’écoute profonde et la parole aimante. 

Cinquième entraînement : Consommation en pleine conscience 

Conscient(e) de la souffrance provoquée par une consommation irréfléchie, je suis déterminé(e) à ne pas intoxiquer mon corps et mon esprit avec des poisons comme l’alcool, le tabac ou la drogue, comme certains sites internet, films, émissions de télévision, livres ou musiques, ou encore certaines conversations. 

 

Je suis déterminé(e) à être attentif(ve) à tout ce qu’absorbent mon corps et mon esprit, de façon à entretenir une bonne santé physique et mentale. Je m’engage à consommer et à offrir uniquement des nourritures qui peuvent m’apporter le bien-être, la paix et la joie, et j’observerai profondément comment mon bien-être, ma paix et ma joie nourrissent à leur tour le corps et la conscience de mes proches, ainsi que le corps et la conscience collective de la société. 

 

Je suis conscient(e) qu’une discipline alimentaire et mentale est indispensable pour préserver la planète, notamment en prévenant le tarissement de ses ressources et la pollution. 

 

Au lieu de chercher dans la consommation un remède à l’insatisfaction et à la souffrance, je m’entraînerai à regarder celles-ci profondément en moi pour les transformer, et à entrer en contact avec ce qui peut me rendre heureux dans l’instant présent.

Les Cinq Entraînements à la Pleine Conscience dans Noble Silence-Vipassana 326

 

 

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Vivre ensemble

Posté par othoharmonie le 2 décembre 2010

 

Le fait d’être ensemble est déjà en soi, une pratique. Au Village de Jaipur nous avons la chance de vivre avec des personnes de différents pays et de différents milieux. Ensemble, nous formons un Corps de Sangha relié par la pratique de la pleine conscience. Avec notre énergie collective, notre calme et notre regard profond, nous pouvons être pour les autres un soutien sur le chemin de la transformation. Il faut pour cela faire preuve de coopération, d’habileté et d’acceptation mutuelle. Nous avons besoin de cultiver la compréhension, l’art de la communication et la générosité. Prenons le temps de connaître les personnes qui sont autour de nous (nous qui négligeons notre voisinage depuis si longtemps !). En vivant ensemble, nous pouvons nous encourager dans la pratique et établir des liens solides entre nous. Partager notre chambre est une occasion de développer la compréhension et la compassion en nous-mêmes et vis-à-vis des autres. Nous pouvons observer ce qui rend l’autre personne heureuse, et, si elle est heureuse, alors nous sommes aussi heureux. 

 

Une bonne entente avec nos compagnons de chambre passe aussi par le partage des tâches ménagères et le respect de quelques règles simples pour ne pas les importuner: demander leur accord avant d’ouvrir la fenêtre, avant de brûler un bâton d’encens ou d’allumer la lumière. En étant plein d’égard vis-à-vis de nos amis, nous pourrons créer un environnement favorable. Le plus beau cadeau que l’on puisse offrir à ceux qui nous entourent est notre pratique de la pleine conscience et notre sourire.

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L’ère du Verseau

Posté par othoharmonie le 2 décembre 2010

L'ère du Verseau dans En 2012-2013 et après 2016 7765130.2 L’ère du Verseau,                                 

Ere de la conjonction des contraires 

Selon les conceptions astrologiques, le déplacement de l’équinoxe du printemps ou « point vernal », qui, dans la période actuelle, quitte la Constellation des Poissons pour entrer dans celle du Verseau représente le début d’un nouveau chapitre de l’évolution de l’humanité. 

Ce point se déplace d’un degré sur l’équateur céleste tous les 72 ans. Les 360 degrés du zodiaque des constellations seront donc parcourus en 25920 ans. C’est la grande année dite de Platon. 

Au bout de 30° soit 2160 ans, le soleil à l’équinoxe de printemps se lève face à un autre signe et c’est précisément ce qui se passe à notre époque. Nous entrons dans un nouveau « mois », dans une nouvelle ère. 

Le grand psychiatre Carl Gustav Jung, qui a une vision originale de ces ères en faisant appel aux archétypes de l’inconscient collectif, fait remarquer en 1951

« Si l’éon des Poissons est, selon toute apparence, gouverné principalement par le motif archétypique des « frères ennemis », le problème de la conjonction des contraires se posera, en coïncidence avec l’approche du prochain mois platonicien, c’est à dire celui du Verseau. »

ositoyglobo dans En 2012-2013 et après 2016

Aïon 1951.

Dans l’édition allemande de 1976 et traduite en 1983, Jung reprend ce passage et le précise

« Si, comme tout le donne à penser, l’ère des Poissons a été essentiellement régie par le thème des « frères ennemis », l’approche du mois platonicien qui lui succède, l’âge du Verseau, doit poser le problème de l’unification des opposés. Il ne sera plus possible alors d’escamoter le mal comme simple privatio boni, mais il faudra bien reconnaître son existence réelle. Ce problème ne pourra toutefois être résolu ni par la philosophie, ni par l’économie nationale, ni par la politique, ni par les Eglises historiques, mais il ne pourra l’être que par l’individu, c’est à dire à partir de l’expérience originelle de l’Esprit vivifiant, dont le feu fut transmis, avec tous les malentendus liés à l’époque, par un Joachim de Flore entre beaucoup d’autres. » (p.100) 

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Les effets de l’ère du Verseau sont-ils déjà perceptible ou non ? 

Le débat est ouvert mais que valent dix, vingt ou trente ans sur plus de deux millénaires ? 

Il est difficile de constater avec précision un changement d’ère. L’influence de l’archétype d’un mois du monde doit diminuer progressivement alors que celle du suivant commence à être perceptible. On a dit que le Christ symbolisait le début de l’ère des Poissons et le sacrifice du Bélier, qui était le signe astrologique précédent. 

A-t-on un point de repère équivalent pour signifier la fin de l’ère des Poissons et le début de l’ère du Verseau ? 

Certains lecteurs peuvent s’interroger sur le déroulement inhabituel des signes. Pourquoi est-il d’abord question du Bélier, puis des Poissons et enfin du Verseau ? 

Le point vernal est rétrograde. Si on remonte à plus de 4000 ans, il a d’abord balayé la constellation du Bélier jusqu’à l’ère chrétienne, puis celle des Poissons depuis le début du calendrier actuel, actuellement il entre dans le Verseau et dans quelque 2000 ans, il abordera la constellation du Capricorne… 

Si l’ère des Poissons est bien caractérisée par l’archétype des frères ennemis, nous ne pouvons que constater que la liste des « frères ennemis » encore en train de se battre est longue : retenons les Indiens et les Pakistanais, les Israéliens et les Palestiniens mais aussi et répandue sur bien des points de la planète, les tensions et parfois les luttes des sédentaires et les nomades, ce qui semble montrer que l’archétype des Poissons est toujours activé et pas encore intégré par l’humanité… 

La prise de conscience de l’existence du mal est faite, semble-t-il, depuis la 2e guerre mondiale, l’archétype de la nouvelle ère est perçu. 

Pour concilier les contraires, les unifier, encore faut-il bien les cerner, les connaître, les vivre. Certains commencent à être soulignés dans notre société, par exemple le corps et l’esprit, l’individu et la société, le travail et le loisir, l’inconscient et le conscient…  Notons aussi une certaine focalisation sur les juges, on ne cesse de discuter de leurs fonctions, de leur indépendance, de leur pouvoir. Or qui a le rôle de concilier les parties opposées sinon les juges ? 

 On pourrait dire que deux mille ans pour maîtriser la conjonction des contraires, c’est vraiment beaucoup de temps pour obtenir une chose qui pourrait paraître relativement facile et pourtant nous avons en exemple le travail de l’ère précédente sur les frères ennemis que l’humanité n’a pas réussi  à terminer. 

Serait-ce parce que le problème est projeté sur des groupes, des pays, alors qu’il serait utile de voir d’abord notre obscurité intérieure, notre frère obscur à l’intérieur de nous et s’en faire un allié, un ami ? 

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Diffusé sur www.arsitra.org – (c) 2002 

Source: www.lespasseurs.com

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Un nouveau départ

Posté par othoharmonie le 1 décembre 2010

 

gif arbre         Prendre un nouveau départ, c’est regarder profondément et honnêtement en nous-mêmes, dans nos actions passées, dans nos paroles et dans nos pensées et créer le renouveau en nous et dans nos relations avec les autres. Au Village des Pruniers, nous faisons un nouveau départ avec toute la communauté deux fois par mois (et individuellement, aussi souvent que nous le souhaitons). Nous faisons un nouveau départ pour rendre notre esprit plus clair et préserver la fraîcheur de notre pratique. Quand une difficulté survient dans nos relations avec un membre de la Sangha, si l’un d’entre nous se sent blessé ou éprouve de la colère, nous savons que c’est le moment de faire un nouveau départ. Nous allons décrire la cérémonie telle qu’elle est pratiquée ici de façon formelle. Une personne prend la parole et n’est pas interrompue pendant le temps de son intervention ; les autres participants pratiquent l’écoute profonde et suivent leur respiration. 

1ère partie: L’arrosage des fleurs. 

C’est une occasion pour vous d’exprimer ce que vous aimez dans l’autre personne. Vous pouvez donner des exemples de ce que cette personne a dit ou fait et que vous avez apprécié. Cela met en lumière ce qu’il y a de solide, de beau en elle et cela renforce ses qualités positives. 

2ème partie: aborder les regrets

Vous avez la possibilité de demander pardon à propos de vos actions, de vos paroles ou de vos pensées que vous trouvez maladroites à posteriori. 

3ème partie: exprimer une souffrance. 

Peut-être vous sentez vous blessé par ce que vous a dit ou fait un autre membre de la Sangha. Vous ne pourrez exprimer cette souffrance qu’après avoir arrosé les fleurs de cette personne en citant au moins deux qualités positives que vous avez observées en elle. Vous pouvez également aborder ce sujet seul à seul avec cette personne ou en demandant de l’aide à une troisième personne que vous respectez mutuellement et en qui vous avez confiance. 

4ème partie: partager une difficulté tenace et demander le soutien de la communauté. 

Avec le temps, nous rencontrons tous des difficultés. … des douleurs du passé qui remontent brutalement à la surface. Quand nous exprimons nos difficultés devant les autres, nous permettons aux personnes assises autour de nous de mieux nous comprendre et de nous apporter ainsi le soutien dont nous avons vraiment besoin. 

 

 

 

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Les mouvements en pleine conscience

Posté par othoharmonie le 1 décembre 2010

 

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Il est important de prendre soin de notre corps. Nous avons besoin d’avoir un corps en bonne santé pour pouvoir pratiquer. Les mouvements en pleine conscience et la relaxation profonde entretiennent notre santé, nourrissent notre bonheur, et nous permettent de rester en contact avec notre corps et notre esprit. Nous portons toute notre attention sur notre respiration et les mouvements de notre corps. 

 

La relaxation totale est une pratique qui instaure un climat de paix et d’harmonie au sein de la communauté. Elle permet aux participants de lâcher prise avec leurs soucis et de les ramener dans leur île intérieure. Nous utilisons la respiration comme support, elle est comme une vague qui doucement nous entraîne dans une paix profonde. Dans cet état de repos, notre corps et notre esprit peuvent se libérer de leurs fardeaux. Nous pouvons obtenir un grand soulagement en nous laissant complètement immerger dans cet état de relaxation totale. Après avoir assisté à ne relaxation totale conduite par un Frère ou une Sœur expérimenté(e), vous pourrez utiliser vous-même la technique aussi souvent que vous le souhaitez. 

 

La relaxation totale et les dix mouvements de pleine conscience nous mettent à l’écoute de notre corps. Nous apprenons à être doux avec nous-mêmes et à mous donner de l’espace pour comprendre et grandir. En pratiquant de cette façon, notre corps devient un ami et non plus un obstacle à notre pratique. Devenir plus compatissant envers nous-mêmes nous rend plus compatissant envers les autres. Notre façon de marcher, de nous déplacer, de nous asseoir et de nous tenir debout reflète notre état d’esprit. Quand nous nous déplaçons avec grâce, les personnes qui nous entourent se sentent plus légers et plus détendus. 

 

 

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Ecouter un enseignement

Posté par othoharmonie le 1 décembre 2010

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 Chaque semaine, notre Maître donne un ou plusieurs enseignements. Il est conseillé d’arriver à l’avance afin d’avoir tout le temps de vous installer confortablement et d’établir le calme dans votre esprit. Écoutez avec vos oreilles mais aussi avec votre coeur. Si vous écoutez seulement avec votre intelligence, comparant ce qui est dit avec ce que vous savez, ce que vous avez déjà lu ou entendu …, vous perdez une occasion de recevoir pleinement le message qui vous est transmis. Le Dharma est comme la pluie, laissons-le pénétrer profondément dans notre conscience et arroser les graines de sagesse et de compassion qui sont déjà en chacun de nous. Soyons comme une terre fraîchement labourée qui reçoit une pluie fine. L’enseignement peut permettre à l’arbre qui est en nous de fleurir et de produire les fruits de la compréhension et de l’amour. 

 

Par respect pour notre Maître, mais aussi pour les enseignements, nous vous demandons de rester assis sur une chaise ou sur un coussin et de ne pas vous allonger. Si vous vous sentez fatigué, gardez votre pleine conscience, changez votre position, faites quelques respirations profondes, massez-vous doucement la tête ou les zones endolories de votre corps. Abstenez-vous de parler ou de faire du bruit. Si vous devez absolument quitter la salle avant la fin de l’enseignement, faites le avec le plus de discrétion possible. 

 

 

 

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Toucher la terre

Posté par othoharmonie le 1 décembre 2010

 

Toucher la terre  dans Noble Silence-Vipassana tn_050809noble_silence_reminder

Pour une pratique quotidienne : Toucher la Terre, Conversations intimes avec le Bouddha

 

Toucher la Terre est une pratique qui nous permet de rentrer en contact profond avec la Terre, avec nos racines, nos ancêtres. Nous réalisons que nous ne sommes pas seuls mais reliés à une multitude d’ancêtres génétiques et spirituels. Nous sommes leur continuation, et, avec eux, nous continuerons le chemin dans les générations futures. Nous touchons la Terre et une partie de la Vie. 

 

Quand nous touchons la Terre, nous redevenons petits, avec l’humilité et la simplicité d’un enfant. Quand nous touchons la Terre, nous devenons grands comme un vieil arbre avec ses racines bien profondes dans le sol buvant à la source universelle. Quand nous touchons la Terre, nous inspirons toute la force et la stabilité de la Terre, et nous expirons toutes nos souffrances, notre chagrin, notre colère, notre haine, notre peur, toutes nos insuffisances… 

 

Nous joignons nos paumes de mains pour former un bouton de lotus, puis nous respirons trois fois profondément, et nous nous prosternons lentement. Notre front, nos avant-bras et nos jambes reposent le plus confortablement possible sur le sol. Nous tournons les paumes de nos mains vers le ciel en signe d’ouverture aux trois joyaux: le Bouddha, le Dharma et la Sangha. Après avoir réalisé cette pratique deux ou trois fois (qu’il s’agisse des trois ou des cinq touchés de la Terre), vous pouvez vraiment vous libérer de beaucoup de souffrances, du sentiment d’aliénation et vous réconcilier avec vos ancêtres, vos parents ou vos amis. 

 

 

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La solitude : s’établir dans notre île intérieure

Posté par othoharmonie le 1 décembre 2010

  

 

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Bien que nous soyons constamment entourés de la Sangha dans nos activités quotidiennes, nous sommes également seuls. Pour être seuls, nous n’avons pas besoin de grimper au sommet d’une montagne ou d’aller dans une cabane au cœur de la forêt pour fuir la civilisation. La véritable solitude se trouve dans notre cœur, un cœur stable qui ne se laisse pas perturber par la foule ni par les peines du passé, les inquiétudes de l’avenir ou les préoccupations du présent. Nous ne nous perdons pas, nous ne perdons pas notre pleine conscience. Prendre refuge dans notre respiration consciente, revenir au moment présent, c’est nous établir dans notre île intérieure, une île merveilleuse et sereine. 

 

Nous participons tout ensemble, avec la Sangha*, à la méditation assise, à la méditation marchée, à la méditation du travail, mais nous sommes aussi toujours seuls dans notre propre île. Nous aimons être avec nos frères et nos Sœurs. Avec la Sangha comme soutien, nous ne nous laissons pas entraîner ou emprisonner dans nos émotions et nos perceptions. Quand nous voyons une Sœur marcher en pleine conscience, parler avec amour, travailler avec plaisir, c’est une invitation à retourner dans notre île intérieure. Et retourner dans notre île intérieure c’est retrouver notre solitude. Quand nous passons de bons moments avec les gens qui sont autour de nous, nous ne nous perdons pas dans ces échanges, même au cœur de la société. Nous pouvons sourire et suivre paisiblement notre respiration en nous établissant dans notre île intérieure. 

 

 

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* Sangha : Le terme Sangha (sagha, n.m.) qui peut être traduit par communauté, désigne, dans son sens le plus restreint, la communauté spirituelle des arya-bodhisattva (on distingue ainsi quatre types d’êtres nobles selon le degré de détachement qu’ils ont atteint), ou bien les arya (supérieurs) ayant déjà atteint une perception directe de la vacuité des phénomènes, première des terres de bodhisattva, (un niveau certain de réalisation spirituelle). Ce terme peut aussi désigner évidemment toute la communauté monastique.  

 

 

 

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La pensée

Posté par othoharmonie le 1 décembre 2010

LA PENSEE 

par Léon Denis La pensée dans Etat d'être LeonDenis06

La pensée est créatrice. De même que la pensée éternelle projette sans cesse dans l’espace les germes des êtres et des mondes, de même celle de l’écrivain, de l’orateur, du poète, de l’artiste fait jaillir une incessante floraison d’idées, d’oeuvres, de conceptions, qui vont influencer, impressionner, en bien ou en mal, suivant leur nature, l’immense foule humaine.

C’est pourquoi la mission des ouvriers de la pensée est à la fois grande, redoutable et sacrée.
Grande et sacrée, car la pensée dissipe les ombres du chemin, résout les énigmes de la vie et trace la route de l’humanité ; c’est sa flamme qui réchauffe les âmes et embellit les déserts de l’existence. Redoutable aussi, puisque ses effets sont puissants pour la descente comme pour l’ascension. 

Tôt ou tard, tout produit de l’esprit revient vers son auteur avec ses conséquences, entraînant pour celui-ci, selon le cas, la souffrance, un amoindrissement, une privation de liberté, ou bien des satisfactions intimes, une dilatation, une élévation de son être. 


La vie présente est, on le sait, un simple épisode de notre longue histoire, un fragment de la grande chaîne qui se déroule, pour tous, à travers l’immensité. Et, constamment, retombent sur nous, en brumes ou en rayons, les résultats de nos oeuvres. L’âme humaine parcourt sa voie, entourée d’une atmosphère radieuse ou sombre, peuplée des créations de sa pensée. Et c’est là, dans la vie de l’espace, sa gloire ou sa honte. 

*
* *
 

Pour donner à la pensée toute sa force et son ampleur, rien n’est plus efficace que la recherche des grands problèmes. Pour bien exprimer, il faut sentir puissamment ; pour goûter les sensations hautes et profondes, il faut remonter à la source d’où découle toute vie, toute harmonie, toute beauté. 

Ce qu’il y a de noble et d’élevé dans le domaine de l’intelligence émane d’une cause éternelle, vivante et pensante. Plus l’essor de la pensée vers cette cause est grand, plus haut elle plane, plus radieuses aussi sont les clartés entrevues, plus enivrantes les joies ressenties, plus puissantes les forces acquises, plus géniales les inspirations ! Après chaque essor, la pensée redescend, vivifiée, éclairée, dans le champ terrestre, pour reprendre la tâche par laquelle elle grandira encore, car c’est le travail qui fait l’intelligence, comme c’est l’intelligence qui fait la beauté, la splendeur de l’oeuvre accomplie. 

Elève ton regard, ô penseur, ô poète ! jette ton cri d’appel, d’aspiration, de prière ! Devant la mer aux reflets changeants, à la vue de blanches cimes lointaines ou de l’infini étoilé, n’as-tu jamais éprouvé ces heures d’extase et d’ivresse où l’âme se sent plongée dans un rêve divin, où l’inspiration arrive, puissante, comme un éclair, rapide messager du ciel à la terre ? 

Prête l’oreille ! n’as-tu jamais entendu, au fond de ton être, vibrer ces harmonies confuses, ces rumeurs du monde invisible, voix de l’ombre qui bercent ta pensée et la préparent aux intuitions suprêmes ? 

En tout poète, artiste, écrivain, il est des germes de médiumnité, inconscients, insoupçonnés et qui ne demandent qu’à éclore ; par eux, l’ouvrier de la pensée entre en rapport avec la source inépuisable et reçoit sa part de révélation. Cette révélation d’esthétique appropriée à sa nature, à son genre de talent, il a pour mission de l’exprimer en des oeuvres qui feront pénétrer dans l’âme des foules une vibration des forces divines, une radiation des vérités éternelles.

C’est dans la communion fréquente et consciente avec le monde des Esprits que les génies de l’avenir puiseront les éléments de leurs oeuvres. Dès aujourd’hui, la pénétration des secrets de sa double vie vient offrir à l’homme des secours et des lumières que les religions défaillantes ne sauraient plus lui procurer. Dans tous les domaines, l’idée spirite va féconder la pensée en travail. 

La science lui devra une rénovation complète de ses théories et de ses méthodes. Elle lui devra la découverte de forces incalculables et la conquête de l’univers occulte. La philosophie y gagnera une connaissance plus étendue et plus précise de la personnalité humaine. Celle-ci, dans la transe et l’extériorisation, est comme une crypte qui s’ouvre, remplie de choses étranges, et où se cache la clé du mystère de l’être

Extrait de : LE PROBLEME DE L’ETRE ET DE LA DESTINEE

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De LEON DENIS

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Léon Denis (né à Foug, le 1er janvier 1846, décédé à Tours, le 12 mars 1927) fut un philosophe spirite et, aux côtés de Gabriel Delanne et Camille Flammarion, un des principaux continuateurs du spiritisme après le décès d’Allan Kardec. Il fit des conférences à travers toute l’Europe dans des congrès internationaux spirites et spiritualistes, défendant activement l’idée de la survie de l’âme et ses conséquences dans le domaine de l’éthique dans les relations humaines.

 

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