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Des idées à retenir

Posté par othoharmonie le 30 janvier 2011

Le subconscient travaille 24 heures sur 24   

 

 

  

Des idées à retenir dans Etat d'être Pensee

 

 

Sommaire des idées à retenir

 

*    La maison des trésors est en nous : Cherchons au-dedans, la réponse aux désirs de notre coeur. 

 

*    Le secret des grands hommes, c’est leur capacité de prendre contact avec les pouvoirs de leur subconscient et de libérer ses pouvoirs : vous pouvez faire de même. 

 

*    Notre subconscient détient la réponse à tous les problèmes. Si nous lui suggérons avant de nous endormir « je veux me réveiller à 8 heures », il nous réveillera exactement à cette heure. 

 

*    Notre subconscient est le constructeur de notre corps et il peut nous guérir. Berçons-nous chaque soir de l’idée de la santé parfaite. 

 

*    Si nous avons besoin de créativité, faisons appel à notre subconscient qui nous en donnera. 

 

 

*    Nous sommes semblables à un capitaine de bateau qui le fait naviguer. Il faut donner des ordres convenables (pensées et images) à notre esprit subconscient qui contrôle et gouverne toutes les expériences de notre vie. 

 

*    N’employons pas de termes négatifs : Notre subconscient nous prend au mot et amplifie la négation. Affirmons notre confiance envers notre inconscient. 

 

 

*    La loi de la vie est la loi de croyance. Une croyance est une pensée entretenue par notre esprit conscient. Croyons en la puissance de notre subconscient. 

 

*    Changeons nos pensées, nous changerons notre destinée. 

 

 

 

Résumé extrait de l’oeuvre de Joseph Murphy

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L’amour ne suffit pas

Posté par othoharmonie le 28 janvier 2011

 

Titre 

 

 

L’amour ne suffit pas   

 

Auteur

 

 

Bruno  Bettelheim   

 

                                                              L’Amour ne suffit pas 

 

                        Le traitement des troubles affectifs chez l’enfant 

 

 

L'Amour ne suffit pas

 

 De quoi ça parle :  

Voici l’ouvrage fondamental du grand psychiatre américain, mondialement connu pour ses méthodes audacieuses et novatrices dans le traitement des troubles psychiques chez l’enfant, en particulier l’autisme. Affirmant que la guérison des enfants atteints dans leur développement affectif passe par une approche compréhensive de la totalité de leur vie quotidienne, tenant compte de leurs perturbations les plus précoces, il nous fait découvrir le lent processus de la guérison à travers de multiples observations concrètes et vivantes. Educateurs, psychologues, travailleurs sociaux, parents trouveront ici un exposé clair des recherches qui ont bouleversé le mouvement thérapeutique contemporain. 

 

Présentation du livre 

 

Afin de comprendre le L’auteur expose les méthodes qui l’ont fait connaître et apprécier de dizaines de milliers de parents et de spécialistes du monde entier. Ces méthodes pourront étonner par leur audace. Elles s’adressent à des enfants profondément atteints dans leur personnalité psychique. Affirmant que de tels enfants ne sauraient être pris en charge, rééduqués et guéris, que par une approche compréhensive de la totalité de leur vie quotidienne, l’auteur fait découvrir de lent processus de la guérison. 

 

Modèle pédagogique proposé par Bruno Bettelheim, nous avons étudié deux de ses oeuvres : L’Amour ne suffit pas 1950, et Un lieu où renaître, 1974. Dans ces deux ouvrages, il nous détaille ses principes et méthodes pédagogiques et nous fait découvrir le lent processus de guérison à travers de multiples observations concrètes


Nous nous sommes référés également à
La folie des autres, écrit par une journaliste et écrivain française Geneviève Jurgensen. Initialement jeune orthophoniste diplômée en France, elle travaille ensuite (1970-72) à l’Université de Chicago, en tant qu’éducatrice à l’École Orthogénique dirigée par le psychanalyste Bruno Bettelheim. Dans ce livre, elle relate son expérience auprès du psychanalyste (…) 

 

L’auteur :

 

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Bruno Bettelheim (28 août 1903 à Vienne – 13 mars 1990 à Silver Spring, Maryland) était un psychanalyste, et pédagogue américain d’origine autrichienne. Il s’est rendu célèbre par la publication de livres de vulgarisation où il explique les théories pédagogiques et psychothérapiques, nouvelles à l’époque, mises en œuvre à l’École d’orthogénie de l’Université de Chicago qu’il a dirigée pendant trente ans. 

 

Bettelheim fut l’un des derniers juifs à passer un doctorat à l’université de Vienne (en esthétique, une des branches de la philosophie) avant l’Anschluss de mars 1938. Arrêté par les nazis en mai, il fut déporté dans les camps de concentration de Dachau puis, après les accords de Munich, de Buchenwald. Libéré en mai 1939, il émigra aux États-Unis. Son expérience des camps de concentration sera une des clés de ses théories psychanalytiques, il écrira sur les phénomènes psychologiques à l’œuvre, selon lui, au sein des camps de détention, entre les prisonniers et leurs tortionnaires et publie en 1943 Comportement individuel et comportement de masse dans les situations extrêmes. Cette étude fut complétée plus tard pour en faire un de ses livres les plus importants et les plus accessibles : Le Cœur Conscient

 

Il enseigna à l’Université de Chicago, dirigea une école consacrée aux enfants émotionnellement perturbés dont certains étaient psychotiques ou autistes

 

Bettelheim fut aux Etats-Unis l’un des plus éminents et ardents défenseurs du livre Eichmann à Jérusalem de la philosophe Hannah Arendt

 

Ayant perdu sa femme et redoutant la dégradation de sa santé, il se suicida le 13 mars 1990 à l’âge de 86 ans. 

 

Peu après, une polémique se développa sur sa réelle compétence de psychanalyste. Il reste toutefois le fondateur de deux concepts majeurs, auxquels il est couramment fait référence : celui de «forteresse vide» pour désigner ces remparts que dressent autour d’eux les jeunes autistes pour se protéger de leur sentiment de néant, et le concept de « situation extrême », pour désigner la sensation de mort imminente qui déclenche chez l’individu des comportements de défense à la mesure de l’angoisse ressentie. 

 

 

 

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La chance n’existe pas

Posté par othoharmonie le 26 janvier 2011

 

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 « La chance n’existe pas. Rien ne se produit par hasard. Toutes les choses, bonnes ou mauvaises, sont le résultat d’une loi invariable et inévitable. Et c’est vous-même qui appliquez la loi. Personne ne vous a jamais fait le moindre mal, malgré toutes les apparences.

Consciemment ou inconsciemment, vous avez vous-même mis en place toutes les conditions qui ont mené à la vie que vous avez actuellement. Vous et vous seul avez demandé ce que vous recevez aujourd’hui. Tant que penserez du mal de vous et de la vie, les mêmes ennuis viendront vous harceler. Car chaque semence porte ses propres fruits et les pensées sont les semences du destin. »

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Réfléchissons à cela quelques instants. Que pensez-vous vraiment des problèmes que vous avez ? Pourquoi tel homme est-il malade alors que tel autre est en bonne santé ? Pourquoi tel homme vit-il dans une belle maison alors que tel autre se trouve dans un taudis ? Certains attribuent ces différences à la discrimination raciale, mais je connais plusieurs représentants des minorités qui gagnent de très bons salaires et qui vivent dans le luxe. Si certains réussissent, pourquoi pas les autres ?

Pourquoi tel homme devient-il très populaire alors que tel autre, qui a les mêmes origines et les mêmes avantages, est totalement ignoré ? Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi tant de personnes valables sont malheureuses et frustrées ? Pourquoi certains intellectuels brillants ont-ils une vie familiale malheureuse et des problèmes à communiquer avec les autres ? Si l’instruction est la clé de la réussite, pourquoi les diplômés universitaires ne sont-ils pas tous heureux et comblés ?

De nos jours, on a tendance à déifier l’éducation. On croit qu’elle peut apporter la réponse à tous les maux. Pourtant, un très grand nombre de personnes peu instruites réussissent très bien alors que de nombreux diplômés contestent le système qui ne leur donne pas une meilleure chance.

Y a-t-il un secret ? Oui! La loi de la vie fait en sorte que tout ce qu’on place devant son miroir nous est retourné. Chaque cause a un effet et chaque action entraîne une réaction. Chaque semence mise dans le sol de la vie portera ses propres fruits. Toute chose reproduit sa propre nature. Tout comme une semence de carotte ne donnera pas des radis, la pensée de l’échec ne peut entraîner le succès.

Ce que vous pensez de vous-même détermine votre destin. Le monde vous considère tel que vous vous estimez vous-même. Bien plus, la vie vous apportera exactement ce que vous croyez pouvoir obtenir, ce que votre esprit peut accepter, ni plus ni moins. « Très bien, penserez-vous. En admettant que ce soit vrai, que puis-je faire? J’ai vécu d’une manière pessimiste en croyant que la vie et les gens étaient contre moi. J’ai peut-être semé les mauvaises graines? Mais comment les arracher et tout recommencer ?

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Rares sont ceux qui se connaissent vraiment eux-mêmes et qui savent à quel point ils peuvent façonner leur destinée. Le moment le plus important dans une vie, c’est lorsqu’on réalise que le destin n’est pas le maître, mais que les pensées fournissent le modèle à la substance de la Vie.

La vérité, c’est que ce que nous croyons, ce que nous acceptons et ce que nous attendons avec confiance se réalisera. C’est le modèle que nous imposons à la Vie. C’est là un défi formidable! On peut expliquer cette grande loi de la vie de plusieurs façons. On peut l’appeler la loi des semences et des récoltes, la loi des causes et des effets ou la loi de la gravitation.

Edison refusait l’échec. Quand on lui disait qu’il avait échoué cinq mille fois dans la mise au point d’une ampoule électrique, il répondait: « J’ai découvert 5000 types d’ampoules qui ne fonctionnent pas. » Comme chacun sait, il a fini par réussir. Edison avait une image mentale de la réussite. Il refusait l’idée d’accepter l’échec. De telles images mentales permettent de créer une atmosphère. Comme le disait le grand William James: « Chaque pensée est le moteur de ses conséquences. » Les images mentales entraînent les actions qui leur permettent de prendre forme.

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Si vous avez des images mentales de maladie, de désespoir, d’échec ou de pauvreté, il vous faut renverser la vapeur. Il faut vous donner des images mentales positives qui se matérialiseront dans votre vie. Nous faisons tous notre propre vie, mais il arrive que les images mentales que nous avons ne correspondent pas à ce que nous désirons vraiment.

Comment remplacer les images négatives que vous entretenez ? C’est très simple. Il suffit d’un peu de persévérance pour effacer les vieilles images et les remplacer par d’autres. C’est aussi facile que de changer une diapositive dans un projecteur. Nous sommes tous capables de remplacer les vieilles images par de nouvelles. Par exemple, si vous avez une image mentale de peur et d’anxiété, vous pouvez la neutraliser en adoptant une attitude positive.

La peur se fonde sur l’ignorance et l’ignorance conduit toujours vers la lumière. L’obscurité ne peut résister à la lumière. La lumière n’a pas à se battre contre l’obscurité. Lorsque la lumière s’allume, l’obscurité disparaît. L’ignorance n’a pas plus de pouvoir que l’obscurité. Dès que nous adoptons une image mentale positive de nous-mêmes, la vie commence immédiatement à travailler à sa réalisation. Si vous n’aimez pas l’image que vous avez de vous-même, c’est le moment d’en changer.

Il est important de comprendre que l’auto-orientation est un mode de vie. Dès qu’on peut visualiser mentalement le nouveau concept, dès que l’on accepte et qu’on y croit, l’expérience se transforme et les vieilles images d’échec restent en arrière.

Toute cette théorie repose sur le postulat que le monde visible et le monde invisible ne font qu’un. Einstein, dans le langage scientifique, a affirmé que l’énergie et la matière étaient interchangeables. Les pensées correspondent à l’énergie tandis que leur réalisation correspond à la matière. Spinoza voulait dire la même chose lorsqu’il soutenait qu’il n’y a pas de distinction entre l’esprit et la matière. Phineas Parkhurst Quimby disait: « L’Esprit est de la matière en puissance et la matière est l’Esprit qui a pris forme. »

En d’autres mots, il est question ici de l’unité de la vie. L’Esprit et la matière ne font qu’un. Tout ne fait qu’un: le visible et l’invisible, l’image intérieure et l’image extérieure. L’extérieur reflète l’intérieur. L’extérieur est la partie visible de l’intérieur. « L’intérieur est comme l’extérieur » disait Hermes. Et quelqu’un d’autre a dit: « Le corps est la partie visible de l’âme. » En changeant l’image intérieure, l’image extérieure doit aussi se transformer. La vieille image extérieure n’a plus aucune source d’énergie.

Le monde extérieur ne peut y résister, car il n’est qu’une réflexion de l’intérieur. Tout comme la diapositive détermine l’image qu’on voit sur l’écran, les pensées déterminent les expériences vécues. Le monde extérieur n’est qu’un reflet des pensées qui le déterminent. Voyez-vous ce que cela signifie ? Nous avons tous le pouvoir de changer nos pensées et, par conséquent, de transformer nos expériences. En changeant nos pensées, nous donnons un nouveau modèle à la vie. La réalisation extérieure suivra, car elle doit se conformer aux pensées.

Comme le disait le poète, nous sommes les maîtres de notre destin. À vous d’utiliser ce magnifique cadeau. La puissance rendue disponible par l’auto-orientation existe déjà en vous. Si vous croyez que vous recevrez peu de la vie, c’est ce qui se produira, car vos expériences sont déterminées par ce que vous êtes prêts à accepter.

C’est un peu comme aller chercher de l’eau au lac. Prendrez-vous une tasse ou un seau ? Le lac ne s’en soucie pas ; il est à votre disposition. De la même façon, si vous croyez disposer de ressources en abondance, vous connaîtrez l’opulence dans tous les domaines. Il faut cesser de se plaindre de la vie et de se priver des biens infinis qu’elle offre à tous.

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Seul un sentiment de distinction par rapport au bien que vous désirez peut vous en tenir à l’écart. En entretenant l’image mentale de la distinction, vous deviendrez vraiment distinct du bien recherché. Voyons comment cela fonctionne. Lorsqu’on envie les succès de quelqu’un, on établit dans son esprit une distinction, comme si on disait: « Il a réussi et j’ai échoué. » On bâtit ainsi une image mentale d’échec.

Supposons que nous convoitions les biens de quelqu’un. N’est-ce pas encore une fois une image mentale de besoin ? Vous vous dites en effet : « Il a tout et je n’ai rien. » En enviant le succès des autres, on amplifie le sentiment de besoin et on cultive l’image mentale de l’échec. La Source Infinie est à notre disposition, tout comme le lac à qui il importe peu que nous nous présentions avec une tasse, un seau ou un baril. Elle est prête à nous combler au-delà de ce que nous pouvons désirer. C’est nous qui restons à l’écart de toute cette abondance.

En insistant trop sur les images négatives, on ne fait qu’entraîner plus de conséquences négatives dans l’expérience vécue. Il faut se débarrasser de ces images d’échec et de besoin et les remplacer par des images mentales de réussite et d’abondance.

Acceptons dès à présent de laisser derrière nous toute négation, toute pensée d’échec. Acceptons notre héritage divin en sachant que nous sommes les enfants du Très-Haut et que nous vivons dans une atmosphère d’amour où rien n’est contre nous. 

 

Toute la Vie est avec nous et rien ne nous est impossible. Rien n’est trop beau pour être vrai

 

 

Extraits tirés du livre «  LA FORCE INTÉRIEURE  » de « Jack Ensign Addington « 

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Chaman

Posté par othoharmonie le 25 janvier 2011

 

Titre 

 

 

Chaman   

 

Auteur

 

 

Jean Bertolino  

 

Chaman 

 

 

Chaman

De quoi ça parle :  

Du Laos à Bornéo, dans les années 1970, la quête spirituelle peu ordinaire de Judik Kervanec, jeune missionnaire dont le destin sera bouleversé par le chamanisme. Un voyage initiatique au plus profond des mystères de l’homme et de la nature. 

 

Présentation du livre 

Dans les années 1970, Judik Kervanec, jeune missionnaire breton, est envoyé au Laos afin d’évangéliser les Boloven, une peuplade isolée du monde. Reconnu par Tamil le Grand Chaman et Alta le devin pour ses dons spirituels exceptionnels, Judik est initié au Grand secret. Il peut maintenant communiquer avec la terre, les esprits, les arbres anciens et s’élever dans une totale plénitude au sein d’une vallée cachée, cernée par le chaos. Sur fond de guerre de Vietnam et de guerre froide, il connaît une deuxième naissance, participe aux efforts de survie de ce peuple qui l’a adopté, puis devient chaman itinérant. Sa mission : sensibiliser les hommes aux croyances qui sont désormais les siennes. Deborah, une journaliste américaine intrépide et séduisante, décide de suivre l’aventurier solitaire. Sans nouvelles de son amie Claire Dulac, une amie, brillante anthropologue, portée disparue à Bornéo, Judik, se lance sur ses traces, s’enfonce dans les profondeurs d’une forêt vierge où aucun Occidental n’a jamais pénétré et s’engage aux côtés des Penan en voie d’extinction. Accusé d’être un dangereux fauteur de troubles, Judik est activement recherché par les services secrets de puissances mondiales… 

 

 

L’auteur : Chaman dans A et B bertolino_catalis

 

Jean Bertolino, ancien élève de l’École supérieure de journalisme de Paris (promotion 1959-1961), grand reporter, correspondant de guerre, il travaille pour La Croix, Le Monde, Le Figaro et plusieurs quotidiens de province.

Il devient en 1987 responsable du service des grands reportages à TF1, alors chaîne publique avec laquelle il collabore depuis 1983. A partir de 1988, il est producteur de l’Unité de Programmes de grands reportages 52 sur la Une, magazine dont le dernier numéro sera présenté en juin 2001.

Il est également l’auteur de nombreux  romans.

 

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Baulme la Roche (21)

Posté par othoharmonie le 23 janvier 2011

BAULME LA ROCHE en 21 

Baulme la Roche (21) dans Ma Bourgogne En détails baulme,la,roche

LE VILLAGE 

Situé en Côte d’Or au fond d’un vallon couronné d’impressionnantes falaises calcaires, le pittoresque village de Baulme-la-Roche compte 120 habitants. Ce site remarquable et préservé constitue un lieu privilégié de promenades et d’observations. Montez au sommet des falaises à 650 mètres pour admirer le panorama depuis cette  » zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique « . Ces Roches sont d’ailleurs protégées au titre des sites inscrits depuis 1942. Vous trouverez une aire de pique-nique au départ du chemin de randonnée et sur le plateau sommital. A noter qu’un sentier adapté aux personnes handicapées permet l’accès au site. Enfin, la falaise est un site majeur en Bourgogne pour le parapente et le deltaplane.

Baulme-la-Roche_-_09 dans Ma Bourgogne En détails

 

 

Outre le prieuré du XVIème siècle, on trouve, au coeur du village composé d’anciennes maisons, une étonnante fontaine abreuvoir, l’église Saint Martin du XVIIIème siècle et un petit château du XIIème couvert d’un toit en tuiles vernissées typiques de la Bourgogne. Enfin, chacun des deux accès du village est marqué par un ancien lavoir. La source de la Dhuys se déverse dans un charmant étang à l’entrée nord de Baulme-la-Roche. 

Grimpez au sommet de La Roche Aigue (608 mètres) un des points culminants de la Côte-d’Or. pour admirer le panorama. Grottes, voie romaine sur les falaises (Alésia  - Autun). Site de parapente et deltaplane.   

LE PRIEURE 

Fondé probablement au XIIème siècle, ce prieuré dépendait de l’abbaye bénédictine de Saint Seine. Dans la suite ininterrompue des prieurs de 1250 jusqu’à la Révolution, on remarque Edme Mariotte, le célèbre physicien auteur de la loi sur la pression des gaz qui porte son nom. Au début du XVIème siècle, le prieur Claude de Sarcey fit construire le logis, la chapelle et le colombier. Les murs portent toujours ses armes ainsi que la date de 1502.   

Sentier de baulme-la-Roche

Dominant le village de près de 130 m, les falaises de Baulme-la-Roche constituent un site privilégié de promenade et d’observation, tant faunistique que floristique.

 

On trouve tout au long de ce parcours de 500 m, des équipements adaptés aux personnes à mobilité réduite : barres d’appui, bancs, abri, table de pique-nique.

 

Le site est remarquable sur le plan paysager et naturel : une ZNIEFF (zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique) s’étend sur la zone concernée et les roches sont protégées au titre des sites inscrits depuis 1942.

 

2011-01-28 13:04:15GMT

tumson michelleE-mail: michelle.tumson@orange.fr
URL: http://michelle.tumsonorange.fr

Baulme la Roche (21)

bonjour, je suis très étonnée de re [...]trouver dans votre présentation sur Baulme la Roche des passages entiers ( textes et photos )empruntés dans mon site  » annexeduprieure.fr « . PUISQUE VOUS L’AVEZ A L’EVIDENCE CONSULTE, LES CONDITIONS D’UTILISATION DE CELUI CI VOUS SONT CONNUES; je vous serai reconnaissante de vous y conformer. cordialement

issu du sitehttp://www.bouger-nature-en-bourgogne.com 

Témoin de la première occupation humaine du site de Baulme-la-Roche, la grotte du trou de la Roche abrite des sépultures néolithiques (-5 500 à – 3 000 av. JC) et un foyer de l’âge du Bronze (- 2 000 à – 800 av. JC). Bien en contrebas, les maisons du village s’alignent proprement, les unes derrières les autres, de part et d’autre du ruban de bitume dont la ligne brisée s’évanouit dans le large paysage. L’observateur hardiment planté en haut de la falaise qui domine le village peut apprécier cette série de pignons plus ou moins saillants couverts de toits de tuiles aux teintes rouges si variées. Cette harmonie subtile est à peine perturbée par les toits d’ardoise et de tuiles vernissées de l’ancien prieuré dépendant de l’abbaye bénédictine de Saint-Seine, fondé au 12e siècle et reconstruit au début du 16e siècle avec chapelle, logis et colombier. D’un point de vue si élevé, ce sont surtout les jardins qui dominent avec leurs aménagements – terrasses, escaliers et grotte –, vraisemblablement réalisés au 18e siècle lors d’une nouvelle restauration du prieuré. Dans la rue, devant le mur d’enceinte du prieuré, l’étonnante fontaine-abreuvoir construite en 1822 par l’architecte Chauvreiche n’est guère visible depuis ce balcon naturel. L’eau sourd d’une borne dont la modestie tranche avec la structure monumentale qui la surmonte, un dais de quatre colonnes majestueuses portant un vase orné de draperies. Une mise en lumière embrase chaque nuit cet édicule improbable dans un tel cadre rural.

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Les falaises de Baulme la Roche 

Site inscrit depuis 1942, les falaises sont également incluses dans une Zone d’Intérêt Faunistique et Floristique (ZNIEFF) pour les choucas des tours et faucons pèlerins qui y ont élu domicile, ainsi que pour les nombreuses espèces végétales remarquables et protégées qui la peuplent.   

La communauté de communes du Sombernonnais, sur l’impulsion de la commune de Baulme la Roche, a décidé dès octobre 2003 de réfléchir à l’aménagement de ce site d’intérêt communautaire dans le respect du cadre naturel et à destination de tous les publics : habitants, touristes, mais aussi personnes handicapées.

Les falaises résultent d’une faille qui a permis l’affaissement d’un bloc par rapport à l’autre. De cet événement subsiste un plateau calcaire fracturé où l’eau s’infiltre rapidement : on parle alors de karst. Cette eau d’infiltration est stoppée par une couche calcaire imperméable et ressort au pied de la falaise, donnant naissance à la source de la Douix. Les conditions de vie sur le plateau et les falaises sont très dures, l’absence d’eau superficielle, une épaisseur de sol faible qui de surcroit présente une forte teneur en carbonate de calcium empêche le développement des plantes que l’on rencontre communément dans la plaine, seul des plantes très résistantes subsistent. Ainsi, le thym tous comme le genévrier n’on pas beaucoup de concurrent. La faune y est également spécifique.

 

http://www.bouger-nature-en-bourgogne.com 

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Pardonnez pour vous libérer

Posté par othoharmonie le 21 janvier 2011

Pardonnez pour vous libérer dans Travail sur soi ! u44hba4f        Pardonnez pour vous libérer 

« Le pardon est une option du coeur,
qui va contre l’instinct spontané de rendre le mal pour le mal. »
Pape Jean-Paul II

Exemple :


Quelqu’un vous a fait du mal et vous ressassez dans votre tête le geste qu’il a posé. Si la faute est grave, vous en venez même à imaginer de quelle façon vous allez vous venger. Sachez que cette attitude vous fait du mal; elle vous ronge de l’intérieur. Ce ressentiment vous empoisonne la vie et surtout il vous empêche de devenir ou redevenir une personne heureuse et harmonieuse. Il n’y qu’une seule véritable solution : vous devez pardonner. Voici quelques approches pour faciliter le pardon :

 

1.    La rancune ne peut vous défendre

 

 

Oubliez la croyance erronée que vous devez garder votre rancune pour éviter d’être offensé à nouveau. En fait, c’est souvent l’inverse. La rancune nous empêche de voir avec clarté. La rancune nous empêche de mettre l’évènement malheureux derrière nous et de poursuivre notre vie harmonieusement. Pardonnez ne veut pas dire qu’on ne vous a pas fait de mal. Cela signifie simplement que vous ne laisserez plus ce souvenir douloureux vous empoisonner la vie.

 

 

2.    Interprétation des gestes offensants

 

 

Essayez de donner le bénéfice du doute à la personne qui vous a offensé. Ne vous attendez pas à ce que les gens réfléchissent comme vous et soient sensibles aux mêmes choses que vous. Les divergences d’interprétation sont normales. Cette prise de conscience peut modifier radicalement votre perception de la « culpabilité » de la personne qui vous a offensé. Quand nous intégrons le fait que les autres perçoivent les choses différemment, nous augmentons significativement notre compréhension et acceptation. Si vous adoptez cette attitude, votre capacité de pardon sera décuplée.

 

 

3.    Est-ce que vous êtes tout à fait non coupable ?

 

 

Est-ce que vous avez déjà fait du mal à la personne qui vous a offensé, peut-être sans vous en rendre compte ? Est-ce que vous avez fait du mal à qui que ce soit dans le passé ? La réponse à cette deuxième question est assurément « oui ». Donc, en toute justice, c’est peut-être à votre tour de pardonner.

 

 

4.    Comprenez l’autre

 

 

Est-ce que vous connaissez toutes les circonstances qui ont poussé la personne qui vous a fait du mal à agir ainsi ? Non, nous ne connaissons jamais toute la vérité sur ces choses. Alors, pourquoi ne pas lui donner le bénéfice du doute. Qui ne s’est pas un jour retrouvé dans des circonstances tellement défavorables, qu’il a commis des gestes regrettables presque « malgré lui » ? Il n’est pas question ici d’excuser des gestes répréhensibles, mais plutôt de voir le côté humain derrière ceux-ci. Favorisez votre pardon en vous disant : « la personne qui m’a fait du mal devait réellement souffrir pour agir ainsi. Dans les mêmes conditions difficiles, peut-être que j’aurais agi de la même façon ». Ceci contribuera à transformer votre rancoeur initiale en sentiment de compréhension et peut-être même en sympathie.

 

 

5.    Faites les premiers pas

 

 

Suite à un malentendu ou une dispute, nous avons souvent tendance à nous cramponner à des rancœurs mesquines. Cette rancoeur permet à l’anarchie de s’établir en nous. Si la personne qui vous a offensé fait partie de votre environnement de travail ou de votre famille, la meilleure manière de rétablir la paix en vous est de pardonner et de faire les premiers pas vers une réconciliation.

 

 

6.    Si un proche vous a fait du mal

 

 

Si vous voulez que votre relation avec votre proche ait un avenir, vous devez pardonner. Même si cette personne a tous les torts, vous devez continuer à l’aimer. Réfléchissez aux conséquences de votre rancune. Vous constaterez alors qu’en cessant d’aimer cette personne, vous perdez une partie de votre joie de vivre, en plus de mettre en péril une relation qui vous est chère.

 

 

7.    Les gens changent avec le temps

 

 

Vous êtes peut-être devenu méfiant par rapport à la personne qui vous a fait du mal. Même si la faute a été commise il y a longtemps, vous ne voulez plus avoir aucun contact avec elle. Pourquoi condamner cette personne à perpétuité ? Ses actes répréhensibles appartiennent au passé. Cette personne a mal agi, d’accord, mais elle peut s’être améliorée et avoir complètement changé. Repartez donc à zéro comme si rien ne s’était passé, nous méritons tous une deuxième chance.

 

 

8.    Si vous êtes croyant, pardonnez pour Dieu!

 

 

Si vous n’êtes pas capable pour l’instant d’éprouver de la compassion pour celui qui vous a offensé, alors pardonnez au nom de Dieu. Dieu est toujours une bonne raison de pardonner.

 

 

« Un petit pardon demande plus d’effort,
qu’une grande vengeance. »

On vous a fait du mal, ce n’est peut-être pas de votre faute. Mais si ce mal continue à vous ronger, c’est de votre faute. Pardonnez maintenant plutôt que de continuer à nourrir en vous-même la rancune. Malgré l’intensité du désir de punir celui qui vous a fait du mal, reconnaissez que cette force n’a pour objet que d’assouvir votre instinct de vengeance. Agir selon votre pulsion de vengeance ferait de vous une plus grande victime. Au contraire, le pardon peut faire de vous une meilleure personne. Pourquoi interrompre votre cheminement vers un mieux-être sous prétexte qu’il vous est arrivé un malheur ?

Les épreuves font partie de la vie. Elles sont mêmes nécessaires à notre développement.

« Le pardon ne change pas le passé,
mais il enrichit le futur. »
(Proverbe Sanscrit)

Le-Pardon dans Travail sur soi !

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A la recherche de Bridey Murphy

Posté par othoharmonie le 20 janvier 2011

 

Titre 

 

 

A la recherche de Bridey Murphy  

 

Auteur

 

 

Morey Bernstein  

 

A la recherche de Bridey Murphy  

 

 

A La Recherche De Bridey Murphy de Bernstein Morey - Livre

De quoi ça parle :  

Ce livre n’est pas un roman, mais une histoire vraie. Le témoignage déroutant d’un homme d’affaires, Morey Bernstein, qui, après avoir assisté à un spectacle d’hypnose, décide de s’initier à son tour à ce mystérieux domaine. On y apprend donc ses expériences, de son scepticisme initial à sa première séance avec sa femme, puis à celle, plus étonnante, avec Virginia Tighe (appelée Ruth Simmons, par soucis d’anonymat dans le texte, mais on connait depuis son véritable nom). 

 

Au cours d’une séance d’hypnotisme, l’auteur parvient à faire entrer la jeune femme dans une transe profonde et s’adonne à la classique régression d’âge – qui consiste à suggérer au sujet un recul dans le temps – et parvient à lui faire se remémorer des souvenirs de sa petite enfance. Voulant tester les limites de l’hypnose, Morey Bernstein amène son sujet à l’âge de cinq ans, puis trois, puis deux, puis un an… Puis il tente de remonter le temps encore plus loin. Là, Virginia se met à parler avec un fort accent irlandais et prétend s’appeler Bridey Murphy, née en 1898 à Cork, en Irlande… 

 

L’auteur retranscrit alors les six séances auxquelles il a participé, en compagnie de la jeune femme, soigneusement enregistrées sur bandes. Se pose alors une foule de questions. Virginia Tighe est-elle la réincarnation de Bridey Murphy, comme elle le prétend, ou est-elle un imposteur ? 

 

D’un côté, des recherches en Irlande tendent à prouver que les éléments – assez vagues cependant – décrits par « Bridey » ont effectivement existé à cette époque, mais d’un autre côté, le journal Chicago american a découvert une Bridie Murphey Corkell qui avait habité en face de la maison où Virginia Tighe avait grandi. Alors réincarnation ou imagination ? Chacun se fera son opinion. 

 

Quoi qu’il en soit, ce documentaire papier ne laisse pas indifférent, ne serait-ce qu’à propos de l’hypnose et du mystère encore entier de l’esprit humain, de son conscient et de son subconscient, de la mémoire, des souvenirs, et certains diront, de l’âme… 

 

  

L’auteur :      

Bridey Murphy est le nom d’une femme que des États-Unis ménagère Virginia Tighe (27 avril 1923 – Juillet 12, 1995) ont affirmé avoir été dans sa vie précédente

 

Les «faits» liés par Bridey n’ont pas été pleinement vérifiée avant la publication du livre de Bernstein La recherche de Bridey Murphy . Cependant, une fois que le livre est devenu un best-seller, presque tous les détails ont été minutieusement contrôlés par des journalistes qui ont été envoyés à l’Irlande pour retrouver le fond de la femme insaisissable.  C’est alors que les premiers doutes sur sa «réincarnation» ont commencé à apparaître.  Bridey a donné sa date de naissance comme 20 Décembre 1798, à Cork, et l’année de sa mort en 1864.  Il n’y avait aucune trace de tous les cas. Il n’y avait pas de documents d’une maison en bois, appelé The Meadows, dans lequel elle a dit qu’elle a vécu, tout d’un lieu de ce nom au bord de Cork.En effet, la plupart des maisons en Irlande ont été faites de brique ou de pierre. Elle prononça le nom de son mari comme «Voir-un », mais Sean est généralement prononcé «Shawn» en Irlande. Brian, qui est ce Bridey a préféré appeler son mari, était aussi le prénom de l’homme à qui Virginia Tighe était mariée

 

 

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La sociologie des organisations

Posté par othoharmonie le 20 janvier 2011

 

Titre 

 

 

La sociologie des organisations 

 

Auteur

 

 

Philippe BERNOUX 

 

La sociologie des organisations   

 

La Sociologie des organisations

De quoi ça parle :  

 La sociologie des organisations connaît un succès grandissant. Le dynamisme d’une entreprise ou d’une administration dépend en grande partie des principes d’organisation mis en oeuvre. Ce qui explique la prospérité des cabinets-conseils qui analysent les dysfonctionnements dans la communication et la gestion des rapports d’autorité entre les salariés. 

Dans cette initiation aux théories de l’organisation, Philippe Bernoux retient l’approche stratégique comme étant la plus féconde pour son objet d’études. « Les comportements sociaux sont le fait d’acteurs agissant intentionnellement en vue de fins choisies par eux en appliquant des stratégies pour les atteindre. » Ainsi, chacun cherchera à accroître sa marge d’autonomie en profitant des zones d’incertitudes, car aucune organisation ne peut définir exactement les fonctions que doivent exercer ses membres. 

L’intérêt du livre réside également dans les études de cas concrets que l’auteur a soumis à des étudiants mais aussi à des cadres et des syndicalistes. Ils permettent au lecteur d’appliquer les concepts théoriques et de se familiariser avec une branche de la sociologie parfois hermétique. –Gery Dumoulin 

 

Le terme organisation peut avoir trois sens distincts en sociologie :

 

  • Un regroupement d’humains qui coordonnent leurs activités pour atteindre certains buts. L’organisation est alors envisagée comme une réponse au problème de l’action collective, de sa coordination et de sa stabilisation.

  • Les diverses façons par lesquelles ces groupements structurent les moyens dont ils disposent pour parvenir à leurs fins.

  • L’action d’organiser, ou encore le processus qui engendre les groupements ou les structures organisationnelles.

 

  

L’auteur :    La sociologie des organisations dans A et B

 

Philippe Bernoux est sociologue, Docteur d’État, Directeur Honoraire de Recherches au CNRS

 

Enseignant-chercheur en sociologie, il a mené de nombreuses recherches dans les entreprises, sur leur création, leur organisation, leur fonctionnement et l’effet des nouvelles technologies. Il est le fondateur du GLYSI (Groupe lyonnais de sociologie industrielle, CNRS-université de Lyon II devenu aujourd’hui le MODYS) qu’il a dirigé pendant douze ans. Il a enseigné dans une école d’ingénieurs (INSA de Lyon), à l’université, dans des centres de formation continue (CNAM-IESTO) et dans de nombreuses entreprises. 

Il travaille actuellement sur le changement dans les entreprises et en particulier sur les fusions acquisitions. 

 

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moton101

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Gaëlle

Posté par othoharmonie le 17 janvier 2011

 

Gaëlle dans Etude de Prénoms prenoms-fille-gaelle-00001

 

Etymologie : 

Étymologie possible : seigneur généreux (breton). Voir Gaëlle.

 

Fête : 17 décembre 

 

gaelle dans Etude de Prénoms

Qui est elle ? 

  

Gaëlle est une femme charmante, agréable et attractive, qui cherche à plaire et à se faire aimer. Chez elle, le sentiment l’emporte, aussi est-elle prête à faire beaucoup d’efforts de compréhension et de conciliation pour que l’harmonie et la paix règnent autour d’elle. Soucieuse de son apparence physique et sensible à l’esthétique, elle se montre plutôt coquette et, perfectionniste, tend à soigner les détails. Son point faible est son hypersensibilité qui, ajoutée à son imagination et à sa grande nervosité, lui occasionne certaines angoisses. Gaëlle attend de son entourage familial la sécurisation et la protection qui sont nécessaires à son équilibre et à son bien-être. C’est une femme sociable, appréciant les plaisirs de la vie, et qui communique aisément, se révélant souple dans les contacts, usant de charme, de diplomatie et d’humour. L’association du 2  karmique et du 22    karmique n’est pas du tout facile à assumer, puisque avec la première tendance l’être est fragile, craintif et tend à la dépendance et que la seconde le pousse à avoir des réalisations élevées, sinon des idées de grandeur. Soit elle tentera de concrétiser ses objectifs, en développant ses atouts qui sont le perfectionnisme, la patience et le sens de l’effort, mais ne sera pas à l’abri des retombées ou des crises nerveuses.

 

Soit elle vivra plutôt en s’échappant par l’imagination et les rêves, se réfugiant dans l’indolence, l’indécision, oscillant entre plusieurs orientations ou encore se réfugiant sous l’aile d’un compagnon qui compensera ses manques. Enfant, elle se montre souvent impressionnable, cyclothymique, capricieuse, timide, hyperémotive et très dépendante de son environnement. Il faut absolument lui apprendre à être autonome, lui donner des responsabilités, des devoirs, même, et la sécuriser en lui disant toujours la vérité. Attention à ne pas la surprotéger, car cette enfant saura vous attendrir et vous aurez tendance à prévenir ses moindres caprices pour lui éviter pleurs, crises de nerfs ou angoisses. Vous ne feriez alors que renforcer de petites tendances obsessionnelles latentes, contribueriez à l’inférioriser davantage et ne l’aideriez pas à vaincre son immaturité. Gaëlle saura profiter de problèmes de santé ou de manque d’appétit pour attirer votre attention sur elle, et requérir votre affection.

Qu’aime-t-elle ?                                      gaelle

Gaëlle, aime s’associer, coopérer, collaborer, le soutien affectif ayant pour elle valeur de tremplin. La vie sentimentale est évidemment capitale pour cette affective, qui se défend souvent de sa sentimentalité. Le 2 karmique est souvent indice d’impatience et rend difficiles les relations sentimentales (déjà, son nombre actif 42 va dans le sens de fardeaux familiaux). Deux cas sont possibles : ou elle devient une parfaite femme au foyer et s’épanouit dans la maternité, lorsqu’elle a passé le cap de la maturité; ou bien elle fuit la maternité, restant une femme-enfant et comptant un peu trop sur les autres.

Que fait elle ?

Nous avons vu précédemment que l’environnement familial déterminera beaucoup son futur, car elle est influençable. Si celui-ci est favorable et stimulant et qu’elle a la possibilité de vivre son 22, une vie professionnelle d’envergure s’offre à elle, souvent à fond humanitaire ou liée à la créativité. Sinon, Gaëlle sera attirée par les professions de conseil ou en liaison avec les enfants, les professions médicales, paramédicales, ou liées à la santé, l’hygiène, l’écologie, les professions en rapport avec l’esthétique, la création, ou la gestion, l’économie, les professions exigeant de la précision.

 

 

Extrait de choisir son prénom, choisir son destin de Martine Barbault  

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Cuisine Bourguignonne 1922

Posté par othoharmonie le 16 janvier 2011

Cuisine Bourguignonne 1922 dans Traditions en Bourgogne alimentation-plats-6VIEILLE CUISINE BOURGUIGNONNEalimentation-plats-6 dans Traditions en Bourgogne

 

 (D’après « La Revue de Bourgogne » paru en 1922) 

 

 

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En Bourgogne, pays par excellence de l’hospitalité cordiale et généreuse, la bonne chère est de règle. Dans sa capitale  comme dans ses grands centres, on trouve, aussi bien que dans la capitale de la France, des artistes culinaires qui, comme leurs collègues parisiens, ont la maîtrise des méthodes et le talent inné des hautes conceptions gourmandes. Mais ce n’est pas de la grande cuisine classique que nous voulons parler ici : c’est de la cuisine locale, des vieux plats dont quelques-uns sont sans doute oubliés

 

 

Citons d’abord la potée, où se confondent choux, carottes, navets, pommes de terre, lard salé et cervelas, à la fois soupe et plat de résistance, la potée qui sera éternelle comme la Bourgogne où elle est née. D’autres provinces ont aussi la leur qui n’est pas sans mérite, et qui se spécialise, ici, par le farci, plus loin par le confit d’oie et partout par le saucisson de pays. Elles sont excellentes, ces garbures, mais les gourmands bourguignons affirment que la leur est meilleure, parce qu’elle est celle de leur petite patrie. Puis, voici la daube  la succulente daube qui, au temps où les ustensiles de fonte étaient inconnus, mijotait des heures et des heures devant la cheminée, dans son pot encerclé d’un haut rempart de cendres étoilé de braisillons renouvelés, avec quels soins ! par la vestale du lieu… La daube, c’était le plat des grasses lippées, des solennités familiales, baptêmes, mariages, fête du pays et, en ces occasions, les ménagères débordées recouraient parfois au four du boulanger

 

 

Aujourd’hui, elle est remplacée généralement par la pièce de bœuf piquée en bœuf à la mode, marinée et braisée au vin rouge, avec accompagnement de lardons, petits oignons et champignons. C’est ce qu’on appelle la Pièce de bœuf à la bourguignonne,   très acceptable à la vérité quand elle est conduite avec les soins voulus, mais qui n’a point quand même cette succulence dernière de la vieille daube préparée selon les rites, avec addition calculée d’aromates, condiments et éléments gélatineux (pieds de veau et couennes fraîches) et mijotée, comme de nos jours fiévreux on n’a plus la patience de le faire. Le souvenir de ce qui est bon, de ce qui laisse aux sens une agréable impression gustative ne s’oublie pas : la daube doit retrouver sa faveur d’autrefois

 

 

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De l’escargot spécialité gourmande incontestée de toute la Bourgogne, il faut bien dire un mot, car, à la vérité, nous ne voulons et ne pouvons admettre comme tels, ces escargots de haies à coquilles multicolores que l’on nous offre effrontément sous cette appellation, qui est une injure faite à l’huître de Bourgogne. L’escargot, le vrai, le seul, c’est celui qui, aux approches de l’hiver se casemate derrière sa cloison calcaire et que les vignerons déterrent au pied des ceps. Il n’en est pas d’autre et l’escargot n’est vraiment « lui » qu’après sa mortification volontaire. On nous a conté qu’autrefois, par des déprédations scélérates d’exploiteurs sans scrupules, le cornard des vignes bourguignonnes faillit disparaître totalement, et que le Conseil général de la Côte-d’Or ne crut pas déroger à son mandat en intervenant pour sa protection, et en mettant le préfet en demeure d’interdire rigoureusement son ramassage pendant un temps déterminé. Quelle affaire ! L’escargot n’étant point compris parmi les êtres vivants que protègent les arrêtés préfectoraux

 

 

L‘escargot n’est point un gibier, arguait le préfet ! Qu’il le soit, rétorquèrent les conseillers ; et c’est ainsi que par un baptême à la Gorenflot, le mollusque terrestre fut désormais, comme gibier, placé sous la sauvegarde de l’autorité départementale. Nous ne nous arrêterons pas à exposer le mode initial - car il y en a plusieurs - de préparation à la « mode bourguignonne » de ces morceaux friands, et viande exquise si fort appréciée des nobles Romains, comme écrivait Daigue en 1550. Nous devons tout au moins signaler cette étrange particularité, et cette croyance enracinée chez les vieilles ménagères - elle l’est peut-être encore chez les jeunes - que sans addition d’un sachet de cendres les escargots ne cuiraient pas. Comment en expliquer l’usage - car son utilité est absolument niable -, sinon pour une raison symbolique

 

 

Dans les temps très anciens, un plat d’escargots devait obligatoirement être servi dans tout repas funèbre et le sachet de cendres adjoint à leur cuisson figurait une sorte d’hommage rendu aux cendres des morts. Et comme certaines traditions ont la vie dure, celle du sachet de cendres s’est perpétuée à travers les siècles. 

 

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Comme spécialité gourmande du pays de Crébillon, signalons en passant la Queue de bœuf à la vigneronne dont la recette fut cueillie par Escoffier dans les cuisines d’un hospitalier manoir des environs de Nuits-Saint-Georges. Et elle n’est pas du tout banale cette préparation de queue de bœuf qui, à une condimentation bien réglée ajoute une copieuse addition de grains de raisins, et un mijotage long et régulier fait de cette chair gélatineuse une substance fondante. C’est ce qu’on peut appeler un plat dans la note locale

 

Est-il un Bourguignon bourguignonnant qui ignore la Meurette ? 

S’il en est un, honte à son ignorance. La meurette,   où sous les flammes bleues du cognac ou du vieux marc, et dans les ondes du vin rouge - et du fameux ! - s’associent les tronçons d’anguille, de chevenne et de tanche. Observons, cependant, que les vrais amateurs y exigent la truite comme dominante et que la meurette n’est pas complète si elle n’est accompagnée des croûtons en pain bis, grillés et frottés du condiment que Galien dénommait la « thériaque du laboureur » et du vigneron, l’ail pour l’appeler par son nom. Et le Poulet au sang ? Vit-on jamais un pêcheur ayant capturé dans l’Yonne un barbillon de huit livres, ne pas convier ses amis à venir célébrer sa prise sous les espèces et apparences du poulet des guinguettes de la banlieue Sénonaise ? Du poulet sacrifié, plumé, sauté en 35 minutes, montre en main, et suivi de quelques autres bagatelles réconfortantes

 

Et maintenant, parlons un peu de cette transcendance de la cuisine des campagnes aux jours de fêtes carillonnées ! De la Tourte aux boulettes, énorme circonférence cerclée d’un bourrelet, dont le couvercle de pâte bronzée dissimule les rotondités d’un hachis, comme on ne le fait que dans nos pays. Et ce plat des appétits robustes n’a pas, jusqu’ici, trouvé son chantre. Nul poète n’a cru devoir accorder sa lyre pour chanter la tourte aux boulettes alliacées, qui nous fit entrevoir - il y a longtemps - les merveilles de la gastrotechnie. Soyons juste pourtant. Dans un livre de cuisine où de notoires écrivains et artistes férus de cuisine avaient cru devoir consigner leurs conceptions culinaires, l’architecte Binet, Sénonais de naissance et père de la « parisienne » en robe azur qui surmontait la porte monumentale de l’Exposition de 1900, a tenté de décrire cette tourte bourguignonne placée sous le patronage du grand saint Germain. Et il l’a décrite en architecte, gastronome émérite, nous en convenons, mais piètre théoricien de l’art porté si haut par les Dubois, les Escoffier, les Casimir, les Cubat, les Giroix etc…. 

 

 

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Nous glissons sur une multitude de plats locaux dus au génie inventif des Rosalie, Aglaé et Brigitte bourguignonnes, pour terminer en mentionnant : la Gougère  , descendante du vieux « Ramequin ». La gougère en couronne pointillée des cubes de gruyère, invariable dessert des déjeuners dominicaux bourgeois dont, au temps où nous étions jeune patronnet, nous avons promené tant et tant d’échantillons. Le Rigodon, obligatoire le jour où le four était chauffé pour la cuisson du pain dont il prenait la place. Il se faisait de deux façons : comme plat, avec addition de jambon eu de viande de porc bouillie et hachée ; comme entremets, sorte de pudding au plat, parfumé de cannelle, additionné de noix hachées appuyées de quelques noisettes et complété par une marmelade quelconque. Enfin, la Fouée, la Flamiche aux poireaux et le Tatas, toutes friandises également préparées le jour de la cuisson du pain. La louée était une circonférence - pas toujours bien régulière - en pâte à pain abaissée à l’aide d’une bouteille sur la large pelle à enfourner, relevée en bourrelet sur les bords et généreusement badigeonnée d’huile de noix, ou couverte de crème fraîche légèrement salée avec, par ci par là, quelques parcelles de beurre

 

 

La flamiche se faisait de même, à cette différence que l’abaisse était couverte d’une épaisse couche de poireaux étuvés au beurre, cuits dans une sorte de Béchamel avec abondante addition de petits lardons. Cela se cuisait sur l’âtre, toute la surface léchée par les flammes claires de sarments disposés en couronne. La famille entière était là, attendant la défournée, car fouée et flamiche doivent se manger brûlantes. Le tatas était une sorte de galette, toujours en pâte à pain légèrement enrichie de beurre, et doré au vin ; grand régal des autochtones. Il y aurait encore à parler de l’Andouille aux haricots, de la Ferchuse aux navets, des Fricassées, des Tartes des jours de fêtes, mais il faut nous borner

 

 

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Source : la gazette bourguignonne

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Comprendre le Bouddhisme

Posté par othoharmonie le 15 janvier 2011

Titre

POUR COMPRENDRE LE BOUDDHISME – UNE INITIATION A TRAVERS LES TEXTES ESSENTIELS 

Auteur

Bercholz et 

Kohn Chödzin  

Sherab Samuel 

 

 

                         POUR COMPRENDRE LE BOUDDHISME 

 

             UNE INITIATION A TRAVERS LES TEXTES ESSENTIELS 

 

Pour comprendre le bouddhisme

Traduit par Michèle Garène, Basile Lagides, Bernard Seytre 

Préface de Bernardo Bertolucci 

 

 

Il y a deux mille cinq cents ans, un prince renonce au monde, il découvre le secret de la fin de toutes les souffrances et devient le Bouddha. 

 

Depuis, des millions d’hommes ont suivi son enseignement, et pourtant, que savons-nous vraiment du fondateur du bouddhisme, un des grands guides de l’humanité, et de la foi qu’il a inspirée ? 

 

Ce livre rappelle l’étonnante aventure du Bouddha et l’histoire du bouddhisme ; il en illustre les grandes idées par des textes souvent bouleversants, explique les mots clefs, fournit les références indispensables. 

 

Pour comprendre le bouddhisme, sans la moindre exclusive, donne la parole à toutes les tendances ; Petit Véhicule, Grand Véhicule, Tantrisme tibétain, Zen… on trouvera ici aussi bien les paroles du Bouddha que les textes de maîtres contemporains. 

 

Ce livre d’initiation est né d’un souhait de Bernardo Bertolucci, à l’occasion de la sortie mondiale de Little Buddha. Le cinéaste voulait offrir au grand public une voie d’accès au sens profond de son film, et expliquer tout ce qu’il avoue n’avoir pu dire par les seules images. Ainsi, dans ce livre, chacun pourra découvrir le message bouddhique, dans toute sa grandeur et sa simplicité. 

 

 

Le film :  LITTLE BOUDDHA sorti en 1993 de Bernardo Bertolucci

Photo : Comprendre le Bouddhisme dans A et B Bernardo-Bertolucci

Synopsis

Jesse Conrad, neuf ans, vit à Seattle avec un père ingénieur, Dean, et une mère enseignante, Lisa. Un jour, ils reçoivent la visite surprise d’une délégation de moines bouddhistes venue du royaume himalayen du Bhoutan sous la conduite du lama Norbu et de son adjoint Champa. Les moines sont persuadés que Jesse pourrait être la réincarnation d’un de leurs plus éminents chefs spirituels. Ils lui offrent alors un livre narrant la vie de Siddhartha, et ce, en attendant sa visite dans l’Himalaya.

 

Commentaire

On peut partager le film en deux. D’un coté l’histoire de Jesse, un petit américain supposé être la réincarnation d’un grand lama et de l’autre, l’histoire du prince Siddhartha qui deviendra le futur bouddha.

 

VIDEO de Little Bouddha :  Image de prévisualisation YouTube

 

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L’atlantide

Posté par othoharmonie le 15 janvier 2011

Titre

L’ATLANTIDE 

Auteur

Pierre  BENOIT 

 

                                                    L’ATLANTIDE 

L'Atlantide

De quoi ça parle

Deux officiers français, le lieutenant de Saint-Avit et le capitaine Morhange, se retrouvent captifs d’un royaume inconnu au cœur du Sahara algérien, dirigé par la mystérieuse reine Antinéa, qui serait la descendante de Neptune. Le roman oscille entre la légende et la réalité.

 

Pierre Benoit ménage une surprise de taille à son lecteur : alors que la première apparition d’Antinéa la présente comme un personnage surhumain (au point de connaître par cœur des horaires de chemin de fer en France), celui-ci va découvrir peu à peu qu’elle n’est pas fille d’une princesse atlante, mais d’une demi-mondaine parisienne, puis un peu plus tard que son père n’est autre qu’un prince russe en exil, le mariage de celle-ci avec le roi atlante ayant eu lieu alors qu’elle était déjà enceinte. Ces informations découvertes peu à peu par le lieutenant de Saint-Avit ne diminueront en rien sa passion violente pour la jeune femme, qui ira jusqu’au meurtre.

 

Saint-Avit, soupçonné d’être le meurtrier du capitaine Morhange vient d’être nommé commandant du poste de Hassi-Inifel où il rencontre un ancien camarade de promotion : le lieutenant Ferrières.  


Jour après jour, celui-ci se verra dévoiler par André de Saint-Avit le récit de l’incroyable exploration au cours de laquelle le camarade du commandant du poste a trouvé la mort. Il écoutera la merveilleuse histoire de la descendante des rois de l’Atlantide, perdue au milieu du Hoggar (partie terrifiante du désert du Sahara), dans un lugubre palais, entouré d’une oasis. Cette princesse des temps anciens, l’incroyable Antinéa, attire les hommes au sein de son royaume et leur donne, de manière indirecte, la mort, afin de venger toutes les femmes humiliées.  


Mort et passion se trouvent comme toujours intimement liées, dans un récit plein de péripéties, de savoirs, et de philosophie.  

 

 

Le plus

 

L’écrivain catholique Louis Chaigne analysera en 1936 les raisons de l’engouement du public pour ce roman colonial par la conjoncture historique dans laquelle il a paru :

 

« L’Atlantide est le livre que beaucoup attendaient pour sortir du cauchemar des terribles années vécues dans la boue et sous les obus et pour s’appuyer avec douceur sur des jours plus sereins. »

Soutenu activement par Maurice Barrès, le livre de Pierre Benoit reçoit le Grand Prix du roman de l’Académie française pour 1919.

 

 

 

L’auteur :    L'atlantide dans A et B arton10812

Pierre Benoit est né en 1886 à Albi. Fils d’officier, il vit en Tunisie et en Algérie de 1892 à 1907. Il décroche en 1910 un diplôme de droit et de lettre et, la même année, obtient un emploi de rédacteur au ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts. Il se tourne vers la poésie avant de publier Koenigsmark (1918), son premier roman, avec beaucoup de succès. Puis il écrit l’Atlantide en 1919, qui reçoit le Grand Prix du Roman de l’Académie Française. Ce roman est immédiatement encensé par le public, les critiques, et les autres auteurs. Cette réussite est trop brutale selon certains, qui l’accusent de plagia sur She de Henry Rider. Mais Pierre Benoit prouva la médisance de ces rumeurs par un article, comment j’ai écrit l’Atlantide en 1920 dans « l’Echo de Paris« .  


La passion des voyages que l’on retrouve dans l’Atlantide le pousse à accepter un poste de journaliste (pour « Le Journal », « L’Intransigeant », et « France-soir ») dont les reportages le mènent dans divers pays du monde entier. On peut noter ceux qui l’inspireront au point d’y consacrer des romans : l’Orient (en général), les Nouvelles-Hébrides, les Antilles, l’Inde, l’Afrique ou le Japon. Il est élu en 1931 à l’Académie Française. La mort survint en 1962 à Ciboure.  

 

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L’île des sentiments

Posté par othoharmonie le 14 janvier 2011

            Lîle des sentiments et des valeurs humaines

L'île des sentiments dans Beaux textes 1970165295_1  Il était une fois une île sur laquelle vivaient tous les sentiments et toutes les valeurs humaines : la Bonne humeur, la Tristesse, la Sagesse… ainsi que tous les autres, y compris l’Amour.

 

 Un jour, on annonça que l’île allait être submergée. Alors tous préparèrent leurs embarcations et s’enfuirent. Seul l’Amour resta, attendant jusqu’au dernier moment. Quand l’île fut sur le point de disparaître, l’Amour décida de demander de l’aide. 

La Richesse passa près de l’Amour dans un bateau luxueux et l’Amour lui dit :


- « Richesse, peux-tu m’emmener ? »
- « Je ne le peux pas car j’ai beaucoup d’or et d’argent dans mon bateau et il n’y a pas de place pour toi. » 

 

Alors l’Amour décida de demander à l’Orgueil qui passait dans un magnifique bateau :

- « Orgueil, je t’en prie, emmène moi. »

- « Je ne peux pas t’emmener, Amour, tu pourrais détruire la perfection qui règne dans mon bateau. »

 

Ensuite l’Amour demanda à la tristesse qui passait par là :

- « Tristesse, je t’en prie, emmène moi. »

- « Oh Amour » répondit la Tristesse « je suis si triste que j’ai besoin de rester seule. »

 

Ensuite la Bonne humeur  passa devant l’Amour, mais elle était si heureuse qu’elle n’entendit pas qu’on l’appelait.

Soudain une voix dit :

- « Viens, Amour, je t’emmène avec moi. »

 

C’était un vieillard qui l’avait appelé. L’Amour était si heureux et si rempli de joie, qu’il en oublia de lui demander son  nom. Arrivés sur la terre ferme, le vieillard s’en alla.

 

L’Amour se rendit compte combien il lui était redevable et demanda au Savoir :

- « Savoir, peux tu me dire qui est celui qui m’a aidé ? »

- « C’est le Temps » répondit le Savoir »

 

- « Le Temps ? », demanda l’Amour, « Pourquoi le Temps m’aurait-t-il aidé ? »

Le Savoir plein de sagesse répondit :

 

- « Parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l’Amour est important dans la vie ».

 

Envoie ce message à tes amis pour qu’ils sachent ce qu’ils représentent pour toi !

 Mascia 

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Ames soeurs et âmes jumelles

Posté par othoharmonie le 12 janvier 2011

Ames soeurs et âmes jumelles dans Etat d'être 76322393yin-yang-jpg Les âmes sœurs et les âmes jumelles 

Puisque ce sujet suscite tant d’intérêt, je souhaite maintenant parler des divers étapes ou divers niveaux d’initiation impliqués dans les relations d’âmes sœurs conscients qui peuvent sortir l’âme de la prison de la dualité.

La raison de tout cet intérêt repose finalement sur un désir ardent et profond d’union et de libération et non sur un simple désir d’amour romantique plus intense et meilleur ; il est important de s’en souvenir.

Mon point de vue peut vous aider à atteindre le but ultime dans les rapports d’âmes sœurs, mais pour le comprendre, il est important d’établir un contexte ou cadre dans lequel observer les divers niveaux de conscience. Les relations inconscientes expriment un degré de conscience de l’unité. A mesure que l’initié s’éveille à la conscience de l’unité, certains indices marquent son progrès.

Les hommes et les femmes non éveillés établissent des rapports dans la dualité basés sur la survie – moi et l’autre ou moi versus l’autre.- La plupart des expériences relationnelles qui se produisent dans le cadre de relations inconscients sont faites d’habitudes, de conditionnements, de réactions et de compétition. En ce moment, la majorité des êtres humains sur Terre éprouvent la souffrance qui vient naturellement avec l’impression de séparation et l’identification au corps physique – premier niveau de relation.

Alors que l’essence compatissante permet à l’âme de se dégager naturellement, celle-ci s’active de plus en plus et l’initié en éveil traverse un seul charnière. Le cœur s’ouvre à l’amour inconditionnel. La perception de l’autre change, cet autre n’est plus quelqu’un d’entièrement distinct du moi, mais un frère compagnon ou une sœur compagne qui mérité également le bonheur. Etre en relation avec l’autre signifie davantage « moi et toi » et « je suis moi ».

A ce stade-ci, la possibilité d’une plus grande harmonie et d’une profonde guérison s’accroît. On observe maintenant les esprits profondément conditionnés et vivant toujours dans la dualité avec une plus grande clarté et davantage de compassion.

Quant le cœur s’ouvre, un ardent désir se manifeste de vivre en compagnie d’âmes semblables qui ont aussi le cœur ouvert. On retrouve chez elles un profond désir de faire ensemble des expériences conscientes d’intimité et d’union véritables. Elles choisissent le bonheur plutôt que la justification. L’harmonier ela coexistence paisible sont davantage la norme que la souffrance incessante qui se manifeste lorsque les cœurs inconscients sont sur le défensive et fermés.

La dynamique des contraires ou des pôles complémentaires qui s’attirent l’un l’autre se produit habituellement au cours des premières étapes des relations conscients entre âmes sœurs. Les compléments divins se lient ensemble pour refléter ce qui est  jugé, abandonné et rejeté à l’intérieur du soi – les parties sombres inconscientes – dans le but de guérir des karmas et d’ouvrir davantage le cœur à la compassion infinie et à l’Amour divin : le Bien-aimé. Les énergies masculines et féminines sont explorées et leur union équilibrée devient consciente. L’exploration de ce niveau peut s’étaler sur de nombreuses vies.

A ce niveau, vous pouvez vous retrouver avec une âme sœur qui semble ne pas être « sur le sentier ». Ou vous pouvez vous retrouver avec des partenaires qui arrivent et repartent en rapide succession. Ou vous pouvez être célibataire durant des années ou peut-être votre vie entière, étant en relation avec votre âme sœur à travers les plans plus subtils. On vous passez votre vie entière avec la même personne qui vous complète harmonieusement et avec qui vous partagez un dévouement mutuel et la même voie spirituelle. Dans cette vie, vous ne déclenchez rien de majeur entre vous. Vous êtes venus vous reposer ensemble et développer des compétences en vue d’expériences de maîtrise plus intenses qui viendront plus tard.

Cette étape des compléments divins peut chevaucher les étapes préliminaires du prochain niveau : les âmes jumelles.

Extrait de 2011 – Devenir : éveiller le grand potentiel humain par Anna (grand-mère de Jésus)

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L’union des âmes jumelles 

Disons d’abord que votre flamme jumelle est aussi une présence cosmique. C’est cet aspect original de vous-même qui existait avant l’apparition d’une conscience séparée du masculin et du féminin. C’était davantage une conscience de l’inséparabilité éternelle des pôles masculin et féminin. C’était avant que ne se produise une forme de séparation ou de division de conscience quelconque qui allait permettre de connaître le soi en tant que l’autre. Votre énergie de flamme jumelle est issue de cette tout première division dans la conscience « je suis ce que je suis ».

Un aspect est né qui exhibait davantage l’impulsion d’émanation et de projection hors du soi pour se connaître lui-même. Et un autre aspect préférait être le récipient et la substance dans laquelle cette fécondation se produirait. Ce genre de compréhension des énergies masculine et féminine telles qu’elles s’exprimaient à un niveau cosmique est un point de départ pour vous connaître vous-même en tant que prolongement de cette première flamme jumelle qui en est venue à se connaître elle-même en tant que miroir d’énergies complémentaires.

De fréquence cosmique, votre flamme jumelle est énorme et vaste. Elle renferme des galaxies, de nombreux mondes  et de multiples expressions de vie. Elle n’est jamais séparée de vous. Vous êtes ce Soi/Je suis qui s’exprime dans la fréquence la plus dense et la plus lente. Vous êtes cette partie du Soi qui a choisi de se percevoir comme séparée de son Créateur et Bien-aimé. Je vous le dis, c’est de loin plus d’énergie qu’un individu peut incarner tout en demeurant dans un corps physique. A ce point-ci, aucune entité physique n’a été capable de continuer à maintenir sa physicalité en compréhension de troisième dimension d’une part, et d’incarner sa flamme jumelle d’autre part. Est-ce clair ?

Mais, un certain nombre de couples de flammes jumelles se sont incarnés au cours des cycles évolutionnaires de ce plan terrestre et, à travers leur processus d’évolution, ils ont développé la capacité de contenir de plus en plus de leur conscience cosmique sans chuter. A un certain point de leur processus de fusion, ils ont traversé un certain seuil de fréquence et co-créé un champ radioactif qui les a amenés à disparaître de cette réalité. Mais ils étaient restés suffisamment longtemps dans leurs corps physiques pour déclencher et ancrer le processus de l’union des flammes jumelles sur ce plan terrestre. Une fusion s’est produite. Ces entités jumelles qui ont réalisé cette initiation d’ascension à deux, appelés « ascension de groupe » sont des couples que vous connaissez sous les noms  d’Isis/Osiris, de Marie Madeleine/Yeshua et de Portia/Saint-Germain.

Des aspects beaucoup plus communs de votre flamme jumelle existent. Ils sont ce que vous appelleriez plutôt des âmes sœurs et quelquefois des âmes jumelles.

Les âmes jumelles sont l’énergie de la flamme jumelle, qui d’abord, par distillation de fréquence, descend dans la physicalité comme un tout androgyne et qui, ensuite, en tant qu’âme du niveau astral, choisit de se séparer en corps physiques de genre féminin et masculin.

Habituellement, une de ces moitiés reste de l’autre côté du voile physique pour guider sa jumelle dans son incarnation et l’aider à avancer. Voici deux rares exceptions où les deux moitiés s’incarnèrent en même temps : Robert Browning et Elizabeth Barrett Browning ainsi que Pierre et Marie Curie. Les couples d’âmes jumelles ont souvent des relations très harmonieuses. Ils ont habituellement très peu de karma à régler et savent au fond d’eux-mêmes qu’ils ont un grand travail à accomplir pour l’humanité.

Rencontrer sa Flammes jumelles implique un mariage des aspects féminin et masculin à l’intérieur de Soi. L’intégralité attire l’intégralité.

Vous êtes ici pour accélérer l’évolution de votre âme vers cette intégralité et pour servir afin de pouvoir éventuellement égaler la fréquence cosmique de votre flamme jumelle.

Tout au long du parcours qui vous incite à vous souvenir de votre intégralité, de nombreuses âmes faisant partie de votre famille spirituelle ou groupe d’âmes viendront à vous pour vous aider en tant que miroirs divins. Elles vous réfléchiront la manière dont vous faite s l’expérience de vous-même. Vivez-vous dans la totalité de votre être o en réaction par rapport à des parties de vous-même que vous considérez comme manquantes, ou en train de juger celles que vous avez comme étant indignes d’amour ?

Dans son rôle de catalyseur, votre âmes soeur vous aide à être complet et équilibré dans vos énergies masculine et féminines. Ce processus fait croître votre capacité à incarner les fréquences de votre flamme jumelle. Les âmes sœurs vous assistent dans le processus de purification, afin que vous pissiez dire « oui ! » à davantage d’Amour divin. Elles vous aident à fusionner avec votre JE SUIS bien-aimé, votre présence christique, afin que vous puissiez avoir une perspective unifiée et choisir d’aller au-delà des drames dualistes vers l’unité qui est la Flamme Jumelle.

Tandis que votre amour grandit ainsi que votre capacité à échanger des énergies, vous vous connectez de plus en plus à votre flamme jumelle à un niveau cosmique. Vous commencez à incarner votre Bien-aimé (flamme jumelle) et  vous réalisez que l’amour que vous ressentez est vous-même.

Quand tout sera aligné et que vous aurez développé une clarté suffisante, l’énergie de votre flamme jumelle sera vôtre et vous pourrez l’embrasser. Entre-temps, ce voyage sert à vous remémorer comment redonner son pouvoir ç ce VOUS cosmique et comment l’incarner en chair et en os.

Après que tout a été dit et fait, il reste encore beaucoup de transmutation à effectuer en vue de guérir et de nettoyer. Vous devez être capable d’augmenter continuellement les fréquences de votre corps physique et de maintenir votre perception de l’unité pour être capable de fusionner avec une telle quantité d’énergie et de conscience. Vous saisissez ?

Enfin, voilà pourquoi, il est vital d’accueillir le retour du Féminin divin, et de permettre à la Mère divine de s’exprimer par vous. Ce faisant, vous vous rapprochez de votre flamme jumelle et, simultanément, elle se rapproche de vous. Vous pouvez rencontrer une âme jumelle sur votre chemin, mais n’attendez pas que l’amant idéal vous rejoigne dans votre lit vide. Ne partez pas follement à la chasse d’un fantôme romantique sui vous empêche de voir que le partenaire humain assis à côté de vous n’est autre que l’énergie de la flamme jumelle que vous cherchez tant. Car je vous le dis, jusqu’à ce que vous perceviez chaque âme comme étant votre flamme jumelle, vos ne manifesterez pas l’Union des flammes jumelles.

C’est l’amour divin dans toute sa splendeur ! 

Lisez mon expérience personnelle ici       !! 

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Issu de Kryeon – Eveiller le grand potentiel humain – Devenir 2011 

Introduction par Anna.

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Baigneux les Juifs

Posté par othoharmonie le 11 janvier 2011

Baigneux les Juifs dans Ma Bourgogne En détails BAIGNEUX

Baigneux-les-Juifs se trouve à environ 50 km au nord-ouest de Dijon   dans le pays chatillonnais non loin des sources de la Seine

Au Moyen Âge, le village portait le nom de Bagnos, sans doute issu du latin balneolum, « petit bain ». Ce nom a été complété après qu’une communauté juive fut autorisée à s’y installer au XIIIe siècle. 

Baigneux-les-Juifs est un petit village français, situé dans le département de la Côte-d’Or et la région de Bourgogne. Le village de Baigneux-les-Juifs est le chef-lieu du canton. Ses habitants sont appelés les Bagnolais et les Bagnolaises. 


La commune s’étend sur 12,5 km² et compte 293 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2005. Avec une densité de 23,5 habitants par km², Baigneux-les-Juifs a connu une hausse de 8,1% de sa population par rapport à 1999. 

 

 


Entouré par les communes de
Orret, Ampilly-les-Bordes et Étormay, Baigneux-les-Juifs est situé à 43 km au Nord-Ouest de Dijon la plus grande ville à proximité. 


Situé à 406 mètres d’altitude, Le
fleuve la seine est le principal cours d’eau qui traverse le village de Baigneux-les-Juifs. 


La commune est proche du
parc naturel régional du Morvan à environ 35 km. 


Le maire de Baigneux-les-Juifs se nomme monsieur Bernard MALEGUE. 

A découvrir

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Eglise de Sainte-Madeleine du XVIIIe : dalles funéraires du XVe. Dans le village, bel ensemble de maisons du XVe et XVIe, imposant hôtel au bord de la route. Sur la place, calvaire du XVe dont le socle est orné de plusieurs cadrans solaires. 

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  • Château de Jours-les-Baigneux 

  • Église gothique du XIIIe siècle 

  • Belles maisons anciennes 

  • Maison du bailliage 

  • Lavoir à impluvium (captage et stockage des eaux de pluie) de 1872 

  • Calvaire du XVe siècle dont le socle est orné de plusieurs cadrans solaires

 

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Sexualité et développement spirituel

Posté par othoharmonie le 9 janvier 2011

Titre

SEXUALITE ET DEVELOPPEMENT SPIRITUEL   

Auteur

John.G     BENNETT             

 

                                           SEXUALITE ET DEVELOPPEMENT SPIRITUEL  

 

 

Sexualité Et Développement Spirituel de Bennett, John Godolphin - Livre

 

De quoi ça parle

 

Avec l’instinct de survie, la sexualité est une des forces les plus puissantes dans notre vie, bien que beaucoup de gens ne le comprennent pas. Elle est utilisée pour la procréation et le plaisir, mais elle a également un impact sur la transformation personnelle. 

 

Dans le monde actuel, nous avons rejeté la prétendue moralité « vieux jeu », mais la liberté du comportement sexuel ne nous a pas aidé à comprendre la signification ésotérique de l’énergie sexuelle. Dans cet exposé lucide, John Bennett examine des questions posées par des chercheurs gurdjieffiens ** et fournit des réponses sur les points suivants : 

 

-         Quelles influences peuvent mutuellement s’exercer entre l’homme et la femme dans la relation sexuelle ? 

-         Y a-t-il une connexion entre sexualité et spiritualité ? 

-         Y a-t-il des différences essentielles entre l’home et la femme mis à part les différences physiques ? 

-         Que peut faire l’activité sexuelle pour une relation concernant l’unité spirituelle ? 

-         L’activité sexuelle doit-elle être réglée quand un couple cherche à se développer spirituellement ? 

 

Bennett nous rend aptes à nous comprendre et par conséquent à vivre mieux. Ses conseils peuvent nous aider à apprécier nos relations, à comprendre le rôle de chacun et à développer par là une écoute et une compréhension mutuelles. 

 

 

L’auteur  photo :  Sexualité et développement spirituel dans A et B bennett

John Godolphin Bennett (8 Juin 1897 – 13 décembre 1974) était un mathématicien britannique, scientifique, technologue, directeur de la recherche industrielle et auteur. Il est peut-être mieux connu pour ses nombreux ouvrages sur la psychologie et spiritualité et particulièrement les enseignements de G.I. Gurdjieff. Bennett a rencontré Gurdjieff à Istanbul en 1921 et plus tard contribué à coordonner le travail de Gurdjieff en Angleterre après l’arrivée de Gurdjieff à Paris. Aussi, il a participé activement à partir de la section britannique du mouvement Subud et a son siège en Colombie-Britannique. 

 

Bennett est né à Londres, en Angleterre, diplômé College School du King’s, Londres ; L’Académie royale militaire, Woolwich. L’école du génie militaire royal, Chatham ; et la School of Oriental Studies, Londres. 

 

 

*** Qu’est-ce que Le Système Gurdjieff : pour en savoir plus… 

L’enseignement de Gurdjieff ou «La Quatrième Voie» 

Reportez vous sur ce cite : http://www.info-sectes.ch/gurdjieff.html  

 

 

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si vous aussi vous voulez vous procurer ce livre, vous le trouverez ICI : 

http://www.priceminister.com/offer/buy/554527/Bennet-Sexualite-Et-Developpement-Spirituel-Livre.html 

 

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La porte du silence

Posté par othoharmonie le 9 janvier 2011

Titre

LA PORTE DU SILENCE   

Auteur

Henri  BELLOTTO        

 

                                                        LA PORTE DU SILENCE  

 

La Porte Du Silence de Henri Bellotto - Livre

Journaliste réputé de Los Angeles, John Cattuso, mieux connu de ses collègues sous le nom de Fox, tenace et intuitif comme le renard, est un journaliste convaincu. Il va toujours au bout de ses enquêtes, peu importe le danger qu’il pourrait attirer. Un jour, le dossier qu’il vient de constituer et qui dénonce une vaste magouille immobilière autour de Las Vegas lui vaut une tentative d’assassinat, dont il réchappe par miracle. Mais il ne peut plus reste sur le territoire américain. 


Son rédacteur en chef l’envoie donc sur le vieux continent pour couvrir un événement mondial, le Grand Jubilé de l’An 2000 de l’Eglise Catholique, et il a pour mission de faire un portrait original de la cité du Vatican et des arcanes du pouvoir qui y sommeille. Son enquête le mène sur la trace d’une mystérieuse petite porte bien gardée, qui semble cacher un secret qui pourrait faire vaciller l’Eglise toute entière s’il était révélé… 

 

 

 

L’auteur : La porte du silence dans A et B AUT00784201

Henri Bellotto est né à Grenoble en 1952. Fils d’immigrés italiens établis en France, il a été depuis sa petite enfance bercé par cette double identité culturelle. La Porte du silence est son premier roman. 

 

AVIS

Dans ce roman, on parle d’un secret dangereux pour la Foi Catholique et pour tous les croyants. Lié à l’histoire de l’abbé Saunières (que nous commençons à bien connaître), ce secret nous est donné. Le tout dans une histoire un peu longue à démarrer, mais finalement assez intéressante. 


L’un des aspects que j’ai préférés dans ce roman, c’est non seulement l’intrigue des deux blessés de la vie que sont Fox et sa jeune stagiaire, la flamboyante et pulpeuse Nancy Shepard qui laisse présager bien des choses, mais… ; mais encore l’aspect vatican qui nous est dévoilé. En effet, le héros, à la suite d’un jeune jésuite qui lui ouvre bien des portes, peut visiter la quasi totalité des bâtiments et bureaux qui se cachent aux yeux des pèlerins, et cette incursion au coeur de la Cité Vaticane est vraiment intéressante. Elle nous permet de voyager, en esprit, et de visiter la totalité d’un Etat en finalement peu de pages…
 

 

 

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Inception – vidéo

Posté par othoharmonie le 8 janvier 2011

 

  

Aujourd’hui, je me suis visionné le DVD du film INCEPTION, et j’ai littéralement adoré… 

Alors j’ai envie de vous faire partager ma liesse….. 

 

Inception - vidéo dans Librairie / vidéothèque Inception_Banner_1

Thriller 

 

 

 

VIDEO extrait  :  Image de prévisualisation YouTube

 

   

 

Inception ou Origine au Québec, est un film d’action et de science-fiction américano-britannique écrit, réalisé et produit par Christopher Nolan, mettant en scène Leonardo DiCaprio, Ellen Page, Ken Watanabe, Cillian Murphy, Joseph Gordon-Levitt, Marion Cotillard, Tom Hardy et Michael Caine. Produit par Warner Bros. Pictures, ce film est sorti sur les écrans le 16 juillet 2010 aux États-Unis et au Canada et le 21 juillet 2010 en France.

 

Le héros est Dom Cobb, un « extracteur », qui entre dans les rêves des autres pour soutirer des informations autrement inaccessibles. Ses capacités, pour lesquelles il est sollicité à des fins d’espionnage industriel, lui ont coûté sa famille et l’ont obligé à s’exiler, mais une chance de rédemption lui est offerte s’il décide avec son équipe d’experts de pratiquer une « inception », c’est-à-dire d’implanter une idée dans le subconscient d’un sujet. L’inception est moins familière, plus difficile et dangereuse que l’activité habituelle d’« extraction ».

 

Dominic « Dom » Cobb (Leonardo DiCaprio) dirige un groupe d’« extracteurs », qui comprend Nash (Lukas Haas) et Arthur (Joseph Gordon-Levitt). Les extracteurs sont des voleurs professionnels, qui pénètrent dans le subconscient de leurs victimes via les rêves pour y voler des informations. Le rêveur dort non loin des extracteurs eux-mêmes endormis, reliés à un appareil qui délivre à chacun un sédatif et qui met en commun l’univers du rêve du dormeur initial. La souffrance est ressentie, mais la mort en rêve n’entraîne que le réveil.

 

 

Autre extrait 2 :  Image de prévisualisation YouTube

 

 

Résumé 

Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.

 

Dominic « Dom » Cobb (Leonardo DiCaprio) échoue sur une plage, où il est arrêté par un Japonais armé. Cobb et Arthur (Joseph Gordon-Levitt) apparaissent face à Saito (Ken Watanabe). Ils sont en mission d’extraction. Cobb trouve ce qui semble être l’information qu’ils cherchent, mais découvre que l’information est incomplète. Conscient des véritables motivations de Cobb, Saito le menace en prenant Arthur en otage, aidé par la mystérieuse Mall (Marion Cotillard). Afin de sortir de cette situation délicate, Cobb tire et tue Arthur (qui est le rêveur), faisant s’effondrer le rêve. Saito se réveille, et se retrouve dans un taudis avec une foule d’émeutiers à l’extérieur. Il avoue à Cobb l’avoir attiré lui et son équipe d’extracteurs dans le but de les auditionner et lui déclare que sa déception était évidente, mais est fortement impressionné par Cobb lorsqu’il remarque que le tapis n’est pas fait dans le bon matériau et qu’il prend ainsi conscience qu’il est toujours en train de rêver. La mission est alors interrompue et tout le monde se réveille. Cobb et Arthur reprochent à Nash de ne pas avoir recréé en rêve le tapis dans la bonne matière. L’équipe se sépare pour échapper à Cobol Engineering – on apprend plus tard que Cobol a mis à prix la tête de Cobb. Cobb et Arthur se retrouvent dans un hôtel de Tokyo et tentent de prendre un hélicoptère, mais lorsqu’ils sont sur le point de monter à bord, ils font face à Saito. Saito détient Nash et dit à Cobb et Arthur que leur architecte les a trahis en révélant leur identité. Saito donne un pistolet à Cobb pour tuer Nash, mais Cobb refuse. Saito demande à ses hommes d’emmener Nash ; bien que l’homme d’affaires dit qu’il ne fera pas de mal à Nash, il ne peut garantir que Cobol Engineering n’en fera pas. 

 

Malgré leur tentative d’extraction, Saito est cordial avec Cobb et Arthur et leur demande de pratiquer une « inception » (intégrer le subconscient (rêves d’une personne) pour implanter une idée dans celui-ci). Bien qu’Arthur prétend que c’est impossible dans la mesure où le sujet se rendrait inévitablement compte que l’idée n’est pas la sienne, Cobb affirme qu’une inception est possible et accepte le marché de Saito. Leur « victime » sera Robert Fischer (Cillian Murphy), le fils du vieux et puissant concurrent de Saito, Maurice Fischer (Pete Postlethwaite) alors en phase terminale. L’objectif est de pousser Fischer à démanteler l’empire de son père, lequel deviendrait autrement un monopole qui évincerait définitivement Saito de la course. Cobb et Arthur acceptent l’offre et Saito leur demande de trouver un meilleur architecte. Cobb se rend à Paris pour trouver Miles, son beau-père et mentor qui lui a enseigné les techniques de l’esprit, et qui enseigne l’architecture à l’Université. Miles lui présente Ariane (Ellen Page), une étudiante qu’il dit meilleure encore que Cobb. Cobb fait découvrir à Ariane l’univers du rêve partagé, et lui enseigne les fondamentaux pour manipuler celui-ci. Après avoir été attaquée par une apparition de Mall, Ariane refuse de participer aux missions de Cobb, mais elle change d’avis, ne pouvant résister à ce genre d’expérience de pure création. Alors qu’Arthur lui enseigne les tenants et les aboutissants plus complexes de l’univers du rêve, Cobb voyage à Mombassa pour recruter Eames (Tom Hardy), un faussaire qui usurpe les identités dans les rêves. Ils rencontrent aussi Yusuf (Dileep Rao), un chimiste qui élabore des sédatifs dont l’équipe aura besoin pour entrer dans les rêves. 

 

Ariane, qui s’interroge sur Cobb et les mystérieuses apparitions de Mall (sa femme), suit Cobb dans un rêve. Elle y découvre tout un monde érigé par lui il y a longtemps à partir de souvenirs. Après avoir été témoin d’un souvenir de Cobb où ce dernier réalise qu’il est contraint d’abandonner ses enfants, Ariane navigue vers une strate plus profonde de l’inconscient de Cobb qui prend la forme d’une chambre d’hôtel. Cobb révèle que lui et Mall ont passé du temps autrefois à partager des rêves, bâtissant une cité à eux à partir de souvenirs. Cependant, Mall voulait revenir à la réalité ; mais ne sachant plus distinguer l’univers du rêve du monde réel, elle décida de se suicider, persuadée qu’elle était toujours en train de rêver et qu’elle regagnerait alors la réalité. Elle avait essayé de convaincre Cobb de faire comme elle, et face à son refus, elle avait saccagé la chambre d’hôtel pour faire croire à une violente scène de ménage et prétendu auparavant auprès de son avocat que Cobb menaçait sa vie. Sa mise en scène et son suicide avaient alors forcé Cobb à fuir les États-Unis puisque désormais recherché pour meurtre. 

 

En échange de l’inception dans l’esprit de Fischer, Saito promet d’effacer les fausses accusations pesant sur Cobb, ce qui permettrait à Cobb de retrouver ses enfants. Cobb révèle qu’il ne peut plus rêver autrement que lors de ses intrusions professionnelles dans les rêves, et qu’il ne peut plus construire l’univers du rêve par crainte que, sollicitées pour cela, des données de son inconscient ne déclenche une apparition de Mall (raison pour laquelle il fait désormais appel à un « Architecte »). 

 

Eames décline sous sa forme la plus simple l’idée que l’équipe veut implanter dans l’esprit de Fischer, et élabore un plan d’inception fondé sur la relation complexe entre Fischer et son père. Le plan implique le recours à plusieurs strates de rêve, correspondant chacune à un niveau plus profond du subconscient de Fischer. À la mort du vieux Maurice Fischer, l’équipe approche Robert Fischer lors d’un vol en avion au-dessus du Pacifique, à bord duquel ils l’endorment à son insu et s’endorment eux-mêmes pour entamer un rêve partagé. Yusuf est alors le rêveur initial dont le rêve est mis en commun : Fischer et l’équipe de Cobb se retrouvent dans une grande ville sous une pluie battante (qui résulte du fait que le rêveur Yusuf a la vessie pleine à bord de l’avion). Alors qu’elle enlève Fischer, l’équipe est attaquée par des mercenaires – projection du subconscient de Fischer – et Saito est grièvement blessé. Cobb est fâché qu’Arthur, qui était chargé d’étudier leur cible (Robert Fischer), ait omis le fait que Fischer ait manifestement reçu un entraînement cérébral pour empêcher des extracteurs de pénétrer son esprit. L’équipe veut interrompre la mission, mais Cobb annonce que c’est impossible : à cause de la complexité des sédatifs administrés aux rêveurs et de l’emboîtement de plusieurs rêves à l’intérieur du rêve initial, mourir dans le rêve ne les réveillerait pas mais les enverrait au plus profond, dans un espace onirique non construit : les « limbes ». Ils n’ont donc pas d’autre choix que de fouiller le subconscient de Fischer, les nouvelles strates de rêve minimisant les blessures de Saito. 

 

Pour tenter de soutirer l’information de Fischer, Eames endosse l’identité de Peter Browning (Tom Berenger), parrain de Fischer que ce dernier évoque sous le nom d’« Oncle Peter ». Fischer affirme qu’il ne connaît rien de ce que prétend Browning : que Fischer senior possédait un coffre-fort contenant un testament annulant les clauses d’un testament existant afin de déshériter son fils. Après que Fischer a refusé de révéler la combinaison du coffre, l’équipe monte à bord d’un van et endort Fischer pour entrer dans un second rêve, rêvé par Arthur et qui prend la forme d’un hôtel. Yusuf, au volant du van, ne partage pas ce deuxième rêve avec les autres puisqu’il doit les protéger des ripostes du subconscient de Fischer.

 

 L’équipe choisit de faire croire à Fischer qu’ils ne sont qu’une projection de son esprit et de faire passer auprès de lui ses authentiques projections pour des extracteurs voulant lui soutirer des informations. Gagnant la confiance de Fischer, Cobb le convainc que l’enlèvement sous la pluie battante (dans le premier rêve) a été organisé par Browning qui aurait à terme voulu prendre le contrôle de l’empire du vieux Fischer. Ils entrent alors dans le subconscient de « Browning » (en vérité Eames) pour trouver le contenu du coffre (mais vont en fait plus profondément dans le subconscient de Fischer). Comme Yusuf pour le deuxième rêve, Arthur ne prend pas part à ce troisième rêve. 

 

Le troisième rêve, dont le rêveur est Eames, se déroule dans une forteresse enneigée située en très haute montagne. Pendant que Saito et Fischer y entrent, Eames se charge d’empêcher le subconscient de Fischer d’attaquer. Ariane et Cobb restent en arrière pour observer la scène et éviter toute intervention de Mall. Toutefois, les blessures subies par Saito dans le premier rêve le ralentissent et Eames ne peut pas retenir le subconscient plus longtemps. Saito et Fischer se dirigent vers le coffre, situé dans une chambre forte, avant que Saito n’expire. Mais Mall apparaît dans la forteresse, et malgré les efforts de Cobb pour l’en empêcher, elle tue Fischer et l’envoie donc dans les limbes avant qu’il n’accède à la chambre forte. Le quatrième rêve, rêvé par Cobb, correspond aux limbes, lesquelles prennent la forme de la cité qu’il a jadis créée avec Mall. Cobb et Ariane partent alors à la recherche de Mall. Lorsqu’ils la trouvent, Cobb révèle qu’il savait que l’inception était possible : à l’époque où ils expérimentaient à deux les voyages dans l’univers du rêve et qu’ils y avaient bâti leur cité idéale, Mall avait refusé d’en partir, ce qui avait poussé Cobb à implanter dans la tête de sa femme l’idée que ce monde était factice et qu’elle devait s’y tuer pour se réveiller. Le stratagème avait abouti au-delà de ses attentes : même éveillée, Mall avait continué à croire qu’elle vivait encore un rêve, ce qui l’avait poussée à se tuer réellement. Cobb accepte alors la mort de Mall, et réalise que toute image de sa femme rencontrée dans l’univers du rêve n’est qu’un produit de son subconscient et que cela ne la remplacera jamais. Cobb localise Saito et le ramène à la réalité, celui-ci étant son unique chance de pouvoir retourner chez lui. Entre-temps, Fischer parvient à regagner la forteresse et atteint la chambre forte, au fond de laquelle il trouve son père sur son lit d’hôpital et un coffre contenant un moulinet à vent en papier qu’il avait fabriqué enfant. Fischer senior annonce à son fils sa déception que celui-ci ait voulu l’imiter, et lui demande de vivre sa vie quoi qu’il choisisse, marquant ainsi l’aboutissement de la mission d’inception

 

La stratégie de sortie de l’équipe repose sur le recours à une « décharge », une sensation de chute (myoclonies d’endormissement) pour réveiller la personne en sursaut. Pour réintégrer la réalité, l’équipe envisage d’orchestrer une série de décharges, calculées pour les ramener graduellement au monde réel depuis le niveau le plus profond du subconscient de Fischer. L’équipe utilise la chanson Non, je ne regrette rien, diffusée dans les oreilles du rêveur initial, pour être prévenue de l’imminence d’une décharge. La première survient lorsque le van de Yusuf tombe du haut du pont. La deuxième décharge survient quand Arthur fait sauter des explosifs sous la chambre d’hôtel de l’équipe. La troisième vient d’Eames faisant exploser la forteresse enneigée. La décharge ultime, dans les limbes, survient quand Ariane fait tomber Fischer du haut du balcon et saute juste après lui. Cependant, les choses tournent mal pour Yusuf, qui est contraint de déclencher une décharge plus tôt. Cela créé un problème pour Arthur, le monde extérieur à un rêve pouvant avoir un impact sur le monde rêvé. Alors que le van conduit par Yusuf dans la première strate tombe du pont, l’hôtel de la deuxième strate entre en état d’apesanteur, ce qui rend impossible de faire effondrer l’étage. En apesanteur, Arthur déplace l’équipe endormie vers l’ascenseur et utilise des explosifs pour le propulser vers le toit, où le changement brutal de direction provoquera le réveil simultané de tout le monde. Dans la troisième strate qui correspond à la forteresse enneigée, les explosifs d’Eames font sauter la tour avec l’équipe à l’intérieur. Ils se réveillent dans l’hôtel alors que l’ascenseur change de direction, provoquant une décharge et se réveillant dans le van de Yusuf au moment où il touche l’eau au pied du pont, ce qui les renvoie dans la réalité (le vol dans l’avion de ligne trans-Pacifique). 

 

Cobb reste dans les limbes puisque Saito a succombé à ses blessures. Il doit donc le trouver. Le film revient à la première scène dans laquelle Cobb est face à un Saito âgé (le spectateur comprend alors que sa « mort » l’a placé plus profond dans l’univers du rêve, où le temps passe beaucoup plus vite que dans les trois strates supérieures et où il a donc considérablement vieilli dans le bref temps qui a suivi sa ‘mort’) et lui dit qu’ils ont besoin de réintégrer la réalité. Saito ramasse un pistolet pour se tuer et se réveille. Cobb se réveille et retrouve tout le monde dans l’avion, dont Saito (non vieilli), qui conclut l’accord. Cobb débarque aux États-Unis. Enfin de retour chez lui, il lance la toupie puis retrouve ses enfants dont les visages apparaissent enfin. La toupie pivote puis vacille légèrement, mais le film se termine avant que le spectateur puisse voir si la rotation de la toupie s’interrompt réellement. 

 

 

Autre extrait 3 :  Image de prévisualisation YouTube

 

 

 

 

Tableau des rêves imbriqués de la mission principale

 

Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.

 

Les 4 niveaux de rêves de la mission principale 

 

 

Niveau de rêve 

Organisateur (rêveur principal) 

Décor 

Contexte ou action 

Décharge 

Événement perturbateur 

0 (« réalité ») 

Personne (une hôtesse lance la machine) 

Première classe

 du Boeing 747 

L’équipe drogue Robert Michael Fischer Jr. au cours du vol Sydney-Los Angeles 

Aucune 

Aucun 

1 

Yusuf (« le chimiste ») 

Los Angeles après atterrissage 

Après le kidnapping de Fischer, Yusuf emmène l’équipe loin du service de sécurité du subconscient de Robert Fischer Jr. 

1.    Le van défonce le garde-fous du pont levant

2. Le van percute la surface de l’eau 

Un train surgit, manifestation du subconscient de Cobb. L’équipe est attaquée par le subconscient de Robert Fischer Jr. Saito (le client) est blessé. 

2 

Arthur (« l’organisateur ») 

Hôtel 

L’équipe s’isole dans une chambre pour encore descendre d’un niveau dans le subconscient de Robert Michael Fischer Jr. en prétextant pénétrer le subconscient de Peter Browning, le bras droit de son père. 

Arthur propulse l’ascenseur vers le plafond grâce à des explosifs. 

L’apesanteur est ressentie simultanément à celle du van en chute libre. 

3 

Eames (« le faussaire ») 

Forteresse enneigée 

Robert Fischer doit pénétrer la chambre forte qui abrite son père mourant 

Eames fait exploser de nombreuses charges pour détruire la forteresse à flanc de montagne 

Robert est tué par une projection de Mall, l’envoyant dans les limbes, tout comme Saito qui meurt. Ouverture du chemin vers les limbes. 

4 (limbes) 

Aucun organisateur (espace partagé) 

  • Espace onirique non bâti (en théorie),
  • Ville construite par Dominic et Mallorie (dans ce cas) 

Trouver Mallorie pour ramener Robert Fischer dans le niveau 3 afin de finaliser l’inception 

Ariane et Robert Fischer tombent dans le vide, Dominic et Saito se tirent une balle dans la tête 

La décharge arrive trop tôt 

 

 

 

Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue. 

Avec sa fin ouverte et la question qu’elle amène : « la toupie tombe-t-elle ? », le film fait beaucoup de bruit sur Internet et des théories pour fermer ou expliquer le film sont discutées avec une certaine ardeur sur les réseaux sociaux, les forums et les sites consacrés au cinéma.

 La théorie majeure, et la plus répandue, considère que l’histoire de Dominic Cobb, l’extracteur fugitif dont la femme Mallorie est morte, est réelle : le niveau zéro est donc bel et bien la réalité, et Robert Fischer bel et bien la cible. 

 

Une variante de cette théorie considère que le véritable totem de Cobb n’est pas sa toupie, mais son alliance – ce qui aboutit à nier l’importance de la toupie dans la scène finale pour déterminer si Cobb est revenu ou non dans le monde réel. Contrairement à ce que déduit le spectateur par la présence régulière de la toupie, le totem de Mallorie, visible à l’écran notamment lorsque les totems sont évoqués, celle-ci n’est jamais désignée comme le totem de Cobb. De plus, Cobb l’ayant touchée, elle ne devrait en théorie plus fonctionner. Il s’agirait d’un détournement d’attention classique de la prestidigitation : en effet, le véritable totem de Cobb pourrait être montré régulièrement mais de façon discrète puisqu’il s’agirait de son alliance qui n’apparaît à sa main gauche que dans le monde onirique, celle-ci étant montrée régulièrement dans le film. L’anneau étant absent dans la scène finale, il s’agirait donc d’une fin heureuse. 

 

La forte ressemblance entre Phillipa et James dans la scène finale et dans les souvenirs de Cobb amène à douter de la possibilité de cette hypothèse. Cependant, outre le fait que des enfants plus âgés jouent les deux personnages par rapport au reste du film, les costumes ne sont en réalité pas identiques bien que très ressemblant entre les souvenirs et la scène finale selon Jeffrey Kurland. 

 

Une autre variante intéressante de cette théorie permet de trouver une autre interprétation pour ces éléments que sont l’alliance et les enfants de Dom Cobb, en se basant plutôt sur leur symbolique. Selon cette théorie, la quasi-totalité du film se passerait bien dans la réalité, mais Dom resterait « coincé » dans les limbes suite à sa rencontre avec Saito. Le reste du film se passerait alors dans le rêve de Dom Cobb, celui qu’il fait, enfermé dans les limbes, ayant perdu la notion de la réalité. Dans cette interprétation, Cobb rêverait de retrouver ses enfants, car c’est ce qu’il souhaitait le plus au monde dans la réalité. Il s’invente donc sa « fin heureuse » telle qu’il aurait aimé la vivre, avec des projections de ses enfants tels que dans son dernier souvenir, mais en les faisant grandir pour que cela paraisse réel (d’où leur ressemblance avec ceux de ses souvenirs). L’alliance est ici considérée comme un symbole de son attachement à sa femme décédée Mall lorsqu’il est dans un rêve. Ainsi, il a cette alliance quand la projection de Mall le hante et qu’il n’arrive pas à oublier sa femme (c’est-à-dire pendant tout le film jusqu’à sa rencontre avec Mall dans les limbes). Toutefois, après cette rencontre où il renonce à rester avec Mall dans les limbes, où il admet qu’elle n’est pas réelle, l’alliance disparait, symbolisant le fait que Dom a réussi à aller de l’avant et laisser ses remords liés à la mort de Mall de côté. 

 

La seconde hypothèse place la totalité du film dans un rêve, le niveau zéro devenant ainsi un niveau un : Robert Fischer passe alors de cible à complice et Cobb d’extracteur à cible. L’histoire serait donc l’inception de Cobb par une équipe dirigée probablement par Miles afin de lui faire oublier sa défunte épouse. 

 

Cette théorie a vu le jour probablement pour expliquer certaines bizarreries du film, comme les transitions quasi-oniriques, la présence pour ainsi dire inexpliquée du professeur Miles à l’aéroport à la fin du film ou de Saito à Mombassa, ou encore l’aspect labyrinthique de cette dernière ville. Cette théorie s’appuie également sur le fait que le thème principal de la musique de film contient une chanson d’Edith Piaf (Je ne regrette rien) en ralenti et remixé, le thème faisant son apparition tout à la fin, ce qui pourrait vouloir dire que les personnages sont dans un niveau un, et qu’un autre tente de les réveiller au niveau zéro. 

 

Par ailleurs, l’interprétation de cette fin peut se substituer à une explication définitive : peu importe qu’il soit dans un monde authentique ou imaginaire, il va saisir la chance qui lui est donnée de retrouver ses enfants, qu’ils soient réels ou oniriques. Les totems n’apportent pas la preuve qu’un monde est réel ; ils écartent juste le doute qu’il soit imaginé par un autre : un monde est réel jusqu’à preuve du contraire (tout comme celui du spectateur). La plus parfaite illusion d’un monde vaut la réalité, à la seule condition que l’on continue d’en ignorer la nature. Ceci est à opposer au drame vécu par Mall, qui n’était plus capable de vivre dans la réalité, qu’elle pensait être imaginaire. A contrario, Cobb refuserait alors de connaître la nature du monde dans lequel il se trouve, sacrifiant ainsi la certitude que le monde est réel en échange de la conservation d’un espoir qu’il le soit. 

 

Une théorie moins complexe veut qu’il n’y ait pas de solution, le film étant comme une œuvre de Maurits Cornelis Escher, un paradoxe dans sa globalité, mais cohérent localement.

 

Enfin, une autre manière de voir cette scène de fin est simplement la plus grande réussite de Christopher Nolan : avoir pratiqué une inception géante sur l’ensemble des spectateurs, en semant une idée toute simple : le doute et l’impression d’être perdu dans ses propres rêves.

 Aussi, et pour prendre en compte des considérations purement scénaristiques, Christopher Nolan étant un scénariste de talent, l’hypothèse de la fin « rêvée » n’est pas acceptable. 

 

Pourquoi? 

 

Un scénario américain classique est un objet très précis qui se divise en trois parties. Exposition, confrontation et résolution. Deux points d’intrigue changent la trajectoire naturelle des/du personnage(s). Pour Inception, l’Exposition correspond à la scène d’ouverture où le spectateur découvre le métier de Cobb. Le premier point d’intrigue correspond au «deal» que passent Saito et Cobb, la confrontation correspond à la scène où l’équipe prépare l’inception jusqu’à un point d’intrigue supplémentaire (Fisher est entraîné) jusqu’à l’intervention de Mallorie. La résolution correspond au reste du film. L’hypothèse d’une fin « malheureuse » ne colle pas avec le processus d’écriture et surtout avec la progression du personnage de Cobb. 

 

Le cinéma américain classique offre aux spectateurs des personnages qui avancent, qui changent. Cobb exécute ce dernier travail afin de retrouver ses enfants ; pour aller de l’avant, il est forcé de renoncer aux souvenirs de sa femme, et c’est ce qu’il fait. 

 

La fin ouverte d’Inception est un moyen de faire cogiter le spectateur. 

 

Nolan, en écrivant son scénario, est conscient du fait que la puissance du script repose sur la progression de son personnage. La trame du film est vaste en complexité et en péripéties ; après cela, il paraît improbable qu’un grand scénariste réduise son script à une fin facile du type et tout cela n’était qu’un rêve…….. 

 

 

 

Source : http: // fr.wikipedia.org/wiki/Inception

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L’inconnu est à explorer

Posté par othoharmonie le 7 janvier 2011

                                                                        L’inconnu 

L'inconnu est à explorer dans Zones erronées Soledad-vip-blog-com-732088Inconnu

Vous trouverez ici, différentes techniques issues du livre du Docteur Wayne W.DYER que j’ai moi-même utilisées. Techniques audacieuses mais simples pour prendre en main les schémas malsains de notre comportement. 

Vous allez me dire : « Pourquoi malsains ? » 

Tout simplement parce que nous pouvons tous nous corriger avant de vouloir corriger les autres

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Explorer l’inconnu 

Seul celui qui ne se sent pas en sécurité cherche la sécurité…. 

Que nous soyons technicien de la sécurité, quelqu’un qui fuit l’inconnu, qui aime mieux savoir toujours où il va et ce qu’il trouvera quand il arrivera…. 

La façon dont on éduque l’enfant dans notre société tend à encourager la prudence aux dépens de la curiosité, la sécurité aux dépens de l’aventure. 

« Détourne-toi de ce qui est incertain, ne t’écarte pas des chemins rebattus, méfie-toi de l’inconnu« . Ces messages qui nous sont transmis dans la prime enfance deviennent une barrière psychologique qui nous empêche de mille manières de nous accomplir pleinement et de vivre heureux dans le moment présent. 

Einstein, qui consacra sa vie à l’exploration de l’inconnu, écrivait dans un article intitulé ; « Ce que je crois« , paru dans Forum en octobre 1930 a dit : 

« Le mystère est la chose la plus merveilleuse que l’on puisse expérimenter. Il est la source véritable de tout art et de toute science. » 

Il aurait pu ajouter que le mystère est aussi la source de tout épanouissement et de tout enthousiasme. Mais trop de gens identifient l’inconnu au danger. Pour eux, vivre c’est s’en tenir aux certitudes, savoir toujours où l’on va. Seuls les imprudents se risquent à explorer les zones de pénombre de la vie et ils ont des surprises, ils reçoivent des coups – et, ce qui est plus gênant, ils n’y sont pas préparés. 

On ne peut s’épanouir quand on connaît la réponse à toutes les questions avant qu’elles ne soient posées. Les moments que nous nous rappelons sans doute le mieux sont ceux où tout était spontané, où nous faisions ce que nous voulions et approuvions le frisson délicieux du mystère à venir… 

Les messages de la certitude nous relancent tout au long de l’existence. D’abord, c’est la famille, puis les professeurs prennent le relais. L’enfant apprend à se détourner de l’expérimentation, on l’encourage à fuir ce qu’il ne connaît pas. « Il ne faut pas que tu te perdes. Veille à connaître les réponses. Reste avec tes semblables« . 

Si nous sommes toujours fidèles à ces peureuses invites, il est temps de nous en libérer. Débarrassons-nous de l’idée que nous sommes incapables d’adopter un comportement nouveau qui fasse bon marché des certitudes. Si nous voulons le faire, nous le pouvons. Mais il faut, pour cela, comprendre le mécanisme du réflexe conditionné qui nous fait repousser les expériences.

  

Etre disponible à l’expérience

Etre disponible pour de nouvelles expériences implique de renoncer à l’idée qu’il vaut mieux se résigner à quelque chose qui nous est familier plutôt que de s’efforcer de le changer, parce que le changement est lourd d’incertitudes. Peut-être sommes nous arrivé à estimer que notre Moi est fragile et qu’il risque aisément de se briser si nous nous aventurons en terre inconnue ? 

C’est une légende… Nous sommes un roc. 

Nous ne nous briserons pas, nous ne volerons pas en éclats si nous sommes confrontés à la nouveauté. Mieux encore ; nous aurons beaucoup plus de chances d’échapper à l’effondrement psychologique si nous élaguons quelque peu la routine et la monotonie qui sont le tissu de notre vie. L’ennui est débilitant et psychologiquement malsain. C’est quand la vie cesse de nous intéresser que nous devenons vulnérable. Si nous ajoutons le piment de l’incertitude à notre existence, nous ne choisirons pas la mythique dépression nerveuse. 

Est-il nécessairement besoin d’avoir un motif pour faire quelque chose ? Sinon à quoi bon le faire. 

Nous pouvons faire tout ce que nous voulons uniquement parce que nous le voulons sans avoir besoin d’autre motif. Chercher une raison pour faire quelque chose nous maintient à l’écart d’expériences inédites et passionnantes. 

Cette passion de la motivation étouffe notre disponibilité et bloque notre épanouissement. Quelle liberté de savoir que l’on n’a aucun besoin de justifier quoi que ce soit aux yeux de qui que ce soit, y compris à ses propres yeux ! 

Si nous décrétons enfin que nous pouvons faire n’importe quoi parce que nous voulons le faire et sans aucune autre raison…. ce principe nous ouvrira des horizons neufs et nous aidera à chasser cette peur de l’inconnu dont nous avons peut-être fait notre principe de vie. 

Il faut bien reconnaître que la rigidité est à la racine des préjugés. Le préjugé a moins pour base l’antipathie, voire la haine que l’on éprouve pour certaines personnes, certaines idées ou certaines activités que le fait qu’il est plus facile et moins risqué de s’en tenir à ce que l’on connaît… autrement dit, ce qui nous est semblable. 

Nos préjugés nous paraissent avantageux. Ils nous maintiennent à l’écart des gens, des choses et des pensées que nous ne connaissons pas et qui pourraient nous embarrasser. Mais en réalité, ils travaillent contre nous car ils nous empêchent d’explorer l’inconnu. Etre spontané, c’est chasser nos idées toutes faites et accepter d’être confrontés à des gens et des idées inconnus. En soi, les jugements préconçus sont une soupape de sécurité ; ils nous permettent de ne pas nous aventurer dans les ténèbres, mais nous empêchent de nous développer. 

Si nous n’avons confiance en personne, nous ne serons pas de ceux qu’on manipule. En fait, cela signifie que nous n’avons pas confiance en nous quand nous ne sommes pas sur un terrain familier

En vérité, le mot « sécurité » dans le sens où nous l’entendons ici se réfère à des garanties extérieures, à des possessions comme : l’argent, une maison, une voiture, à des remparts tels que sa situation ou la positon que l’on occupe dans la société. Mais il existe une autre sorte de sécurité qui mérite qu’on la recherche : la sécurité interne, c’est-à- dire le fait de se croire capable d’affronter tout ce qui risque de survenir. C’est la seule sécurité durable, la seule sécurité réelle. 

Les choses peuvent se briser entre nos doigts, les crises économiques nous ruiner, on peut nous reprendre notre maison, mais nous pouvons, nous, être malgré tout, un rocher de confiance en soi. Nous pouvons avoir une foi si profonde en nous et en notre force intérieure que tout le reste, choses et gens, ne seront à nos yeux que de simples accessoires, agréables certes, mais superflus

Il nous arrive à tous de ne pas être à la hauteur des normes que nous nous sommes fixées. L’important, c’est de ne pas assimiler l’action que nous entreprenons, à notre valeur propre. Echouer dans une entreprise, ce n’est pas faillir en tant qu’individu. C’est tout simplement ne pas réussir une tâche particulière à un moment particulier…. 

La recherche de la performance nous est dictée par l’impératif le plus destructeur de notre culture. Quatre petits mots que nous avons entendus et que nous avons prononcés des milliers de fois ; « fais de ton mieux  » ; c’est là la pierre angulaire de la névrose de l’exploit. « Quoi que tu entreprennes, fait de ton mieux, donne ton maximum« . Quel mal y a-t-il, si l’on se promène à bicyclette à faire une moyenne médiocre ??? 

Pourquoi ne pas faire une chose simplement parce qu’on en a envie sans chercher à repousser ses limites . L’obsession de se dépasser soi-même risque de nous empêcher de nous lancer dans des activités nouvelles et de tirer plaisir des anciennes. 

Mesurer sa valeur à l’aune de l’échec et du succès, c’est se condamner fatalement à se considérer comme peu de chose. Sans l’échec, nous ne pouvons rien apprendre et, pourtant nous avons appris que le seul critère valable était la réussite. Nous avons tendance à  fuir toutes les expériences susceptibles de faire fiasco. La crainte de l’échec est dans une large mesure une composante de la peur de l’inconnu. On évite tout ce qui n’offre pas l’assurance du succès. Et craindre l’échec, c’est à la fois avoir peur de l’inconnu et avoir peur de la désapprobation qui pénalise ceux qui ne font pas de leur mieux. 

Toutes suggestions et techniques pour affronter les mystères de l’inconnu peuvent nous aider…. 

-         Inviter des gens aux opinions très diverses

-         Renoncer à justifier tout ce que nous entreprenons

-         Affronter des risques pour sortir de notre routine

-         Se laisser aller à rêver, sans tabous ni interdits

-         Ne pas réfléchir avant d’entreprendre quelque chose de nouveau

-         Faire quelque chose d’absurde (se baigner sans maillot, marcher pied nus etc…) 

-         Entreprendre une chose à laquelle nous nous sommes toujours refusés.. 

Rappelons-nous avant toute chose que rien de ce qui est humain ne nous est étranger. Nous pouvons être ce que nous choisissons d’être. 

Lorsque la tendance revient à céder à la peur de l’inconnu, ayons-en conscience et, à ce moment, dialoguons avec nous-mêmes. Disons-nous que si nous ne savons pas à tous les instants de notre vie où nous allons, c’est très bien ainsi. La vie elle, sait où elle nous mènera…. 

Au départ, on commence à comprendre le comportement d’évasion que l’on a adopté. En un second temps, on lutte activement contre cet ancien comportement et on prend des directions nouvelles. 

Imaginons que les grands inventeurs ou les grands explorateurs du passé aient eu peur de l’inconnu. Toute la population du monde serait exclusivement groupée dans la vallée du Tigre et de l’Euphrate. L’inconnu est le terreau de l’épanouissement. Pour les civilisations comme pour les individus. 

Voici un route qui bifurque. L’un de ses embranchements conduit à la sécurité, l’autre aux vastes terres vierges de l’inconnu. Lequel prendrez-vous ? 

Robert Frost a répondu à cette question dans The Road Not Taken

« Deux chemins s’écartaient dans la forêt. 

J’ai pris le moins foulé. 

Et cela fit toute la différence ». 

Conclusion

Le choix nous appartient. Cette zone de brouillage qu’est la peur de l’inconnu attend seulement d’être remplacée par des activités nouvelles et passionnantes qui mettront de la joie dans notre vie. Inutile de savoir où nous allons, du moment que nous marchons. 

A suivre…..

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Empire de la pensée

Posté par othoharmonie le 6 janvier 2011

Empire de la pensée dans Nouvelle conscience zenitude-reelle-ile-preferee_227335 L’empire mystérieux de la pensée 

 

Une idée se nourrit, comme un canard ou une oie. Si nous la privons de nourriture, elle s’anémie et s’affaisse

 

Si nous l’alimentons généreusement, elle s’engraisse et forcit. On peut faire l’élevage des idées, c’est-à-dire avoir plusieurs idées à la fois et les soigner en vase clos. 

 

Certains sont plus riches d’idées que d’autres et certains ont peine à avoir une seule idée. L’extrême abondance des idées n’est pas souhaitable parce qu’elle engendre la dispersion. A moins d’être complètement maître de soi et de savoir discipliner ses idées, il est préférable de ne pas s’abandonner à une multitude d’idées, car chacune affaiblit les autres en prenant sa part d’intérêt. 

 

Ce qui importe, c’est de ne nourrir qu’une idée à la fois et de pousser à fond son élevage. Alors toute la nourriture spirituelle et mentale est pour elle et cette idée grandit formidablement. Quand elle a atteint son dynamisme complet, elle devient une force surhumaine, c’est-à-dire dépassant de loin ce qu’un homme ordinaire est capable de réaliser à l’état normal. 

 

Une grande idée, une forte idée, engendrée avec ferveur, portée avec allégresse aboutit infailliblement à l’enfantement dans le monde concret. 

 

Qu’on se garde cependant de croire que la pensée est toute puissante. Ce serait une erreur funeste car elle exposerait à des déboires majeurs. Comment, en effet, la pensée d’un homme pourrait-elle être omnipotente alors qu’il lui faut compter avec les pensées des autres hommes et avec celles des Puissances invisibles qui en font leur instrument essentiel ? 

 

Le penseur efficace doit tenir compte du fait que la pensée divine limite la pensée humaine

 

Cette dernière peut devenir très puissante si elle pense comme l’Esprit. Axée dans le sens divin, il n’est rien à quoi elle ne puisse prétendre. Mais si elle pense contre l’Esprit, non seulement elle est impuissante à atteindre ses buts, mais ce sont ses efforts eux-mêmes qui la briseront. Avec elle sera balayé l’émetteur inconsidéré de la pensée, qui se sera servi maladroitement du don de penser. Car celui-ci ne lui a été délégué par la Pensée souveraine que pour apprendre le métier d’homme en accord avec la Création et le Créateur. 

 

 

La pensée n’est aucunement un produit du cerveau, pas plus que l’électricité n’est un produit de la lampe. Pensée et électricité viennent d’une source plus haute et ne se servent du cerveau et de la lampe que comme d’instruments destinés à permettre leur manifestation dans le monde sensoriel. 

 

Quand bien même toutes les ampoules électriques de l’univers seraient brisées, cela n’empêcherait pas l’électricité d’exister car elle existait avant que la science moderne ne s’avisât de l’utiliser au moyen des lampes. 

 

La pensée est d’essence divine et, par conséquent, a préexisté de tout temps. 

 

L’homme n’était rien encore alors que la pensée était déjà. 

 

S’il a accédé à la Vie, c’est en raison de la pensée qui l’a conçu et créé. S’il est admis à penser aujourd’hui, c’est en vertu d’une délégation de la pensée, car l’homme n’est que le fruit de la pensée du Démiurge créateur. 

 

Quand l’Écriture dit que Dieu créa l’homme à son image, cela signifie qu’entre tous les êtres il le dota du pouvoir de penser. 

 

 

 

 

extrait du livre : Comment on soulève les montagnes ; Georges BARBARIN

zenitude dans Nouvelle conscience

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Oracle Gé

Posté par othoharmonie le 4 janvier 2011

Oracle Gé dans Oracle GE oracle-geGérard Barbier  est le créateur du support divinatoire qu’est l’Oracle Gé qu’il décida de créer après seulement quelques années de pratiques. Cet Oracle est relativement récent et n’est édité que depuis peu, à savoir en 1991
Les lames imagées d’illustrations modernes, simples et colorées de cet Oracle sont d’une symbolique évocatrice, ce qui lui procure un aspect « enfantin » permettant une manipulation aisée à toute personne désireuse d’aborder la voyance, notamment les débutants. 

oracle-ge dans Oracle GEUn Oracle pas comme les autres 

La particularité de cet Oracle qui en fait presque sa singularité, se trouve spécialement au niveau de sa faculté à situer une interprétation divinatoire dans le temps et ce grâce à, plus précisément, quatre cartes de ses 61 lames qui composent le jeu de cartes. Les 4 lames représentant les 4 saisons  qui permettent de dater les prédictions avec précision (3 mois). En plus de ces 4 cartes spéciales, il en possède huit autres qui se démarquent en représentant des personnages (qui peuvent représenter des acteurs se raccrochant à la prédiction)  et qui apportent aux pratiquants des précisions supplémentaires pour permettre une interprétation affinée. Pour encore plus d’exactitude pour les pratiquants qui le désirent, les cartes ont un sens de lecture et en fonction de celui-ci lors du tirage, elles donnent des informations complémentaires pour la prédiction. 

oracle-geFacile et performant 

Tout en étant un support divinatoire puissant dans le domaine de la cartomancie  et qui sait charmer les professionnels, l’Oracle Gé sait également séduire les débutants par sa facilité et constitue un bon outil pour l’apprentissage. 


Différentes méthodes de tirage de l’Oracle peuvent être utilisées. En fonction de votre question l’une sera plus judicieuse que l’autre. Par exemple le tirage en croix avec 5 lames vous apportera des réponses aux questions touchant différents domaines de la vie en générale. Pour des besoins plus spécifiques vous devrez recourir plutôt à un tirage thématique. Il y en a d’autres : 

  • Le tirage à 21 lames 
  • Le tirage à 7 lames 
  • Le jeu du consultant 
  • Le jeu du prénom 

N’oubliez pas qu’un Oracle comme un Tarot ou tout autre accessoire dans le domaine de l’ésotérisme reste un support qui vous aide à une meilleure interprétation … vous restez l’interprète et devez faire confiance à votre intuition qui s’avèrera plus exacte avec l’expérience.

oracle-ge

Les 61 cartes de l’oracle de Gé avec leurs significations 

Carte 1 : Le Soleil
Le succèsCarte 2 : La Rose
La sérénité

Carte 3 : Le Printemps
Une durée de 3 mois

Carte 4 : Le Feu
La maison

Carte 5 : Les Tours
La foule

Carte 6 : Les Deux Cœurs
Une rencontre amoureuse

Carte 7 : Les Chiffres
L’imprévu

Carte 8 : L’Araignée
A l’endroit : Tristesse
A l’envers: Possibilité de réussite

Carte 9 : L’Escargot
Un retard

Carte 10 : Le Bateau
Un voyage

Carte 11 : Le Lion
La force

Carte 12 : Le Poignard
La violence

Carte 13 : Le Papillon
Métamorphose

Carte 14 : La Pensée
Le mental

Carte 15 : Les Symboles Sexuels
La sexualité

Carte 16 : La Route
A l’endroit : Un accrochage
A l’envers : Un accident

Carte 17 : L’Etoile
Une protection générale

Carte 18 : La Cigogne
A l’endroit : Une naissance
A l’envers : Grossesse difficile

Carte 19 : L’Argent
Rentrée d’argent importante

Carte 20 : Les Deux Flûtes
La fête

Carte 21 : Les 3 Lunes
Un changement dans le mois à venir

Carte 22 : La Bougie
L’occulte

Carte 23 : Les Outils
Le travail

Carte 24 : L’Été
Une durée de 3 mois

Carte 25 : Le Point d’Exclamation
Valide les cartes voisines

Carte 26 : Le Désert
La solitude

Carte 27 : L’Oiseau
Une nouvelle

Carte 28 : Le Cadeau
A l’endroit : Cadeau à recevoir
A l’envers : Cadeau à donner

Carte 29 : La Poignée de Mains
Association, fraternité, aide

Carte 30 : La Balance
L’activité commerciale

Carte 31 : Le Chien
La fidélité 

Carte 32 : Le Serpent
La sournoiserieCarte 33 : Le Stéthoscope
Le médecin

Carte 34 : L’Écureuil
Les économies

Carte 35 : Clef du Destin
A l’endroit : Petits problème de santé
A l’envers : Problème de santé important

Carte 36 : Le Cœur Partagé
La solitude

Carte 37 : Le Coquillage
Les vacances

Carte 38 : L’Éléphant
Une opportunité

Carte 39 : Le Rat
A l’endroit : Une petite maladie
A l’envers: Un problème de santé important

Carte 40 : Les Papiers
Des démarches administratives

Carte 41 : L’Hiver
Une durée de 3 mois

Carte 42 : Les Flèches
Situation indécise

Carte 43 : La Harpe
L’art

Carte 44 : La Justice 
A l’endroit : Un procès
A l’envers : La prison

Carte 45 : La Jeune Fille
A l’endroit : Brune
A l’envers : Blonde

Carte 46 : Le Jeune Homme
A l’endroit : Brun
A l’envers : Blond

Carte 47 : La Femme
A l’endroit : Femme brune
A l’envers : Femme blonde

Carte 48 : L’Homme
A l’endroit : Homme brun
A  l’envers : Homme blond

Carte 49 : La Consultante
Représente la consultante

Carte 50 : Le Consultant
Représente la consultant

Carte 51 : La Femme Âgée
A l’endroit : Brune
A l’envers : Blonde

Carte 52 : L’Homme Âgé
A l’endroit : Brun
A l’envers : Blond

Carte 53 : La Flûte Brisée
Une rupture

Carte 54 : La Campagne
Le repos

Carte 55 : L’Automne
Une durée de 3 mois

Carte 56 : La Pyramide
Évolution professionnelle

Carte 57 : Le Lynx
 
L’inconstance
Carte 58 : La Croix 
La mort

Carte 59 : La Chauve-souris
Le vol

Carte 60 : La Colombe
La paix

Carte 61 : Le Parchemin
Les écrits judiciaires 

   flecheL’Oracle Gé est disponible au prix de19,00 euro sur le site http://www.lepalaisdutarot.com/Oracle-ge.htm 

flecheRetrouver à la fin de ces articles sur l’oracle Gé, toutes les définitions des cartes par situation vous préoccupant.

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La peur qui vous sauve

Posté par othoharmonie le 4 janvier 2011

Titre

LA PEUR QUI VOUS SAUVE   

Auteur

Gavin de  BECKER     

 

                                             LA PEUR QUI VOUS SAUVE 

 

 Comment reconnaître et prévenir la violence 

 

 

 

La peur qui vous sauve

 

 Selon Gavin de Becker, expert en matière de prévention de la Violence et auteur de ce passionnant récit qui se réroule comme un thriller, chacun d’entre nous détient les réponses à ces questions vitales. Et le premier signal de survie qu’il faut écouter, c’est la peur instinctive que l’on ressent lorsque le danger se profile… Emaillée de dizaines d’histoire vécues, son études démonte un à un les mécanismes de la violence humaine et nous livre les clefs qui nous permettent de la prédire – donc de la prévenir – en écoutant notre intuition. Désormais, comme l’explique Gavin de Becker, « nous pouvons refuser d’être victime ». Gavin de Becker conseille et protège de nombreuses célébrités américaines ainsi que des citoyens anonymes victimes de harcèlement ou de violences conjugales. Il a également effectué des missions pour la CIA et le Président des Etats-Unis. Témoin expert dans de nombreux procès, notamment celui d’O.J. Simpson (pour la partie civile), il a contribué à faire passer de nouvelles lois pour la prévention de la violence dans plusieurs Etats américains. « Un témoignage puissant et plein de compassion à l’intention de ceuc qui s’inquiètent pour leur sécurité et celle de leur famille. Non seulement cet ouvrage donne de la force au lecteur, mais il le captive juqu’a la drenière page. » Meryl Streep.

Tard le soir, un inconnu rôde devant l’entrée de l’immeuble.
Comment la femme qui rentre chez elle doit-elle réagir ? Un employé licencié menace son patron. 


Reviendra-t-il avec une arme ? Une mère éprouve un sentiment de malaise vis-à-vis de la baby-sitter qu’elle vient d’engager. 


Doit-elle annuler sa soirée ? Il lui a dit dès le premier tête-à-tête que leur  » destin  » est d’être ensemble. 

Que se passera-t-il lorsqu’elle décidera qu’elle ne veut pas de lui ?


 
 

 

 

L’auteur :  La peur qui vous sauve dans A et B contributor_497

 

Gavin de Becker (né en Octobre 26, 1954) est un spécialiste des questions de sécurité, principalement pour les gouvernements, les grandes sociétés, et des célébrités. 

 Il est le concepteur de l’ évaluation de la menace des systèmes MOSAIC utilisé pour dépister les menaces aux juges de la Cour suprême des États-Unis , les membres du Congrès américain , et des hauts fonctionnaires de l’ Agence centrale de renseignement Avec les États-Unis Marshals Service , il a co-conçu le système MOSAIC actuellement utilisés pour évaluer toutes les menaces qui pèsent sur les juges et des procureurs fédéraux. 

Il fut deux fois nommé au président du conseil consultatif au ministère américain de la Justice , et il a servi deux mandats du gouverneur au conseil consultatif de la Californie ministère de la santé mentale de Becker est l’auteur de best-sellers trois, le don de crainte , Protéger le don, et la peur Moins. 

Il est Senior Fellow à l’ UCLA School of Public Affairs et conseiller principal à la Rand Corporation sur la sécurité publique et de la justice. 

 Il était le propriétaire d’un Los Angeles maison où George Harrison est mort du cancer en Novembre 2001. 

 Son dernier livre, a été décrit comme le guide indispensable pour les protecteurs des personnes à risque à et comprend 5 leçons pour les personnes chargées de protéger les autres.  Il comprend également des résumés des incidents et les quasi-incidents de ces dernières décennies pour la formation et l’analyse.  

 

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si vous aussi vous voulez vous procurer ce livre, vous le trouverez ICI : http://www.amazon.fr/peur-qui-vous-sauve/dp/2709618419 

 

                                                                             

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Oracle Gé

Posté par othoharmonie le 3 janvier 2011

L’Oracle Gé 

Oracle Gé dans Oracle GE oracle10 L’oracle Gé se compose de 61 cartes. Les symboles utilisés dans ce jeu sont simples, assimilables par tous, aussi bien les néophytes que les professionnels. 
Les Oracles sont une catégorie autre que les tarots : ils se différencient par le nombre d’arcanes qui diffèrent. 

Petite leçon d’histoire

d’après le dictionnaire de la langue française, le mot « oracle » a pour signification : « Chez les peuples de l’Antiquité, spécialement chez les Grecs, sanctuaire où une divinité donnait des réponses à des questions posées. Cette réponse était soit donnée par l’intermédiaire des prêtres, soit donnée de manière directe par des rêves : les oracles les plus célèbres étaient ceux de Dodone, d’Epidaure et de Delphes » Le mot oracle a donc une signification dans la mythologie. Retranscris, l’Oracle est diversifié sous plusieurs formes comme l’Oracle de Belline, l’Oracle Gé, l’Oracle des Bambous… 
L’originalité de ce jeu, l’Oracle Gé se situe au niveau de quatre lames qui permettent de dater les prédictions.
 

Ce jeu est idéal pour les débutants mais convient parfaitement aux professionnels.
Cet Oracle a déjà conquis plus de 90 000 personnes.
Sa simplicité alliée à notre intuition nous permettra d’obtenir d’excellents résultats.

 

Il est édité par France-cartes depuis mai 1991.

Certaines cartes de l’Oracle ont un double sens d’interprétation selon qu’on les tire à l’endroit ou à l’envers elles portent les numéros : 8, 12, 15, 16, 18, 28, 35, 39, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51 et 52.  

Ces cartes portent un numéro en haut à droite et en bas à gauche, les cartes simples ont un seul numéro en haut à droite. 

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le Printemps porte le N° 3, l’Eté le 24, l’Hiver le 41 et l’Automne le 55.

- Une seule saison indique la saison à laquelle se produira l’événement prédit par les cartes voisines.
 

- Une ou plusieurs cartes entre 2 saisons : l’événement prédit par les cartes se produira donc entre les 2 saisons présentes.
 

- Par contre, si 2 saisons, quelles qu’elles soient, sont côte à côte, elles signifient dans ce cas une période, un laps de temps de 6 mois et n’ont plus leurs valeurs en tant que saisons. 


- Si 3 saisons sont ensemble : période de 9 mois.
 

- Si les 4 saisons sont ensemble : période d’1 an ou plus. 

En ce qui concerne les Cartes Personnages

N° 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51 et 52 ; l’endroit et l’envers de ces cartes ne changent en rien leur signification, mais préciseront la couleur de cheveux des personnes concernées.
 

- A l’endroit : personne brune ou châtain foncé.
 

- A l’envers : personne blonde, châtain clair ou rousse    

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—-> Vous trouverez à la fin de ces articles, le langage des cartes de l’Oracle Gé que j’ai détaillé tout simplement pour vous … 

Bonne chance !

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Oracle Gé – auteur

Posté par othoharmonie le 3 janvier 2011

L’Oracle Gé : l’auteur 

 

Oracle Gé - auteur dans Oracle GE oracle-ge

 

 

 

L’Oracle Gé ne prétend pas résoudre tous les problèmes, mais permet d’apprendre facilement à tirer les cartes… 

 

grand livre de l’Oracle Gé 

 

Voici le 1er livre explicatif de l’oracle Gé en ma possession, où l’auteur indique la valeur de chacune des 61 lames ainsi que six méthodes de tirage : astrologique, numérologique, du chiffre cosmique, des six, des seize et de la croix. Une des grandes originalités de cet oracle se situe au niveau de 4 cartes qui permettent de situer vos prédictions dans le temps. 

 

 

le_grand_livre_de_l_oracle_ge dans Oracle GE

 

 

 

 

L’Auteur  photo :   1928551353


 

Gérard Barbier est né à Lyon et part à Paris pour y faire des études d’arts appliqués et fut initié à la voyance par son professeur de dessin. 

C’est à l’âge de 16 ans qu’il prend conscience de ses dons et décide de les développer pendant 5 ans. A 21 ans il décide d’exploiter ces derniers en tant que professionnel. 


Après 3 années de pratique au travers d’une multitude de tarots et oracles en tout genre, il décide alors de créer son propre jeu qui sera commercialisé sous le nom: Oracle Gé


En créant ainsi cet oracle cela lui a permis de concilier ses dons artistiques et de voyance . 


Le jeu ayant un réel succès auprès du public, Gérard Barbier décide alors en 1995 de publier Le grand livre de l’Oracle Gé


En novembre 2001 sort un nouveau livre complémentaire sur l’Oracle Gé, apportant des interprétations plus détaillées de chaque lame ainsi que sept nouvelles méthodes de tirage. 


Mars 2002 sa seconde création: l’oracle ‘Le Manuscrit’ accompagné du livre explicatif est disponible dans le commerce. 

A ce jour, l’auteur prévoit également de publier un autre oracle ‘L’Oracle Itaë’. Ce dernier sera en tirage limité numéroté ( 3000 exemplaires ) et non disponible dans le commerce (la date de sortie n’est pas encore fixée). 


Octobre 2004, nouvel oracle intitulé: l’oracle des Questions, ce jeu sert à poser uniquement des questions dans différents domaines, le livre et le jeu ne font qu’un seul produit. Les graphismes sont très beaux, très différents des deux autres oracles déjà conçus. 


Vous pouvez joindre l’auteur sur le forum de ce site mais aussi par téléphone pour un rdv éventuel… 


Attention: Uniquement du lundi au vendredi de 14 h 00 à 18 h 00   - tél.  02 54 49 87 87 

  

 

Il existe également un forum :  http://www.oracle-ge.com/forum/index.php 

 

 

carte

 

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Oracle Gé – Vidéo

Posté par othoharmonie le 2 janvier 2011

L’Oracle Gé : Vidéo 

 

Oracle Gé - Vidéo dans Oracle GE oracle10

 

 

Un Oracle pas comme les autres 

La particularité de cet Oracle qui en fait presque sa singularité, se trouve spécialement au niveau de sa faculté à situer une interprétation divinatoire dans le temps et ce grâce à, plus précisément, quatre cartes de ses 61 lames qui composent le jeu de cartes. Les 4 lames représentant les 4 saisons  qui permettent de dater les prédictions avec précision (3 mois). 

En plus de ces 4 cartes spéciales, il en possède huit autres qui se démarquent en représentant des personnages (qui peuvent représenter des acteurs se raccrochant à la prédiction)  et qui apportent aux pratiquants des précisions supplémentaires pour permettre une interprétation affinée. Pour encore plus d’exactitude pour les pratiquants qui le désirent, les cartes ont un sens de lecture et en fonction de celui-ci lors du tirage, elles donnent des informations complémentaires pour la prédiction. 

 

ge2 dans Oracle GE

Facile et performant 

Tout en étant un support divinatoire puissant dans le domaine de la cartomancie  et qui sait charmer les professionnels, l’Oracle Gé sait également séduire les débutants par sa facilité et constitue un bon outil pour l’apprentissage. 


Différentes méthodes de tirage de l’Oracle peuvent être utilisées. En fonction de votre question l’une sera plus judicieuse que l’autre. Par exemple le tirage en croix avec 5 lames vous apportera des réponses aux questions touchant différents domaines de la vie en générale. Pour des besoins plus spécifiques vous devrez recourir plutôt à un tirage thématique. Il y en a d’autres : 

  • Le tirage à 21 lames 

  • Le tirage à 7 lames 

  • Le jeu du consultant 

  • Le jeu du prénom 

N’oubliez pas qu’un Oracle comme un Tarot ou tout autre accessoire dans le domaine de l’ésotérisme reste un support qui vous aide à une meilleure interprétation … vous restez l’interprète et devez faire confiance à votre intuition qui s’avèrera plus exacte avec l’expérience. 

 

VIDEO de méthode de tirage oracle Gé Image de prévisualisation YouTube

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