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Psychologie sociale et communication

Posté par othoharmonie le 26 février 2011

 

 

Titre 

 

Psychologie sociale et communication 

 

Auteur

 

 

BROMBERG   Marcel 

et TROGNON Alain         

 

 

Psychologie sociale et communication 

 

 

Psychologie sociale et communication

La psychologie sociale de la communication a eu pendant longtemps un statut particulier. Certains auteurs, par exemple, ont soutenu qu’on pouvait aborder ce champ en se détournant purement et simplement du support de la communication. Moins radicalement, on a cru, et on croit souvent encore, que le support de la communication est parfaitement transparent et que donc on atteint les faits psychosociaux presque directement sans devoir se préoccuper de savoir comment ils (se) passent. Néanmoins, dans les années soixante-dix, quelques-uns, dont Rodolphe Ghiglione pour qui cet ouvrage se veut un hommage, ont commencé à soutenir le projet d’une psychologie sociale de la communication qui ne soit pas réductrice mais qui l’aborde comme un phénomène complexe global. Ce projet s’est finalisé au cours des trente dernières années et il est devenu un paradigme solide, complet sur ses plans formel, expérimental et empirique, qui de plus propose maintenant des applications efficaces dans de nombreux domaines de la vie sociale. Le présent ouvrage présente la diversité du champ ainsi constitué ainsi que les connexions multiples et certaines de ses applications. Il offre une image relativement fidèle de la psychologie sociale de la communication et constitue aussi un instrument de travail utile à tous ceux, psychologues, linguistes, formateurs, travailleurs sociaux,  » communiquants « , etc., ayant affaire avec la communication. 

 

L’auteur : Psychologie sociale et communication dans A et B xxxx 

Alain TROGNON, Professeur de psychologie sociale Université Nancy 2. Marcel BROMBERG, Professeur de psychologie sociale Responsable de l’équipe interaction, communication et cognition du Laboratoire de psychologie sociale. Responsable du master psychologie sociale et ressources humaines Université Paris 8-Vincennes – Saint-Denis  

Site à consulter : Master recherche Psychologie des Processus Cognitifs 

 

 

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Thérèse de Lisieux

Posté par othoharmonie le 26 février 2011

 

 

Titre 

 

Thérèse de Lisieux, sa famille son Dieu, son message  

 

Auteur

 

 

Bernard Bro  

 

Thérèse de Lisieux, sa famille son Dieu, son message 

 

Thérèse de Lisieux. Sa famille, son dieu, son message

« La plus grande sainte des temps modernes », a dit le pape Pie X dès 1914, en parlant de sainte Thérèse de Lisieux. Pourquoi elle, qui ne fut qu’une petite bourgeoise de la fin du XIXe siècle ? Partout dans le monde, on célèbre le centenaire de sa mort, 1897-1997. 


D’Edith Piaf aux cinq derniers papes, elle a fasciné des millions d’esprits. Elle est sûrement la Française la plus vénérée sur terre. On retrouve son sourire, sa statue et ses roses de Ghardaïa à Nouméa, de Tokyo à Beyrouth, d’Oslo à Aurangabad, de la baie d’Hudson à l’Ile de la Réunion. Contemporaine de Rimbaud, Marx, Van Gogh, Dostoïevski, Freud, Nietzsche et Wagner, elle n’a jamais cessé et elle n’a pas fini de déplacer les foules et de surprendre sous des apparences banales. 


Elle égale ces génies et répond à sa manière aux mêmes questions qu’eux : pourquoi la liberté ? doit-on avoir peur de l’avenir, et si Dieu n’existait pas ? pourquoi souffrir si l’on aime et d’abord comment aimer ? On attend qu’elle soit déclarée « Docteur de l’Eglise ». Encore faut-il être aidé pour surmonter les obstacles qui nous séparent peut-être d’elle. Le père Bernard Bro, familier des écrits et de la prière de Thérèse de Lisieux depuis cinquante ans, initiateur de l’édition critique de son oeuvre depuis trente-cinq ans, fondateur avec Mgr Guy Gaucher et les pères Descouvemont et De Meester du groupe d’études des « thérésiens », propose une synthèse de la vie et du message, des intuitions et des paradoxes de celle qui, avec Pascal, est sans doute le plus grand génie religieux de l’histoire de France. 

 

L’auteur en quelques mots Thérèse de Lisieux dans A et B photobio-bernard-bro_178038_M

  

Bernard Bro, dominicain, docteur en philosophie, a été professeur aux Facultés pontificales du Saulchoir, prédicateur à Notre-Dame de Paris, responsable des émissions religieuses à France-Culture et couronné par l’Académie française pour l’ensemble de son oeuvre.

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L’interprétation des singes

Posté par othoharmonie le 26 février 2011

 

Titre 

 

L’interprétation des singes 

 

Auteur

 

 

Michel Braudeau  

 

 

L’interprétation des singes 

 

L'interprétation des singes

Dans ce roman, Braudeau a voulu tout mettre et les critiques n’ont pas manqué de le lui reprocher : à vouloir trop faire, on fait moins bien, ou on fait carrément mal, selon certains. Evidemment, dit comme ça, il n’y a pas moyen d’argumenter sauf que les grands livres sont souvent ceux où il y a à boire et à manger. Et on a trop souvent appelé de nos vœux un roman qui traiterait de tout à la fois pour faire la fine bouche. Avec ce déluge de thématiques aussi passionnantes les unes que les autres, Braudeau tire une intrigue qui est claire comme de l’eau de roche. Le roman s’ouvre sur une scène de chasse à l’homme dans un parc de Meudon. L’homme est un arabe pris en chasse par une bande de motards qui très vite sont soupçonnés d’entretenir des rapports avec un chirurgien esthétique de la ville, le professeur Sarastre : alimentation en chair fraîche pour l’industrie de la beauté. Un journaliste mène l’enquête et lève un trafic de corps humains, en même temps qu’il s’immisce dans un drame familial qui va vite dépasser en complexité et en perversité ce qu’on pouvait imaginer. 

« L’interprétation des singes » est un livre fleuve et un livre monstre, jailli de courants influents de la littérature XIXème, de Verne et de Villiers, de Barbey et de Stevenson, dans lequel l’auteur développe avec une ambition démesurée des thèmes aussi modernes et variés que la manipulation génétique, la barbarie de classes, l’économisme, les sectes, la sexualité sous toutes ses formes, l’âge adolescent, le tourisme sexuel, la critique du journalisme, le vieillissement, les vertiges de la science, la métaphysique ou encore la soif des grands espaces. 

L’auteur :   L'interprétation des singes dans A et B 

Michel Braudeau, né le 12 mai 1946 à Niort (Deux-Sèvres), est un romancier et critique littéraire. Il est depuis 1999 rédacteur en chef de La Nouvelle Revue française 

Sous l’influence de son grand-père, il découvre très tôt Proust, Montaigne, Stendhal, Gide et Rimbaud et avec eux « le bonheur de lire allongé sur un lit » quand les enfants de son âge soccupent de la « vraie vie »

 

Mai 68, Michel Braudeau est à Paris, il vit toute l’effervescence de l’insurrection et du vent nouveau qui se lève, mais se garde bien, par méfiance, d’adhérer à quelque parti que ce soit. Il sort diplômé de Sciences Politique et titulaire d’une maîtrise de linguistique générale. ll traduit le premier ouvrage de Noam Chomsky en France, Structures Syntaxiques (Seuil, 1969) ce qui lui permet d’entrer comme assistant aux Editions du Seuil. Il croise alors Lacan, Barthes ou Sollers et se lie d’amitié avec le génial peintre Robert Malaval. Il écoute Mozart ou Bartok et découvre le rock qui rempli son espace sonore encore disponible. David Bowie, les Rolling Stones ou Pink Floyd le marquent durablement : « ils sont tous mes frères d’armes, mes compagnons de larmes, mes saints protecteurs, tous au Paradis ». Le suicide, en 1980, de Robert Malaval marque pour lui la fin de cette « décénie de paillettes inoubliable »


Trois ans auparavant Michel Braudeau a publié son premier roman : Vaulascar (Seuil, 1977 ; 1991) et est entré comme journaliste à l’Express. En 1980, il publie son second roman, Passage de la main d’or (Seuil, 1980). 

 

En 1985, Michel Braudeau rejoint Le Monde, d’abord au service culture puis en tant que grand reporter ce qui abreuve sa soif de voyages : « cela reste à mes yeux le métier idéal, le plus vivant de tous ». Cette même année il publie Naissance d’une Passion (Seuil, 1985 ; 1995 – Prix Médicis). Il rejoint le comité de lecture de Gallimard en 1994, et en 1999 prend la direction de la NRF, la revue littéraire à laquelle il envoyait, adolescent, ses poèmes. La boucle est bouclée. 

 

 

 

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