Le CORPS et le SOI

Posté par othoharmonie le 26 mars 2011

Le CORPS et le SOI dans Channeling gif-etoile-57
 

 

Quand le blasphème est le nom de la vraie conquête 

 

Je veux que vous sachiez quelque chose – en réalité, je veux que vous sachiez tout. Saviez-vous que personne, sauf les grands maîtres de l’antiquité et ceux qui parlèrent ouvertement des enseignements ne dirent jamais que vous aussi étiez un Christ – c’est ce qui était par trop extravagant – ni que vous êtes Dieu. C’était un blasphème. C’est un blasphème à l’Ouest. C’est un blasphème à l’Est. C’est un blasphème au Nord. Et si vous avez véritablement l’intention de conquérir votre image, c’est un réel blasphème au Sud. Cela me plaît. Autant être original. 

 

En quoi cela pouvait-il donc me soucier? En quoi cela pouvait-il me soucier? Comme Yeshua ben Joseph: j’ai un message et je vais livrer ce message. Ceux qui essaient de le détruire le détruisent parce que le message met en cause le style de vie qu’ils ont pris l’habitude de mener. Et le message est le suivant: Vous êtes Dieu. Ne pensez-vous pas qu’il serait temps que vous agissiez en tant que tel ? 

 

Quel genre d’impact cela a-t-il sur votre vie? Eh bien, cela coûta la vie à certains maîtres de l’antiquité. 

 

Je vous le dis, il n’est pas un homme plus sublime et plus beau qu’un homme qui marche dans un état de grâce, qui est impeccable envers son être spirituel, qui s’aime lui-même non pas pour sa réflexion dans le miroir mais pour ce qui transparaît dans ses yeux, ce que disent ses lèvres, ce qu’il ressent dans les larmes qu’il verse. C’est cela un homme qui est beau, un homme qui n’a pas honte d’accepter cent ans plus tard tout ce qu’il a dit, un homme qui est honnête, un homme qui n’est pas un opportuniste, un homme qui use de son esprit de la manière la plus brillante qui soit et comprend que la chose la plus satisfaisante à la fin de la journée n’est pas une partie de jambes en l’air mais de savoir à quel degré vous avez été capable d’influencer votre vie depuis une perspective plus élevée. 

 

La noblesse et la beauté d’une femme noble et belle ne se juge pas d’après son visage et sa silhouette comme beaucoup d’entre vous le font. Ce n’est pas cela la vie. La biologie naturelle de votre vie vous a donné une période de temps agréable dans la vie où vous êtes la plus belle et où vous êtes bénie d’avoir l’opportunité de mettre au monde des enfants. Vous avez la silhouette, vous avez les seins, vous avez l’utérus, vous avez le visage. Cela ne durera qu’un moment. Leur seul but est de permettre la séduction et la copulation. 

 

La véritable beauté n’a rien à voir avec le corps. C’est l’originalité de l’Esprit, des yeux qui dansent et un esprit vif, un Esprit qui sait et comprend les défis de la vie, qui ne dépend pas d’un autre homme et ne passe pas sa vie à prendre un homme à son piège. Un Christ spirituel qui soit une femme est véritablement une chose magnifique à regarder, c’est admirable et plus rare que deux lunes dans le ciel. 

 

C’est une entité souveraine qui possède son propre pouvoir et qui tombe amoureuse d’elle-même. Lorsque vous vous aimez vous-même, vous rendez parfaites les pensées, vous rendez parfaits les actes, vous rendez parfaits les rêves en sorte que soudain le centre de votre noyau n’est pas quelqu’un d’autre mais vous-même. Le centre de la joie n’est pas quelqu’un d’autre mais vous-même et également ces choses que vous faites qui, le soir venu, vous procurent bonheur et allégresse car elles étaient au-delà de votre corps, elles dépassaient votre génétique – elles étaient au-delà de votre appartenance sexuelle – si bien que, la nuit venue, vous réalisez les choses remarquables que vous avez vécues durant cette journée, ces choses qui ont transcendé les relations dans votre vie et qui vous ont rendue plus sage, plus belle et plus spirituelle. 

 

Quand vous développez votre corps, vous affamez parfois l’esprit. Vous affamez l’esprit au profit du corps, de vos réactions chimiques, parce que, vous savez, vous êtes un sac rempli de substances chimiques. Vous l’affamez au profit d’un sentiment d’accomplissement et vous croyez que c’est cela vivre. Mais vous est-il jamais venu à l’esprit que vivre puisse relever d’un ordre plus élevé: un esprit si aiguisé et si puissant qu’il puisse manifester n’importe quoi? Cela exclut-il le corps? Non, car le corps devient le temple parfait d’un chef à la fois grand et magistral. 

 

Ceci signifie-t-il que vous n’aurez plus jamais de relations sexuelles? Non, mais cela signifie qu’elles seront plus chéries, plus réelles, plus dans le moment et pas artificielles. Cela signifie-t-il que vous allez rater des opportunités dans les affaires? Non, cela vous rendra seulement plus sage, plus avisé et plus intuitif. Vous aurez des années lumière d’avance dans le jeu. Cela signifie-t-il que vous avez raté ce qu’il y a à voir dans le monde? Lorsque vous aurez vu le monde seulement comme un microcosme d’ici et de là, vous réaliserez à quel point le monde est ignorant. Je veux donc que vous buviez tous la moitié d’un verre de vin et disiez à votre partenaire ce que vous avez appris jusqu’ici. Combien d’entre vous ont compris ce que je vous ai enseigné jusqu’à présent? 

 

gif-etoile-57 dans ChannelingLe plus grand mystère de tous : le soi 

 

Ainsi donc, mon peuple bien aimé, notre étude dans l’École Ancienne de Sagesse avait pour objet le plus grand mystère de tous : Qui sommes-nous? Et bien sûr, nous ne pouvons pas considérer qui nous sommes à moins de considérer ce que l’on appelle la complexité du système biologique que nous appelons « nous » et de comprendre comment il fonctionne. Et assurément, même si nous pouvons l’analyser dans sa totalité et le disséquer, le voir rire et pleurer dans la vie, le voir devenir morbide, froid et raide dans la mort, nous devons nous demander où demeure l’essence qui lui donne son animation et qui disparaît ensuite, nous laissant en présence de cendres durcies, pitoyable souvenir de l’animation de la vie. Qu’est-ce donc qui lui donnait son animation? 

 

Vous n’êtes pas votre corps ; si vous l’étiez, vous iriez dans la tombe. Et lorsque le croquemort aspire sous vos aisselles et entre vos jambes, lorsqu’il commence à pomper tout le sang de votre corps et que celui-ci coule dans une sorte d’égout sur ce qu’on appelle un drain froid en acier inoxydable, pouvez-vous réellement dire: « J’étais mon corps » ? Si vous l’étiez, cela voudrait dire que c’est vous qui allez dans le drain et que c’est vous qui retournez aux vers et que c’est vous qui êtes embaumé grâce à ces substances chimiques qui ne font que préserver une image. Mais qu’elle était donc, cette délicieuse entité dont le corps était la scène, avec tous ces acteurs qui jouaient dans la pièce? Pour qui le corps jouait-il cette pièce? Serait-ce ce qui a quitté le trône et les acteurs n’ont plus maintenant personne pour qui jouer. C’est cela ce qu’on appelle la mort biologique. 

 

Donc, avec ce que vous avez appris du corps, vous éduquant sur le fait qu’il n’y a aucune molécule, aucun peptide, aucune hormone dans le corps qui ne soient porteurs d’une intention, d’une information et que cette information est apportée à chacune des cellules du corps en sorte de permettre à la cellule de changer de costume, nous devons en revenir à ceci : avons-nous réellement été absorbé trop longtemps par notre rôle dans la pièce, avons-nous pris notre costume trop au sérieux, et avons-nous répété notre texte trop longtemps? Le spectacle, pour qui est-il donc? L’entité que vous vous êtes exercé à être. Et lorsque vous écoutez, qui écoute les voix ? Voilà qui vous devriez être, celui qui écoute, pas les voix, car c’est ce qui est éternel. C’est lui le metteur en scène de toute cette frasque. 

 

Un maître, qu’est-ce donc? Un maître est quelqu’un qui comprend cela et comprend que le corps est de la pensée coagulée, en vérité une intention coagulée. Et dans ses merveilleuses complexités, il est un tribut à qui nous avons été, pas à qui nous sommes. Qui nous sommes est de défier qui nous avons été, en sorte d’être qui nous sommes. Comprenez-vous? Combien d’entre vous comprennent? 

 

Le corps vit dans le passé. Qui nous sommes est le présent. Nous utilisons le passé et défions le passé pour devenir le présent. Nous utilisons une pensée coagulée dans le passé issue du présent à partir de laquelle nous appliquons notre intention. Et notre rôle est de faire en sorte que la molécule d’intention du passé – le biorythme, la biophysique, la bioscience, le bioectoplasme du passé soit notre volonté. Et la raison pour laquelle nous l’utilisons est que cela met sur la table expérience et préparation. Et ce dont il est dépourvu, nous lui donnerons sous forme de volonté. Où il manque de courage, nous encouragerons. Lorsque nous encourageons, nous changeons ces peptides moléculaires. 

 

N’allez pas croire que les acides aminés soient stables. Ils ne le sont pas. Et n’allez pas croire qu’il y ait une loi rudimentaire qui dise que tous les jours au réveil vous êtes rempli des mêmes substances chimiques; vous ne l’êtes pas. Chacune de ces molécules est un être changeant. Chacune d’entre elles peut être changée par l’attitude et l’intention. N’allez pas croire un instant que votre ADN soit statique. Il ne l’est pas. Il y a tout un tas d’ADN poubelle que vous n’avez jamais été et qui ont le potentiel de devenir ce qui vous a été donné par les Dieux, procréateurs de votre néocortex. 

 

N’allez pas croire un instant que votre corps soit statique. Il est aussi malléable que celui de la chenille qui devient un papillon. Avec une intention, toute molécule peut changer car les molécules sont au service de l’intention. Les cellules reçoivent l’information. N’allez pas croire un instant que l’expression de vos cellules soit statique et linéaire. Ce n’est pas le cas, à moins que vous ne soyez déjà consciemment mort; elles vont alors se conformer à l’horloge biologique de l’ADN dans l’expression de leur vie; l’environnement n’aura que peu d’effet sur elles car l’environnement n’est rien de plus que ce qu’on appelle le produit de l’Observateur et, dans ce cas, l’Observateur a simplement été émotion. Et tout le monde est d’accord là-dessus. C’est la raison du capitalisme. 

 

Ainsi, un maître n’a pas de visage : seuls les acteurs du bal costumé ont un visage. Le maître – le maître – n’est pas ici pour le plaisir, seuls le sont les acteurs de la pièce qui lisent leur script. Seuls les acteurs ont un script; le spectateur n’en a pas. Me suivez-vous? Pourquoi alors les voix parlent-elles dans votre tête? 

 

Pourquoi les représentants de la collectivité du corps convergent-ils dans la tête, se disputant pour obtenir l’attention? Parce que, devant le trône de Dieu, ils se disputent pour avoir la préséance, pour défendre équitablement la continuité de leurs sentiments. Et que se passe-t-il lorsque le Dieu est passif et le permet? Vous n’êtes alors que la continuité de vos émotions. Vous n’êtes rien de plus. 

 

Que se passe-t-il le jour où, exactement comme sur le Plan de la Béatitude, lorsque vous savez que vous passez en revue dans la lumière – vous le savez déjà – vous pouvez tout changer? Que se passe-t-il le jour où vous réalisez cela, le jour où vous cessez de jouer le rôle et devenez celui dont tous les rôles implorent la reconnaissance? C’est le Seigneur Dieu de notre Être. C’est ce que la science ne pourra jamais, jamais comprendre. La science ne peut qu’étudier les effets, les phénomènes, le hasard quantique et son expression; elle ne peut jamais découvrir la Source. La Source ne peut jamais expliquer, ne peut jamais être expliquée par la science; elle ne le sera jamais. Elle ne le sera Jamais. 

 

Quand allez-vous donc devenir l’Observateur? Dans l’École de Sagesse Ancienne, c’est ce que les étudiants viennent apprendre: apprendre à choisir. Et ils comprennent que le choix est un grand sacrifice car ils se retrouvent soudain en dehors de portée du feu des projecteurs en tant qu’acteurs de la pièce pour se retrouver dans le rôle du metteur en scène. Existe-t-il quelqu’un au monde qui veuille réellement devenir ce qui n’a pas de visage, ce qui n’est pas projeté sur l’écran des potentiels quantiques? Aucune image ne voudrait cela. 

 

Pourquoi les maîtres sont-ils donc si rares? Parce que rare est l’être qui se dit à lui-même: « Je dois être plus que mes sens. Je suis plus qu’un être qui mange, qui a des rapports sexuels, dort, se réveille, a des idylles et se soucie de son intégration dans la société. Il doit y avoir plus que cela. » Et comment puis-je savoir qu’il y a plus? Parce qu’il y a ce grand trou à l’intérieur de moi que nul montant d’argent, de nourriture ou de sexualité n’est jamais capable de combler. C’est un puits sans fond. C’est ce que les Chrétiens appellent le grand Satan. C’est un puits sans fond. Comment puis-je le remplir? En l’étant. 

 

Il y a une partie de nous qui sait que nous sommes nobles. Quand donc choisissez-vous cela? Quand vous cessez d’attiser ces molécules et de les considérer comme la raison de l’existence, réellement et véritablement, quand l’existence ne tourne pas autour de ce que vous allez manger, autour de qui vous allez séduire et qu’elle n’est pas non plus autour d’un autre être humain. Il s’agit de quelque chose de bien plus extraordinaire que n’importe quelle sensation tactile qui peut être étalonnée émotionnellement sous forme de rétroaction des molécules montant au cerveau et retournant au corps, remontant du corps au cerveau. Vous devez être plus que cela. 

 

L’École de Sagesse Ancienne a toujours donné naissance aux plus prestigieux maîtres de l’antiquité, ceux qui sont prêts à apprendre à être l’Observateur sans l’effet narcotique des émotions – et toute émotion est un narcotique – à être cela, à faire un choix réellement clair. Combien de fois ai-je été un homme ou une femme, et combien de fois ai-je eu une expérience sexuelle au cours de dix millions et demi d’années? Combien de corps ai-je vus – combien de seins, combien de vagins, combien de pénis, combien de muscles, combien de cheveux, combien de visages ai-je vus – en dix millions et demi d’années? Pendant combien de temps puis-je dupliquer cela? Quand je dis que je veux réellement voir la Voie Lactée, est-ce réellement ce que je veux? Je ne ressens pas de bouffée d’émotion à propos de la Voie Lactée mais j’en ressens assurément une à propos de mon érection. 

 

Le jour où vous déciderez d’être l’Observateur dont les rêves peuvent atteindre la Voie Lactée, le jour où c’est ce que vous voulez plus qu’une érection, ce jour est celui où vous ferez l’expérience de la Voie Lactée. C’est le jour où vous voyagerez avec les Dieux qui sont réellement tout à fait adultes et mûrs. L’école a pour objet de faire comprendre que les molécules d’émotion œuvrent main dans la main avec le progrès de l’âme et son intention de faire connaître l’inconnu sur ce plan, de conquérir ce qui agite l’âme, l’agitation d’une émotion. Regardez cela. Il se peut que vous portiez aujourd’hui ce que vous n’avez jamais pu dépasser il y a six millions d’années. Peut-être le portez-vous aujourd’hui dans vos émotions.

 

 Comment dépasser cela? En décidant d’être ce qui ne ressent rien chimiquement et en commençant à empiéter sur la sphère où l’on sait ce que c’est. Et arrive de pair avec cela ce qu’on appelle sa propre dynamique de sentiment, si vous voulez, qui n’a rien à voir avec la chimie. Dieu dans son état naturel d’être – Nous qui sommes tombés depuis Point Zéro sommes les êtres les plus enjoués qui soient. Nous sommes les êtres les plus beaux qui soient. Nous sommes sans limites. Nous sommes sans peur. Nous sommes sans manque. Nous sommes sans sentiment de malheur. Nous sommes les voyageurs du temps. Nous avons tout vu et tout fait. Et quand nous sommes intégralement nous-mêmes, il n’y a personne, pas même le corps du Christ, qui puisse magnifier notre éclat. Aucune molécule, aucun site récepteur, en vérité rien ne peut nous donner ce que nous sommes déjà naturellement car Dieu est amour et, en vérité, « Dieu est amour » est la joie et la colle qui donne consistance à toutes choses. La joie est dans la colle, non pas dans ce qu’elle maintient ensemble. Il s’agit simplement de choix. 

 

Et au cours de ce voyage, nous pouvons être assurés d’une chose: peu importe ce qui vient à notre rencontre dans cette vie, nous sommes dignes de cette opportunité et, en regard de ce que nous voulons, nous sommes équipés – non pas infirmes émotionnellement mais équipés – grâce à la volonté, sceptre de la décision pour savoir ce que nous voulons. Si nous fondons toute décision simplement sur nos émotions, nous sommes voués à l’échec et ne porterons jamais la couronne de notre Dieu, de notre Christ. Nous ne porterons jamais le nom audacieux de voyageur du temps; nous serons simplement un autre être humain qui n’est jamais – Les héros: l’histoire ne se souvient jamais que des héros. 

 

Et qui sont les héros? Simplement dit, ce sont ceux qui furent les rebelles qui se levèrent contre le système. C’est la raison pour laquelle on se souvient d’eux. Personne ne se souvient de tous les bénis-oui-oui. Qu’en pensez-vous? Personne. Personne ne se souviendra jamais de vous pour avoir été du statu quo. Les seuls dont on se souvienne jamais sont ceux qui marchèrent en dehors des sentiers battus. Ils marchèrent à contre-pas de toute l’humanité. Eux seuls méritent qu’on se souvienne d’eux. Cela ne devrait-il pas vous montrer quelque chose? 

 

Les voyageurs du temps sont ceux qui ont fait leur marque dans l’histoire. Ce ne furent jamais des hommes qui dirent « oui » à tout ou des femmes qui dirent « non » à tout. Ils le savaient et ils l’ont fait, laissant tout en l’état car ils ne le firent pas dans le but d’être acceptés par quiconque. Ils le firent car ils se sentaient poussés à le faire car ils étaient des voyageurs du temps. Ils ne le firent pas pour l’émotion. S’ils l’avaient fait pour l’émotion, ils ne l’auraient jamais fait. Ils auraient été intimidés. Comprenez-vous cela? Et ils n’auraient jamais fait les choix qu’ils firent car cela leur aurait coûté leur mariage, leur liaison amoureuse. Cela leur aurait coûté ce qu’on appelle leur réputation. Cela leur aurait coûté leur or. Cela leur aurait coûté leurs privilèges dans la société. Même si tous ces facteurs étaient en cause, ils prirent cependant la décision. Ils mirent de côté tout ce qui avait rapport aux émotions et prirent la décision. De tels êtres sont les voyageurs du temps. C’est ce qu’est l’Observateur. 

 

Ramtha 

 

par
RAMTHA 

Extraits de Cet élixir nommé amour, p. 171-182
Editions AdA, 2004 

 

 

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