Récit de mon O.B.E

Posté par othoharmonie le 4 mars 2011

Je choisi aujourd’hui de vous raconter mon expérience d’OBE

(Expérience hors corps).

En voici donc le récit : Cette sortie a eu lieu dans les années 1997  

                        

meteo soleil soleil 26 gif

                                                     

Très jeune déjà, j’ai toujours été attirée par l’occultisme, je me servais très bien du pendule, j’aimais bien tirer les cartes… Mais quelque chose me manquait dans tout ça et je ne savais pas quoi, je me sentais différente mais je ne savais pas pourquoi… Mes sujets de conversation n’étaient pas les mêmes que ceux de mes camarades, je n’avais soif que de connaissance d’au-delà que je ne connais pas d’ailleurs…

Un jour, j’ai rencontré un écrivain nommé Jacques RUBINSTEIN dans un bar, il se faisait appeler le “grand sorcier”. A force de discussions avec lui, il m’a conseillé sur un bouquin. Il faut dire qu’avant, j’étais plutôt classée parmi les “intellectuels” et pour moi, le travail de recherche intérieure a été très difficile car j’avais toujours tendance à intellectualiser les choses…

meteo soleil soleil 26 gif

Donc, un bouquin en amenant un autre, suite à leur lecture, tout un univers intérieur s’est forgé puis ouvert et, un beau jour, EUREKA, j’ai mis le doigt dedans et ça a été l’engrenage. J’allais de VERITES en VERITES pour moi, au travers des lectures ; ça ne résonnait plus pareil à l’intérieur, c’est comme si mon esprit s’élevait dans d’autres dimensions que je n’avais pas encore perçues.

Puis, à force d’élever mon esprit, il ne m’a plus appartenu en totalité et c’est ainsi que je me suis vue projetée au seuil d’une immense lumière, sans le demander, bien évidemment sans souffrir non plus, sans être malade, seulement remplie de plein de plusieurs VERITES pour moi. Mon esprit m’a échappé pour se rendre au bord d’un tunnel entouré d’une Lumière d’une immense intensité, si vive,  là où j’ai vu comme une profondeur de néant tout blanc avec des parois d’une blancheur éclatante, c’est là que j’ai été comme happée par une spirale lumineuse très agréable, chaude, comme un bain de bien-être, une sensation d’amour envahissant tout mon être, par le haut, par le bas, de partout à la fois.

Oui, en fait, c’était comme un bain de lumière et d’amour…. c’est pas facile à expliquer avec des mots … pas assez de vocabulaire pour exprimer les ressentis … Le bien-être est indescriptible tant on se sent en pleine confiance, ne s’appartenant plus à soi-même. 

Puis je me suis sentie comme entraînée, mais ce n’était pas mon corps bien sûr, car je n’en avais plus de sensation, c’était comme une forme-énergie… une conscience… qui m’a montré ce qu’était le néant, la source, enfin une espèce de vastitude ; il y a tant de mots et à la fois pas assez pour décrire.. Combien de temps je suis restée ainsi je ne saurais le dire, je n’avais pas d’espace ni de notion de temps, tout du moins je n’en n’avais pas conscience. Mais la difficulté, c’est que je ne voulais plus en revenir tellement j’apprenais des choses dans la lumière. J’entendais une voix lointaine me disant d’y retourner, mais je n’en avais pas envie, c’était si agréable.

Jusqu’à l’instant où j’ai réellement compris, lorsque cette voix asexuée a raisonné dans tout mon ETRE et a dit : “je t’aime, je serai toujours là, retourne, ils ont besoin de toi”. On ne peut pas résister à cela vous pouvez me croire, cette voix, c’est réellement comme si elle était vous-même, comme si s’était vous qui parliez mais par tous les pores, les organes, des vibrations puissantes et surtout irrésistibles. Bien évidemment, cela m’a fait souffrir de devoir revenir sur terre, j’étais prise entre le haut et le bas pendant un certain temps…

Je me suis donc péniblement ré-ancrée à la TERRE à force de le vouloir, mais non sans difficultés et pourtant, avec un but cette fois-ci, celui de bien faire ; il a fallu que je réapprenne tout, comme un petit enfant, j’ai dû réapprendre à marcher, à parler, à manger et surtout faire attention où se dirigeaient mes pensées pour bien réapprendre dans l’instant présent et ne pas laisser échapper mon esprit une nouvelle fois, mais bien rester dans l’équilibre.En tous cas, j’ai compris une chose primordiale dans ces moments-là, c’est que l’on est à la fois seul et à la fois accompagné, donc pas besoin de se faire de souci, mais vivre pleinement et le plus harmonieusement possible sur la terre avec tout ce qui nous entoure, en sachant intégrer toutes les vertus. Cette lumière fait partie de moi dorénavant, c’est elle qui vient à moi et non le contraire, en pleine conscience. Par elle, j’ai appris d’où je venais et pourquoi j’étais là sur Terre et aussi où j’irai ensuite…

meteo soleil soleil 26 gif

J’ai donc appris par la LUMIERE que j’étais une vieille âme qui a voulu s’incarner sur TERRE (mère) afin de faire des expériences. La lumière m’a appris et montré que chacun pouvait en faire de même à partir du moment où l’être humain cherche d’où il vient avec foi et conviction dans un travail de tous les jours pour devenir bon. J’ai découvert par la LUMIERE, beaucoup de mes visages de vies par expériences. Je sais dorénavant que je peux être : noires – blanches – hommes – femmes – enfant mort-né plusieurs fois, que j’ai vécu des fois très vieux ou vieille et d’autres fois pas… Je sais également que je peux aussi être mendiant – corsaire – moine tibétain – voyante … Et je sais aussi comment mourir : par l’épée – par la noyade – par un sabot de cheval – de vieillesse – mort-né ou jeune enfant…. j’ai appris les déboires, les bontés comme les méchancetés… 

Dorénavant, c’est instinctivement que je suis instruite des choses de l’au-delà, celles dont j’ai besoin pour ici sur Terre, il me suffit de me mettre en méditation lorsqu’une grande question me taraude. Comprendre ce que je dois apprendre et savoir qu’à la fois je suis seule à faire mes choix, mais que malgré tout je ne suis pas tout à fait seule. Que toutes réponses sont déjà inscrites en moi, car il n’y a jamais de problème sans la solution.

Plus jamais je ne pourrai redevenir comme avant cette étape de ma vie. Même si parfois j’ai envie de rentrer chez moi (repartir d’où je suis issue)… je ne peux aller plus loin, comme si j’étais attachée à mon corps par un lien invisible. Maintenant je sais ce qui me retient, c’est l’attachement à la Terre, à mes frères et mes sœurs de la Terre. Je sais que je dois être ici, maintenant.                           

meteo soleil soleil 26 gif

     Malgré tout, après de longues années, je cherche encore, car tout ceci m’a laissé encore bien longtemps devant une espèce de grand néant ! Faut-il remplir le néant (??) OUI, nous sommes ici pour CREER, faire que le néant se remplisse de par nos créations, en sachant que nous sommes illimités.

Publié dans Expériences | Pas de Commentaire »

Anges et Démons

Posté par othoharmonie le 3 mars 2011

 

 

Titre 

 

Anges et démons 

 

Auteur

 

 

Dan Brown 

 

Anges et Démons

 

 

 

 

Les faits
Le plus grand pôle de recherche scientifique au monde, le CERN (Centre européen pour la recherche nucléaire), a récemment réussi à produire les premiers atomes d’antimatière.

L’antimatière est identique à la matière, si ce n’est qu’elle se compose de particules aux charges électriques inversées. L’antimatière est la plus puissante source énergétique connue. Contrairement à la production d’énergie nucléaire par fission, dont l’efficience se borne à 1,5 %, elle transforme intégralement sa masse en énergie. En outre, elle ne dégage ni pollution ni radiations. Il y a cependant un problème :

L’antimatière est extrêmement instable. Elle s’annihile en énergie pure au contact de tout ce qui est… même l’air. Un seul gramme d’antimatière recèle autant d’énergie qu’une bombe nucléaire de 20 kilotonnes, la puissance de celle qui frappa Hiroshima.

Jusqu’à ces dernières années, on n’avait réussi à produire que quelques infimes quantités d’antimatière (quelques atomes à la fois). Mais le « décélérateur d’antiprotons » récemment mis au point par le CERN ouvre de formidables perspectives : sa capacité de production d’antimatière est considérablement renforcée.

Se pose désormais une angoissante question : cette substance hautement volatile sauvera-t-elle le monde, ou sera-t-elle utilisée pour créer l’arme la plus destructrice de l’histoire ?

 

 

Note de l’auteur
Tous les tombeaux, sites souterrains, édifices architecturaux et oeuvres d’art romains auxquels se réfère cet ouvrage existent bel et bien. On peut encore les admirer aujourd’hui. Quant à la Confrérie des Illuminati, elle a aussi existé.

 

 Présentation de l’éditeur 

ILLUMINATI… Robert Langdon n’en croit pas ses yeux. Pourtant l’inscription s’étalait bien devant lui, marquée au fer rouge sur le cadavre de Leonardo Vetra, éminent chercheur du Conseil Européen pour la Recherche Nucléaire en Suisse. Pour le célèbre symbologue, ce crime est signé : la société secrète tant redoutée est de retour après quatre siècles de silence. Son but ? Anéantir l’Église Catholique et son symbole, le Vatican… –Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.

 

L’auteur          Anges et Démons dans A et B dan_brown 

 

 

Dan Brown est un auteur américain de romans policiers et ésotériques né le 22 juin 1964 à Exeter dans le New Hampshire qui a vendu près de deux cents millions d’exemplaires. Il a suscité une grande polémique avec la publication de sa trilogie Robert Langdon : Anges et démons, le Da Vinci Code et Le Symbole perdu

 

Il est l’ainé d’une famille de trois enfants.

 

Sa mère, Constance (Connie) était musicienne professionnelle et jouait de l’orgue à l’église. Son père, Richard était un grand professeur de mathématiques ainsi que l’auteur de manuels. Il enseigna à la Phillips Exeter Academy de 1968 jusqu’à sa retraite en 1997.

 

Phillips Exeter Academy est un pensionnat élitiste qui oblige les nouveaux professeurs à vivre sur le campus pendant quelques années. Pour cette raison, les Brown ont grandi dans cette école. L’environnement social d’Exeter était principalement épiscopalien. Dan Brown chantait dans la chorale de l’église, assistait au catéchisme et passait les étés dans un camp religieux. Son parcours scolaire a commencé dans une école publique de la ville d’Exeter jusqu’en troisième. C’est à cette période qu’il intégra l’école Phillips Exeter comme le firent plus tard sa sœur et son frère.

barre-de-separation dans A et B

si vous aussi vous voulez vous procurer ce livre, vous le trouverez ICI : http://www.amazon.fr/Anges-D%C3%A9mons-Dan-Brown/dp/2709625792

 

 

 

 

 

 

e8t9idf9

Publié dans A et B | Pas de Commentaire »

La Mousson

Posté par othoharmonie le 3 mars 2011

 

 

Titre 

 

LA MOUSSON 

 

Auteur

 

 

Louis BROMFIELD  

 

La mousson

 

 

 

Publié pour la première fois en 1937, «La Mousson» – qui porte en anglais le titre, infiniment plus poétique, de «The Rain Came» – est probablement, avec «Mrs Parkington», le roman le plus connu et aussi le plus lu de Louis Bromfield. Il a d’ailleurs donné lieu à une adaptation cinématographique mémorable avec la sculpturale Lana Turner dans le rôle de lady Esketh, Tom Ewell – le voisin de Marilyn dans « Sept Ans de Réflexion » – dans celui de Tom Ransome et un Richard Burton somme toute assez convainquant dans celui du Major Safti.
   
   L’argument de base est le suivant : dans une petite principauté indienne, l’Etat de Ranchipur, que gouvernent de façon éclairée le Vieux Maharadjah et son épouse, l’impressionnante Maharani, la saison Sèche touche à sa fin et tout le monde attend désespérément le début de la saison des Pluies. Lorsque celles-ci arrivent, elles sont si violentes qu’elles provoquent la crue du fleuve et la rupture d’un barrage édifié par un escroc. La ville se retrouve alors inondée et le choléra se déclare. A la fin de ce roman-fleuve – six-cent quatre-vingt-quinze pages en édition de Poche – tout rentrera dans l’ordre non sans que certains des personnages campés par Bromfield n’aient trouvé dans la catastrophe une mort navrante ou héroïque.
   
« La Mousson », c’est aussi un roman sur la renaissance morale d’individus qui, jusque là, s’étaient comportés soit en parfait égoïstes, soit en fripouilles absolues. Certes, les personnages y sont parfois crayonnés de façon un peu trop manichéenne, voire caricaturale mais, pour une raison ou pour une autre, ils n’en tiennent pas moins bien la route même si l’ensemble a vieilli. On peut regretter également les longueurs inévitables à ce genre de romans. Toutefois, si vous n’avez rien à vous mettre sous la dent et si vous aimez les analyses minutieuses des petites communautés, que celles-ci soient indiennes, américaines, européennes ou martiennes, allez-y de confiance. «La Mousson» n’est pas ce que l’on nomme de «la grande littérature» mais c’est un livre qui a le mérite d’avoir été écrit par quelqu’un de sincère et, tout compte fait, son ingénuité présente quelque chose de rafraîchissant

 

L’auteur :          La Mousson dans A et B 220px-Bromfield.louis 

Né Louis Brumfield à Mansfield, il étudia d’abord l’agronomie à l’université Cornell de 1914 à 1916, puis se tourna vers des études de journalisme à l’université Columbia. Il y fut membre de la sodalité Phi Delta Theta, mais avec la Première Guerre mondiale, il ne devait pas s’écouler plus d’une année avant qu’il ne parte en Europe comme brancardier volontaire en France dans le cadre de l’American Field Service. Décoré de la croix de Guerre et de la Légion d’honneur, il rentra en 1919 à New York et trouva un emploi de reporter. Son premier roman, La Colline aux cyprès, publié en 1924, lui valut une célébrité immédiate. En 1927, il remportait le prix Pulitzer du roman pour Précoce Automne. Par la suite, tous ses romans (une trentaine au total) furent des best-sellers, et plusieurs d’entre eux furent même portés à l’écran comme La Mousson et Mrs. Parkington.

Après une décennie passée de nouveau en France, Bromfield retourna dans son Ohio natal en 1938 pour y mettre en application les principes de l’agriculture biologique, avec une alimentation du bétail à base de fourrage naturel, dans sa ferme de Malabar Farm, près de Lucas. D’auteur de romans à succès, Bromfield se fit alors essayiste, mais il trouva un nouveau public grâce à sa réputation d’écrivain du terroir et de défenseur du « retour à la terre ». Encore de nos jours, des milliers d’Américains continuent de visiter Malabar Farm State Park, la ferme du célèbre écrivain, qui continue de promouvoir par l’exemple les valeurs et les méthodes agronomiques de Bromfield. L’une des principales attractions du parc est la forêt Doris Duke, dédiée à la célèbre philanthrope Doris Duke, qui par ses donations permit à la fondation Bromfield de maintenir vivant cet héritage.

Bromfield était proche de plusieurs célébrités de l’entre-deux-guerres, comme l’architecte F. F. Schnitzer ; il prêta sa ferme pour le mariage d’Humphrey Bogart et de Lauren Bacall.

Louis Bromfield avait épousé en 1921 la fille d’un magistrat new-yorkais fort en vue, Mary Appleton Wood († 1952), qui lui donna trois filles : Ann, Hope et Ellen.

Dans les années 1980, Louis Bromfield fut admis à titre posthume à l’Ohio Agricultural Hall of Fame et en décembre 1996, pour le centenaire de sa naissance, le département d’Agriculture de l’Ohio a fait faire un buste du célèbre écrivain pour son nouveau siège social de Reynoldsburg.

Les idées visionnaires de Bromfield en matière d’agriculture continuent de faire école à travers le monde. La fille de l’écrivain américain, Ellen Bromfield-Geld, a inauguré Malabar Brazil, une fondation destinée à propager les idéaux de la culture biologique. La Malabar 2000 Foundation envisage la création d’un centre de formation à Malabar Farm pour prolonger les essais tentés naguère dans le comté de Richland par Louis Bromfield.

 (27 décembre 1896 à Mansfield † 18 mars 1956 à Columbus) est un écrivain américain. Le prix Pulitzer lui a été décerné en 1927 pour son troisième roman, Précoce automne.

 

 

d1f2852e dans A et B

si vous aussi vous voulez vous procurer ce livre, vous le trouverez ICI : http://www.amazon.fr/mousson-Louis-Bromfield/dp/B0000DT95E 

 

f35fd270

Publié dans A et B | Pas de Commentaire »

Pontailler-sur-Saône (21)

Posté par othoharmonie le 1 mars 2011

Pontailler-sur-Saône 

Pontailler-sur-Saône (21) dans Ma Bourgogne En détails 229-m

Pontailler-sur-Saône est une commune française, chef lieu de canton, située dans le département de la Côte-d’Or et la région Bourgogne.

Géographie 

Situé sur la Saône (dont le cours a changé au début du siècle), Pontailler possède un port ancien où s’arrêtaient les péniches, et aujourd’hui un port de plaisance pour le tourisme fluvial qui reste une ressource économique pour les villages ( Maxilly-sur-Saône, Heuilley-sur-Saône etc …) du bord de Saône. Pontailler se situe à 32 km de Dijon .

peniche.1193400451 dans Ma Bourgogne En détails

Histoire   

Sur le quartier actuel du Mont Ardoux à Pontailler, dominant légèrement la plaine de la Saône, existait un important village gaulois (probablement Séquane avec présence lingonne), plusieurs siècles avant J.C., comme en témoignent les très nombreux objets archéologiques qu’on y a découverts. 

Après la conquête romaine, pendant la longue période de paix des premier et second siècles après J.C., ce village « migra » vers le bord de la Saône et prit le nom de Pontiliacus. Il se situait à l’emplacement d’un gué (dû à l’existence d’îles et de plusieurs bras de la rivière), puis d’un pont sur l’importante route Langres (Andemadunum) – Mirebeau  (Mirebellum) – Pontailler (Pontiliacus) – Besançon (Vesontio). 

Il y eut ensuite au Moyen Âge un château fort important 

En 1918, Pontailler et la commune limitrophe de Vonges ont été touchés par la catastrophe de l’explosion accidentelle à la Poudrerie, une fabrique célèbre d’explosifs (poudre noire). 

La période de la Seconde Guerre mondiale a été étudiée, en ce qui concerne Pontailler et son canton par l’instituteur Gilles Hennequin dans ses divers livres qui recueillent les témoignages des concernés. 

2318_location_gite_chambre_1

« Le pays vert et bleu » site :  http://www.canalous-plaisance.fr/Pontailler-sur-Saone.html 

Les CANALOUS…. 

Pontailler se situe aux confluents de la Saône, du canal de la Marne à la Saône, de l’Albane, de la Bèze, de la Vingeanne et de l’Ognon, au pied du Mont Ardoux, offrant ainsi de beaux points de vue et constituant un paradis pour les pêcheurs. 


 
L’Ognon est un endroit idéal pour une petite virée en canoë. Les touristes se retrouvent ici, ville étape entre Bourgogne et Franche Comté où l’on peut encore goûter aux joies de la baignade en rivière. 

L’eau est de bonne qualité et la plage est surveillée durant l’été. Véritable délice pour les amoureux de la nature, on apprécie le calme des lieux tout en adoptant l’Art de Vivre du Val de Saône.. 

A VOIR : maison de la pêche, maison des arts, la ferme dans la forêt (dégustation), le village fortifié de Pesmes, la forêt du Châlonnais (2ème lieu de chasse en France, vestiges gaulois, résurgences), le Mont Ardoux, les marchés locaux avec vente de produits du terroir. 

A DEGUSTER : pôchouse (bouillabaisse de poisson d’eau douce), jambon persillé, moutarde de Dijon

Navigation sur la Saône : 

La Saône sillonne les coteaux des vignobles réputés de la côte chalonnaise, du Mâconnais et du Beaujolais, cheminant paresseusement à travers les villes fortifiées. Vrai paradis pour les pêcheurs, sa faible pente et son débit régulier en font une voie d’eau calme et facile. 

Canal de la Marne à la Saône

En pleine nature, ce canal permet à chacun de profiter d’un calme absolu, de se détendre en se laissant doucement aller au fil de l’eau. Ouvrez l’œil et vous apercevrez une multitude d’oiseaux, tels que le héron cendré ou encore la mésange bleue. Dans sa partie méridionale, le canal est bordé de magnifiques châteaux (Talmay, Fontaine – Française). 

7wca7wt7

Publié dans Ma Bourgogne En détails | Pas de Commentaire »

123
 

katoueluv |
jeanneundertheworld |
darkangelusmag |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | debbyka
| nouvelles du front ... en a...
| Les ateliers d'Anissina Tur...