Interview 1 de Kishori AIRD
Posté par othoharmonie le 3 juin 2011
Interview avec KISHORI AIRD
Le nouveau modèle de l’ADN
pour le magazine espagnol REVISTA ATHANOR, mars 2011
- Que savons nous grâce aux dernières découvertes scientifiques sur l’ADN ?
Nous avons la possibilité de nous transformer et d’utiliser l’énergie photonique de l’activité accrue du soleil et de ses tempêtes pour réveiller en nous l’activation des brins d’ADN inactifs, c’est-à-dire dix de plus que maintenant et un treizième qui lui permet d’être au point zéro.
Selon le livre les messagers de l’aube de Barbara Marciniak, les codes pour l’ADN à douze hélices étaient déjà là mais avaient été désactivés. Au début de mes recherches je me suis basée sur cette hypothèse comme porte d’entrée. Nos biologistes qui n’ont pu jusqu’à présent que partiellement déchiffrer les fonctions de la double hélice de l’ADN et de notre matériel génétique dans son ensemble l’ont qualifié après avoir défini le génome humain ( 3% de l’ADN) d’ADN ( 97%) superflu ou ADN poubelle et dernièrement ADN non codé.
Cette ADN non codé est un réservoir d’information extraordinaire qui nous influence et nous informe mais auquel nous contribuons également, tout comme le champ morphogénique autour de nous. Certains scientifiques croient qu’il referme l’histoire de l’humanité.
Notre ADN possède une sorte de conscience, elle réagit à l’intention, communique par réseau et peut se modifier selon les émotions. Nous pouvons donc, par le pouvoir de l’intention au point zéro reprogrammer notre ADN.
- Que signifie et qu’implique le fait de passer à un modèle binaire de l’ADN (2 hélices) à un modèle basé sur 13 hélices ?
Cela signifie que nous allons pouvoir enfin comprendre la loi de la complémentarité des opposés et se libérer des restrictions de la dualité. C’est l’accès au point zéro.
- Que signifie le fait que le modèle à 13 hélices est circulaire ?
La troisième hélice n’est pas circulaire elle est convergente. C’est l’hélice qui ouvre la conscience sur le nouveau paradigme du point zéro. Le point zéro est une spirale convergente formée de deux côtés dont l’un est positif et l’autre négatif. Chaque fois que nous l’alimentons par une sensation positive ou négative, l’espace convergent à l’intérieur du vortex s’amplifie. Son centre devient de plus en plus accessible et nous conduit directement à l’intérieur vers l’état d’amour et l’Essence qui permet à l’ombre de coexister avec la lumière.
Le point zéro, qui permet la coexistence de l’ombre et de la lumière, est identique à l’espace dynamique convergent à l’intérieur de la double hélice d’ADN. Chacune des torsades représente des forces opposées négatives et positives. Cet enchaînement se fait dans un sens déterminé, opposé à celui de l’autre, formant une spirale qui s’enroule autour d’un axe d’énergie. En périphérie, l’énergie se dissipe, mais lorsqu’elle converge vers le centre, comme dans le cas des tornades ou des vortex, elle s’amplifie. La force négative et la force positive se déplacent constamment le long de cet axe de rotation du point zéro. C’est un enroulement énergétique tendant vers l’infini et l’éternel, puisqu’il est sans naissance et sans fin. Il est la manifestation de l’amour non polarisé dans le bien et le mal, et résulte de la coexistence de ces deux courants.
- Quelles sont les répercussions du fait que les gènes influent les uns sur les autres et fonctionnent en réseau ?
Après la théorie des supercordes, qui redéfinit la nature de la matière en fonction de son taux vibratoire, voilà que la génétique modifie à son tour son paradigme de base. En effet, cinquante ans après sa découverte, l’ADN nous apparaît maintenant comme un réseau de réactions dynamiques séquentielles, animées et influencées par son environnement. L’article « Sur la piste du code secret de l’ADN », paru dans la revue Science et Vie de décembre 2004, remet en question tous nos a priori sur le sujet.
L’auteur déclare que « le cadre théorique qui permettait jusqu’ici de peser le vivant ne tient plus. » Dans le modèle standard, chaque molécule d’ADN correspond à une molécule d’ARN spécifique qui produit une protéine spécifique. Or, les scientifiques ont découvert que le modèle actuel ressemblerait plutôt à celui de la physique quantique. Une même molécule d’ARN peut produire différentes protéines; les parties de l’ADN dit “superflu” qui ne comportent pas de gènes ou ne sont pas encore codées, et qu’on appelle aussi « ADN débarras », joueraient un rôle dans l’équation. Mais le plus intéressant, c’est que les gènes peuvent s’influencer mutuellement et fonctionnent en réseau. Dans ce nouveau modèle biologique, l’origine de la réponse génétique résultant d’un signal donné par l’environnement cellulaire n’est pas à sens unique.
Qu’est-ce qui régit ce processus ? Après quinze ans de recherches sur le génome humain, la science commence à concevoir que notre code génétique n’est pas une structure figée. En fait, la dynamique du vivant est interrelationnelle.
La matière n’est pas figée et les découvertes en biologie continuent de corroborer ce nouveau schéma. « Ce pourrait bien-être un principe de désordre qui régit le déploiement de la vie, entre la microstructure ordonnée des gènes sur l’ADN et la macrostructure ordonnée des organismes vivants. Et ce ne sont pas sur quelques milliers de gènes mais sur les milliards de milliards d’interactions moléculaire » Sur la piste du code secret de l’ADN », Science et vie, décembre 2004,
Ce qui me fascine le plus dans ce nouveau schéma, c’est le concept du réseau et de l’interaction des composantes au sein de ce réseau. Plus j’évolue, plus je perçois la réalité comme un réseau de mailles qui peuvent interagir, ou non, en fonction d’un taux vibratoire précis. À l’instar de la physique quantique qui, grâce à la loi des supercordes, a démontré que la matière ne se définit plus en fonction de ses composantes chimiques mais plutôt en fonction de la fréquence et de l’intensité du taux vibratoire de ses éléments, je perçois l’existence en fonction du taux vibratoire (de la fréquence) d’un réseau de probabilités, qui s’entrecroisent et interagissent entre elles. Les fréquences des uns et des autres se repoussent et s’attirent, et nous vibrons simultanément dans un réseau qui se modifie continuellement au gré des fréquences émises.
Au cours de mes quelques trente années de pratique spirituelle, j’ai senti un changement de fréquence s’opérer sur la planète. J’ai la conviction que l’heure est enfin venue de transformer les vieux paradigmes sur lesquels se fondent nos programmes génétiques humains. Je suis persuadée que nous vivons à une époque où nous devons nous réapproprier l’héritage collectif qui réside au coeur de chacune des cellules de notre corps, et tout indique que les circonstances planétaires actuelles sont propices à cela. Notre changement de fréquence actuel se traduit par un changement d’amplitude vibratoire.
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