• Accueil
  • > Archives pour le Samedi 16 juillet 2011

Le tambour amérindien

Posté par othoharmonie le 16 juillet 2011

 

Le tambour sert à l’ancrage de l’être. GUERIR PAR LE SON 

 

Le tambour amérindien dans Guérir en douceur fleche-gif-029Voir ce site : http://www.energieharmonique.com/son_tambour.htm 

 

Pour les Amérindiens, chaque tambour est relié aux cinq éléments du plus lourd au plus léger… Air – terre – feu – eau – éther et aux quatre directions sacrées : Est – Ouest – Nord – Sud. 

 

Le tambour par sa rondeur représente l’unité du passé, du présent et du futur. 

Symbolique du tambour : principe féminin par sa rondeur comme la terre-mère qui est ensemencée par la mailloche principe masculin du grand Esprit. 

 

Diane et Reynald se servent du tambour amérindien lors de séance d’harmonisation pour aider la personne à demeurer en contact de plus en plus permanent avec la terre et ses cinq éléments. Ceci permet à cette personne d’intégrer de plus en plus sa propre énergie. 

 

326946 dans Guérir en douceur

  

Allons plus loin

 

 Le battement régulier et monotone du tambour agit comme un vecteur d’ondes permettant d’entrer dans un état de conscience altérée afin de se connecter à notre intérieur de façon intime et personnelle. Il s’agit d’un état qui permet un processus de relaxation profonde. Cet état nous permet d’entrer en contact avec les ondes thêta qui sont considérées comme des ponts entre le conscient et l’inconscient constituant des chemins qui mènent à une profonde compréhension de notre être et à une certaine régénération physique. 

 

De plus, ce battement aurait des effets sur le système nerveux, modifiant l’activité de « plusieurs fonctions motrices et sensorielles du cerveau ». Des recherches plus poussées permettent de croire que ce phénomène proviendrait du fait que les nombreuses fréquences dont se compose un seul battement de tambour peuvent avoir un effet stimulant sur certains circuits neurologiques du cerveau. Il est important de mentionner que cet organe peut recevoir un grand nombre de stimuli de ce genre « car les récepteurs sensoriels de l’oreille sont moins fragiles aux sons de basse fréquence qu’à ceux de haute fréquence. Ils peuvent donc par conséquent supporter de plus grandes amplitudes de son avant qu’un inconfort ne se fasse sentir. » 

 

Le battement du tambour évoque les rythmes de la vie. À chaque fois que vous entendez le battement du tambour, le son émit est directement relié au battement du cœur de la terre, la mère Gaïa. Notre planète est en train de connaître une élévation progressive de sa fréquence vibratoire fondamentale que les physiciens et les géophysiciens connaissent sous le nom de Résonance de Schumann. 

 

L’activité électromagnétique des gaz de l’atmosphère terrestre dans la zone située entre la surface de la Terre et la dernière couche de l’ionosphère, sur une épaisseur d’environ 55 kilomètres, produit une résonance découverte par le physicien allemand W.O. Schumann (entre 1952 et 1957) qui lui donna son nom. 

 

C’est cette résonance électromagnétique qui permet de calculer la fréquence ou taux vibratoire moyen de notre planète. La résonance de Schumann est considérée par les géophysiciens comme le « battement de coeur de la Terre » ! Pendant des milliers d’années elle était de 7,8 hertz (7,8 cycles par seconde) mais depuis 1987 cette fréquence vibratoire s’est accélérée lentement puis, à partir de 1997, de plus en plus vite. Aujourd’hui, elle atteint la valeur record de 12,9 hertz. Lorsque la résonance de Schumann atteindre 13 hertz, la terre « dit-on » basculera dans la 4e dimension. 

 

Cette élévation de la fréquence vibratoire de la terre s’exprime également au niveau temporel. Autrement dit, plus la vibratoire s’élève, plus le temps s’accélère. Aujourd’hui, « on dit », qu’une journée de 24 heures correspond à 16 heures de temps réel. Le temps s’accélère et va continuer de s’accélérer de plus en plus sans que nous en ayons conscience vraiment. Certaines personnes, toutefois, sentent que tout va de plus en plus vite. Elles ont la nette impression que les journées sont plus courtes et qu’elles ont de moins en moins de temps dans leur journée. 

 

Vivre au MOMENT PRÉSENT est une excellente façon d’allonger nos journées !!! Nous sommes tous reliés au Tout. La vie est partout et dans tout. 

 

0

Publié dans Guérir en douceur | 1 Commentaire »

La nouvelle Lémurie

Posté par othoharmonie le 16 juillet 2011

 

La nouvelle Lémurie  dans Channeling SeaSkyT Le monde intra-terrestre

Il y a des millions d’années, la vie naquit sur notre planète. De temps à autre, des civilisations extraterrestres vinrent y établir des colonies, et celle-ci perdurèrent des millions d’années encore, certaines pendant plus longtemps que d’autres. II y a environ 4 500 000 ans av. J.-C., l’archange Michael et son entourage escortèrent jusqu’à notre planète les premières âmes destinées à former la race Lémurienne, avec la bénédiction du Dieu père/Mère. En ce temps-là, partout sur terre fleurissaient la perfection, l’abondance et la beauté à un degré tel que l’on peut difficilement l’imaginer aujourd’hui.  

 

Les Lémuriens appartenaient alors à une vibration de la cinquième dimension. Ils étaient doués de la faculté d’abaisser à leur guise leur vibration afin de faire l’expérience physiologique de degrés de densité plus grossiers ; ils pouvaient ensuite reprendre leur corps lumineux quand ils le souhaitaient. Graduellement, il y a eu une dégradation de la vibration et de la conscience de cette race prodigieuse. Le peuple Lémurien a d’abord déchu jusqu’à la quatrième dimension et s’est par la suite dégradé complètement jusqu’à atteindre la densité de la troisième dimension que nous connaissons aujourd’hui. Le phénomène se produisit sur une période de 1 000 000 ans.  

 

Les territoires formant la Lémurie, aussi dite « Mu » comprenaient des masses aujourd’hui immergées sous le Pacifique, ainsi que l’île d’Hawaï, l’île de Pâques, les îles Fiji, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, et des terres dans l’Océan Indien près de Madagascar. La côte orientale de Mu s’étendait jusqu’à la Californie et la Colombie-Britannique, au Canada.  

 

Des guerres incessantes entraînèrent une cruelle dévastation à Mu et en Atlantide. Ils prirent éventuellement conscience de la futilité de tels comportements. En définitive, l’Atlantide et la Lémurie furent victimes de leurs propres agressions. Quand les Lémuriens comprirent que leur patrie était vouée à la perdition, ils adressèrent une requête à Shamballa mineure, la tête du réseau Agartha, afin d’obtenir l’autorisation d’ériger une ville sous le Mont-Shasta dans le but d’y préserver leur culture et leurs annales.  

 

dossagar20b dans Channeling  Le Mont-Shasta est le plus haut sommet volcanique aux États-Unis. Il est situé au nord de la Californie près de la frontière de l’Oregon.  

 

Pour obtenir cette autorisation et se joindre au réseau souterrain d’Agartha, il leur fallut prouver qu’ils avaient tiré leurs leçons de la guerre et de l’agression. Ils durent témoigner de leur repentir face aux maintes autres agences, telle la Confédération galactique des planètes. Et pour être admis en tant que membres de ladite Confédération, ils durent établir qu’ils étaient désormais un peuple pacifique. Lorsqu’on leur accorda la permission d’ériger leur cité, il était clair que cette région survivrait aux cataclysmes. Une vaste grotte en forme de dôme existait déjà au sein du Mont-Shasta. Les Lémuriens construisirent la ville que l’on nomme TELOS, qui signifie, communication avec l’Esprit.  

 

À l’origine cette ville fut édifiée pour contenir un maximum, de 200 000 habitants. La conflagration thermonucléaire qui a anéanti le continent Mu et 300 millions d’habitants, survint plus tôt que prévu, et c’est pourquoi, seulement 25 000 personnes l’atteignirent à temps et furent sauvées. II y a plus de 12 000 ans, sans avertissement, le continent Mu fut englouti en une nuit. Il s’enfonça si doucement dans la mer que la plupart des gens n’eurent pas conscience de ce qui se passait ; presque tous dormaient. Plusieurs membres de l’ordre religieux, conscients du cataclysme à venir, se sont réunis par petits groupes, en des points stratégiques un peu partout ; ils prièrent et chantèrent tout en périssant.  

 

Auld Lang Syne, reçu par l’intermédiaire des Irlandais, fut le dernier chant jamais entendu dans la contrée de la Lémurie. Ce n’est qu’un au revoir, mes frères… À partir du moment où la Lémurie fut engloutie, l’Atlantide se mit à trembler, des fragments de sa masse terrestre se mirent à se détacher, et ce, jusqu’au stade ultime lorsque ce continent fut lui-même submergé.  

 

En raison de la perte de deux immenses masses géographiques et des répercussions thermonucléaires, les cités de la planète qui n’ont pas sombré furent pulvérisées ou anéanties par des tremblements de terre au d’immenses raz-de-marée qui avançaient jusqu’à 1 600 kilomètres (environ l’équivalent de la moitié des États-Unis) à l’intérieur des terres. La terre régressa. Il lui fallut plusieurs millénaires pour retrouver son équilibre et redevenir viable. Les survivants connurent des conditions de vie impitoyables.  

 

À l’origine, les humains sur terre mesuraient environ quatre mètres. Au moment de l’anéantissement de la Lémurie, ses habitants ne mesuraient plus que 2,50 m ; de nos jours encore, ils gardent cette taille. Puis, la grandeur des habitants de cette planète diminua encore, puisque la plupart d’entre nous ici ont moins de deux mètres. À mesure que notre civilisation évoluera, nous dépasserons de nouveau cette dimension. Même à l’heure actuelle, les gens sur terre grandissent beaucoup plus qu’il y a même un siècle. 

 

Message d’Adama de Telos – issu du Livre Canalisé par Aurélia Louise Jones

la-vie-sous-terre

Publié dans Channeling | Pas de Commentaire »

 

katoueluv |
jeanneundertheworld |
darkangelusmag |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | debbyka
| nouvelles du front ... en a...
| Les ateliers d'Anissina Tur...