Kinésiologie
Posté par othoharmonie le 17 juillet 2011
Tiré du livre de Kishori Aird :
Le mot kinésiologie est dérivé du grec et signifie « étude du mouvement ». La kinésiologie traditionnelle étudie le mouvement des muscles et la résistance musculaire en relation avec les dynamiques internes du corps.
Le test kinésiologique tel qu’utilisé en kinésiologie de reprogrammation de l’ADN est un test de résistance musculaire qui permet d’interpréter, d’entendre la réponse (le message) du corps. C’est pourquoi l’on peut dire qu’avec la kinésiologie de reprogrammation, on pratique une thérapie réellement démocratique, car ce n’est plus le thérapeute, en position dominante, qui décide ce qu’il faut faire, mais bien l’intelligence innée du corps lui-même qui dicte la marche à suivre grâce à un système de questions et réponses.
Dans un test kinésiologique, l’objet n’est pas de mesure la force, mais d’observer les changements dans la résistance des muscles. Ainsi, dans le classique test du sucre, on mesure d’abord la résistance naturelle des muscles du bras à une pression appliquée vers le bas par le thérapeute, puis on pose une enveloppe de sucre sur le sujet et on mesure de nouveau la résistance musculaire du même bras. Si le sucre affecte négativement la personne (ce qui est le cas neuf fois sur dix), la résistance diminue de façon notable et le bras baisse (ou tombe) lorsque soumis à la même pression vers le bas. Dans le cas contraire, elle reste identique. Il ne s’agit pas de fatigue, puisque si on refait le test après avoir enlevé le sucre, la résistance revient à la normale.
Il existe plus d’une méthode de test kinésiologique et nous en présentons une, ici. Nous vous recommandons d’utiliser la méthode car c’est la plus pratique, puisqu’elle n’utilise qu’une main. Il se peut cependant que vous ayez besoin de la pratiquer pendant un moment avant d’obtenir des réponses valables.
Principe de base
Quelle que soit la méthode, le principe de base reste le même :
1. On pose une question entraînant une réponse de type « oui ou non » et on mesure la résistance.
2. Si la résistance diminue, cela est interprété comme un OUI, tandis qu’on interprète comme un NON le fait que la résistance reste identique ou augmente.
Voici donc cette méthode.
Les deux doigts. Dans cette méthode, pour effectuer le test de résistance musculaire, on place le majeur sur l’index. Le majeur exerce une pression vers le bas, comme pour faire fléchir l’index, pendant que l’index résiste.
1. Poser une question
2. Exercer une pression du majeur sur l’index
3. Si l’index fléchit (ce qui est généralement ressenti au niveau de la jointure la plus proche de la paume), on a obtenu un OUI. Si au contraire il a résisté sans fléchir, on a obtenu un NON.
Si vous avez du mal à obtenir des réponses conséquentes, il vous faudra peut-être « apprendre » (dire, commander…) à vos doigts qu’une relâche de la tension signifie un OUI et qu’à l’inverse, le maintien de la tension (ou son augmentation) sera compris comme un non.
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.