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Notre Terre future

Posté par othoharmonie le 10 mars 2012

Suivre les Lois universelles :

 

  1. La loi de l’attraction: qui se ressemble s’assemble.
  2. La loi de l’intention délibérée: ce dont on a l’intention et qui est résolument maintenu dans la pensée, la parole et l’action, se manifeste.
  3. La loi du laisser-être: permettre la manifestation de ce dont on a l’intention en se plaçant en mode observation pour être alerte et conscient(e), tout en continuant de maintenir la concentration avec souplesse quant au résultat à venir. (permettre à la pensée de penser!)
  4. La loi de l’équilibre: appliquer les trois premières lois et focaliser sur le moment présent.

 

Golden wikiglobe.pngCes quatre lois naturelles sont à la base de l’univers et ce sont elles qui permettent la création continue du monde manifesté que nous commençons à peine à connaître. Rien de ce qui existe n’est créé en dehors de ces lois, que ce soit consciemment ou inconsciemment. Et un acte de création qui suit ces lois parfaitement amène en manifestation parfaite la pensée créatrice qui en est à l’origine.

 

Conclusion

 L’attraction, l’intention et le laisser-être menant à l’équilibre (AILE) par l’application dans l’expérience. Un doctorat en lois universelles conduit définitivement à l’ascension vers des dimensions plus hautes. Bienvenue dans la cordée des ascensionnistes !

 Concentrez-vous, formulez votre intention et libérez-la accompagnée d’une (de) sensation(s) pour faire l’expérience de l’harmonie et de l’équilibre. Voilà, c’est facile et tout aussi possible de garder ces lois merveilleuses présentes dans votre champ conscient.

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Alimentation en Ayurvéda…

Posté par othoharmonie le 10 mars 2012



Notre santé et notre bien-être dépendent largement de la qualité de notre alimentation. 
L’Ayurvéda accorde par conséquent une grande importance aux habitudes alimentaires, autant pour prévenir que pour soigner les maladies. La fraîcheur, la pureté et la provenance des aliments sont des éléments considérés par l’Ayurvéda. L’alimentation ayurvédique recherche non seulement l’équilibre des saveurs mais elle ajuste également la diète aux besoins de chaque individu.

Qu’est-ce que l’alimentation ayurvédique ?

Alimentation en Ayurvéda... dans Guérir en douceur 220px-GodofayurvedaUne diète ayurvédique est une alimentation adaptée à la constitution et à la situation particulière de chaque personne. Il s’agit de modifier les quantités, les textures et les saveurs de la nourriture en fonction des besoins particuliers des personnes, lesquels varient au fil du temps.

Pour adapter les repas, l’Ayurvéda utilise le concept des trois doshas, qui servent à exprimer l’état de santé et à comprendre comment diverses substances influencent cet état. Les doshas sont des principes inhérents à l’existence des organismes vivants : stabilité, mouvement et transformation.

Vata est le dosha relatif aux rythmes de l’organisme, aux mouvements de toutes sortes ainsi qu’à la transmission de l’information. Pitta fait référence à la combustion et aux transformations chimiques, incluant l’action des enzymes et des hormones. Kapha est un principe de préservation qui traite de la stabilité et de la cohésion de la matière organique.

Ainsi, l’alimentation ayurvédique évalue la condition d’un individu et l’exprime en terme de doshas, ce qui permet ensuite de déterminer quelles saveurs ou quel type de repas seront les plus appropriés pour conserver ou rétablir l’équilibre et la santé de l’organisme.

Pour mieux comprendre le rôle des doshas et savoir comment adapter concrètement l’alimentation en fonction de ceux-ci, lisez attentivement les articles sur chacun d’entre eux : vata, pitta, et kapha.

Quelques principes universels

L’Ayurvéda propose aussi quelques principes d’ordre général qui s’appliquent à l’alimentation de tous et chacun. Ces préceptes sont souvent de l’ordre du bon sens mais il convient de se rappeler leur importance de temps à autre.

- La nourriture doit plaire à nos sens et nous satisfaire
- Maintenir une bonne digestion nous assure de bien assimiler la nourriture
- Consommer autant que possible des aliments frais et biologiques
- Ingérer des quantités modérées permet d’optimiser notre énergie vitale
- Éviter de manger le repas du soir trop tard pour ne pas dormir le ventre plein
- Observer un jeûne d’environ 14h entre le souper et le déjeûner du lendemain
- Adapter la texture, les portions, les saveurs et les propriétés de la nourriture
aux cycles naturels : moment de la journée, saison, climat et autres

Entretenir le feu digestif



220px-Pepper091 dans Guérir en douceurLorsque la nourriture que nous ingérons est bien assimilée et complètement métabolisée, nous prévenons la formation de ce que l’Ayurvéda appelle ama : les toxines et les substances inutilisées dans l’organisme. L’accumulation d’ama étant une des causes premières du développement des maladies selon l’Ayurvéda, la capacité digestive est donc un facteur clé pour conserver la santé.

Pour stimuler l’appétit, la sécrétion de fluides digestifs et réchauffer l’estomac, l’Ayurvéda recommande de précéder, d’accompagner ou de faire suivre les repas de substances apéritives. Pour ce faire, les aliments, épices et herbes aromatiques dont la saveur est amère et/ou piquante sont employées, sous forme d’infusion, avec la nourriture ou en supplément, par exemple.

Les substances amères, telles les laitues amères, le fenugrec, la lime ou la camomille, stimulent les sécrétions digestives et les fonctions du foie tout en rafraîchissant l’organisme en général. Les substances piquantes, gingembre, poivres, thym, cannelle et autres, réchauffent davantage l’organisme que les amères.

Selon la constitution et l’état de santé d’une personne, on modifie la nature des substances digestives et apéritives. La saveur amère est préférable pour une condition pitta et la saveur piquante convient mieux pour kapha. Vata nécessite une combinaison d’amer et de piquant, mettant l’emphase sur les épices dispersant les gaz (carminatives) telles le cumin et le fenouil.

Une vision pragmatique

225px-Cataract_in_human_eyeL’Ayurvéda ne prêche aucune philosophie alimentaire en particulier, se contentant d’énoncer les propriétés des aliments, ce qui permet d’expliquer pourquoi ils sont plus ou moins compatibles avec certaines personnes et dans certaines circonstances.

Par exemple, tout en soulignant les vertus nourrissantes et rafraîchissantes du lait de vache, l’Ayurvéda explique qu’en excès le lait déséquilibre le dosha kapha, lequel est associé au système immunitaire. Cela explique peut-être pourquoi certaines personnes développent des intolérances aux protéines laitières alors que d’autres n’ont aucun problème avec cet aliment.

Tout en soulignant l’affinité plus grande entre les aliments végétariens et les pratiques méditatives et spirituelles, l’Ayurvéda propose des remèdes à base de viande lorsque l’organisme est en déséquilibre vata et qu’il a besoin d’être rapidement et efficacement nourrit.

Une alimentation à votre mesure

225px-Sesame_oilL’Ayurvéda propose donc une diète sur mesure pour chaque personne, en fonction des relations qui existent  entre notre état de santé, l’équilibre des doshas et les propriétés perceptibles des aliments.

En observant nos sensations, nous sommes les mieux placés pour déterminer ce qui est bon pour nous  et ce que nous devons éviter. Aucun aliment n’est à proscrire en soi, il s’agit de comprendre et de ressentir  les effets des substances sur notre santé et de doser leur consommation judicieusement.

Texte de Jonathan Léger Raymond : http://projetenvie.com/a-propos

 

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La Communication Animale

Posté par othoharmonie le 10 mars 2012


 Pourquoi communiquer avec les animaux ?

Représentants des classes diverses.Pour les mêmes raisons que nous communiquons avec d’autres humains ! Ces êtres qui sont à un autre état d’évolution que nous, ont certainement beaucoup plus à nous apprendre que nous pouvons l’imaginer et, sont tout à fait disposés à nous aider, même si la plupart du temps, nous les considérons comme des inférieurs…

Qui n’a pas entendu parler de la thérapie animale, où des animaux aident des humains à guérir des dysfonctionnements comportementaux, des stress, des traumatismes récents ou anciens… Pour beaucoup d’entre-nous, un animal « domestique » est un compagnon… mais en fait, il est beaucoup plus que cela…

Ils ont également besoins de nous pour avancer dans leur cheminement. C’est pour cela que la communication animale devient très importante, car elle nous permet, par le dialogue devenu possible, de nous aider mutuellement, les animaux et nous, les humains, dans notre évolution.

Que peut-on attendre d’une communication animale ?

Une communication animale peut s’avérer très concrète : nombreux sont les exemples où l’animal à clairement indiqué, lors l’une communication, le mal dont il souffre : allergies, douleurs, pourquoi il urine partout… ce qui a pu être vérifié par la suite par un thérapeute soignant l’animal. Les animaux, tels des éponges, tentent d’absorber nos maux, notre mal être, car ils font tout leur possible pour que nous soyons toujours sans douleurs physique ou mentale. Ils peuvent même aller jusqu’à mourir pour nous aider. Aussi, lorsque vous constatez un problème chez un animal qui vous est proche, posez-vous la question de savoir si le problème n’est pas le vôtre, qu’il essaie de vous soustraire. Dans ce cas, dites-lui que vous allez faire ce qu’il faut pour régler votre problème et, vous verrez qu’il ira très vite beaucoup mieux.

Mais il peut aussi nous apporter l’explication, le conseil dont nous avons besoin pour notre cheminement ou tout simplement pour le déroulement harmonieux de notre quotidien. Nous devrions considérer les animaux plus comme des partenaires de vie que comme des esclaves de nos caprices ou de la nourriture en développement et notre évolution réciproque en bénéficierait.

Quel est le rôle du communicateur animal ?

Il est important d’être bien conscient que la personne qui communique avec l’animal, n’est qu’un interprète, un intermédiaire… un médium entre l’animal et le destinataire final de la communication et, que son rôle consiste seulement à retransmettre le plus fidèlement possible les éléments de la communication que l’animal lui transmet.

Donc, le communicateur animal est en fait un facilitateur, entre l’animal et celui qui désire communiquer avec lui ou, qui est destinataire d’un message de l’animal. Le rôle du communicateur est très délicat, car il se doit de capter et de retransmettre l’intégralité du message de l’animal, sans le déformer ou tout simplement, sans le “colorer” involontairement par sa propre sensibilité, sa propre évolution, ses propres croyances.

Pour assurer une bonne communication, il doit s’efforcer de rester neutre tout au long de la communication et, en se faisant confiance, laisser des émotions et états d’âme de côté.

Jean-Paul Thouny – Thérapeute énergéticien – Courriel : jean-paul@thouny fr - www.jean-paul.thouny.fr

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