Magie de la nature 6
Posté par othoharmonie le 11 mars 2012
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Posté par othoharmonie le 11 mars 2012
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Posté par othoharmonie le 11 mars 2012
La loi d’affinité permet d’attirer du cosmos les qualités souhaitées. – Synopsis n° 1, partie IV, IV, p. 243 – Omraam Mikhaël Aïvanhov
Tous les initiés qui ont étudié les relations entre l’être humain et le cosmos ont découvert qu’il existe entre eux une correspondance absolue.
Comme chaque vibration tend à trouver une autre vibration semblable pour se fusionner avec elle, toutes les créatures, par les vibrations et les longueurs d’ondes qui sont les leurs, entrent en rapport avec d’autres êtres, d’autres entités, d’autres forces dans l’univers qui possèdent les mêmes longueurs d’ondes, les mêmes vibrations.
Par ses pensées, ses sentiments et ses actes, l’homme entre donc en affinité avec des régions, des entités qui possèdent les mêmes longueurs d’ondes, et il les attire. Mais comme la plupart ignorent ces vérités, ils font n’importe quoi et ensuite ils sont étonnés de se trouver dans des situations qu’ils n’ont pas voulues.
Je vous l’ai souvent dit : nous sommes comme des poissons dans l’océan cosmique. (…) Chaque poisson attire à lui les éléments qui correspondent à sa nature, afin de former son corps… Et les humains, qui sont eux aussi plongés dans l’océan de la vie, reçoivent telles et telles caractéristiques physiques et psychiques selon les éléments qu’ils ont attirés pour former leurs différents corps : physique, astral, mental, etc.
L’univers est un immense réservoir que le Créateur a rempli d’éléments de toutes sortes, et c’est à l’homme de décider ce qu’il veut puiser dans ce réservoir.
Vous pouvez vous procurer les livres d’Omraam aux Editions PROSVETA
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Posté par othoharmonie le 11 mars 2012
Un saut quantique dans l’évolution de la conscience
Question : J’ai eu quelques aperçus de cet état de libération du mental et du temps que vous décrivez. Mais le passé et le futur ont une poigne tellement forte que je ne réussis à les tenir éloignés de moi que pendant très peu de temps.
Eckhart Tolle : Le mode de conscience lié au temporel est profondément ancré dans la psyché humaine. Par contre, ce que nous faisons ici fait partie d’une profonde transformation qui est en train d’advenir dans le conscient collectif de la planète et au-delà. La conscience s’éveille et sort du rêve de la matière, de la forme et de la division. C’est la fin du temps. Nous sommes en train de détruire les schèmes mentaux qui dominent la vie humaine depuis une éternité. Des schèmes de pensée qui ont créé une souffrance inimaginable à grande échelle. Je n’emploierais pas le terme d’enfer, mais plutôt celui d’inconscience ou de folie, car cela nous est plus utile.
Question : Cet éclatement du vieux mode de conscience, ou plutôt d’inconscience, est-ce quelque chose que nous devons faire ou quelque chose qui arrivera de toute façon ? Ce que je me demande en somme, c’est si ce changement est inévitable.
Eckhart Tolle : C’est une question de perspective. Il s’agit en réalité du même et unique processus. Étant donné que vous ne faites qu’un avec la totalité de la conscience, il vous est impossible de dissocier les deux. Mais il n’existe aucune garantie absolue que les humains y arriveront. Ce processus n’est pas automatique ni inévitable. Votre collaboration en fait intégralement et essentiellement partie. Peu importe l’angle sous lequel vous considérez la chose, il s’agit d’un saut quantique dans l’évolution de la conscience et de notre seule chance de survie en tant que race.
Eckhart Tolle/Le pouvoir du moment présent et son guide/Chapitre trois : Plonger dans le moment présent/Un saut quantique dans l’évolution de la conscience
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Posté par othoharmonie le 11 mars 2012
Le nom de la commune apparaît en 1024. Prisciacus (qui signifie domaine de Priscus à l’époque romaine) Précy sous Thil, commune de 900 habitants, se situe aux portes du Parc Naturel Régional du Morvan et dans le Pays de l’Auxois. Elle jouit d’une nature très riche et propice aux activités de loisirs de plein air (golf, randonnées, balade à cheval et en attelage..) Un magnifique point de vue (la butte de Thil à où l’on aperçoit les premiers contreforts du Morvan face aux collines de l’auxois.
La « Sentinelle de l’Auxois » le château de Thil, situé sur la colline de Thil, est considéré comme un des plus anciens châteaux forts de France. Il dresse sa tour de défense « l’Espionne de l’Auxois » (25 m de haut) face à une collégiale du XIVè siècle. De part et d’autre de l’allée de tilleuls qui relie les deux monuments, on aperçoit les premiers contreforts du Morvan face aux collines.
Le premier personnage connu de cette famille est Miles de Thil qui fonde en 1007 le prieuré de Précy-sous-Thil. Dès le XIe siècle, Thil est une vicomté au même titre que Semur-en-Auxois et Villaines. Il gardera ce statut jusqu’en 1310, date à laquelle il est érigé en comté relevant du duché de Bourgogne. Aux alentours de 1340, Jean de Thil est nommé connétable héréditaire du duché de Bourgogne. Alors que le prestige de la famille s’accroît, une collégiale est fondée sur l’extrémité nord de l’éperon, à une centaine de mètres du château. Encore conservée aujourd’hui, elle représente un bâtiment imposant à chevet plat, voûté en berceau pour la nef et en ogives pour le transept, avec un clocher à l’ouest de l’édifice. Enfin, en 1596, Thil devient une baronnie.
La visite de la collégiale est possible sur rendez-vous les week-ends et jours fériés de 14 h à 18 h 30 de juillet à septembre, du mardi au dimanche. Entrée payante. Renseignements et réservations possibles au 06 08 23 24 19.
Un marché existe à Précy qui se joue tous les 3ème mardis matins de chaque mois… sauf janvier/février + marché nocturne en juillet et en août. Concert à la collégiale en juillet et août également.
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Posté par othoharmonie le 10 mars 2012
Suivre les Lois universelles :
Ces quatre lois naturelles sont à la base de l’univers et ce sont elles qui permettent la création continue du monde manifesté que nous commençons à peine à connaître. Rien de ce qui existe n’est créé en dehors de ces lois, que ce soit consciemment ou inconsciemment. Et un acte de création qui suit ces lois parfaitement amène en manifestation parfaite la pensée créatrice qui en est à l’origine.
Conclusion
L’attraction, l’intention et le laisser-être menant à l’équilibre (AILE) par l’application dans l’expérience. Un doctorat en lois universelles conduit définitivement à l’ascension vers des dimensions plus hautes. Bienvenue dans la cordée des ascensionnistes !
Concentrez-vous, formulez votre intention et libérez-la accompagnée d’une (de) sensation(s) pour faire l’expérience de l’harmonie et de l’équilibre. Voilà, c’est facile et tout aussi possible de garder ces lois merveilleuses présentes dans votre champ conscient.
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Posté par othoharmonie le 10 mars 2012
Notre santé et notre bien-être dépendent largement de la qualité de notre alimentation.
L’Ayurvéda accorde par conséquent une grande importance aux habitudes alimentaires, autant pour prévenir que pour soigner les maladies. La fraîcheur, la pureté et la provenance des aliments sont des éléments considérés par l’Ayurvéda. L’alimentation ayurvédique recherche non seulement l’équilibre des saveurs mais elle ajuste également la diète aux besoins de chaque individu.
Qu’est-ce que l’alimentation ayurvédique ?
Une diète ayurvédique est une alimentation adaptée à la constitution et à la situation particulière de chaque personne. Il s’agit de modifier les quantités, les textures et les saveurs de la nourriture en fonction des besoins particuliers des personnes, lesquels varient au fil du temps.
Pour adapter les repas, l’Ayurvéda utilise le concept des trois doshas, qui servent à exprimer l’état de santé et à comprendre comment diverses substances influencent cet état. Les doshas sont des principes inhérents à l’existence des organismes vivants : stabilité, mouvement et transformation.
Vata est le dosha relatif aux rythmes de l’organisme, aux mouvements de toutes sortes ainsi qu’à la transmission de l’information. Pitta fait référence à la combustion et aux transformations chimiques, incluant l’action des enzymes et des hormones. Kapha est un principe de préservation qui traite de la stabilité et de la cohésion de la matière organique.
Ainsi, l’alimentation ayurvédique évalue la condition d’un individu et l’exprime en terme de doshas, ce qui permet ensuite de déterminer quelles saveurs ou quel type de repas seront les plus appropriés pour conserver ou rétablir l’équilibre et la santé de l’organisme.
Pour mieux comprendre le rôle des doshas et savoir comment adapter concrètement l’alimentation en fonction de ceux-ci, lisez attentivement les articles sur chacun d’entre eux : vata, pitta, et kapha.
Quelques principes universels
L’Ayurvéda propose aussi quelques principes d’ordre général qui s’appliquent à l’alimentation de tous et chacun. Ces préceptes sont souvent de l’ordre du bon sens mais il convient de se rappeler leur importance de temps à autre.
- La nourriture doit plaire à nos sens et nous satisfaire
- Maintenir une bonne digestion nous assure de bien assimiler la nourriture
- Consommer autant que possible des aliments frais et biologiques
- Ingérer des quantités modérées permet d’optimiser notre énergie vitale
- Éviter de manger le repas du soir trop tard pour ne pas dormir le ventre plein
- Observer un jeûne d’environ 14h entre le souper et le déjeûner du lendemain
- Adapter la texture, les portions, les saveurs et les propriétés de la nourriture
aux cycles naturels : moment de la journée, saison, climat et autres
Entretenir le feu digestif
Lorsque la nourriture que nous ingérons est bien assimilée et complètement métabolisée, nous prévenons la formation de ce que l’Ayurvéda appelle ama : les toxines et les substances inutilisées dans l’organisme. L’accumulation d’ama étant une des causes premières du développement des maladies selon l’Ayurvéda, la capacité digestive est donc un facteur clé pour conserver la santé.
Pour stimuler l’appétit, la sécrétion de fluides digestifs et réchauffer l’estomac, l’Ayurvéda recommande de précéder, d’accompagner ou de faire suivre les repas de substances apéritives. Pour ce faire, les aliments, épices et herbes aromatiques dont la saveur est amère et/ou piquante sont employées, sous forme d’infusion, avec la nourriture ou en supplément, par exemple.
Les substances amères, telles les laitues amères, le fenugrec, la lime ou la camomille, stimulent les sécrétions digestives et les fonctions du foie tout en rafraîchissant l’organisme en général. Les substances piquantes, gingembre, poivres, thym, cannelle et autres, réchauffent davantage l’organisme que les amères.
Selon la constitution et l’état de santé d’une personne, on modifie la nature des substances digestives et apéritives. La saveur amère est préférable pour une condition pitta et la saveur piquante convient mieux pour kapha. Vata nécessite une combinaison d’amer et de piquant, mettant l’emphase sur les épices dispersant les gaz (carminatives) telles le cumin et le fenouil.
Une vision pragmatique
L’Ayurvéda ne prêche aucune philosophie alimentaire en particulier, se contentant d’énoncer les propriétés des aliments, ce qui permet d’expliquer pourquoi ils sont plus ou moins compatibles avec certaines personnes et dans certaines circonstances.
Par exemple, tout en soulignant les vertus nourrissantes et rafraîchissantes du lait de vache, l’Ayurvéda explique qu’en excès le lait déséquilibre le dosha kapha, lequel est associé au système immunitaire. Cela explique peut-être pourquoi certaines personnes développent des intolérances aux protéines laitières alors que d’autres n’ont aucun problème avec cet aliment.
Tout en soulignant l’affinité plus grande entre les aliments végétariens et les pratiques méditatives et spirituelles, l’Ayurvéda propose des remèdes à base de viande lorsque l’organisme est en déséquilibre vata et qu’il a besoin d’être rapidement et efficacement nourrit.
Une alimentation à votre mesure
L’Ayurvéda propose donc une diète sur mesure pour chaque personne, en fonction des relations qui existent entre notre état de santé, l’équilibre des doshas et les propriétés perceptibles des aliments.
En observant nos sensations, nous sommes les mieux placés pour déterminer ce qui est bon pour nous et ce que nous devons éviter. Aucun aliment n’est à proscrire en soi, il s’agit de comprendre et de ressentir les effets des substances sur notre santé et de doser leur consommation judicieusement.
Texte de Jonathan Léger Raymond : http://projetenvie.com/a-propos
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Posté par othoharmonie le 10 mars 2012
Pourquoi communiquer avec les animaux ?
Pour les mêmes raisons que nous communiquons avec d’autres humains ! Ces êtres qui sont à un autre état d’évolution que nous, ont certainement beaucoup plus à nous apprendre que nous pouvons l’imaginer et, sont tout à fait disposés à nous aider, même si la plupart du temps, nous les considérons comme des inférieurs…
Qui n’a pas entendu parler de la thérapie animale, où des animaux aident des humains à guérir des dysfonctionnements comportementaux, des stress, des traumatismes récents ou anciens… Pour beaucoup d’entre-nous, un animal « domestique » est un compagnon… mais en fait, il est beaucoup plus que cela…
Ils ont également besoins de nous pour avancer dans leur cheminement. C’est pour cela que la communication animale devient très importante, car elle nous permet, par le dialogue devenu possible, de nous aider mutuellement, les animaux et nous, les humains, dans notre évolution.
Que peut-on attendre d’une communication animale ?
Une communication animale peut s’avérer très concrète : nombreux sont les exemples où l’animal à clairement indiqué, lors l’une communication, le mal dont il souffre : allergies, douleurs, pourquoi il urine partout… ce qui a pu être vérifié par la suite par un thérapeute soignant l’animal. Les animaux, tels des éponges, tentent d’absorber nos maux, notre mal être, car ils font tout leur possible pour que nous soyons toujours sans douleurs physique ou mentale. Ils peuvent même aller jusqu’à mourir pour nous aider. Aussi, lorsque vous constatez un problème chez un animal qui vous est proche, posez-vous la question de savoir si le problème n’est pas le vôtre, qu’il essaie de vous soustraire. Dans ce cas, dites-lui que vous allez faire ce qu’il faut pour régler votre problème et, vous verrez qu’il ira très vite beaucoup mieux.
Mais il peut aussi nous apporter l’explication, le conseil dont nous avons besoin pour notre cheminement ou tout simplement pour le déroulement harmonieux de notre quotidien. Nous devrions considérer les animaux plus comme des partenaires de vie que comme des esclaves de nos caprices ou de la nourriture en développement et notre évolution réciproque en bénéficierait.
Quel est le rôle du communicateur animal ?
Il est important d’être bien conscient que la personne qui communique avec l’animal, n’est qu’un interprète, un intermédiaire… un médium entre l’animal et le destinataire final de la communication et, que son rôle consiste seulement à retransmettre le plus fidèlement possible les éléments de la communication que l’animal lui transmet.
Donc, le communicateur animal est en fait un facilitateur, entre l’animal et celui qui désire communiquer avec lui ou, qui est destinataire d’un message de l’animal. Le rôle du communicateur est très délicat, car il se doit de capter et de retransmettre l’intégralité du message de l’animal, sans le déformer ou tout simplement, sans le “colorer” involontairement par sa propre sensibilité, sa propre évolution, ses propres croyances.
Pour assurer une bonne communication, il doit s’efforcer de rester neutre tout au long de la communication et, en se faisant confiance, laisser des émotions et états d’âme de côté.
Jean-Paul Thouny – Thérapeute énergéticien – Courriel : jean-paul@thouny fr - www.jean-paul.thouny.fr
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Posté par othoharmonie le 9 mars 2012
La Voie du Milieu
Si une image vaut mille mots, alors une expérience vaut un millier d’images
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Chaque personne à un moment ou l’autre de sa vie doit faire face à la souffrance et aux motifs de la souffrance. Chaque personne doit supporter la douleur physique, mentale et spirituelle car sans cette douleur il n’y aurait pas de possibilité d’apprentissage pendant que nous sommes sur cette planète, il ne pourrait y avoir aucune purification et la possibilité de se débarrasser des impuretés qui enveloppent l’esprit des humains à présent. L’unique solution à ce problème est de vivre selon la Voie du Milieu.
La Voie du Milieu est basée sur les Quatre Nobles Vérités de Gautama, plus communément connu en tant que « L’Illuminé ou le Bouddha ». Gautama enseigna que toute chose détient la POSSIBILITÉ de souffrance, ce qui signifie que chaque incident de vie peut aboutir à la douleur, le malaise ou le désagrément. PEUT! Il n’est déclaré nulle part que toute chose DOIVE causer de la souffrance. Nous nous infligeons nous-mêmes beaucoup d’épreuves dans nos vies quotidiennes purement et simplement par la façon dont nous vivons et pensons. De nombreux humains cherchent constamment à blâmer les autres – plusieurs à cause d’une possibilité d’un gain financier; comme si l’argent tenait toutes les réponses à leurs malheurs, souffrances, inconforts ou contrariétés – plutôt que de chercher à résoudre le fond du problème dans leur vie: eux-mêmes!
Première Noble Vérité : Si je suis malheureux, c’est parce que je ne vis pas dans le bonheur, en harmonie avec la Nature. Et si je ne vis pas harmonieusement, c’est parce que je n’ai pas encore appris à accepter ce monde tel qu’il est, avec tous ses désavantages et ses POSSIBILITÉS de souffrance. Je ne puis accéder au bonheur qu’en comprenant ces causes de malheur et en m’efforçant de les éviter. (La Robe de Sagesse p. 63) Il est quelquefois impossible d’éviter ces causes; il me faut alors apprendre à prendre le rugueux avec le lisse. La paix est l’absence de conflit intérieur et extérieur.
Deuxième Noble Vérité : Cette Noble Vérité explique l’origine de la souffrance, qui est l’envie, la soif insatiable des plaisirs des sens, ou des richesses. Nous savons, car on nous l’a appris, que la souffrance suit immédiatement une mauvaise action, elle est le résultat d’une attitude mauvaise à l’égard du reste du monde. Le monde en soi n’est pas mauvais, mais certains de ses habitants le font apparaître ainsi, et c’est notre propre attitude, et nos propres défauts qui font paraître le monde mauvais. Chacun a ses désirs, ses appétits, qui le contraignent à faire des choses auxquelles il ne se livrerait jamais s’il était libéré de ces désirs et de ces appétits. Le Grand Enseignement de Bouddha, c’est que ceux qui désirent ne peuvent être libres, et une personne privée de liberté ne peut être heureuse. Par conséquent, vaincre ses désirs est le premier pas vers le bonheur.
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Posté par othoharmonie le 9 mars 2012
La Voie du Milieu
Si une image vaut mille mots, alors une expérience vaut un millier d’images
Troisième Noble Vérité : l’une des plus courtes et des plus simples parmi les Quatre Nobles Vérités comme l’enseigna Gautama, dit que si l’on cesse de désirer ardemment une chose, on cesse de souffrir de ne pas la posséder, ainsi la souffrance cesse avec le désir. L’individu qui désire, convoite généralement le bien d’autrui, il est obsédé par les choses que possède son voisin et, lorsqu’il ne peut les avoir, son ressentiment le pousse à détester ce voisin. Cette attitude provoque la frustration, la colère et la souffrance. Si l’on convoite une chose qu’il vous est impossible d’obtenir, on est malheureux. Tous les actes inspirés par la convoitise rendent un être malheureux. Le bonheur ne peut être atteint que lorsqu’on cesse de désirer, lorsque l’on prend la vie comme elle vient, le bon et le mauvais à la fois. Il est inutile de pleurer sur le lait renversé puisque ça ne résoud pas plua le problème que ça ne ramasse les dégâts.
Quatrième Noble Vérité : nous arrivons à présent à la quatrième des Quatre Nobles Vérités, qui se divise en huit parties appelées la Sainte Voie des Huit. Ce sont les huit étapes que l’on doit franchir si l’on veut se libérer totalement des désirs de la chair. Ne confondez pas l’envie avec les aspirations.
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Posté par othoharmonie le 9 mars 2012
La Voie du Milieu
Si une image vaut mille mots, alors une expérience vaut un millier d’images
(1) Le Point de Vue Juste : Comme l’a enseigné Gautama, nous devons avoir un point de vue juste quand nous considérons le malheur. Une personne malheureuse doit découvrir précisément en quoi et pourquoi elle est malheureuse, elle doit s’interroger et découvrir la cause de son état. Cela fait, cette personne peut alors chercher à atteindre la quatrième des Quatre Nobles Vérités qui est: Comment trouver le bonheur? Avant de nous embarquer pour le grand voyage de la vie, la conscience et l’esprit tranquilles, et avec l’espoir que notre vie ne sera pas vaine, nous devons connaître notre but. Ce qui nous amène tout naturellement à la deuxième étape de la Sainte Voie des Huit :
(2) Les Aspirations Justes : Chacun aspire à quelque chose, recherche un profit mental, physique ou spirituel. Nous pouvons ainsi aider les autres, ou nous aider nous-mêmes. Malheureusement, les êtres humains ont l’esprit confus et ne savent percevoir ce qu’ils devraient percevoir. Nous devons nous dépouiller de toutes les valeurs fausses, de tous les mensonges, et voir clairement ce que nous sommes et ce que nous aspirons à être, ainsi que ce que nous désirons. Nous devons renoncer aux valeurs fausses, sources de malheur. La plupart des gens ne pensent que « moi », « mien ». La plupart des gens sont égoïstes et n’ont que faire des besoins des autres. II est essentiel que nous nous considérions comme des objets dignes d’être étudiés, que nous nous examinions comme nous jugerions une autre personne. Aimons-nous cette personne? Aimerions-nous l’avoir pour amie? Aimerions-nous vivre avec elle toute notre vie, manger, dormir avec elle? Ainsi, pour réussir sa vie, l’on doit avoir de justes aspirations, et par conséquent :
(3) La Parole Juste : Cela signifie que l’on doit veiller à ce que l’on dit, se garder de médire ou de répandre des rumeurs sans fondement. On doit toujours accorder aux autres le bénéfice du doute, et se taire lorsque les paroles risquent de blesser quelqu’un d’autre; on ne doit parler qu’à bon escient et lorsque les paroles peuvent secourir. La parole peut être plus mortelle que l’épée, plus venimeuse que le venin des serpents. La parole peut détruire une nation. Ainsi, nous devons veiller à avoir toujours la parole juste, ce qui nous sera facile si nous observons :
(4) La Bonne Conduite : Si l’on se conduit bien, on ne parle pas mal. Ainsi, la conduite juste contribue à découvrir la parole juste et les justes aspirations. La bonne conduite interdit à une personne de proférer des mensonges, de boire à l’excès, de voler son prochain. Gautama a enseigné que nous étions le produit de nos propres pensées. Ce que nous sommes maintenant est le résultat de ce que nous avons pensé dans le passé. Donc, si nous sommes justes maintenant, si nous nous conduisons bien, nous serons justes et bons plus tard. Gautama a dit : « La haine ne peut être combattue par la haine. Elle ne peut être vaincue que par « l’amour. » Il a dit aussi: « L’homme doit vaincre la colère de son prochain avec son amour, il doit vaincre l’esprit mauvais des autres à l’aide de sa propre vertu». Nous ne devons pas répondre aux injures par des injures ni aux coups par des coups. « Si quelqu’un te maudit ou t’injurie, dit Gautama, tu dois renoncer à tout ressentiment et prendre dans ton esprit la ferme résolution de ne pas te laisser troubler et de ne pas prononcer une seule parole de colère. Tu resteras bon, amical, tu n’auras pas de dépit ». Notre foi bouddhiste est celle de la Voie du Milieu, un code de vie qui nous enseigne à faire aux autres ce que l’on voudrait qu’ils nous fissent. Le précepte suivant de la Sainte Voie des Huit est :
(5) La Vie Juste : Selon les enseignements du Bouddha, certaines occupations sont mauvaises pour l’homme, certaines activités sont néfastes au vrai croyant. Par exemple, un véritable bouddhiste ne pourra être boucher, ni marchand de poissons, ni vendeur d’esclaves, ni posséder des esclaves. Un bouddhiste ne doit pas boire d’alcool, ni en vendre ni en donner. Rien qui puisse faire du mal à une créature vivante. En blessant les autres on ne fait que se blesser soi-même et en aidant les autres, on s’aide soi-même. C’est aussi simple que cela.
(6) L’Effort Juste : Cela signifie que l’on doit progresser comme on le peut et selon ses forces le long de la Sainte Voie des Huit. Une personne cherchant à progresser ne doit pas s’impatienter ni tenter d’aller trop vite avant d’avoir bien étudié les leçons qu’elle doit apprendre. Mais d’autre part, le croyant ne doit pas rester en arrière en péchant par excès de modestie et fausse humilité. Une personne ne peut progresser qu’à sa propre allure:
Le maître vient seulement quand l’élève est prêt spirituellement et JAMAIS quand l’élève pense qu’il est prêt. C’est justement parce qu’il ne sait pas, qu’il est encore en train d’apprendre et n’est donc pas en position de savoir s’il est prêt ou non, qu’il est un élève.
(7) L’Esprit Juste : C’est l’esprit de l’homme qui gouverne ses actes. La pensée est mère de l’action; dès que l’on pense à une chose, on a fait le premier pas vers son exécution et certaines pensées manquent d’harmonie. Les désirs physiques risquent de distraire l’esprit et ils sont néfastes. On peut désirer une nourriture trop abondante ou trop riche; le désir ne provoque pas de douleurs, mais l’excès de table est douloureux. Le malheur et la souffrance découlent de ces excès, lesquels découlent eux-mêmes de la pensée qu’on en a eue. Le bouddhiste ne doit pas oublier que les sensations sont fugaces, qu’elles vont et viennent comme le vent qui change à tout moment. Les émotions sont instables et l’on ne peut s’y fier. On doit donc entraîner son esprit à n’avoir que des pensées justes, quels que soient nos désirs fugaces.
(8) La Juste Contemplation : Le yoga, Gautama le savait, n’est en aucune façon le moyen d’atteindre la spiritualité. Le yoga n’est qu’une suite d’exercices destinés à permettre à l’esprit de contrôler le corps, à subjuguer le corps selon les commandements de l’esprit. Ils ne sont en rien destinés à élever la spiritualité. La Juste Contemplation consiste à chasser de l’esprit les pensées intruses, à prendre connaissance de ses besoins réels. Elle permet de méditer, de contempler, afin que, sans raisonnement d’aucune sorte, l’on puisse savoir par intuition ce qui est bon ou mauvais pour soi-même.
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Posté par othoharmonie le 9 mars 2012
Si une image vaut mille mots, alors une expérience vaut un millier d’images
La Voie des Huit a un but, un objectif, celui d’atteindre le Nirvâna. Le Nirvâna signifie en réalité la cessation de tout désir, de toute convoitise. Délivrés de leur convoitise et de tous les autres désirs des sens, un homme ou une femme parvient à la béatitude. Le Nirvâna, c’est la libération de la chair, la libération des désirs et des appétits charnels. Cela n’implique pas la cessation de tout, de tout savoir ou même de la vie. Il est faux de prétendre que le Nirvâna veut dire que l’on atteint le néant, et cette fausse interprétation a été propagée par des ignorants qui parlaient de choses qu’ils ne comprenaient pas.
Le Nirvâna n’est donc pas seulement un état de contentement béat, mais un achèvement des connaissances spirituelles et une libération totale des désirs de la chair. L’état de Nirvâna est un état de pureté mais même lorsqu’on l’a atteint et que l’on est délivré totalement des appétits sensuels, on doit encore travailler, étudier les choses de l’esprit afin de progresser vers d’autres niveaux d’existence. Plus vous connaissez de choses, plus vous avez à en apprendre.
On nous enjoint de lire, d’étudier les Écritures saintes et d’écouter avec attention les enseignements des hommes sages. Cependant, tous les mots imprimés et tous les mots écrits doivent simplement servir d’aliment pour le travail de son propre esprit, afin que quand il nous est donné de faire une expérience, nous puissions la relier aux Grandes Vérités telles que proposées par d’autres. Cela signifie que l’on ne peut aller loin en n’étant qu’un simple théoricien; il nous faut être un étudiant de la pratique autant que du mot écrit. L’on affirme qu’une image vaut plus que mille mots, mais je dis qu’une expérience vaut plus qu’un millier d’images.
Dans le monde trépidant d’aujourd’hui vous pouvez ne pas réussir à réaliser toutes les Nobles Vérités dans cette seule vie-ci, mais ne voyez pas ça comme un échec parce que ça n’en est pas un. Le fait d’essayer de réussir dans cette vie vous AIDERA dans la prochaine. Il est possible d’atteindre le statut de Bouddha quelque soit votre situation dans la vie. La seule chose qui importe est – comment vivez-vous? Vivez-vous selon la Voie du Milieu? Vivez-vous selon la Règle d’Or qui enjoint de « Faire aux autres ce que nous voudrions que les autres nous fassent »? Si oui, alors vous êtes sur la voie qui mène au statut de Bouddha. En gardant des pensées pures, nous éloignons de nous les pensées impures; nous renforçons ce à quoi nous retournerons quand nous quitterons le corps physique, parce que tout ce que nous faisons ici profite à notre Sur-moi et profite à soi par la même occasion, puisque nous sommes une seule et même chose.
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Posté par othoharmonie le 8 mars 2012
Question : J’ai l’impression qu’un lourd fardeau vient de m’être retiré des épaules. J’ai une sensation de légèreté. Je me sens l’esprit clair… mais mes problèmes m’attendent toujours, n’est-ce pas ? Ils n’ont pas été résolus. Est-ce que je ne suis pas temporairement en train de les fuir ?
Eckhart Tolle : Même si vous vous retrouviez au paradis, cela ne prendrait pas de temps avant que votre mental dise « oui, mais… ». En fin de compte, ceci n’a rien à voir avec la résolution de vos problèmes. Cela concerne la prise de conscience qu’il n’y a aucun problème. Il y a seulement des situations dont il faut soit s’occuper dans le moment présent, soit laisser telles quelles et accepter comme faisant partie de l’être-là du moment jusqu’à ce qu’elles changent ou qu’on puisse s’en occuper. Les problèmes sont une fiction du mental et ils ont besoin du temps pour se perpétuer. Ils ne peuvent survivre dans la réalité de l’instant présent.
– EXERCICE –
Fixez votre attention sur le présent et dites-moi quel est votre problème maintenant.
§
Je n’obtiens aucune réponse de votre part parce qu’il est impossible d’avoir un problème lorsque votre attention est totalement dans le présent. Une situation a besoin d’être acceptée telle quelle ou d’être solutionnée. Bon. Pourquoi en faire un problème ? Pourquoi faire de quoi que ce soit un problème ? La vie ne vous met-elle pas suffisamment au défi comme ça ? À quoi vous servent les difficultés ?
Inconsciemment, le mental les adore parce qu’ils vous confèrent, disons, une sorte d’identité. Ceci est la norme mais c’est de la folie. Avoir un problème veut dire que vous vous appesantissez mentalement sur une situation sans qu’il y ait une véritable intention ou possibilité de passer immédiatement à l’action et que vous l’assimilez au sens que vous avez de votre identité personnelle. Vous êtes tellement pris par vos conditions de vie que vous perdez le sens même de votre vie, de votre Être. Ou bien vous entretenez mentalement le fardeau malsain de la centaine de choses que vous ferez peut-être ou pas dans le futur au lieu de fixer votre attention sur « la » chose que vous pouvez faire maintenant.
– LECTURE MÉDITATIVE –
Quand vous créez un problème, vous créez de la souffrance. Tout ce qu’il faut, c’est simplement faire un choix, prendre une décision. C’est se dire, quoi qu’il arrive : je ne me créerai plus de souffrance. Je ne me créerai plus de difficultés.
Même s’il s’agit d’un choix simple, celui-ci est aussi très radical. Vous ne pourrez faire ce choix à moins d’en avoir vraiment ras le bol, d’en avoir vraiment assez. Et vous ne pourrez pas passer à travers si vous ne réussissez pas à accéder au pouvoir du moment présent. Si vous arrêtez de vous faire souffrir, vous arrêtez également de faire souffrir les autres. De polluer notre belle planète Terre, votre espace intérieur et la psyché humaine collective avec la négativité inhérente à la création de tout problème.
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Si vous vous êtes déjà trouvé dans une situation de vie ou de mort, vous savez que celle-ci n’était pas un problème. En fait, le mental n’a pas eu le temps de tergiverser et d’en faire un problème. En cas de véritable urgence, le mental se fige et vous devenez totalement disponible au moment présent.
§
Alors, quelque chose d’infiniment plus puissant prend la relève. C’est pour cette raison que l’on entend souvent parler de gens ordinaires soudainement devenus capables d’incroyables actes de courage. En situation d’urgence, vous survivez ou pas. D’une façon comme d’une autre, ce n’est pas un problème.
Certaines personnes se mettent en colère lorsqu’elles m’entendent dire que les problèmes sont des illusions. Je représente une menace, car je pourrais leur subtiliser le sens de leur identité. Elles ont investi beaucoup de temps à créer cette fausse identité. Pendant des années, elles l’ont inconsciemment définie en fonction de leurs problèmes ou de leur souffrance. Qui seraient-elles sans cela ?
En réalité, ce que les gens disent, pensent ou font est en grande partie motivé par la peur. Et cette peur provient du fait que leur attention est fixée sur le futur et qu’ils ne sont pas en contact avec le moment présent. Comme il n’y a pas de problèmes dans le présent, il n’y a pas non plus de peur.
Si une situation se présentait et que vous deviez composer avec elle dans l’immédiat, le geste que vous poseriez serait net et percutant s’il naissait de la conscience du moment présent. Il risquerait aussi d’être plus efficace. Ce ne serait pas un geste réactif résultant du conditionnement de votre mental, mais plutôt un geste répondant intuitivement à la situation. À d’autres occasions, lorsque le mental et le temps psychologique voudront réagir, vous remarquerez qu’il vaut mieux ne rien faire et rester seulement centré dans le présent.
Eckhart Tolle/Le pouvoir du moment présent et son guide/Chapitre trois : Plonger dans le moment présent/Tous les problèmes sont des illusions du mental
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Posté par othoharmonie le 8 mars 2012
Question : Vous avez dit que la peur faisait partie de notre souffrance émotionnelle sous-jacente fondamentale. Comment survient-elle et pourquoi y en a-t-il tant dans la vie des gens ? Est-ce qu’un certain degré de peur n’est pas une forme de saine autoprotection ? Si je ne craignais pas le feu, peut-être que j’y mettrais la main et que je m’y brûlerais.
Eckhart Tolle : La raison pour laquelle vous ne mettez pas la main sur le feu, c’est que vous savez que vous vous brûleriez et non pas que vous en avez peur. Vous n’avez pas besoin de la peur pour éviter le danger inutile ; seul un minimum d’intelligence et de bon sens est nécessaire. Pour ce genre de questions pratiques, il est utile d’appliquer les leçons apprises dans le passé. Par contre, si quelqu’un vous menaçait de vous brûler ou d’être violent à votre égard, vous pourriez éprouver quelque chose ressemblant à de la peur. Il s’agit en fait d’un recul instinctif devant le danger et non pas de l’état psychologique de peur dont nous parlons ici.
La peur psychologique n’a rien à voir avec la peur ressentie face à un danger concret, réel et immédiat. La peur psychologique se présente sous une multitude de formes : un malaise, une inquiétude, de l’anxiété, de la nervosité, une tension, de l’appréhension, une phobie, etc. Ce type de peur concerne toujours quelque chose qui pourrait survenir et non pas ce qui est en train d’arriver. Vous êtes dans l’ici-maintenant, tandis que votre mental est dans le futur. Cela crée un hiatus chargé d’anxiété. Et si vous êtes identifié à votre mental et que vous avez perdu contact avec la puissance et la simplicité de l’instant présent, ce hiatus sera votre fidèle compagnon. Vous pouvez toujours composer avec l’instant présent, mais vous ne pouvez pas le faire avec ce qui n’est qu’une projection du mental. Bref, vous ne pouvez pas composer avec le futur.
En outre, comme je l’ai déjà souligné, tant que vous êtes identifié à votre mental, l’ego mène votre vie. À cause de sa nature fantomatique et en dépit de mécanismes de défense élaborés, l’ego est très vulnérable et inquiet. Il se sent constamment menacé. Ce qui est d’ailleurs le cas, même si, vu de l’extérieur, il donne l’impression d’être sûr de lui. Alors, rappelez-vous qu’une émotion est une réaction du corps à votre mental. Quel message le corps reçoit-il de l’ego, ce moi faux et artificiel ? Danger, je suis menacé. Et quelle est l’émotion générée par ce message continuel ? La peur, bien entendu.
La peur semble avoir bien des causes : une perte, un échec, une blessure, etc. Mais en définitive, toute peur revient à la peur qu’a l’ego de la mort, de l’anéantissement. Pour l’ego, la mort est toujours au détour du chemin. Dans cet état d’identification au mental, la peur de la mort se répercute sur chaque aspect de votre vie. Par exemple, même une chose apparemment aussi insignifiante et « normale » que le besoin compulsif d’avoir raison et de vouloir donner tort à l’autre – en défendant la position mentale à laquelle vous vous êtes identifié – est due à la peur de la mort. Si vous vous identifiez à cette position mentale et que vous ayez tort, le sens de votre moi, qui est fondé sur le mental, est sérieusement menacé d’anéantissement. En tant qu’ego, vous ne pouvez alors vous permettre d’avoir tort, puisque cela signifie mourir. Cet enjeu a engendré des guerres et d’innombrables ruptures.
Lorsque vous vous serez désidentifié de votre mental, avoir tort ou raison n’aura aucun impact sur le sens que vous avez de votre identité. Et le besoin si fortement compulsif et si profondément inconscient d’avoir raison, qui est une forme de violence, ne sera plus là. Vous pourrez énoncer clairement et fermement la façon dont vous vous sentez ou ce que vous pensez, mais sans agressivité ni en étant sur la défensive. Le sens de votre identité proviendra alors d’un espace intérieur plus profond et plus vrai que le mental.
Prenez garde à toute manifestation de défensive chez vous. Que défendez-vous alors ? Une identité illusoire, une représentation mentale, une entité fictive ? En conscientisant ce scénario, en en étant le témoin, vous vous désidentifierez de lui. À la lumière de votre conscience, le scénario inconscient disparaîtra alors rapidement. Ce sera la fin des querelles et des jeux de pouvoir, si corrosifs pour les relations. Le pouvoir sur les autres, c’est de la faiblesse déguisée en force. Le véritable pouvoir est à l’intérieur et il est déjà vôtre.
Ainsi, quiconque est identifié à son mental et, par conséquent, coupé de son pouvoir véritable, de son moi profond enraciné dans l’Être, sera affligé d’une peur constante. Comme le nombre de gens ayant dépassé le mental est encore extrêmement restreint, on peut tenir pour acquis que presque tous ceux que l’on rencontre ou que l’on connaît vivent dans la peur. Seule l’intensité varie. Elle fluctue entre l’anxiété et la terreur à un bout de l’échelle, et entre un vague malaise et un lointain sentiment de menace à l’autre bout. La plupart des gens n’en prennent conscience que lorsqu’elle prend l’une de ses formes les plus aiguës.
Eckhart Tolle/Le pouvoir du moment présent et son guide/Chapitre deux : Se sortir de la souffrance par la conscience/Origine de la peur
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Posté par othoharmonie le 7 mars 2012
Original, bénéfique et efficace, voici ce qui pourrait caractériser en trois mots le nouveau CD de la collection Raccourcis vers le bonheur. Toujours à l’écoute des besoins actuels, l’équipe de RVB est fière de vous présenter ces 3 nouvelles créations.
1. Snoöze Écouter un extrait
Œuvre originale créée spécifiquement pour faciliter le réveil et dynamiser la journée.
L’accélération progressive du rythme musical des quatre paysages sonores qui composent cette pièce donne tout naturellement l’envie de bondir du lit et de s’activer.
Recommandé pour toute la famille. Effet stimulant garanti !
2. Hymna Terra Écouter un extrait
Musique, sons et langage inventés s’unissent dans une merveilleuse harmonie pour nous faire voyager dans des espaces de beauté, de solidarité et d’amour.
3. Sömnifère Écouter un extrait
Détente guidée qui calme et apaise les pensées. Une narration toute en douceur et une musique aux sonorités angéliques apportent un sentiment de réconfort, de paix et de bien-être qui nous conduit tout doucement vers une bonne nuit de sommeil.
Dernière chance pour bénéficier du spécial lancement, un CD livré : www.raccourcis-vers-le-bonheur.com
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Posté par othoharmonie le 7 mars 2012
… Entre réalité et invention …
Qu’est-ce que la réalité ? Le monde est-il réellement ce que nous voyons ?
Un extrait du livre intitulé Le cerveau de Bouddha, de Rick Hanson et Richard Mendius, nous donne un éclairage très instructif sur le sujet. Le voici donc :
« Une grande partie de ce que vous voyez « à l’extérieur » est une réalité fabriquée « à l’intérieur » par votre cerveau, comme des images de synthèse d’un film. Seule une petite fraction des données transmises au lobe occipital parvient directement du monde extérieur. Le reste provient des réserves de la mémoire interne et des modules de traitement perceptifs. Votre cerveau simule le monde – chacun de nous vit dans une réalité virtuelle suffisamment proche du réel pour que nous ne nous cognions pas aux meubles. »
Simulation, ne trouvez-vous pas que ça ressemble à illusion ? Savoir cela donne vraiment à réfléchir. Et confirme que nous avons tout intérêt à prendre soin de notre « intérieur ».
Notre super-ordinateur intégré travaille comme un formidable simulateur. Mais pour le meilleur ou pour le pire ? Nous pouvons apprendre dans le livre précité au sujet de l’évolution des espèces, et cela inclut l’espèce humaine, que la survie a été davantage déterminée par les expériences négatives que par les expériences positives (il était par exemple plus important pour survivre d’éviter de se faire dévorer que de passer à côté d’un repas).
En conséquence de cela, notre cerveau porte davantage attention aux expériences négatives qu’aux expériences positives. Il cherche davantage à éviter les choses qu’à les rechercher, et en général l’empreinte laissée par les expériences négatives est plus forte que celle laissée par les expériences positives.
Comme l’ont écrit Rick Hanson et Richard Mendius : « Pour devenir plus heureux, plus sage et plus aimant, il faut parfois nager à contre-courant de tendances profondément ancrées dans notre système nerveux. » Ça ne nous facilite pas la tâche, mais c’est bon à savoir. Sortir des schémas de fonctionnement hérités de notre évolution ou changer des habitudes demande donc un effort conscient et de nouveaux choix. Au début, l’exercice peut exiger passablement d’efforts, mais plus les nouveaux circuits se tracent dans la conscience et le cerveau, plus cela devient naturel.
Aujourd’hui, j’observe mes pensées avec vigilance en me rappelant que j’ai le pouvoir de les choisir et ce, à chaque instant. En devenant de plus en plus maître de mes pensées, je gagne en capacité de co-créer ce que je souhaite réellement dans ma vie.
On vous souhaite une belle semaine !
Isab’ailes et Michel
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Posté par othoharmonie le 7 mars 2012
Avant d’apprendre à méditer, il est primordial d’acquérir une discipline, car jouer avec la méditation, c’est jouer avec le feu. Vous ne permettriez pas à un enfant de s’amuser avec un baril de poudre et une boîte d’allumettes. Tout au moins, vous ne le lui permettriez qu’une seule fois!
La même prudence doit être observée en ce qui concerne la fréquentation des hautes sphères de la métaphysique. Un petit homme maigrichon décide un beau jour d’avoir la musculature de Mr. Atlas. Il va falloir qu’il s’exerce progressivement. Il ne peut, du jour au lendemain, soulever des poids de deux cents livres ni passer vingt-quatre heures sur vingt-quatre à s’entraîner. Il aurait vite une dépression nerveuse. Il en va de même dans la pratique de la méditation, qui peut être considérée comme l’exercice de l’âme. Si vous vous ruez sur la pratique de la méditation comme un touriste américain se rue à travers le Vatican pour pouvoir dire qu’il y est allé, vous vous apercevrez bientôt que votre enthousiasme tiédira. Votre entraînement doit se poursuivre selon un plan bien déterminé et s’accompagner d’une discipline stricte, d’une préparation sérieuse, sans quoi, tel le petit homme maigrichon qui s’exerce de façon trop intense, vous aurez des crampes de l’esprit, ce qui est parfaitement désagréable.
En dépit de tous ces désagréments, vous voulez toujours méditer? Vous n’êtes pas découragé? Fort bien. Nous allons voir ce que vous penserez de ce qui va suivre: pour méditer, vous devez vous réserver un moment absolument tranquille dans la journée. Le matin de bonne heure, de préférence. C’est l’une des raisons pour lesquelles les prêtres méditent avant de prendre leur premier repas. Mieux vaut ne pas absorber d’aliments avant la méditation et ne pas méditer au lit: vous risqueriez de vous endormir.
Arrangez-vous pour vous réveiller une heure plus tôt que d’habitude et dès que votre réveil se met à sonner, bondissez hors du lit, faites votre toilette et habillez-vous pour ne pas être tenté de vous fourrer à nouveau sous vos draps. Aménagez votre propre sanctuaire intime dans un coin de votre chambre. Vous y dresserez un petit autel qui vous aidera à fixer votre attention sur ce que vous allez entreprendre. Voici comment vous vous y prendrez. Prenez une chambre, ou même un cabinet de débarras, pour sanctuaire et tenez la porte de cette pièce fermée à clé lorsque vous n’y êtes pas. Ayez une petite table, dans un coin, couverte d’une toile blanche. Sur cette nappe, placez une image, par exemple un Ho Tai, le symbole de la Vie Bonne (non, vous n’allez pas adorer des images taillées! Ho Tai est un simple symbole). Munissez-vous d’un brûleur d’encens et d’un bâton d’encens fort que vous allumerez, puis que vous éteindrez pour qu’il brûle lentement en dégageant son parfum. Vous aurez intérêt à mesurer auparavant le temps que votre encens met à se consumer, et vous coupez votre baguette à la hauteur voulue pour qu’elle s’éteigne là l’heure où vous avez décidé d’interrompre votre méditation. Le méditateur sérieux portera une robe de méditation spéciale qui le protégera des influences extérieures. Cette robe doit être très ample, avec des manches extrêmement longues et un capuchon qui recouvrira la tête. Vous pouvez la faire en fine soie noire ou, si c’est trop cher, en fin coton noir. Quand vous ne vous servez pas de la robe, vous devez la ranger dans une pochette de soie noire pour qu’elle ne touche aucun autre vêtement. Vous jugez sans doute que tout cela est assez théâtral; il n’en est rien. C’est la meilleure manière d’obtenir les résultats souhaités, et si vous tenez à obtenir des résultats, il faut bien vous conformer à certaines règles. Ainsi, ne portez votre robe de méditation que quand vous vous apprêtez à méditer.
Maintenant que vous avez votre sanctuaire, votre robe de méditation, votre encens et votre Ho Tai, allez vous asseoir tranquillement dans cette pièce. Vous n’êtes pas obligé de vous asseoir les jambes croisées. Installez-vous de la façon qui vous sera le plus confortable, pour n’avoir ni crampes ni élancements, car, au début, vous serez incapable de méditer si vous êtes mal à l’aise. Quand vous aurez été assis pendant quelques instants dans un état de contemplation paisible, vous répéterez la prière suivante:
Laisse-moi, aujourd’hui, vivre ma vie de chaque jour de la manière prescrite; contrôle et dirige mon imagination. Laisse-moi, aujourd’hui, vivre ma vie de chaque jour de la manière prescrite; contrôle mes désirs et mes pensées pour que je sois purifié. Laisse-moi, aujourd’hui, et tous les jours, diriger mon imagination et mes pensées, fermement, vers la tâche qui doit être accomplie pour que le succès l’accompagne. Je vivrai en tout temps ma vie jour après jour et je contrôlerai imagination et pensée.
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Posté par othoharmonie le 6 mars 2012
La spiritualité n’est pas un système religieux, mais une expérience naturelle qui permet à l’être de s’épanouir dans sa véritable grandeur
Résumé: La spiritualité n’est pas un système religieux ou une philosophie culturelle. Elle est une fonction naturelle vivante de l’être humain. Elle est indépendante de toute croyance, religion ou dogme. Elle consiste à reconnaitre l’existence de notre Moi véritable, de notre ESSENCE, et à apprendre à nous laisser guider par elle. C’est donc la découverte d’une autre dimension de nous-même, une partie lumineuse, puissante et grandiose, qui ne demande qu’à être développée par l’expérience. Lorsque nous sommes en connexion avec elle, elle transforme notre état intérieur qui se caractérise alors par la joie et la liberté. Elle transforme aussi nos sensations corporelles, car elle agit comme une Source d’énergie et élève notre état vibratoire. Nous sommes invités à réaliser cet état en observant les jeux de l’égo, ses résistances, et en cultivant la confiance et le lâcher-prise. Des clés pratiques telles que l’observation de nos sentiments et la méditation sont suggérées.
Il règne une grande confusion dans les esprits sur ce qu’est la spiritualité. Cet article a pour vocation de contribuer à la dissiper. La spiritualité n’est pas une religion. Elle n’est pas non plus un sujet d’étude culturelle sur les croyances des peuples primitifs. La spiritualité est une fonction vivante naturelle de l’être humain.
Le mot spiritualité recouvre des sens bien différents selon les personnes.
Aucun de ces aspects ne sera développé ici. Mon but n’est pas de réaliser une enquête encyclopédique, linguistique, ethnologique ou sociologique à ranger dans un coin du cerveau ou sur une étagère. Il est d’apporter une connaissance vivante qui nous permette de nous épanouir pleinement. Dans cet article, la spiritualité est envisagée comme une autre dimension de nous-mêmes, une fonction naturelle comme manger, boire ou penser, que nous avons à découvrir et à développer, comme on peut développer son intellect ou sa mémoire. La spiritualité est une voie d’éveil et de croissance, une façon d’explorer nos dimensions à la fois plus profondes et plus élevées.
Nous vivons un moment où l’humanité évolue spirituellement de façon spectaculaire en se dirigeant vers la réalisation de son essence et de sa raison d’être. Il est donc urgent que ces connaissances soient mises à la disposition de tous. C’est le rôle qu’on pourrait logiquement attendre de la part de l’éducation publique, médiatique ou religieuse, mais c’est en vain. Heureusement, il existe de nombreux ouvrages et écoles de sagesse qui traitent de cette question, auxquels nous pouvons nous abreuver. En voici une synthèse introductive.
Alain Boudet
Dr en Sciences Physiques, Thérapeute psycho-corporel, Enseignant : http://www.spirit-science.fr/doc_spirit/spiritualite.html
Publié dans SPIRITUALITE c'est quoi ? | Pas de Commentaire »
Posté par othoharmonie le 6 mars 2012
La spiritualité n’a rien d’une vérité toute faite, prête à avaler. Elle invite chacun à découvrir qui il est en profondeur et à se former sa propre vérité. Au contraire, la religion enseigne des vérités choisies par des autorités, et demande aux adeptes de les adopter. Les autorités décident quels écrits sont conformes à sa doctrine et lesquels sont hérétiques. Des textes de référence disent ce qu’il faut croire et ce qu’il faut rejeter. Les personnes qui enfreignent les règles édictées par ces textes sont considérées comme fautives et doivent se racheter ou être punies.
La religion considère qu’il existe un paradis qui est réservé à ceux qui ont fait preuve de bonne conduite, selon le jugement de Dieu ou des prêtres. La spiritualité enseigne que chacun a la possibilité de s’épanouir totalement, tel un bourgeon qui se déploie et fleurit. Il le fait de manière unique selon ses capacités (voir article Talents et doutes), en élargissant sa conscience par l’expérience et emprunte parfois des chemins détournés (parabole du fils prodigue dans la Bible). Chaque expérience est un enseignement vivant. La spiritualité conduit à la pleine reconnaissance de nos capacités physiques, émotionnelles, mentales, sociales et intuitives. La réalisation de Soi se manifeste par la radiance et la beauté, un paradis sur terre à la portée de tous au moyen du développement spirituel.
Dès qu’un mur s’érige, dès que la moindre clôture est élevée, qu’une porte se ferme et qu’un interdit est édicté, voyez-y la trace d’une présence humaine non encore adulte. Barricades et règlements n’ont de raison d’être que face aux immatures. (Daniel Meurois, Comment dieu devint Dieu)
La Science, dans les limites où l’actuelle société humaine dominante est capable de la concevoir, demeure tout aussi dogmatique que l’était l’ancienne approche du concept de Dieu. Un mot a simplement remplacé l’autre. Lorsque vous déclarez « les scientifiques ont dit », vous agissez comme ces prêtres qui déclaraient autrefois: « Dieu a dit », coupant court à toute velléité de réflexion autonome. L’approche de la Sagesse ne peut quant à elle, s’espérer que par la pénétration de cette question: « la Vie en moi, que dit-elle ? » (Daniel Meurois, Comment dieu devint Dieu)
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Posté par othoharmonie le 6 mars 2012
Nous avons appris que selon le calendrier sacré maya, le 21 décembre 2012 marque la jonction de trois des calendriers mayas. Le premier dont le cycle est de 3600 ans, le second dont le cycle est de 5200 ans et le troisième, de 67 600 ans. Avec la fin du calendrier sacré maya en 2012, les Mayas eux-mêmes ne considèrent pas nécessairement qu’il s’agit là de la fin du monde. Ils voient plutôt la fin de ces cycles comme un nouveau début, fournissant ainsi à la race humaine d’autres occasions d’accomplir des actions justes sur cette planète.
Outre ces célébrations, des cérémonies furent conduites par les Sages des deux Amériques afin de permettre la réalisation de la prophétie du Nord et du Sud selon laquelle le condor s’unit à l’aigle. D’après les prophéties mayas, il y aura des opportunités pour que les Américains du Sud rencontrent les Américains du Nord. Les deux oiseaux mentionnés dans les prophéties ont des caractéristiques différentes. L’aigle est agressif et fond sur ses proies. Il symbolise l’énergie du Nord, qui a tendance à mettre l’accent sur le mental, alors que le condor est patient et attend pour terminer le cycle de la vie. Le condor incarne l’énergie du Sud, qui a tendance à privilégier les sentiments. Lorsque ces deux oiseaux se rencontreront et voleront ensemble harmonieusement, ils créeront un équilibre. Cette unification des énergies est nécessaire pour rééquilibrer notre mère la Terre et les peuples qui l’habitent. D’autres groupes de Sages se forment également afin de permettre la réalisation de cette prophétie. Une urgence très subtile est nécessaire pour terminer cette tâche.
Les réunions de Sages se déroulèrent parallèlement aux cérémonies et durant ces réunions, on établit trois priorités :
En définitive, les Sages spirituels pensent qu’il est essentiel de guérir les blessures de notre mère la Terre et d’équilibrer d’abord les énergies, en vue de préparer la nouvelle ère qui approche rapidement ; ils savent qu’une fois l’œuvre de guérison suffisamment amorcée, les énergies seront en place et les sychronicités surviendront afin d ‘apporter leur soutient à l’oeuvre en cours qui apparaîtra comme un résultat naturel. Le Conseil Mondial des Sages peut devenir une branche consultative des Nations unies ou des autres gouvernements mondiaux. Cependant, ceci ne pourra se produire qu’après une certaine période de mutation dans l’esprit de ceux qui oeuvrent au sien des institutions de notre culture moderne. Cette tâche inclura des programmes d’enseignement basés sur l’expérience et dirigés par les Sages. Ces derniers sont particulièrement concernés par l’éducation de leurs enfants, spécialement de ceux qui naissent à notre époque, dotés d’une créativité et d’une réceptivité accrues ainsi que d’autres capacités leur permettant d’intégrer l’ancienne sagesse à la technologie moderne ; avec la Sagesse des Sages, ces enfants seront parfaitement armés pour pouvoir manifester les véritables potentialités de l’humanité au cours de « l’âge du moment présent ».
Channeling de Kryeon : Franchir le seuil du millénaire – Reno, Nevada - Février 2000 - canalisé par Lee Carroll – page 298.
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Posté par othoharmonie le 5 mars 2012
Lors de l’assemblée, le président de l’association sportive Thierry Bresson, en compagnie de Martine Eap-Dupin, maire et conseillère générale, de Philippe Brasse, directeur, et des membres du bureau, a noté l’excellente année du Pré-Lamy. Le président a ensuite souligné l’implication de la conseillère générale pour que le sport et les loisirs soient offerts à tous sur le territoire. Cette dernière n’a pas manqué de saluer les golfeurs qui participent nombreux aux compétitions où l’ambiance et la convivialité sont les meilleurs atouts du golf du Pré-Lamy, avec un coup de chapeau pour les jeunes qui apportent leur dynamisme et savent investir leurs capacités avec Lucas Jacquenet, le pro du club. Elle a souhaité « Pour 2012, que l’ambiance et tout ce qui s’y passe se renouvelle ».
Pour son dernier rapport moral, Thierry Bresson, qui a décidé de changer d’orientation, a eu une pensée pour Jacques Parpan et Jean-Michel Cérioli puis a remercié les employés pour leur travail, mais aussi les membres du conseil d’administration pour tous les échanges et le travail accompli Et chacun a reconnu son dynamisme, son engagement pour une ambiance garantie !
Le golf du Pré Lamy regroupe 164 sociétaires (154 en 2010) et a enregistré : 1 861 green fees ce qui permet de pérenniser les emplois mais aussi 3 223 practices.
Le président a rappelé les différentes compétitions qui émaillent la saison avec de bons résultats comme le jeune Julien, champion de Côte-d’Or et de Bourgogne et seul sélectionné sur le plan national.
L’école de golf, sous la direction de Lucas Jacqueney, accueille 34 jeunes qui découvrent ce sport avec Edgar, Julien et Florian, sélectionnés par le comité de Côte-d’Or et continuent de progresser.
Guy Lechaton a présenté le pôle Golf Handicap ouvert aux établissements qui viennent découvrir le golf avec réussite. (En l’occurrence: photo – les enfants de l’établissement où je travaille : l’EMPP d’Aisy sous Thil)
Le bilan financier a été développé par Jean-Claude Braz qui a présenté un bilan positif. Ce qui permet d’envisager la saison 2012 avec optimisme. Les tarifs des adhésions et des licences restent inchangés.
Les bilans ont été adoptés à l’unanimité. Le renouvellement du bureau a permis de reconduire les membres sortant et d’élire Pascal Petit au conseil d’administration qui s’est réuni hier pour élire un nouveau président.
PARUTION AU BIEN PUBLIC / http://www.bienpublic.com/haute-cote-d-or/2012/02/05/le-bilan-du-golf-du-pre-lamy
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Posté par othoharmonie le 5 mars 2012
Comme prévu, le collectif pour le Téléthon a réuni les bénévoles qui ont œuvré pour récolter des fonds au profit de la recherche médicale sur les myopathies.
L’opération 2011, avec la réalisation et la vente de sachets de lavande, l’organisation du thé dansant animé gratuitement par René Descloix et la mise en place d’une tartiflette généreusement cuisinée par Paul Laurier, a permis de transmettre la somme de 2 755,56 €.
Un bon résultat pour la petite équipe qui souhaite poursuivre ses efforts de solidarité et d’animation. Les bénévoles planchent déjà sur l’édition 2012. Des idées sont dans l’air et une équipe va étudier les projets à réaliser et à mettre en pratique. Le thé dansant sera reconduit et du côté de la journée nationale, Paul Laurier propose de renouveler la soupe à l’oignon et la tartiflette.
PARUTION AU BIEN PUBLIC / http://www.bienpublic.com/haute-cote-d-or/2012/02/06/le-collectif-pour-le-telethon-a-reuni-2-755
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Posté par othoharmonie le 5 mars 2012
La cérémonie des vœux de Martine Eap-Dupin, maire et présidente de la communauté de la butte de Thil, a été l’occasion de féliciter la commune de Missery qui vient d’obtenir la troisième fleur à son panneau.
Le fleurissement reste important pour le territoire, aussi il est de tradition de proclamer le palmarès du concours intercommunal des maisons fleuries par le président de l’office de tourisme, Jacky Jacquenet, avec la participation d’Eric Montenot.
Des fleurs et un diplôme ont été remis aux lauréats avec les félicitations des personnalités et des applaudissements.
Espaces publics. – Premier prix : le pont fleuri de Sainte-Segros à Montlay-en-Auxois. 2 e prix : la mairie de Précy-sous-Thil. 3 e prix : parking de la mairie de Braux.
Façades. – Premier prix : Serge Olivier de Montlay-en-Auxois. 2 e prix : Solange Blanchot, hameau de Pluvier à Fontangy. 3 e prix : Éliane Nicvert à Vic-sous-Thil.
Balcons et terrasses. – Premier prix : Mme Prudhomme ; hameau de Courcelotte, à Dompierre-en-Morvan. 2 e prix : Roger Charlot, de Précy-sous-Thil. 3 e prix ; Simone Benoist, de Montlay-en-Auxois.
Espaces fleuris. – Premier prix : Françoise Roche, de Vic-sous-Thil. 2 e prix : Chantal Hudelot, de Lacour-d’Arcenay. 3 e prix : Denis Coquille, à Aisy-sous-Thil.
Maisons avec jardin. – Premier prix : Monique Peignot, hameau de Collemoine, à Vic-sous-Thil. 2 e prix : Daniel Picoche, hameau de Collemoine, à Vic-sous-Thil. 3 e prix : Marie-Claude Rebourseau, de Précy-sous-Thil.
PARUTION AU BIEN PUBLIC / http://www.bienpublic.com/haute-cote-d-or/2012/02/03/maisons-fleuries-le-palmares-devoile
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Posté par othoharmonie le 3 mars 2012
C’est vers cet état de conscience où vous retrouvez la connaissance de ce passé intérieur que nous désirons vous amener. Ce moment où ces mémoires dans vos cerveaux droit et gauche vont s’éveiller et se rappeler que, dans le passé, vous avez fait le choix de venir explorer la vie dans une dimension inconnue de votre être cosmique. Depuis votre départ, le monde cosmique a changé et à votre retour vous trouverez un monde encore plus beau, encore plus grand, un monde qui sera le vôtre à nouveau. Ce monde est déjà en vous, vous le projetez à l’extérieur de vous, ce monde est celui que vous créez, que vous vous créez. Et comment le créez-vous ce monde présentement ? Le créez-vous dans la peur du futur ou dans la joie de défaire ces vieux nœuds de matière qui ont tenu votre grand Soi prisonnier de l’ombre ?
En descendant de plan de conscience en plan de conscience, votre taux vibratoire qui était lumière s’est abaissé ce qui a créé une densité qui s’est rigidifiée et a manifesté ce que vous êtes aujourd’hui. Vous êtes devenus ces molécules de matière agglomérée qui ont apparence de solidité à cause d’un taux vibratoire plus bas que la lumière. Vous êtes vibration, tout est vibration. Et ce qui est absolument extraordinaire pour l’esprit de lumière en vous est que vous avez pris chacun une couleur. Une couleur qui vous est propre, une couleur qui est celle de votre âme maintenant. Lorsque votre âme retournera dans les champs célestes célébrer son amour elle y apportera une expérience qui est unique. Et cette expérience unique s’ajoutera aux expériences uniques de tous les êtres qui sont revenus à leur unité et, delà, d’autres mondes pourront être créé et régénéré.
Retrouvez le divin en vous
Lorsque vous regardez le ciel la nuit vous y voyez beaucoup d’ombre avec des points de lumière qui sont les étoiles et les planètes. La base de l’univers est composée d’incréé, de matière sombre et, depuis la nuit des temps, l’univers se crée à chaque jour un peu plus grand, un peu plus beau. Du petit point de conscience du Créateur est née une image d’amour et de paix pour ce monde qu’il a créé. Puis Il a laissé ce monde vivre par lui-même. Puis ce monde a développé des énergies de conscience qui ont réalisé qu’elles avaient aussi le pouvoir de créer. C’est ainsi que d’autres mondes se sont créés car le divin est en vous. Malheureusement le divin s’est perdu dans l’ombre de vos désirs et de vos attachements. Aujourd’hui vous devez commencer à vous dégager de ces attachements inutiles qui vous maintiennent prisonniers de ces désirs de posséder la lumière.
Désirer posséder la lumière n’est pas mauvais dites-vous. Tout dépend de la façon dont vous le faites, trop désirer, trop vouloir accélérer le mouvement, trop vouloir faire ne vous aidera pas. Vous devez développer la compréhension que c’est en étant présent à vos pensées à chaque instant de votre quotidien et en étant présent aux messages de vos corps que vous y arriverez plus facilement. C’est aussi en utilisant vos ressources d’amour, de joie, de sagesse pour transformer chaque instant en énergie de joie, d amour, de sagesse. Alors il n’y aura plus de désir de faire pour être, vous serez. Et s’il vous arrive de constater que, malgré vos efforts pour vous aimer, pour vous accueillir, pour vous pardonner et pardonner aux autres, vous réagissez encore et que la colère et la peur montent et que vos mécanismes de protection et de défenses s’activent, observez vos réactions et dites-vous : « Ce sont de vieux réflexes, de vieux mécanismes mis en place par mes peurs dans le passé mais je ne suis plus cela. Au plus profond de moi je suis lumière et je mets cette lumière dans cette situation. ». Alors vous pourrez à nouveau vous repositionner et ne pas laisser la colère vous envahir, ne pas laisser la peur vous étouffer et vous sentirez que vous reprendrez la maîtrise de vos vies. Ce n’est pas facile de rester dans la conscience de l’instant présent à chaque seconde. Ce n’est pas facile de voir clair en vous et d’accueillir vos pensées et vos intentions qui ne sont pas toujours pures car souvent polluées de peurs.
Aidez vos corps
Et à mesure que la transition se fera, vous découvrirez que, plus vous purifiez vos esprits plus vos corps réagissent. N’oubliez pas que ce sont vos corps qui ont intégré toutes vos souffrances, toutes vos peines. Ce sont eux qui ont porté vos esprits et ils sont plus généreux, plus conscients que vous ne croyez. Bien souvent l’esprit les a négligés, les a relégués au second plan alors que vos corps ont été des outils de conscience eux aussi. Ils ont été les outils de pouvoir de votre esprit qui doit enfin comprendre qu’il ne doit pas utiliser ce corps pour son bénéfice égoïste et pour arriver à ses propres fins.
L’esprit humain a utilisé bien souvent le corps afin de se montrer meilleur, plus
compétent plus intelligent, plus capable que les autres. Et si vous avez agi ainsi c’est que vos esprits egotiques ont eu peur de ne pas être à la hauteur. Voyez-vous la nouvelle subtilité de votre peur de ne pas réussir ? Elle cache la peur de votre ego cosmique qui ne désire pas s’avouer qu’il n’a pas réussi à rester lumière et amour et préfère s’illusionner en devenant le faire plutôt que l’Être.
Cette transformation de la pensée affecte vos corps qui déjà reçoivent de nouvelles vibrations des mondes cosmiques et spirituels. Chaque prise de conscience permet à votre taux vibratoire de s’élever et parfois, le corps a de la difficulté à suivre le mouvement d’ascension de la conscience ce qui provoque divers malaises. Ces malaises signifient que la transition est commencée pour vous. Ils sont d’ordre énergétique mais se manifestent par des malaises physiques émotionnels et perceptuels. Soyez à l’écoute de vos corps mais ne paniquez pas. Reposez-vous le plus possible, méditez régulièrement afin de calmer votre mental et restez neutre émotionnellement. Plus vous résisterez à ces énergies de transformation plus le passage sera difficile. Apprenez à faire confiance à votre esprit de lumière et LÂCHEZ PRISE SUR VOS PEURS car un merveilleux chemin de lumière s’ouvre dans la conscience de milliers d’êtres qui tels que vous, ont foi en l’avenir de l’humanité et sont prêts à changer de dimension.
Puisse vos énergies d’amour apporter foi et support à tous ceux qui hésitent encore à s’engager sur le chemin du retour à Soi. Et je vous remercie de faire votre part en ce moment où l’univers accélère sa transformation.
Message du Maître Sérapis Bey, reçu par Louise Racette et Mariette Robidas lors d’un atelier « Être la Présence Je suis« qu’elles ont animé en octobre 2011.
Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, si vous ne le modifiez pas et que vous citiez la source : www.energie-sante.net – Téléchargement libre de l’article, en .pdf
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Posté par othoharmonie le 3 mars 2012
La psychologie du bonheur par Katia Mayrand
La thèse développée est qu’il est possible de déconditionner son cerveau pour le reconditionner au bonheur, si besoin est. Toute l’attention est portée sur ce qui va bien, ce qui se passe bien, ce qui fait plaisir, etc.
Les conseils de vie donnés sont :
Soyez gentil.
Profitez des petits bonheurs de la vie.
Ayez un mentor.
Apprenez à pardonner.
Investissez temps et énergie dans la famille et les amis.
Prenez soin de votre corps et de votre santé.
Développez des stratégies pour faire face au stress et aux difficultés.
L’un d’eux consiste à tenir un journal de gratitude dans lequel vous écrivez, chaque soir, trois choses positives qui vous sont arrivées au cours de la journée et de quelle façon vous y avaient contribué.
Ensuite, vous pouvez pratiquer l’exercice de gratitude et remercier d’une manière générale vous-mêmes, la vie, vos parents, amis ou ennemis pour tout ce qu’ils vous apportent. Vous pouvez le faire de manière intérieure ou écrire des lettres de gratitude et les donner aux personnes concernées. Ceci améliore grandement votre sentiment de bien-être.
Enfin, vous pouvez décider d’une action altruiste, gratuite à l’encontre de quelqu’un, faire preuve de gentillesse dans la vie de tous les jours et surtout, observez les changements qui résultent de vos nouvelles attitudes.
Tal Ben-Shahar est docteur en philosophie dans la prestigieuse université d’Harvard aux Etats-Unis, ses cours sont parmi les plus suivis et avec un taux de satisfaction incroyable. Qu’enseigne-t-il pour attirer autant d’étudiants ? Il enseigne la science du bonheur ! Et ses enseignements sont simples, compréhensibles par tous et il invente des images pour nous faire comprendre sa psychologie du bonheur. Il a la théorie du hamburger, le principe des lasagnes etc. Il propose des attitudes différentes, des axes de compréhension et des exercices simples pour être « mieux ». Dans son livre, l’apprentissage du bonheur, il reprend les travaux de Martin Seligman et de Mihaly Csikszentmihalyi, en nous expliquant clairement comment utiliser ces recherches universitaires dans notre vie quotidienne.
Dans son livre, l’Apprentissage de l’imperfection, il nous explique que la cause de notre malheur existentiel est d’être en quête d’une perfection de vie inatteignable. Il nous offre, alors une mine d’exercices simples et intelligents : apprendre à être des parents « suffisamment bons », pratiquer la compassion pour soi, la chasse aux « oui mais », se donner la « permission d’être humain », appliquer la « règle d’or du juste milieu »… Des recettes pour être plus heureux et plus réaliste.
Lire la suite……. http://www.energie-sante.net/fr/HP061_la-psychologie-positive.php
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Posté par othoharmonie le 2 mars 2012
Bienvenue à Précy-sous-Thil,
au coeur d’une Bourgogne attachante et généreuse!
http://tourismebuttedethil.wifeo.com/
Situé aux portes du Parc Naturel du Morvan (nord-Est) dans le département de la Côte d’Or,
Précy-sous-Thil est un charmant bourg non loin des plus grands sites bourguignons
tels que l’Abbaye de Fontenay, le site d’Alésia, la cité médiévale de Semur-en-Auxois
et qui vous invite à la détente dans un environnement verdoyant et calme.
Terre par excellence pour les activités de pleine nature, le pays de l’Auxois Morvan saura répondre à toutes vos envies, qu’elles soient à faire en famille, entre amis ou en couple,
vous trouverez de quoi passer un séjour des plus sympathiques à moins de 30 km de Précy-sous-Thil…
Vous êtes peintre en herbe?
Participez à notre exposition de peintres amateurs au printemps 2012! le thème est lancé : LES PAYSAGES DE L’AUXOIS. Toutes les techniques de peintures, tous les supports sont acceptés… tout comme la créativité!
Téléchargez le bulletin d’inscription
les Hôteliers Restaurateurs de haute Côte d’Or ont leur site ! D’arnay le Duc à Rouvray, de Courban à Léry ou Précy-sous-Thil… la moitié de la Côte d’Or en un seul outil pour vous parler de restauration et de séjours et de bon accueil.
A suivre et à partager !
Transco
L’office de tourisme dispose de la billetterie pour le réseau de bus transco, vous pouvez venir vous procurer vos « billets sans contact » avec 1, 4 ou 10 voyages!
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