Entrer en contact avec les gnomes

Posté par othoharmonie le 30 avril 2012

Question : Comment entrer en contact avec les gnomes ?

Entrer en contact avec les gnomes dans APPRENDS-MOI 220px-Laminak-PontJ’en ai parlé dans de nombreuses conférences de mon vivant. Il faut honorer les règnes de la nature et les habitants de la nature. Maintenant, ce type d’habitant est sensible aux offrandes. Quel type d’offrande peut-on faire aux habitants de la Terre, aux gnomes ? Il convient de leur apporter des présents et des présents tout simples. Cela peut être un petit biscuit, quelque chose que tu as fait avec tes mains et que tu vas porter dans le lieu. Dans mes livres j’ai parlé des Esprits élémentaires de la nature et j’ai donné un certain nombre d’indications sur les rôles et les fonctions des ondines, des sylphes, des salamandres, des elfes et des gnomes. Relisez. Vous verrez. Il y a un certain nombre d’éléments qui sont extrêmement importants à comprendre quant à leur assignation et à leur rôle précis.

Vous ne pouvez pas absolument pas gêner leur monde et leur dimension. Vous ne pouvez qu’entrer en résonance à condition de leur apporter des présents. Chaque Esprit élémentaire a un amour immodéré pour ce sur quoi il règne et ce sur quoi il vit. En ce qui concerne les gnomes, c’est l’amour de la Terre, l’amour de la forêt, l’amour des bois. En ce qui concerne, les ondines et les sylphes, c’est l’amour de l’eau. En ce qui concerne, les salamandres, c’est l’amour du feu, et ainsi de suite.Les ondines et les sylphes sont très sensibles aux métaux et ce qui a été fabriqué par soi-même avec un métal, avec une forme. Pas nécessairement un bijou de grande valeur mais quelque chose qui a été travaillé par la main de celui qui offre. 

Les ondines et les sylphes sont liées à différents types d’eau. Maintenant on les appelle indifféremment dans la tradition ondine et sylphe. Il y a une toute petite différence selon la provenance. Mais néanmoins, ils participent du même règne. C’est comme les lutins et les gnomes, c’est la même chose sensiblement. Aux salamandres, il faut offrir quelque chose qui a brûlé et qui est passé par le feu, par exemple prendre de la cendre, faire un modelage en cendre, en mélangeant de la cendre et de la pâte à modeler, de faire un modelage extrêmement précis à la main toujours et d’apporter ce présent, dans le lieu où vivent les salamandres, qui n’est pas très loin de l’eau. 

220px-Lutin_by_godo dans APPRENDS-MOIPour les elfes c’est un peu plus compliqué. Le plus souvent, il faut faire une couronne tressée avec des plumes et leur apporter au pied d’un arbre, le plus haut exposé à l’air, toujours fait par la main de celui qui veut rentrer en contact.Voilà, chers amis, je me suis suffisamment déjà exprimé sur des choses que j’ai écrites de mon vivant dans certaines conférences en n’allant même un peu plus loin sur les cadeaux rituelliques et magiques précis que nous pouvons faire pour rentrer en contact avec les énergies élémentaires. Ces mondes de la nature sont extrêmement importants.

Je vous remercie maintenant. Et je pense maintenant que nous allons nous quitter et nous nous reverrons quand vous le souhaiterez. Je vous apporte ma bénédiction et surtout bon courage. Je vous dis à bientôt.

O. M. Aïvanhov

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Le sens ésotérique de l’attente

Posté par othoharmonie le 30 avril 2012

fond ecranDans un certain sens, l’état de présence peut se comparer à l’attente. Jésus a eu recours à cette métaphore de l’attente dans quelques-unes de ses paraboles. Il ne s’agit pas de la sorte d’attente ennuyeuse ou agitée dont j’ai parlé plus tôt et qui est une négation du présent. Il ne s’agit pas non plus de l’attente où l’attention est fixée sur un point dans le futur et où le présent est perçu comme un obstacle indésirable qui vous empêche d’obtenir ce que vous voulez. Il existe une autre sorte d’attente dont la qualité est très différente et qui exige de votre part une vigilance totale. Quelque chose pourrait se manifester à n’importe quel moment, et si vous n’êtes pas totalement éveillé, totalement immobile, vous passerez à côté. C’est de cette sorte d’attente dont Jésus parle. Dans cet état, toute votre attention se trouve dans le présent. Il n’en reste rien pour rêvasser, penser, se souvenir et anticiper l’avenir. Il n’y a là aucune tension ni aucune peur : seulement une présence vigilante. Vous êtes présent à tout votre être, à chaque cellule de votre corps.

 Dans cet état, le « vous » qui a un passé et un futur, la personnalité si vous voulez, n’est quasiment plus là. Et pourtant, rien de significatif n’est perdu. Vous êtes encore essentiellement vous-même. En fait, vous êtes plus totalement vous-même que vous ne l’avez jamais été, ou plutôt ce n’est que dans le « maintenant » que vous êtes véritablement vous-même.

 « Soyez comme le serviteur qui attend le retour de son maître », dit Jésus. Le serviteur n’a aucune idée de l’heure à laquelle son maître reviendra. C’est pour cela qu’il reste éveillé, vigilant, prêt, tranquille, sinon il ratera l’arrivée de son maître. Dans une autre parabole, Jésus parle des cinq femmes étourdies (inconscientes) qui n’ont pas assez d’huile (conscience) pour faire brûler leur lampe (rester présentes) et qui manquent ainsi le marié (le présent) et ne réussissent pas à se rendre au banquet de noces (l’illumination). Ces cinq femmes étourdies font pendant aux cinq femmes sages qui ont assez d’huile (qui restent conscientes).

 Même les hommes qui ont rédigé les Évangiles ne comprenaient pas le sens de ces paraboles. C’est ainsi que les premières fausses interprétations et des distorsions se sont insinuées dans les Écritures. Avec, ultérieurement, d’autres fausses interprétations, le véritable sens des paraboles s’est complètement perdu. Ces paraboles ne traitent pas de la fin du monde mais de la fin du temps psychologique. Elles font référence à la transcendance de l’ego et à l’idée qu’il est possible de vivre dans un état de conscience entièrement nouveau.

Eckhart Tolle/Le pouvoir du moment présent et son guide/Chapitre cinq : La présence en tant qu’état/Le sens ésotérique de l’attente

 

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Le Courage

Posté par othoharmonie le 29 avril 2012

 

L’Élan du cœur ou le courage d’être soi

Entretien entre Ghislaine St Pierre Lanctôt et Jean-Claude Genel
(Les 3 Mondes, n°32 -déc. 2002)

Le courage est présenté comme la valeur des circonstances extrêmes, mais aussi de plus en plus comme celle de tous les instants.

Extrait de l’interview dans son intégralité ICI … 

Le Courage dans Chemin spirituel courage_s094

La croyance dans le tout matériel a curieusement renforcé un sentiment de peur et d’insécurité. Pour l’explorer plus avant, j’ai rencontré Ghislaine St Pierre Lanctôt, célèbre auteure de La Mafia Médicale, qui incarne pour moi cette force d’action.

Ghislaine St Pierre Lanctôt : Le courage est un élan du cœur qui nous fait quitter la réflexion – parfois la spéculation et l’abstrait – pour passer à l’action. Il permet donc la concrétisation de la pensée qui conduit à l’action. Cette valeur m’évoque l’image d’une personne sur le bord d’un tremplin. Cette personne veut plonger, mais a peur de l’inconnu. Elle s’interroge : comment cela va-t-il se passer ? Y a-t-il de l’eau ? Vais-je bien plonger ? Quelle est la profondeur ? Cette peur légitime est celle du futur. Et nous voilà à hésiter, souffrir, entre l’élan du cœur qui veut plonger pour passer à autre chose, et la peur de ce qui va arriver. Le courage nous permet de prendre la décision de sauter, quoi qu’il arrive.

 

Etes-vous courageux ?

 Voici quelques pistes pour expérimenter, dans votre quotidien, le courage. Si vous les avez déjà explorées, vérifiez alors que vous savez garder le cap !

 L’élan du cœur

Vous avez déjà ressenti cette force qui vous a fait passer à l’action malgré le danger. Quel sera votre prochain acte de courage, là où jusqu’à maintenant vous hésitez à vous engager ?
Prendre la décision
Avez-vous déjà ressenti ce tiraillement entre l’élan du cœur et la peur de ce qui va arriver ? Si la situation semble se reproduire dans votre vie, qu’est-ce qui vous permettrait de prendre la décision de “ sauter ” ?

L’amour de soi
Vous avez déjà osé être vous-même malgré l’opposition. Dans ces circonstances, avez-vous eu le sentiment d’avoir perdu l’amour des autres ? Continuez-vous de donner la préférence à l’amour de soi ?

Aimer la peur
Etes-vous capable de reconnaître vos peurs, de les accepter et de les accueillir ? Qu’est-ce qui vous empêche de les aimer ?

Déplacer les montagnes
Quelle “ montagne ” avez-vous déjà déplacée, sans vous en rendre compte sur le moment, en étant courageux (ses) ?

Courage dans le couple
En faisant la paix avec vous-même, avez-vous constaté une amélioration dans votre relation de couple ? Quelle action “ courageuse ” vous permettrait de poursuivre cette amélioration ?

Apprendre à s’aimer
En étant courageux dans certaines circonstances, qu’avez-vous découvert et apprécié de vous-même ?

Valider les décisions
Une fois votre décision prise, savez-vous rester fidèle à votre décision première ?

La grande étape
Avez-vous déjà éprouvé le sentiment d’avoir vécu une grande étape dans votre vie en prenant une décision courageuse ?

 

Il y a la pensée d’un Sage qui dit ceci : “ Nous ne sommes pas des êtres humains venus vivre une expérience spirituelle, mais des êtres spirituels venus vivre une expérience humaine. ” Cette vision change nos points de repère habituels. Vivre une expérience humaine nécessite le courage d’affirmer en tout point l’être spirituel que l’on est. C’est manifester le courage qu’il faut pour venir dans la matière.

 

G.S.P.L : A cause de mon livre La mafia médicale et de la position que j’ai prise, les gens me disent que je suis courageuse ! Mais je leur fais toujours cette réponse : “ Je vais vous dire un secret, l’élan de mon cœur pour écrire ce livre était tellement fort que cela m’aurait demandé beaucoup plus de courage pour ne pas l’écrire ! Et si j’avais résisté à cet élan, je serais sans doute tombée malade. ”

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L’obéissance

Posté par othoharmonie le 29 avril 2012

L’obéissance, un mot qui nous gratte les oreilles !


Pour la série vidéo Des Valeurs à Vivre (1), J. Genel a demandé à Rémi Tremblay comment se vit l’obéissance au sein de son entreprise. Toujours à l’écoute de ses collaborateurs et n’obéissant qu’à son intuition, il se confie sur cette valeur qui lui permet d’être toujours lui-même.

 Je trouve remarquable que, dans une entreprise, un patron obéisse aux talents de ses collaborateurs, quelle que soit leur fonction. C’est peut-être le secret d’une véritable communication, d’une vraie relation que vous savez entretenir et qui fait votre succès, chacun reconnaissant son propre talent, celui des autres et chacun étant à sa place. Est-ce ainsi que vous avez réussi ?

 

L'obéissance dans Chemin spirituel image_009C’est la façon que nous avons trouvée. Est-ce la meilleure ? J’ai beaucoup de difficultés avec les modèles. Je pense que si les schémas de gestion d’entreprise ou de gestion de vie fonctionnaient, il n’y aurait pas autant de détresse et de milliards de dollars dépensés en santé mentale dans nos organisations. Il y a donc urgence à explorer de nouvelles pistes et nous l’avons fait en nous explorant nous-mêmes au fil des années. Nous avons commencé par définir nos besoins, nos rêves et, très vite, nos valeurs. Nous nous sommes demandé comment nous voulions vivre entre nous. Notre approche a donc été plus philosophique et nous avons ensuite abordé la spiritualité. Nous avons fait en sorte que tout au long de notre découverte, notre “ organisation ” – autant notre entreprise que notre propre famille – nous ressemble toujours et qu’elle soit le reflet de ce que nous sommes.

 

Nous avons réalisé que la conscience, dans une équipe, peut être exprimée par différentes personnes selon les circonstances. Le patron ne doit pas toujours être le visionnaire. Adolescent, je n’avais aucune considération pour le talent que j’incarne aujourd’hui parce que je voulais avoir celui des autres ! Mais le jour où je l’ai reconnu, c’est devenu plus facile d’accepter de ne pas posséder les autres et d’y être fidèle.

 

En obéissant à ce que tu as ressenti lors de prises de décisions importantes, tu as fini par récolter ce que tu avais semé : la cohérence, l’honnêteté, la confiance, l’amour et la réussite professionnelle. Peut-on aller jusqu’à affirmer que l’obéissance à ce que l’on est, ce que l’on perçoit ou ce que l’on ressent peut être porteur des changements de société que les gens espèrent ?

 

Beaucoup de gens me l’ont dit. Et même au moment où je ne m’écoutais pas, je suppose que cela a eu un effet dans mon inconscient. J’ai l’impression d’avoir reçu dix fois ce que j’ai demandé à la vie. Cela va m’aider dans ce travail de reconstruction de l’équipe canadienne. Mais je ne pense pas l’exprimer ainsi à mes équipes. Je vais essayer de partir à la découverte de qui ils sont et de devenir leur regard sur eux-mêmes. Certains des leaders m’ont déjà dit : “ Rémi, quand on se regarde dans tes yeux, on a l’impression qu’on se voit mieux que dans le miroir ! ” J’essaie juste de partir à la découverte de leur grandeur afin qu’ils y obéissent.

 

Auras-tu un message à leur transmettre d’emblée ?

 

Ce sera de leur dire qu’il faut être sans attente. Leur entreprise a vécu des moments très difficiles et je leur demanderai où ils étaient quand tout ça s’est produit. A l’instant, tu parlais de semer et récolter. Eh bien, je pense qu’il faut le faire d’abord pour soi. Le danger est de devoir le faire pour les autres. Semer de l’espoir, ça me va, mais semer des réponses est un risque et j’ai un peu cette tendance… Si je sème des jonquilles et qu’ils attendent des tulipes, ça ne va pas. Il faut s’assurer ensemble de semer “ la bonne affaire ” et ça, c’est une responsabilité qui nous appartient.

 

Depuis le début de cette série sur les valeurs, nous découvrons comment chacune d’elles révèle à sa manière notre beauté intérieure. Toutes semblent connues, mais chaque entretien permet aussi de les redéfinir. Merci Rémi de l’avoir fait avec l’obéissance.

Avec l’influence culturelle et religieuse que le Québec a subie, je pense que l’obéissance est un mot que l’on doit redéfinir aujourd’hui. J’ai essayé de le faire, mais il nous “ gratte encore les oreilles ”, les gens ont un peu de difficulté avec cette confusion qui existe entre obéissance et soumission. Dans mon entreprise, la dernière valeur abordée a été la liberté. Nous avons évoqué autant le concept de liberté intérieure qu’extérieure. Le prochain sera peut-être l’obéissance et je t’en remercie.

(1) Réalisée avec douze personnalités québécoises autour des valeurs.

(2) Remy Tremblay : Leader d’influence au Québec par sa pensée et sa cohérence dans l’action, il a été PDG d’Adecco Canada. Auteur de deux ouvrages : Découvrez et Les fous du roi (AVM diffusion avmlib@wanadoo.fr)

 

Etes-vous fidèle ?

L’obéissance, comme le dit Rémi Tremblay, est un mot qui nous “gratte les oreilles” ! Neuf fois sur dix, il est synonyme de soumission, de servitude, de subordination. Dans l’esprit des gens, on obéit toujours à une autorité extérieure : le parent, l’éducateur, le plus fort, le chef, etc. Ainsi, on n’est plus fidèle à ce que l’on est. Alors, qu’en est-il de l’obéissance à soi-même ? Nous en faisons l’expérience quotidiennement ! Comment ? En écoutant notre intuition, notre ressenti, en suivant notre idée. L’obéissance est faite de ces petites victoires qui nous mettent en confiance. Elles nous rendent courageux quand on doit désobéir à tout ce qui peut nous mettre en danger – nos propres pulsions destructrices, les manipulations extérieures, etc. L’acte d’obéissance doit toujours nous permettre de rester en accord avec nous-mêmes et il doit se traduire par un bien-être intérieur et une force pour en assumer les conséquences.

 

Jean-Claude Genel dans l’article paru sur http://www.gproductions.fr  presse  

 

 

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Désordre de Sommeil

Posté par othoharmonie le 28 avril 2012


À part les cauchemars, il y a plusieurs troubles du sommeil qui affectent de façon significative la population. L’insomnie, incapacité à trouver le sommeil ou manque de sommeil, affecte plus de 20% de la population. Elle est souvent attribuée au stress, qui cause des inquiétudes qui freinent le sommeil. L’apnée du sommeil, arrêts respiratoires pendant le sommeil (principalement pendant un sommeil REM), est un autre désordre qui est souvent associé à l’obésité et/ou au ronflement intense et qui a pour conséquence de causer la fatigue pendant la journée. Il est difficile de diagnostiquer ce trouble ailleurs Fichier:Meister des Jog-Vashisht-Manuskripts 001.jpgqu’en laboratoire, puisque la personne atteinte est endormie. Elle a peu de moyens pour identifier la source du problème (bien que des appareils destinés à la maison sont maintenant disponibles). La paralysie du sommeil est relativement courante, mais rarement sévère. Elle se manifeste pendant le sommeil lorsqu’une personne est partiellement éveillée et se retrouve incapable de bouger pour un certain temps après le réveil. Cela peut paraître épeurant, mais il n’y a pas de danger.

Les parasomnies sont un ensemble de troubles incluant les cauchemars (qui se manifestent souvent pendant de longues périodes REM), marcher et parler pendant le sommeil, mouiller le lit, se bercer pendant le sommeil, et grincer des dents (lesquels apparaissent tous pendant une période de sommeil non-REM. Le grincement des dents est révélé par l’usure des dents inférieures ou par une douleur à la mâchoire).Les terreurs nocturnes font aussi partie de cette catégorie et diffèrent des cauchemars en ce qu’elles se manifestent pendant une période de sommeil non-REM, et sont si intenses que le rêveur se réveille en panique, souvent en criant, avec des battements de coeur, et peu de souvenir de son rêve.

La narcolepsie, souvent associée à la paralysie du sommeil, et aux rêves terrifiants de l’endormissement, est caractérisée par d’irrésistibles attaques de sommeil pendant la journée, la personne s’effondrant aux moindres émotions fortes (cataplexie) tout en restant consciente (ne pas confondre avec l’évanouissement).

Montréal est reconnue à travers le monde pour sa technologie et ses méthodes du traitement des désordres du sommeil par Le Centre d’étude du sommeil de l’Hôpital du Sacré-Coeur

Copyright 1996 La Fondation R.E.P.O.S.
(514) 990-2113 

E-mail: info@dreams.ca
Page Mère: http://www.dreams.ca/

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Diverses sortes de rêves…

Posté par othoharmonie le 28 avril 2012

Diverses sortes de rêves... dans Rêves 173px-Goya-El_sue%C3%B1o_de_la_raz%C3%B3n-largeCauchemars, rêves anxiogènes (angoissants), et rêves répétitifs
A peu près tout le monde a connu des rêves anxiogènes et effrayants. Ces expériences peuvent s’avérer traumatisantes et peuvent être répétitives. Pour certains, les rêves déplaisants se répètent dans leur contenu. Pour d’autres, le contexte change tandis que le thème reste le même: voire des scènes de chutes ou de poursuites, des attaques, ne pas être prêts pour une présentation ou pour un examen, être en retard, être incapable de bouger, ou être nu en public, pour n’en nommer que quelques-uns. Les recherches ont démontré que la plupart des rêves répétitifs sont décrits comme des rêves déplaisants. De plus, plusieurs théories révèlent que ces genres de rêves sont souvent associés à une incapacité du rêveur à identifier et à résoudre ses problèmes dans la vie.

Dès la plus tendre enfance, la peur des cauchemars les angoisses ou fausses croyances à propos des rêves et de l’inconscient peuvent bloquer le souvenir des rêves. Cela peut se maîtriser par l’apprentissage de la nature utile des rêves et en admettant que beaucoup de cauchemars représentent des opportunités de guérison et d’introspection et peuvent être le présage de déséquilibres psychologiques, ou de comportements ou de décisions qui pourraient être nuisibles à moins de les changer, tel qu’illustré par un rêve réalisé par un pionnier de la recherche sur le sommeil de l’Université de Stanford, Dr. William Dement:

« Il y a plusieurs années, je fumais jusqu’à deux paquets de cigarettes par jour. Puis, une nuit j’ai fait un rêve extrêmement clair et réel dans lequel je me voyais avec un cancer du poumon incurable. Je m’en souviens comme si c’était hier. Lorsque j’ai vu cette zone sombre sur ma radiographie (Rayon-X) et réalisé que mon poumon droit était complètement atteint, j’ai éprouvé une incroyable angoisse de voir que ma vie tirait à sa fin, que je ne verrais jamais grandir mes enfants, et que tout ceci ne serait jamais arrivé si j’avais arrêté de fumer au moment où j’ai su que je courais un danger de contracter le cancer. Je n’oublierai jamais la surprise, la joie, et le soulagement exquis de me réveiller. Je me suis senti renaître. Inutile de dire que l’expérience m’avait persuadé de cesser immédiatement de fumer. »

Il existe heureusement des traitements contre les cauchemars qui ne font pas appel à des médicaments et qui s’avèrent très efficaces. Parmi eux se trouvent des techniques incluant le « dialogue vocal », le rêve lucide, l’imagerie guidée, et la re-création du rêve. (Voir Applications des rêves et rêves lucides: Comment résoudre les cauchemars).

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Fonctions du rêve

Posté par othoharmonie le 28 avril 2012


  »Le rêve est la voie royale qui mène à l’inconscient« .

 Freud a découvert que le rêve permettait d’accéder à l’inconscient. La fonction principale du rêve est d’être une réalisation fantasmatique du désir. C’est une sorte de soupape de sécurité, une activité compensatoire.

Fonctions du rêve dans Rêves 220px-Atrapasuenos Le rêve est aussi le gardien du sommeil: les conflits internes sont transposés de telle manière que le rêveur peut continuer à dormir. Il n’y a pas de passage à l’acte. Le rêve protège le sommeil en permettant la satisfaction des pulsions, leur écoulement, d’une manière déguisée pour éviter les trop grandes excitations et l’intervention culpabilisante du Surmoi.

 Le rêve a, de même, une fonction de liaison: il y a liaison entre d’une part les énergies psychiques que sont les pulsions et d’autre part le mécanisme du refoulement. C’est un compromis entre le conscient et l’inconscient. Le rêve réalise deux désirs dans la mesure où ils s’accordent (désir de dormir et désir affectif).

 Quelquefois la fonction de compromis est ratée: c’est le cas dans le cauchemar, aussi nommé « rêve d’angoisse« , dont la conséquence est le réveil. Le cauchemar est une autopunition, preuve de l’existence durant le sommeil, de la censure du Surmoi. Cette censure continue donc à s’exercer pendant le déroulement des décharges psychiques. Le rêve n’est alors plus le gardien du sommeil. C’est là l’équivalent d’un épisode psychotique, et la charge affective de plaisir s’est retournée en charge de déplaisir.

 Distinction entre le délire (vécu psychotique) et le rêve (vécu névrotique): notons que dans le délire, le Moi est submergé, et ne peut plus apparaître, le délire s’imposant comme étant la réalité, dont le sujet ne peut s’extraire. Tandis que dans l’expérience du rêve, le rêveur revient toujours de sa réalité onirique. 

Le rêve a une fonction physiologique: stimulation corticale et décharge du système nerveux. 

Le rêve permet également d’intégrer les expériences de la journée dans la vie psychique du sujet. 

Précision: le rêve de l’enfant présente moins de contenu latent que celui de l’adulte. 

http://psychiatriinfirmiere.free.fr/infirmiere/formation/psychiatrie/adulte/pathologie/delire.htm

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Guérir soi-même

Posté par othoharmonie le 27 avril 2012

 

 Pour se guérir soi-même, il faut en premier se voir comme un Dieu.  Nous sommes tous Divin et sommes la conscience d’un vaste univers qui est notre corps glorieux.  Ce corps se divise en différents niveaux allant de la matière en passant par les émotions, les pensées les sentiments etc.

Ce corps est aussi complexe que peut l’être une galaxie entière et de ce fait, il faut le voir comme tel. 

Guérir soi-même dans Auto-Guérison auraexempleVous êtes l’être suprême, la conscience qui contrôle l’équilibre de ce vaste ensemble.  Vous détenez toute la puissance et tous les pouvoirs pour maintenir l’harmonie dans votre univers car vous êtes l’essence qui unit toutes ses individualités en un tout cohérent.  Vous êtes responsable de multiples

vies pour ce qui a trait à leur bonheur ou à leur malheur.  Pour eux, vous êtes le Dieu, l’énergie première qui les anime et les entoure.   Alors, décidez maintenant d’être un Dieu d’amour et de bonté plutôt qu’un Dieu de haine et de vengeance.  Ne soyez plus ni un tyran ni un Dieu qui néglige sa création.  N’oubliez pas que toutes vos émanations vous reviennent un jour ou l’autre.  Donc ce que vous émettez envers les autres, c’est aussi envers vous-même que vous le faites.  C’est pour cela que l’on dit souvent que les déséquilibres qui nous dérangent chez les autres peuvent nous servir à mesurer nos propres déséquilibres intérieurs.

 Votre corps physique est votre corps de base le plus stable, le plus  abouti, donc le moins enclin aux dissonances.  Ce qui fait que les perturbations, les maladies, les difformités qui l’affectent ne peuvent venir que des autres corps encore instables, en plein développement.  Ce sont les émotions, les pensées et les sentiments encore immatures, confus, voire perturbés, qui affectent l’état de votre corps physique.

 Donc, vous devez faire en sorte que l’énergie circule dans tous vos corps d’une façon qu’elle soit répartie également.  Car la maladie est un déséquilibre énergétique provoqué par un déséquilibre de vos émotions, vos pensées ou vos sentiments, etc.  Ce déséquilibre prolongé exagérément amène une cristallisation de la matière donc un appauvrissement de l’énergie dans une zone précise du corps correspondant.  Sa densification en matière va descendre automatiquement le fil des corps si la cause perdure jusqu’au plus dense, dans votre cas, le corps physique.  A cette étape, il est indispensable de refaire à rebours le chemin pour remonter à la source et ainsi faire cesser la cristallisation.  Normalement, si le blocage, la situation figée est réanimée, l’énergie à nouveau vibrera et circulera librement.  Toute émotion, pensée, sentiment même les plus pénibles, s’ils sont vécus pleinement, sont cause d’un déséquilibre temporaire mais non de maladie à long terme.  C’est leur blocage, le refus de les vivre en totalité, leur cristallisation en nous qui provoquent des déséquilibres plus graves, voire permanents.  Faire circuler l’énergie dans tous ces corps, c’est d’accepter de faire circuler librement toutes les sensations qui nous parviennent de l’extérieur.  De les assumer toutes comme étant le reflet de nos propres émanations donc nécessaires à l’évolution de notre conscience. 

Ne soyez plus comme un Dieu qui répand discorde, désunion et souffrance en lui.  Donnez à votre univers ce que vous attendez de votre propre être suprême à qui vous appartenez.  Répandez des vagues d’amour, de bonté, de beauté, de vérité à travers vos différents mondes intérieurs et recevez, en retour, leurs vagues de reconnaissance. 

 N’attendez pas plus des mondes extérieurs que ce que vos mondes intérieurs reçoivent de vous. 

Extraits du livre NAJA L’ILLUMINÉ -  PREMIER PORTRAIT  À L’ORIGINE DE TOUT CANALISÉ PAR

                     COLIN CHABOT – retrouvez les écrits en son entier ici : http://www.music-close-to-silence.net/a_lorigine_de_tout.pdf

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Le chemin intérieur

Posté par othoharmonie le 27 avril 2012

 

 « Imaginez que vous possédez une magnifique maison, toute ronde, tout en harmonie. Vous pénétrez à l’intérieur. Il y a tout autour de nombreuses pièces. Vous n’ouvrirez que les portes des pièces les plus importantes pour vous.

Le chemin intérieur dans Exercices simples 2625226848_1Ouvrez la première porte. Elle vous fait pénétrer dans une pièce où se trouvent manifestées toutes les expériences difficiles que vous avez vécues dans votre existence. Ce lieu vous permet de nettoyer de tout ce que vous avez vécu et qui n’a plus aucune utilité à ce jour. Essayez de voir tout ce qui n’est plus utile, tout ce qui a pu créer en vous des souffrances, des révoltes, tout ce qui vous a paru injuste. Chaque fois que vous découvrez une expérience, inondez-la de la lumière, annihilez-la dans la lumière et dans l’Amour Christique. Elle ne vous appartient plus.

Petit à petit votre pièce se vide. Maintenant se présentent à vous toutes les expériences agréables, tout ce qui a pu vous apporter du bonheur, de la joie. Imprégnez-vous-en.

Sortez et prenez l’autre porte à côté. Ouvrez-la et entrez dans une nouvelle salle. Elle est beaucoup plus claire, beaucoup plus lumineuse que la première. Vous y rencontrez un Etre qui vous demande : « qu’est-ce qui est important pour vous ? » Essayez de réfléchir et de comprendre ce qui est important pour vous.

Sortez de cette salle et entrez dans la suivante. Elle est encore plus lumineuse que la précédente. Un Être vous y accueille avec un grand sourire et vous pose la question : « quels sont vos désirs humains et spirituels profonds ? »

Sortez et pénétrez dans la suivante. L’Etre qui vous reçoit est beaucoup plus lumineux que le précédent. Vous le percevez différemment car vous commencez à rentrer dans les vibrations de l’énergie de cette pièce. Vous commencez à sentir votre corps beaucoup plus léger, beaucoup plus subtil. Cet Etre vous pose la question : « Comment aimez-vous, de quelle manière ? » Demandez-vous si vous êtes généreux dans cet Amour, si vous aimez pour vous ou si vous aimez inconditionnellement. Comment aimez-vous ?

Sortez de cette pièce et vous pénétrez dans la suivante. Deux êtres vous attendent dans ce lieu. La lumière est encore plus belle, plus éblouissante, et vous perdez de plus en plus de densité, vous n’avez plus la conscience de votre corps physique. Vous commencez à réaliser que vous êtes énergie, vous commencez à prendre conscience de l’Etre de Lumière que vous êtes, de l’autre réalité de vous-mêmes. »

Un des Êtres dit :

« Apprenez à vivre en symbiose mais aussi en conscience avec la totalité de ce que vous êtes, apprenez à demander de l’aide à la pure énergie d’Amour qui est au plus profond de vous-mêmes mais qui envahit aussi tout votre corps et bien au-delà. Sachez que vous pouvez tout lui demander, qu’elle accomplit des miracles pour vous car vous, vous êtes elle et elle, c’est vous. Vous êtes une seule et même réalité.

Vous vous sentez parfaitement bien dans cette pièce, il n’y a plus aucune limite dans le don d’Amour. Il n’y a plus aucun frein. Vous vous réalisez dans la Lumière, vous êtes Puissance infinie, vous êtes Amour Universel.

Vivez cet état dans votre corps, dans vos cellules, dans votre conscience humaine, dans votre conscience spirituelle, dans votre conscience Divine, vivez cet état dans votre totalité.

Le chemin intérieur est fondamental pour que vous puissiez réaliser la fusion. Tout se passe entre vous et vous mais tout se passe aussi entre vous en totalité, l’Univers et toute vie.

Maintenant sortez de cette pièce et vous allez dans une autre. Elle est plus petite et toute ronde, inondée de couleur bleue. Un son très doux et très puissant fait vibrer toutes vos cellules. Même si vous ne l’entendez pas physiquement, vos corps subtils et même votre corps de matière le ressentent et l’entendent.

Quittez ce lieu et passez dans une autre toute petite pièce éclairée d’une lumière blanche. Cette lumière vous pénètre en totalité. Vous êtes Lumière. Toutes vos cellules, toute votre matière vibrent dans cette Lumière.

Passez ensuite dans la dernière pièce. C’est une toute petite pièce où se trouve une magnifique lumière dorée. Cette lumière dorée, c’est l’Amour Universel, c’est la vibration de cet immense Amour. Cette vibration imprègne toutes vos cellules et imprègne votre cœur et votre âme.

Maintenant vous vous retrouvez tous au milieu d’une magnifique sphère, immatérielle bien qu’existante, comme un vaisseau de Lumière.

Projetez tout l’Amour qui est dans votre cœur physique, dans votre cœur spirituel, dans votre cœur Divin sur tous vos frères de ce monde. Imaginez que tout l’Amour que vous projetez sur eux éclaire l’immense corps que forme l’humanité.

Il vous sera aussi beaucoup demandé de travailler pour tous ceux qui partent, qui sont un peu perdus par ces départs parfois précipités. Avant de pouvoir réellement donner, avant que ce don ait la puissance nécessaire, il y a un travail comme celui-ci à faire

Visualisez-vous au centre de cette magnifique sphère et projetez l’Amour sur votre mère la Terre, sur toute vie et dans tout l’Univers.

Vous pouvez également projeter cet immense Amour, cette merveilleuse énergie sur les êtres qui vous sont chers et qui ont quitté le plan de la Terre et vers ceux, inconnus, qui partent ou qui partiront bientôt massivement. »

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

  • qu’il ne soit pas coupé
  • qu’il n’y ait aucune modification de contenu
  • que vous fassiez référence à notre site  http://ducielalaterre.org
  • que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

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Spiritualité de la non-pratique

Posté par othoharmonie le 27 avril 2012


Confrontés à la mort et la souffrance extrême, nous pouvons avoir une ouverture… mais cette ouverture est perdue quand les conditions changent.

Spiritualité de la non-pratique dans SPIRITUALITE c'est quoi ? 51841766Baser son bonheur sur la recherche de la souffrance et la fuite du plaisir, c’est juste faire le contraire de ce que font les gens ordinaires, c’est passer d’un extrême à l’autre. Bon, d’un point de vue didactique c’est peut-être excellent, car voir les choses de 2 manières extrêmes et opposées, ça peut nous donner l’intuition de la Voie du Juste Milieu. Autrement, on reste prisonnier de l’attachement à un bonheur conditionné, alors que le vrai bonheur ne peut pas dépendre de causes et de conditions.

Quel est le but de l’existence ? Se dissoudre dans ce que l’on peut appeler le grand « Oui ». C’est la Vie Eternelle, le Nirvana des bouddhistes, et pour y arriver il ne faut pas essayer de changer le monde (jusqu’à aujourd’hui personne n’a réussi !) car c’est la voie de ceux qui croient à l’utopie matérielle (généralement ceux qui s’intéressent à la politique) ; il ne faut pas non plus essayer de changer de monde car c’est la voie de ceux qui croient à l’utopie spirituelle (généralement ceux qui s’intéressent à la religion). Tout ce qu’il faut, c’est transformer notre perception afin d’accepter pleinement ce qui est ici et maintenant.

Pour ceux qui accomplissent cet exploit, car il s’agit bien-là de quelque chose de subtil et de difficile à faire, la récompense est une félicité insurpassable. Mais cet exploit s’accomplit au-delà de notre volonté ; simplement un jour cela advient, plus rien ne fait obstacle à la dissolution de notre être dans le grand « Oui », qui est la nature véritable du réel.

Ce grand « Oui » naît dans notre ventre (le centre de notre être) et se déploie dans l’espace jusqu’à remplir tout l’univers. Il s’agit d’une présence merveilleuse, d’une présence aimante qui pénètre tout, imbibe tout… il s’agit de la quintessence de la beauté, de la pureté, et du mystère…

Il s’agit d’un Oui total, inconditionnel et sans limite à ce qui est… Et dans cette ouverture, dans ce Oui, apparaît une joie surhumaine, qui ne va pas de l’extérieur vers l’intérieur, comme les joies ordinaires, les joies mondaines ; mais une joie qui part du cœur, de l’intérieur, et rayonne vers l’extérieur… Etre dans cet état, c’est être véritablement heureux…

Voici les conséquences :

Quand nous sommes heureux nous n’avons plus peur de la mort. En effet, si nous avons peur de la mort, c’est parce que nous sentons intuitivement que si nous mourons sans avoir le cœur en paix, en étant dans le refus de ce qui est, cet état continuera après. Et donc ce dont nous avons peur, c’est donc d’être éternellement malheureux. Celui qui est vraiment heureux ne peut pas avoir la moindre peur de la mort, car mourir en ayant le cœur ouvert, en étant dans le Oui, n’est aucunement problématique ni affligeant.

Celui qui est vraiment heureux n’a pas non plus la moindre inquiétude pour autrui. Quand tout l’univers est remplit par la Joie Vivante, jouissance et souffrance, bien et mal, sont perçus comme les 2 pôles d’une illusion, d’une hallucination…

Celui qui est vraiment heureux n’est plus préoccupé par la recherche des causes du bonheur. Plus besoin de se demander « qu’est-ce que je dois faire ? », « qu’est-ce que je ne dois pas  faire ? ». Plus besoin de s’inquiéter pour l’avenir, de se demander de quoi demain sera fait. Plus besoin d’imaginer l’avenir, plus besoin de faire constamment un effort pour contrôler notre vie. Quand nous sommes pleinement heureux, pourquoi essaierions-nous de contrôler notre vie, notre destin… Plus besoin de s’obsessionner sur notre histoire personnelle, plus besoin de penser sans cesse à notre petite vie, à nos petits problèmes et à nos petites solutions… C’est le grand lâcher-prise, la fin de l’attachement à notre histoire personnelle, la fin de toutes les crispations, la fin de toutes les tensions (physiques et mentales). C’est la grande paix, le grand repos, auquel notre cœur et notre esprit aspirent depuis le commencement.

Celui qui est vraiment heureux n’est plus séparé de quoi que ce soit. C’est ça le grand miracle du Oui !

Celui qui vit dans le monde d’En-Haut, si par exemple il regarde une montagne à l’horizon, il ne la voit pas comme étant « loin » de lui, mais au contraire comme étant infiniment proche, en quelque sorte « collée » à lui, comme si nos yeux et ce que perçoivent nos yeux étaient sur le même plan.

Et si il n’y a plus rien au loin, si tout est infiniment proche, alors les notions de distance et de mouvements tombent. Si il n’y plus de mouvement, il n’y plus de temps (c’est le mouvement de l’aiguille de la montre qui créé la notion de temps).

Mais surtout il n’y plus de souffrance ni de peur. La souffrance et la peur apparaissent quand nous sommes confrontés à une situation qui est selon notre jugement « une mauvaise situation ». Nous essayons alors de mettre de la distance entre cette situation et nous. C’est cette folle tentative pour mettre de la distance entre la situation et nous, qui fait naître la souffrance et la peur en nous. En effet, il est évidement impossible de créer une séparation entre moi et ce qui est.

Quand notre esprit perçoit quelque chose de douloureux, il commence à s’agiter et essaye de se séparer de ce quelque chose de douloureux. Et c’est cette attitude qui permet à la souffrance de nous nuire.  Si au contraire, quand notre esprit perçoit quelque chose de douloureux, il reste uni et « collé » à ce quelque chose de douloureux, tout en restant calme et paisible, la souffrance « reste seule avec elle-même » et se dissout. C’est « la folie du Oui » selon l’expression de A. Desjardins.

En résumé, si nous disons Oui à quelque chose, cette chose devient notre amie ; si nous disons Non à quelque chose, cette chose devient notre ennemi.

Et c’est valable pour n’importe quoi… Un coup est douloureux parce que nous croyons qu’il l’est, et que nous le refusons ; une caresse est agréable parce que nous l’acceptons. Mais si nous disions Oui aux coups et Non aux caresses, les coups nous seraient agréables et les caresses pénibles !

Donc, 1000 ou 10 000 fois par jour, nous devons face aux différentes situations qui se présentent et choisir de dire Oui  ou Non à ce qui se présente. Si nous disons Oui, le monde apparaît comme Nirvana et nous comme des éveillés ; si nous disons Non, le monde apparaît comme Samsara et nous comme des non-éveillés. Comme l’a dit Sogyal Rinpoché, le Nirvana et le Samsara sont co-émergeants, et à chaque instant nous devons choisir entre les 2.

Donc, l’éveil n’existe pas comme on le croit, et la réalisation suprême… c’est juste la fin d’une sale habitude, la fin de l’habitude de dire non à certaines choses. Par la grâce du maître intérieur, puissé-je être définitivement délivré de cette mauvaise habitude, et puisse tous les êtres aspirer à une telle délivrance !

En fait, comme l’a bien dit Karl Renz, tous nos efforts, toutes nos techniques, nos pratiques, etc, pour réaliser Cela sont vaines. La réalisation de Cela, la totale dissolution dans le réel advient non pas grâce à nos tentatives pour y parvenir, mais malgré nos tentatives pour y parvenir. Selon K. Renz :

« Reconnaître spontanément que l’existence précède rien et tout. Sans aucune préparation, en dépit de – et non à cause de – la recherche de la connaissance. La révélation du présent éternel. L’absence du  » moi  » et donc l’absence de tout concept de séparation et d’union, de naissance et de mort, de Dieu et du monde, de jaillissement et de disparition, etc.

L’absolu est conscient de lui-même, c’est pourquoi il est ce qui est. Pure connaissance de Soi, en découvrant que tout ce qui peut être connu est une fausse connaissance. La disparition définitive du temps et de tout ce qui paraît s’inscrire dans le temps. Et cela s’applique également à ce que je viens de dire sur la libération, la vérité, etc. »

Ces descriptions ne font qu’indiquer ce qu’il n’est pas nécessaire de connaître ou de réaliser pour être ce qui est. Et c’est ce que tu es : l’Etre absolu, éternellement harmonieux. »

Donc, fondamentalement il n’y a rien à faire ! Quand nous disons Oui à ce qui est, nous progressons vers le but de l’existence (d’une manière joyeuse); quand nous disons Non à ce qui est, nous progressons vers le but de l’existence, mais d’une manière douloureuse ! En fait, c’est quand nous prenons clairement conscience que les effets du Non sont toujours pires que ses causes, que nous abandonnons définitivement l’habitude de dire Non à ce qui est.

Toute nos expériences de vie nous conduisent, que nous en soyons conscients ou non, que nous voulions le provoquer ou l’empêcher, vers le but de l’existence, qui l’acceptation sans condition de ce qui est, la capacité d’aimer les choses telles qu’elles sont et d’être constamment en totale adhésion avec le réel.

La non-pratique ne conduit pas à l’éveil, mais au non-éveil. Il ne s’agit pas d’une voie, mais d’une non-voie puisque dans cette non-voie, que l’on nomme aussi voie immédiate, la cause et l’effet, le moyen et le but, le travail et le salaire, etc, ne sont aucunement séparés.

Voici un exemple pour illustrer cela : un petit enfant joue à un jeu vidéo à l’ordinateur et s’identifie au personnage principal, le « héro ». Ses parents l’ont appelé il y a déjà longtemps pour qu’il vienne manger. Malgré le fait qu’il ait faim, qu’il soit fatigué, nerveux et tendu par le jeu, il continue à jouer… Pour quitter le jeu, il n’a pas quelque chose de spécial à faire, il doit juste reprendre conscience et se désidentifier du personnage auquel il s’identifie.

la-puret%C3%A9-de-l-esprit dans SPIRITUALITE c'est quoi ?Le but de la voie progressive c’est de terminer le jeu, vaincre tous les monstres et les démons, franchir tous les niveaux et conclure glorieusement en sauvant la princesse ! Le petit enfant dit à ses parents qui l’appellent : « Je quitterai le jeu lorsque ma partie sera finie », sous-entendu lorsque j’aurais gagné. Mais même si il arrive à franchir tous les niveaux et à obtenir la victoire finale, qu’est-ce qui nous dit que le petit enfant ne va pas recommencer une nouvelle partie ?

Le but de la voie immédiate, c de quitter le jeu ici et maintenant. Pour ce faire, il n’y rien de spécial à accomplir. Il s’agit juste de reprendre conscience de ce qui se passe ici et maintenant, ce qui détruit notre identification au personnage que nous jouons habituellement. Il faut bien comprendre que lorsque le petit enfant abandonne le jeu et retourne vers ses parents, il revient dans son état normal, habituel. Etre un avec ce qui est, vivre dans la lumière sans subir la peur et la souffrance, c’est notre état normal, notre état habituel. Par contre, ce que nous vivons en ce moment, cette identification à un personnage qui n’a rien à voir avec ce que nous sommes réellement, notre pauvre esprit enfiévré qui est constamment en proie au délire et à l’hallucination et se débat dans un monde qui n’est pas du tout perçu pour ce qu’il est, voilà  bien un état extraordinaire et anormal !

Jésus Christ a réussi l’exploit de s’incarner dans notre rêve délirant, comme un père à la fois bon et tout-puissant qui aurait compris que son fils est en quelque sorte « piégé » par le jeu, et qui aurait réussi à s’incarner dans le jeu pour aider son fils. Hélas, les gens ne perçoivent pas du tout Jésus pour ce qu’il est, ils le perçoivent seulement comme un personnage faisant partie du jeu, un personnage un peu spécial peut-être… Comme ils ne perçoivent pas Jésus pour ce qu’il est, ils ne peuvent pas interpréter ni comprendre correctement son enseignement. Jésus déclare : « Voilà, je suis venu dans le monde pour apporter mon enseignement aux hommes. Mais ceux-ci ne me comprennent pas, car leur esprit est enivré avec du vin mauvais ; plus tard, lorsqu’ils auront vomi ce vin, ils me comprendront. »

Notre esprit est tout-puissant. C’est lui qui a créé tout ce qui nous semble bon et tout ce qui nous semble mauvais dans l’univers : c’est bien pour cela qu’il est tout-puissant ! Mais ayant créé le bien et le mal, il est lui-même au-delà du bien et du mal.

Il est ce qui est. C’est lui qui joue tous les rôles, rien ni personne n’existe hors de lui, séparément de lui. Il joue le rôle de celui qui enseigne et de celui qui apprend, il joue le rôle du sage et le rôle de l’idiot, il joue le rôle du père et le rôle de l’enfant. C’est lui qui a écrit ce texte, et c’est lui qui est train de le lire…

 

 Extrait Tiré du site d’origine de Xavier Plantefol, créateur de Terra Incognita – Rejoignez la totalité de ses écrits sur : http://www.terre-inconnue.ch/

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Corps, Esprit… la Voie

Posté par othoharmonie le 26 avril 2012


Corps, Esprit... la Voie dans Méditation Vol-de-nuit-215x300Il est facile de voir que nous consacrons l’essentiel de notre temps et de notre énergie à obtenir des conditions favorables pour notre corps, et à lui éviter les conditions défavorables. Mais si nous examinons attentivement la situation, nous constatons que le corps n’est pas moi. En effet, le fait que des personnes puissent continuer à vivre après avoir perdu un bras ou une jambe prouve que les bras et les jambes ne sont pas moi. Aujourd’hui, on peut voir des personnes ayant subies une transplantation cardiaque continuer à vivre leur vie, ce qui prouve que le cœur n’est pas moi. En continuant ce type d’analyse, on peut voir que ni les reins, ni l’estomac, ni les yeux, ni le cerveau, ni aucun organe n’est moi. On peut donc conclure que le corps entier n’est pas moi. Le corps n’est pas sensible : lorsqu’une personne vient de mourir, quelque soit la façon dont on traite son corps, celui-ci ne réagit absolument pas. Pourquoi nous attachons-nous à notre corps ?

 

 Shantideva déclare :

« A cause de mon attachement au corps le moindre danger m’effraie ; qui ne haïrait ce corps comme un ennemi suscitant la crainte ? »

Et encore :

« Tu refuses de toucher un sol couvert d’immondices ; pourquoi désires-tu toucher le corps d’où elles sortent ? ».

Toutefois, il est important de traiter notre corps correctement, car dans notre corps subtil, qui est lié à notre corps physique, il existe des canaux où circulent certaines énergies ou vents, qui sont en étroite relation avec notre état d’esprit et notre perception.

 Mais si nous ne sommes pas le corps, alors peut-être sommes nous les pensées, les émotions. Si c’était la réalité, entre chaque pensée, nous cesserions d’exister, ce qui n’est pas le cas. De plus, les pensées étant toutes différentes les unes des autres, nous posséderions une multitude de moi différents les uns des autres, ce qui n’est pas non plus le cas.

 Ce raisonnement s’applique aussi aux sensations physiques, aux perceptions visuelles, auditives, etc. Nous disons : «  j’  » ai chaud, « j’ » ai froid, « je » me sens bien, « je » me sens mal, « je » pense, « je » parle, etc.

Mais qui a chaud, qui a froid, qui se sent bien, qui se sent mal, qui pense, qui parle ?

 Y a-t-il vraiment quelqu’un qui ait chaud, froid, qui se sente bien, etc. Tous nos états de bonheur et de malheur sont liés à des sensations mentales (les pensées) et à des sensations physiques (la vue, le toucher, …). Par exemple, lorsque nous nous attachons à la pensée « je suis heureux  », nous avons vraiment l’impression d’être heureux. Pourtant la pensée « je suis heureux » ne se sent ni heureuse ni malheureuse ; elle n’a même pas l’impression d’être une pensée.

 Prenons un autre exemple, si nous entendons un son, nous pouvons dire ce son est beau ou laid, pourtant le son lui-même ne se dit pas « je suis un son beau ou laid », il ne se dit pas « je suis un son  », il ne se dit même pas « je suis quelque chose », « j’existe ».

 De même, si nous avons une sensation de chaud, cette sensation ne se dit pas  »je suis une sensation de chaud  », si nous nous cassons la jambe, notre jambe ne pense pas « je suis une jambe cassée », si nous pleurons, notre oeil ne se dit pas « je suis en train de pleurer », etc.

 Toutes les pensées, toutes les sensations, l’infinie variété des apparences et des sons, et ce qui en découle : la déprime, l’euphorie, etc, tous ces phénomènes n’ont absolument pas conscience d’exister. Quelle est la seule chose qui a conscience d’être, d’exister ? C’est l’esprit.

En fait, tous les phénomènes quels qu’ils soient ne peuvent exister qu’en relation avec l’esprit qui les perçoit.[1] Les phénomènes n’existant pas par eux-mêmes, ils ne peuvent demeurer indépendamment de l’esprit ; par contre, l’esprit, existant par lui-même, peut demeurer indépendamment des phénomènes.

[1] Les phénomènes qui se produisent à l’intérieur et à l’extérieur de nous n’ont que « l’abaléité », c’est-à-dire le pouvoir d’exister par un autre ; tandis que seul l’esprit, la conscience, possède « l’ainsité », c’est-à-dire le pouvoir d’exister par soi-même.

 

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La Conscience de Soi

Posté par othoharmonie le 26 avril 2012

 

Posons-nous une question simple : est-ce que je suis conscient que je suis, que j’existe, ou pas ? 

Etoile bleuCertaines personnes pensent qu’elles ne sont qu’un corps, et qu’après la mort tout s’arrête, d’autres pensent qu’il n’existe que l’esprit, certaines personnes ont une très haute opinion d’elle-même, d’autres pas, les êtres ordinaires pensent qu’ils existent séparément du tout, les bouddhas n’ont pas l’impression d’exister de cette manière.

Mais tous les êtres, depuis les fourmis jusqu’aux bouddhas, ont l’impression d’exister, l’impression d’être. Par contre, il n’existe aucun phénomène (que ce soit les phénomènes extérieur, comme le feu, le vent, etc, ou les phénomènes intérieurs, comme les pensées, les émotions, etc) qui ait l’impression d’exister, l’impression d’être. Ce qui prouve que nous ne sommes pas un phénomène, et que tous les concepts liés au monde phénoménal ne peuvent décrire ce que nous sommes. « Je suis heureux, je suis malheureux, je suis ceci, je suis cela » : ces pensées sont complètement mensongères !

Pourtant, nous croyons qu’elles reflètent la réalité. Nous vivons donc notre vie en nous appuyant sur ce qui est inconscient, insensible – les phénomènes – et sans nous appuyer sur ce qui est conscient, sensible  - l’esprit -. Nous sommes comme un voyageur dans un pays qu’il ne connaît pas, et qui, pour s’orienter, interroge non pas les habitants mais les pierres ! Nos pensées, nos émotions, nos sensations sont dépourvues de vie, tous les phénomènes sont dépourvus de vie. Seul l’esprit qui en fait l’expérience est vivant. Est-il possible que ce qui est vivant devienne l’esclave de qui est mort ?[2] Pourtant, c’est bien là notre situation.

 D’après Shantideva :

 « Les pensées, les émotions et les sensations n’ont ni bras ni jambes, elles ne sont ni braves ni intelligentes. Comment ai-je pu devenir leur esclave ? »

 C’est donc une grave erreur que de s’identifier à ce que nous ne sommes pas – les phénomènes – et de ne pas nous identifier à ce que nous sommes – l’esprit –. En effet, les phénomènes sont trompeurs : en apparence, ils semblent exister d’une certaine manière (de manière conventionnelle ou relative : c’est-à-dire en ayant certaines caractéristiques qui leurs appartiennent, comme la forme et la couleur), mais en réalité, ils existent d’une autre manière (de manière ultime ou absolue : c’est-à-dire vide de caractéristiques leurs appartenant).

Les conséquences du fait d’appréhender les phénomènes de manière correcte ou non, sont l’apparition du nirvana et du samsara, des saints et des êtres ordinaires.

Maintenant, tournons notre esprit vers l’intérieur (ce que la plupart des gens ne font jamais) et réfléchissons : quelle est la nature de l’esprit, de la conscience, que les tibétains nomment base primordiale ou dharmakaya, et qui est personnifiée par Vajradhara, le bouddha originel ?

 A-t-il une forme, une couleur, un centre et une périphérie, un haut et un bas, une limite, etc ? Si nous faisons une telle analyse, nous arrivons à la conclusion que ces questions ne définissent rien au niveau de l’esprit, que les concepts de forme, de couleur, de centre et de périphérie, de haut et de bas, que les notions de temps et d’espace, d’existant ou de non-existant, etc, ne peuvent pas être appliqués à l’esprit. Le fait que toutes ces notions ne peuvent être appliquées à l’esprit prouve que la nature de celui-ci est la vacuité. Mais l’esprit n’est pas seulement vide, il a aussi la capacité d’être conscient, ce qui lui permet d’expérimenter des états de bonheur ou de malheur. Cette faculté d’expérimenter, de pouvoir répondre intelligemment à certaines situations est liée à la lucidité naturelle de l’esprit, que les tibétains appellent claire lumière.

[2] « Ceux qui sont morts ne vivent pas et les vivants ne mourront pas. Les jours où vous mangiez ce qui est mort, vous en faisiez du vivant. Quand vous serez dans la lumière, que ferez-vous ? » (Evangile selon Thomas)

 

 

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Enseignements de la Sagesse éternelle

Posté par othoharmonie le 24 avril 2012

 

Les enseignements de la Sagesse éternelle
Interview de Benjamin Creme, par Rollin Olson


Depuis des temps très reculés, les générations se transmettent un corpus d’enseignements spirituels appelé « sagesse éternelle » ou « philosophie ésotérique ». De cette source ont jailli les arts, les sciences et les religions de civilisations sans nombre. L’ésotérisme réunit les philosophies orientales et occidentales. Il s’agit de la science du processus évolutif, aussi bien de l’homme que de la nature. Il explique la structure énergétique de l’univers, et la part de l’homme en son sein. Il s’agit également de l’art de faire « descendre sur Terre » ces énergies qui proviennent de sources élevées et de les y ancrer. Au début du siècle, la Maître tibétain Djwal Khul a dévoilé ces informations au public, par les écrits d’H. P Blavatsky et plus tard, par ceux d’Alice Bailey. Depuis 1959, un artiste britannique, Benjamin Creme, reçoit de son Maître des informations complémentaires qu’il diffuse lors de tournées de conférences à travers le monde, dans plusieurs pays d’Europe, ainsi qu’au Japon, en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Canada, au Mexique et aux Etats-Unis. Benjamin Creme est l’auteur d’ouvrages traduits et publiés dans de nombreuses langues. Il est également co-rédacteur en chef de Partage international, revue mensuelle diffusée dans 70 pays et dans plusieurs langues.


Rollin Olson : Il semble qu’à l’heure actuelle, on ne cesse de se plaindre du caractère incontrôlable des événements : des pays sont ruinés par la corruption, des économies s’effondrent, le chômage s’accroît, de même que le nombre des sans abri, l’unité familiale est brisée. Beaucoup trouvent que la vie n’a plus de sens. D’autres continuent à espérer un revirement. Voyez-vous quelque espoir pour l’avenir ?

Benjamin Creme : Tout à fait. Je pense que l’humanité a devant elle la perspective d’une civilisation plus brillante que notre monde n’en a jamais connue.

 

Notre divinité innée

EGYPTERollin Olson. Mais comment est-ce possible, étant donné les problèmes d’aujourd’hui ?

Benjamin Creme. Je pense qu’en réalité ces problèmes sont temporaires. Ils sont dus au fait que des énergies cosmiques nouvelles et colossales influencent actuellement notre monde et créent les conditions qui engendrent les bouleversements et le chaos que nous connaissons actuellement. La divinité innée, potentielle en chacun de nous, est suffisante, à mon avis, pour nous montrer comment sortir de ces problèmes et instaurer les conditions qui permettront non seulement de sauvegarder l’humanité, mais aussi de bâtir une civilisation qui remplira toutes nos aspirations.

RO. Vous parlez de « divinité innée ». Qui sommes-nous en réalité ?

BC. Nous sommes en réalité des dieux incarnés. Il nous faut reconnaître notre triple constitution : nous sommes une étincelle de Dieu. Toutes les religions ont affirmé le principe de notre divinité et n’ont cessé de le présenter à l’humanité, depuis des milliers d’années. Mais cette idée peut être considérée d’une manière plus scientifique et plus exacte encore. En tant qu’ésotériste, je dirais que l’étincelle divine a une vibration si raffinée qu’elle ne peut se manifester directement sur le plan physique. Elle se reflète donc en tant qu’âme humaine individualisée. L’âme, à son tour, se reflète dans la personnalité humaine, avec ses trois corps : physique, émotionnel et mental. A travers la personnalité, l’âme poursuit son processus de réincarnation, jusqu’à ce que finalement l’individu sur le plan physique reflète parfaitement la qualité de l’âme, qui est la qualité de l’étincelle de Dieu.

RO. Qu’est-ce qui nous empêche d’exprimer cette divinité dès maintenant ?

BC. Le principal obstacle se trouve au niveau du plan physique dense où il existe une résistance, une limitation à l’expression de notre divinité. De là provient la manifestation de l’égoïsme chez la plupart des hommes. Et c’est pourquoi nous créons des conditions politiques, économiques et sociales, qui empêchent notre divinité de s’exprimer. Lorsque les changements actuellement en cours iront plus loin, et refléteront la nature essentiellement spirituelle de l’humanité, nous créerons les conditions, politiques, économiques, religieuses, sociales et scientifiques, qui permettront à cette divinité innée en chacun de se manifester.

(source: PartageInternational.org)

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La Responsabilisation

Posté par othoharmonie le 24 avril 2012

 

TUBES YEUX Le niveau d’évolution de la terre fait que les humains s’en prennent souvent à un élément extérieur comme le destin ou Dieu quand des épreuves, des calamités frappent leur quotidien.  Ils n’ont pas tout à fait tort.  Certains vont s’écraser sous le poids des malheurs maudissant la fatalité et d’autres vont leur donner la valeur de défi digne d’un héros éprouvé par des Dieux.  Mais quand les bonnes nouvelles, les dénouements heureux se produisent, on s’en approprie tout le mérite ou du moins, on n’en accorde qu’une partie à la chance.  Sur terre, beaucoup d’humains stagnent dans leur évolution quand la vie ne leur apporte que facilité et abondance.  Mais quand les difficultés arrivent, ils sont secoués, réveillés de leurs léthargies confortables et sont poussés à s’interroger, se remettre en question donc à progresser.  Les humains sont à leur meilleur et se dépassent dans les pires moments.  Cette dernière phrase est trop souvent vraie sur la terre.

 Mais, c’est à vous seul qu’incombe de changer ce comportement.  Se fermer aux épreuves de la vie, les rejeter n’est pas la solution car s’insensibiliser à la souffrance, c’est s’insensibiliser aussi au plaisir.  N’oubliez pas que toute la gamme des sensations passent par les mêmes canaux.  Alors, la première solution est dans votre réaction aux stimuli extérieurs.  Vous n’avez pas de contrôle en apparence sur les événements qui viennent de vous en sens inverse mais sur comment ils vont vous affecter dans le présent. Transformez vos réactions présentes et vous transformerez par ricochet votre futur.  Libre à vous d’exalter vos événements heureux plutôt que d’oppresser vos événements tragiques.  Libre à vous de construire, de progresser sur vos joies et ainsi vous grandir plutôt que de démolir, de régresser sur vos peines et ainsi vous diminuer.  Votre vie est faite cependant du mélange complexe de ces deux extrêmes.

 Sachez que les êtres qui ont réfléchi à ce principe ont découvert la satisfaction profonde d’évoluer dans les situations heureuses;  que de souligner les événements progressifs par des actions concrètes les amènent à être toujours plus bénéfiques.  C’est donc en réfléchissant sur nos réactions à ce que l’on vit que se trouve une des clés de l’évolution.  Pour vivre dans les mondes supérieurs, cet acquis est indispensable car où ne règnent plus les épreuves et les souffrances, le progrès et l’évolution doivent se baser sur d’autres critères.  Dans mon monde, ils sont la bonté, la beauté et la vérité ou si vous préférez, l’amour, l’harmonie et la connaissance.

 Même au paradis, il doit y avoir évolution sinon on retourne par le principe de réincarnation dans le monde le plus approprié à stimuler notre conscience évolutive. 

Extraits du livre NAJA L’ILLUMINÉ -  PREMIER PORTRAIT  À L’ORIGINE DE TOUT CANALISÉ PAR

                     COLIN CHABOT – retrouvez les écrits en son entier ici http://www.music-close-to-silence.net/a_lorigine_de_tout.pdf

 

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Homme / Femme

Posté par othoharmonie le 23 avril 2012


gifs arc en cielLa femme est beaucoup plus proche que l’homme de la conscience pure, car c’est dans l’amour qu’elle évolue. Malheureusement, dans le passé, le pouvoir sur la Terre n’a pas été donné à la femme, mais plutôt à l’homme. C’est une des raisons pour laquelle il y a eu et qu’il y a encore autant de violence sur la Terre. Le rôle de la femme n’a pas été d’empêcher le mal, mais plutôt de contrebalancer celui-ci afin que s’installe une sorte d’équilibre précaire, mais nécessaire à l’évolution de la race humaine. Si la conscience éveillée de la femme n’avait pas été, il y a belle lurette que toute trace de vie humaine sur la Terre aurait disparu. Car, sans la femme, l’homme serait appelé à répéter encore et encore les mêmes atrocités, et ce, jusqu’à sa propre destruction. La femme a une importance majeure dans le travail de conscientisation qui doit être fait. Quand le temps sera venu, et ce temps arrivera très bientôt, la femme prendra la place qui lui revient et aidera l’homme à retrouver sa véritable conscience. Elle ira dans le monde et revendiquera le droit à l’amour sur la Terre, et ce droit lui sera accordé. L’harmonie s’installera alors entre les peuples. Seulement, pour que cela se produise, elle ne doit pas chercher à prendre la place de l’homme, mais bien la place qui lui revient auprès de lui.

 

C’est à dire, comme ambassadrice de l’amour sur la Terre. Tandis que l’homme, lui, s’occupera de rétablir et de maintenir la paix à l’échelle planétaire.

 

extrait du livre LE MESSAGER

 

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Le rêve peut rendre heureux

Posté par othoharmonie le 23 avril 2012


gifs  arc en cielSi nous faisons un rêve et que nous savons que tout ce qui apparaît est une création de notre propre esprit, alors tout change de perspective : si nous voyons un animal dangereux par exemple, nous n’avons pas peur, car nous savons que notre vrai corps ne sera pas détruit.

Si nous voyons une jolie fille ou un beau garçon, nous pouvons apprécier cette vision, mais sans pour autant nous y attacher, car nous savons qu’elle n’existe pas réellement.

Dans le monde du rêve, pour celui qui est conscient de rêver, rien n’est inacceptable. Tout ce qui est, tout ce qui se manifeste semble dégager une ambiance particulière, comme si en toute chose résidait une présence envoûtante, magique et mystérieuse.

***

Comment prouver que le monde que nous percevons est de nature onirique ?

 Quand nous rêvons la nuit en dormant, il nous est par exemple impossible de fixer notre attention sur quoi que ce soit. Tout ce que nous percevons est instable, fugace et insaisissable. Il nous est par exemple impossible dans cet état de regarder nos mains durant quelques secondes, il nous est impossible de fixer notre attention sur nos mains ou sur quoi que ce soit d’autre. 

Durant l’état de veille, c’est exactement la même chose ! Si par exemple ici et maintenant nous essayons de regarder nos mains pendant 10 secondes, sans penser à autre chose, ni que notre esprit sombre dans l’obscurité de la torpeur, si nous essayons d’être complètement présent dans l’acte de regarder nos mains durant quelques secondes, nous n’y arrivons pas… 

Et si grâce à un entraînement de l’esprit, (par le biais de la méditation par exemple), nous y parvenions, alors il se passe quelque chose d’étrange : ce sur quoi nous fixons notre attention, nos mains en l’occurrence, disparaît. Et tout disparaît ; le monde, notre corps, tout ! Il ne reste alors que l’esprit faisant l’expérience de sa propre nature, autrement dit le Rêveur rêvant de lui-même.

Ce qui nous empêche d’être heureux ce sont ces émotions négatives, comme la peur, la colère, la tristesse, le découragement, etc.

 Si par exemple je suis triste, car j’ai l’impression qu’il me manque quelque chose, ou que je suis séparé de quelque chose, je n’ai qu’à arrêter de rêver que je suis triste, ni plus ni moins ! Nul besoin de toucher à la cause qui a fait naître ma tristesse !

 Si je souffre parce que il fait trop chaud ou trop froid, nul besoin pour l’esprit de se fatiguer à penser comment créer un monde sans chaud ni froid ; je n’ai qu’à rêver qu’il fait très froid ou très chaud, mais que je n’en souffre pas, ou que j’accepte à 100% cette souffrance, ce qui revient au même.

***

gifs arc en cielJ’ajoute que si il est possible de comprendre intellectuellement en un instant que c’est notre esprit qui créé le monde dans lequel nous sommes, il faut en général plusieurs années pour intégrer cette pensée. 

C’est un peu comme quand nous allons au restaurant : nous pouvons en un éclair décider de la nourriture que nous aimons le plus, mais ensuite il faut du temps pour absorber cette nourriture et la digérer.

 

extrait issu du site : http://www.terre-inconnue.ch/

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Créer notre propre réalité

Posté par othoharmonie le 22 avril 2012

Nous sommes les créateurs de notre REALITE

Créer notre propre réalité dans SAGESSE les-couleurs-300x293Nous sommes les créateurs du monde dans lequel nous vivons. C’est notre propre esprit qui a créé le monde qui nous entoure. Si le monde dans lequel nous vivons nous semble insatisfaisant voir hostile, c’est parce que nous avons oublié cette vérité.

 Si notre vie ne nous convient pas, c’est parce que notre esprit a en quelque sorte oublié son propre pouvoir, ou qu’il l’utilise de manière très maladroite.

 Il nous faut reprendre le contrôle de notre vie, simplement en modifiant notre perception du monde.

 Ne pas entrer dans un rôle de victime – c’est le « Péché Originel » – et accepter ce qui est ici et maintenant, c’est là la condition de base pour être l’architecte de sa vie, le créateur du monde dans lequel on vit.

 Le monde qui nous entoure n’est pas seulement une terre « inconnue » ; j’irai jusqu’à dire que le monde qui nous entoure est une terre « inconnaissable ». Cela, tous les nouveaux-nés en sont conscients, mais je ne sais pas pourquoi, en devenant adultes, les gens oublient cette vérité fondamentale et deviennent esclaves du monde qu’ils ont eux-mêmes créé.

***

Il semble important de préciser que lorsque notre esprit comprend sa propre nature, et par là-même la nature du jeu de la vie, il n’a alors nul besoin pour être parfaitement heureux de changer fondamentalement le monde extérieur ; un changement radical au niveau du monde intérieur suffit.

En effet, si par exemple je suis triste car j’ai l’impression qu’il me manque quelque chose, ou que je suis séparé de quelque chose, je n’ai qu’à arrêter de rêver que je suis triste, ni plus ni moins ! Nul besoin de toucher à la cause qui a fait naître ma tristesse !

Si je souffre parce que il fait trop chaud ou trop froid, nul besoin pour l’esprit de se fatiguer à penser comment créer un monde sans chaud ni froid ; je n’ai qu’à rêver qu’il fait très froid ou très chaud, mais que je n’en souffre pas, ou que j’accepte à 100% cette souffrance, ce qui revient au même.

J’ajoute que si il est possible de comprendre intellectuellement en un instant que c’est notre esprit qui créé le monde dans lequel nous sommes, il faut en général plusieurs années pour intégrer cette pensée.

 C’est un peu comme quand nous allons au restaurant : nous pouvons en un éclair décider de la nourriture que nous aimons le plus, mais ensuite il faut du temps pour absorber cette nourriture et la digérer.

 

Extrait tiré du sitehttp://www.terre-inconnue.ch/

 

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Aimer la Réalité

Posté par othoharmonie le 22 avril 2012

 

Par Byron Katie

Je suis une amoureuse de la réalité. Lorsque je me dispute avec elle, je perds – mais seulement à tous les coups, seulement 100 % du temps.

Je suis amoureuse de ce qui est, non parce que je suis une personne spirituelle, mais parce que cela me fait du mal quand je conteste la réalité.

Nous pouvons savoir que la réalité est bonne telle qu’elle est, parce que lorsque nous la contestons, nous faisons l’expérience de la tension et de la frustration. Nous ne nous sentons alors ni naturels ni équilibrés.

Lorsque nous cessons de contester la réalité, l’action devient simple, fluide, bienveillante et sans peur.

Extrait de « Aimer ce qui est » aux Éditions Ariane 

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Observer le Penseur

Posté par othoharmonie le 22 avril 2012


par Eckhart Tolle

Prêtez particulièrement attention aux schémas de pensée répétitifs, à ces vieux disques qui jouent et rejouent les mêmes chansons peut-être depuis des années. C’est ce que j’entends quand je vous suggère « d’observer le penseur ». C’est une autre façon de vous dire d’écouter cette voix dans votre tête, d’être la présence qui joue le rôle de témoin.

Lorsque vous écoutez cette voix, faites-le objectivement, c’est-à-dire sans juger. Ne condamnez pas ce que vous entendez, car si vous le faites, cela signifie que cette même voix est revenue par la porte de service. Vous prendrez bientôt conscience qu’il y a la voix et qu’il y a quelqu’un qui l’écoute et qui l’observe. Cette prise de conscience que quelqu’un surveille, ce sens de votre propre présence, n’est pas une pensée. Cette réalisation trouve son origine au-delà du « mental ».

Ainsi, quand vous observez une pensée, vous êtes non seulement conscient de celle-ci, mais aussi de vous-même en tant que témoin de la pensée. À ce moment-là, une nouvelle dimension entre en jeu. Pendant que vous observez cette pensée, vous sentez pour ainsi dire une présence, votre moi profond, derrière elle ou sous elle. Elle perd alors son pouvoir sur vous et bat rapidement en retraite du fait que, en ne vous identifiant plus à elle, vous n’alimentez plus le mental. Ceci est le début de la fin de la pensée involontaire et compulsive.

Extrait de « Mettre en Pratique le Pouvoir du Moment Présent » aux Éditions Ariane

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Ascension…

Posté par othoharmonie le 21 avril 2012

 

belles imagesIl n’y a pas d’amour plus grand que celui de l’être renonçant à une existence apparemment paradisiaque pour venir résider sur Terre quelques temps, abritant l’ange intérieur dissimulé à vos regards. Et voilà que vous entrez en scène, dans l’ignorance la plus totale de votre identité, de votre nature, de l’engagement que vus avez pris ou des leçons qui constituent vos potentialités. Dans l’innocence qui caractérise cette croissance de vos années d’enfance, vous n’avez pas la moindre idée de tout ce qui vous attend. Nous vous observons tous,  tout au long de cette période. C’est ce que nous appelons du bon boulot ; la vie qui se déploie à votre horizon apporte son lot de défis. Ne pensez pas que nous n’en somme spas conscients ; ici, rien n’est voilé, tout est connu, parce que le dieu qui réside en vous, votre ange doré, constitue une parcelle du Tout. Voilà celui que je connais. 

Les couleurs dans cette pièce sont merveilleuses ; avant de commencer, permettez-nous de nous incliner symboliquement devant vous. L’entourage ici présent, que vous désignez Esprit et que je nomme Famille, apportera le vase de nos larmes pour y laver les pieds de chacun. Si vous vous étonnez du fait que l’Esprit lui-même vienne jusqu’à vous pour vous rendre un tel hommage, c’est que vous n’avez pas idée de ce que vous êtes et de ce que vous accomplissez pour nous. Nous reviendront plus tard sur cette question. Passons maintenant à l’enseignement. 

Le message qui suit s’adresse à vous, à vous seuls. Comme ce « vous » réside dans le présent, il ya donc plus de « vous » que vous ne le pensez. Qu’il soit clair que ce message ne dot être transcrit que dans la langue de cette région et non dans celle de mon partenaire. Ce soir, nous souhaitons discuter de questions fondamentales présentées depuis quelque temps, mais jamais sous cet angle. Car ce groupe devrait être au courant de ce que l’on appelle l’ascension. Que l’enseignement débute. 

Elie procédait prudemment avec Elisée ; au moment béni où il marchait dans le champ, il se retourna vers Elisée, le regarda, lui sourit et connut son ascension. Un tourbillon de couleur s’éleva autour de lui jusqu’à neuf mètre, et  Elie s’évapora en un vortex d’énergie spirituelle qui l’emporta directement vers le ciel. Elisée s’agenouilla, car il craignait Dieu. Il retourna informer les autres de ce qui s’était produit et se mit à écrire lui-même un grand nombre d’ouvrages sur la sagesse. Voilà ce que vous croyez être l’ascension ; dans vote langue, le terme ascension signifie s’élever vers le haut. Son emploi est devenu fréquent. N’oubliez pas qu’ici ce mot signifie toujours « s’élever vers le haut » mais chers amis, il se réfère à une élévation d’un type différent. J’aimerais vous donner une explication complète de ce qu’est l’ascension, de quelques-uns de ses mécanismes, et vous dire qui est concerné afin que vous partiez de ce lieu pleinement conscients du sens que donne l’esprit à l’état ascensionnel en cette époque inédite. Lorsque nous aurons terminé, nous vous poserons la question suprême. 

En cette ère nouvelle, en cette énergie  autre, l’ascension signifie maintenant un état dans lequel les humains évacuent l’ancienne énergie de leur contrat et en acquièrent une nouvelle. Avec cette énergie neuve, ils adoptent ainsi une autre incarnation, tout en demeurant sur la planète pour servir l’humanité par leur vibration supérieure. Voilà ce que signifie « vers le haut ». L’être humain ne s’évapore pas pour ensuite quitter la Terre. Pas du tout. N’oubliez pas non plus que cet état (tel qu’il est défini ici) n’était pas accessible avant l’époque que vous désignez le Nouvel Age. Ses implications sont profondes et elles sont réelles. L’état ascensionnel consiste en la perpétuation de l’être humain sur Terre, d’un être doué de la paix de celui qui est en connexion avec le Soi supérieur, chose qui n’a jamais été atteinte auparavant. « Qui peut s’en prévaloir ? » demande-t-on souvent. « Un groupe d’élite, peut-être ? » Oui ! « Un groupe divin sur cette planète ? » Oui, certainement. « Qui donc alors ? » Chaque être humain qui existe, qui vit sur la poussière de cette Terre. Vous. Ce groupe n’exclut pas un seul humain. Nous vous demandons de visualiser l’être le plus vil que vous puissiez imaginer. Amenez son image à votre esprit, et lorsqu’il se révèle, acceptez-le comme l’un des vôtres. Car ce sont eux qui vous ont fait face avant votre venue et qui ont consenti à être ici avec vous. L’ascension est l’illumination potentielle de chaque être humain sur cette planète. Nous aborderont son but plus loin. Pour l’instant, qu’il soit clair que l’ascension est accessible, gratuite, qu’elle est une invitation à la lumière. 

Permettez-moi de présenter certains mécanismes de l’ascension à ceux d’entre vous qui ont besoin de connaître ce genre de choses. Nous avons souvent mentionné l’empreinte cellulaire chez les humains que l’on nomme ADN. 

« Mais Kryeon, les questions de l’ADN relèvent de la biologie. Qu’est-ce que ceci a à voir avec l’ascension ? » 

Chers amis, écoutez bien. Comme la définition de l’ascension implique la perpétuation de l’humain sur la Terre, il faut comprendre que c’est le corps dans sa totalité qui se perpétue ; les cellules de l’orteil, comme les cellules du coude et celles du cœur. Et pour ceci, l’ADN doit être modifié et ajusté. Vous devez devenir biologiquement différents. C’est ainsi que ce don vous est offert librement à l’heure actuelle, car pour permettre votre progression ultérieure, l’ADN doit pouvoir absorber une plus grande quantité d’énergie divine. Voilà pourquoi certains parmi vous ressentent un léger déséquilibre. En réalité, ils s’accoutument à cette biologie nouvelle ; quelques-uns en feront bientôt l’expérience et vibreront pendant plusieurs jours d’une manière inconnue, stupéfaits de cette situation nouvelle. Mon partenaire parle des enfants qui voient le jour, d’enfants différents qui savent d’où ils viennent (les enfants indigos) On les prépare. Vous vous enquerrez peut-être ; « A quoi les prépare-t-on ? » Et c’est là l’information la plus étonnante. On les prépare à ce que vous, l’avant-garde, avez accompli dans ce combat avec l’ancienne énergie. On les prépare au potentiel d’une Terre illuminée qui aurait réalisé sa « graduation ».

 

Extrait de la série Kryeon, canalisé par Lee Carroll. TOME 4, page 185 de : Partenaire avec le divin. Aux Editions Ariane. 

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Oser le changement !

Posté par othoharmonie le 21 avril 2012

… Modèle de société : oser le changement ! …
écrit par Michel

belles imagesQuand j’écris « oser le changement », je veux dire oser un vrai changement. Pas simplement pour améliorer nos petites affaires ou se rassurer face à l’avenir en mettant une bonne somme d’argent de côté. Non, je parle de mieux que cela. Je parle d’un changement qui équivaut à retrouver sa liberté et sa joie de vivre. Car, avouons-nous le, pour bien du monde, notre société basée sur l’argent et la consommation n’est plus le paradis prôné par les chantres du libre échange et du néo-libéralisme. Elle a plutôt le goût de la liberté conditionnelle tout pendant qu’on paye et de l’esclavage quand on a plus rien.

Mon impression est que l’humain n’y trouve pas son compte. La technologie, censée nous libérer du travail et nous apporter du bien-être, conduit presque à l’opposé ; dans l’industrie, l’homme travaille au rythme des machines et à la maison il se fait souvent dépendant de la télé, de son ordinateur ou de son téléphone portable. Quant à la consommation de biens matériels (ou virtuels), elle a tourné à la boulimie compensatoire. Un bien en remplace un autre sans que l’être n’éprouve plus de contentement durable. Pour notre belle planète, cette surconsommation conduit à un pillage des ressources, à de profonds déséquilibres et à une grande souffrance, tant l’attitude des hommes manque de respect envers les multiples visages de la vie.

Quand je regarde l’organisation de notre société, je me demande pourquoi la chaleur humaine, la compassion, le respect, l’entraide et l’amour sont encore relégués derrière la rentabilité et la productivité financière. Je ne vois plus là une société d’économie, mais une société de cupidité et de gaspillage, trop souvent au service de désirs égotiques.

Oh, il y a beaucoup de bonnes choses dans notre monde, mais sa structure économico-financière nous étouffe, étouffe la vie véritable. Cependant, ne jetons pas la pierre aux dirigeants de ce monde, même si leur responsabilité est immense. La nôtre est en jeu, par nos choix souvent égotiques, notre envie d’acheter moins cher à tout prix ou l’envie de gagner toujours plus.

Je trouve qu’il est plus que temps de changer de cap, de retrouver l’essentiel. Il ne s’agit pas pour cela de revenir en arrière, à une société telle qu’on l’a connue il y a 100 ans. Absolument pas. Il s’agit de privilégier la qualité à la quantité, l’être plutôt que l’avoir. Et si l’on mesurait notre réussite en termes de joie de vivre et d’harmonie.


Je suis convaincu que notre quotient de bonheur s’est trouverait grandi. L’idée vous plaît-elle ? Si oui, alors cultivons-la, car c’est par une pensée que débute tout changement.

Avec mes meilleures salutations,

Michel

 

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Le destin de la Terre est scellé

Posté par othoharmonie le 21 avril 2012

Monique Mathieu

« Nous vous avons dit il n’y a pas très longtemps que le destin de la planète Terre et du système solaire n’était pas encore tout à fait scellé. Donc tout pouvait changer il y a encore peu de temps.

belles images Maintenant nous vous disons : le destin de la Terre est scellé, et plus rien ne peut le changer ! Vous irez donc jusqu’au bout de ce qui a été prévu par les Dieux Créateurs et par les Hiérarchies de Lumière.

Pour que cela puisse s’accomplir le mieux possible, il faut que chacun de vous s’investisse, que chacun de vous fasse ressortir l’Energie Amour Lumière de son cœur humain et également du cœur sublime de sa propre Divinité.

Il est primordial, en cette fin de cycle, pendant le tout petit temps qui vous reste (car c’est réellement un tout petit temps), que vous preniez conscience de qui vous êtes afin qu’il émane de vous cette Energie Amour, cette Energie Lumière. De cette façon, et puisque vous êtes dans la densité, vous aiderez considérablement le plan à sceller définitivement le destin de l’humanité, de la planète Terre, du système solaire et plus encore.

Vous allez demander : pourquoi nous, humains, avons-nous cette mission ? Nous répondrons simplement ceci : avez-vous constaté combien il y a actuellement d’âmes en incarnation sur votre monde ? Sept milliards ! Vous rendez-vous compte de ce que peuvent représenter les consciences unies de sept milliards d’êtres humains ? Vous rendez-vous compte de ce que peut représenter l’Amour de sept milliards d’êtres humains ? Nous allons plutôt parler de cinq ou de six milliards d’êtres qui, d’un seul coup, acceptent de donner, de libérer l’immense Amour qui est dans leur cœur.

Vous rendez-vous compte de l’aide que vous offrez, dans la matière, aux êtres qui ne sont plus dans la matière mais dans l’énergie ? Non seulement vous vous aidez vous-mêmes, non seulement vous aidez la densité de la planète, mais vous aidez aussi bien au-delà de la Terre et du système solaire.

La puissance de la pensée et la création mentale sont quelque chose d’inouï ! N’oubliez pas que beaucoup de choses ont été créées par la pensée. Votre Terre a été créée par la pensée des Dieux Créateurs. Imaginez donc le pouvoir qui est le vôtre, le pouvoir de l’humanité actuelle !

Nous vous avions dit que c’était une aberration qu’il y ait sept milliards d’âmes sur une si petite planète, mais cela a été voulu et accepté par ceux qui gèrent ce petit monde. Pour quelle raison ? Parce que les âmes humaines ont une immense capacité d’action sur la matière ! Pour l’instant, que pouvez-vous voir de l’action des hommes ? Vous ne pouvez voir que souffrance, que violence, que tout ce qui est inférieur, parce que tout ce qui est supérieur est en train de se développer et se développera avec une rapidité qui vous surprendra.

Imaginez que, d’un seul coup, grâce au grand nuage de particules photoniques qui arrive, les êtres humains aient une immense envie d’offrir en permanence l’immense énergie Amour Lumière ! Imaginez la transformation qui pourrait s’accomplir sur ce monde, la transformation qui pourrait s’accomplir sur toutes les planètes du système solaire, car il y a la vie sur toutes les planètes de votre système solaire ; même si ce n’est pas la vie composée d’êtres dont la structure est faite de carbone comme la vôtre, la vie existe avec des « vêtements » différents, avec des structures différentes.

Vous avez tous pu vous rendre compte de ce qui se passe sur votre Soleil. Le Soleil a une importance considérable pour la vie sur ce monde. Les très anciennes civilisations honoraient le Soleil, parce qu’elles savaient que sans lui il n’y avait aucune vie possible sur la planète Terre. Le Soleil était réellement le père de l’humanité, comme la Terre était la mère de l’humanité.

Ce qui se passe sur le Soleil vous aidera aussi à évoluer, à grandir et à enlever les voiles qui obscurcissent encore votre conscience. D’un seul coup vous grandirez d’une façon considérable, comme si vous aviez vécu des centaines d’incarnations avant d’avoir accès à ce que vous allez devenir, et cela grâce au Soleil, grâce aux énergies d’éveil que vous recevez de l’univers et aussi grâce à vous qui avez accepté, depuis des millions d’années, de venir vivre cette fin de cycle.

Le choix que chacun de vous a fait depuis des milliers, des millions d’années, a été un choix important ; vous avez œuvré non seulement pour vous-mêmes mais aussi pour la Source, et vous allez maintenant récolter tout ce que vous avez semé de vie en vie, car chaque fois que vous vous êtes incarné vous avez semé quelque chose.

Tous les grands êtres qui ont parcouru diverses époques comme Jésus, Bouddha ou dans un ordre différent Saint Germain ou d’autres, ont semé quelque chose, et vous, avec des capacités différentes, êtes aussi venus semer quelque chose. Ce quelque chose, c’est maintenant à vous de le récolter et de l’offrir ».


Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

qu’il ne soit pas coupé
qu’il n’y ait aucune modification de contenu
que vous fassiez référence à notre site  http://ducielalaterre.org
que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

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Je rêve d’un monde…

Posté par othoharmonie le 20 avril 2012

 

Chronique bi-annuelle « www.mesressources.com »

 NO.2 Février 2011

Je rêve d’un monde…

Qui ne rêve pas d’habiter un monde meilleur, de voir les souffrances de chacun disparaître? Qui ne veut pas vivre dans la perpétuelle abondance? Qui ne veut pas être heureux?

Je rêve d'un monde... dans Nouvelle TERRE 150px-Oil_painting_paletteMoi je rêve d’un monde où les gens se saluent au passage plutôt que de regarder dans le vide, par terre ou nulle part… Je rêve d’un monde où la lumière émane des yeux et du regard de chacun et où l’on sent l’Amour, le vrai… qui circule entre les êtres. Je rêve d’un monde où les querelles, les guerres, la famine, la misère, les souffrances seront de moins en moins présentes, puisqu’elles n’auraient plus de sens et ne seraient plus nécessaires pour nous rapprocher… Je rêve d’un monde où la solitude de chacun serait remplacée par une sensation profonde d’union et d’utilité sur cette Terre, cette magnifique planète qui nous accueille et nous accueillera encore pour bien longtemps… Ce monde existe déjà en chacun de nous. Il est là, n’attendant qu’à être dévoilé, manifesté. Ce monde existe en nous puisque chaque être humain, peu importe sa religion, ses croyances ou sa couleur, aspire à être heureux, aspire au bonheur. Et ce bonheur tant recherché ne peut pas être réel s’il est créé au détriment d’autres êtres humains dans un contexte où l’on entretient des valeurs de possession, de comparaison, de supériorité entre des peuples ou entre nos « Dieux » ou nos « prophètes », et où on utilise la guerre comme moyen pour régler nos différends.

Changer le monde signifie se changer soi d’abord. Changer des aspects de nous qui ne font plus sens, d’anciennes croyances, d’anciennes valeurs démodées qui n’ont jamais fait sens de toute façon, pour aller inscrire en soi des choix qui sont en accord avec la Vie puissante qui existe en chacun de nous. Changer le monde c’est porter un regard amoureux de compassion et de bienveillance envers l’autre. C’est une main portée vers ses semblables avant de la porter vers soi. C’est rendre service de façon désintéressée, c’est offrir sans attendre en retour, c’est donner sans craindre de perdre. Alors, maintenant, demandez-vous ce que vous aimeriez voir changer dans ce monde? Qu’est-ce qui, dans ce monde actuel, ne fait plus sens pour vous? Et choisissez une seule action concrète à poser en fonction de ce changement souhaité.

Rêvons ensemble d’un monde meilleur et construisons-le à chaque instant, à chaque geste, parole, intention pour être heureux maintenant!

« Soyez le changement que vous souhaitez voir dans ce monde! » Gandhi

Pascal N. Paquette MA
Psychosociologuehttp://www.parlecoeur.com/fr/chroniques

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Dire Merci !

Posté par othoharmonie le 20 avril 2012

Dire merci rend heureux et en santé

Dire Merci ! dans Auto-Guérison merci-300x233Gratitude et bonheur : des preuves scientifiques
C’est désormais prouvé par de nombreuses études scientifiques rigoureuses : exprimer sa reconnaissance ou sa gratitude contribue directement au bien-être! Il a même été démontré que faire une liste quotidienne de 3 à 5 choses pour lesquelles on est reconnaissant a un impact mesurable sur la santé. Par exemple, d’importants bénéfices sur le sommeil, le stress, l’estime de soi, la qualité des relations interpersonnelles, le bien-être en général et même certaines maladies neuromusculaires et la dépression ont été constatés.

Certains chercheurs croient même que tenir un journal de gratitude pourrait être une des interventions de la psychothérapie positive les plus efficaces actuellement disponibles. Ils font de plus remarquer que la majorité des gens aiment beaucoup faire ce type d’exercice et qu’une fois qu’ils l’ont commencé, ils y demeurent généralement très fidèles.

Passez à l’action!
Vous pouvez commencer dès maintenant à exprimer vos mercis. Inscrivez-les simplement dans les Commentaires au bas de la page. En plus, vous en ferez profiter les autres internautes! (Il y aura un petit délai d’approbation avant que votre premier commentaire soit publié. Par la suite, ils le seront instantanément.)

La gratitude envers qui ou quoi?
L’expression de toute gratitude, petite ou grande, contribuerait à rendre plus heureux et en santé. Quand on fait sa liste, idéalement quotidienne, on peut par exemple dire merci à une personne qui nous a aidé, consciemment ou non; merci au temps qu’il fait; merci à la chance d’être en santé; merci d’avoir bien dormi; merci à une épreuve qui nous fait grandir; merci d’avoir bien mangé; merci à notre vélo ou à ceux qui l’ont fabriqué; merci à la vie…

Et enfin, quand on a l’impression que tout va mal et qu’on ne va rien trouver, ça vaut vraiment la peine de faire l’effort de faire une liste d’encore plus de gratitudes qu’à l’habitude, même si elles paraissent miniatures… Si vous essayez, vous serez étonnés des résultats!

Mieux que la course à l’argent
Pour terminer, voici la conclusion de l’exhaustive synthèse des recherches sur le sujet qui a été publiée en 2010 dans le très sérieux Clinical Psychology Review.

« Depuis quelques années, beaucoup d’études ont clairement démontré les liens qui existent entre la gratitude et de nombreuses formes de bien-être. Ces études contrastent avec celles qui démontrent qu’une fois les besoins de base comblés, il faut de très substantielles augmentations des revenus monétaires pour obtenir des gains même modestes au niveau du bien-être. Plutôt que de passer leur vie à essayer d’accumuler toujours plus de biens matériels, les gens auraient peut-être avantage à apprécier davantage ce qu’ils possèdent déjà. »

Merci d’avoir pris le temps de lire ce texte…

http://editions-ariane.com/dire-merci-rend-heureux/#comment-64

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Le Contrat Sacré

Posté par othoharmonie le 18 avril 2012


par
CAROLINE MYSS

Extraits de son livre CONTRATS SACRÉS, p. 16-57
Ariane Éditions, 2002

Contrats sacrés et potentiel divin

Notre Contrat sacré, le plan guide de notre vie, ce Contrat que nous co-créons en tenant compte des indications du Divin, comprend de nombreuses ententes individuelles (ou accords de sous-traitance) qui nous feront rencontrer certaines personnes et travailler avec elles, à certains endroits, à certains moments…


Le Contrat Sacré  dans Chemin spirituel movie27Ces expériences et ces relations, nous sommes destiné à les vivre avec nos parents, nos enfants, nos amis intimes et toute personne avec laquelle nous partageons une passion. Ces gens (de même que nos adversaires) se trouvent dans notre vie parce qu’au préalable, nous avons conclu avec eux un accord de soutien mutuel concernant notre croissance spirituelle. En effet, chaque relation et chaque expérience est une occasion de croissance et de transformation. Certaines relations peuvent même nous en fournir plusieurs. Pour chacune, nous devrons déterminer de quelle façon exercer notre pouvoir…

Ce choix est vraiment notre plus grand pouvoir. Il est encore plus grand que l’amour, car pour aimer, il faut d’abord le vouloir. Prenons un cas simple: quelqu’un s’excuse de vous avoir parlé d’une façon irréfléchie ou blessante. À cet instant, le pouvoir de transformation est entre vos mains. Vous pouvez transcender l’intensité de votre colère et choisir de pardonner, et métamorphoser cet instant en un échange qui rétablisse l’énergie entre vous deux. Ou vous pouvez réprimer votre nature divine et faire de cette chance de guérison une transaction énergétique négative. La décision d’agir en fonction de votre potentiel divin consolide le pouvoir de vos nombreux  » visages « , de vos mondes, intérieur et extérieur.

Notre potentiel divin se fait souvent entendre par l’intermédiaire de notre conscience morale, qui nous signale nos gestes inopportuns. Nous avons tous ressenti la lourde et poignante sensation de culpabilité qui vient du fait d’avoir jugé quelqu’un, trahi notre parole ou laissé passer une bonne occasion. En observant ce sentiment, nous devinons qu’il nous vient du fait d’avoir réprimé notre potentiel divin, ou d’y avoir fait obstacle. Nous reconnaissons inversement le sentiment d’équilibre qui ressort d’un geste d’amour, de compassion, de générosité et d’amitié.

Grâce à notre intuition, notre potentiel divin nous procure toujours un surcroît d’énergie au moment d’un choix contractuel, ou lorsque nous reconnaissons une personne avec laquelle nous avons une entente. Chaque relation contractuelle porte un fragment de notre âme, tout comme nous portons un fragment de l’âme des autres: ainsi, lorsque nous réagissons fortement à une personne, à un endroit ou à une situation, c’est que nous avons rencontré une part de notre âme à l’extérieur de notre être. L’atmosphère autour de nous et en nous s’intensifie! Nos émotions et notre pouls s’accélèrent, et notre raison s’éclaire ou fonce dans le brouillard. Notre corps transmet des signaux éloquents…

Notre potentiel divin nous parle aussi à travers nos rêves. C’est un désir de vivre plus intensément, mais au-delà de la performance ou du gain matériel, bien que ces choses fassent souvent partie de l’accomplissement de notre potentiel. Notre potentiel divin est l’expression intégrale de notre âme; c’est la découverte de notre profonde capacité à créer et à exprimer l’amour, la compassion, le pardon, la générosité et la sagesse. Notre potentiel divin devient plus sensible à mesure que nous étanchons notre soif de comprendre. Il devient plus perceptible lorsque nous décidons de dépasser l’aspect matériel de la vie, ce que les Hindous et les Bouddhistes appellent la maya ou l’illusion. Ne révélant jamais sa pleine mesure d’un seul coup, notre potentiel nous incite à découvrir la raison d’être et la signification supérieures de votre vie. Nous ne savions pas, à la naissance, à quel point nous pouvions aimer et prendre soin de quelqu’un. Nous devons apprendre à agir avec foi, courage et confiance en nous. Ce potentiel, nous devons le découvrir en nous-mêmes. Ces qualités spirituelles doivent se mériter…

L’équilibre entre destin et liberté dans le Contrat sacré

Dans d’autres cultures et à d’autres époques, des gens ont vu dans leur Contrat sacré l’action du destin, la grâce de Dieu ou le karma accumulé par les gestes du passé. Le fatalisme sur la vie et la mort pousse certains à dire, par exemple:  » Le moment était venu pour lui « ,  » Ils étaient faits l’un pour l’autre » ou  » C’est l’emploi pour lequel elle était née « . La culture scientifique moderne attribue de tels événements à une prédisposition génétique, à un facteur de causalité ou au hasard. Les cultures orientales, qui ont étudié les processus intérieurs de l’âme et de la psyché plus longtemps et plus intensément que l’Occident, ont développé une croyance en un continuum de vies, plutôt qu’en une vie unique suivie d’une récompense ou d’une punition éternelles. Selon les lois du karma, votre vie actuelle reflète vos actions passées tout comme vos gestes en cette vie sèment des graines qui, arrivées à maturité, produisent des fruits dans des vies futures. Bien que le système oriental du karma (et de la réincarnation) soit censé être supervisé par des dieux ou par une énergie supérieure, nos récompenses et punitions, ainsi que le rythme de notre évolution spirituelle, reposent presque entièrement sur nos propres efforts…

Pour vous aider à prendre part à ma vision des Contrats sacrés, j’utilise des comparaisons provenant des croyances orientales et occidentales sur les rôles relatifs du destin, du libre-arbitre et de la volonté divine. Mais selon moi, nous avons une relation profondément intime avec le Divin et une relation très impersonnelle avec l’ordre cosmique. Les lois universelles, telles que la causalité et l’électromagnétisme, s’appliquent également à tout le monde. L’orbite des planètes et le rythme des marées ne nécessitent aucune intervention de ma part. En réalité, nous incarnons les lois de l’univers chaque fois que nous exerçons notre pouvoir de choisir: lorsque j’opère tel choix, il y a telle conséquence, peu importe qui je suis. Mais je peux influencer la qualité de cette conséquence en demeurant consciente de mon intention. Cette capacité de déterminer nos motivations reflète notre lien intime avec le Divin. Mes intentions ne changent pas les lois, car chacun de mes choix aura tout de même des conséquences. Mais si mes motivations sont empreintes de compassion et de sincérité, elles auront des conséquences vraisemblablement positives. Et un simple geste peut entraîner une cascade inestimable d’effets physiques, émotionnels et spirituels.

Dans le cadre de notre relation intime avec le Divin, ce dernier nous incite à tirer des leçons et à travailler à notre croissance spirituelle selon une méthode à laquelle nous résistons parfois. Cela peut paraître contradictoire : puisque nous avons co-créé notre Contrat avec le Divin, pourquoi y résister ou l’ignorer ? Parce qu’avant de naître, nous oublions les détails de notre entente. Nous devons nous rappeler notre dessein, le chercher. Ce n’est pas aussi difficile qu’il n’y paraît, car lorsque vous vivez en accord avec votre Contrat, vous savez habituellement que vous êtes sur la bonne voie…

En définitive, nous faisons tous les jours des choix, conscients ou non, qui honorent notre Contrat en nous gardant sur la voie ou nous y ramenant. Nous pouvons également choisir de faire appel à des archétypes, à des guides spirituels et même à la grâce de Dieu, par la prière et la méditation, pour tenter de remplir plus promptement nos engagements. Si vous préférez ne pas croire en un véritable contrat prénatal ni en la réincarnation, ni même au pouvoir de la grâce, vous pouvez envisager votre vie sous un angle métaphorique, tel un voyage que vous avez accepté d’entreprendre…

Vous pouvez également envisager votre Contrat sacré comme votre contribution unique à la vie qui vous entoure et qui découle de votre situation, de vos relations, de votre famille. Peu importe comment nous apparaît notre Contrat, nous devons, pour le décoder, accepter que tous nos gestes aient un but qui nous dépassera toujours, que chacune de nos actions affecte notre vie et celle des autres, pour le meilleur ou pour le pire…

Les rêves ont renforcé ma croyance qu’un dessein sous-tend les événements, que notre vie est tracée, que ses étapes et ses stades nous donnent toujours l’occasion d’une transformation spirituelle, qui est le but ultime du travail avec notre Contrat. La transformation spirituelle survient lorsque, ne voyant plus les choses en termes strictement physiques et matériels, on s’aperçoit que leur déroulement s’appuie sur une logique, qu’elles sont comprises dans un vaste plan. Notre Contrat sacré nous offre d’innombrables chances de croissance et de changement, qui ne dépendent que de notre volonté de saisir les indices et les signaux subtils apparaissant en cours de route. Les rêves, les intuitions, les coïncidences apparentes et les rencontres aléatoires ne sont que quelques-uns des indices qui nous guident sur la voie de la transformation véritable.

Le but de la transformation spirituelle

La plupart d’entre nous avouerions probablement que le changement positif (et le fait d’aider les autres) est l’une de nos raisons d’être. Sans cette possibilité d’apprendre, de grandir ou d’être une force bénéfique, la vie serait plutôt stagnante. La connaissance de votre Contrat sacré vous permet de voir comment des événements et des rencontres apparemment aléatoires (positifs ou négatifs) font partie, en réalité, d’un scénario de vie qui vous fournit d’innombrables occasions de transformation spirituelle.

On croit souvent à tort que la transformation spirituelle doit être déclenchée par un traumatisme ou une tragédie : une maladie grave, la perte d’un être cher, une catastrophe financière ou personnelle. La plupart d’entre nous avons de la difficulté à croire qu’un changement de perspective majeur puisse être motivé par le simple contenu d’un livre ou par les sujets de conversation d’un déjeuner entre amis…

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