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Visualisation pour influencer à distance

Posté par othoharmonie le 3 mai 2012

 

Comme vous le savez tous  ici ou presque, pour l’avoir déjà lu sur ce blog, mes premiers apprentissages de travail personnel je les ai entrepris grâce à ma rencontre avec Jacques RUBINSTEIN, c’est lui qui m’a fait faire mes premiers pas dans le travail sur soi, et comme nous sommes ici tous ensemble dans cet espace de sincérité et de partage, j’ai choisi de vous faire partager pas à pas les quelques apprentissages de base que j’ai pu recevoir de la part de mon Ami Jacques… A qui, soit dit en passant, je salue une fois de plus là-haut !

 Visualisation pour influencer à distance dans PENSEE MAGIQUE - LEITMOTIV et RITUELS magie-livre2

Pour parvenir à une visualisation correcte, capable de servir de support à une action magique, il faut évidemment commence par suivre un entraînement sérieux et progressif. Si doué que l’on soit, on  n’y arrive pas du jour au lendemain. Je peux indiquer une méthode très simple qui permet à quiconque la suit fidèlement d’obtenir assez rapidement une bonne maîtrise de l’image intérieure.

 

Voici en quoi cela consiste :

Tout d’abord j’attire votre attention sur un point important : les exercices que je vous propose ne peuvent être exécutés utilement que dans une ambiance sereine, dans un état de quiétude et de relaxation. Tout effort, physique ou intellectuel, doit être précédé  d’un repos, d’un repos complet ; or, il vous faudra faire un réel, parfois pénible effort, au cours de ces exercices d’entraînement à la visualisation.

 Allongez-vous donc dans un endroit calme, silencieux, peu éclairé (mais surtout pas totalement obscur ; lumière douce, tamisée, voilà ce qui convient le mieux). Votre couche doit être confortable, ni trop moelleuse, ni trop dure ; vous devez vous sentir à l’aise sans être incité au sommeil. Il s’agit maintenant d’obtenir la meilleure relaxation possible de votre corps. Pour y parvenir, suivez le conseil de Descartes, divisez la difficulté en autant de parties qu’il se peut, ce qui se traduit en l’occurrence de la manière suivante ; contractez l’un après l’autre, successivement chacun de vos muscles – du moins chacun de ceux dont vous connaissez l’existence et qui répond à votre volonté – et puis détendez-le. Commencez par les pieds, puis les jambes, montez au ventre, puis au thorax, redescendez le long de chaque bras ; enfin, vous vous occuperez des muscles du cou et de la mâchoire. Une fois obtenu cet agréable état de relaxation, il s’agit d’essayer de faire le vide complet dans votre esprit. Ne pensez à rien (non pas de façon mondaine de parler, mais au sens strict de l’expression), c’est un véritable tour de force très difficile à réaliser. Vous vous en rendrez compte en essayant.

 Si vous y parvenez pendant une fraction de seconde, ce sera un début encourageant ; quand vous arriverez à maintenir votre esprit vide de toute pensée pendant une minute, vous aurez gagné le pas décisif qui vous permettra, avec de l’entraînement, d’augmenter bientôt la durée de cet état de relaxation complète jusqu’à quinze ou vingt minutes. C’est-à-dire que vous pourrez alors passer aux exercices de visualisation proprement dite avec de bonnes chances de succès ; vous serez en train de devenir un bon sorcier, un mage blanc. Ce n’est pas plus difficile que ça ! ou plutôt : c’est aussi difficile que ça !

 Au stade de la visualisation, l’entraînement devra également être progressif. Il faut se contenter, au début, de créer sur le petit écran de son esprit une image très simple ; par exemple une allumette. On s’efforcera de se la représenter le plus clairement possible, en précisant chaque détail ; ce sera une allumette suédoise, à tête de phosphore rouge ou jaune, longue ou courte, etc.. ; Cette image mentale ne pourra pas être gardée, fixée, longtemps de suite ; elle sera remplacée par une autre image ou par une pensée d’un autre ordre qui viendra s’imposer dans le champ de la conscience ; l’important sera de lutter pour chasser l’image intruse et faire revenir l’allumette. Faites cet effort pendant une dizaine de minutes. Ainsi commence à s’acquérir la maîtrise en visualisation ; c’est à dire que vous êtes en train de fabriquer votre premier instrument magique !

 Quand vous aurez réussi à maîtriser parfaitement l’image simple de l’allumette, vous en viendrez à la représentation d’un objet plus compliqué ; par exemple une casserole ; puis, augmentant les difficultés de l’exercice à mesure des progrès réalisés, vous deviendrez capables de créer et de fixer l’image d’objets de plus en plus compliqués dans leurs détails, leurs formes, leur relief, leur couleur, leur apparence.

 Cette maîtrise une fois obtenue, il ne vous reste plus qu’à entrer hardiment dans le dernier stade de la progression, celui de la magie dite vivante. Au lieu d’un objet inanimé, c’est une personne vivante, que vous connaissez et que vous aimez bien, dont vous allez fixer l’image dans votre esprit. Il vous faudra visualiser ce visage en précisant tous les traits, tous les détails, toutes les particularités ; c’est un portait minutieusement précis, exact, ressemblant, qu’il vous faudra créer sur l’écran immatériel de votre esprit. Avant de commencer ce difficile exercice, vous ferez bien de rafraîchir votre souvenir en étudiant une photographie de la personne dont vous avez l’intention de recréer l’image.

 Pendant une semaine, vous vous contenterez de fixer cette image au repos, immobile. Après quoi, vous vous efforcerez de l’animer sur votre écran intérieur, de visualiser vivante la personne choisie. Ce ne sera plus seulement pour vous un visage, une photo inanimée et sans relief ; ce sera un être vivant, bougeant, qui vous sourira, qui remuera les lèvres pour vous perler et qui bientôt vous parlera vraiment. Cette personne sera devenue aussi vivante dans le domaine intérieur de votre pensée qu’elle l’est dans le monde visible où son corps évolue.

La preuve : si vous entamez un dialogue intérieur avec l’image vivante que vous avez créée en vous, que vous teniez des propos tendres et affectueux, quand vous reverrez par la suite cette personne, vous constaterez qu’elle vous manifeste une amitié, quelle a envers vous un élan de sympathie, ou d’amour, qui répond aux sentiments que vous avez montrés à son image. Que s’est-il donc passé ? Une syntonisation affective s’est opérée entre vous et le sujet choisi pour cette expérience ; à son insu, mais non au vôtre, son inconscient a été influencé favorablement par vos « avances » et il a répondu sur le même ton, sur la même longueur d’onde ; il s’est « accordé » avec vous ! il vous a donc été possible,  à distance, sans aucun contact physique, grâce au seul pouvoir de la pensée, par la création d ‘une image intérieure, il vous a été possible d’influencer le comportement d’une personne vivante, de  commander en quelque manière ses sentiments et ses gestes ; n’est-ce pas prodigieux ? Oui, et nous pénétrons-là justement dans un des arcanes majeurs de la magie opérationnelle.

 Cette puissance incroyable que donne la visualisation peut être employée indifféremment pour le bien ou le mal. Mais ceux qui seraient tentés d’en faire un mauvais usage doivent savoir qu’ils encourent des risques terribles ; il s’agit du fameux « choc en retour » dont il est si souvent question mais dont les profanes comprennent mal le mécanisme. L’explication est simple ; quand, par le procédé de la visualisation, vous adresser des pensées affectueuses à une personne, vous constatez que celle-ci répond par des sentiments sympathiques ; si au contraire, vous projetez vers un sujet des forces mauvaises par l’intermédiaire de son image, il est normal que ce maléfice vous soit retourné de la même manière ;

 Bien sûr, je simplifie à dessein l’explication d ‘un phénomène qui est beaucoup plus compliqué et mystérieux. Mais le principe reste bien celui du « retour à l’envoyeur » !

Certains mages noirs très puissants réussissent à se protéger pendant un certain temps contre les effets de ce choc en retour ; mais la Justice immanente finit presque toujours par triompher et il arrive un moment où le boomerang revient atteindre son lanceur. Dieu merci ! C’est bien la meilleure assurance que nous puissions avoir contre les entreprises des méchants… ils savent qu’ils seront presque fatalement victimes un jour ou l’autre des maléfices qu’ils sont peut-être très désireux de nous envoyer par intérêt ou par haine.

 

Texte issu du livre de Jacques RUBINSTEIN : Un sorcier vous parle – page 23

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Magie Noire et Magie Blanche

Posté par othoharmonie le 3 mai 2012


Tout le monde sait que la magie blanche est celle qui agit pour le bien, et que la magie noire est celle qui fait le mal. L’une protège, l’autre attaque ; l’une est bienfaisante, l’autre nuisible.

Magie Noire et Magie Blanche dans PENSEE MAGIQUE - LEITMOTIV et RITUELS magie-blanche Cette distinction entre les deux magies est aussi ancienne que la magie elle-même. En outre, elle est commode. Aussi, bien que cette opposition catégorique entre la blanche et la noire exprime un naïf et sommaire manichéisme, je la conserverai, pour la facilité du vocabulaire et de l’exposé, sans y ajouter l’ombre d’une réticence ni d’une nuance.

 J’ajouterai seulement que ces deux magies sont de même nature, jouent avec les mêmes forces cachées, utilisent les mêmes armes et les mêmes moyens ; c’est seulement le but qui change. Je précise ; pour protéger un malheureux en butte aux attaques d’un mage noir, un mage blanc pourra fort bine être amené à déclencher une contre-offensive qui nuira à l’ennemi. Après un tel affrontement, quand on compte les coups et que l’on regarde qui reste sur le carreau, on peut fort bien croire, à ne juger que par les résultats, que le blanc est le noir et inversement. Tant il est vrai comme disait le poète Arthur Rimbaud, que « le combat spirituel est plus brutal que la bataille d’hommes ».

 S’il y a des sceptiques, je leur conseille seulement de jeter un regard attentif autour d’eux. Ils découvriront facilement parmi les amis et connaissances des gens qui sèment malheur et désolation partout où ils passent, qui semblent appeler et provoquer les catastrophes par leur seule présence, aussi bien dans leurs affaires que dans leur famille. Que ces personnes malheureuses ou maléfiques soient les victimes ou les auteurs de ces catastrophes, elles n’en sont pas moins marquées d’une fatalité dangereuse qu’il est important de pouvoir corriger.

 Par exemple, voici un paysan dont les bêtes meurent dans son étable l’une après l’autre sans qu’un vétérinaire puisse ni découvrir la cause de cette épidémie, ni l’arrêter. Il est possible que cet homme soit victime d’un virulent accès de malchance ; il est possible aussi qu’il soit victime d’un mauvais sort (comme on dit) que lui a lancé un sorcier malintentionné. Dans les deux cas, la magie blanche pourra lui être d’un précieux secours, car elle a les moyens de corriger la fatalité et de protéger contre les agressions de la magie noire. C’est le rôle du bon sorcier, celui que j’ai toujours rempli depuis que je pratique cet art ; découvrir la cause du mal et y porter remède.

 Comment ?

Il est bon d’abord de se convaincre que la magie est affaire de tous les jours, elle est mêlée au quotidien le plus banal. Cette technique consiste à concentrer au maximum son attention et sa volonté afin de VOIR l’événement que vous souhaitez se produire dans l’avenir.

 

Texte issu du livre de Jacques RUBINSTEIN : Un sorcier vous parle – page 11

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