Hommage à mon Ami Jacques RUBINSTEIN

 

Jacques RUBINSTEIN de son vrai nom BILLARD (toute une histoire) : Un demi-siècle d’existence, une passion pour le savoir « caché ». Une lutte de tous les jours pour que s’ouvrent les portes de l’occulte. Bien des visites du monde entier à son modeste bureau de Méluzien. Dans ce MORVAN, peuplé de gens de cœur, d’âmes et de corps, on est venu chercher son SAVOIR de toute la planète et pourtant je quête encore ce qui aurait pu m’échapper ; ceci pour vous dire que l’on n’est jamais au bout de la route de la connaissance… Depuis longtemps on lui demande d’écrire un ouvrage sur la VICCA, la sorcellerie telle que la comprennent les anglo-saxons, mais aussi les autres peuples. Obligé de répondre : il n’y a pas une Wicca, il y a des Wiccas dont des « Sorcelleries ». Bien souvent ceux qui sont venus quêter cette forme de connaissance auprès de lui sont venus avec des pensées cachées qu’il a su déceler. Pensées de mal,  pensées de haine, pensées de s’approprier le bien d’autrui quel qu’il soit… Pensées lubriques, pensées de sexualité refoulée par de multiples causes… parmi tous ces cas quelques personnes, peu nombreuses à la pensée de VRAIE QUETE. Mais alors avec eux qu’elle joie de voir la pureté, la noblesse de leurs intentions. Ici il est temps d’expliquer… (J.Rubinstein est dcd le 27/01/1997)

 Wicca, ou Vica, la Vraie Sorcellerie ! Bien des noms, des façons d’écrire qui désignent le même courant, la même façon de vivre et de « faire » certains pouvoirs donnés aux hommes et aux femmes. Il faut poser la seul question valable : qu’est-ce que la WICCA ?

 Il faut répondre à cette question en disant : c’est le rassemblement de personnes de bonnes volonté (au pluriel bien sûr) qui ont effectué certaines observations utiles à tous et les ont mises au service de tous – c’est un premier point. C’est une mini-religion car ce courant d’idée qui veut que l’homme et la femme puissent se dépasser eux-mêmes, rassemble au départ fort peu de gens. Mais cela reste la première manifestation de la religion et aussi de la Médecin, et aussi de la science, et aussi de toutes les connaissances qui ont permis par la suite à l’homme de se transcender lui-même.

 AU PRESENT WICCA-SORCELLERIE sont le moyen à l’homme et à la femme de se retrouver eux-mêmes, d’une façon pure, originelle ; c’est le moyen qui permet aux hommes et aux femmes de retrouver la manifestation de savoirs psychiques, parapsychiques qui sont en eux et qui sont occultés depuis longtemps par nos différentes formes de civilisation. De nos jours il est difficile d’exprimer les vérités, je devrais dire la REALITE que contient la SORCELLERIE car le jeu de toutes les civilisations et des religions a fait en sorte que soient dénigrées toutes ces connaissances, ceci uniquement par esprit de domination, d’oppression. Ce qui fait que « SORCELLERIE ET WICCA » n’ont jamais eu un grande place, tient au fait qu’elles ont été « vécues » par des braves gens incapables de mal, et qu’il était plus difficile d’envoyer au bûcher que d’écouter.

 Peu de gens ont le courage de tolérer que leur nom figure dans un journal où ils feront dépit à leurs amis, famille, comme des déviants sociaux avec tout ce que cela comporte de conséquences sur tous les plans, travail, famille, sentiments etc… J’ai décidé de remettre à jour une partie de la vieille connaissance pour enfin affirmer à la face du monde que SORCELLERIE ET WICCA qui sont la même chose sont dignes de notre estime. Le problème dans notre monde occidental se complique du fait que le christianisme et les religions qui en découlent ont fait croire pendant des siècles que la SORCELLERIE était mauvaise. Cela même alors que l’on retrouve dans les paroles du Christ, des attitudes de pensées qui sont celle de la WICCA.  Il y a dans l’histoire de cette grande religion tout un contexte d’anges, des démons répertoriés, classés selon les grades etc… Cela a augmenté la confusion dans l’esprit des gens qui hors les églises officielles n’ont point vu de salut. Le peuple ne voyait pas que la vérité première de la sorcellerie était cachée, occultée, pour le profit des prêtres qui étaient devenus les marchands du temple (au cours des âges) j’ajoute, pas tous heureusement, les meilleurs bien souvent, à une époque ont été aussi accusés de SORCELLERIE. Je ne veux nullement reprendre l’Histoire, donner des dates, des références bibliographiques car vous savez tout cela. La condamnation de la sorcellerie est venue du fait que sorciers et sorcières face aux gens dans l’ennui, ont commis l’immense erreur de montrer qu’ils avaient plus de pouvoirs que les prêtres des religions consacrées.

 Cela, un pouvoir en place ne peut le pardonner ! La chasse aux sorcières n’a pas d’autre origine… Les bûchers ne sont guère éteints qu’il y a un peu plus de deux cents ans ne l’oublions pas. Pour vous livrer les connaissances particulières des groupes Wicca sorcellerie, j’ai eu une série d’entretien avec un personnage remarquable par ses expériences, ses vues très spéciales qui vous le verrez ont le ton juste. Si ce personnage ne m’avait pas connu depuis de longues années je n’aurais pu le décider. Il m’a fallu lui dire, lui affirmer, qu’il avait là, l’occasion unique de rendre servie à son « courant de pensée ». Il m’a fallu lui affirmer que sa sincérité le rendait respectable, que le fait qu’il ne soit pas dans les normes de NOS civilisations n’était nullement un handicap… Il y a toujours quelques connaissances à apprendre d’autrui : et Lui, pour moi c’est un personnage qui mérite, avec discrétion, car il y tient, de sortir un peu de l’anonymat dans lequel il se complait. Je n’ai pas le droit, me disait-il de compromettre la tranquillité d’hommes et de femmes qui sont aussi bien dans mon groupe quand dans d’autres … comme je le comprends.

 Le fait qu’à titre personnel je crois un pratiquant de MAGIE BLANCHE, le fait qu’il sache que je n’ai jamais œuvré pour le mal, l’a décidé. Il connaît mes cours sur les « POUVOIRS DE L’ESPRIT ». Il connaît mes ouvras : Un sorcier vous parle puis mes recettes magiques pour un amour fou paru chez DESFORGES ; Puis il a lu le dernier OCCULTIME qui est la suite de Un sorcier vous parle et qui est paru aux éditions Desforges. Il sait ma lutte contre le mal, les envoûtements, les maladies mystérieuses qui n’ont rien à voir avec la Médecine. Ma qualité d’Occultiste reconnu que l’on vient consulter de partout dans mon petit hameau de Méluzien (89) lui a donné assez de confiance pour que je puisse parler de SA Connaissance à lui qui est exceptionnelle. Je veux quand même vous dire que lorsque vous aurez lu ce qui le concerne, car je vais lui laisser la parole, vous devrez savoir qu’il est marié à une femme charmante, a une petite fille, et est un citoyen tout à fait Normal, loin de toute agitation, très conscient des intérêts de tous les groupes humains, comme de ceux de son pays ou de la planète. Sa générosité de pensée est large, ce qui veut dire une compréhension des problèmes humains.

 La compréhension des autres est basée sur ses connaissances SORCIERES qui pour lui, sont les bases de la vie. Ne me demandez pas un avis personnel sur le personnage ; il est évident que je l’estime. Il y a bien des moyens d’appréhender les vérités du monde ; disons que les siens sont pour nous originaux… je vous laisse en sa compagnie, vous en aurez beaucoup de plaisir !…

 

                                         A la mémoire de Jacques RUBINSTEIN.

Le Sixième sens : Puissance mystérieuse du subconscient

 

Nous possédons un sixième sens, que nous n’utilisons pour ainsi dire jamais, soit parce que nous ne savons même pas  qu’il existe, soit parce que nous nous méfions des renseignements qu’il nous fournit ; c’est l’intuition.

 Aux sensations que les cinq sens classiques communiquent au cerveau, il faut ajouter ces coups de projecteur qui illuminent soudain l’obscurité d e l’avenir et nous permettent de vois d’avance des événements qui ne sont pas encore produits. Cette intuition se manifeste souvent, en effet sous forme de voyance ; c’est un don que possèdent certains privilégiés. Dans son genre le plus noble, c’est la prophétie. Dans la vie courante, chez l’homme ordinaire, il ne s’agit plus que d’une espèce de coup de semonce très vaguement perçu, une alarme obscure donnée par le subconscient à la conscience pour déconseiller un acte, une entreprise, pour se méfier de quelqu’un, pour éviter un piège.

 De ce sixième sens si utile presque personne n’ a appris à se servir. On se contente d’envier ceux qui en sont doués, sans se douter qu’avec un peu d’entraînement n’importe qui est capable de recevoir clairement ces messages d’avertissement et ces images de prévision. Tout le monde a entendu raconter l’histoire de la femme du marin qui se réveille en pleine nuit en criant ; « Mon mari ! mon mari » : et qui parvient pas à se rendormir. Elle apprend plusieurs jours plus tard qu’à l’heure précise où elle s’éveillait en sursaut, le bateau de son mari faisait naufrage. Un mystérieux SOS avait jailli de son subconscient et avait éclaté dans le champ de sa conscience.

 Comment justifier raisonnablement qu’un sixième sens puisse prévenir d’un danger, conseiller d’adopter une attitude, d’accomplir certaine démarches de s’éloigner de telle personne, de renoncer à certaines entreprise s ? Quand on dit que c’est la voie du subconscient qui se fait entendre, on n’a rien dit, car il reste à savoir quelle sagesse inspire cette voix, au nom de quelle raison elle parle, d’où elle tire ses informations ? D’autre part, quand il s’agit d’une image de l’avenir brutalement projetée sur l’écran de la conscience, c’est-à-dire d’un phénomène de voyance caractérisée, quelle explication rationnelle donnera-t-on ?

 A quoi bon chercher à comprendre ? Il suffit de constater et de s’arranger pour tirer le meilleur profit de tous ces mystérieux privilèges dont nous jouissons. Notre subconscient travaille pour nous, à notre insu, dans la nuit de l’âme. Combien de chercheurs se sont endormis en ruminant un problème insoluble et ont eu la surprise, à leur réveil, de constater que la solution vainement cherchée pendant de longues heures de travail conscient avait été trouvée pendant leur sommeil par leur subconscient. Ce second Moi inconnu, dissimulé sous la surface notre Moi pensant conscient, est toujours prêt à nous rendre service. Il travaille pour nous et son efficacité est autrement plus grande que celle de notre pensée consciente ; son rôle consiste justement à apporter une solution à nos problèmes, à nos ennuis, à nos soucis. Sans nous et malgré nous. Il suffit de ne pas contrarier son action et de savoir écouter sa voix quand il propose les solutions ou les conseils que notre pensée consciente aura toujours tendance à repousser parce qu’elle aura été incapable de les trouver par raisonnement logique.

 Il faut apprendre à se faire un allié de son subconscient pour arriver au stade magique des réalisations. La première condition consiste à n’accepter dans le champ de la conscience que des pensées positives. Dans ses manifestations, le subconscient est toujours essentiellement positif, puis qu’il ne travaille que pour notre bien. Si brusquement il se manifeste en déconseillant d’accomplir certaines actions, c’est que notre action aura des conséquences défavorables, qu’elle sera négative. Ce n’est pas pour limiter nos réalisations, pour freiner notre expansion ; c’est seulement pour diriger notre action dans une voie plus sûre, se montrant ainsi l’allié efficace, prudent de nos ambitions positives.

 Cette voix du subconscient, comment apprendre à l’écouter, comment comprendre ses messages sans crainte d’erreur ?

 En vous couchant, le soir, frictionnez-vous les extrémités à l’eau de Cologne ; pieds, mains, front, oreilles. Frottez avec une petite brosse ou un gant de crin, de façon  à activer la circulation sanguine, ce qui améliorera l’irrigation du cerveau. Avant de vous mettre au lit, ouvrez la fenêtre (quel que soit le temps extérieur) et trois ou quatre fois de suite, faites une inspiration profonde suivie d’une expiration complète. Après quoi, allongez-vous et concentrez toute votre attention sur le problème particulier auquel vous désirez trouver une solution. Pendant une dizaine de minutes, vous garderez cette pensée dans le champ de votre conscience tout en demandant à votre subconscient, en lui confiant la mission de trouver la réponse convenable à votre problème et de vous la faire connaître.

 Pour mieux obliger cet esprit qui est en vous, dans les profondeurs inconnues du subconscient, à répondre à votre appel, à travailler pour vous, prononcez clairement au-dedans de vous-même l’invocation suivante deux fois de suite :

« Esprit qui es en moi, éclaire-moi, guide-moi ! »

 Vous pouvez alors détacher votre attention de ce souci,  pensez à autre chose, laisser vagabonder votre esprit où bon lui semblera, puis vous endormir du sommeil du juste. Soyez tranquille, votre subconscient est déjà au travail, il est prêt à vous apporter sa réponse. Le lendemain matin, en vous éveillant, vous retrouverez votre problème de la veille qui émergera au niveau de votre pensée consciente ; vous constaterez alors que vos idées s’organisent autour de ce problème d’une façon nouvelle, et la solution vous apparaîtra avec la force de l’évidence. Peut-être la réponse ne vous sera-t-elle pas donnée avec netteté, mais seulement des suggestions qui orienteront votre pensée consciente vers la réponse que vous croirez peut-être avoir trouvée sans aide occulte. En tout cas, si vous n’obtenez pas une réponse positive le premier jour – c’est-à-dire le matin en vous réveillant, après avoir accomplir correctement l’exercice que je vous ai décrit – alors, recommencez l’expérience le soir même, et encore le soir suivant si nécessaire : la réponse certainement vous sera donnée. Car, je ne le répéterai jamais assez, votre subconscient travaille pour vous, son seul but est de vous servir. Donc, n’hésitez pas à le mettre à contribution.

 Ayez confiance en lui, c’est votre plus sûr ami. Plus souvent vous vous adresserez à lui, plus volontiers et plus vite il vous répondra. Plus vous le commanderez, plus il prendra l’habitude de vous obéir facilement. Dites-lui : « Je veux que tu m’aides en ceci ou en cela ! » Il le fera. 

 

Texte issu du livre de Jacques RUBINSTEIN : Un sorcier vous parle – page 35

Visualisation vers la Pensée Agissante

Avant  d’entreprendre une campagne de visualisation, assurez-vous par une analyse sincère et approfondie que votre désir ne contredit pas la loi morale universelle. La magie a sa morale. Ne souriez pas. C’est en fin de compte une morale de l’efficacité.

 Je m’explique : pour que l’action magique soit suivie d’une réalisation, il faut, sous peine de déclencher de redoutables turbulences psychiques, que le désir à réaliser, que l’ordre donné à l’enchaînement des causes et des événements soit conforme à l’Harmonie Universelle, c’est-à-dire à la grande loi morale fondamentale qui est celle du christianisme, mais aussi de presque toutes les religions ; « tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Il faudra donc que notre opération magique ne porte pas préjudice à autrui. Tout manquement à cette règle sera tôt ou tard sanctionné, on pas par un juge supérieur à notre condition humaine, mais par nos actes eux-mêmes qui décideront et provoqueront finalement notre propre punition.

 Pour que se réalise l’image que vous allez visualiser, il faudra – prenez-en une conscience bien claire ! – que des gens connus ou inconnus de vous accomplissent certaines actions, se déplacent, se rencontrent (ou s’évitent), bref concourent à leur insu à modifier le cours des événements en votre faveur. Ce n’est donc pas seulement votre seul destin que vous influencez, mais aussi celui de nombreuses personnes engagées malgré elles dans votre aventure. Si votre action magique est conforme à la loi morale, à l’harmonie universelle, votre pouvoir sera renforcé, si l’on peut dire, par la volonté de tous ; vous serez porté par le grand courant unanime des hommes de bonne volonté.

 La plupart du temps, le commun des mortels ne possède ni la technique de la visualisation ni une volonté assez forte pour réussir ce genre d’opération ; aussi les pensées des individus distincts s’annulent-elles les unes par les autres : elles forment toujours une même trame, mais sans avoir  de réaction les unes sur les autres. C’est le calme plat tant qu’une vague magique ne vient pas déclencher l’onde de choc qui va se propager d’une pensée à une autre jusqu’à atteindre son but.

 Chacun de nous n’est qu’une parcelle infinitésimale de la pensée universelle qui est UNE, qui est à la fois l’unité et le Tout. Le UN, base de la progression jusqu’à la dizaine qui s’exprime 1 + 0 c’est-à-dire l’unité et le cercle qui contiennent la multiplicité infinie des nombres. C’est parce que nous sommes tous parcelles de l’infinie pensée universelle que nous en sommes le reflet, l’Image (« Et Dieu fit l’homme à son image »…) Pour avancer dans la connaissance, il est indispensable de prendre conscience de cette réalité et de cette éminente dignité qui nous fait en quelque sorte participer à la toute-puissance de Dieu. 

 Dans ce monde matériel où nous vivons, nous ne sommes pas seulement des corps, nous sommes aussi des centres de forces spirituelles capables d’agir à l’extérieur de nous-mêmes, sur notre environnement physique et physique en utilisant les pouvoirs de notre pensée. Matière et esprit sont si intimement liés qu’il est impossible de déterminer une frontière réelle qui les sépare.

  Exemple : Les ondes bio-électriques qui accompagnent la pensée. Celle-ci appartient au domaine de l’esprit et pourtant le courant électrique est bien une réalité matérielle. On peut modifier la pensée d’un individu en envoyant à son cerveau des impulsions électriques : corollairement, la pensée peut modifier un champ électrique et celui-ci modifier la composition des liquides bio-chimiques du cerveau. Nous entrons dans le circuit mystérieux matière-énergie-pensée où les interactions de l’esprit sur la matière et inversement sont une illustration raisonnable de l’action magique telle que nous voudrions la faire comprendre aux profanes. En effet, que fait-on lorsqu’on pratique la visualisation ?

 On émet une pensée qui s’accompagne d’une énergie électrique contrôlable, mesurable, laquelle modifie la matière d’une façon également contrôlable ; cette pensée se manifeste en outre par une énergie – incontrôlable celle-là – qui va agir dans le domaine des causalités premières, celles de l’esprit, pour arriver aux causalités secondes qui appartiennent au domaine de la vie courante, des événements ordinaires, celles qui concourent à réaliser dans le domaine matériel l’objet de notre visualisation.

Ces explications m’ont paru nécessaires à donner pour réfuter l’accusation de subjectivisme portée contre la magie par les rationalistes. Les forces spirituelles, magiques, dont dispose l’homme, n’ont pas seulement une réalité subjective ; elles ne tirent pas leur efficacité de la superstition ni de la foi. Elles sont réelles et objectives. Leur étude devrait être recommandée à tous ceux qui ont l’ambition d’améliorer leur condition, de conquérir le bonheur et d’être tuiles à leur prochain. J’ai bon espoir que dans un avenir proche, la science magique moderne, rajeunie, adaptée aux nécessités nouvelles, débarrassée de son fatras, fera l’objet d’un enseignement officiel dans les Universités.

 

Texte issu du livre de Jacques RUBINSTEIN : Un sorcier vous parle – page 31