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Pruneaux de Vitteaux

Posté par othoharmonie le 11 mai 2012

 


Pruneaux de Vitteaux dans Traditions en BourgogneS’il est un produit Bourguignon dont on parle peu, mais qui mérite une découverte urgente, c’est bien le Pruneau de Vitteaux. Issus de la Prune Jaune de Vitteaux qui fut importée d’Orient au Moyen-Age par les seigneurs de Vitteaux, ces délicieux Pruneaux sont produits dans la région de l’Auxois selon des critères et une rigueur qui confinent à l’excellence, et qui en même temps que sa rareté, en font un produit recherché des amateurs.

De couleur brune tirant sur le clair, légèrement acidulé et moins sucré que son cousin du Sud-Ouest, le Pruneau de Vitteaux se récolte sur d’étonnants pruniers à troncs vrillés. Les Prunes sont ensuite déposées sur des claies en osier et on les laisse sécher environ 16 heures. Aujourd’hui, vous pourrez déguster ces Pruneaux de mille façons : essayez-les natures pour le plaisir, en apéritif « bardés » d’une fine tranche de lard et légèrement grillés ou encore en confiserie fine pour réaliser de délicieux fruits déguisés…

A la découverte d’une très ancienne spécialité locale, jadis connue de toutes les foires d’Europe : « Les pruneaux de Vitteaux traversaient les mers, on les présentait devant les rois, et ils allaient faire connaître jusqu’au bout du monde l’excellence de la terre qui les avait produits ». Très original et totalement naturel, ce pruneau se distingue des autres sortes de pruneaux par la finesse de sa peau, sa saveur particulière et sa qualité culinaire exceptionnelle.

 

 dans Traditions en BourgognePrésentation d’un lieu de production, le verger du Château de Saffres et sa maison-forte, en restauration.


Arrêt et promenade dans le village de Saffres qui a accueilli le premier cette variété

de prunes rapportée des Croisades, histoire et relance récente du pruneau.

Dégustation en compagnie d’un membre de la Confrérie du Pruneau de Vitteaux.

Selon la légende, ces prunes auraient été rapportées d’Orient au Moyen Âge par les seigneurs de Vitteaux. Au début du XIXe siècle, la région de Vitteaux fournissait des quantités importantes de fruits, notamment de pruneaux. Désormais, malgré une relance de la production dans les années 1990, celle-ci reste infime.

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Un Bourguignon bien connu

Posté par othoharmonie le 11 mai 2012

 

Un Bourguignon bien connu dans Traditions en BourgogneHenri Vincenot est un écrivain français, également peintre et sculpteur, né à Dijon le 2 janvier 1912 et mort à Dijon le 21 novembre 1985.

 Son œuvre est fortement liée à la Bourgogne.

 Henri Vincenot a passé son enfance dans une famille d’employés du chemin de fer, plus précisément de la compagnie du PLM. Son père était ingénieur à la voie, son grand-père paternel mécanicien, son grand-père maternel était garde-barrière à Mâlain (à 16 km à l’ouest de Dijon). Henri Vincenot a grandi dans le quartier cheminot de Dijon, le quartier des Perrières, proche de la gare de Dijon-Ville et du dépôt de Dijon-Perrigny.

 

Diplômé de l’ESC Dijon et d’HEC, il a travaillé aux chemins de fer, puis comme journaliste au journal La Vie du Rail (anciennement nommé Notre Métier), dont il fut pendant plus de vingt ans l’un des principaux rédacteurs. À la fin de sa vie, il s’est retiré à Commarin (Côte-d’Or) où il a écrit la plupart de ses ouvrages.

L’œuvre d’Henri Vincenot est profondément marquée par son attachement à la Bourgogne. Il remet en valeur les anciennes pratiques païennes celtiques, tout en montrant à quel point elles sont intégrées dans la culture populaire catholique. Ses personnages, souvent truculents, parlent un langage fortement imprégné de bourguignon-morvandiau qui, d’après Vincenot, dérive tout droit du celtique. Les romans d’Henri Vincenot ne peuvent cependant le placer dans le groupe des écrivains du terroir tels que ceux de l’école dite de Brive. En effet, il développe dans chaque œuvre une réflexion sur la tradition, la civilisation, l’Histoire, qui ouvrent ses perspectives bien au-delà de la seule réalité bourguignonne qu’il se plaît tant à décrire. Henri Vincenot s’est fait le chantre de la civilisation lente, cette manière de vivre antérieure aux chemins de fers et à l’automobile. Certains de ses romans quittent l’univers bourguignon pour la Bretagne ou le Sahara.

Une autre partie de son œuvre, non moins importante, est consacrée aux chemins de fer, qui constituent son univers familial, univers dans lequel il a grandi à Dijon. En effet, il ne fréquentait étant jeune que des cheminots et enfants de cheminots comme son ami Marcel Dulot. Tous ses parents travaillaient à la compagnie du PLM.

 

EXEMPLE / Le pape des escargots, Henri Vincenot

 

41Yr-el74rL._SL500_AA300_ dans Traditions en BourgogneLe pape des escargots est un livre très riche. Les thèmes dont il est question sont très nombreux.

Commençons d’abord avec la Bourgogne. Il est évident que Henri Vincenot est un amoureux fou de sa région, la terre des Eduens et des Burgondes. Ça se sent à chaque ligne, à chaque description de ses personnages, des paysages et des bâtiments. La langue est joyeuse. J’ai pris plaisir à lire certains mots que je n’avais qu’entendu jusque-là. Des beaux mots comme revorcher, reveuiller, beuzenot, pangnat, traignas, treuffes etc. D’ailleurs je me suis dit que j’avais encore quelques progrès à faire pour comprendre vraiment le patois bourguignon. Le texte est en truffé et on peut buter dessus si on ne connaît pas ces mots. Mais ça m’avait fait la même chose avec le français d’Acadie dans Pélagie la charrette sans pour autant m’empêcher de l’apprécier. Toujours au rayon des mots, on notera le vocabulaire du domaine de l’architecture, de la sculpture, de l’artisanat et de la bonne nourriture.

Les personnages sont plutôt colorés, et c’est un euphémisme dans le cas de La Gazette, sorte de prédicateur errant, mémoire vivante de la vie bourguignonne, des traditions ancestrales, de l’architecture et des Compagnons du Devoir. Les exégètes d’Henri Vincenot pourraient facilement consacrer une longue étude à propos de ce personnage, qui est en fait le véritable héros du roman. Le pape des escargots c’est lui.

Voilà une lecture très agréable, je garde les autres romans du recueil sous la main.

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Matérialiser l’Esprit

Posté par othoharmonie le 11 mai 2012

Spiritualiser la matière et matérialiser l’Esprit.

 par Mantha

Spiritualiser la matière et matérialiser l’Esprit 
Matérialiser l'Esprit dans SPIRITUALITE c'est quoi ? KaleidoscopeChaque noyau atomique est un petit soleil autour duquel s’agitent des électrons, tels des satellites. Chaque atome formant les molécules de notre corps est à lui seul un petit univers qui vibre en résonance avec le grand Univers. Or chaque particule élémentaire (ou quantum) composant nos atomes se comporte de façon ondulatoire (esprit) ou corpusculaire (matière) selon qu’elle est observée ou non ! Alors où est l’esprit ? où est la matière ? en réalité il s’agit d’une seule et même entité sur une fréquence vibratoire différente. Incarner sa spiritualité c’est donc escalader graduellement ces niveaux de conscience, comme les barreaux d’une échelle, pour passer du monde matériel, physique, tangible au monde spirituel, invisible, irrationnel. C’est mettre en Lumière tous nos actes, paroles et pensées afin de spiritualiser la matière et matérialiser l’Esprit. La limite entre les deux pourrait être comparée à une fine membrane qui divise le TAO : la matière, YIN, est énergie vibrant à basse fréquence et l’esprit, YANG, onde véhiculant l’information. Tous deux s’interpénètrent et entre eux, il y a illusion de séparation. Ensemble, ils forment le TOUT in-di-visible, le Un, l’Unité, difficile à concevoir avec un esprit dans la dualité, un cerveau divisé en deux hémisphères. Le secret de l’éveil est de ré-unir ces deux parties. De rendre interactives l’analyse (cerveau gauche) et l’intuition (cerveau droit). Et se relier à l’essentiel. 

Jouir du moment présent 
Nous SOMMES l’Univers ! Mais nous nous croyons mortels, limités, alors nous sommes ce que nous croyons et nous croyons ce que nous sommes ! Etre spirituel signifie accepter d’être bien plus grand, puissant, illimité qu’on ne l’imagine. Dès qu’on accepte cela, il n’y a plus de séparation, plus d’illusion et tout devient possible… OSER CROIRE en ce potentiel illimité, c’est OSER CROIRE en sa lumière corporifiée. Nous SOMMES lumière, Esprit immortel, éternel. Il n’y a ni commencement ni fin : qui pourrait précéder l’univers ? Toutes les civilisations s’imposèrent des dieux omnipotents, car l’humain se sent trop petit face au mystère de l’univers, alors il a inventé ces dieux qui du haut de leur puissance tutélaire ont créé les montagnes, les océans, le ciel, la terre… en réalité chaque partie du TOUT contient le TOUT : c’est le grand mystère de l’univers. Lorsqu’on accepte de ne pas comprendre un mystère, on est dans la perception de sa face cachée, dans l’acceptation qu’il n’y a pas de cause à la CREATION, que cela EST, ici et maintenant ! Il nous suffit chaque jour de ressentir la joie de vivre, redécouvrir la spontanéité de l’enfant, l’émerveillement, la beauté, la magie de la vie. Et REMERCIER, sans regretter le passé ni projeter l’avenir, car l’illusion du temps nous empêche d’apprécier le vrai cadeau : le présent !

  MANTHA, énergéticienne, accompagne l’être vers son éveil spirituel, quelles que soient ses croyances, dans le respect de sa liberté. Elle anime un stage sur « l’écoute du guide » les 31 déc et 1er jan et organise un voyage initiatique à la GUADELOUPE du 14 au 20 jan. 
  Infos : 04 67 09 34 92 site www.mantha-eden.net

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