La Hiérarchie Spirituelle

Posté par othoharmonie le 30 juin 2012

Interview 

Rollin Olson. Vous avez indiqué auparavant que les enseignements  de la Hiérarchie Spirituelle étaient donnés périodiquement et qu’ils avaient été transmis plus récemment par l’intermédiaire d’Helena Blavatsky et d’Alice Bailey. Comment l’information leur est-elle parvenue ? D’où venait-elle pour qu’elles puissent la recevoir et nous la communiquer ?

La Hiérarchie Spirituelle dans SPIRITUALITE c'est quoi ? evolutionadn-256x300Benjamin Creme. En ce qui concerne Madame Blavatsky, elle l’a reçue d’un groupe de Maîtres avec qui elle a vécu pendant quelques années dans l’Himalaya. Les Maîtres ont franchi les étapes du processus évolutif dans lequel nous sommes toujours engagés et ont appris comment fonctionne l’évolution, en quoi elle consiste. Ce sont des Maîtres, mais nullement dans un sens autoritaire ; ils sont Maîtres d’eux-mêmes et des forces de la nature. Ils ont la pleine conscience et la maîtrise totale sur tous les plans de notre planète.

RO. Et je présume que c’est de ce niveau d’accomplissement humain que sont venus les grands instructeurs de tous les temps ?

BC. Oui, absolument. Chaque nouveau cycle cosmique – nous entrons actuellement dans l’un deux, l’âge du Verseau – amène un instructeur dans le monde. Des êtres comme Hercule et Hermès, Rama, Mithra, Vyasa, Zoroastre, Confucius, Krishna, Shankaracharya, le Bouddha, le Christ, Mahomet, sont tous des Maîtres qui sont venus du même centre spirituel de la planète, appelé la Hiérarchie spirituelle ou la Hiérarchie ésotérique, qui est composée des Maîtres et de leurs initiés et disciples de différents degrés.

RO. Le « centre spirituel de la planète » ?

BC. Il s’agit de la Hiérarchie spirituelle, du Royaume de Dieu, du Règne spirituel. On l’appelle aussi le Royaume des Ames.

RO. Il s’agit donc d’un état d’être, et non d’un lieu ?

BC. Oui. Les chrétiens attendent que le Royaume de Dieu descende sur la Terre, lorsque nous serons assez bons pour le mériter. En fait, il a toujours été là, derrière l’écran ; il est composé de ces hommes et de ces femmes qui, en élargissant leur conscience (et donc en faisant la démonstration de leur divinité), se sont rendus dignes de séjourner dans le Royaume de Dieu, le Règne spirituel.

RO. Est-ce à quoi se réfèrent les Ecritures en mentionnant le « Royaume des Cieux parmi nous » ?

BC. Le Christ a dit par l’intermédiaire de Jésus que le Royaume des Cieux était en nous. Ne le cherchez pas à l’extérieur ou là-haut, il est en vous. Et c’est vrai, c’est un état de conscience. Si vous parvenez à cet état de conscience, vous êtes dans le Royaume de Dieu.

texte issu de : Les enseignements de la Sagesse éternelle
Interview de Benjamin Creme, par Rollin Olson

(source: PartageInternational.org)

 

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Spiritualiser la matière

Posté par othoharmonie le 30 juin 2012

 Spiritualiser la matière dans SPIRITUALITE c'est quoi ?Il est évident que la vie est précieuse, qu’elle contient quelque chose de sacré. Il est évident qu’une forme d’intelligence maintient le monde en équilibre, selon une géométrie sacré obéissant au chiffre d’or, sur la plume d’un oiseau, sur les pétales d’une fleur. Il est évident que nous appartenons à cet ensemble, que nous sommes un être vivant parmi d’autres êtres vivants, et que tout est en relation avec le grand tout.

Certain ont trouvé un nom à ce phénomène, ils l’appellent Dieu (ou D.). Dieu n’est pas un personnage, c’est un souffle, une énergie. En extrême orient, on parle de l’énergie Tchi, et en Amerique on parle du souffle de Woniya Wakan.

Cette énergie, les hommes lui ont parfois trouvé un nom, Allah, Hachem, Brahama, il s’agit d’une même source. Les hommes ont voulu lui donner une dimension humaine, allant jusqu’à dire qu’il s’est incarné sous le nom de Jesus, et que l’homme était à son image. D’où tant de croyances différentes, de religions différentes, et parfois hélas, de guerres de religions. Or ce Dieu, cette énergie, est en toute chose, en toute forme de vie, dans la matière même. Car la matière est spirituelle, et le monde etherique est la passerelle qui permet de relier le spirituel et la matière, certains nomme cela la prière. 

Le monde se compose d’un plan physique lourd, d’un plan etherique intermédiaire et d’un plan Spirituel fluide. Il s’agit de trois vibrations tout à fait imbriqués, où les plans se superposent sans se diviser. Tout, en ce monde, est composé de vibrations, les sons, les couleurs, la matière.

Le cerveau, traduit ces vibrations en sons dans les tympans, en matière par les nerfs tactiles, le corps fait sa propre traduction du monde qui n’est à la base que vibration, on appelle cela la physique quantique. Ques-ce que la matière sinon des atomes, et que sont les atomes sinon une simple vibration. Ceux qui ont tenté de percer le secret du noyau d’un atome n’ont pas réussi, ils se sont retrouvés en face d’un vide. Sur un plan scientifique, on parle de « structure lacunaire ». L’atome vibre, et cette vibration, c’est l’énergie sacré qui vibre en toute chose, dans le minéral, le végétal et l’homme. Cette vibration qui maintient les molécules de la matière entre elles est une vibration lourde appartenant au plan physique, et cependant réceptive à la pensé ou aux autres vibrations comme le son ou la couleur. Les molécules de l’eau changent en fonction de la musique ambiante ou tout bonnement des pensés, voir des prières.

Nous entrons alors dans le domaine de l’étherique, celui des pensés, des peurs, de la magie, des prières. Une pensé est très puissante, il ne faut jamais la sous-estimer et toujours s’en servir à bon escient.

L’etherique est en lien avec le monde spirituel, celui des esprits, des ancêtres, et du soleil. Ces êtres vivent sur les plans différents, mais sur un même palier. 

Ce soleil est cette énergie que les hommes appellent Dieu, mais sous sa forme d’unité. Ce soleil est une énergie d’amour et de joie, celle qui diffuse, nous faisons tous partie de ce soleil et ce soleil est en chacun de nous. Nous sommes parti de ce soleil pour évoluer à notre manière dans le but de rejoindre ce soleil et cette unité.
Les hommes regardent les nuages lorsqu’ils prient. Mais il est bon aussi de prier le sol, cette terre qui est vivante. Son énergie, sa vibration, est la même que la notre. L’énergie qui donne la vibration aux atomes, qui maintient les molécules entre elles,  est la même qui compose notre corps, qui compose un arbre, qui compose la roche.

L’énergie sacrée est présente en toute chose.

extrait choisi, relevé sur le site : http://odeurdelaterre.centerblog.net/6452415-spiritualiser-la-matiere

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L’Honnêteté

Posté par othoharmonie le 27 juin 2012

L’honnêteté, au risque d’être soi !

 

Entretien entre Jean-François Vézina et Jean-Claude Genel

 

L'Honnêteté dans Chemin spirituel 68495853animation32-8d1545-gifLe célèbre adage de Socrate « Connais-toi toi-même » nous oriente sur une valeur que nous avons régulièrement à côtoyer sur le chemin de la vie : l’honnêteté. J’ai demandé au psychologue Jean-François Vézina comment il percevait cette qualité ?                                                                                         


Jean-François, comment perçois-tu l’honnêteté ?

L’honnêteté est la base sur laquelle doit se construire notre quête, de la plus petite réflexion à la plus grande remise en question. L’honnêteté nous invite à rentrer en nous-mêmes pour aller explorer l’univers qui nous habite, apprendre à être bien avec soi, quelles que soient nos imperfections.

Mais devant ce risque « d’être soi », de voir nos imperfections, il est difficile d’être toujours honnête envers soi-même.

 Etre malhonnête avec soi ne mène nulle part ! Cela nous maintient dans l’illusion de vivre. Il faut au contraire développer une attitude de vigilance qui consiste à nous questionner : « Qu’est-ce que je fais en ce moment pour que ma vie ait un sens, pour qu’elle soit la plus vraie possible ? » L’honnêteté nous permet de développer ce réflexe d’aller voir ce qu’il y a en soi, donc de se faire confiance d’abord et de faire confiance au processus naturel de vie qui cherche à nous trouver.

 En effet, la personne qui est honnête avec elle-même est plus ouverte, plus sensible et plus disponible aux phénomènes de synchronicité. Elle sait reconnaître le sens réel d’un événement qui se présente à elle sans être obligée d’en inventer… C’est un peu comme si par les synchronicités, l’univers cherchait continuellement à faire émerger le vrai en nous.

Une autre des dimensions de l’honnêteté, c’est de nous inviter à entrer dans le mystère de la vie et de nous dire qu’on ne sait pas tout, qu’on ne peut pas tout connaître. Je crois que se connaître, c’est en partie reconnaître qu’on ne peut pas complètement se connaître (rires !). Sans honnêteté, nous fabriquons des réponses abusives qui nous éloignent des véritables questions.

 Dans ce processus du « Connais-toi toi-même », l’honnêteté nous aide-t-elle justement à nous poser les bonnes questions ?

 Oui, et le travail du thérapeute est aussi d’aider la personne à découvrir quelles sont les vraies questions à se poser dans des situations spécifiques. Il serait facile pour le thérapeute d’imposer une réponse alors que la personne n’est pas prête à la recevoir. Elle pourrait prendre cette réponse comme étant sa réponse, l’éloignant de plus en plus de sa vérité.

 Peut-on aussi voir le thérapeute comme un passeur entre le mensonge que l’on se raconte et la vérité que l’on porte ? 

Je compare souvent mon travail de thérapeute à celui d’un éditeur : la personne me présente en quelque sorte le manuscrit de sa vie. Je me dois de lui indiquer les incohérences de son récit et de l’accompagner dans les rectifications à opérer. En ce sens, oui, le thérapeute est un passeur qui permet à la personne de trouver le véritable sens de sa vie.

 Dans son travail, le thérapeute est-il conduit à faire un travail sur lui-même qui implique également l’honnêteté ?

 Comment peut-on aider quelqu’un à être honnête dans sa démarche sans l’être soi-même ? Le thérapeute doit accepter de quitter son confort pour aller voir ce qui se passe dans le monde de l’autre. Ce n’est pas toujours évident parce que cela lui demande parfois de changer. Une thérapie est « réussie » quand l’analysant et l’analysé se transforment tous les deux, et cela passe par la « vérité ». En face d’une personne qui souffre, je me dois d’entrer dans le bain avec elle, très honnêtement, sans savoir où cela va nous conduire. Je ne peux pas lui assurer qu’elle va guérir, mais je peux lui garantir que je vais faire ce que je peux pour plonger avec elle dans l’expérience pour l’aider à y voir plus clair.

 Peut-on considérer l’honnêteté comme la voie qui mène à la guérison ?

 La guérison est un mécanisme complexe qui nous demande d’être le plus vrai possible avec soi et avec les autres. Ce processus n’est jamais complètement terminé. Il y a un paradoxe : on tend à être de plus en plus honnête, mais il faut être honnête pour réaliser qu’on ne peut pas toujours l’être ! (rires)

 J’aimerais que l’on revienne à la synchronicité par rapport à l’honnêteté.

 La synchronicité arrive souvent en période de grandes transitions, de grandes désorganisations dans nos vies. Elle veut nous ramener au centre de nous-mêmes.

L’honnêteté nous aide à percevoir ce qui nous arrive comme quelque chose d’utile à notre progression. La personne qui fait preuve d’honnêteté enclenche elle-même une adéquation entre ce qui lui arrive et le message que cette expérience transporte. Pour elle, ce qui est à l’extérieur fait écho à ce qui est à l’intérieur. Il faut être honnête pour le reconnaître.

En définitive, à toute personne qui choisit d’emprunter la voie du « Connais-toi toi-même » pour retrouver le sens de sa vie, l’honnêteté est indispensable à la réussite de sa quête. Etre vrai avec soi est une valeur sûre, le reste n’est qu’illusion !

 A propos de Jean-François Vézina 

 Il  est psychologue et auteur des livres « Les hasards nécessaires » (sur les synchronicités) et « Se réaliser dans un monde d’images » (sur le pouvoir de l’image). Tous les deux édités aux Éditions de L’Homme.  Site :www.jfvezina.net


Sur les chemins de l’honnêteté
par Jean-Claude Genel : 
Je vous propose quelques pistes pour expérimenter cette valeur au jour le jour. Si vous les avez déjà explorées, vérifiez alors que vous gardez le cap !

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Connais-toi toi-même
Repérez dans quelle circonstance récurrente vous manquez d’honnêteté. Que pourriez-vous faire pour que cela change ? Quel moyen simple pouvez-vous trouver pour développer ce réflexe d’aller voir d’abord ce qu’il y a en vous quand ladite circonstance se présente ?

Intérieur ou extérieur
Souvenez-vous de deux circonstances, l’une où vous avez puisé à l’intérieur de vous le plus honnêtement possible, l’autre où vous avez cherché la solution à l’extérieur. A la réflexion, dans quelle circonstance vous êtes-vous senti(e) le/la plus vrai(e) ?

Risquer d’être soi
Rappelez-vous une situation délicate où vous avez agi en toute honnêteté, malgré une certaine part de risque. Qu’avez-vous le sentiment d’avoir gagné ?

Vos réflexes
Quelle expérience récente (événement, situation, etc.) vous a permis de mieux vous connaître ? Que vous a-t-elle appris de nouveau sur l’honnêteté ?

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La Tempérance

Posté par othoharmonie le 27 juin 2012

 

Ouvrir la voie au dialogue

 Entretien entre Fété Kimpiobi et Jean-Claude Genel

(paru dans le magazine Les 3 Mondes n 36)    

                                                        

La Tempérance dans Chemin spirituel statue-liberte-grandcamp-maisy-bons-coins-toute-france_15995

La tempérance nous permettrait de communiquer dans les situations extrêmes. C’est l’expérience vécue en Afrique par Fété Kimpiobi. Femme d’affaire et animatrice d’un espace culturel en Afrique, Fété se consacre aujourd’hui aux échanges commerciaux entre le Québec et son pays. Jean-Claude Genel s’entretient avec elle sur cette valeur de modération.

 

Fété Kimpiobi : Il y a deux ans, avant que ma famille et moi ne venions au Québec, au cours d’une guerre entre deux ethnies, je me suis retrouvée aux prises avec les services de sécurité gouvernementaux. Après une perquisition à mes bureaux et à mon domicile, j’ai été littéralement embarquée. Et les agents étaient tellement fermés qu’il m’a été impossible de connaître l’objet de mon arrestation. J’oscillais entre laisser monter la colère en moi et me calmer. Cela faisait suite à une série de situations difficiles vécues par ma famille dont j’avais eu le temps d’apprécier la dangerosité.

 

Jean-Claude : Comment as-tu fait concrètement ?

Pour dédramatiser, j’ai regardé le responsable d’une manière différente, comme s’il était une partie de moi-même. À partir de ce moment, j’ai trouvé en lui un « espace humain », si je puis dire, qui me permettrait de jeter un pont entre lui et moi.

Je me suis recentrée et j’ai projeté sur lui une partie de cette humanité que je ressentais. Cela l’a touché et nous avons pu réellement créer un début d’échange. À partir de ce moment, les choses se sont si bien déroulées que nous sous sommes retrouvés à parler avec beaucoup de plaisir. En fin de compte, les agents qui m’avaient arrêtée m’ont ramenée chez moi et ont veillé sur ma sécurité. Je n’en espérais pas tant au départ ! Ce « pont » a permis le dialogue qui nous a conduits vers un heureux dénouement, puisqu’au moment de quitter mon pays, ces agents étaient encore à mes côtés.

La tempérance est une force, on le comprend bien. Mais sur quel terrain permet-elle de progresser ?

Elle permet de progresser personnellement et entraîne aussi l’évolution des autres autour de soi. Comme je le disais tout à l’heure, qui dit force dit aussi travail sur soi pour la révéler. Une fois stimulée, cette valeur opère dans tous les domaines car elle modifie fondamentalement notre rapport à nous-mêmes et au monde. La tempérance m’a recentrée en même temps qu’elle m’a conduite au centre de l’autre. J’ai ainsi compris que lorsqu’on se comprend soi-même, on comprend plus facilement les autres. La tempérance conduit à la tolérance, sans tout accepter, bien entendu. L’effet miroir se met en marche sans risquer d’avoir des attitudes d’enseignant ou de professeur. On finit par « déteindre » un peu sur les autres.

Ainsi, la tempérance permet une meilleure rencontre avec l’autre en lui donnant sa place en tant que sujet. Mais c’est d’abord en soi que l’on peut rencontrer l’autre.

 En étant tempérante, je comprends vraiment mieux l’autre. Je peux me projeter, me retrouver en lui et également le « mettre en moi-même ». On arrive à cet échange – ressentir l’autre en soi et le placer au centre de soi – par le sentiment d’amour.

 

La tempérance participerait-elle donc aussi à la transformation des pensées ?

Bien sûr et cela crée un sentiment d’équilibre. Elle permet de mettre de l’ordre dans nos pensées, nos actions, notre comportement et, par conséquent, dans nos relations avec les autres. Selon mon expérience, cette valeur a consolidé ma personnalité et m’a permis d’évoluer. Je suis plus attentive à la qualité de mes sentiments, de mes pensées et de ma vie en général. Je continue à découvrir d’autres facettes de cette valeur et je les fais émerger doucement de ma nature profonde. La tempérance m’ouvre à un état d’esprit différent, pour ne pas dire supérieur.

Fété Kimpiobi est titulaire d’une maîtrise en relations internationales. Elle est, entre autres, présidente d’un bureau de liaisons d’échanges culturels et commerciaux entre l’Afrique centrale et le Canada.

 

Retrouvez l’intégralité de l’interview ICI …. 

 

 

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Les énergies

Posté par othoharmonie le 25 juin 2012

 

Toute rencontre avec une nouvelle énergie est cause de déséquilibre en soi, prise de conscience de ce qui n’est pas soi puis l’acceptation en soi pour donner un nouveau moi.  Vous qui souffrez et voudrait pourtant ressentir du plaisir à vivre, sachez que la douleur et le plaisir passent par les mêmes sens.  Votre capacité à jouir de la vie vous donne la même capacité à souffrir.  Ces deux contraires passent par les mêmes canaux sensitifs.  Savez-vous ce qui fait leur différence?

Les énergies dans Méditation 883511  La douleur, la souffrance, c’est le rejet de ce qui nous touche.  C’est de ne pas reconnaître que tout ce que l’on expérimente, vit,  est un reflet inversé de nous-mêmes.  Rien de ce qui nous arrive n’est une erreur de destinataire, une expérience imposée par un autre sans notre consentement.  Nous sommes littéralement là où l’on doit être, à vivre ce que l’on doit vivre.  Il est totalement impossible d’être ailleurs. 

Le plaisir, la joie, c’est l’acceptation de ce qui nous touche, de reconnaître en eux une partie de soi ;  que tout ce qui nous arrive est juste, même les épreuves et les souffrances, car elles servent à nous faire grandir et à développer au-delà de leurs contextes éphémères un état de bonheur constant.

Si nous ne vivons pas pleinement tout ce qui nous arrive, c’est souvent à cause de l’immaturité de nos corps, de déséquilibre trop intense ou de blocage antérieur.  Nous nous fermons alors à l’agression de l’extérieur en insensibilisant nos enveloppes, en cristallisant nos réactions en une armure protectrice.  Cette armure nous empêche de ressentir les énergies jugées désagréables mais nous empêche aussi de ressentir celles agréables.  Notre univers se fige et ne progresse plus.

 Certaines expériences du passé ont pu mettre en péril notre survie et c’est normal jusqu’à un certain point de les éviter.  Il est inutile de se brûler cent fois pour considérer le feu comme dangereux.  Mais le feu n’est pas une menace en soi sauf si votre évolution ne vous permet pas de le côtoyer sans vous brûler.  N’oubliez pas qu’un jour l’élévation de votre être vous permettra de danser dans le feu.

 L’amour peut être une énergie si forte qu’elle peut mettre en péril votre intégrité, votre vie même.  Ne doutez pas une seconde qu’il y a des êtres si puissants qu’à leurs approches, vous voleriez en éclats, d’autres dont le feu intérieur vous consumerait.  C’est pour cela que ce sont les êtres de lumière qui décident quand et comment ils vous approchent et jamais l’inverse.  Vous pouvez faire une ouverture vers eux en élevant les vibrations de vos corps.  Mais votre évolution en douceur est primordiale à leurs yeux.  La survie du contenu de votre être est importante et non nécessairement ses enveloppes éphémères. 

 Il n’y a rien de mauvais en soi.  Il n’y a que des déséquilibres qui paraissent trop grands pour nos capacités.  Mais cela est une réaction figée à une perception passée car rien de nos expériences ne peut être démesuré par rapport à soi car ce sont toutes nos propres émanations qui nous reviennent telles quelles.

 Le danger est de cristalliser une forme qui deviendra à la longue insensible à d’autres stimuli. Alors, il est important de comprendre que ce ne sont pas les expériences qui sont importantes mais nos réactions à celles-ci.  Comment réagissez-vous à tout ce que vous vivez ?  Savez-vous à quoi vous êtes le plus sensible;  à la douleur ou au plaisir?  Qu’est-ce qui provoque en vous les réactions les plus fortes?  Avez-vous appris à amplifier vos malaises, vos peines, vos peurs ou, au contraire, vos bien-être, vos joies, vos espoirs?  Prenez-vous plus de temps qu’il faut à examiner vos déséquilibres qu’à reconstruire vos nouveaux équilibres?  Le rythme primordial, expansion, contraction, repos, recommencement, pourrait se traduire à l’échelle humaine par action, réaction, constatation, recommencement. 

Un arrêt trop prolongé sur un de ces trois temps amènera tôt ou tard un déséquilibre de l’ensemble qui devra être compensé par le réajustement en durée similaire des deux autres.  Quand on prolonge outre mesure l’action, on se perd dans la foule jusqu’à s’oublier soi-même.  Quand on prolonge outre mesure la réaction à notre action, on est bousculé par la foule jusqu’à chanceler sur soi-même. 

 Quand on prolonge outre mesure la constatation à notre réaction, on hésite dans la foule jusqu’à figer sur soi-même.  Et oui, seul le rythme harmonieux des trois est source d’évolution!

 L’amour respecte aussi ce rythme, un temps pour aller vers l’autre, un temps pour revenir vers soi, un temps pour apprécier ses acquis.  Prenez-vous le temps qu’il faut pour jouir de ces trois étapes importantes de la vie?

 

 ypzzhd96 dans Méditation

Extraits du livre NAJA L’ILLUMINÉ -  PREMIER PORTRAIT  À L’ORIGINE DE TOUT CANALISÉ PAR

                     COLIN CHABOT – retrouvez les écrits en son entier ici : http://www.music-close-to-silence.net/a_lorigine_de_tout.pdf

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Paix et Sérénité

Posté par othoharmonie le 25 juin 2012

La paix et la sérénité


« La paix est un état d’être ; elle n’est pas toujours facile à comprendre et à vivre, parce qu’à un moment vous avez l’impression d’être en paix, et à un autre moment il suffit de peu de choses pour que cette paix vous quitte.

Bien sûr la paix est un état d’être, mais elle ne sera pas un état d’être permanent tant que vous serez encore en troisième dimension.

Cette paix peut être perturbée par des problèmes d’ego, des problèmes relationnels ou des problèmes existentiels. Par moment, vous vivez profondément la paix et à un autre moment elle vous échappe.

La sérénité est tout à fait différente. Rien ne peut perturber un être dans la sérénité. La sérénité est la paix qui envahit totalement tout ce que vous êtes.

La sérénité envahit votre conscience humaine et rien ne peut la perturber. C’est un état d’être permanent.

Pour accéder à cet état d’être, il faut avoir énormément travaillé l’humilité, la maîtrise, l’Amour pour soi, l’Amour pour les autres, la tolérance et l’acceptation. A ce moment-là, plus rien ne vous atteint et vous êtes dans un état qui ne correspond plus tout à fait à votre troisième dimension ; il correspond beaucoup plus à la quatrième, voire à la cinquième dimension.

Certains de vous peuvent toucher la sérénité du doigt, mais tant qu’elle ne sera pas totalement acquise, elle s’échappera encore. Vous pourrez retrouver des moments de paix profonde, des moments de joie, mais la sérénité vous échappera ; vous ne la vivrez que par bribes.

Ceci dit, ne vous faites aucun souci. Dans un temps futur, lorsque le rideau sera tombé(enseignement « le théâtre de la vie ») , vous ne serez plus dans la paix intérieure, vous serez dans la sérénité totale. Pourquoi ? Parce qu’après la fin de la pièce, il n’y aura plus de personnalité, il n’y aura plus d’ego, il n’y aura plus de mental ou d’intellect qui vous empêchent de vous réaliser ; comme nous vous l’avons dit, il y aura fusion avec l’Un, la fusion avec votre âme et votre Divin. Dans ce cas, la sérénité ne peut qu’exister, et rien ne peut la perturber ».

Paix et Sérénité dans Travail sur soi ! de95c40c

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

  • qu’il ne soit pas coupé
  • qu’il n’y ait aucune modification de contenu
  • que vous fassiez référence à notre site  http://ducielalaterre.org
  • que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

 

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Gregg Braden

Posté par othoharmonie le 24 juin 2012

Gregg Braden dans AUTEURS A CONNAITREGregg Braden est reconnu à l’échelle internationale à titre de pionnier des liens entre la science et la spiritualité. 

Après une carrière réussie de géologue informaticien pour Phillips Petroleum pendant la crise énergétique des années 70, il a été concepteur principal de systèmes informatiques auprès de Martin Marietta Defense Systems, au cours des dernières années de la guerre froide.

En 1991, il est devenu premier directeur technique pour Cisco Systems, où il a vu au développement de l’équipe de soutien mondial qui assure la fiabilité du réseau Internet actuel.

Depuis plus de vingt-cinq ans, Gregg parcourt des villages de haute montagne, des monastères isolés et se penche sur des textes oubliés pour en dévoiler les secrets éternels. Son travail est présenté aux chaînes History Channel,Discovery ChannelSci Fi Channel et NBC.

À ce jour, les découvertes de Gregg ont donné lieu à la publication de livres qui ont grandement participé à l’évolution d’anciens paradigmes. Citons des ouvrages tels que L’Effet Isaïe, La Divine Matrice, La guérison spontanée des croyancesainsi que son dernier livre, Le Temps fractal, qui s’est classé en cinquième position au palmarès du New York Times deux semaines seulement après sa parution!

L’œuvre de Gregg est publiée en 17 langues dans 33 pays. Elle nous montre de manière incontournable que la clé de notre avenir réside dans la sagesse de notre passé.

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LIVRES DE CET AUTEUR

Effet Isaïe, L’

Guérison spontanée des croyances, La

Divine Matrice, La

Temps fractal, Le

Marcher entre les mondes

Code de Dieu, Le

Éveil au Point Zéro, L’

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Aurélia Louise Jones

Posté par othoharmonie le 24 juin 2012


Aurélia Louise Jones dans AUTEURS A CONNAITRE Aureliaaa-leveledPorte-parole des peuples évolués vivant au centre de la Terre, Aurélia Louise Jones nous fournit une meilleure compréhension de l’avenir de notre planète.

Aurélia Louise Jones est née à Montréal dans une famille canadienne française au début des années 40. Elle endosse la profession d’infirmière puis, s’intéressant à la naturopathie et l’homéopathie, elle devient conseillère en santé et en spiritualité. En 1989, elle se dirige vers les États Unis où elle se consacre à son travail spirituel et à l’enseignement des principes menant l’humanité vers l’Ascension personnelle et planétaire.

En 1997, alors qu’elle vivait encore dans le Montana, elle reçoit la guidance d’Adama et des membres du Conseil de Lumière Lémurien de Telos qui l’enjoignent de déménager au Mont Shasta afin d’être préparée pour une mission. Elle déménage à Shasta l’année suivante et plus tard devient channel pour Adama, le grand prêtre de Telos, et d’autres maîtres de lumière. Depuis, elle organise chaque année des événements lémuriens dans la région du Mont Shasta ainsi que des voyages initiatiques durant l’été et l’automne. Aurélia Louise donne également des conférences et anime des ateliers au Canada, en France, en Belgique et en Suisse.

Elle est la fondatrice d’une petite maison d’édition, « Mount Shasta Light Publishing », établie pour préparer la résurgence Lémurienne. Les livres d’Aurélia Louise fournissent une meilleure compréhension de l’avenir de notre planète, de la façon dont la vie devrait être vécue ici et des changements que nous devons apporter pour vivre dans un monde meilleur et plus évolué.

LIVRES DE CET AUTEUR

Telos, tome 3

Telos, tome 2

Telos, tome 1

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RITUEL d’Alliance avec le Corbeau

Posté par othoharmonie le 23 juin 2012

 

Il est possible en sorcellerie de faire alliance avec les animaux. Pas tous les animaux, mais ils sont nombreux à communiquer avec nous, vivant en Europe la plupart du temps, ici nous n’avons que faire d’une alliance avec les lions par exemple. Une alliance avec le corbeau peut se révéler lors d’une cérémonie diurne, un choix de poids. Cette alliance de passe avec l’Esprit Groupe de l’animal de votre choix. Le corbeau est mal aimé et méconnu, mais les sorcières qui vivent en symbiose avec la nature n’on pas de préjugés contre telle espèce ou telle autre.

Ce rituel peut être pratiqué seul ou en groupe. Il faut préparer un parchemin sur lequel sera écrit ceci :

 Moi (X) en ce jour de l’an (xxx) du mois de (xxx) devant notre Déesse mère et notre Dieu Cornu si le rituel est pratiqué seul (en groupe cité également les participants) je fais alliance avec le chef Corbeau et tous les représentant de son peuple. E leur promet aide, assistance en toutes circonstances. Je promets de ne jamais commettre le moindre acte néfaste contre le peuple corbeau. Je promets chaque fois que cela me sera possible d’intervenir auprès de toute personne ou animal qui attentera à la sécurité ou à la vie de ce peuple ami.

 En échange, le Cher Corbeau Esprit Groupe de son peuple doit faire savoir et connaître le présent pacte afin qu’en toutes circonstances le peuple corbeau me prête aide et assistance, me prévienne de tous dangers, se charge de toute mission destinée à me préserver moi et ceux que j’aurai désignés.

Il faut signer le parchemin (et le faire signer par les témoins pour le rituel en groupe) le rouler et l’entourer d’un ruban rouge noué.

Dieux des vents, force du soleil puissance de la Lune, portez sur toute la planète le teneur de ce pacte qui sera valable tant que ma vie terrestre durera. Baisser la main gauche et imité l’animal avec qui le pacte est passe (l’assistance s’il y a fait la même chose). Au bout de quelques minutes lever la main droite pour signaler la fin du rituel.

Il faut veiller à entretenir l’alliance par de la nourriture en hiver par exemple

Sachez que les corbeaux forment une société intelligente et organisée, avec son conseil des sages, ses veilleurs, ses guerriers et ses ouvriers. Bien sur, tout cela n’est pas apparent  à l’homme qui marche en regardant ses pieds ; mais il faut parfois lever les yeux vers le ciel… la connaissance est partout…

 

RITUEL d'Alliance avec le Corbeau dans PENSEE MAGIQUE - LEITMOTIV et RITUELS 004830Jacques Rubinstein : « Le Grand Livre de la Wicca et de la Sorcellerie Bénéfique»

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Création d’un Egrégore par J.RUBINSTEIN

Posté par othoharmonie le 23 juin 2012



Création d'un Egrégore par J.RUBINSTEIN dans PENSEE MAGIQUE - LEITMOTIV et RITUELS jacques-218x300Dans son livre « Le grand livre de la Wicca et de la sorcellerie bénéfique » (Ed. Dynapost), Jacques Rubinstein relate l’expérience qu’il eut la possibilité de faire au cours d’une émission sur France inter, présenté par Marie Christine Thomas et Jacques Pradel : 

« (…) ce soir là un DIEU fut créé, féminin du nom de Véronica. Ce Dieu fut crée pour avoir 24 heures de vie. Là ne s’arrêta pas l’expérience car nous décidâmes ensemble, les journalistes et moi-même, de faire agir Véronica ; on lui donna mission de supprimer dans la minute même, toute douleurs à ceux qui,  à l’écoute, souffraient quelque part en leur corps physique. On indiqua aussi au public qu’il pouvait demander différentes choses à Véronica, dont l’action dans 24 heures ne pouvait se révéler que quelques jours ou semaines plus tard.

Enfin, on demanda au public d’écrire. Cette expérience fut suivie par des gens groupés à Marseille, à Bordeaux, etc… Certains savants dont je tairai le nom pour éviter les moqueries déplacées, suivirent aussi l’émission. C’est par centaines et centaines que les lettres sont arrivées. Le côté le plus marquant de l’expérience fut bien sûr le plus immédiat, celui de la cessation de toute douleur ! Ensuite venaient des résultats absolument inattendues et ce, dans tous les domaines… » 

Voilà encore une fois un très bon exemple de la création d’un égrégore… 

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Le Rêve….

Posté par othoharmonie le 22 juin 2012


Si avant 1950 le rêve restait pour les scientifiques un incident du sommeil, ils en perçoivent mieux désormais la fonction bénéfique, et essentielle. C’est en 1953 qu’ont eu lieu les premiers enregistrements polygraphiques. Ils permirent de découvrir son caractère épisodique.

Le Rêve.... dans Rêves DEPRESSIONLe rêve s’effectue pendant le sommeil paradoxal (tonus arrêté, activité neurologique intense). C’est à travers les rêves que l’on se décharge de ses désirs coupables et irréalisables. Il y a un scénario figurant un drame, une action. Le rêveur croit à la réalité du rêve, et ne peut le soumettre à la critique. Le rêve échappe à la volonté et à la responsabilité du rêveur. Il s’y traduit l’excitation sensorielle et la préoccupation du rêveur. Les images sensorielles sont assez pauvres en couleur, en définition ou en précision. Ce qui donne l’impression de richesse est son vécu, fort en densité. 

Le rêve est une régression temporaire car le rêveur est centré complètement sur lui-même, de façon narcissique. Cela est facilité par le repli corporel.

C’est aussi une projection. Le lit est un substitut du corps maternel, que le petit enfant avait halluciné dans son sommeil après l’expérience de satisfaction suivant la tétée. Le rêve est comme projeté sur un écran blanc, qui satisfait le désir de dormir. Le corps maternel est l’écran du rêve, le support du rêve. C’est quelque chose qui enveloppe complètement le rêveur. Le mode de satisfaction est le même que celui du petit enfant qui se sait contenu par le corps maternel. Le petit enfant projette sur la surface de projection qu’est la mère.

 Il y a projection aussi par le fait qu’il y a extériorisation des processus internes psychiques inconscients: c’est le contenu latent, composé de désirs, de souvenirs refoulés par la censure. Le rêve effectue un travail pour que ce contenu latent se transforme en contenu manifeste, acceptable par le Moi du rêveur et la censure.

Au réveil, la censure qui se réveille aussi fait repartir dans l’oubli les points forts du rêve.

La condensation : son travail est d’unifier, de synthétiser, d’agréger en un seul tableau plusieurs désirs, plusieurs souvenirs. En un contenu manifeste se rassemblent plusieurs contenus latents. C’est un travail métaphorique, où chaque signifiant renvoie à plusieurs signifiés.

 Le déplacement : l’affect, portant la marque du désir, se détache de son but initial et se reporte sur un but de substitution. L’Objet visé n’est plus le même, grâce au travail métonymique.

Les phénomènes de condensation et de déplacement sont des « ruses » du Moi pour déjouer le contrôle du Surmoi. MoiSurmoi et ça sont les 3 instances qui entrent en conflit dans la dynamique psychique, selon la 2ème topique freudienne. Ces deux processus se combinent. On appelle cela le « processus primaire« .

 Bien que de façon moins systématique, le rêve utilise d’autres procédés:

  • La dramatisation : transposition d’idées abstraites en scénario visuel;
  • La symbolisation : figuration d’une tendance par un symbole qui le représente;
  • L’élaboration secondaire : au réveil, un sens intelligible est donné au rêve, les « absurdités » sont enlevées, les « trous » sont bouchés. C’est un travail de résistance et de maquillage, une reconstruction « après-coup« .

Durant le rêve, c’est le Moi qui fournit le plus gros travail en conciliant à la fois le ça et le Surmoi.

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Les racines de la dépression

Posté par othoharmonie le 22 juin 2012


Maîtres de Sagesse

Jac O’Keeffe

À une époque, je travaillais avec l’énergie.
De nombreuses personnes venaient présentant une dépression diagnostiquée, et c’était très clair ce qui se passait.
Il y avait toujours les mêmes problèmes : pas de confiance en soi, peur de l’abandon et des rapports avec l’autre toujours difficiles. Il y avait toujours cette tendance à se sentir menacé dans la relation à deux. Ces trois points se retrouvaient tout le temps.
Les racines de la dépression dans SAGESSE 235px-Vincent_Willem_van_Gogh_002Très souvent, il y a un mauvais traitement chez ces personnes.
Aller déballer tout cela pour comprendre comment on fonctionne, cela fait partie du film.
Mais quand cela devient : est-ce réel ? Mais que suis-je donc ? Pourquoi je ne me sens pas complet ? Lorsque ces questions surgissent, il y a une cause spirituelle qui sous-tend la dépression.

C’est là que mon intérêt a été attiré à l’époque, et ce que j’ai trouvé, c’est que l’ego était le leader à 100 %. La capacité d’observer n’était pas du tout exercée !
La motivation d’être accepté et d’être aimé était permanente, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
Ce désir de quelque chose d’extérieur pour que je me sente complet tourne autour de « moi » ! C’est la pensée de base, le support de toutes les autres pensées lorsqu’il y a dépression.
C’est ce que j’ai trouvé.

Il y a un focus total sur l’autre, 100 % d’identification avec le mental. C’est comme le pendule… la plupart d’entre nous vont dans ce sens, puis grâce à un moment de clarté, part la méditation, une retraite, un voyage en Inde ou dans les bois, ou par à un jogging, prennent de l’espace… puis c’est la poubelle à nouveau… et on balance de ce côté et de l’autre, et la plupart d’entre nous oscillent entre aller bien et être bloqué dans la souffrance.
La dépression est là lorsque le soi créé par l’homme devient le centre d’attention 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Toute l’attention y est dirigée !

Il y a une ligne très étroite… et si l’on continue un peu, cela explose ! car à ce point, ça ne peut pas aller plus profond, ça ne peut pas être pire, arrivé au point où le monde entier tourne autour de « moi » et comment je vais…
Je me souviens par exemple de quelqu’un qui me dit un jour : « Je marchais dans la rue ce matin et mon voisin Tom est passé et il m’a ignoré. Qu’est-ce que je lui ai fait ? » Je lui ai dit : « Est-ce que Tom t’a vu ?
– Il a dû me voir !
– Es-tu sûr que Tom t’a vu ? »
Tom ne l’avait pas vu ; on l’a su quelques jours plus tard.
Quand l’ego fonctionne avec cette intensité : « c’est à cause de moi si quelqu’un m’ignore », c’est comme une paranoïa ! Tout tourne autour de « moi », mon monde tourne autour de « moi ».

L’ego essaie de compenser la formation concrète de soi, qui jusqu’à l’âge de sept ans n’a pas été assez solide pour apporter une vie normale. Alors ces fissures apparaissent. C’est le processus. Quand ces fissures apparaissent, c’est la dépression, et tout ce que l’industrie de la guérison peut offrir entre en jeu, pour vraiment nous amener à regarder et s’interroger : suis-je en sécurité ? Ai-je vraiment besoin que l’on s’occupe de moi ? J’ai 42 ans… Ai-je vraiment besoin que l’on s’occupe de moi ?
Rejouer l’enfant de 5 ans à 42 ans n’est plus valide. Ce sont des souvenirs ! seulement des souvenirs ! Ce ne sont que des souvenirs !
Le développement des capacités d’observation sera un soulagement énorme pour quelqu’un qui est dans cette identification complète que l’on appelle « dépression » dans la classification médicale.

L’observation est la solution pour en sortir.
C’est la seule façon d’en sortir !
Et voyant ce sentiment d’être dans un trou noir… alors quoi ?
Si l’ego est solide, il dira : Oh non, je suis dans un état lamentable ! C’est si noir ! Je ne veux pas vivre… J’ai un trou dans l’estomac…
Et c’est réel ! C’est devenu physique ! Mais c’est seulement réel si vous vous considérez séparé.
C’est seulement réel si vous vous identifiez avec votre corps, avec votre mental, comme étant une entité séparée qui vit une vie individuelle.
Cela doit être examiné, car cela n’est pas vrai ! Vous n’avez jamais été cela et vous n’êtes pas cela !
Mais on a cru la série de pensées qui le présente comme un scénario. C’est ce que la conscience fait.

Au lieu de respecter les symptômes de la dépression et de les placer sur un piédestal, soyez plus léger avec eux… laissez les passer, laissez-les venir et laissez-les aller !
Arrêtez de leur donner votre pouvoir. Arrêtez de leur donner votre attention… car leur seul carburant est votre attention. Leur unique possibilité d’être là demain, c’est qu’ils soient nourris aujourd’hui ! N’essayez pas de les contrôler : « si je ne les nourris pas aujourd’hui, la souffrance sera moindre demain… »
Je ne dis pas cela !
Il ne s’agit pas de les contrôler, mais de ne pas les croire… sachant que ce sont simplement des pensées. Laissez-les passer !
La victimisation est très intense lorsque l’ego a plein pouvoir.
La victimisation, c’est cette façon de penser : Oh, pourquoi je me sens comme cela, combien de temps ? Et pourquoi ne suis-je pas normal… ? Pourquoi les gens là-bas peuvent-ils fonctionner normalement et pas moi ? Pourquoi ai-je perdu la possibilité de le faire ?
Et alors quoi ?
Cette expérience ne peut-elle pas se passer dans la conscience ?
Ne la laissez pas être VOTRE ?
Si elle est « votre », votre ego l’utilisera pour vous faire sentir spécial, en ce sens que vous êtes défavorisé… L’ego va faire cela… c’est si difficile pour vous, alors que tout semble aller bien pour les autres… tout autour de moi… la victime.

Dans le monde de l’ego, la victime est bien nourrie !
Ne lui donnez pas ce pouvoir !
Observez, observez, observez !
Observez, observez, observez 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
Ne laissez pas les histoires et les expériences que le mental présente, se rapporter uniquement à vous. Arrêtez d’en parler ! Arrêtez de vous lamenter !

Est-ce une pratique ?
Oui, oui, dans le film, c’est une pratique, bien sûr.
Vous devez utiliser le mental pour calmer le mental.

Ramana Maharshi disait : vous brûlez le mental en brûlant les conditionnements, les histoires, les croyances, en sachant que ce n’est pas la vérité. Ils ont été vrais un moment, lorsque vous y croyiez… mais ce ne sont que des histoires.
En brûlant le mental, c’est comme lorsque vous utilisez un bâton pour brûler ces vieilles croyances, mais le bâton que vous utilisez brûle lui aussi !
Et vous jetterez aussi ce bâton dans le feu lorsqu’il faiblira… il se consumera ainsi lui-même. Vous pouvez seulement utiliser du combustible pour le feu : une autre croyance que vous observez. Vous pouvez seulement utiliser cette croyance pour alimenter le feu et qu’il continue. Ceci, vous pouvez le faire… et laisser cette part du film où vous jouez et observez… et c’est un grand soulagement qui se produit de cette manière.

Accueillez-le…
Observez, observez, observez ! Laissez passer chaque chose… laisser passer simplement. Ne les nommez pas, même si vous entendez des oiseaux magnifiques dehors, ne le dites même pas. C’est entendu… Laissez passer ! Et alors ? C’est passé !
Ne laissez pas ce : « Oh, je remarque… et je suis pleine de gratitude pour cela… »
C’est encore à propos de « moi » !
Même les bonnes choses sont à propos de « moi ».
Les mauvaises choses sont facilement à propos de « moi »… mais les bonnes sont aussi à propos de « moi ». Ce sont les deux côtés de la même histoire !
Vous pouvez planter votre tente et observer les bonnes choses et vous en réjouir pendant très longtemps. Savez-vous ce qui va arriver : la souffrance apparaîtra de nouveau ! Car ceci, c’est du shopping ! « Bien, donnez-moi les bonnes choses… et je ferai mon travail avec les choses négatives. Les choses positives, j’aime cela, laissez-moi m’en délecter ! »
Vous courez toujours vers les plaisirs… et il y a toujours un « je » qui se réjouit et un « je » qui pense avoir le choix. Nous sommes toujours dans le monde de l’ego ! Les deux doivent partir.

Le lâcher prise veut dire lâcher « tout le show » !
Vous n’existez pas !
Celui qui est conditionné, et celui qui aime l’oiseau qui chante le matin et trouve du plaisir dans la plus belle musique… Ne possédez rien de tout cela !
Ne possédez rien de tout cela !
Le mental ne sait pas si une pensée est positive ou négative.
Ce jugement est une autre pensée !

Ne vous identifiez pas avec une pensée. Elles manquent toutes de substance, et elles passeront car elles manquent de substance.

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Les énergies

Posté par othoharmonie le 21 juin 2012

 Toute rencontre avec une nouvelle énergie est cause de déséquilibre en soi, prise de conscience de ce qui n’est pas soi puis l’acceptation en soi pour donner un nouveau moi.

Les énergies  dans Méditation meditationVous qui souffrez et voudrait pourtant ressentir du plaisir à vivre, sachez que la douleur et le plaisir passent par les mêmes sens. Votre capacité à jouir de la vie vous donne la même capacité à souffrir. Ces deux contraires passent par les mêmes canaux sensitifs. Savez-vous ce qui fait leur différence? La douleur, la souffrance, c’est le rejet de ce qui nous touche. C’est de ne pas reconnaître que tout ce que l’on expérimente, vit, est un reflet inversé de nous-mêmes. Rien de ce qui nous arrive n’est une erreur de destinataire, une expérience imposée par un autre sans notre consentement. Nous sommes littéralement là où l’on doit être, à vivre ce que l’on doit vivre. Il est totalement impossible d’être ailleurs.

Le plaisir, la joie, c’est l’acceptation de ce qui nous touche, de reconnaître en eux une partie de soi ; que tout ce qui nous arrive est juste, même les épreuves et les souffrances, car elles servent à nous faire grandir et à développer au-delà de leurs contextes éphémères un état de bonheur constant. Si nous ne vivons pas pleinement tout ce qui nous arrive, c’est souvent à cause de l’immaturité de nos corps, de déséquilibre trop intense ou de blocage antérieur. Nous nous fermons alors à l’agression de l’extérieur en insensibilisant nos enveloppes, en cristallisant nos réactions en une armure protectrice. Cette armure nous empêche de ressentir les énergies jugées désagréables mais nous empêche aussi de ressentir celles agréables. Notre univers se fige et ne progresse plus. Certaines expériences du passé ont pu mettre en péril notre survie et c’est normal jusqu’à un certain point de les éviter.

Il est inutile de se brûler cent fois pour considérer le feu comme dangereux. Mais le feu n’est pas une menace en soi sauf si votre évolution ne vous permet pas de le côtoyer sans vous brûler. N’oubliez pas qu’un jour l’élévation de votre être vous permettra de danser dans le feu. L’amour peut être une énergie si forte qu’elle peut mettre en péril votre intégrité, votre vie même. Ne doutez pas une seconde qu’il y a des êtres si puissants qu’à leurs approches, vous voleriez en éclats, d’autres dont le feu intérieur vous consumerait. C’est pour cela que ce sont les êtres de lumière qui décident quand et comment ils vous approchent et jamais l’inverse. Vous pouvez faire une ouverture vers eux en élevant les vibrations de vos corps. Mais votre évolution en douceur est primordiale à leurs yeux. La survie du contenu de votre être est importante et non nécessairement ses enveloppes éphémères. Il n’y a rien de mauvais en soi. Il n’y a que des déséquilibres qui paraissent trop grands pour nos capacités. Mais cela est une réaction figée à une perception passée car rien de nos expériences ne peut être démesuré par rapport à soi car ce sont toutes nos propres émanations qui nous reviennent telles quelles.

Le danger est de cristalliser une forme qui deviendra à la longue insensible à d’autres stimuli. Alors, il est important de comprendre que ce ne sont pas les expériences qui sont importantes mais nos réactions à celles-ci. Comment réagissez-vous à tout ce que vous vivez ? Savez-vous à quoi vous êtes le plus sensible; à la douleur ou au plaisir? Qu’est-ce qui provoque en vous les réactions les plus fortes? Avez-vous appris à amplifier vos malaises, vos peines, vos peurs ou, au contraire, vos bien-être, vos joies, vos espoirs? Prenez-vous plus de temps qu’il faut à examiner vos déséquilibres qu’à reconstruire vos nouveaux équilibres? Le rythme primordial, expansion, contraction, repos, recommencement, pourrait se traduire à l’échelle humaine par action, réaction, constatation, recommencement.

Un arrêt trop prolongé sur un de ces trois temps amènera tôt ou tard un déséquilibre de l’ensemble qui devra être compensé par le réajustement en durée similaire des deux autres. Quand on prolonge outre mesure l’action, on se perd dans la foule jusqu’à s’oublier soi-même. Quand on prolonge outre mesure la réaction à notre action, on est bousculé par la foule jusqu’à chanceler sur soi-même. Quand on prolonge outre mesure la constatation à notre réaction, on hésite dans la foule jusqu’à figer sur soi-même. Et oui, seul le rythme harmonieux des trois est source d’évolution! L’amour respecte aussi ce rythme, un temps pour aller vers l’autre, un temps pour revenir vers soi, un temps pour apprécier ses acquis. Prenez-vous le temps qu’il faut pour jouir de ces trois étapes importantes de la vie?

 

Extraits du livre NAJA L’ILLUMINÉ – PREMIER PORTRAIT À L’ORIGINE DE TOUT CANALISÉ PAR COLIN CHABOT – retrouvez les écrits en son entier ici : http://www.music-close-to-silence.net/a_lorigine_de_tout.pdf

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Perfection de la Sagesse

Posté par othoharmonie le 17 juin 2012


Perfection de la Sagesse dans SAGESSELa sagesse, c’est-à-dire la connaissance de la nature véritable des choses, est l’antidote direct à l’ignorance. La nature véritable de tout phénomène, de toute chose, est la vacuité. Mais qu’est-ce que le vide (shunyata) au sens bouddhiste ? Il s’agit du fait que toute chose est vide de caractéristiques, de propriétés. Ce mot fait donc référence à l’espace qui n’a ni forme, ni couleur. Les propriétés et les caractéristiques des personnes et des choses n’existent pas en elles-mêmes, mais uniquement en relation avec leur contraire ou en comparaison avec autre chose. Si l’on demande, par exemple, à un enfant si un éléphant est grand, il répond que oui. Si on lui demande, si une fourmi est grande, il dit que non. Pourquoi ? Dans le premier cas, l’enfant compare son corps et celui de l’éléphant, voit que la taille de l’éléphant est supérieure à la sienne et dit qu’il est grand. Dans le second cas, l’enfant compare son corps et celui de la fourmi, voit que la taille de la fourmi est inférieure à la sienne et dit qu’elle est petite. Donc, ce qui permet à l’enfant de répondre, c’est le fait qu’il se prend lui-même, instinctivement, comme point de comparaison. Mais si l’on change le point de comparaison, la réponse change aussi (si l’on pouvait poser la question à une baleine, sans doute dirait-elle que, de son point de vue, un éléphant est petit). Ainsi, il n’est pas possible de donner une réponse (absolue) à la question “un éléphant est-il grand ?” Tout ce que l’on peut faire, c’est répondre par une nouvelle question “comparé à quoi ? de quel point de vue ?”

 On peut, bien sûr, appliquer le même type de raisonnement à d’autres couples que le couple grand-petit. On peut l’appliquer aux couples lourd-léger, dur-doux, fort-faible, haut-bas, proche-lointain, clair-obscur, etc. Prenons l’exemple du couple jouissance-souffrance. Si une personne est habituée à vivre dans un grand château, et qu’elle est obligée d’aller vivre dans un simple appartement, elle trouve cela terrible. Si au contraire une personne est habituée à vivre dans la rue, et qu’elle a l’occasion d’aller vivre dans un simple appartement, elle trouve cela merveilleux. Alors, vivre dans un appartement, est-ce terrible ou merveilleux ? Si une personne pense être en bonne santé et que son médecin lui dit qu’elle a l’appendicite, elle a l’impression d’être malchanceuse. Si une personne pense avoir le cancer de l’estomac, et que son médecin lui dit qu’elle a l’appendicite, elle a l’impression d’être chanceuse. Alors, avoir l’appendicite, est-ce de la chance ou de la malchance ?

 Autre exemple : il y a des gens qui travaillent toute la journée et qui en rentrant chez eux le soir vont boire une bière devant la télé. La première activité leur paraît plutôt ennuyeuse, tandis que la seconde leurs paraît plutôt euphorisante. Mais il y a aussi des gens qui sont au chômage depuis plusieurs années, qui cherchent déespérément du travail, et qui n’ont rien d’autre à faire que de tuer le temps en buvant de la bière devant la télé. Pour ces gens, le travail apparaît comme une source de joie, alors que le fait de boire une bière devant la télé leur apparaît comme une activité fort ennuyeuse. Donc, le travail n’est pas en soi quelque chose d’ennuyeux, et le fait de ragarder la télé n’est pas en soi quelque chose d’agréable.

 Prenons encore l’exemple du couple moi-autre. Les gens disent: si l’on frappe mon corps je souffre, mais si l’on frappe autre chose que mon corps je ne sens rien; il est donc logique de considérer mon corps comme étant moi, et ce qui n’est pas mon corps comme n’étant pas moi. C’est faux ! Si je coupe mes ongles ou mes cheveux, je ne ressens rien, mais si ma maison brûle ou un ami a un accident, je souffre ! Ils disent aussi: je peux commander à mon propre corps qui m’obéit, mais ma volonté n’agit pas sur ce qui est à l’extérieur de mon corps; il est donc logique de considérer mon corps comme étant moi, et ce qui n’est pas mon corps comme n’étant pas moi.

 C’est faux ! Je ne peux pas contrôler par ma volonté la vitesse à laquelle coule le sang dans mes veines ni la couleur de mes cheveux, mais par ma volonté, en priant par exemple, je peux influer sur le cours de certains évènements. Et encore: je peux percevoir le monde par le biais de mon corps, mais pas par le biais du corps d’autrui; il est donc logique de considérer mon corps comme étant moi, et ce qui n’est pas mon corps comme n’étant pas moi. C’est encore faux ! Lorsque, par exemple, nous racontons à autrui nos vacances, momentanément celui-ci perçoit le monde par le biais de nos sens, et lorsque nous regardons la télévision, nous voyons le monde par le biais des yeux d’autrui.

220px-Baba_in_Kathmandu dans SAGESSE Et quand est-il du couple bien-mal ? Le bien n’existe que par opposition au mal, et inversement. Puisque le bien a besoin du mal pour exister, alors le bien n’est pas vraiment bien et inversement. De plus, un mal peut engendrer un bien et vice et versa. Par exemple, une personne peut commettre un délit, aller en prison et y trouver l’âme sœur ; au contraire, une personne peut gagner au loto, s’acheter une voiture sportive et se tuer au volant.

 Une autre preuve que les 2 membres d’un couple n’ont pas d’existence véritable est que si ils en avaient une, il serait possible d’identifier clairement la frontière qui les sépare, mais ce n’est pas le cas. Prenons l’exemple du couple coup-caresse. Si les 2 entités de ce couple existaient vraiment, on devrait pouvoir trouver la frontière qui les sépare. Si quelqu’un touche mon corps avec peu de force, je considère qu’il s’agit d’une caresse; si cette personne touche mon corps avec beaucoup de force, je considère qu’il s’agit d’un coup. Mais si je cherche le seuil qui sépare la caresse du coup, il m’est impossible de le déterminer avec précision. 

En fait, c’est parce que nous sommes sans arrêt en train de nous dire que les choses sont comme ceci ou comme cela, que les choses semblent être comme ceci ou comme cela. Par exemple, si nous nous levons le matin mal réveillé, que nous nous cognons le pied en allant aux toilettes, et que nous pensons : « aïe, non, ça fait mal » nous allons véritablement nous sentir mal. Si au contraire nous pensons « ha, ça fait du bien, ça m’a réveillé », nous allons véritablement nous sentir bien. Ou bien, si nous sommes devant un paysage, et que nous pensons : « c’est magnifique ! », le paysage nous apparaîtra comme tel; mais si nous pensons « comme c’est triste ! ». On peut alors constater que la réalité n’a pas le pouvoir de nous nuire, de nous mettre en danger ; seul l’attachement à nos pensées a ce pouvoir.

 

Extrait issu du site de Xavier Plantefol, créateur de Terra Incognita : http://www.terre-inconnue.ch/

 

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Nymphes des eaux

Posté par othoharmonie le 17 juin 2012

APSARAS

 

En Indes, on trouve les « Apsaras« , qui étaient de belles nymphes des eaux. Musiciennes (Luth), elles avaient, comme les sirènes, la faculté de prédire l’avenir.

Nymphes des eaux dans Légendes Indiennes 220px-Apsaras_Bayon_Kambodscha200La première histoire vient du folklore écossais, au VIième  siècle après JC, où une sirène, passionnément amoureuse d’un moine de la communauté sainte d’Iona lui avait demandé une âme, mais elle ne pu quitter la mer et ses larmes devinrent des galets que l’on connaît de nos jours sur les rivages d’Iona sous le nom des « larmes de sirène ».

Dans le Sanātana Dharma (Hindouisme), les Apsara sont des nymphes célestes d’une grande beauté, sorties des flots lors du barattage de la mer de lait. Ce sont les compagnes des Deva (entités bienfaisantes) autant que des Asura (démons).

Elles symbolisent le plaisir des sens et de l’esprit. On dit qu’elles connaissent 64 manières d’éveiller les sens. Lorsqu’un ascète acquiert trop de pouvoirs, le dieu Indra lui envoie quelques Apsara, auxquelles il ne peut que succomber et en perdre ses pouvoirs.

Elles sont généralement représentées comme de belles jeunes filles aux courbes sensuelles, légèrement vêtues et aux seins nus.

 On a pris pour mauvaise habitude de désigner les divinités représentées en bas-relief sur les murs des temples khmers par le nom d’apsara mais s’appelant en réalité Devata. 

Légende

Selon la légende, les apsaras émergent des eaux pour séduire les hommes ; ceux qui les repoussent deviennent fous, tandis que ceux qui les acceptent comme maîtresse ou comme épouse gagnent l’immortalité.

Apsaras de nos jours

Fichier:Ravana.jpgApsara, la déesse dansante, et les sculptures des autres divinités dansantes d’Angkor sont les modèles des danseuses apsaras d’aujourd’hui qui apprennent cette discipline. Ces danseuses centralisent leurs chorégraphies sur les mouvements des mains et des pieds, tout en ayant le dos cambré.

 Cependant, la danse traditionnelle khmère, étant également appelée danse-drama, a pour but de danser mais aussi de faire passer un message ou une histoire qui peut être trouvée à plusieurs endroits sur les murs des temples d’Angkor. Il y a quatre types de danses traditionnelles khmères; le théâtre de l’ombre, le Lakhon Khol, la danse folk et la danse classique qui inclut la danse des apsaras. C’est une danse unique khmère dont les thèmes et les histoires s’inspirent du Reamker, la version cambodgienne du Ramayana et de l’Age d’Angkor. La complexité de cette danse reflète aussi la vie religieuse à la cour des rois Khmers, où les danses apsaras ont leur place depuis 1500 ans.

 

Voir plus sur le site d’origine Wikipedia…..  http://fr.wikipedia.org/wiki/Apsara

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Démystifier l’ADN

Posté par othoharmonie le 16 juin 2012

 

Les quatre saisons...Après la découverte de l’ADN dans les années 1950, les scientifiques ont tenté de nous convaincre que l’être humain était entièrement déterminé par son code génétique et que nous ne pouvions rien y changer. Nous étions sensés être programmés de façon irréversible, et les changements génétiques ne pouvaient, selon eux, se produire que sur de longues périodes, au fil d’une lente évolution. 50 ans plus tard, rien n’a véritablement changé : les biologistes continuent à vouloir nous convaincre que la seule façon d’altérer notre génétique est de procéder mécaniquement (ou dans certains cas biochimiquement) : enlever un gène ici, en remettre un là, en détruire quelques autres à l’aide de produits chimiques ou de virus.

Naturopathe professionnelle de formation, Kishori Aird est « une intuitive médicale » qui a vécu dans un ashram dès l’âge de 18 ans et a un long parcours spirituel derrière elle.

Devenue Maître de reiki, elle s’est spécialisée depuis 1990 dans la kinésiologie. Elle a perfectionné cette technique en collaborant avec des chiropraticiens et des naturopathes. Et depuis l’été 1997, elle entreprend des recherches sur l’ADN et sur les moyens par lesquels le reprogrammer et se le réapproprier.

Elle a notamment découvert que notre ADN possède un champ vibratoire et électromagnétique qui est sensible à nos intentions, et que, comme un ordinateur, il contient « des programmations par défaut » sur lesquelles ont peut agir par la pensée et que l’on peut modifier.

La reprogrammation consciente de notre ADN est, selon Kishori, l’une des clés de l’Ascension.

vous trouverez ci-après son témoignage. 

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Les Protocoles (ADN)

Posté par othoharmonie le 16 juin 2012


propos de Kishori Aird

Les Protocoles (ADN) dans ADN Démystifiée rubon2Maintenant que nous avons une meilleure idée des composantes scientifiques de l’ADN, de l’influence de la conscience sur la programmation de nos codes génétiques et de notre responsabilité dans notre rôle de programmeur, nous allons passer à la reprogrammation elle-même. Pour ce faire, j’ai conçu, expérimenté et validé un ensemble de protocoles qui vous permettront de réorganiser, de reprogrammer vos codes génétiques et de vous réapproprier la souveraineté de votre ADN.

J’ai consacré d’innombrables heures à l’élaboration de ces protocoles, car je ne travaille pas en canalisation et je ne voulais pas m’en tenir uniquement à des images ou à de la visualisation. Ma tâche a consisté à « saisir » des concepts vibratoires éthérés pour les traduire dans un mode « terrestre » concret et dans un langage compréhensible. Ensuite, il m’a fallu les ordonner de telle façon que mes lecteurs puissent s’en servir facilement et sans risque.

Chaque protocole permet l’installation d’un nouveau programme, soit pour réveiller des programmes endormis, soit pour éliminer un programme fautif, soit pour réparer un gène fautif, soit encore pour remplacer un programme par défaut. Un protocole consiste donc en une série d’instructions à suivre pour effectuer une reprogrammation directement dans nos gènes.

La simple lecture des protocoles suffit à éveiller ou à accélérer la reconnexion des hélices de votre ADN superflu dans chacune de vos cellules. Et ceux d’entre vous qui saisiront l’essentiel du message et du processus pourront devenir autonomes dans la reconstruction cellulaire de leur être par la reprogrammation génétique.

Chaque protocole a fait l’objet d’une longue période d’expérimentation, tant sur moi-même que sur notre petit groupe de travail. À chaque étape, j’ai veillé à inclure dans les protocoles les instructions les plus appropriées pour inscrire dans chaque reprogrammation les données les mieux susceptibles de réveiller les programmes éparpillés dans l’ADN superflu. Mon livre « l’ADN démystifié » est le résultat de ce travail de longue haleine et sa rédaction n’a commencé qu’une fois que j’ai pu sentir et constater que nous avions enfin atteint les résultats attendus, c’est-à-dire une plus grande force vitale, une intuition plus précise et un sentiment de libération. J’ai pris le parti de donner le maximum, car je considère que l’humanité a besoin de se réapproprier la maîtrise de son ADN. Mais il est important de se rappeler que chacune des instructions qui figurent dans les protocoles a sa raison d’être et vise à assurer une reprogrammation sécuritaire de l’ADN.

C’est pourquoi, même si vous êtes un peu sceptiques et considérez les protocoles comme des élucubrations, je vous incite à jouer le jeu et à les suivre à la lettre, du moins jusqu’à ce que vous ayez acquis suffisamment d’expérience pour constater par vous-même le bien-fondé de chaque instruction et la nécessité de les effectuer dans l’ordre indiqué. D’ailleurs, vous saurez que vous maîtrisez véritablement la reprogrammation de l’ADN lorsque vous aurez acquis assez d’expérience dans l’utilisation des protocoles pour comprendre intuitivement comment ils ont été bâtis.

Même si vous trouvez ces protocoles hermétiques ou incompréhensibles, vous pouvez les utiliser avec autant d’efficacité que si votre mental comprenait tout. Surtout, ne vous découragez pas ! Rappelez-vous que l’intelligence innée en vous a accès à toutes les informations qui font partie de la Conscience humaine collective. Ce n’est probablement que votre mental qui rouspète parce qu’il n’y a pas encore accès consciemment et qu’il ne comprend pas (mais ça viendra, c’est certain !). Ou encore, vous avez peut-être un vieux programme par défaut qui vous dit que vous n’êtes « pas capable ». Si c’est le cas, utilisez l’intention : « je peux utiliser efficacement ces protocoles même si je n’y comprends rien » (ou même si je ne m’en sens pas capable » ou toute autre forme du « même si je ne peux pas »). Graduellement, à mesure que vous les utiliserez, vous apprivoiserez ces protocoles et les résultats vous rassureront.

La fréquence planétaire actuelle consiste à installer la fréquence de l’Amour dans la dualité et non pas à installer l’Amour en niant la dualité. C’est cela, la nouvelle spiritualité. C’est une spiritualité en rapport avec le fait de créer une nouvelle fréquence. Nos manipulations génétiques personnelles ne se feront pas en laboratoire. La reprogrammation de notre ADN superflu passe par le non-jugement de notre côté vulnérable et par la prise de conscience de notre rôle de programmeur.

C’est ainsi que nous allons réclamer la richesse génétique qui nous appartient de plein droit et accéder à la maîtrise de notre héritage personnel et humain. »

Kishori Aird
transmis à ÈRE NOUVELLE le 10 janvier 2005

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1er Royaume de Bourgogne

Posté par othoharmonie le 15 juin 2012

1er Royaume de Bourgogne dans Ma Bourgogne En détails 220px-Le_royaume_Burgonde_au_Ve_si%C3%A8cleUn premier royaume de Bourgogne, la Burgondie, fut créé par le peuple burgonde après son installation sur les bords du lac Léman, en Sapaudie, au Ve siècle. Son souverain le plus glorieux, Gondebaud, gouverna alors un territoire qui s’étend de Langres à Marseille et du Rhin à la Loire.

Pendant les six siècles qui suivent l’installation de ce peuple, les remous de l’histoire font naître successivement différentes entités géopolitiques aux limites territoriales toujours changeantes qui prennent le nom de Bourgogne. Le traité de Verdun de 843 divise la Bourgogne en deux grandes entités territoriales : une Bourgogne franque à l’ouest (futur duché, dont l’actuelle région Bourgogne est issue), et une Bourgogne impériale à l’est dans laquelle se trouve notamment la future franche comté de Bourgogne ou Franche-Comté.

Au IXe siècle, la Bourgogne impériale voit naître, en son sein, deux royaumes :

  • le premier, au sud, touchant les rives de la Méditerranée, qui prend le nom de « Bourgogne-Provence » appelé aussi « royaume d’Arles » ;
  • le second, appelé « royaume de Bourgogne », situé à l’origine en Helvétie, (en Transjurane, au-delà des monts du Jura), intègre rapidement d’autres domaines, dont les terres du diocèse de Besançon

Vers 933, sous le règne de Rodolphe II, roi de Bourgogne transjurane, le royaume de Bourgogne et le royaume d’Arles s’unissent. Le royaume ainsi formé prend le nom de « royaume de Bourgogne et d’Arles », et se place sous la suzeraineté des souverains germaniques.

Articles détaillés : Les Burgondes et Voir aussi : Histoire de la Bourgogne, Des Burgondes aux Francs.

 

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Superstitions

Posté par othoharmonie le 15 juin 2012

Superstitions en Bourgogne
et en Champagne

(D’après un récit paru en 1846)

 

Superstitions  dans Ma Commune 9915_364Autrefois dans la Bourgogne et la Champagne, on lançait des arrêts contre les bêtes immondes et les insectes dont les ravages devenaient trop incommodes. Un fonctionnaire d’Autun ayant ainsi procédé contre les rats, l’avocat Chasseneux les défendit d’office et remontra, entre autres choses, que le terme qui leur avait été donné pour comparaître était beaucoup trop court, attendu qu’il y avait pour eux le plus grand danger à se mettre en route dans un temps où les chats étaient aux aguets pour les saisir au passage. Un délai plus considérable fut alors accordé.

On lit aussi, dans Sainte-Foix, que sous François Ier, le prévôt de Troyes rendit une sentence dans laquelle il était dit : « Parties ouïes, faisant droit à la requête des habitants de Villenose, admonestons les chenilles de se retirer dans six jours ; à faute de faire, les déclarons maudites. »

Cette ville de Troyes jouissait, dans l’ancien temps, d’un singulier privilège : elle fournissait seule des fous au roi. On lit dans Sauval, que Charles V écrivait aux maire et échevins de cette ville « Que son fou étant mort, ils devaient s’occuper de lui en envoyer un autre suivant l’usage. ».

Dans le département de l’Ain, les gens de la campagne font de grands feux de paille et de fagots, deux fois par an, dans les champs qui avoisinnent leurs habitations : l’un pour la fête des Rois, et l’autre le premier dimanche du carême, qu’on appelle, par cette raison, le dimanche des Brandons. On attribue ceux-ci à l’usage où l’on était jadis de détruire, au moyen du feu, les nids de chenilles.

On nomme Suche, en Bourgogne, la bûche que l’on place au feu la veille de Noël. Pendant qu’elle brûle, le père de famille chante des Noëls avec sa femme et ses enfants, et il engage les plus petits de ceux-ci à aller dans un coin de la chambre, prier Dieu que la souche donne des bonbons, ce qui arrive toujours au moyen des dispositions qu’a faites le papa.

On nomme Vouires ou Vouivres, les monstres qui gardent, pour le diable, les trésors enfouis dans les ruines. Ce sont ordinairement des serpents, dont la tête est surmontée d’une escarbouche d’un grand prix, et comme ils la déposent toujours lorsqu’ils vont boire aux fontaines, il y a espoir de s’en emparer, si on se trouve là dans le bon moment.

220px-Maison_du_Renard_(Lormes,_Ni%C3%A8vre,_France)_par_Honor%C3%A9_Jacquinot dans Ma Commune

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L’essence de la Nouvelle Terre

Posté par othoharmonie le 13 juin 2012

Accueillir et manifester l’essence de la Nouvelle Terre

L'essence de la Nouvelle Terre dans Beaux textes For_t-urbaine_nantesUn nouveau monde est possible à condition que le niveau de conscience de l’humanité change, que les êtres humains passent d’une conscience de séparation générant la peur, le manque, les abus de pouvoir à une conscience d’unité, de partage, de respect, de fraternité, de compassion et d’amour, à condition que les êtres humains vivent dans la lumière de leur âme. 

C’est possible, le temps est venu.
Il existe toutes sortes de moyens d’actions extérieures pour participer à la construction d’un nouveau monde. Il est par contre un principe fondamental qu’on a souvent tendance à oublier lorsque pris dans le feu de l’action : C’est l’intention de fond, sous-jacente aux actions qui produit les résultats et non pas seulement l’action en elle-même.

Les actions concrètes, aussi bonnes que paraissent les intentions en surface, resteront peu efficaces, si le travail de conscience de base n’a pas été fait, si cela est pratiqué à partir des centres de conscience inférieurs, c’est-à-dire, entre autres, sans discernement, avec fanatisme, orgueil, prétention, ou avec un sens quelconque de séparation (même avec les meilleures raisons du monde) ou désir d’avoir raison, avec haine, colère ou frustration, sans détachement, sagesse, compréhension ni compassion. Il faut se souvenir encore 
une fois que : La qualité des résultats concrets que nous produisons dans notre vie ne dépendent pas tellement de l’aspect extérieur de nos actions, mais essentiellement du niveau de conscience avec lequel on agit.

Si nous méditons pour la paix mais que nous avons de la haine dans le coeur pour notre conjoint, un collègue de travail ou une quelconque personne de cette planète, c’est cela que nous envoyons dans l’espace en même temps que nos pensées. Si nous protestons de façon véhémente et agressive le coeur plein de colère contre les grands pollueurs de cette planète, c’est en fait notre agressivité qui sera véhiculée et transmise partout 
où elle trouvera écho. Et même si on mange des légumes biologiques mais que l’on hait ou méprise son voisin pour quelque raison que ce soit, c’est un monde de haine et de fanatisme que l’on génère. Ainsi sont faites les lois de l’Univers. On ne peut pas générer plus sur cette planète que ce que l’on a réalisé soi-même. Mais par contre, lorsque la source de nos actions est l’amour inconditionnel, la sérénité et la sagesse, l’intelligence intuitive, 
la force, le courage et le centrage unis à un sens profond d’unité et de fraternité, alors nos actions, porteuses de vibrations élevées, feront beaucoup de bien sur cette planète.

Plus on évolue intérieurement, plus notre taux vibratoire est élevé et plus nos actions deviennent efficaces. 

Il n’est pas nécessaire non plus d’attendre d’être parfait pour agir. Travail intérieur et action vont de pair et il est bon de faire les deux en même temps, travailler sur soi-même et agir à tous les niveaux : social, économique, politique, écologique et au niveau de l’éducation, non seulement éducation des enfants mais aussi éducation des masses. 

Si nous voulons un nouveau monde ceci doit changer maintenant à une échelle plus grande. Il nous faut des éducateurs inspirés, des politiciens intègres au service du peuple, des journalistes courageux, des écrivains, poètes et artistes en tout genre qui soutiennent par leur action et leur création cette grande ouverture de la conscience collective.

Pour que la conscience de l’humanité change de niveau, il n’est pas nécessaire que chaque être humain réalise ce changement individuellement. Il suffit qu’un certain nombre de personnes choisisse de fonctionner à partir de valeurs supérieures pour créer une masse critique positive. Une fois la masse critique positive atteinte, le reste de l’espèce humaine devrait suivre naturellement.

Ce texte est tiré du livre Le Défi de l’humanité de Annie Marquier

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Accepter la réalité

Posté par othoharmonie le 10 juin 2012

 

« Une des tâches les plus difficiles données à l’homme est de renoncer à lui-même, au désir de se mettre en avant, à vouloir que le monde corresponde à l’idée qu’il s’en fait. »

—K. G. Durkheim

Accepter la réalité dans Zones erronées 1211305340L’égo ne voit rarement les choses comme elles le sont réellement. Plus une réalité est susceptible de nous faire du mal, plus l’égo a le réflexe de nous la voiler ou de l’interpréter à son avantage. La tendance contraire ne serait tout simplement pas en accord avec ses principes. Si l’égo est un instrument de survie, pourquoi accepterait-il une perspective qui peut nous faire du tort? Et nous savons tous combien le mental a le pouvoir de concrétiser nos pensées. Mais l’égo ne pense pas à long terme et accepter la réalité est une des concessions les plus intelligentes que nous puissions faire dans une vie.

 Accepter ne signifie pas être d’accord. Nous ne sommes pas nécessairement d’accord avec les accidents d’autos, les catastrophes naturelles et les drames en général mais nous pouvons les accepter.

 En théorie, l’acceptation semble être un parcours relativement simple à entreprendre, mais c’est est une tâche extrêmement effrayante pour l’égo car cela signifie sa mort ; c’est son sentier suicidaire par excellence. Pour l’égocentrique, cela peut donc faire terriblement mal et même être un chemin carrément inenvisageable (Qui se jetterait de son plein gré en bas d’une falaise?).

« Tout ce qui arrive doit être reconnu, accepté, du stylo qui permet d’écrire jusqu’à l’accident de voiture qui décime toute une famille parce que tout ça existe, tout ça arrive. Mais l’ego a peine à reconnaître ce qui le fait souffrir et le prive de ses biens matériels et affectifs. Il criera NON à cette réalité qui pourtant, existe bel et bien. »

(Benoit Rancourt)

 

Et quoi de plus assagissant que d’accepter ce qui existe, tout simplement.

 

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L’égo, un handicap social

Posté par othoharmonie le 10 juin 2012

 

L’égo peut être un handicape social à plusieurs niveaux.

Pour commencer, L’égocentrique croit qu’il est complètement séparé des autres. Il ne réalise pas le lien très étroit qui nous unis tous. Pas seulement par notre caractère humain, mais aussi par la conscience (Dieu, la Source, etc.). Cet état d’esprit a des répercussions sociales très importantes car les relations sont alors banalisées; la fraternité est une notion fictive. En se privant de chaleur humaine, la personne finit tôt ou tard par ressentir un grand vide dans sa vie.

Ironiquement, l’égo peut aussi nous pousser à chercher maladivement l’attention des autres. Cette façon d’être contribue malheureusement à un grand paradoxe social qui veut que les gens ne sont pas attirés par ceux qui manifestent ce genre de besoin. Ces gens croient avoir besoin d’amour, alors que tout ceci n’est qu’un jeu malsain organisé par leur égo*.

Mais l’égo n’est pas qu’un boulet social. Il peut par exemple nous pousser, par l’intermédiaire de son besoin d’attention, à sortir de chez nous et à faire de nouvelles rencontres. C’est aussi lui qui nous empêche de faire le fou en présence de notre patron. En fait, à moins d’avoir étudié la dynamique sociale à l’école, c’est probablement notre égo qui nous a permis de nous frayer un chemin dans la société jusqu’à présent.

Il y aurait beaucoup à dire sur les conséquences sociales de l’égo mal maîtrisé. Pour avancer les propos d’Eckhart Tolle, maître spirituel contemporain, je crois que la société est embarquée dans une névrose tellement populaire qu’elle passe complètement inaperçue aux yeux du monde. Elle est selon moi la source de bien des maux et l’humanité est loin d’y avoir trouvé son équilibre, toutes guerres et souffrances inutiles en évidence. Mais je vois aussi beaucoup d’amour, et l’amour est une force universelle qui n’a définitivement rien à voir avec l’égo. Si jamais il vous advenait de perdre foi en l’humanité, regardez autour de vous. L’amour est partout, ne serait-ce que dans l’anodin petit sourire de votre voisin.

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*Je crois que nous avons tous un profond besoin d’aimer, contrairement au besoin illusoire d’être aimé, qui n’est plus un souci lorsque l’égo est maîtrisé. Pour vous en faire prendre conscience rapidement, imaginez tout simplement quelqu’un que vous n’aimez pas. Que cette personne vous aime ou non, remarquez que cela ne change rien à votre vie. Vous pourriez même vous sentir mal à la place de cette personne pour vous aimer alors que vous vous ne l’aimez pas. Merci à ma mère Andrée Lyonnais pour m’avoir fait réaliser cette incongruence !

Source : http://ego-illusions.com/category/spiritualite/

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Transcender la matière

Posté par othoharmonie le 9 juin 2012

 

Transcender la matière dans Channeling 220px-Chablis_cassé_en_hêtraie_de_Bethmale_AriègeLe savoir spirituel ou ésotérique se sert de la métaphore et du symbole pour transmettre des faits subtils de l’existence, qui transcendent l’univers matériel et qui exercent sur lui un effet puissant. Nous nageons dans un océan de symboles, auxquels l’esprit humain réagit spontanément. Ils s’impriment facilement dans notre ADN, qui les conserve, ainsi que dans notre mémoire profonde, dans le mental inconscient et subconscient. En l’absence de symboles, comment parviendrions-nous à nous exprimer ? La langue dépend d’accords télépathiques où le sens inhérent est attribué à des symboles sonores. Cependant, les gens considèrent la parole comme allant de soi et s’interrogent rarement sur la provenance des mots qu’ils s’apprêtent à prononcer. Ils ne s’aperçoivent pas non plus qu’ils traduisent leurs pensées en mots et qu’ils jouent avec le pouvoir de nommer, de qualifier, d’identifier et de créer l’existence. Les mots sont porteurs d’information, mais celle-ci n’est pas les mots. Ils évoquent des significations se fondant sur des accords collectifs sur a réalité consensuelle, tout en la façonnant.

 Pour exercer l’art de l’écriture, il suffit de deux lignes et de quelques gribouillis bidimensionnels utilisant un code, l’alphabet. Les mots qu’ils forment fabriquent littéralement quelque chose à partir de rien, parce que le geste physique d’écrire produit et oriente l’énergie. L’écriture est une forme de magie que l’on acceptait spontanément et qui fut élaborée comme méthode pour influer sur la réalité. A fil du temps, la signification des symboles dans chaque langue s’est modifiée, s’adaptant aux exigences, à l’intelligence et à la curiosité des divers peuples ; parfois cependant, on altéra délibérément certains mots, on les réinventa ou on les bannit même de la langue orale, parce qu’ils étaient doués d’une puissance spéciale. Pour finir, on les interdit.

 Il y a fort longtemps, l’aptitude à identifier et à nommer les mystères de la vie et leurs forces naturelles était considérée comme un acte de pouvoir permettant de se prévaloir de leurs propriétés magiques. On concevait la nature comme une scène où se manifestaient dans une dimension spécifique les lois spirituelles et cosmique et leurs forces, ce qui permettait à la conscience d’explorer la réalité depuis ce point de vue particulier. Toutes les formes de conscience sont dotées d’une curiosité innée, et les gens cherchaient autrefois à comprendre l’interaction et le rapport entre ces lois et ces forces cosmiques. Ils aspiraient à des connaissances qui leur permettraient d’employer les propriétés mystiques de la nature et de l’atmosphère pour influencer la vaste sphère de l’existence.

 Nos ancêtres faisaient appel à cette tradition consistant à noter la position du Soleil dans les cieux afin de localiser la leur dans l’existence et pour marquer le temps. Ils comprenaient que les cycles célestes contenaient la clef de leur identité supérieure ; les gens d’aujourd’hui ont une curiosité déformée et peu d’entre eux reconnaissent et admettent spontanément les forces de la nature. Dans l’hémisphère nord, bien avant l’avènement du christianisme, le 25 décembre étaient consacré à la célébration du retour de la lumière qui délivrerait le monde nordique des longues nuits obscures. Naissant de nouveau à l’horizon, le soleil commençait à s’élever dans le ciel après avoir atteint son point culminant dans les latitudes méridionales au solstice d’hiver, en décembre.

 Lorsque la Terre achève sa rotation de vingt-quatre heures sur son axe incliné, elle franchit l’espace, complètement synchronisée avec le système solaire, parcourant son orbite autour du Soleil et 365 jours. En raison de l’inclinaison de l’axe polaire, le Soleil paraît changer de position dans l’azur, semblant migrer à chaque saison vers le nord ou vers le sud tout en jetant de nouvelle sombres et reflets par une transmission continue d’informations encodées dans la lumière ; le Soleil est notre première source d’énergie. En tant que maître de notre système solaire, il fournit sans faillir la lumière qui anime la vie telle que nous la connaissons. Le signe de la croix, ces deux lignes qui se coupent, est un symbole archaïque multicouche qui était utilisé dans les temps anciens comme point localisateur et aussi pour représenter les étoiles et le Soleil. La croix signifiait également : « là où l’esprit rencontre la matière ». Le ciel semblait s’unir à la Terre à l’horizon pour former une croix cosmique. Jadis, l’atmosphère, ou éther, était toujours figurativement placée au milieu de la croix ; l’éther déborde de force vitale cosmique et, à la jonction des lignes, une vitalité abondante ouvre des portails sur d’autres dimensions de la réalité.

 Il y a longtemps, les gens se servaient du soleil pour situer leur positon dans l’existence et ils plaçaient des marqueurs de pierre en des endroits spécifiques de la surface terrestre afin de découvrir le schème des mouvements des rayons solaires. Ils observaient les positions des autres – la Lune, les planètes, les comètes et les étoiles – pour déchiffrer les  symboles et les schèmes célestes définissant et marquant le paysage existentiel. Comme marqueur et point de localisation, la croix en vint aussi à représenter les quatre points cardinaux – le nord, l’est, le sud et l’ouest – ainsi que les quatre points intermédiaires, les quatre saisons et les quatre éléments : la terre, l’air, le feu et l’eau. Ceux qui comprenaient respectaient la puissance des énergies de la déesse ont toujours considéré que les carrefours représentaient ses sites sacrés. Jadis, il était bien connu que les activités exécutées au centre précis de deux lignes qui se croisent possédaient le pouvoir d’influer sur plusieurs versions de la réalité. Les deux lignes se rencontrent et forment un point de pouvoir qui réfère invariablement à l’éther, à la force vitale de l’existence.

 Le motif de l’échiquier est une version plus complexe de la croix, une extension qui a évolué naturellement à partir d’une série de croix entrecroisées. Il s’agit d’un motif en grille composé de soixante-quatre carrés, huit par côté suivant une alternance de carrés blancs et de carrés noirs. Ce motif symbolique familier se retrouve partout dans le monde, ainsi que dans plusieurs lignes temporelles. Dissimulé tout en demeurant parfaitement visible, ce dessin noir et blanc formé de carrés est un moyen de conception archaïque simple, mais puissant, pour rappeler à l’humanité l’étendue infinie de la sphère de l’existence et surtout la manière d’y naviguer. Ce symbole s’inscrivait aisément sur les couches plus profondes de la psyché humaine ; il faut transmis dans les schèmes innés de perception d’une génération à l’autre. Le motif entrelacé représentait les complexités encodées du multivers. Chaque point de croisement sur la grille est un vortex et un portail d’énergie où s’unissent des réalités, et chaque carré symbolise une propriété spécifique de l’énergie, noir pour les propriétés négatives, blanc pour celles qui sont positives, tout comme les charges électriques positives et négatives.

 En synthétisant cette information cruciale en une forme bidimensionnelle appartenant à la réalité tridimensionnelle, on cherchait à illustrer métaphoriquement la prépondérance de la polarité dans l’ordre naturel du multivers. L’échiquier est un symbole qui traduit l’ultime complexité de la sphère de l’existence grâce à son motif à significations symboliques en dégradé. Malgré tout, il présente une absolue simplicité, la présence innocente d’un damier aux yeux du monde. Les peuples anciens savaient que, dans le vaste jeu de l’existence, ils auraient à revivre encore et encore. Ils savaient également que la manière de percevoir et d’interpréter la réalité déterminait la qualité d e leur expérience de vie, ici-bas et au-delà. Par ailleurs, ils comprenaient que l’échiquier avait été conçu comme symbole pour imprimer leurs banque mnémoniques, afin qu’ils se souviennent et soient en mesure d’évoquer ce qu’ils avaient appris d’une incarnation à l’autre…

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Extrait du livre : SAGESSE DES PLÉIADES, BARBARA MARCINIAK – Ariane Éditions page 208.

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L’AMOUR est….

Posté par othoharmonie le 9 juin 2012


 TOUJOURS INCONDITIONNEL

 

Ecrit par Colin Chabot

Savez-vous que l’amour c’est se reconnaître dans l’autre?  La haine est le rejet, à un haut degré, de ce qui n’est pas soi.  L’amour est l’acceptation, à un haut degré, de ce qui est soi.  Dieu, dans sa totalité,  ne peut qu’aimer toutes ses parties et c’est son énergie en toute chose qui est ce lien d’amour.  On l’appelle l’amour inconditionnel Divin.   Mais en soi, c’est l’énergie de cohésion, l’énergie qui maintient l’harmonie dans l’univers, toutes ses parties unies dans un équilibre constamment renouvelé.

 L'AMOUR est.... dans Beaux textes 220px-Idylls_of_the_King_15En tant qu’entité d’origine Divine, nous devons aussi apprendre à aimer toutes les parties de son être aussi infimes soient-elles car c’est cet amour inconditionnel de notre tout qui est garant d’une harmonie, d’un équilibre de l’ensemble.  Ce sentiment d’amour peut exister et s’approfondir malgré les handicaps, les maladies, les pires situations comme une acceptation entière de sa réalité.  Seule une conscience aiguë de notre vécu est source de dépassement.  Cet amour peut aussi se prolonger à tout notre environnement.

 Pour mieux comprendre le chemin de l’évolution, il faut se voir en premier comme une manifestation du Divin mais limitée dans une enveloppe.  Nous découvrons lentement nos particularités en  interagissant avec le reste de l’univers ce qui nous semble différent.  Notre personnalité unique se forge ainsi au contact incessant avec l’extérieur puis on découvre chez l’autre des affinités, des éléments qui nous ressemblent.  On prend plaisir alors à les comparer, les ramener à des composantes de base, les percevoir dans ce qu’ils ont d’essentiel.  On remonte ainsi jusqu’à la source, l’énergie commune à tous et on admire les multiples visages qu’elle emprunte pour prendre conscience d’elle-même.

   Après un long voyage dans l’infinie diversité de la vie, on en vient à chercher le lien entre nous, à vouloir retrouver l’unité première.  Tout devient spirituel ce qui veut dire que tout ce qui est issu de l’énergie originelle finit un jour ou l’autre par vouloir y retourner.

 L’énergie première était unique et parfaite à l’origine mais sans conscience de sa propre existence.  Elle s’est réfléchie sur elle-même mais ne s’est pas reconnue.  Elle s’est même perçue comme une agression extérieure qui s’opposait à son expansion.  Le choc l’a fait voler en une multitude d’éclats ce qui l’a obligé à prendre conscience de chaque morceau un à un pour  les rassembler en un tout cohérent.  Nous sommes des morceaux de ce casse-tête qui n’en finit pas de vouloir se rassembler. 

 Je ne peux m’empêcher de faire un parallèle humoristique entre la différence de vos sexes et vos morceaux de casse-tête. A travers chaque être vivant, l’énergie première cherche à retrouver son unité perdue.  Elle pousse chaque être à s’unir aux autres pour retrouver l’équilibre d’avant et à chaque union, elle prend conscience d’une partie d’elle-même.

   Chaque individu a besoin de l’autre pour connaître ce qu’il n’est pas et ainsi réfléchir sur lui-même pour savoir ce qu’il est.  Puis, ce va-et-vient entre ce que je ne suis pas et ce que je suis, crée ce besoin de s’unir à l’autre pour s’englober mutuellement, devenir un être unique avec deux facettes.

Cet être à deux facettes cherchera ensuite à s’unir avec un autre être à deux facettes pour faire un nouvel être unique à quatre facettes.  Ce dernier cherchera lui aussi à s’unir à un autre être à quatre facettes et ainsi de suite.

 L’image de son propre reflet dans le miroir est aussi un bon exemple.  La première fois que l’on se voit, on ne reconnaît pas ce chaos de couleurs, de lignes et de formes.  C’est en prenant conscience en premier de chaque élément et de leurs différences par comparaison entre eux, puis de leurs ressemblances par regroupement en ensemble, qu’on finit par fusionner le tout.  On prend alors conscience que c’est un reflet complet de nous-mêmes inversé.  Savez-vous que tout ce processus de reconnaissance se passe en une fraction de seconde à chaque fois que vous vous regardez dans un miroir?  Ce phénomène se passe aussi au niveau cellulaire, au niveau de l’être humain, au niveau planétaire, au niveau galactique, au niveau universel.  Dieu a pris une fraction infime de son temps avant de se reconnaître dans cette réflexion de lui-même mais cela correspond pour nous à un aller-retour complet de tout l’univers.

 Tout ce temps que l’on passe à examiner l’autre, avant de se reconnaître en lui.

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Extraits du livre NAJA L’ILLUMINÉ -  PREMIER PORTRAIT  À L’ORIGINE DE TOUT CANALISÉ PAR

                     COLIN CHABOT – retrouvez les écrits en son entier ici :http://www.music-close-to-silence.net/a_lorigine_de_tout.pdf

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Patricia Cori

Posté par othoharmonie le 8 juin 2012

Patricia Cori dans AUTEURS A CONNAITRE promophot%5B1%5DOriginaire de la région de la baie de San Francisco, Patricia Cori a activement participé au mouvement nouvel âge depuis l’émergence de celui-ci au début des années 1970. Elle n’a cessé d’utiliser ses facultés de clairvoyance dans son travail de guérison et de soutien, et elle a consacré sa vie à l’étude du mysticisme, de la philosophie, des civilisations anciennes, de la guérison métaphysique, de la spiritualité et de la vie extraterrestre.

Enseignante dévouée, Patricia aide de nombreuses personnes à découvrir leurs facultés naturelles de guérison, à élever leur conscience et à intégrer les fréquences supérieures qui baignent notre espace alors que le système solaire tout entier se prépare à son ascension. Par-dessus tout, elle s’est donné pour mission de motiver les gens à passer à l’action, à surmonter leur peur et leur sentiment d’impuissance, et à devenir des membres plus responsables de nos sociétés planétaires et universelles.

Figure importante du mouvement nouvel âge, Patricia Cori est également bien connue dans le circuit des conférences internationales grâce aux cours, aux séminaires et aux ateliers qu’elle offre partout dans le monde sur une gamme étendue de sujets reflétant sa vaste connaissance des méthodes alternatives de guérison, sa mission consistant à être la voix du Haut Conseil de Sirius et à faire usage du remarquable don qu’elle a d’aider les autres à raviver et déclencher l’expression de leur pouvoir intérieur.

Ses programmes SoulQuest™ Journeys ont aidé des centaines de personnes, guidées vers les secrets des sites sacrés, à effectuer leur initiation aux mystères. Ses ateliers et ses voyages organisés très prisés ont eu lieu notamment au Népal, au Tibet, en Égypte, sur les terres des Mayas, en Thaïlande, à Angkor Vat, sur l’île de Crète et dans les sites sacrés de l’Angleterre, de pair avec ses explorations des agroglyphes qui y apparaissent chaque été.

Elle a régulièrement canalisé les porte-parole du Haut Conseil de Sirius (des êtres de lumière de la sixième dimension) depuis sa première visite en 1996 pour voir des glyphes des champs, et elle continue à donner des conférences et à transmettre leurs messages pour les personnes en quête de sagesse.

Élève assidue de l’Esprit, Patricia dédie ces enseignements à l’humanité afin de l’aider à soulever le voile et à prendre la place qui lui revient comme membre à part entière de l’univers multidimensionnel.

BARSEPA - automne et glands

LIVRES DE CET AUTEUR

  1. 2010 – Transition
  2. 2009 – La grande transformation
  3. Au-delà de la matrice
  4. Haut conseil de Sirius, Le

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