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Science et Conscience des thérapies énergétiques

Posté par othoharmonie le 7 août 2012

Science et Conscience des thérapies énergétiques dans Nouvelle conscience les-coquelicots-225x300Comme une éponge qui emmagasine les liquides, la mémoire de nos cellules enregistre nos chocs émotionnels, qu’ils soient constitués de douleurs, de colères, de joies, de peines ou de toutes autres sortes. Sans pour autant me faire passer comme experte en biologie, nous savons que la cellule est l’unité fondamentale, fonctionnelle et reproductrice de tout être vivant. Nous savons tous que notre corps n’est autre que des groupes de cellules unies et coordonnées pour remplir une ou des fonctions vitales. La cellule est la plus petite représentation de l’être vivant. D’ailleurs, certains êtres sont faits d’une seule cellule. Au sein de la cellule, il y a un noyau dans lequel les informations sont traitées et exécutées (ADN/RNA). Sans aller plus loin dans nos détails, il est un fait scientifique que la cellule représente l’être humain dans sa plus petite forme.

En dépit de cette évidence scientifique de l’importance de la cellule, on tend à minimiser son rôle dans la compréhension de nos maux. On oublie souvent que l’être humain, avant de devenir ce colosse, n’a été qu’une cellule qui s’est divisée et multipliée. En un mot, au sein de notre cellule, il y a toutes les informations nécessaires pour reconstruire un être humain si ce dernier devait disparaitre. Cette connaissance a permis aux scientifiques de développer ce qu’on appelle le clonage qui consiste à dupliquer un être en utilisant une de ses cellules. Elle a permis également aux thérapeutes d’apporter une guérison en profondeur de nos maux et douleurs. En conclusion, nos cellules sont dotées de mémoire et d’intelligence.

En tant qu’organisations intelligentes de notre corps, nos cellules prendront aussi en compte le vécu légué par nos aïeux tels que les maladies, les problèmes congénitaux, les douleurs irascibles etc. et se verront rangés méthodiquement dans notre cerveau comme le ferait un libraire méticuleux, soucieux de tenir à jour sa grande bibliothèque. Maintenant que nous avons une idée du fonctionnement et du rôle de nos cellules, notre prochaine question serait d’où viennent nos maux ?

Tout mal résulte de l’accumulation d’énergie superflue canalisée dans une partie déterminée du corps provoquant une tension dans le système nerveux. Ces énergies devront être ré-harmonisée et redirigée par des modes opératoires tels que des exercices de gymnastiques ou respiratoires afin de lutter efficacement contre les douleurs symptomatiques. Les maux peuvent se représenter sous plusieurs formes et je compte en énumérer quelques-uns uns :

  • Le négativisme, le doute ou encore la non-croyance peuvent être associés à l’effet boule de neige, ils ne constituent pas une menace immédiate avant que la boule ne se transforme en avalanche. Ce mode de pensée interagit sur le système nerveux et contribue à l’affaiblissement et à l’épuisement complet de l’organisme (cerveau, poumons, foie, cœur, vitalité générale).
  • Le positivisme quant à lui peut réaliser des miracles et émettre des ondes bénéfiques constituant le ’’fluide magnétique’’. L’amour, la compassion, le désir et la volonté de secourir, l’intention de donner le meilleur de soi-même, tous ces facteurs renforcent et augmentent les innombrables possibilités et la puissance de ce transfert d’énergie vitale.

Les moyens utilisés pour palier à ces maux sont nombreux. Qui, dans son proche entourage ou dans ces relations, n’a pas entendu parler d’un guérisseur ayant la faculté de soigner les brûlures, les douleurs, l’eczéma, les migraines, les verrues et autres affections du corps et de l’esprit?

Qu’il soit magnétiseur, guérisseur, rebouteux, radiesthésiste, géobiologiste, naturopathe, bio-énergéticien, aromathérapeute, tous utilisent l’énergie vitale universelle et naturelle par le biais de diverses techniques (magnétisme, reiki, massage, relaxation, réflexologie, kinésiologie, argilothérapie, radiesthésie, cristallothérapie, chromothérapie, musicothérapie, phytothérapie, aromathérapie, élixirs de fleurs ou de pierres précieuses, prières etc.…) et ont pour objectif commun de redonner équilibre physique, psychique, joie de vivre et harmonie du corps tout en apportant une dimension humaine, spirituelle et harmonisante aux soins divulgués. Ces épithètes pompeuses données à ces guérisseurs révèlent souvent un caractère initiatique et intimidant, pourtant ils n’ont rien de surnaturel. Les habilités qu’ils possèdent, souvent considérées comme des « dons », sommeillent en chacun d’entre nous et ne demandent qu’à émerger du plus profond de notre conscience afin de s’exprimer à travers nous. Un thérapeute n’est autre qu’un individu conscient de ses capacités de se guérir et de guérir ou soulager les maux de ceux qui viennent à son contact.

Nous sommes comme la fleur qui a besoin de lumière pour s’épanouir, certains d’entre nous se ressourcent en se connectant à l’énergie du cosmos, d’autres à l’énergie de la terre, d’autres encore se ressourcent dans la nature : l’air, l’eau, le sol, les montagnes, les arbres, les plantes… 

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Psychanalyse, sexe et taoïsme

Posté par othoharmonie le 7 août 2012

 

Historiquement, la psychanalyse est née sur le fumier d’un monde profondément barbare dans sa conception du corps et de la sexualité : la société puritaine bourgeoise. Et, sous la forme endémique qu’ils prennent au XIXème siècle, l’hystérie de la femme et le fétichisme de l’homme sont à considérer comme des « pathologies bourgeoises ». Jusque-là, la sexualité était assez simplement vécue. Les parents n’éprouvaient aucune honte à se montrer nus devant leurs enfants. Il n’apparaissait pas nécessaire de les informer de cette dimension de la vie, car il était même d’usage de faire l’amour en leur présence. La barbarie sexuelle de notre culture s’installe avec la Révolution française et la publication, en 1760, du premier « ouvrage scientifique » invitant de la sexualité infantile ; L’Onanisme, dissertation sur les maladies produites par la masturbation, du docteur Tissot.

 Ce livre, qui invente de toutes pièces que la masturbation infantile engendre les plus terribles maladies, est le premier d’une longue série. Réédité jusqu’au début du XXè siècle, il inaugure une des périodes les plus noires de notre histoire sexuelle ; l’alliance des médecins, des prêtres et des mères patronnesses de la bourgeoisie chrétienne qui harcèlent les parents pour les convaincre que la sexualité infantile est la cause des pires fléaux. Cette alliance, qui est l’armature plus ou moins occulte du puritanisme bourgeois, fait qu’à la fin du XIXè siècle, le rapport au corps et à la sexualité atteint dans la société occidentale l’apogée d’une folie dévastatrice, les médecins reprenant à leur compte les théories de l’Eglise sur la lubricité congénitale du féminin. Ils dissertent sur les modalités permettant de soulager les jeunes filles de l’organe qui els condamne aux pires maladies : le clitoris […]

Description de cette image, également commentée ci-après

De ce sombre bourbier « médico-sexuel » ont surgis, au début du XXè siècle, les premières bases du féminisme posées par les hystériques viennoises qui, comme Bertha Pappenheim  ou Lou Andréas Salomé, ont mis une énergie colossale pour convaincre Freud d’inventer et de divulguer la psychanalyse. L’hystérie, dont toutes les jeunes filles de bonne famille souffraient, était alors devenue endémique. On s’st moins intéressé au fétichisme masculin, car il n’a pas eu le rôle fondateur qu’a occupé l’hystérie dans la constitution de la psychanalyse. C’est également à cette époque qu’il prend une forme massive, car il est, comme l’hystérie, le produit d’une société qui a savamment enfermé la mère et l’enfant dans une illusion asexuée.

 

 LA SCHIZOPHRENIE MASCULINE

L’alliance du prêtre, du médecin et de l’épouse bourgeoise, qui s’installe au XIXè ciècle, vise à protéger l’enfant de toute représentation sexuelle. Considérant la masturbation infantile comme le premier des fléaux, elle entreprend d’en exclure toute trace du foyer. C’est ainsi que l’homme bourgeois se coupe radicalement en deux dans sa sexualité. D’un côté, il installe son épouse dans un univers aussi tendre et doux qu’il se veut asexué. Tenant à l’envisager, avec elle, la sexualité que dans le strict registre de la procréation, il la condamne à l’apparente virginité qui est de mise devant l’enfant ; de l’autre, il institutionnalise les maisons closes. Tel est l’acte chirurgical qui scinde alors la sexualité masculine entre l’immaculé domaine des mères et celui des lanternes rouges […]

 Psychanalyse, sexe et taoïsme dans La Sexualité Sacrée cabinet_divan_freud-300x214De nos jours, la Gay Pride semble avoir pris le pas sur le Moulin Rouge. Or, à la façon dont le sexe s’exhibe, aujourd’hui, de toute part, ne faut-il pas entendre un ci sans mot, constitué d’une montagne de questions et, en cela, semblable à celui des adolescents qui, dès qu’on leur donne la parole, expriment l’angoisse que crée une société qui montre tout, mais qui continue à ne jamais rien dire. Tel est ce qui m’a amené à questionner la validité des « outils psychologiques » et de la « psychanalyse d’alcôve », tant dans la prise en charge de la santé sexuelle que dans la compréhension des revendications libertaires de toute sorte qui s’expriment actuellement un peu partout. […] les troubles sexuels dépendent autant des modalités par lesquelles la sexualité s’est construite, dans l’enfance, que de la culture dans laquelle on est né. La construction sexuelle n’est donc pas plus sociale qu’individuelle ; elle est les deux. Je l’ai montré dans Et l’enfant créa le père ; elle est, à sa base, de la naissance jusqu’à la fin de l’oedipe, transgénérationnelle.

 Elle implique donc non seulement les parents, leurs traditions, leurs moeurs et leur culture, mais également leur héritage ancestral et leur part de traumatismes. Les thérapeutes qui ont mis en place une clinique transgénérationnelle le constatent quotidiennement : le poids que représente, dans notre vie sexuelle, celle de nos parents et grands-parents, est incontournable. Ce qui fait que les inhibitions et autres troubles affectifs et sexuels provenant des fantômes familiaux, sont aujourd’hui encore, profondément marqués par la barbarie avec laquelle le puritanisme bourgeois a sauvagement persécuté la sexualité infantile.

 

Extrait d’un texte de Didier Dumas que vous pouvez consulter sur le site www.jardindidees.org.

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