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Etre la présence JE SUIS

Posté par othoharmonie le 30 août 2012

Ateliers de libération des mémoires cellulaires

 

Un processus de libération des mémoires cellulaires qui se vit en trois ateliers

Les ateliers de la Présence Je Suis font partie d’une démarche de libération des mémoires cellulaires blessées qui se fait en trois étapes.

Ces mémoires blessées sont des empreintes d’évènements passés qui ont laissé des marques importantes dans votre corps physique aussi bien que dans votre corps émotionnel et votre corps mental.

Ce sont ces mémoires qui causent votre mal être intérieur, vos difficultés relationnelles et vos maladies.

Etre la présence JE SUIS dans ADN Démystifiée huile-si-chaossElles peuvent être d’ordre karmique, génétique, transgénérationnel et culturel et se situent le plus souvent à un niveau inconscient.

Tant qu’elles ne sont pas guéries vous transportez votre passé dans votre présent, ce qui fait que vous répétez constamment les mêmes erreurs et, de cette manière, il est bien difficile de créer un futur heureux.

Dans ces ateliers, la canalisation de maîtres ascensionnés ainsi que diverses expériences transformatrices :
vous amènent sur le chemin du retour à soi, dans cet espace où le cœur ne juge ni ne condamne mais aime et pardonne,
vous amènent vers la guérison des mémoires blessées de votre enfant intérieur,
vous amènent à libérer les croyances qui vous limitent et vous empêchent d’être heureux, afin que l’amour, la joie, l’harmonie puissent se manifester dans votre vie.

Vivre l’unité dans la séparation
Première étape de libération

Cet atelier se vit dans l’énergie des premier et deuxième chakras.

A l’aide du souffle et du son, vous contactez la douleur de la séparation qui a laissé des marques importantes dans la psyché humaine. Cela vous permet d’identifier les mémoires de souffrances engrammées dans vos organes.

Vient ensuite la libération de ces mémoires à travers divers exercices où l’amour et la lumière jouent un rôle important. Vous apprenez aussi des soins énergétiques qui vous seront utiles afin de poursuivre la transformation après l’atelier.

Et pour terminer, vous vivez une expérience d’élévation de la conscience qui vous conduit à un sentiment d’unité et de joie intérieure.

L’ouverture du cœur de lumière
Deuxième étape de libération

Cet atelier se vit dans l’énergie des troisième et quatrième chakras. Vous y explorez les blessures émotionnelles de votre enfance et de votre passé antérieur qui se répercutent encore dans votre présent.

Par divers exercices, visualisations, jeux de rôle, soins énergétiques vous apprenez à libérer ces mémoires, à pardonner et à vous dégager de l’emprise de l’ego sur votre vie et de son impact sur vos relations.

Cet allégement du poids émotionnel favorise l’ouverture du cœur de lumière.

Réalité illusoire et perceptions
Troisième étape de libération

Cet atelier se vit dans l’énergie des cinquième et sixième chakras. Vous y explorez le côté illusoire de vos perceptions ainsi que la souffrance qui en a découlé.

Puis, par un processus de guérison de vos mémoires perceptuelles blessées, vous découvrez qu’il existe en vous un espace sacré où réside la mémoire de votre origine cosmique et divine. Dans cet espace qui est l’essence même de qui vous êtes vraiment, vous avez toujours été lumière. C’est là que réside votre véritable identité, votre Présence Je Suis.

Vivre dans la Lumière
Quatrième étape de libération

Cet atelier se vit dans l’énergie combinée des sixième, quatrième et premier chakras. Il ouvre le chemin vers les septième et huitième chakras. Les enseignements des guides, les rituels, les soins énergétiques vous permettent de pénétrer au cœur des nœuds cosmiques pour apprendre à les dénouer. Par la suite, cette libération permettra l’unification de la conscience de l’âme, de l’esprit et du corps. Cette guérison à tous les niveaux de l’être favorisera la montée de l’énergie de la Mère en toute sécurité le long de la colonne vertébrale jusqu’au cerveau. A la fin de cet atelier vous découvrirez que votre vie prend une nouvelle direction, un nouveau sens.

Pour informations : Louise Racette : courriel de Louise Racette -  Mariette Robidas : (450) 658-4055

www.presencejesuis.com    ++++   Calendrier des formations

 

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Loups-garous et croyances

Posté par othoharmonie le 30 août 2012

Loups-garous et croyances dans Mythologie/Légende 220px-Loup_garouMalgré les interrogations, la croyance en la culpabilité des loups-garous demeura la norme jusqu’au début du XVIIIe siècle et les hommes suspectés de lycanthropie furent très sévèrement châtiés. Au XVe siècle, l’empereur germanique Sigismond réunit un collège qui conclut à l’existence des loups-garous et autres sorciers. Aux XVIe et XVIIe siècles, les procès de lycanthropes furent très nombreux. Certains ouvrages étaient parfois d’une violence extrême contre les lycanthropes, comme le célèbre Malleus Maleficarum publié en 1486, qui constitue un véritable manuel de chasse aux loups-garous et aux sorcières. Le juriste Jean Bodin publia en 1580 le célèbre La démonomanie des sorciers traité ou la sorcellerie et réquisitoire contre les sorciers, maintes fois réédité et de même acabit. Cet ouvrage donne pour objectif la poursuite et le châtiment implacable de tous les coupables de sorcellerie, dont les lycanthropes bien entendu. Ils étaient haïs des inquisiteurs et l’un des plus célèbres d’entre eux, Henry Boguet eut à juger sur Saint-Claude neuf cas impliquant des loups-garous. Selon lui, le loup-garou était une manifestation directe de l’intervention du Diable : Satan abandonnait le lycanthrope endormi dans un buisson et en faisait sortir un loup. L’animal commettait alors tous les crimes qui hantaient l’esprit du dormeur, en troublant son imagination au point « que la victime croit véritablement s’être métamorphosée en loup et avoir couru la campagne en tuant hommes et bêtes ». Bien que la réalité de la transformation physique soit ici remise en cause, le loup-garou était considéré comme responsable de ses actes, notamment du fait d’avoir pactisé avec le démon, acte impardonnable.

 

Quelques grands penseurs accusèrent aussi les lycanthropes de pactiser avec le démon, entre autres Jacob Horstius qui écrit dans De Aureo Dente que le Diable s’attaque de préférence aux complexions mélancoliques et timides. En 1546, Paracelse décrit dans son De Natura les transformations en loup comme réelles, en 1585, Hermann Witekind s’en prend à la sorcellerie dans Christlich bedenken und erinnerung von Zauberey et en 1632, Ambroise Paré décrit la lycanthropie et l’impuissance masculine comme des œuvres du démon dans Des monstres et prodiges. D’autres auteurs moins connus abondent dans le même sens : Peucer dans Des divinations et Pierre Borel en 1674.

 Au XVIe siècle, de la fin du Moyen Âge à la Renaissance en un peu plus de cent ans, on a enregistré, en France, de nombreux rapports d’attaques de loups-garous ainsi que près de 30 000 procès, le nombre de procès en Europe étant probablement proche de 100 000 mais selon Collin de Plancy, des dizaines de milliers d’autres personnes soupçonnées de lycanthropie 220px-Loup-garou-Lebrun dans Mythologie/Légendeauraient péri, victime de la vindicte populaire et sans autre forme de procès. Les populations rurales croyaient fortement à l’existence physique de ces « hommes-loups » qui ravageaient les campagnes et s’attaquaient aux animaux comme aux être humains, ces croyances ont mené aux pires carnages lorsqu’un individu était reconnu comme loup-garou. Dans certains cas, il y avait des preuves de meurtre et de cannibalisme contre les accusés, mais aucune d’association avec les loups, dans d’autres cas, les gens avaient simplement été terrifiés par des loups. En Europe, XVe au XVIIIe siècle, les procès de loups-garous se multiplièrent et les coupables étaient brûlés vifs. Lorsqu’un villageois était soupçonné d’être un loup-garou, il était généralement attrapé et écorché vif, car la légende voulait que les poils de loup se cachent sous sa peau, puis exécuté, quelquefois par pendaison, plus généralement sur le bûcher. Les accusés qui échappaient à l’exécution furent probablement marqués à vie par le traumatisme de l’interrogatoire.

 Au début du XVIIe siècle, la sorcellerie fut condamnée par Jacques Ier d’Angleterre, qui considérait les warwoolfes comme des victimes d’une illusion provoquée par « une surabondance de nature mélancolique ». En France, il faut attendre le 21 juillet 1682 et la clôture de la Chambre ardente pour que les procès de sorcellerie soient interdits.

 

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