La Sagesse de Bouddha
Posté par othoharmonie le 2 septembre 2012
Le Bouddha avertit ses disciples que tout ce à quoi ils accorderaient leur attention et leur amour s’épanouirait dans leur existence. Il assimilait la vie et le monde à un jardin nécessitant la lumière du soleil, de l’engrais et de l’eau pour fleurir. Dans ce jardin reposent les semences de la compassion, du pardon, de l’amour, de l’engagement, du courage et de toutes les qualités qui nous affirment et nous inspirent. Dans le même jardin, aux côtés de ces semences, se trouvent celles de la haine, du préjugé, de la vengeance, de la violence et de toutes les attitudes nuisibles et destructrices. Ces semences et bien d’autres se côtoient au sein de cet espace fertile.
Celles qui se développeront sont celles auxquelles nous aurons accordés notre attention. Cette faculté est comme l’eau et le soleil, et les semences que nous cultivons croîtront et rempliront notre jardin. Si nous investissons notre attention dans les semences de la pénurie – l’acquisition, l’accumulation, l’avidité et tout ce qui en découle -, alors la pénurie remplira l’espace de notre vie et de notre univers. Si nous accordons plutôt notre attention aux semences de la suffisance et que nous employons notre argent comme de l’eau pour les nourrir d’une intention noble, nous obtiendrons alors une moisson merveilleuse.
Il n’y a pas plus différents que les Sept Magnifiques Bangladais, Audrey ou James, mais tous ont pu, grâce au pouvoir de l’appréciation, intensifier et étendre leur expérience de la véritable richesse et de leur être profond. Dans le contexte de la suffisance, chacun a découvert une liberté nouvelle dans son rapport à l’argent et celle-ci les a conduits à la prospérité. Pour chacun d’entre nous, dans le terreau fertile de l’appréciation, de nouvelles possibilités prennent racine, qui croîtront sans fin à la lumière constante de notre attention.
Extrait du livre L’Ame de l’argent … page 156
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.