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La querelle de Bourgogne

Posté par othoharmonie le 14 septembre 2012

La querelle de Bourgogne dans Ma Bourgogne En détails 320px-Dijon_mosesbrunnen3Le mariage par procuration de Maximilien avec la duchesse Anne de Bretagne contraint Charles VIII à réagir. Il rompt avec Marguerite pour épouser l’héritière de Bretagne mais il doit renoncer à la dot promise. Par le traité de Senlis il rend la Bourgogne comtale aux héritiers de Marie de Bourgogne ainsi que l’Artois, le Charolais et d’autres acquisitions réalisées par les ducs. Le duché de Bourgogne devient une région frontière. Les Autrichiens ne se résignent d’ailleurs pas au partage de la succession bourguignonne et des conflits éclatent. Les Suisses, en conflit avec la France, incités par Maximilien, menacent Dijon en 1513. La ville subit leurs attaques obligeant Louis II de La Trémoille à négocier. En 1522, un pacte de neutralité, un accord d’intérêt, entre duché de Bourgogne et Comté est signé le 8 juillet 1522 à Saint-Jean-de-Losne. Mais l’épineuse « querelle de Bourgogne » subsiste. Le traité de Madrid (1526), conséquence de la défaite lors de la bataille de Pavie livre la Bourgogne à Charles Quint. Les États de Bourgogne, réunis le 3 juin 1526, et les États particuliers refusent de ratifier le traité et affirment leur volonté de « demeurer perpétuellement soubz la très noble et très heureuse couronne de France. » Il faut attendre les traités de Crépy (1544) et du Cateau-Cambrésis (1559), pour obtenir le renoncement dernier de Charles Quint à ses droits sur le duché. Seul le Charolais reste à la maison d’Autriche. En 1678, le traité de Nimègues consacre le rattachement définitif de la Franche-Comté à la France et la Bourgogne cesse définitivement d’être une province frontière.

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La Bourgogne annexée

Posté par othoharmonie le 14 septembre 2012

Entre Charles le Mauvais et Jean le Bon, les deux prétendants au duché, l’un roi de Navarre et l’autre de France (le premier ayant aussi prétendu au trône du second), c’est le vaincu de Poitiers qui a la faveur des Bourguignons. Jean de Boulogne, son ami Fresque du « Dict des trois morts et des trois vifsintime, président du Conseil ducal, prépare le règlement de la succession à son profit. Par lettres patentes, le roi déclare succéder à Philippe par droit d’héritage et rattache la Bourgogne à la couronne. Toute opposition découragée, Jean le Bon peut prêter serment à Saint-Bénigne le 28 décembre 1361 et les États de Bourgogne tiennent une réunion solennelle. Le roi quitte la Bourgogne et confie à Jean de Tancarville le soin de régler les affaires. Sans heurt, le roi de France vient d’annexer le duché. Mais la Bourgogne ne glisse pas dans le sein de l’unité française. Selon les fermes paroles prononcées par les États en réunion solennelle, « le duché entend rester duché et ne veut pas devenir une province qui tombe dans le domaine royal, [...] ». Renonçant à donner la Bourgogne à la couronne, l’idée de refaire un duc de Bourgogne germe dans l’esprit du roi. Par un acte tenu secret, passé avec son beau-frère, l’empereur Charles IV de Luxembourg, le roi obtient de l’empereur, pour son fils Philippe dit Le Hardi, l’investiture de la Franche-Comté, fief de mouvance germanique. L’acte impérial trahit les projets de son père. L’installation de Philippe dans le duché est chose décidée, il lui est donné en apanage quelques mois plus tard. Les Grandes Compagnies ravagent toujours le duché. Le 6 avril 1362 Jacques de Bourbon, auxiliaire de Tancarville, subit contre ces routiers, à la bataille de Brignais une retentissante défaite. Les États de Bourgogne refusent à Tancarville les aides nécessaires. Le roi le destitue et donne le 27 juin 1363 la lieutenance générale du duché à son fils Philippe II de Bourgogne, lui laissant le soin d’éliminer les bandes d’aventuriers. Pressé de faire la preuve de son efficacité le fils de Jean le Bon convoque le 3 juillet 1363 les États de Bourgogne, qui lui accordent les aides refusées à Tancarville. La voie est toute tracée pour faire de Philippe un nouveau duc de Bourgogne.

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Mes compagnons à 4 pattes

Posté par othoharmonie le 14 septembre 2012

Sous l’oeil adressant de leur maîtresse, mes compagnons ont bien voulu poser une nouvelle fois pour mon plus grand plaisir….

 

Tout d’abord voici Louxor :

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Sous l’oeil attendrissant de mon gros Radjah

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Et mon petit Domino, qui lui, à part renifler les herbes, ne se prête pas du tout à la dégustation !

 

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MERCI A VOUS D’ETRE LA LES PETITS AMIS !!

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