Atteindre le Bonheur…
Posté par othoharmonie le 16 septembre 2012
Ce que nous ne devons jamais oublier…
Si nous voulons sans cesse devenir plus heureux et plus prospères, nous ne devons pas oublier un seul instant :
— que les pensées sont des choses, et les choses des pensées manifestées : que, par conséquent si nous désirons de bonnes choses, il nous faut nourrir de bonnes pensées ;
— que nous sommes poussés à devenir ce que nous pensons avec prédilection, étant donné que chaque pensée tend à se réaliser ;
— que la santé de notre corps et de notre âme dépend de nos pensées et de nos sentiments, et qu’il n’est pas de meilleur remède que la pensée et le sentiment de la vérité, de l’amour et de la confiance ;
— que notre vie est telle que nous la voyons et que chacun trouve toujours ce qu’il cherche et attend ;
— que rien ne nous atteint qui ne soit conforme à quelque disposition de notre nature, et que toutes nos expériences ne sont que des reflets de nos pensées ;
— que chacune de nos pensées contribue à former notre destin ou le destin d’un autre, dans le bien comme dans le mal, et que nous assumons ainsi une responsabilité, d’autant plus large que nous sommes davantage conscients de nous-mêmes ;
— que chaque pensée de haine, d’envie, d’amertume ou d’égoïsme augmente les difficultés et les misères de tous et contribue à les prolonger ;
— que, par contre, le bonheur s’approche de nous et de nos semblables si nous affirmons le bien de tout et l’espérons ;
— que les choses sont par elles-mêmes sans influence sur nous, mais seulement par l’idée que nous nous faisons d’elles ;
— que nos pensées font notre peine ou notre joie, et ainsi le choix de nos pensées décide de notre bonheur ou de notre malheur ;
— qu’il importe d’être toujours en éveil car il n’est rien qui soit indifférent pour nous et que notre devoir ne soit pas d’améliorer ;
— que le monde est toujours tel qu’il nous apparaît : ainsi l’âme lumineuse voit le monde ensoleillé, tandis que pour l’âme morose, le même monde semble plongé dans les ténèbres ;
— que la sérénité d’âme, maintenue en toutes circonstances, triomphe facilement des difficultés, et arrive plus vite au but que l’humeur sombre et craintive ;
— que la sérénité d’âme est la conséquence naturelle d’un mode de penser lumineux, et que, par conséquent, nous ne saurions mieux faire que d’accueillir en nous les pensées claires et joyeuses ;
— que chaque pensée lumineuse attire à nous des amis et des circonstances favorables, et écarte les pierres de notre chemin ;
— que la pauvreté et la misère que nous voyons autour de nous doivent d’abord être abolies en pensée et changées en esprit, et que nous devons reconnaître et affirmer le bonheur et la richesse comme un droit héréditaire et les seules réalités ;
— qu’ainsi, si nous voulons modifier des conditions pénibles, nous ne devons pas commencer par les circonstances extérieures qui sont des effets, mais remonter aux causes et changer d’abord notre manière de voir les choses, car les choses ne sont en elles-mêmes ni bonnes ni mauvaises, c’est notre pensée qui les fait fastes ou néfastes ;
— qu’il n’est pas de mal inévitable, parce qu’un mal, quel qu’il soit, cède devant le bien contraire si nous l’affirmons comme s’il était déjà là ;
— que chacun est l’artisan de sa destinée, s’il a appris à gouverner ses pensées, étant donné que l’homme est maître des circonstances dans la mesure où il est maître de lui!
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