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Le Rocher d’UZEL

Posté par othoharmonie le 9 septembre 2012


(Légende des bords de la Vilaine).

Le Rocher d'UZEL dans Connaître les PIERRES 220px-Saint-Senoux_-_Pl%C3%A9ch%C3%A2tel_gareLa gare de Pléchâtel-Lohéac, sur la ligne du chemin de fer de Rennes à Redon, est située au pied du rocher d’Uzel. Ce rocher était, sans contredit, le site le plus élevé et le plus sauvage des bords de la Vilaine avant le passage du chemin de fer, qui l’a fait disparaître en partie. Tout en haut s’élançaient de gigantesques pierres, ayant la forme d’une statue. Vers le milieu, existent encore des grottes naturelles où l’on voit, gravés sur le schiste des parois, les noms des promeneurs qui les ont visitées. Ces grottes à l’abord assez difficile autrefois, sont à peu près impraticables aujourd’hui.

C’est là, sur ce rocher, avant la construction du pont qui relie maintenant lacommune de Pléchâtel à celle de Saint-Malo-de-Phily, que nous fut racontée, il y a un demi-siècle par un vieillard, appelé Richomme, batelier chargé de transporter les passagers d’une rive à l’autre, la légende du Rocher d’Uzel.

I

Lors d’une croisade en Terre Sainte, un jeune homme de la paroisse de Pléchâtel fut un des premiers à s’enrôler.

C’était un pauvre cadet de famille, du nom de Louis du Plessis, qui n’avait rien à espérer de la succession de ses pères, et qui, pour ce motif, s’était vu refuser la main de la belle Jeanne de la Driennays, sa voisine.

Il habitait le manoir du Plessis-Bardoul, sur la rive gauche de la Vilaine, non loin du rocher d’Uzel, et celle qu’il aimait demeurait à la Driennays, de l’autre côté de la rivière, près du bourg de Saint-Malo-de-Phily.

Jeanne, elle aussi, aimait Louis. 

Les deux familles vivaient en bonne intelligence, et se voyaient fréquemment. Jeanne, fille unique, avait perdu sa mère de bonne heure et avait, pour ainsi dire, été élevée par Mme du Plessis.

L’amour des deux enfants était né presque en même temps qu’eux, et avait grandi avec les années.

Cependant, hélas ! le seigneur de la Driennays, riche et avare, n’entendait pas marier sa fille à un cadet de famille, et les jeunes gens comprirent qu’ils ne vaincraient jamais sa résistance, que les plus beaux raisonnements viendraient se briser contre l’entêtement du vieillard. Celui-ci avait, d’ailleurs, choisi pour gendre un gentilhomme des environs pour le moins aussi riche que lui.

Le chagrin des deux enfants était navrant et, sans les idées chrétiennes dont Louis était animé, il eut, certes, songé à en finir avec la vie. Aussi apprit-il, presque avec joie, la croisade projetée, et peut-être même espéra-t-il ne jamais revenir de Palestine.

Lorsqu’il fit part de sa détermination à sa famille, sa mère pleura à l’idée de se séparer de son fils ; mais cependant comme la cause qu’il allait défendre était noble et louable, elle ne chercha pas l’en détourner.

Son père lui fit don d’une longue rapière, fine lame qui avait été bénite autrefois par un saint de Bretagne, et qui était encore teinte du sang de l’ennemi.

Louis fit ses adieux à Jeanne et à son père et, après avoir pris congé des siens, partit suivi d’un jeune paysan qui, pour ne pas quitter son maître, lui proposa de l’accompagner en qualité d’écuyer.

Du reste, à cette époque des croisades, la foi était vive dans tous les cœurs.

II

Lorsque les troupes chrétiennes arrivèrent sous les murs de la Ville Sainte, un terrible combat s’engagea.

Les assiégés se défendirent si vaillamment que les croisés furent un instant forcés de se replier ; mais leurs chefs les rallièrent, relevèrent leur courage et la bataille recom mença. Cette fois les infidèles furent vaincus et s’enfuirent de toutes parts.

Louis du Plessis eut la douleur de voir son écuyer, atteint d’un javelot, mourir à ses côtés, tandis que lui semblait être invulnérable. Au plus fort de la mêlée où il s’était résolument avancé, sa flamberge faisait merveille. Les infidèles reculaient épouvantés devant cette terrible lame qui tuait son homme à chaque coup.

Le jeune Breton venait de transpercer un Sarrasin qui, en tombant par terre, eut encore le courage de le mordre à la jambe. Notre guerrier se retourna et lui enfonça, de toute sa force, son épée au travers du corps. Malheureusement, l’arme rencontra un caillou et se brisa par la moitié.

Il ne restait à Louis qu’un tronçon d’épée qui ne pouvait guère lui être utile pour se défendre. Au même instant, un rire satanique partit à ses côtés et il vit s’avancer vers lui un grand gaillard, noir comme un nègre, qui semblait le défier par son air insolent.

Louis, exaspéré de son accident et de l’ef fronterie de ce homme, prit son épée par le tronçon et voulut en asséner un coup sur la tête de son ennemi. Mais il lui suffit de diriger du côté du Sarrasin la poignée de son arme, qui représentait une croix bénite par un saint de l’Armor, pour que l’infidèle tombât à la renverse en poussant un cri de rage.

Du Plessis s’avança vers lui, s’empara de ses armes, le garrotta et lui dit: « Je te laisse la vie, suis-moi. Mon écuyer vient d’être tué, tu le remplaceras. »

L’homme noir ne se le fit pas dire deux fois ; il se releva et accompagna son maître d’un air soumis.

La guerre terminée, Louis revint dans son pays avec son écuyer. D’une soumission à toute épreuve, et même d’un dévouement incroyable, ce fut le Sarrasin qui, le premier, demanda à ne pas se séparer de son maître.

De retour en Bretagne, aussi pauvre qu’à son départ, Louis sentit renaître ses chagrins en apprenant que le mariage de Jeanne était décidément arrêté, et qu’il allait avoir lieu bientôt. 

Pour s’étourdir, Louis, toujours suivi de son fidèle écuyer, chassait du matin au soir, sous le soleil ou la pluie. Rien ne l’arrêtait. La fatigue ne semblait pas avoir de prise sur lui : il partait au lever du jour et ne rentrait que tard dans la nuit.

Triste et malheureux, il laissait souvent son cheval errer à l’aventure au milieu des bois, ne s’apercevant pas que l’animal s’arrêtait pour paître l’herbe, ou dérober les pousses des jeunes arbres. Parfois, au contraire, il enfonçait les éperons dans le ventre de sa bête et lui faisait faire des courses folles, sans but, en dépit des obstacles nombreux qui surgissent, à chaque pas, dans un pays de forêts, de coteaux, de rivières. Les paysans se signaient en voyant ce cavalier passer comme un ouragan, suivi de son écuyer noir qui ne le quittait pas plus que son ombre ; les femmes et les enfants se cachaient à leur approche.

Un autre que le Sarrasin n’aurait pu résister à ce genre de vie. Indifférent à tous les caprices de son maître, il semblait posséder un don surhumain pour affronter les mêmes périls et, dans ses courses, ne jamais le quitter d’une semelle. Cette existence paraissait même lui plaire car, plus d’une fois, lorsque Louis arrivait au paroxysme du chagrin et commençait une course insensée, les yeux du valet lançaient des éclairs et un sourire plissait ses lèvres.

Quel motif pouvait donc le rendre joyeux devant l’atroce souffrance du pauvre garçon ?

III

rocher dans Connaître les PIERRESC’était la fin de l’automne, l’époque des jours courts et brumeux. Le mariage de Jeanne était proche, et la tristesse de Louis augmentait.

Un soir qu’il revenait de la chasse, plus morose, et plus malheureux que jamais, son domestique rompit le silence le premier — ce qu’il n’avait pas encore fait — et dit :

— Maître, j’ai une communication à vous faire.

— Parle, répondit Louis, distrait.

— Je ne puis le faire ici. Il faut que vous vous laissiez conduire par moi quelque part. 

— Marche, je te suis.

Le Sarrasin s’en alla à travers les landes où de grandes pierres grises, ressemblant à des croix, se dressaient au-dessus des ajoncs.

S’approchant de l’une de ces pierres, qui sembla reculer devant lui, un souterrain apparut sous les pieds de l’homme noir qui y descendit après avoir allumé une lanterne qui se trouvait placée dans une cavité de mur.

Louis, sans hésiter, le suivit. Ils marchèrent d’abord dans la boue, car l’eau suintait le long des roches. Bientôt ils gravirent plusieurs escaliers étroits et rapides, puis arrivèrent enfin dans une chambre ressemblant à la demeure d’un sorcier.

Il y avait une forge dans un coin, et sur une table des instruments de toutes sortes et de toutes formes. Des pépites d’or étaient sur un fourneau et des pièces du même métal brillaient çà et là.

Louis, de plus en plus surpris, dit enfin à l’homme noir :

— Où sommes-nous ici ?

— Dans une arrière-grotte du rocher d’Uzel. 

— Chez qui ?

— Chez moi.

— À qui cet or ?

— À toi si tu le veux. (C’était la première fois qu’il tutoyait son maître.)

— Qui donc es-tu ?

— Satan.

Louis, un peu troublé à cette réponse, se remit cependant et reprit :

— Et que veux-tu que je fasse de cet or?

— Porte-le au vieil avare de la Driennays, afin de devenir son gendre.

— Qui t’a dit que j’aimais Jeanne ?

— Je l’ai deviné.

Louis du Plessis contemplait ces tas d’or et se disait : « C’est vrai, avec cela je pourrais sans doute l’épouser. »

— Quelles sont tes conditions ? demanda le pauvre amoureux, qui supposait bien que le diable ne lui donnerait pas son or gratuitement.

— Prends cette fortune, répondit Satan, fais-en ce que tu voudras ; mais épouse Jeanne qui, dans dix ans, cessera d’être ta femme parce qu’elle m’appartiendra, et je viendrai la chercher ici, sur le haut de ce rocher.

— Tais-toi, misérable ! Jeanne t’appartenir ! Oh ! jamais, jamais ! Garde ton or, et laisse-moi sortir d’ici.

Satan toucha une pierre qui tourna aussitôt sur elle-même, et laissa pénétrer une bourrasque de vent. Louis sortit, et se trouva dans les grottes connues du rocher d’Uzel.

— Tu as huit jours pour réfléchir, lui cria le diable ; ce délai expiré, tu ne me verras plus. Pendant huit nuits je t’attendrai au pied du rocher.

À partir de ce moment, le Sarrasin ne reparut pas au Plessis, mais Louis le rencontra souvent dans ses promenades solitaires. Lorsque ce dernier songeait aux monceaux d’or de la grotte, Satan lui apparaissait immédiatement, tantôt à califourchon sur un talus, tantôt assis au pied d’un arbre, dans les clairières du bois, ou bien encore adossé aux pierres grises des landes. Partout il le trouvait, presque au même instant, dans les endroits les plus opposés.

IV

Le hasard fit que Louis et Jeanne se rencontrèrent dans la campagne. Tous les deux furent l’un vers l’autre, sans lever les yeux. Tout à coup la jeune fille se mit à fondre en larmes et voulut s’éloigner. Louis lui prit la main qu’il serra dans les siennes.

En voyant les pleurs de Jeanne tomber dans la poussière du chemin, il pleura à son tour en lui racontant ses chagrins, ses souffrances, ses tortures et, enfin, sa visite au rocher d’Uzel.

La jeune fille, tout d’abord effrayée de ce récit fantastique se remit promptement et dit à Louis : « Dieu, qui nous voit, ne permettrait pas que sa fille devînt la proie du diable. Accepte, mon ami, puisque c’est le seul moyen qui nous est offert. Nous saurons, par des prières, déjouer les projets du malin esprit. »

Et les deux jeunes gens se quittèrent dans la crainte d’être aperçus. 

La journée parut longue à Louis qui, ce jour-là, ne rencontra pas Satan, et se vit obligé d’attendre la nuit.

L’heure arriva enfin ; mais lorsque ce moment fut venu, Louis épouvanté de l’engagement qu’il allait prendre, n’osait plus avancer. Il se disait, pour ranimer son courage près de défaillir : « Dix ans de bonheur ! c’est long et séduisant. Puis Dieu ne permettrait pas, comme l’a dit Jeanne, qu’une femme pieuse et bonne devînt la proie du diable. »

Malgré tous ces raisonnements il ne pénétra qu’en tremblant dans les grottes du rocher, en se déchirant aux ronces et aux épines qui en obstruaient les abords.

Satan l’attendait. Que se passa-t-il entre eux ? On l’ignore. Toujours est-il que Louis en sortit vieilli de dix ans, les cheveux presque blancs, mais le dos ployant sous des sacs énormes.

Dès le lendemain matin, il se rendit chez M. de la Driennays pour lui apprendre qu’il avait apporté de Palestine un trésor immense, qui lui permettrait d’acheter, s’il le voulait, les paroisses entières de Pléchâtel et de Saint-Senoux, et il fit voir tant d’or au vieillard que celui-ci, ébloui, lui sauta au cou, l’appela son cher gendre, et congédia le galant qui avait ses entrées dans la maison.

Le mariage eut lieu un mois plus tard.

V

Les jeunes époux auraient été les plus heureux du monde, sans la date néfaste qui les préoccupait sans cesse.

Deux beaux enfants, nés de cette union, avaient seuls le privilège de faire sourire leur père, de plus en plus affecté à mesure que les jours, les mois, les années s’envolaient.

Jeanne était plus calme. Elle pria son mari de lui faire construire une chapelle sur l’un des coteaux qui avoisinent le bourg de Saint-Malo-de-Phily. Aussitôt qu’elle fut construite, elle la fit bénir et mettre sous la protection de la Vierge. 

La jeune châtelaine s’y rendait chaque jour, accompagnée de ses deux enfants, pour prier la mère du Christ de ne pas l’enlever aux deux petits êtres qui avaient tant besoin d’elle.

Le moment terrible approchait et Louis, aussi triste qu’à son retour de la Terre Sainte, recommença ses promenades, ses chasses et ses courses échevelées jusqu’au jour où il aperçut Satan assis au pied des pierres grises des landes. Alors il n’osa plus sortir de peur de le rencontrer.

Hélas ! les dix années expirèrent. Jeanne effrayée à son tour, car elle aussi avait vu le démon rôdant près du castel, s’en alla de nouveau se jeter aux pieds de la Vierge afin de la prier de ne pas l’abandonner dans un pareil moment.

Qu’on juge de son étonnement, de sa surprise, de sa joie lorsqu’elle vit la statue de Marie s’animer, descendre de l’autel, et qu’elle l’entendit lui dire : « Jeanne, je viens à ton secours. Dans un instant j’aurai chassé le mauvais ange de la terre, et alors tu pourras sortir d’ici sans aucune crainte. »

De la taille de Jeanne, et avec des vêtements pareils à ceux de la jeune femme, elle sortit de la chapelle et regarda où pouvait être Satan. Elle l’aperçut sur le haut du rocher d’Uzel qui la guettait comme un hibou guette une souris. Il était là, les bras croisés, qui la regardait venir d’un air joyeux.

Il ne se doutait guère du sort qui l’attendait.

La Vierge descendit le coteau jusqu’au bord de la rivière, détacha elle-même le bateau amarré au rivage, et le dirigea vers l’autre rive sans le secours de personne.

Le diable, émerveillé de son adresse, ne la quittait pas des yeux.

Elle sortit du bateau et gravit le rocher d’Uzel. Un voile cachait son visage.

Arrivée presqu’au sommet, elle releva ce voile et étendit la main vers le démon.

En reconnaissant la mère du Christ, Satan jeta un cri de désespoir, de terreur et de rage. Pour fuir, il se transforma en serpent et voulut se sauver dans les broussailles. Peine inutile, la Vierge, plus prompte que lui, de son pied lui écrasa la tête.

Elle revint ensuite à la chapelle informer Jeanne, restée en prières, qu’elle pouvait retourner près des siens pour les rassurer et les consoler en leur apprenant qu’ils étaient débarrassés de leur ennemi.

À partir de ce jour, la vie de cette pieuse famille s’écoula à bénir leur bienfaitrice, et à distribuer en aumônes le trésor du diable.

Jusqu’au jour où le chemin de fer est venu faire abattre le rocher d’Uzel, la cime élancée de ce roc représentait une Vierge. Les vieilles gens du pays vous l’affirmeront, et, si vous leur montrez l’image de la Vierge, un serpent sous les pieds, tous vous diront : « C’est Notre-Dame du Mont-Serrat écrasant le Sarrasin. »

Adolphe ORAIN

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La Roche aux fées

Posté par othoharmonie le 8 septembre 2012

 

La Roche-aux-fées est un dolmen en forme d’allée couverte situé dans la commune d’Essé, dans le département français d’Ille-et-Vilaineen région Bretagne. Son nom vient d’une légende prétendant que les pierres auraient été apportées par des fées.

Le dolmen est composé de plus d’une quarantaine de pierres formant une couloir quatre fois plus long que large. Son orientation est telle que le soleil se lève dans l’alignement de celui-ci lors du solstice d’hiver.

C’est un des mille premiers monuments historiques classés en France et un des quatre situé en Ille-et-Vilaine.

La Roche aux fées dans Connaître les PIERRES 640px-La_Roche_aux_F%C3%A9es_dscf7439-7489

Légendes et croyances

Plusieurs légendes et croyances ont pour sujet la Roche-aux-Fées.

Plusieurs croyances portent sur le nombre de pierres du monument qui varierait sans cesse. Une croyance en particulier veut que les jeunes mariés doivent compter le nombre de pierres en faisant le tour du dolmen chacun de son côté ; s’ils obtiennent le même nombre alors leur union sera durable.

Il est aussi dit que « celui qui détruira le dolmen d’Essé mourra dans l’année ».

Il existe aussi une croyance qui fait de la structure le tombeau d’un général romain. Un ingénieur géographe du xviiie siècle indique :

« Les gens des environs veulent que ce soit un ancien temple des Fées, pour lesquelles leurs ancêtres avoient beaucoup de vénération ; opinion ridicule, mais peu étonnante, si l’on fait attention que ce sont des paysans les plus grossiers qui pensent ainsi. […] Les gens sensés croient que ce monument est le tombeau d’un Général Romain. »

— Jean-Baptiste OgéeDictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne

En 1904, Adolphe Orain en donne une description en introduction de son conte La Fée des Houx. Dans ce conte reprenant le thème de la boîte de Pandore, la Fée des Houx, un bucheron et sa femme enterrent un pot à l’intérieur de la Roche-aux-Fées. Dans d’autres légendes, un paysan trompe une fée soit en utilisant un crible soit en se nommant « moi-même » (comme Ulysse se nomme « personne » devant Polyphème).

Aucune fouille archéologique approfondie n’a été menée. L’époque exacte de la construction est donc inconnue. Elle se situe probablement autour du Néolithique. Des fouilles clandestines ont été effectuées par des paysans à la fin du xviiie siècle mais aucune découverte n’a été rapportée.

Une des toutes premières attestations est celle de l’abbé Roussel en 1752 :

« Il y en a une d’une grandeur prodigieuse dans la paroisse d’Essé à 5 ou 6 lieues de Rennes »

— Abbé Roussel, 1752

320px-LaRocheAuxFees_Dolmen_2_20070408 dans Connaître les PIERRESLe régiment d’Orléans dragons aurait fait la fête ainsi qu’un feu dans le dolmen en 1789 abimant ainsi le dessous des dalles de couvertures.

Depuis la première moitié du xixe siècle, le site a fait l’objet de plusieurs visites par des sociétés d’archéologie locales, principalement la Société Archéologique d’Ille-et-Vilaine qui a publié plusieurs rapports et comptes-rendus. Le site devient touristique et vers 1855, des étrangers (des anglais selon divers témoignages) détériorent la pierre supérieur du trilithe d’entrée.

C’est un des 1034 monuments historiques classés dans la première liste de 1840 et un des quatre situé en Ille-et-Vilaine

Le monument se situe sur la commune d’Essé, en Ille-et-Vilaine, à une trentaine de kilomètres au sud-est de Rennes. Le dolmen se trouve le long de la D 341 entre Essé et Retiers. Il est situe à trois kilomètres au sud-sud-est du bourg d’Essé à proximité du hameau de La Roche et de la ferme du Rouvray, non loin de la frontière avec commune du Theil-de-Bretagne. Il se situe à une altitude d’environ 70 m.

Alors que la plupart des dolmens du même type se trouve en Anjou, l’isolement de la localisation de la Roche-aux-Fées est une exception.

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Le petit Flocon

Posté par othoharmonie le 8 septembre 2012

Le Petit Flocon

Contes et Histoires

Auteur Un-connu

La nuit est tombée sur la montagne. La lune brille, dans un ciel de velours noir, entourée de ses amies les étoiles. Elles veillent toutes ensemble sur le sommeil des sapins, des chamois, des marmottes… et des hommes, petits et grands, endormis bien au chaud dans le chalet caché sous la neige.
Tout est calme… Plus un bruit ne résonne…

Le petit Flocon dans Beaux textes flocons-neige-300x199Plus un bruit ?
Mais alors quel est ce son léger, étouffé qui semble tomber du ciel ?

C’est un petit flocon de neige, accroché là-haut à son nuage, qui pleure.
Toute la journée, il a regardé ses amis voler, tournoyer dans le ciel, puis se laisser tomber doucement, portés par un souffle d’air, sur le sol. Il les a entendus rire, crier leur joie.

Il les a vus courir après le vent, puis jouer avec les enfants de la montagne. Il les a regardés encore se laisser attraper, embrasser par les petites bouches vermillon, caresser par les menottes emmitouflées. Qu’il aurait aimé les rejoindre !!! Surtout en fin d’après-midi, lorsque les enfants ont rassemblé tous les flocons pour confectionner le magnifique bonhomme de neige, coiffé d’un bonnet bleu et nanti d’un si long nez orange, qui garde maintenant le jardin.

Mais lui est resté seul, sur son nuage. À présent, il est triste. Il pleure…
Soudain, la nuit devient plus lumineuse. C’est la lune qui s’approche, s’approche, et demande d’une voix douce…

« Mais qu’as-tu donc, petit flocon, pour être si triste ?
– Oh, Dame la Lune, je pleure parce que je suis seul. Mes amis sont tous partis, là-bas, dans la montagne.
– Pourquoi ne les as-tu pas accompagnés ?
– Je n’ai pas osé !
– As-tu peur de quitter ton nuage ?
– Non, non.
– As-tu peur alors de ne pas savoir voler ?
– Non, non, ce n’est pas ça !
– Mais alors, je ne comprends pas. Explique-moi ! »

Dame la Lune le regarde si gentiment, avec tant de douceur que le petit flocon de neige se décide à tout lui expliquer : voilà, il est un peu plus gros, un peu plus épais que tous ses camarades. Tout rond, il ne ressemble à aucun flocon de neige. Tous ses camarades étaient fins, ciselés comme de la dentelle. Et beaucoup s’étaient moqués de sa forme bizarre, jamais vue au pays des neiges. Il avait donc pris l’habitude de bien demeurer caché tout au fond du nuage duveteux.

Mais les flocons ont grandi et aujourd’hui était venu le jour du grand envol. Tous avaient quitté avec joie le nuage, heureux de connaître l’ivresse des airs. Tous, sauf lui, qui n’avait pas voulu montrer à nouveau sa forme inhabituelle, lui qui n’avait pas voulu subir encore les moqueries de ses camarades. Alors, il était resté là, solidement accroché au rebord de son nuage.

« Mais, lui dit la Lune, tous les flocons de neige sont différents. Comme mes amies les étoiles : quand on les regarde de loin, on trouve qu’elles se ressemblent. Mais dès qu’on s’approche, on remarque à quel point chacune est différente, unique. Il en est de même pour tous tes camarades.

Et toi aussi petit flocon, tu es unique. C’est ta différence qui fait de toi quelqu’un de précieux.
Alors, ne crains pas de te montrer ! Sois fier de ce que tu es : un flocon extraordinaire ! »

À ces mots, le petit flocon a séché ses larmes. Il s’est redressé. Il a regardé son nuage, puis la montagne enneigée… Il a respiré profondément… Et après un dernier sourire à la Lune, il s’est élancé… a tourbillonné dans les airs, goûté la joie de se sentir libre et léger… avant de venir se poser… là, juste sur le bout du nez du bonhomme de neige.

Sous le regard attendri de la lune, dans le froid de la nuit étoilée, petit flocon brille, brille de mille feux, tel un diamant car il sait désormais qu’il est précieux parce qu’…  UNIQUE.

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La petite fille aux allumettes

Posté par othoharmonie le 8 septembre 2012

La petite fille aux allumettes

Contes et Histoires

Andersen

La petite fille aux allumettes dans Méditation fille-260x300Il faisait effroyablement froid ; il neigeait depuis le matin ; il faisait déjà sombre ; le soir approchait, le soir du dernier jour de l’année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue : elle n’avait rien sur la tête, elle était pieds nus.

Lorsqu’elle était sortie de chez elle le matin, elle avait eu de vieilles pantoufles beaucoup trop grandes pour elle. Aussi les perdit-elle lorsqu’elle eut à se sauver devant une file de voitures ; les voitures passées, elle chercha après ses chaussures ; un méchant gamin s’enfuyait emportant en riant l’une des pantoufles ; l’autre avait été entièrement écrasée.

Voilà la malheureuse enfant n’ayant plus rien pour abriter ses pauvres petits petons. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes : elle en tenait à la main un paquet.

Mais, ce jour, la veille du nouvel an, tout le monde était affairé ; par cet affreux temps, personne ne s’arrêtait pour considérer l’air suppliant de la petite qui faisait pitié. La journée finissait, et elle n’avait pas encore vendu un seul paquet d’allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se traînait de rue en rue.

Des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières : de presque toutes les maisons sortait une délicieuse odeur, celle de l’oie, qu’on rôtissait pour le festin du soir : c’était la Saint Sylvestre. Cela, oui, cela lui faisait arrêter ses pas errants.

Enfin, après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d’allumettes, l’enfant aperçoit une encoignure entre deux maisons, dont l’une dépassait un peu l’autre. Harassée, elle s’y assied et s’y blottit, tirant à elle ses petits pieds : mais elle grelotte et frissonne encore plus qu’avant et cependant elle n’ose rentrer chez elle. Elle n’y rapporterait pas la plus petite monnaie, et son père la battrait.

L’enfant avait ses petites menottes toutes transies. « Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts ? » C’est ce qu’elle fit.

Quelle flamme merveilleuse c’était ! Il sembla tout à coup à la petite fille qu’elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d’ornements en cuivre. La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s’éteignit brusquement : le poêle disparut, et l’enfant restait là, tenant en main un petit morceau de bois à moitié brûlé.

Elle frotta une seconde allumette : la lueur se projetait sur la muraille qui devint transparente. Derrière, la table était mise : elle était couverte d’une belle nappe blanche, sur laquelle brillait une superbe vaisselle de porcelaine. Au milieu, s’étalait une magnifique oie rôtie, entourée de compote de pommes : et voilà que la bête se met en mouvement et, avec un couteau et une fourchette fixés dans sa poitrine, vient se présenter devant la pauvre petite. Et puis plus rien : la flamme s’éteint.

L’enfant prend une troisième allumette, et elle se voit transportée près d’un arbre de Noël, splendide. Sur ses branches vertes, brillaient mille bougies de couleurs : de tous côtés, pendait une foule de merveilles. La petite étendit la main pour saisir la moins belle : l’allumette s’éteint. L’arbre semble monter vers le ciel et ses bougies deviennent des étoiles : il y en a une qui se détache et qui redescend vers la terre, laissant une traînée de feu.

« Voilà quelqu’un qui va mourir » se dit la petite. Sa vieille grand-mère, le seul être qui l’avait aimée et chérie, et qui était morte il n’y avait pas longtemps, lui avait dit que lorsqu’on voit une étoile qui file, d’un autre côté une âme monte vers le paradis. Elle frotta encore une allumette : une grande clarté se répandit et, devant l’enfant, se tenait la vieille grand-mère.

– Grand-mère, s’écria la petite, grand-mère, emmène-moi. Oh ! tu vas me quitter quand l’allumette sera éteinte : tu t’évanouiras comme le poêle si chaud, le superbe rôti d’oie, le splendide arbre de Noël. Reste, je te prie, ou emporte-moi.

Et l’enfant alluma une nouvelle allumette, et puis une autre, et enfin tout le paquet, pour voir la bonne grand-mère le plus longtemps possible. La grand-mère prit la petite dans ses bras et elle la porta bien haut, en un lieu où il n’y avait plus ni de froid, ni de faim, ni de chagrin : c’était devant le trône de Dieu.

Le lendemain matin, cependant, les passants trouvèrent dans l’encoignure le corps de la petite ; ses joues étaient rouges, elle semblait sourire ; elle était morte de froid, pendant la nuit qui avait apporté à tant d’autres des joies et des plaisirs. Elle tenait dans sa petite main, toute raidie, les restes brûlés d’un paquet d’allumettes.

– Quelle sottise ! dit un sans-cœur. Comment a-t-elle pu croire que cela la réchaufferait ? D’autres versèrent des larmes sur l’enfant ; c’est qu’ils ne savaient pas toutes les belles choses qu’elle avait vues pendant la nuit du nouvel an, c’est qu’ils ignoraient que, si elle avait bien souffert, elle goûtait maintenant dans les bras de sa grand-mère la plus douce félicitée.

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qu’est-ce que l’éveil

Posté par othoharmonie le 7 septembre 2012

 

L’éveil c’est cela : se souvenir (de ce) que nous sommes.

qu'est-ce que l'éveil dans Etat d'être VPCRPHM465-1Mais cette expérience, la rencontre avec nous-mêmes, avec Cela, avec la nature de l’esprit qui est spacieuse et lumineuse, ne peut pas être provoquée. Si cette expérience pouvait être provoquée, alors Cela, la vacuité, dépendrait de quelque chose qui n’est pas Cela, et c’est impossible vu qu’en réalité seul Cela existe. Donc, rencontrer des grands maîtres, lire des textes qui traitent de la vacuité, effectuer des pratiques spirituelles, méditer, etc, ne peut en aucun cas nous permettre de réaliser Cela, ni nous empêcher de réaliser Cela.

La réalisation de Cela ne dépend que de Cela. Alors pourquoi pratiquer, si notre pratique ne peut en aucun cas être la graine dont le fruit sera la réalisation de Cela ? Il n’y a pas de raison. Mais si nous pratiquons, tout en sachant qu’il n’y a fondamentalement aucune raison de pratiquer ni de ne pas pratiquer, alors, en pratiquant avec cet état d’esprit, nous serons parfaitement décontracté, non tendu vers un but situé dans l’avenir, léger, et notre pratique deviendra alors ce que l’on peut appeler une pratique parfaitement pure. La meilleure chose est d’offrir notre pratique au divin avec le même esprit qu’un petit enfant qui offre un dessin à sa maman : il sait bien que ça ne va rien changer ni à sa vie ni à celle de sa mère ; il le fait simplement car il aime sa maman.

« Celui qui, délaissant le Spontané, se consacre au nirvana, d’aucune manière n’accède au Sens ultime. Comment en s’attachant à quelque chose obtiendra-t-on la délivrance ? Sera-t-on délivré par la méditation ? A quoi servent les bougies ? A quoi bon les offrandes, qu’accomplit-on à l’aide des formules ? A quoi bon les austérités, à quoi bon les pèlerinages ? Peut-on atteindre la délivrance en se plongeant dans l’eau ? Laisse là tout attachement, renonce aux contraires illusoires. Il n’y a rien d’autre que la parfaite connaissance de « Cela ». Quand la conscience s’éveille, tout est Cela. » (Sahara

Certaines personnes pratiquent du matin au soir et du soir au  matin : offrandes, mantras, etc. Mais ces pratiques sont effectuées par l’ego et pour l’ego. Elles permettent ni plus ni moins que l’amélioration de ce dernier. Grâce à ces pratiques, notre ego va devenir beau, fort, etc. Ce qui n’a rien à voir avec le maître authentique, la religion authentique, la voie et la pratique authentiques. Lâcher-prise à l’ego, afin que celui-ci passe à l’arrière plan et que le bouddha  (qui est le maître véritable) passe au premier plan, voilà la vraie pratique, voilà la voie authentique, la religion authentique. (Hélas, c’est généralement lorsque nous sommes dans une situation extrêmement inconfortable – confrontés à la mort et à la souffrance – que l’ego se retire et que le bouddha pense à travers notre esprit, parle à travers notre bouche et agit à travers notre corps).

Si l’ego passe au second plan et le bouddha au premier plan, alors tout ce que nous ferons, dirons ou penserons sera véritablement saint, sera véritablement une méditation. Autrement, même si nous récitons un milliard de mantras, que nous pratiquons intensivement durant des années et des années, nous n’obtiendrons aucun résultat digne de ce nom. En effet, de même que les petits enfants sont capables de jouer au policier, au voleur, au docteur… et au religieux, de même notre ego peut jouer tous ces rôles. Mais il ne peut « que » jouer ces rôles, faire semblant ; il ne peut pas se comporter véritablement comme un policier, un docteur, etc. De même, notre ego ne peut que faire semblant de pratiquer, seul le bouddha qui est en nous peut pratiquer pour de vrai.[13]

Nous devons savoir que le désir de pratiquer la méditation, de rencontrer des maîtres, d’avoir des expériences spirituelles, que ce désir est un obstacle à l’éveil. Tant que ce désir est là, l’éveil ne peut pas survenir. Le Bouddha de notre temps, Sakyamouni, avait un fort désir d’effectuer des pratiques spirituelles, jeûne, méditation, etc. Lorsque ce désir est tombé, il a obtenu l’éveil. Pour obtenir l’éveil, il suffit que le désir d’atteindre l’éveil soit supérieur aux autres désirs : désir de faire des pratiques spirituelles, désir de fonder une famille, désir de faire le tour du monde, etc.

On peut alors se demander pourquoi le Bouddha et ceux qui l’ont suivit ont toujours enseigné que pour atteindre l’Eveil, il faut aller voir un maître, suivre ses conseils, méditer, etc.

En effet, en agissant ainsi, nous renforçons la lutte : « si je mets en pratique les conseils du maître, je serai heureux, si je ne les mets pas en pratique, je souffrirai. Si je médite c’est bien ; si je ne médite pas, c’est mal, etc ». Et plus nous luttons, plus nous nous éloignons de notre état naturel et donc de la félicité, plus notre croyance erronée en l’existence du bien et du mal se renforce. Plus nous luttons pour ne pas souffrir et plus nous souffrons. Ce processus se poursuit jusqu’à ce que la situation devienne totalement insupportable. Alors instinctivement, nous lâchons prise, nous cessons de lutter… et la souffrance s’arrête.

Ce processus, qui est naturel, affecte tous les êtres sensibles. Le but de la religion et du maître en particulier, c’est d’accélérer ce processus, de l’intensifier, afin que nous en arrivions rapidement à être totalement écoeuré de lutter pour être heureux et ne pas souffrir. Le but de la religion et du maître ce n’est pas de résoudre nos problèmes, c’est de faire en sorte que ce soit nous qui résolvions nos problèmes. Et pour que nous puissions résoudre nos problèmes, il faut les voir clairement. Donc, le but de la religion et du maître, ce n‘est pas de diminuer nos problèmes, mais de les faire grossir afin que nous puissions bien les voir ! En effet, nous ne sommes pas capables de voir nos problèmes ; tout ce que nous sommes capables de voir c’est les conséquences de nos problèmes. En effet, il est impossible de voir ses problèmes sans voir la solution à ses problèmes, et vice et versa ![14]

 En somme, tant que nous cherchons à atteindre l’Eveil, nous souffrons ! 

[13] D’après Karl Renz, l’éveil surgit non pas « grâce » aux pratiques spirituelles que nous accomplissons, mais « malgré » ces pratiques. Lorsqu’il est questionné sur l’utilité de ces pratiques, voici ce qu’il répond. (Question d’un disciple) « Est-il nécessaire de faire un travail sur soi-même, de se développer (par exemple de travailler sur les aspects négatifs, etc.) ? Certains enseignants affirment que tout cela n’existe pas, que nous sommes entièrement libres, que rien ne doit être accompli. Qu’est-ce que cela signifie ?

(Réponse de K. Renz) C’est exact. Pour être ce que tu es, ni travail ni développement ne sont requis. Toutes les notions de voie, de développement et même de connaissance apparaissent avec la première pensée  » je « . Cette première idée crée le temps, l’espace et donc l’univers entier. Tant que cette pensée  » je « , qui signifie séparation, dualité, souffrance, apparaît réelle, le désir d’unité existe – et, avec lui, la recherche d’une porte de sortie – afin de mettre un terme à la souffrance. La première pensée erronée,  » je « , engendre la fausseté de tout ce qui s’ensuit. C’est pourquoi, seulement par la certitude absolue que l’on existe avant que la pensée  » je  » ne se manifeste (reconnaissant ainsi le faux comme tel et supprimant par ce moyen la racine de tout problème), peut-on être ce que l’on est. En étant ce que tu es, ou plus précisément, comme tu es, absolu, antérieur à tout et à rien, tous les concepts s’anéantissent. ».

[14] Jésus déclare : « Celui qui connaît la souffrance connaît aussi l’absence de souffrance. »

 

Retrouver le texte en son entier ici : http://www.terre-inconnue.ch/

 

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La saveur de la vie

Posté par othoharmonie le 7 septembre 2012

 par Guy Corneau …

La saveur de la vie dans Méditation dev-durable-tendances-logoIl est fort intéressant de se questionner sur le sens de ce qui nous arrive. Lorsqu’un organe est malade par exemple, il témoigne de l’intelligence de la vie en nous, de sa perfection même. Les symptômes et les malaises ont pour mandat de nous signifier que quelque chose ne va pas dans les attitudes que nous adoptons par rapport à nous-mêmes. Ils viennent en somme témoigner d’une désunion d’avec soi, les autres et la vie en général. L’important est donc de se mettre à l’écoute de la crise. Or bien des gens craignent de se mettre à l’écoute par peur de ce qu’ils vont trouver. Ils redoutent les culpabilités qui pourraient naître en eux en découvrant qu’il y a de nombreux rendez-vous manqués avec la créativité dans leur existence. Ils ne sont pas arrivés à déployer leurs goûts et leurs dons, se privant d’une source importante de joie.

Il y a une autre raison pour laquelle la recherche de sens dérange. C’est qu’elle nous oblige à opérer une bascule : passer de la victime abusée par le destin à la personne qui a créé inconsciemment ce qui lui arrive. 

La période de maladie peut ainsi en devenir une de recherche du sens enfoui dans le corps et de découverte des ressources inconnues dont nous disposons, en nous et autour de nous. Pour de nombreuses personnes, cet effort semble incommensurable. Mais peut-on arriver à quelque chose sans efforts et sans discipline ? 

Encore l’autre jour, je lisais un maître tibétain affirmant qu’il fallait œuvrer avec acharnement de vie en vie pour atteindre la libération.

Si cette quête de sens vous répugne, je peux vous donner un truc qui vous permettra de vous y prendre autrement. Le voici : ne vous préoccupez pas du tout du passé. Plongez dans l’instant présent. 

Quotidiennement, choisissez un état que vous ferez vibrer en vous et à partir duquel vous vous déploierez, la sérénité, la joie effervescente ou le calme intérieur par exemple. Vivez dans la conscience que vous êtes un être de lumière, un autre corps lumineux qui émane ses rayons comme le soleil. Ne vous préoccupez que de cela. Les résultats risquent de vous étonner. D’une part vous constaterez que l’état choisi vous 
soutient réellement. D’autres part, vous risquez de réaliser jusqu’à quel point vous êtes loin du compte. 

Ayant choisi le calme, vous vous verrez élever le ton. Ayant décidé pour la légèreté, vous retrouverez un cœur alourdi à la moindre contrariété. Voulant être lumière, un voile sombre s’abattra sur vous. Ne reculez pas, vous voici dans une réelle voie thérapeutique et spirituelle.

Bien entendu ces petits échecs vous mettent sur la piste des blessures que vous portez en vous et que vous pensez guéries. Comme je le disais, vous n’avez pas à vous en occuper. À l’évidence, elles s’occupent de vous ! Il sera bon alors de vous rappeler les paroles du maître indien Muktananda : « Une once de pratique vaut plus qu’une tonne de théorie. » En réalité, il ne sert à rien d’obséder sur la question du sens puisqu’à peu de choses près, il est toujours le même. Je m’explique. Il y a plus de deux ans que je suis sur la route à donner des conférences autour de mon dernier livre Revivre ! Pendant ces deux années, j’ai rencontré de nombreuses personnes qui avaient surmonté l’épreuve du cancer. L’essentiel de leur message se résumerait ainsi : « Moi avant la maladie et moi après, ce n’est pas la même personne. » Si vous leur demandez ce qui a changé, elles vous diront : « La saveur ! La vie a plus de saveur. J’ai le même partenaire et les mêmes enfants, j’ai toujours le même emploi, mais je goûte plus à tout. Je déguste la vie. » Les gens vous disent cela, peu importe leur degré de travail sur eux-mêmes ou sur le sens de leur maladie. Ils ont renoué avec le goût de vivre, un médicament puissant. Leur message à ceux qui sont en santé est : « N’attendez pas d’être malade pour revivre. N’attendez pas d’être malade pour vivre ! »

Alors, soyez lumière, soyez joie. Tenez-vous y. La lumière est la première manifestation de l’énergie en mouvement et nous sommes de l’énergie en mouvement. En fait, comme le dit si bien Hubert Reeves, nous sommes des poussières d’étoiles.

Visitez le Blog et découvrez toutes les activités de Guy Corneau en cliquant ici

 

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La nourriture spirituelle

Posté par othoharmonie le 6 septembre 2012

La nourriture spirituelle dans Channeling philo-decouverte-fortuiteNous sautons « du coq à l’âne », pour ainsi dire. « Kryeon, que dois-je manger, dans ma limitation 3-D, à titre de Phare de Lumière ? J’ai lu, vu et entendu, une multitude de suggestions ou obligations. Dois-je être végétarien, frugivore, carnivore, granola ou omnivore ? Devrais-je me nourrir seulement de « prana » ? Pourquoi me priverais-je de toutes ces expériences qui enrichissent l’âme, pendant que je suis en incarnation ? Que « should » dois-je faire pour honorer la Déesse ou le Dieu ? Que dois-je faire pour rendre honneur à ma « divinité » en incarnation ?

Bon nombre d’entre vous vont penser immédiatement à plusieurs écritures spirituelles qui disent : « Voici ce que devez faire [should do]. D’autres, moins spirituels, peuvent vous donner de la chimie pure, afin de nettoyer votre corps physique, alors que d’autres vous diront qu’il faut [should] suivre une diète pour être en santé. D’autres encore, vont s’accrocher à la tradition de votre héritage familial ou tenter de vous faire réfléchir sur le fait de manger de la viande animale. Alors, où est la vérité dans tout ceci ? Tout cela semble avoir une logique et un sens quelconque, selon plusieurs d’entre vous.

Chers Êtres Humains, quel est le but ? C’est d’être en santé physique, et en même temps, honorer la Déesse ou Dieu. La plupart d’entre vous diront : « Oui. » Très bien, il est maintenant temps de parler de la logique spirituelle. Commençons par une petite question de 2 sous. « Où, quand et comment, avons-nous établi « qui, quoi et comment » est Dieu ou la Déesse ? Réponse : « Dieu et la Déesse sont en vous. L’Énergie Créatrice est en vous. » Maintenant, prenons pour acquis que vous êtes, en partie, d’accord avec ce principe, cette réalité, alors, comment s’y prendre pour honorer ce plan divin qui est en vous ? La réponse est : « Restez en vie incarnée aussi longtemps que vous le pouvez ! Maintenez de la lumière sur cette planète, aussi longtemps que vous le pouvez. » Donc, comment pourrais-je donner un régime alimentaire sur ce que vous « devriez » [should] manger, alors que chacun de vous est unique et différent ? Comment quelqu’un peut-il parler d’un régime alimentaire qui est approprié à plus d’une personne ? Pourtant, il y en a qui le font.

Voici la réponse. À l’intérieur de chacun d’entre vous, il y a une chose qui s’appelle « innée ». Innée est « l’intelligence du corps ». Innée est l’énergie de la conscience du corps que vous utilisez quand vous faites un « test musculaire » [kinésie]. Innée sait ce qui se passe au niveau cellulaire de votre propre corps, ce que vous ne savez pas. Innée est la conscience de votre ADN lui-même. C’est la source ultime pour votre propre « conscience corporelle ». Innée connaît cette chose appelée ; héritage akashique. C’est la connaissance de ce que vous avez été, dans vos dites vies antérieures. Tous vos besoins et régimes alimentaires, qui vous permettront de vivre plus longtemps et en meilleure santé, sont basés sur une structure cellulaire qui sait ce qu’elle veut et ce dont elle a besoin.

Peu importe qui vous Êtes et où vous habitez. Si votre dernière réincarnation était en Inde, vous arriverez sur cette planète avec le désir de manger de la nourriture indienne, même si vous habitez maintenant dans le Montana [USA]. Si vous avez passé plusieurs vies en Asie, vous aimerez peut-être manger comme un Asiatique, même si vous habitez à Brooklyn. La chimie de votre corps se souvient. Elle réclame ce qui sera approprié pour une bonne digestion et une bonne santé.

Votre héritage akashique est beaucoup plus fort que vous ne le pensez. Les énergies des vies passées ne sont pas dans le passé ! Elles sont dans l’énergie quantique de votre maquillage spirituel actuel. Ces énergies font encore partie de Soi, et elles ont un effet sur vous.

Votre corps physique vous le dira, si vous le lui demandez. Votre structure cellulaire insistera sur ces choses qu’elle avait l’habitude d’avoir. Ainsi, elle pourra se détendre et être confortable avec la chimie qui lui était familière. Si vous avez passé 5 vies dans une culture et que vous vous réincarnez dans une autre, ne soyez pas surpris de constater que vous avez envie de déguster la nourriture de cette culture. Le régime végétarien est plutôt quelque chose qui se rapporte à celles et ceux qui fonctionnent selon leurs propres archives akashiques. Ces Êtres Humains mangent ce que leur structure cellulaire demande, au lieu de suivre les diètes alimentaires recommandées par les autres qui disent que vous deviendrez « plus spirituels » si vous adoptez le régime alimentaire qu’ils vous proposent.

Portez attention à l’intelligence de votre corps physique, car il vous en dira long sur QUI vous avez été. Il n’y a pas de « je dois, ou de, je ne dois pas » [de I should or I should not], sauf un : « Rester en vie incarnée et être en bonne santé. » Écoutez votre structure cellulaire et elle vous dira ce que vous « devriez » manger. Est-ce que ceci ressemble à de la « logique spirituelle ? N’essayez pas de convertir une autre personne à votre manière « correcte » de vous alimenter. [NDIT - Il y a un très vieil adage qui dit : « Les goûts ne sont pas à discuter. »] Rendez honneur au système akashique et réalisez que votre don « inné » sait beaucoup plus que vous, dans le libre choix de votre incarnation en limitation 3-D. Sachez que votre don inné travaillera pour vous. Mon partenaire est en train d’essayer ou d’expérimenter la « gloutonnerie libre » (humour de Kryeon).

 

Dois-je consulter les médecins et prendre des médicaments de la pharmacie, pour me guérir ?
[NDIT- En anglais, le mot "pharmacie" se traduit par "drug store", ce qui se traduirait littéralement par "magasin de drogues"]   Dois-je utiliser des méthodes spirituelles ?

 

krishnamurti dans SPIRITUALITE c'est quoi ?« Cher Kryeon, j’ai entendu dire que nous devons rester naturels et ne pas utiliser la science – sur la planète – pour la guérison. Il semble que si nous allons consulter un médecin, nous n’honorons pas Dieu. En outre, tu dis que nous pouvons nous guérir par la force de notre pensée ou de notre mental, n’est-ce pas ? Alors, pourquoi consulter un médecin, si nous pouvons guérir par nous-mêmes ? En plus de tout ça, mon médecin n’est pas illuminé. Il n’a aucune idée de nos « dons innés » et des besoins spirituels de mon corps physique. Que dois-je faire ? »

Tout d’abord, chers Êtres Humains, pourquoi voulez-vous mettre autant de choses dans des boîtes ? Vous demandez encore des oui ou des non comme réponses à des situations complexes qui sont dues à votre limitation 3-D, à la vision linéaire que vous appliquez sur presque tout. Essayez d’apprendre à penser en dehors de cette boîte 3-D. Regardez le titre de ce paragraphe. Il vous propose des choix, non pas un seul choix entre l’une ou l’autre des questions. Vous aviez peut-être pensé que vous ne pouviez pas faire faire plusieurs choix parmi les deux, car cela vous semblait dichotomique.

Parlons de logique spirituelle. Voici une réponse ou suggestion hypothétique : « N’allez pas consulter un médecin, puisque vous pouvez tout guérir avec votre mental ou votre esprit. » Ceci m’amène à vous poser quelques p’tites questions. Combien parmi vous peuvent – actuellement – tout guérir au moyen de leur esprit ? Même si vous êtes des anciennes âmes, pouvez-vous réellement le faire ? Savez-vous vraiment comment procéder ? Avez-vous des résultats concrets avec cette méthode ? Pouvez-vous éliminer les maladies et les déséquilibres chimiques, avec la force de votre pensée ou de votre volonté divine, en ce moment ?

Je vais vous parler d’une vérité, peu importe que vous choisissiez de la voir ou non. Vous n’êtes pas prêt pour ça ! Vous n’êtes pas encore prêts à assumer la tâche de la guérison complète en utilisant vos outils spirituels. Les Lémuriens le pouvaient, parce que les Pléiadiens leur avaient enseigné comment procéder ! Un jour viendra où votre ADN sera suffisamment développé pour ce faire. Vous pourrez quitter définitivement les produits des pharmacies et le monde médical, puisque votre énergie créatrice fonctionnera à 100 %. Vous l’avez vu chez les grands maîtres qui ont marché sur votre planète. Il s’agit de l’une des promesses de Dieu [de notre propre divinité intérieure], si vous me permettez cette expression.

Lorsque la Terre aura atteint le niveau d’ascension que vous attendez tant, ce sera possible, chers Êtres Humains. Avez-vous vu les nouvelles dernièrement ? Regardez par la fenêtre. Est-ce là où vous êtes maintenant ? Nous vous disons que l’énergie va dans cette direction, mais que vous n’êtes pas encore là.

Permettons que commence le processus d’apprentissage, pour ceux qui pensent qu’ils peuvent se guérir eux-mêmes. Beaucoup seront reconnaissants du fait que vous avez maintenant quelques-uns des cadeaux pour ce processus. Laissez-le commencer, mais ne pensez pas que, pour un instant, vous êtes arrivés à un endroit où tous les problèmes de santé peuvent être guéris avec votre propre pouvoir. Vous êtes les étudiants d’un grand processus qui sera éventuellement vôtre, si vous souhaitez commencer par le processus quantique qui consiste à parler à vos cellules. Quelques-uns auront du succès, alors que d’autres commenceront à planter les graines de ce processus.

Maintenant, je tiens à vous dire comment l’Esprit travaille, ainsi que les potentiels de ce qui va se passer dans les prochaines années. Nous allons donner de nouvelles inventions et connaissances scientifiques aux médecins de la planète. Ce seront des découvertes majeures au sujet du corps humain et des attributs quantiques qui s’y trouvent.

Regardez ce qui s’est déjà produit, car une partie de cette science vous a été donnée, et vous êtes réellement en train de l’utiliser. Imaginez une science médicale qui permettrait au cœur d’être transplanté, car celle que vous avez est parfois un échec. Bien sûr ! C’est une opération qui est faite de nombreuses fois par mois, sur cette planète. Avez-vous réalisé que cette information provient du créateur ? Elle n’a pas tombé de l’étagère d’une bibliothèque quelconque qui parle d’énergie noire ou de magie noire, qui doit être utilisée d’une manière maléfique.

Donc, si vous avez besoin d’un nouveau cœur, chers Phares de Lumière, devez-vous aller chez le médecin ou en créer un avec votre esprit ? Si vous avez l’impression qu’il vous manque encore des informations, des connaissances et de la pratique, vous devriez peut-être utiliser l’information de la Divinité-Créatrice qui est dans les mains des chirurgiens. En attendant, ceci va peut-être sauver votre vie en incarnation, et créer une situation où pourrez continuer de diffuser votre lumière sur la planète Terre. Voyez-vous ce que nous disons ?

Vous pouvez également modifier les médicaments des pharmacies [drug stores], et commencer un processus qui est spectaculaire dans sa conception, mais pas très 3-D. Je vous invite à commencer à utiliser ce que j’appellerais le principe homéopathique, avec les drogues principales des pharmacies, afin de modifier votre chimie pour qu’elle puisse vivre en meilleure santé et plus longtemps. Vous pensez peut-être que vous n’avez pas le choix. Vous pourriez dire : « C’est ce qui me tient en vie. Puisque je n’ai pas encore la capacité de le faire avec ma propre conscience, je n’ai pas le choix. »

Dans cette nouvelle énergie, il y a autre chose que vous pouvez essayer, si vous êtes dans cette catégorie. Procédez de manière réfléchie et pas à pas, avec intelligence, bon sens et logique. Voici le défi. Le principe de l’homéopathie, c’est qu’une teinture presque invisible – d’une substance – est ingérée et vue par votre « sens ou don inné ». Celui-ci « voit » ce que vous essayez de faire, et il répond en s’ajustant à la chimie du corps. Par conséquent, vous pourriez dire que vous envoyez un « signal d’équilibre » à votre corps physique. Cette teinture n’est pas assez forte et pas suffisante pour affecter la chimie de vos corps physiques, mais elle a quand même un effet bénéfique. Elle agit !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hom%C3%A9opathie

Le corps (inné) voit ce que vous essayez de faire et il coopère. Dans un sens, vous pourriez dire que le corps se guérit par lui-même, parce que vous étiez en mesure de lui donner des instructions à travers la substance homéopathique qui lui dit ce qu’il doit faire. Si c’est le cas, alors, pourquoi ne pas lui dire quoi faire avec la « drogue » qui est parfois contenue dans les médicaments des « magasins de drogue » [drug stores], des pharmacies ? Pourquoi ne pas commencer par le commencement ? Pourquoi ne pas réduire le dosage, et ne pas commencer à parler à vos cellules, afin de voir ce qu’il va se passer ? Si vous ne réussissez pas, vous pouvez toujours revenir au dosage initial. Au fil du temps, vous serez peut-être étonnés par les petits succès qui se sont accumulés.

Avec le temps et la pratique, vous pourriez être en mesure de réduire de 75 % la dose recommandée ou initiale. C’est le principe de l’homéopathie, car elle vous permet de garder le but de la drogue, mais de le réduire à une fraction de la dose commune à la 3-D. Vous absorbez encore des médicaments, sauf que, maintenant, vous faites de la signalisation à la chimie de votre corps physique. Ce signal est envoyé, et le corps coopère. Donc, vous réduisez les possibilités d’effets secondaires.

Lorsque vient le grand système de l’Esprit, vous ne pouvez pas le mettre dans des boîtes à oui ou à non. Cependant, vous pouvez utiliser la logique spirituelle, afin de voir les inventions et processus divins de la Force Créatrice, de vos Divinités Intérieures, sur cette planète. Vous pouvez accepter la chirurgie et les prescriptions de médicaments, afin de sauver votre vie en incarnation. Ensuite, vous pouvez dire : « Dieu merci, puisque je me suis incarné sur une planète où ces choses sont maintenant possibles. » C’est un sujet compliqué, n’est-ce pas ? Il n’est pas facile d’enseigner ces choses aux Êtres Humains, alors que chacun est si différent. Toutefois, chacun de vous saura quoi faire, sur une base individuelle. Ne vous créez pas de tension au sujet de ce que vous devrez faire, car votre « sens inné » vous dira ce qui est approprié, si vous lui accordez votre attention.



Que dire des : « Il n’y a pas de Nouvel Âge. Dieu ne change pas. Restez avec la tradition, etc. ? »


Il y en a qui vous diront que Dieu est toujours le même, qu’il n’a pas changé et qu’il ne changera pas. Ils vous diront, qu’en conséquence, vous ne devriez pas être dans un mouvement Nouvel Âge, puisque l’énergie de Dieu ne changera jamais. Donc, vos idées au sujet de l’énergie et de Dieu qui changent, sont de la folie. Ensuite, ils vous avertiront, en disant : « Tenez-vous loin du Nouvel Âge. Allez plutôt vers les traditions, vers les systèmes de religions et d’apprentissages spirituels qui sont mis en place et qui ont une histoire… Vers des systèmes qui ont des milliards de participants, sur la planète Terre. »

Chers Êtres Humains, tout ceci est basé sur un malentendu. Voici la déclaration que je tiens à vous faire. Dieu est le même que, hier, aujourd’hui et éternellement. C’est magnifique, car la Source Créatrice ne changera jamais. Ce qui change, cependant, c’est la relation de l’être humain avec un Dieu immuable. Qu’est-ce qui change ? C’est que l’Être Humain a maintenant la capacité d’aller au-delà d’une ancienne énergie, et, avec la nouvelle énergie, il peut désormais aller à la rencontre intérieure de sa propre Divinité Créatrice. C’est l’Être Humain qui change, non pas Dieu.

Votre environnement actuel coopère fortement avec vous (Gaia), afin que vous puissiez mieux comprendre pourquoi Dieu ne change jamais. Le Nouvel Âge se rapporte aux Êtres Humains qui commencent à réaliser que leur relation avec l’Esprit est plus réelle – dans leur vie quotidienne. Ceci signifie qu’ils peuvent commencer à voir et ressentir le créateur en eux, d’une manière nouvelle et profonde. Les nouveaux outils spirituels sont à portée de main. Une prise de conscience du soi ou de sa propre divinité intérieure commence à germer et même à sortir de terre. Les Êtres Humains sont en train de changer, mais Dieu est encore et toujours le même !

Retirez-vous de la tradition, car elle ne servira qu’à vous maintenir dans une prison de votre propre fabrication. Une prison où vous vous accrochez à la mythologie. Une prison qui vous empêche constamment de voir la magnificence de votre propre âme.

Extrait de Kryeon – LE RECALIBRAGE DES « SHOULDS » – 26 Jan. 2012 Référé par : http://kryeon.forumactif.com/

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Conseil Mondial des Sages (CMS)

Posté par othoharmonie le 4 septembre 2012

 

Conseil Mondial des Sages (CMS) dans SAGESSE 1333523-300x300Le conseil Mondial des Sages (CMS) est un groupe en plein essor constitué des Sages des divers groupes autochtones dans le monde – réunis dans le but de conseiller et d’éduquer l’humanité en matière de paix mondiale. La mission du CMS consiste à rajeunir et à réactualiser l’ancienne sagesse et les connaissances sacrées et à les intégrer dans les cultures et les technologies modernes afin d’assister l’humanité et notre mère la Terre en réalisant l’unification, l’harmonie, et en créant une parfait conscience spirituelle. Les peuples autochtones qui sont restés en contact avec notre mère la Terre comprennent que nous avons tous un rôle à jouer dans cette réunification. En conséquence, ils peuvent nous faire profiter de leur sagesse spirituelle et de leurs solutions concrètes afin de corriger les problèmes globaux que rencontre l’humanité.

D’une façon générale, les Sages possèdent une conscience spirituelle aiguë et sont en relation étroite avec notre mère la Terre. Ils font preuve de simplicité, d’humilité, de dignité et de beaucoup d’humour. Les Sages possèdent également une connaissance étonnante de notre personnalité, de nos origines et savent jusqu’où nous pouvons aller lorsque nous écoutons notre cœur et suivant notre propre connaissance intérieure. Cette sagesse a été préservée intacte, souvent dissimulée et transmise d’une génération à l’autre, jusqu’à ce qu’elle puisse être partagée dans l’énergie de notre époque très spéciale.

Quotidiennement, ils recherchaient les conseils du Grand Esprit et de notre mère la Terre pour les aider à mieux saisir les principes de vie sur cette planète. A partir de ces enseignements, ces Sages spirituels comprirent qu’elles étaient les énergies et les vibrations propres à cette planète et le rapport étroit existant entre celle-ci et l’univers. Ces connaissances aidèrent les peuples autochtones à vivre en étroite symbiose avec les éléments terrestres. Ces derniers menaient une vie simple et élémentaire. Sur le plan historique, lorsqu’une société devenait trop complexe et perdait ses connexions avec le Grand Esprit et notre mère la Terre, elle s’autodétruisait et finissait par disparaître.

De nombreux peuples autochtones continuent d’être gouvernés par des Conseil des anciens, et ce depuis des milliers d’années. Ces peuples respectent la sagesse de leurs Anciens, qui ont une profonde expérience de la vie et des connaissances intérieures bien supérieures à celles des jeunes. Ils  ont éprouvé les difficultés et les leçons de la vie et possèdent la connaissance intérieur qui exige du temps avant d’être acquise et transmise aux jeunes générations ; l’histoire confirme que ces Conseils étaient composés d’anciens qui gouvernaient leur peuple avec beaucoup de sagesse. Ces Conseils étaient créés pour maintenir la paix et l’harmonie au sein de leur propre peuple et dans leurs relations avec les autres peuples ; ils ‘agit là de la plus ancienne forme de gouvernement de cette planète.

Channeling de Kryeon : Franchir le seuil du millénaire – Reno, Nevada -  Février 2000 - canalisé par Lee Carroll – page 286.

 

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Comment être reconnu comme Sage

Posté par othoharmonie le 4 septembre 2012

 

 

Comment être reconnu comme Sage dans SAGESSE meditation-smokesIl existe d’innombrables façons d’être reconnu comme Sage. La plus simple est la reconnaissance par son propre peuple, mais il y a aussi d’autres méthodes tout à fait légitimes, telles que la désignation par d’autres Sages, la progression dans la hiérarchie et le droit de naissance. On mérite ce statut, on ne l’obtient pas par élection. Il faut être très prudent devant un Sage qui s’est autoproclamé, permettant de la sorte à son ego de se manifester. La plupart des Sages estiment que leur reconnaissance par leur peuple est très importante. Quant aux peuples, ils sentent que le Sage sélectionné doit être tout à fait apte à ce travail, respecté et qu’il doit s’assurer de suivre la bonne voie. Tous les intéressés n’ont pas à emprunter une voie spirituelle pour devenir des Sages. Leur tâche peut se rapporter à de multiples domaines. Il ya ceux qui guérissent, qui prient, qui arbitrent, qui gouvernent, qui font du commerce, qui exploitent une ferme, qui enseignent, etc… Cependant, les individus requis pour la tâche qui attend le Conseil Mondial des Sages doivent être de Sages spirituels.

Un Sage n’exige pas le respect ; il le reçoit naturellement. Vous pouvez ressentir un Sage. Il est toujours entouré d’enfants parce que ces derniers savent d’instinct que la sagesse émane de lui. Le Sage connaît l’importance des enfants, car ce sont eux qui transmettront les enseignements, les traditions, la culture, le langage, l’histoire et la sagesse immémoriale de leur peuple.

Extrait – Channeling de Kryeon : Franchir le seuil du millénaire – Reno, Nevada -  Février 2000 - canalisé par Lee Carroll – page 294.

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La Sagesse de Bouddha

Posté par othoharmonie le 2 septembre 2012

 

La Sagesse de Bouddha dans SAGESSE movie27-210x300Le Bouddha avertit ses disciples que tout ce à quoi ils accorderaient leur attention et leur amour s’épanouirait dans leur existence. Il assimilait la vie et le monde à un jardin nécessitant la lumière du soleil, de l’engrais et de l’eau pour fleurir. Dans ce jardin reposent les semences de la compassion, du pardon, de l’amour, de l’engagement, du courage et de toutes les qualités qui nous affirment et nous inspirent. Dans le même jardin, aux côtés de ces semences, se trouvent celles de la haine, du préjugé, de la vengeance, de la violence et de toutes les attitudes nuisibles et destructrices. Ces semences et bien d’autres se côtoient au sein de cet espace fertile.

Celles qui se développeront sont celles auxquelles nous aurons accordés notre attention. Cette faculté est comme l’eau et le soleil, et les semences que nous cultivons croîtront et rempliront notre jardin. Si nous investissons notre attention dans les semences de la pénurie – l’acquisition, l’accumulation, l’avidité et tout ce qui en découle -, alors la pénurie remplira l’espace de notre vie et de notre univers. Si nous accordons plutôt notre attention aux semences de la suffisance et que nous employons notre argent comme de l’eau pour les nourrir d’une intention noble, nous obtiendrons alors une moisson merveilleuse.

Il n’y a pas plus différents que les Sept Magnifiques Bangladais, Audrey ou James, mais tous ont pu, grâce au pouvoir de l’appréciation, intensifier et étendre leur expérience de la véritable richesse et de leur être profond. Dans le contexte de la suffisance, chacun a découvert une liberté nouvelle dans son rapport à l’argent et celle-ci les a conduits à la prospérité. Pour chacun d’entre nous, dans le terreau fertile de l’appréciation, de nouvelles possibilités prennent racine, qui croîtront sans fin à la lumière constante de notre attention.

 

Extrait du livre L’Ame de l’argent … page 156 

 

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Trouver sa voie

Posté par othoharmonie le 2 septembre 2012

Comment faire pour trouver sa voie ? 

Trouver sa voie dans SAGESSE marque-pages-collection-feerie-jean-baptiste-monge-105x300Quand tu dis ça, cela suppose que tu ne l’as pas encore trouvée car quand on y est, on ne se pose pas ce genres que questions, on le sait tout simplement. Trouver sa voie, du point de vue professionnel, c’est associer métier et plaisir. C’est travailler dans la joie et c’est à mes yeux le plus important. En effet un métier qui est fait sous la contrainte, sans joie, sans motivation est un métier qui ne sert à rien pour l’épanouissement de la personne. 

Pour chaque personne il y a un chemin, pour chaque personne il y a un domaine où celle-ci est particulièrement heureuse de travailler, d’y passer du temps et de l’énergie. Mais dans une société où il faut d’abord travailler pour éviter d’être au chômage, il n’y a pas la place pour l’individu de se questionner sur ses propres choix, sur ce dont il a envie vraiment. C’est très important de faire un métier qui vous plait, c’est un épanouissement important car vous y passez plusieurs heures par jour donc c’est essentiel dans votre vie. 

Si au bout de plusieurs années vous en avez marre de votre travail c’est que vous avez besoin de changement. Ne vous enfermez pas alors derrière des  » je suis trop vieux/vieille pour changer « , dites vous bien que si vous trouvez exactement ce qui vous correspond des portes s’ouvriront à vous et vous y serez dirigez sans problème. N’ayez pas peur de changer, n’ayez pas peur d’être vous-même. Le changement, quand il est fait avec le cœur est toujours bénéfique et juste pour l’âme. 

Trouver sa voie, c’est arriver à voir ce qui nous correspond à un moment donné. Ensuite il est important de se donner les moyens d’y arriver. Comme chacun, vous avez une mission, lorsque vous voyez ce que c’est, l’Univers, vous-même arrivez à en voir le chemin qui se dirige vers cette voie. Tout est très bien organisé. Patience et persévérance. Voyez de façon juste en vous-même et puis surtout, écoutez-vous. Ecoutez ce que dit votre âme. Ne l’étouffez plus à cause de préjugés, de pressions sociales ou familiales, libérez-vous comme une fleur s’ouvre aux premiers rayons de soleil. Car votre âme veut que vous l’écoutiez. Alors ouvrez les oreilles et faites lui confiance, si elle vous dit ce qui est bon pour vous alors, vous n’avez pas à douter car elle sait mieux que quiconque et encore mieux que votre mental, même sûrement mieux que lui, pour savoir quelle route prendre pour être heureux et épanoui.

Article 64 © GDL – source-lumiere.net – 2002-2008 http://www.source-lumiere.net/serendipity/archives/96-trouver-sa-voie.html

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Le choix de la gratitude

Posté par othoharmonie le 2 septembre 2012



J’ai lu dernièrement un message très intéressant sur la gratitude. Ce message nous invitait à faire le choix de la gratitude… par choix. Pourquoi ?

Parce que ressentir de la gratitude est extrêmement positif et bénéfique. 

Le choix de la gratitude dans Beaux textes 62227-122x300Rappelez-vous la dernière fois que vous avez éprouvé ce sentiment. Que s’est-il passé en vous ?

Comme moi j’imagine que votre cœur s’est dilaté, vos pensées se sont orientées vers la plénitude et votre chimie intérieure a généré des hormones de bien-être. 

Alors, pourquoi ne pas faire toujours le choix de la gratitude ?

Devons-nous attendre une bonne surprise ou un cadeau pour ressentir de la gratitude ?

Théoriquement non. Cependant, nous sommes souvent influencés par l’extérieur qui agit 
fortement sur le baromètre de nos humeurs. C’est humain, direz-vous. Mais qu’il serait bon et si libérateur de pouvoir choisir souverainement notre état intérieur. Ce qui ne signifie pas pour moi nier les difficultés ou la détresse du monde. 

Non, je vois cela comme retrouver la maîtrise de notre être.

Un soir que les circonstances extérieures faisaient pencher mon baromètre intérieur vers le bas côté, je me suis rappelé ce message.

Mais comment choisir la gratitude quand la vie semble aller à contresens du bonheur ?

J’ai simplement essayé. J’ai regardé l’endroit où j’étais, j’ai tourné la tête de droite à gauche puis inversément en disant : 
« Merci la Vie, merci la Vie, merci pour tout ce que tu me donnes. »

Ça a eu pour effet de faire taire mon mental plein de jugements sur les derniers événements et de me ramener au moment présent. Tout un bénéfice déjà ! Ensuite, ça m’a donné un peu de recul. Et là, je me suis sentie stupide. Stupide de voir comment l’ego en moi avait tout ramené à lui, avec une étroitesse flagrante. Stupide aussi de constater combien il est facile de tomber dans un fonctionnement limité et égocentrique, sans s’en rendre compte.

Avais-je co-créé toutes ces situations insatisfaisantes ?

Je le crois oui. Par bonheur, il nous est donné de pouvoir faire de nouveaux choix à chaque instant.

Et je le dis, la gratitude en est un excellent !

Michel de l’infolettre du site : www.terre-de-lumiere.com

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La Lune Bleue d’hier !

Posté par othoharmonie le 1 septembre 2012

La lune bleue désigne deux phénomènes. Le premier correspond à une pleine lune « supplémentaire » qui se produit La Lune Bleue d'hier ! dans Astrologie et Esotérisme lunelorsqu’une année comporte 13 pleines lunes, au lieu de 12 lors d’une année habituelle. Le second, moins connu car plus rare, est aussi appelé « Lune des glaces » ; cela correspond à une coloration « bleu-violet » de la lune. Ce phénomène se produit lors des éclipses de lune. Normalement, les infrarouges émis par la terre colorent la lune d’un rouge cuivré, cependant lors d’une période très froide, d’où le nom : « Lune des Glaces » la terre n’émettant pas assez de rayons « infrarouges », ce sont donc les rayons « ultra- violet » de la terre qui le font et la lune se colore alors d’un magnifique bleu tirant vers le violet.

Le terme de « lune bleue » est un décalque de l’expression anglaise « blue moon ». L’origine de cette expression n’est pas connue. Son plus ancien usage attesté se trouve dans un pamphlet de 1528 attaquant violemment le clergé britannique intitulé Rede Me and Be Not Wrothe : « Yf they say the mone is belewe / We must believe that it is true » (« s’ils prétendent que la lune est bleue, nous devons croire que c’est vrai »).

Le terme se retrouve dans l’expression anglaise « once in a blue moon », qui correspond à l’expression française « tous les trente-six du mois » et désigne quelque chose qui survient très rarement.

Le terme « lune de glace » est utilisé par l’auteur chinois Confucius qui, à côté de ses traités de philosophie, s’est aussi intéressé à l’astronomie. Extrait de Confucius : « cette nuit d’hiver, un phénomène extraordinaire est apparu dans le ciel, une lune d’un bleu profond est apparue, cette lune était comme glacée ».

Et hier soir justement, 31 AOUT 2012, nous étions en LUNE BLEUE, l’avez-vous vue ??

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Moi oui, mais je ne connaissais pas la puissance de son énergie et ce matin, par une amie, j’ai appris ceci :

« La Lune Bleue se produit lorsque la pleine lune apparait deux fois dans un même mois. Elle est également appelée lune des buts ou lune des sorcières : L’ÂME PROFONDE SE PURGE. Le moment est venu pour faire le bilan, reconnaître ses erreurs, prendre conscience des changements à faire. Cette lune bleue marque le renouveau. Prenez le temps pour écrire vos projets et intentions à réaliser ; les visions et les rêves que vous vous fixez avant la prochaine lune bleue, soit le 30 Juillet 2015.

Cette semaine de la lune bleue est une sorte de montée des eaux qui nous fait plonger dans la profondeur de nos ventres : le besoin profond de guérir tout ce qui touche aux sentiments ; aux vieilles blessures ; aux croyances énergétiques autour de ces blessures. La pleine lune bleue du 31 août 2012 est le grand RÉVEIL

Si vous vivez une crise de guérison, accrochez-vous. Passez du temps seul, à la maison ou en nature…n’importe où qui est Terre Sainte pour votre esprit. Fuyez les foules. C’est LA PLEINE LUNE DU PARDON(pardonner et être pardonné). Si vous êtes confronté à de grandes décisions, votre intuition et votre instinct seront vos meilleurs alliés. À la pleine lune, les messages que nous recevons sont d’une grande clarté. S’il vous manque quelque chose dans votre VIE, c’est le moment pour trouver votre propre pouvoir. Le message cosmique est que nous pouvons nous libérer de tout ce qui nous retient, nous équilibrons nos polarités masculines et féminines, nous mettons fin à nos leçons karmiques.

Lune énergétique par excellence, elle nous ouvre de nombreux portails et nous sentons beaucoup de force et de puissance en nos buts et en nos voeux les plus profonds et les plus sincères. Honorons notre grande Lumière. C’est aussi le temps de se connecter avec notre lignée “mère” ; celle des prêtresses et des shamankas ; des fées et des enchanteresses. Cette lune est considérée comme un moment spécial, accordez lui une attention particulière.

Le 31 août 2012
: Chantez, méditez, écrivez, écoutez de la musique ..purifier..parlez »

ce texte est piqué sur la page facebook de Méthode Ho’oponopono »

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