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Message du Dragon Bleu

Posté par othoharmonie le 16 novembre 2012

Message du Dragon Bleu Atharus

Nous, dragons, possédons la maîtrise totale du règne élémental. Cela signifie que nous étions, et sommes toujours, à l’aise dans les airs autant que sur terre ou sous l’eau et même au milieu des flammes.

Message du Dragon Bleu dans Mythologie/Légende dragon En examinant le passé historique de la Terre, on constate que presque chaque civilisation fait référence aux dragons, soit dans ses fables, soit dans sa mythologie. Je veux rester modeste ici, mais je me dois de décrire les faits avec justesse. La beauté, la puissance et la majesté des dragons étaient telles que plusieurs humains, qui s’étaient dissociés de l’amour et de leur source divine, devinrent jaloux et décidèrent de nous asservir à leur esprit arrogant. D’aucuns, persuadés de pouvoir mettre la main sur nous et se servir de nous à leur guise, tentèrent de nous priver de notre liberté et de nous soumettre. A l’époque, sur la planète, peu de créatures étaient l’égal des dragons en intelligence, en compassion, en force et en beauté, à l’exception peut-être des paisibles unicornes. Les dragons chérissaient leur liberté, car ils avaient atteint un degré de maîtrise spirituelle ; ils n’allaient certainement pas consentir à se subordonner à la volonté d’humains primitifs. Oui, je dis primitifs, car c’est ainsi que leur attitude nous apparaissait.

 Puisque les dragons étaient maîtres des éléments, on les croyait doués d’une sorte de magie facile à transmettre. Après des millénaires d’une entente et d’une collaboration bienveillante, pratiquement en une seule nuit, ou très rapidement du moins, les humains et eux devinrent adversaires. Bien sûr, tous les humains ne se comportèrent pas ainsi et toi Aurélia Louise Jones, ma bien-aimée, tu as cherché de toutes tes forces à nous protéger. Tu as été l’une de ceux qui apportaient clandestinement nourriture, gîte et protection à plusieurs d’entre nous. (Les dragons étaient végétariens, contrairement à ce que véhiculent les mythes populaires). En échange d’un sanctuaire, ils protégeaient leurs bienfaiteurs, se liant d’amitié avec eux. Tu as utilisé ta position influente afin de faire tout en ton pouvoir pour mettre un terme à leur massacre et à leur asservissement. Malgré tout, tu n’as pas pu endiguer l’ignorance des gens et interférer avec leur libre arbitre. Je me souviens du chagrin que ça t’a causé à l’époque et pendant longtemps par la suite.

 A un certain moment, comme nous jouissions d’une grande force et d’une longue vie, les humains décidèrent que les pouvoirs magiques des dragons devaient émaner de leur sang. C’est alors qu’ils se mirent à nous pourchasser. Les adversaires de jadis devinrent désormais de féroces ennemis, car la race humaine s’efforça d’abattre tous les dragons sur son chemin. Plusieurs d’entre eux périrent, tandis que d’autres trouvèrent refuge là où ils le pouvaient, surtout dans les régions reculées du monde. Cet exode vers des solitudes reculées laissa penser que nous étions des créatures peu sociables, non pas les êtres grégaires que nous avions toujours été. Les climats extrêmes de nos terres d’accueil ont modifié la couleur de notre peau et son apparence. Un jour, ceux d’entre nous qui restaient durent invités par la hiérarchie spirituelle galactique à être transportés sur les Pléiades. C’est alors que j’ai décidé de quitter la Terre, en quête d’une planète qui m’offrirait un foyer plus agréable. Plusieurs des dragons qui avaient survécu préférèrent migrer vers les Pléiades ou d’autres planètes qui leur proposaient un asile.

 A l’origine, tous présentaient une teinte gris-vert, et la texture de leur peau ressemblait à celle d’un éléphant. Notre aptitude à maîtriser les éléments nous  permis de développer l’épiderme reptilien fait d’écailles que montrent les illustrations de vos livres. La couleur de notre cuir fut associée à la région géographique où nous avions établi notre nouveau domicile ; il était fréquent d’entendre dire qu’un dragon bleu, vert ou même rouge avait été aperçu.

 Les dragons se tinrent loin de la population humaine, en qui ils n’avaient plus confiance. Leur nombre se réduisit à quelques rares représentants de l’espèce. Quand une perte pareille se produit en n’importe quel monde, ses répercussions se font sentir dans tous les royaumes d’existence ; celle-ci ne fit pas exception. Le jour où les humains s’aperçurent de leur erreur, il était déjà trop tard.

 dans Mythologie/LégendeLes lignes telluriques se rencontrent en plusieurs points sur terre, et ces lieux d’intersection permettent à divers mondes de communiquer. Vus avez peut-être entendu l’expression fait référence au « voile quise lève ». En certains endroits et à des moments précis, il est possible d’y parvenir effectivement, c’est-à-dire de passer, littéralement, dans un monde parallèle. La plupart des dragons qui n’avaient pas quitté la Terre ont franchi ces portails et vivent désormais en paix ici même, mais dans une autre sphère ou dimension invisible à la perception tridimensionnelle. Il en reste donc quelques-uns dans votre monde ; ils habitent des grottes, des antres et des cratères reculés. Ceux qui ont chois de rester ici attendent patiemment que l’humanité prenne conscience de la vérité selon laquelle tous les êtres, toutes les espèces sont des éléments d’une vaste fraternité, l’un ne valant pas plus ni moins que l’autre. Entretemps, leur énergie s’avère tout à fait roborative pour la planète, car elle présent e un  équilibre élémental parfait. Heureusement pour eux, peu ont été perçus et ce genre de récit rencontre habituellement l’incrédulité générale.

 Actuellement, plusieurs d’entre eux reviennent pour prêter main-forte à l’humanité qui doit rééquilibrer les éléments ; par contre, ils ne présentent pas tous la forme de dragons. A défaut de cet appui et de cet équilibre, ni Gaia ni la race humaine ne parviendraient à effectuer le changement nécessaire vers les dimensions supérieures sans connaître de grands bouleversements dans les forces élémentales planétaires. Naturellement, plusieurs d’entre nous sont déjà ci, sous forme tout à fait physique, sans toutefois être perceptibles à vos yeux car ils vibrent à la fréquence des royaumes lumineux de la cinquième dimension. Ainsi, comme moi, il accomplissent leur travail en toute tranquillité, sans être dérangés par les regards humains. Nous savons que presque la totalité des gens seraient terrifiés s’ils nous voyaient, particulièrement en grand nombre. Encore une fois nous susciterions la crainte et serions traqués.

 Nous savons que viendra un temps, très proche, où les humains se reconnecteront avec les divers aspects de leur nature divine et considéreront tous les êtres comme des parcelles variées et égales, de la Création. Nous redeviendrons alors visibles à tous, car l’amour et la fraternité vrais régneront parmi les habitants de cette planète.

 

Messages pour l’épanouissement d’une humanité en transformation, canalisé par Aurélia Louise Jones – TELOS II – Antharus, le dragon bleu, s’exprime – page 177.

 

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Remèdes curieux d’autrefois

Posté par othoharmonie le 16 novembre 2012

Remèdes curieux
des guérisseurs d’autrefois

(D’après « Le Petit Parisien », paru en 1911)

 par LA RÉDACTION

En 1911, Jean Frollo du Petit Parisien, se complaît à détailler sur un ton amusé, quelques étranges remèdes utilisés par les anciens, de la fiente de cheval à la ceinture emplie de crapauds vivants, en passant par des vipères débitées en morceaux, recettes issues de l’ingéniosité des guérisseurs de jadis

Remèdes curieux d'autrefois dans Mythologie/Légende guerisseurA cent reprises on a raconté comment nos pères se soignaient, et à quels remèdes étranges ils avaient recours, mais le sujet est si amusant, si curieux, qu’on y revient toujours avec plaisir. D’ailleurs, nous ne nous défendons pas d’un peu de gouaillerie à l’égard des malades d’autrefois, que nous estimons crédules et naïfs, sans nous douter que dans deux siècles d’ici nos descendants penseront de même à notre sujet et se moqueront d’une foule de méthodes, réputées excellentes aujourd’hui.

La goutte était le gros souci des gens riches et titrés. Leur genre d’existence en favorisait admirablement l’éclosion. Peu d’exercice, des séances prolongées à table, l’abus des bons vins, l’amoncellement des viandes, tout cela déterminait avec sûreté l’apparition du mal, qui, pour ne s’attaquer qu’aux personnes de distinction, n’en était pas moins désagréable. Alors, les médecins, mandés sur l’heure, se présentaient bientôt, avec des mines méditatives, comme il convient à des hommes possesseurs des plus précieux secrets.

Et, en effet, ils avaient des secrets étonnants ! C’est ainsi qu’ils firent avaler au cardinal de Richelieu de la « fiente de cheval », délayée dans du vin blanc. Le terrible ministre s’exécuta sans mot dire, mais non sans grimacer. Son successeur, Mazarin, connut le même remède, à cette différence près qu’il ne l’avala pas. On en confectionna seulement un gros cataplasme, qu’on appliqua sur la jambe atteinte, sans le moindre succès.

En général, ces messieurs de la Faculté saignaient leur client, et plutôt deux fois qu’une. Ceci, au surplus, est une simple façon de parler. « Plus on tire d’eau croupie d’un puits, avait écrit le médecin italien Botol, plus il en revient de bonne. » Le puits, c’était le malade. En conséquence, la lancette ne s’arrêtait pas. Il y eut un certain M. Cousinet, que Guy Patin saigna soixante-quatre fois, sous prétexte de le guérir de ses rhumatismes. Le roi Louis XIII fut victime de ce traitement à quarante-sept reprises le long d’une année, et, durant le même temps, on lui fit prendre deux cent cinquante-neuf purgations.

Dans ses aimables lettres, souvent si gaies, quelquefois si malicieuses et perfides, la belle cousine de Bussy-Rabutin, la spirituelle Sévigné, nous donne des renseignements inouïs sur la médecine de son siècle, qu’elle ne dédaignait pas, bien au contraire. Nous savons qu’elle eut la jaunisse, et qu’elle s’en débarrassa en prenant des pilules contenant de l’urine.

Une autre fois, se sentant faible, elle eut recours aux vipères, et en fit une grande consommation. C’était un remède sans égal pour rendre la vigueur. La marquise, convaincue, écrivait à son fils « M. de Boissy va me faire venir deux douzaines de vipères du Poitou ; prenez-en deux tous les matins, coupez-leur la tête, faites-les écorcher et couper en morceau, et farcissez-en le corps d’un poulet ; c’est aux vipères que je dois la pleine santé dont je jouis ». Elle leur devait également, à certains jours, une influence marquée sur l’usage qu’elle faisait de sa langue.

L’ingéniosité des guérisseurs d’antan valait celle des inventeurs modernes de remèdes infaillibles. A mon avis, elle l’emportait même, sous le rapport du pittoresque et de l’imprévu. Voyez la calvitie, par exemple, cette infirmité contre laquelle nous nous épuisons en vains efforts, mais dont Absalon eût bien voulu être affligé. Nos aïeux en souffraient comme nous. Eh bien, ils se laissaient persuader qu’elle cessait, grâce à l’application de trois cents limaces, bouillies dans une décoction de savon, de miel, de laurier et d’huile d’olive.

A la place de l’ipéca, que les militaires français n’estiment guère, on employait la râpure d’ongle. Pour la jaunisse, citée plus haut, les vers de terre, rincés dans du vin blanc, passaient pour souverains mais, quand ils manquaient leur effet, on mêlait de la fiente d’oie aux boissons ordinaires, et, pour le coup, le mal disparaissait comme par enchantement. L’hydropisie partait aussi vite, lorsque la personne atteinte ne craignait pas de porter une ceinture pleine de crapauds vivants, qui lui grattaient le ventre et les reins. Il est vrai que si cette personne était chatouilleuse, elle risquait de succomber à force de rire.

Tout cela est amusant, j’en conviens, et nous avons le droit de sourire en songeant à la crédulité des hommes d’il y a deux ou trois siècles. Mais, encore une fois, ceux qui viendront après nous en auront peut-être autant à notre service !

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