Lire les codes à travers les temps
Posté par othoharmonie le 22 décembre 2012
La Torah : distillateur de codes à travers les temps.
Par Rose-May Norouty
Plus l’humanité élève sa conscience, plus l’homme est capable de transmuter et d’actualiser le Sacré dans son quotidien. La Torah fait bien sûr partie de cette mémoire du Sacré.
Les grands érudits de la tradition hébraïque ont toujours travaillé la Torah en essayant de la traverser pour découvrir des sens de plus en plus profonds.
Aujourd’hui à l’aire du quantique elle peut être étudiée fréquentiellement et soniquement.
Une lettre hébraïque est une onde de forme, une vibration, un son ; c’est aussi un chiffre et une fréquence. Mes 12 années de recherche sur la puissance vibratoire des lettres hébraïques m’ont amenée à travailler sur les 27 premiers versets de la Torah. Chaque verset libère un sens littéral, symbolique mais aussi un son qui relève du préverbal. Verset 1 de la genèse : « Béréchit bara Elohim êt hachamaym ve-êt ha harets » se traduit par : « Dans le principe Dieu créa le ciel et la terre » pourtant l’oreille spirituelle est entrée en résonance avec la quintessence vibratoire sonique de la lettre 1 de l’alphabet. La quintessence sonique est créée à partir d’une juxtaposition précise de lettres, donc de chiffres, donc de sons qui permet un rabattement à la matière première à savoir le Logo créateur. J’utilise ces 27 versets en inversant les sens de lecture : de droite à gauche, de gauche à droite de bas en haut et de haut en bas ; grâce à toutes ces inversions de nouveaux sons se libèrent.*
Objectif : aider mon semblable à se libérer.
Se libérer des mémoires de nos généalogies respectives mais aussi des mémoires de l’histoire de l’humanité (de son début à nos jours). Quelles meilleures portes d’entrée pour accéder à ces mémoires que nos noms de famille, ceux transmis par le principe masculin : le père et par le principe féminin : la mère.
Ces noms retranscrits en lettres hébraïques vont gagner en puissance vibratoire, en profondeur d’être.
Par la lecture de ses propres versets (liés à ces noms) la personne atteint un niveau vibratoire tel que le mental est relégué au ban de touche. Toutes ces résonances dites par la personne avec sa propre voix, libèrent le corps de chair jusqu’aux tréfonds des cavernes non encore découvertes. Pas de compréhension intellectuelle de cette approche, le pourquoi, quand, comment, ne sont plus d’actualité, seul l’éveil vibratoire du corps et de l’âme dans la reliance demeure.
Il est aujourd’hui possible, grâce aux changements vibratoires cosmo-telluriques, de se délester de nos chapes de plomb avec rapidité, légèreté, dans la joie. A travers cette approche de la Torah et sa lecture phonétique il est aujourd’hui possible de connaître son nom premier lors de notre première incarnation, qui est une lettre de l’alphabet = un chiffre = une fréquence. Quel intérêt de connaître ce nom que j’appelle primal ? Tout simplement de se dégraver de notre empreinte première, qui est le moule de ce que nous avons été, de ce que nous sommes et de ce que nous serons. Nous avons assez labouré nos vieilles terres intérieures pour être en droit de jouir de notre capacité à nous innover : à nous nommer.
Pour moi il est là le véritable passage du pont de l’abîme. Et de l’autre côté de ce pont enfin la terre promise, la nouvelle terre vierge, non foulée, sans empreinte. Et de l’autre côté de ce pont plus de langage usuel, émotionnel mais le langage de la résonance du cœur à cœur…
*Il existe un logiciel qui permet cette lecture innovante de la Torah.
Contact auteur : Rose-May Norouty 06 76 04 44 26
ronouty.rose-may@orange.fr
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