Au-delà de la dualité des 2 hélices
Posté par othoharmonie le 19 janvier 2013
Extrait du livre « l’ADN démystifié » de Kishori Aird – Chapitre 4 page 123 (ADN)
L’agenda planétaire actuel est de retrouver notre souveraineté et d’en finir avec la polarisation de la dualité. La polarisation de la dualité veut dire que si je crée à partir de la lumière seulement, j’ai forcément généré ailleurs une force négative créatrice. Dans notre évolution, nous en sommes parvenus à l’étape où nous devons intégrer ces deux polarités. Pour y arriver, il faut cesser d’avoir un parti pris pour l’une ou l’autre des polarités et aller au-delà de la polarité positive la lumière) et de la polarité négative (la noirceur).
Or, nous sommes constamment tiraillés entre la lumière et la noirceur, le bien et le mal, le positif et le négatif. Voilà tout le dilemme de l’incarnation humaine. Les Chinois ont d’ailleurs un proverbe : « Ce qui monte doit descendre ! » Et l’histoire en est cousue d’exemples. Nous passons constamment d’une polarité à l’autre. La seule façon de cesser cette oscillation incessante passe par la fréquence de l’amour au point zéro. Mais notre société n’est pas basée sur l’amour et il est difficile de trouver une période dans l’histoire de l’humanité qui ait baigné dans l’amour. On y observe de grandes périodes de conquêtes et d’aisance, mais la politique, les conflits et les guerres de toutes sortes semblent y occuper bien plus de place que les odes à l’amour ! On dirait bien – c’est du moins mon sentiment – que le programme de l’amour fait partie de ceux qui ont été désamorcés dans notre ADN. Cette fréquence de l’amour ou, pour dire mieux, cet état d’amour n’a rien à voir avec les chocolats de la Saint-Valentin (quoique j’aime bien en recevoir), ni avec l’amour que je peux éprouver pour ma sœur, par exemple. L’état d’amour est un espace situé au-delà des polarités positive et négative. Dans cet espace, le bien et le mal, la lumière et la noirceur, le bon et le mauvais et toutes autres manifestations de la dualité coexistent au point d’équilibre appelé le point zéro. Le point zéro n’est pas un état neutre. Le point zéro n’est pas statique. Il est multidimentionnel, en mouvement continu et il se maintient au centre d’un changement perpétuel. Si le point zéro est constamment en mouvement, c’est que la force positive de la lumière et la force négative de la noirceur y cohabitent sans s’annuler, même si elles sont de polarités opposées.
Selon moi, la meilleure façon de s’imaginer visuellement le point zéro est d’utiliser l’image d’un ballon d’anniversaire rempli d’eau, flottant au milieu de l’océan, balloté et bousculé en tous sens en raison des aléas climatiques et du mouvement des bagues. Le point zéro se situe au milieu de ce ballon. Un point constamment en équilibre, au centre du ballon, malgré la turbulence extérieure.
Il est aussi possible d’imaginer le point zéro comme un point fictif au milieu d’une ligne droite ayant de chaque côté une polarité négative et une polarité positive, mais je préfère utiliser l’image d’une sphère. Au point zéro, la force positive s’avère optimale en raison de son potentiel mis en action par la présence de la force négative correspondante, les deux étant maintenues ensemble dans un équilibre parfait. Nous allons donc imaginer que deux forces opposées peuvent coexister dans le même espace sans qu’elles aient à s’unifier, comme le pôle Sud et le pôle Nord d’un même aimant.
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