Qui est ce Juge Intérieur

Posté par othoharmonie le 29 avril 2013

Qui est ce Juge Intérieur dans Chemin spirituel zen-2

Une part de notre esprit juge toute chose et chacun, y compris le temps, le chien, le chat : tout. Ce Juge intérieur utilise ce qu’il y a dans le Livre de la Loi pour juger tout ce que nous faisons et ne faisons pas, tout ce que nous pensons et ne pensons pas, tout ce que nous ressentons et ne ressentons pas. Tout est soumis à la tyrannie de ce Juge. Chaque fois que nous faisons quelque chose de contraire au Livre de la Loi, le Juge nous déclare coupable, nous devons être punis et avoir honte. Cela se produit plusieurs fois par jour, jour après jour, durant toutes les années de notre vie.

Une autre part de nous-mêmes reçoit ces jugements ; on l’appelle la Victime. La Victime subit la réprimande, la culpabilité et la honte. C’est cette partie de nous qui dit : « Pauvre de moi, je ne suis pas assez bon, je ne suis pas assez intelligent, je ne  suis pas assez beau, je ne mérite pas d’amour, pauvre de moi ». Le Juge est d’accord et dit : « Oui, tu n’est pas assez bon ». Et tout cela découle d’un système de croyances auquel nous n’avons jamais choisi de croire. Ces croyances sont d’ailleurs si fortes que même les années plus tard, lorsqu’on découvre de nouveaux concepts et qu’on essaye de prendre ses propres décisions, on réalise qu’elles contrôlent toujours notre vie. Tout ce qui va à l’encontre du Livre de la Loi nous fait ressentir une drôle de sensation dans le plexus solaire, que l’on appelle la peur. Contrevenir aux règles du Livre de la Loi rouvre vos plaies et votre réaction est de produire du poison émotionnel. Puisque tout ce qu’il y a dans le Livre de la Loi doit être vrai, tout ce qui remet en question vos croyances provoque un sentiment d’insécurité. Même si le Livre de la Loi est faux, il vous donne un sentiment de sécurité.

Voilà pourquoi il faut beaucoup de courage pour remettre en question ses propres croyances. Car même si on ne les a pas choisies, il est néanmoins vrai qu’on leur a donné notre accord. Celui-ci est si fort que même en comprenant, dans le principe, que ces croyances ne sont pas vraies, à chaque enfreinte aux règles on subit quand même la critique, la culpabilité et la honte.

L’être humain est le seul animal sur terre qui paie des milliers de fois pour chacune de ses erreurs. Tous les autres animaux ne paient qu’une seule fois pour les erreurs qu’ils commettent ; mais pas nous. Nous avons une puissante mémoire ; nous commettons une erreur, nous nous jugeons, nous nous déclarons coupable set nous nous punissons. Si la juste existait, cela suffirait ; on n’aurait pas à reproduire ce processus. Mai chaque fois que nous y repensons, nous nous jugeons à nouveau, puis encore une fois, et ainsi de suite. Si on a un mari ou une femme, il ou elle nous rappelle aussi notre erreur, afin que l’on puisse de nouveau se juger, de nouveau se punir et de nouveau se déclarer coupable n’est-ce pas ?

Si l’on regarde la société humaine, on constate que la raison pour laquelle il est si difficile d’y vivre est qu’elle est régie par la peur. Aux quatre coins de la planète on voit de la souffrance humaine, de la colère, un esprit de revanche, des toxicomanies, de la violence dans la rue, et une incroyable injustice. Présente à des niveaux différents dans chaque pays, la peur contrôle tout le rêve de la planète.

Chaque être humain a son propre rêve personnel et, comme celui de la société, il est généralement régi par la peur. On apprend à rêver l’enfer dans sa propre existence, dans son rêve personnel. Les mêmes peurs se manifestent de façon différente chez chacun, bine entendu, mais nous ressentons tous de la colère, de la jalousie, de la haine, de l’envie, et d’autres émotions négatives. Notre rêve personnel peut aussi devenir un cauchemar perpétuel dans lequel nous souffrons et vivons dans un état de peur permanent ; mais il n’st pas indispensable de faire des cauchemars. Il est possible d’avoir de beaux rêves. Toute l’humanité est à la recherche de la vérité, de la justice et de la beauté. Nous sommes constamment en quête de vérité parce que nous ne croyons qu’aux mensonges gravés dans notre esprit. Nous recherchons la justice parce qu’il n’y en a pas dans notre système de croyance ; nous recherchons la beauté parce que, peu importe le degré de beauté d’une personne, nous ne croyons pas qu’elle soit belle ; nous ne cessons de chercher et chercher, alors que tout est déjà en nous. Il n’y aucune vérité à trouver. Où que nous nous regardions, tout ce que nous voyons est la vérité, mais les accords que nous avons conclus et les croyances que nous entretenons nous privent d’yeux pour la voir.

Nous ne voyons pas la vérité parce que nous sommes aveugles, en raison des fausses croyances encombrant notre esprit. Nous avons besoin d’avoir raison et de donner tort aux autres. Nous avons confiance en nos croyances et celles-ci nous condamnent à souffrir. C’est comme si nous vivions au beau milieu d’un brouillard, ne nous permettant pas de voir plus loin que le bout de notre nez, un brouillard qui n’est même pas réel, qui n’est qu’un rêve, notre rêve de vie personnel, ce que nous croyons, tous les concepts concernant qui nous sommes, tous les accords que nous avons passés avec autrui, avec nous-mêmes et même avec Dieu. Notre esprit tout entier est un brouillard que les Toltèques appellent un mitote (prononcez mi-to-té). Notre esprit est un rêve dans lequel des milliers d e personnes parlent en même temps, et personne ne comprend  personne. Telle est la condition de l’esprit humain : un grand mitote, à cause duquel il nous est impossible de voir qui nous sommes vraiment.

 En Inde, on appelle le mitote « maya », ce qui signifie « illusion ». C’est l’idée que se fait la personnalité du « Je suis ». Tout ce que nous croyons à propos de nous-mêmes et du monde, tous les concepts et les programmes que nous avons en tête, tout cela est le « mitote ou maya ». Nous ne pouvons voir qui nous sommes vraiment, ni même que nous ne sommes pas libres.

 C’est pour cela que les humains résistent à la vie. Etre vivant est leur plus grande peur. Ce n’est pas la mort, mais le risque d’être vivant et d’exprimer qui l’on est vraiment qui suscite la peur la plus importante ; être simplement soi-même, voilà ce que l’on redoute le plus. Nous avons appris à vivre en nous efforçant de satisfaire les besoins d’autrui, à vivre en fonction du point de vue des autres, de peur de ne pas être accepté et de ne pas être assez bien à leurs yeux.

 Nous avons conclus des milliers d’accords ainsi, avec nous-mêmes, avec les autres, avec le rêve de notre vie, avec Dieu, avec la société, avec nos parents, notre conjoint, nos enfants. Mais les plus importants sont ceux que nous avons passés avec nous-mêmes. Au moyen de ces accords, nous nous disons qui nous sommes, ce que nous sentons, ce que nous croyons et comment nous comporter. Le résultat est ce que nous appelons notre personnalité. Dans ces accords, nous disons : « Voilà ce que je suis. «Voilà ce que je crois. Il y a des choses que je peux faire, d’autres non. Ceci est la réalité, cela est imaginaire ; ceci est possible, cela impossible ».

  Un seul de ces accords ne pose guère de problèmes, mais nombreux sont ceux qui nous font souffrir et échouer dans la vie. Si nous voulons connaître une existence faite de joie et de plénitude, il nous faut trouver le courage de rompre ceux de nos accords qui sont fondés sur la peur, et revendiquer notre pouvoir personnel. Les accords dérivés de la peur nous font dépenser énormément d’énergie, tandis que ceux découlant de l’amour nous aident à conserver cette énergie et même à en avoir davantage. Chacun d’entre nous est né avec une certaine quantité de pouvoir personnel que nous reconstruisons chaque jour en nous reposant ; malheureusement, nous épuisons tout ce pouvoir personnel à conclure nos accords puis à les tenir, de sorte que nous nous sentons impuissants. Nous avons tout juste assez d’énergie pour survivre chaque jour, car presque tout notre pouvoir sert à respecter les accords qui nous maintiennent dans le rêve de la planète. 

Si nous sommes capables de voir que nos accords dirigent notre existence, et si nous n’aimons pas le rêve de notre vie, alors il nous faut changer ces accords. Quand nous serons enfin prêts à le faire, il nous faudra une volonté très forte pour adopter les quatre nouveaux accords : toltèques, qui  eux, produiront suffisamment de pouvoir personnel pour que nous puissions changer toute la structure de nos anciens accords. 

 Il existe quatre accords toltèques très puissants qui nous aideront à rompre les autres accords issus de la peur qui nous vident de notre énergie. Vous verrez le drame de l’enfer disparaître sous vos yeux. Au lieu de vivre dans le cauchemar de l’enfer, vous créerez un nouveau rêve : votre rêve de paradis personnel.

  1. QUE VOTRE PAROLE SOIT IMPECCABLE
  2. QUOI QU IL ARRIVE N EN FAITES PAS UNE AFFAIRE PERSONNELLE
  3. NE FAITES PAS DE SUPPOSITIONS
  4. FAITES TOUJOURS DE VOTRE MIEUX
Extrait de Don Miguel Ruiz

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Ouvrir les portes de notre cité intérieure

Posté par othoharmonie le 29 avril 2013

 

Annick de Souzenelle vient de faire paraître un nouvel ouvrage aux éditions du Relié à nouveau co-signé avec Pierre-Yves Albrecht : L’initiation joliment sous-titré : Ouvrir les portes de notre cité intérieure. Dans cet entretien vidéo, elle répond à quelques questions de Marc de Smedt sur les thèmes traités dans ce livre concernant l’urgence de la prise de conscience et le besoin de rites initiatiques nouveaux à tous les âges de la vie.

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Le passeur de Sagesses

Posté par othoharmonie le 27 avril 2013

par Arnaud Desjardins

Il a rendu les traditions spirituelles orientales accessibles aux esprits occidentaux en quête de sens. Il a également fondé le premier ashram français, puis est devenu l’un des grands médiateurs de la quête intérieure.

Bien qu’il ait écrit une vingtaine de livres de référence, Arnaud Desjardins se veut plutôt homme d’images : réalisateur télé pendant vingt-deux ans, ce sont sa capacité à observer le monde et son âme de journaliste qui lui ont permis de s’immerger dans les grandes traditions spirituelles.

Participation aux groupes de réflexion et d’enseignement ésotérique créés par G. I. Gurdjieff, séjours en ashrams, retraite dans un monastère trappiste, périples au cœur du bouddhisme tibétain : ce fils de protestants, diplômé de Sciences Po, multiplie les expériences intérieures. Sa rencontre avec le maître indien Swâmi Prajnanpad sera décisive : cet ancien professeur de physique, au fait de l’œuvre de Freud, l’initie à la voie d’une transformation intérieure inéluctable.

De retour en France, il publie ses “Chemins de la sagesse”, qui transmettent son expérience personnelle et l’essence des textes sacrés.

Pensées

 

Le passeur de Sagesses dans SAGESSE 11-petit

La connaissance de soi
Grande leçon issue de l’adyatmayoga, l’enseignement de Swâmi Prajnanpad : le fondement de ce qu’on appelle « vie spirituelle » n’est autre que la psychologie, c’est-à-dire la connaissance du mental, qui englobe pensées et émotions. Mais la comparaison s’arrête là, car si le but en psychologie est de se connaître et d’essayer de devenir ce que l’on est, dans l’adyatmayoga, on recherche la disparition de l’ego. Dans les deux cas cependant, le propos reste de mieux vivre.

L’état sans ego ou la non-dualité
Essentiel, mais difficile, car il est inadmissible pour l’homme moderne de concevoir une réalité où son individualité n’aurait plus de place. Le paradoxe est le suivant : chaque être est unique, mais chacun voudrait inconsciemment que l’autre lui ressemble, qu’il agisse en conformité avec ses désirs, donc son ego. De cette dualité naît la souffrance. Le travail consiste donc à rechercher l’unité, à ne faire qu’un avec l’univers, car l’énergie est unique. Pour cela, il ne faut pas tenter de « tuer » l’ego mais, au contraire, assumer tous ses désirs, puis réaliser que la plénitude parfaite et durable ne peut être atteinte dans cette voie. Alors, seulement, les désirs tombent d’eux-mêmes. « La disparition de l’ego consiste en une mort à soi-même tel que nous nous connaissons aujourd’hui, une mort et une résurrection déjà si totales, que la mort du corps physique n’y enlève rien. »

L’état sans émotions
Les émotions définissent l’ego. Distinguer entre ce que l’on aime ou pas est source de joies et de souffrances. La libération consiste à s’affranchir de ces réactions : une chose n’est ni belle ni laide, elle est seulement à sa place. Sans émotions, est-on encore vivant ? « Oui, répond Arnaud Desjardins, car la mort de l’ego est la véritable naissance, la découverte de ce qui est au fond de nous. » C’est l’éclatement de la prison étroite du « je » qui libère une perception plus juste du monde.

La vigilance
Etre présent, attentif, conscient, savoir à chaque instant ce qui se passe en nous et autour de nous. Cette aptitude se développe et croît peu à peu par l’exercice de la méditation. Seule la vigilance permet de ne plus se laisser emporter par les émotions. Cette attitude n’a rien de spectaculaire, mais elle change tout. Ces moments de conscience, Arnaud Desjardins les appelle des « souvenirs » : on se souvient de soi-même, de son but, dusens de sa vie, et on reste maître de soi. Ainsi, on n’est capable de sentiments qu’en abandonnant les émotions.

Trouver son maître
Comme en thérapie, on ne peut s’engager sur les chemins de la sagesse sans être guidé par un être d’expérience ayant fait le chemin. Il stimule, bouscule, écoute et répond aux questions. « Si une personne ne réunit pas ces compétences, elle n’est en aucun cas un maître, mais un de ces aveugles guidant les aveugles… » Le maître ne révèle pas sa qualité par des prodiges spectaculaires, mais par sa réponse à une demande juste. Comment trouver son maître ? Par recommandation, en lisant des livres sur le sujet, au gré de retraites, etc. Puis le disciple s’arrête à celui qu’il reconnaît comme tel.

De même que nous sommes déjà nus sous nos vêtements, l’amour est déjà notre réalité fondamentale voilée par les craintes et les espoirs de l’ego.

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Qui est le Sage ?

Posté par othoharmonie le 27 avril 2013

Qui est le Sage ? dans SAGESSE 31La sagesse est discrète, humble, le plus souvent invisible pour les hommes passionnés qui en sont dépourvus. La sagesse n’est pas un produit manufacturé. On ne peut ni l’acheter, ni la vendre, ni la voler ni la trafiquer…

Le sage n’est pas médiatique. Il ne passe pas à la télé ou à la radio. Il n’écrit pas de livres ni ne fait de conférences sur la sagesse. La sagesse est la capacité libre d’analyser, de comprendre, d’aimer, d’apprécier, de supporter, de tolérer, de respecter, d’accepter mais aussi de renoncer.

Le sage pourrait se définir comme un homme n’ayant ni dieu qui aliène sa raison ni maître qui aliène sa liberté. Toute aliénation ne pouvant conduire qu’à un emprisonnement de la conscience et à une perversion du jugement.

Un sage pourrait aussi se définir comme étant un homme d’expérience, qui connaît profondément la vie et les hommes. Le sage a appris la différence entre le bien et le mal et applique cette connaissance à chaque minute de sa vie. C’est un homme qui a connu la douleur et la souffrance et qui les a acceptées comme étant des éléments incontournables et inéluctables de la vie. Un homme qui a appris à pardonner. Un homme qui a appris au contact des autres.

Contrairement aux autres hommes, le sage est un homme attentif à ses semblables car il sait que des opinions différentes sont une perpétuelle source d’enrichissement et de connaissance. Le sage est un homme qui a su comprendre les autres, qui les a regardé vivre avec leurs plus grande qualités et leurs pires défauts. Il a appris à les voir avec amour, indulgence et compassion. C’est aussi un homme qui a beaucoup voyagé sur la terre et aussi dans le coeur des hommes. Un homme qui a rencontré et aimé tous les peuples de la terre et qui a vécu tous les sentiments et toutes les émotions des autres hommes.

Un sage pourra se distinguer par ses actions et par les préalables qui l’auront conduit à décider de mener ces actions. Mais parfois la sagesse lui dictera de mener ces actions de façon différente ou de ne pas les accomplir, selon les circonstances.

Le sage n’est pas un homme parfait. Le sage n’est pas à l’abri de commettre des erreurs. Mais lorsque il en aura commis, il les reconnaîtra, il les réparera, il demandera pardon à ceux qu’il aura pu léser et il paiera sa dette jusqu’au bout, dut-il suer sang et eau, jusqu’à ce qu’elle soit acquittée. Mais surtout, il tirera toujours la leçon de ses erreurs et saura ne jamais plus les répéter. Car nos erreurs, si elles nous font souffrir et font souffrir d’autres êtres, nous apportent cette grande richesse qu’est l’expérience. Cette même expérience qui nous apprend aussi à accepter et à pardonner les erreurs des autres.

Le sage n’est pas un être passionné. C’est un être réfléchi. Il n’éprouve pas de haine dévorante ni de fanatisme. Il cherche seulement à comprendre. Mais il peut aussi aimer ou ne pas aimer, tout simplement.

Le sage s’est détourné et s’est affranchi de toutes les passions qui aliènent les autres hommes et les maintiennent dans un demi-esclavage physique et intellectuel.

Il a atteint la sérénité de l’esprit et du corps à la suite d’un long travail sur lui-même. Il a su contrôler et maîtriser ses hormones, ses pulsions et ses instincts, tout ce qui représente notre part biologique animale.

L’homme ordinaire parle beaucoup, à tort et à travers. Il s’écoute parler. Il fait beaucoup de bruit, il voudrait être le centre de tout les intérêts, car son ego est immense, et être considéré comme le plus grand, le plus beau, le meilleur.

Le fou veut toujours imposer son avis aux autres.

Le sage ne parle pas ou peu. Il écoute, observe et se tait. Il est un éternel apprenti, car il a compris qu’aucun être humain ne pourra jamais détenir toute la science ni toute la connaissance. Il a compris que la plupart des hommes ne retiennent jamais les leçons de la vie ou de l’histoire. Il a aussi compris que celui qui parle tout le temps est sourd et que le seul à s’enrichir véritablement est celui qui écoute. Mais c’est une richesse intérieure, qui ne se monnaye pas. Le sage n’impose jamais son point de vue. Il ne viendra jamais vous dire ce que vous devriez faire. Il sait bien que les hommes sont sourds à la raison et au bon sens.

Le fou ne demandera jamais l’avis du sage. Car tous les fous se croient des sages.

Le sage saura parfois demander l’avis d’un homme simple, d’un homme auquel on ne pense jamais à demander son avis, sans que l’on sache pourquoi. Car le sage sait qu’en chaque être humain il existe des parcelles de sagesse. Et parfois, celui qui regarde les choses de l’extérieur, de très loin, peut avoir un avis beaucoup plus sensé et sage que celui qui est au cœur de l’action et qui est totalement concerné et impliqué dans sa problématique.

Le sage n’est ni un moraliste ni un grand donneur de leçons comme, il y en a tant. Il sait que la sagesse vient du coeur, de l’intérieur de l’être. Le sage n’est pas parfait et il le sait.

Le sage n’accuse pas, ne critique pas, ne condamne pas. Il essaie seulement de comprendre.

L’homme ordinaire se plaît à accuser et à condamner les autres hommes, non pas pour les fautes qu’ils ont commises mais parce qu’en abaissant un autre il croit s’élever. Les hommes ont ce besoin d’abaisser les autres, toujours et partout. L’autre est différent, cela suffit à l’accuser et à le condamner.

Le sage possède un raisonnement sain, une conscience aiguë de la réalité des choses, un grand sens de la justice et de l’équité et de ce qui est bon ou mauvais pour l’homme et pour la nature.

Le sage se gardera de juger sans connaître tous les tenants et aboutissants d’une situation. Et encore portera-t-il un jugement empreint de réserve, car il sait combien les apparences sont trompeuses et combien les hommes sont habiles à les manipuler et à les faire paraître différentes de ce qu’elles sont réellement.

Le sage se garde de juger un autre homme de manière définitive, car il sait que bien des choses restent souvent dans l’ombre dans la personnalité d’un être humain et qu’un jugement est toujours perverti s’il n’a pas été fait en parfaite connaissance de cause.

L’homme qui est moins fou ou moins stupide que les autres viendra un jour voir le sage et lui demandera comment faire. Alors, le sage lui répondra avec bienveillance et lui expliquera comment il pourrait faire ou comment il pourrait apprendre à le faire ou si il doit effectivement le faire ou ne pas le faire. Et l’homme moins stupide s’en retournera enrichi de ce contact et de cet échange. Et celui-là aura fait un pas vers la sagesse en acceptant un autre avis que le sien.

Chez certains peuples d’Afrique et d’ailleurs, il existe dans chaque village un homme que l’on respecte et que l’on vénère simplement pour sa sagesse. On vient de loin pour le consulter et lui exposer ses problèmes. Il est toujours là, à l’écoute, et il donne parfois des conseils. Quand il ne sait pas, alors, il dit : «Je ne sais pas».

Dans nos pays, celui qui ne sait pas n’osera jamais l’avouer, par peur du ridicule, par peur de passer pour un inculte ou un idiot. Mais la grande sagesse consiste pourtant bien à ne pas donner d’avis si l’on n’en a pas, plutôt que de donner un mauvais avis qui peut ruiner la vie d’une personne.

Beaucoup d’hommes ne sont pas forcément des sages, mais, occasionnellement, leurs comportements, leur actions ou leurs paroles seront guidés par la sagesse. Un homme peut être touché par la sagesse à certains moments de sa vie et pas à d’autres, tout aussi bien qu’en certains lieux ou en certaines circonstances.

Si des hommes peuvent parfois faire preuve de sagesse, très rares et exceptionnels sont les hommes qui peuvent justement mériter le titre de sage, car si le germe de la sagesse demeure en chaque être humain, celui de la folie lui reste intimement lié toute sa vie, quelque part dans les méandres du labyrinthe de son cerveau. Et l’histoire et l’expérience ont plus d’une fois montré que le pas à franchir était dérisoire entre sagesse et folie.

Si un jour, sur votre route, vous croisez un homme qui se dit être un sage, fuyez-le. Car les vrais sages sont des hommes qui possèdent les vertus de la sagesse et qui en ont à peine conscience et plus que tout ne s’en enorgueillissent jamais.

Les sages n’ont pas de boutiques, ni d’entreprises, ni de multinationales, ni de capitaux, ni d’actions en bourse. Le sage est un homme simple et bon, sans haine ni passion. Le sage est un être illuminé. Il a reçu la lumière de la raison, du bon sens et du discernement. Et il suffit de lui demander de nous communiquer un peu de sa lumière pour qu’il nous l’offre comme un trésor précieux. Mais la plupart des hommes sont trop arrogants pour reconnaître un sage parmi eux et trop orgueilleux pour s’abaisser à le consulter.

Le sage ne cherche pas à occuper une place qui n’est pas la sienne. Et lorsque il occupe une place à laquelle il a fait son temps, c’est avec grâce qu’il la quitte et la laisse à un autre.

Le sage ne consacre pas sa vie à la poursuite de la performance, quelle qu’elle soit, physique, sportive, technique, sport-extrêmiste, gratuite ou pour voir son nom inscrit dans le Livre des Records. Ce sont de fausses performances, seulement celles de l’ego, c’est-à-dire de l’illusion. La seule performance qui peut grandir un homme, c’est de devenir un homme meilleur et plus éclairé, un homme plus sage.

L’âge ne confère pas la sagesse. L’âge ne fait rien à la sagesse. Un enfant peut être un sage tout comme peut être fou un très vieil homme.

Le sage ne fait pas de différence entre les hommes, malgré tous les efforts que font les hommes pour tenter de se différencier les uns des autres et bâtir des remparts entre eux.

 Auteur inconnu

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Moi, je fais l’amour avec Dieu

Posté par othoharmonie le 25 avril 2013

« Moi, je fais l’amour avec Dieu »

 Témoignage A LIRE

Le Boucher d’Alina Reyes (Points, 2009).

Psaumes du temps présent d’Alina Reyes
« On peut lire ces prières aussi bien en pensant à un amour humain qu’à l’amour divin, précise Alina Reyes. C’est important de ne pas quitter terre, tout en connaissant le ciel ! » (Presses de la Renaissance, 2009).

Alina Reyes, auteure de romans érotiques, nous livre le récit intime de sa rencontre avec le nouvel amour de sa vie : Dieu.

Moi, je fais l'amour avec Dieu dans DIEU 121

«Dieu est mon Époux, mon Aimé, mon Adoré, mon Désir d’Orient, mon Amant de feu. Moi, je fais l’amour avec Dieu. Autour de moi, mes paroles surprennent. J’ai grandi dans un milieu athée dans lequel Dieu est tabou. Pourtant, depuis mon enfance, j’ai une conscience énorme de Dieu, mais je ne savais pas le nommer. L’érotisme a été notre chemin de rencontre. L’érotisme m’a appris à être, avec les hommes, en état d’ouverture, de réceptivité, d’abandon… Toutes ces dispositions m’ont été utiles pour recevoir Dieu. Dieu approche chacun à sa façon, en lui parlant le langage qu’il comprend. Avec moi, Dieu a employé la langue charnelle et sensuelle. Mais je ne mélange pas les genres : quand je fais l’amour, je ne me mets pas à penser à Dieu, je suis pleinement dans ce que je vis en cet instant. L’érotisme est un échange. Il n’a rien à voir avec la vieille idée de Georges Bataille, pour qui le plaisir érotique vient de la transgression et jouit de la culpabilité – c’est plutôt le signe d’une grande impuissance à appréhender la joie de la chair et de l’amour. C’est comme si, pour vous initier au plaisir des fruits, on commençait par vous proposer d’en manger des pourris !

La chair n’est pas de la viande morte, mais un corps animé par une âme. Dans Le Boucher (1), mon premier roman, je parlais de “l’entrée éblouissante du Sauveur”, avec un S majuscule, pour décrire une scène d’amour. On m’avait demandé d’ôter la majuscule parce que cela pouvait être “mal interprété”. Pourtant, c’est bien ainsi que je ressentais les choses. J’en fais l’expérience chaque jour : la mystique est sensuelle, et l’amour de Dieu, érotique. Les mystiques savent tenir tous leurs sens en éveil pour communiquer avec l’être qui les dépasse infiniment. Il faut relire les textes de sainte Thérèse d’Avila ou de saint Jean de la Croix. La foi ouvre au croyant un sixième sens, le sens spirituel, qui lui permet de goûter la présence de Dieu. Le christianisme est la religion de l’incarnation, et donc de la sensualité : l’Esprit est venu en Marie, Jésus a pris chair.

Entrez dans les églises et regardez les fresques et les peintures, on y voit des corps en gloire, des vierges qui donnent le sein ! Aux premiers siècles, les pères de l’Église parlaient de Dieu en des termes très sensuels. Puis la peur de la chair, qui est une peur de la liberté humaine, a repris le dessus… Plus j’avance sur mon chemin, plus je comprends intimement la figure de Marie Madeleine (que j’explore dans mon prochain roman), d’une part, à cause du regard que l’on a porté sur elle et qui ne correspondait pas forcément à ce qu’elle était; d’autre part, parce que l’amour des hommes l’a menée, elle aussi, à l’amour de Dieu. »

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Créer son temple érotique

Posté par othoharmonie le 25 avril 2013

 

Créer son temple érotique dans La Sexualité Sacrée amour-coeur-00055Prier ou méditer dans un lieu de culte donne au recueillement une saveur particulière. L’air y semble plus vibrant, le silence plus habité. Il en va de même pour l’amour. « Ce qui fait d’une pièce un temple pour la prière ou l’amour, c’est l’intention, avance Catherine Bensaid. Il ne s’agit pas de transformer sa chambre en palace érotique, mais de l’investir avec une intention particulière, celle de se retrouver dans une intimité privilégiée. » Bien sûr, bougies, encens et lumière douce apportent un plus, mais ils ne sont que les supports concrets du désir d’élever une cloison entre le monde extérieur, profane, et le monde intérieur, sacré.

« Avoir conscience de cette aspiration spirituelle et sensuelle permet d’échapper à la “fétichisation” du lieu, ajoute Brigitte Martel. Bâtir son temple est un état d’esprit, le désir de sacraliser la rencontre sans la coincer dans des rites. » La thérapeute rappelle quelques réalités « tue l’amour » : les chambres parentales envahies par les enfants ou leurs jouets, la télévision ou la planche à repasser faisant office d’autels… N’oublions pas que chaque objet matériel a une correspondance dans le monde immatériel. Ce n’est pas un hasard si les règles du feng shui préconisent, pour la chambre du couple, des formes rondes, peu de meubles, des représentations symboliques de l’amour et la présence dynamisante de la couleur rouge.

Sur la voie de l’amoureux : http://lavoiedelamoureux.com/

1. Arouna Lipschitz, auteure de 52 Clés pour vivre l’amour (Dervy, 2007). 
Pour tout renseignement sur son atelier : 0140840357 et www.arouna.com

Depuis un an, la philosophe et thérapeute Arouna Lipschitz (1) enseigne à des groupes d’hommes et de femmes « La voie de l’amoureux ». Le but : en petits ateliers, offrir à chacun des clés pour ouvrir les portes de l’esprit, de l’âme en même temps que celles du cœur et du corps amoureux. Apprendre à mieux aimer, à passer du sexe à la relation sexuelle tout en interrogeant son histoire et son désir, telle est l’invitation philosophique à laquelle sont conviés tous ceux qui veulent faire de leur couple un lieu d’épanouissement et de développement personnel.

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S’abandonner en confiance

Posté par othoharmonie le 25 avril 2013

S'abandonner en confiance dans La Sexualité Sacrée 4

Pour Catherine Bensaid, la sexualité sacrée ne peut exister que dans l’abandon, « si l’on accepte d’être vraiment nu, au propre et au figuré, sans gêne, face à l’autre. Quand les deux amants sont dans cette qualité de relation, ils entrent dans un “au-delà du corps”, où c’est l’être tout entier qui fait l’amour ». S’abandonner corps et âme, sans attentes – mushotoku, « sans but ni esprit de profit », disent les maîtres zen lorsqu’ils décrivent l’état d’esprit qui favorise la venue de l’éveil. Car il s’agit bien de désirer sans projeter, de se montrer activement passif et passivement actif, comme le préconisait le maître spirituel indien Swâmi Prajnânpad. Si une telle posture n’est pas facile à adopter spontanément, c’est parce que « nous sommes davantage dans la culture du contrôle que dans celle du lâcher-prise, note Alain Héril. L’abandon nécessaire à cette célébration du corps et de l’esprit exige de la confiance, à la fois en soi et dans son partenaire ».

Brigitte Martel suggère, dans un premier temps, de repérer nos freins intérieurs. Ces derniers peuvent prendre la forme de préjugés sur la sexualité, provenir d’échecs, de trahisons, d’expériences douloureuses qui ont mené à la fermeture du corps et du cœur. Puis ceux de notre partenaire : est-il dans le jugement, l’inhibition, la répétition ? Sans confiance ni connivence, l’abandon est impossible, et les explorations érotiques sont vouées à la domination ou à la manipulation.

Célébrer son couple au quotidien

Se désirer dans un émerveillement renouvelé ne se décrète pas. Le désir est volatil, lunatique, mystérieux, c’est aussi ce qui fait son charme et son prix. Mais pour s’épanouir, ou ne pas s’évanouir, il a besoin d’un climat propice. « L’une des expressions les mieux partagées de la spiritualité est la gratitude, remarque Alain Héril. Rendre grâce à l’univers pour sa beauté et son abondance grandit l’être et lui fait contacter ce qu’il a de meilleur en lui. Il en va de même pour le couple. Le désir meurt de trop de reproches ou de trop d’indifférence distraite. » Il ne s’agit pas de se noyer mutuellement sous un flot de tendresse, mais de dire – par l’écoute, le réconfort, une attention, un compliment – à quel point l’autre compte pour soi. « L’énergie sexuelle ne tombe pas du ciel, affirme Alain Héril. Plus le quotidien du couple est stimulant et amoureux, plus l’énergie de la rencontre sexuelle sera joyeuse et créative. La spiritualité dans la sexualité, c’est aussi cesser de cloisonner, de séparer les choses, de les diviser. »

S’initier à l’échange des rôles

L’un des pièges de la sexualité contemporaine est, selon Brigitte Martel, la tentation égalitariste : « Le postulat est que l’homme et la femme étant égaux, ils doivent agir de la même façon sur le plan sexuel. Cela n’est tout simplement pas possible. Comment être passif ou actif simultanément ? » La thérapeute donne à ses patients un exercice destiné à explorer alternativement les polarités yin (accueil) et yang (action) de leur sexualité. Dans ce qu’elle nomme « le jeu du roi et de la reine », il s’agit d’occuper, un soir, le rôle du passif, puis celui de l’actif. Cela permet de mettre les partenaires à égalité, tout en faisant appel à l’imaginaire de chacun.

La docteure Mireille Bonierbale rappelle que le célèbre duo de sexologues américains Masters et Jonhson proposait aux couples un exercice au cours duquel l’un explorait, par des caresses, le corps de son partenaire, lequel devait lui communiquer ses sensations. Le but était d’apprendre à se donner un plaisir « sur mesure ». « Nous vivons trop souvent la sexualité de notre partenaire comme une prolongation de la nôtre, constate Mireille Bonierbale. C’est illusoire à double titre : parce que femmes et hommes sont différents, et parce que nous sommes tous le fruit d’une construction psychoaffective unique. Nous avons tendance à oublier que ce qui est stimulant dans l’érotisme, c’est la différence, la part d’inconnu que nous convoitons et qui nous trouble. » Le sentiment de communion grandit quand, dans le plaisir donné et reçu, nous avons le sentiment d’approcher cet univers étranger et de le partager, quelques instants au moins…

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S’éveiller à une sexualité sacrée

Posté par othoharmonie le 25 avril 2013

 

S'éveiller à une sexualité sacrée dans La Sexualité Sacrée 49Nous pouvons nous libérer de la morale et des normes pour inventer, ou réinventer, une autre sexualité. Une sexualité qui remet le corps en son centre, qui le libère, pour lui rendre toute son intelligence, sensorielle et relationnelle. « C’est là l’enjeu de ce que j’appelle l’amour sexuel, c’est-à-dire une sexualité reliée à une dimension spirituelle, et qui permet d’accéder par le corps à la chair, ce lieu des affects, des émotions, de l’intimité, poursuit Jean-Michel Hirt. Cela implique la capacité d’aller vers l’inconnu de soi et de l’autre, d’accepter d’être ému, troublé. La rencontre sexuelle peut alors être de l’ordre d’un éblouissement, convoquant les sens et l’esprit. »

La spiritualité n’est pas chose abstraite. Le sexothérapeute Alain Héril, auteur des Continents féminins, voyage au cœur du plaisir des femmes (Jean-Claude Gawsewitch, 2008), évoque la proximité entre les mots « sacrum » (os du bas de la colonne vertébrale) et « sacré ». Dans la sexualité hindouiste, la kundalini, « l’énergie sexuelle », est décrite comme un « serpent de feu » lové au niveau du sacrum et qui, se dépliant lors de la relation sexuelle, fait circuler l’énergie vitale dans tout le corps, reliant ainsi l’homme et le cosmos. « La dimension spirituelle de la sexualité ne peut être atteinte qu’en partant du corps, insiste Alain Héril. Il s’agit donc de le mettre au centre, de manière consciente et aimante. » Accéder à une dimension de soi plus grande que soi ne peut se faire que si l’on consent à prendre le risque de la relation intime. La sexualité spirituelle serait donc essentiellement une qualité de présence aimante à soi et à l’autre. S’il n’existe évidemment aucun mode d’emploi, aucune cartographie prédéfinie, six pistes peuvent toutefois nous rapprocher de cette dimension sacrée.

Considérer la spiritualité comme une quête personnelle

Pendant des années, Arouna Lipschitz, philosophe et thérapeute (lire ci-dessous), a pratiqué le tantrisme pour concilier sexualité et spiritualité, avant de se rendre compte que, dans le tantra, la relation sexuelle était certes une passerelle pour « basculer dans l’espace transcendant », mais qu’elle transformait aussi l’autre en simple piste d’envol. « Le contraire de ce que j’enseigne, où il s’agit d’incarner sa spiritualité et de vivre une sexualité fondée sur le fait d’être vraiment en relation avec son partenaire, et non d’avoir des relations avec lui », explique la philosophe.

Mêmes préconisations chez Brigitte Martel, auteure de Sexualité, Amour et Gestalt(InterÉditions, 2007) et gestalt-thérapeute, qui pointe les risques d’une sexualité sacrée soumise à de nouvelles contraintes de performance : « L’impératif d’avoir à communier ensemble dans l’extase serait l’équivalent spirituel de l’obsession de l’orgasme ou de l’érection parfaite. » La spiritualité n’est pas un adjuvant destiné à renforcer ou à sublimer une relation. « C’est une quête personnelle dont les effets vont se faire sentir dans la sexualité, et pas une quête dans la sexualité », nuance la psychanalyste Catherine Bensaid, auteure avec Jean-Yves Leloup de Qui aime quand je t’aime ? (Pocket, “Évolution”, 2007). Méditation, prière, relaxation, mais également recherche du beau, du bien, du vrai… toutes ces aspirations et pratiques favorisent l’éveil d’une conscience plus attentive, plus aimante et plus créative au moment des échanges avec notre partenaire.

Habiter entièrement son corps

Dans le tantra, comme dans les branches psychocorporelles de la thérapie, l’accent est mis sur un corps partenaire, soigné et regardé avec le maximum de bienveillance. « C’est un temple, un lieu sacré, qui nous permet d’être, d’être conscient d’être, et de pouvoir entrer en relation avec les autres, souligne Alain Héril. Se le rappeler régulièrement devrait nous faire éprouver de la tendresse pour lui. » Ainsi, en prendre soin, le toucher, le caresser augmente nos sensations et développe notre sensualité en élargissant nos zones érogènes à l’ensemble de notre corps. Le sexothérapeute poursuit : « Au moment de la rencontre sexuelle, c’est l’ensemble du corps qui va réagir, vibrer, l’“être-corps” va se dilater et se déployer, là, avec notre partenaire, et nous ouvrir à une autre dimension de nous-mêmes. »

Pour renforcer le lien avec notre corps, Brigitte Martel propose un exercice, pas aussi simple qu’il peut en avoir l’air : « Il s’agit de parler directement à notre sexe, lui dire nos attentes, nos gênes, nos plaisirs, nos peurs. Cette parole annihile les dissociations corps-sexe, et permet d’être à l’aise avec le regard, les mains et le sexe de l’autre lors de la rencontre sexuelle. »

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L’Homme et Dieu

Posté par othoharmonie le 25 avril 2013

L'Homme et Dieu dans DIEU 37

Pourquoi tant de malheurs chez l’Homme si Dieu est Amour ?

Tout simplement parce que vous faîtes encore une distinction entre les Hommes et Dieu.

Vous placez Dieu comme un élément parfait, l’essence de chaque choses. C’est vrai. Seulement vous placez Dieu en dehors de l’Homme c’est là où réellement se trouve le problème. Comment l’Homme peut-il guider sa vie par l’Amour s’il n’est même pas conscient qu’il est Dieu lui aussi ? Certes sur terre tous les niveaux de conscience sont réalisés, mais la planète atteint son apogée d’erreurs ce dernier siècle. 

Comme vous êtes coupés de ce fondement divin, alors il n’est pas surprenant de voir toutes ces catastrophes arriver sur le plan humain. Cependant il ne faut pas oublier une chose, quand quelque chose que vous jugez très affreux vous arrive d’un coup, il s’agit en fait de quelque chose que vous avez à expérimenter. Il s’agit d’une expérience à vivre. Alors certes, le détraqué a sa grande part de responsabilité dans ses actes mais si cela arrive sur vous ce n’est pas un hasard. Vous aviez quelque chose à apprendre et il y a de grandes chances que vous l’ayez programmé là-haut avant de vous incarner. La chose est la même pour les enfants. L’endroit de naissance, le choix des parents est volontaire de sa part. Dieu n’a pas à aller à l’encontre de ces événements car il irait à l’encontre de la personne et de ses choix profonds. 

Dieu sait que la Vie sur Terre n’est pas la vrai vie, il sait donc que l’âme est là pour apprendre même si elle peine beaucoup. Tout cela ne dure qu’un temps. Dieu ne peut pas aller à l’encontre de vos choix, de vos décisions, il vous laisse ce libre arbitre qui vous rend libre par rapport à lui. Maintenant si vous prenez conscience de sa présence et que vous lui demandez de l’aide parce que vous n’arrivez pas à vous en sortir alors il vous répondra, c’est certain. Mais ce n’est pas parce qu’il ne vous répond pas de la manière que vous souhaitez qu’il ne le fait pas. C’est à lui que revient le choix de la réponse. Il sait exactement ce dont nous avons besoin pour notre évolution.

Ce sont pour ces raisons que nous n’avons pas le droit d’accuser Dieu pour les  » horreurs  » qui se passent sur terre. C’est à l’Homme de prendre ses responsabilités. Mais n’oublions pas que si nous nous qualifions « horreur  » certaines choses c’est que nous jugeons la chose en elle-même alors que l’âme dans son évolution appelle cela expérience. 

Article 24 © GDL – source-lumiere.net – 2002-2008

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Comprendre la paix

Posté par othoharmonie le 24 avril 2013

 

Le spiritualiste dans la société

Le vrai spiritualiste a longuement sondé en lui-même la nature divine et la nature humaine, il a expérimenté la loi de causes à conséquences : il sait que la matière obéit aux forces psychiques, et les forces psychiques aux forces spirituelles. C’est pourquoi dans la société où il vit, il travaille avec la lumière et l’amour, consciemment, pour modeler le monde de demain.

  Comprendre la paix dans APPRENDS-MOI 82

Comprendre la paix – Extrait de la collection Izvor N° 208 – Omraam Mikhaël Aïvanhov

 Combien de gens travaillent pour la paix dans le monde ! Mais en réalité ils ne font rien pour que cette paix s’installe vraiment. Ils n’ont jamais pensé que c’est d’abord toutes les cellules de leur corps, toutes les particules de leur être physique et psychique qui doivent vivre d’après les lois de la paix et de l’harmonie afin d’émaner cette paix pour laquelle ils prétendent travailler. Pendant qu’ils écrivent sur la paix, qu’ils se réunissent pour parler de la paix, ils continuent à alimenter la guerre en eux, car ils sont sans cesse en train de lutter contre une chose ou une autre. Alors, quelle paix peuvent-ils apporter ? La paix, l’homme doit d’abord l’installer en lui-même, dans ses actes, ses sentiments, ses pensées. C’est à ce moment-là seulement qu’il travaille véritablement pour la paix.

 Vous pouvez vous procurer les livres d’Omraam aux Editions PROSVETA lien http://www.prosveta.com/

 

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Apprendre à s’aimer

Posté par othoharmonie le 24 avril 2013

Apprends à t’aimer inconditionnellement

 Apprendre à s'aimer dans APPRENDS-MOI 30

« La prochaine fois que tu seras confronté à une condition ou à une circonstance que tu jugeras problématique, exprime de la gratitude immédiate non seulement pour la solution mais pour le problème même. Ce faisant, tu changeras instantanément ta perspective et ton attitude à son égard. Ensuite bénis-la. Donne-lui tes meilleures énergies et tes pensées les plus élevées. Tu t’en fais alors une amie, et non une ennemie : elle te soutient, plutôt que de s’opposer à toi. Puis, accepte-la et ne résiste pas au mal. Car ce à quoi tu résistes persiste. Tu ne peux changer que ce que tu acceptes. Ensuite enveloppe-la d’Amour. Peu importe ce que tu vis, tu peux littéralement éloigner par l’Amour toute expérience non désirée. Finalement sois joyeux, car le résultat exact et parfait est à la portée de la main. Rien ne peut t’enlever la joie, car la joie c’est Qui Tu Es et Qui Tu Seras Toujours. Alors devant chaque problème, fais quelque chose de joyeux. »

« Apprends à t’aimer et accepte-toi tel que tu es présentement. Aime tout ce que tu as déjà créé. Tu n’as pas à être parfait avant de réaliser l’oeuvre de ta vie. Accomplir cette oeuvre t’aidera à grandir et à évoluer. En t’aimant et en t’acceptant tel que tu es maintenant, tu ouvres la porte à de nouvelles possibilités. Tu as toujours fait du mieux que tu pouvais. Commence à t’apprécier tel que tu es plutôt que de penser à qui tu aurais préféré être. Cela t’aidera à progresser plus facilement. Y a-t-il une chose pour laquelle tu t’es jugé sévèrement ces derniers temps ? Si oui, chaque fois que tu penseras à cette chose, essaie plutôt de t’apprécier pour toutes les bonnes choses que tu as faites. »
-citation de  Orin et Daben

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Apprendre la sagesse

Posté par othoharmonie le 23 avril 2013

 Apprendre la sagesse dans Chemin spirituel 29

Abhinavagupta vécu au Cachemire à partir de la fin du dixième au début du XIe siècle, AD Il était peut-être la figure spirituelle la plus importante vivant à cette époque et est crédité de synthétiser les canons disparates de Shaiva philosophie dans un système homogène. Abhinavagupta s’exprime pleinement que dans le système Tantraloka.

Une de ses grandes contributions à l’enseignement spirituel était son refus d’accepter les croyances établies que la liberté n’est disponible que pour certains et pas à d’autres. Il a catégoriquement nié les restrictions de caste et de genre que les pratiques orthodoxes de l’époque avaient expliqué, et a réfuté la croyance répandue que la pratique spirituelle n’est possible que dans les environnements «purs et monastique». Au lieu de cela, Abhinava appris qu’une personne d’une caste, le sexe ou circonstance pourrait atteindre la liberté spirituelle. Il a effectivement contredit l’idée que seuls les ascètes pourraient atteindre Samadhi, catégoriquement indiquant que les ménages ont le même droit et la capacité de libération. Le Tantraloka énonce le moyen par lequel cette liberté est atteint.

Les enseignements de Abhinavagupta étaient controversés de son temps, mais parce qu’il a parlé du niveau d’expérience directe, personne n’a été capable de le réfuter. Il était un maître de toutes les grandes traditions tantriques et c’est cette maîtrise qui a permis Abhinava de présenter les enseignements que nous connaissons maintenant comme le Tantraloka. Au fil du temps il est venu à être considéré comme l’autorité finale sur tous les aspects de Shaivism. À ce jour, les écrits et les enseignements de Abhinavagupta continuent d’influencer profondément toutes les personnes qui s’intéressent à Shaivism.

Abhinavagupta étudié aux pieds de nombreux enseignants, même bouddhistes et Vaisnava. Il a appris de Pratyabhijna de Laksmamagupta, un disciple direct de Utpaladeva et a contribué de longs commentaires complexes à l’œuvre de Utpaladeva. D’autres enseignants, il a étudié la critique littéraire et la dramaturgie. Il a écrit des commentaires vastes et faisant autorité sur la Dhvanyalocana (les Réflexions sur Suggestion) par le Cachemire Snandavardhana, l’une des plus grandes œuvres sur sanskrit poétique. Il a également écrit un long commentaire sur le Natyasatra, le texte de la racine sanscrite sur Drama. Sa plus grande contibution, cependant, était à Trika Shaivism. Il a reçu l’initiation à Trika de Sambhunatha, qui, nous dit-on, est venu de Jalandhara, qui peut avoir été dans le Punjab. Sambhunatha reçu l’initiation de Sumati qui vivait dans le Deccan (daskinapatha).Abhinavagupta croyait Trika être la plus grande tradition spirituelle en Inde. En accord avec un système de classement trouvée dans les tantras eux-mêmes, qu’il croyait toutes les Écritures, à partir de Védas, d’avoir été révélé par Siva. Abhinavagupta, supplié par ses disciples et inspiré par la divinité, a pris la tâche d’exposer le enseignements de cette pleine intégrante Trika, qu’il appelait Anuttara Trika Kula. Abhinavagupta expose les enseignements de Anuttara Trika Kula dans plusieurs textes importants et très riche dont la principale est sa grande Tantraloka la lumière des tantras - certainement l’un des livres les plus importants jamais écrits en Inde, et l’un des plus vaste et riche œuvres d’une école tantrique.

extrait de la sagesse de ABHINAVAGUPTA

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L’état naturel

Posté par othoharmonie le 23 avril 2013

 

L'état naturel dans Etat d'être 14

Dans le dzogchen le principal est la connaissance de l’état naturel. Si on a cette compréhension, tout peut être intégré dans cet état. C’est pourquoi on parle toujours d’intégration lorsqu’on pratique le dzogchen. « Intégration » ne signifie pas mettre deux choses ensemble ou changer les aspects de quelque chose.

 Tout simplement présents dans l’état lui-même, nous ne faisons absolument rien. C’est la méthode caractéristique de l’enseignement dzogchen et le sens véritable de la clarté. Dans la pratique du dzogchen, il n’est pas nécessaire de s’asseoir les yeux fermés tout en fixant un point unique comme on le pratique dans les soutras. Ce n’est pas le principe. Nous ne considérons pas que la contemplation ou méditation consiste à rester silencieux. Cette attitude appartient à la tradition des soutras, qui s’est beaucoup développée partout. Certains pensent que si quelqu’un s’assoit sans bouger, même avec les yeux fermés, de cette façon il médite.

 Mieux encore, la personne qui agit ainsi croit également qu’il, ou elle médite.

 De nombreux Occidentaux ressentent un grand intérêt pour l’enseignement tantrique, mais n’aiment pas le pratiquer. De leur point de vue ce n’est pas véritablement la méditation, mais plutôt seulement des psalmodies et des rituels. Ces personnes ne savent pas réellement ce qu’est la contemplation, et considèrent que la méditation c’est seulement être assis en silence, sans bouger. Le véritable sens de méditation ou contemplation, telle que l’a enseigné Bouddha Shakyamouni, est de demeurer dans notre nature véritable. Comment pouvons-nous nous trouver dans cette nature véritable ?

 Puisque notre nature véritable n’est pas seulement la vacuité, mais qu’elle comprend aussi la clarté et l’énergie, nous devons nous trouver à la fois dans notre énergie et dans notre clarté. Si la nature de notre énergie est le mouvement et non pas le silence, alors comment pouvons-nous être dans cette nature sans bouger ? Pratiquer le dzogchen ne consiste pas seulement à rester silencieux, mais implique aussi bouger, s’intégrer à la clarté et au mouvement de l’énergie. Ainsi il vous est facile de comprendre pourquoi, dans la pratique tantrique, il y a tant de récitations, de chants, de déplacements et autres, parce qu’elle implique l’intégration à l’énergie en mouvement.

 Parfois trouverez-vous des explications à ce sujet dans les enseignements tantriques, mais généralement, il est seulement appliqué sans être expliqué, bien qu’il soit possible d’en découvrir et d’en comprendre le principe en y réfléchissant. Dans les enseignements dzogchen, ces choses doivent être apprises directement.

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 Extraits des pensées de Namkhai Norbu qui est aujourd’hui un des plus grands maîtres tibétains vivants ; il transmet le Dzogchen, considéré comme la cime et l’essence du bouddhisme tibétain.

 

 

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La méditation de Krishnamurti

Posté par othoharmonie le 23 avril 2013

La méditation de Krishnamurti dans Méditation 81

Chacun de nous veut vivre certaines catégories d’expériences, qu’elles soient mystiques, religieuses, sexuelles, ou celles de posséder beaucoup d’argent, d’exercer le pouvoir, d’avoir une situation, de dominer. En vieillissant, nous pouvons ne plus avoir d’appétits physiques, mais nous avons le désir de vivre des expériences plus vastes, plus profondes, de plus grande portée, et nous cherchons à les obtenir par toutes sortes de moyens tels que l’élargissement de notre conscience par exemple —qui est tout un art— ou l’intensification des sensations par des drogues.

Cet usage des drogues est un artifice qui existe depuis des temps immémoriaux. On mâche un morceau de feuille ou on absorbe le produit chimique le plus récent, pour obtenir, au moyen d’une altération temporaire de la structure des cellules cérébrales, une plus grande sensibilité, des perceptions plus élevées, qui ont un semblant de réalité. Ce besoin de plus en plus répandu d’expériences de ce genre révèle la pauvreté intérieure de l’homme. Nous nous imaginons qu’elles nous permettent d’échapper à nous-mêmes, mais elles sont conditionnées par ce que nous sommes. Si nous avons un esprit mesquin, jaloux, inquiet, nous pouvons prendre la drogue la plus récemment inventée, nous ne verrons que nos propres créations à notre mesure, nos projections émanant de notre arrière-plan conditionné.

La plupart d’entre nous aspirent à des expériences durables, que la pensée ne peut détruire, susceptibles de nous satisfaire pleinement. Ainsi, sous-jacent à cette aspiration, est un désir de satisfaction qui détermine la nature de l’expérience. Il nous faut donc comprendre à la fois ce désir et les sensations que l’expérience procure.

C’est un grand plaisir que d’éprouver une grande satisfaction. Plus une expérience est durable, profonde, vaste, plus elle est agréable. C’est ce plaisir qui dicte la nature de l’expérience à laquelle nous aspirons, et qui nous donne sa mesure. Or tout ce qui est mesurable est dans les limites de la pensée et susceptible de créer des illusions. On peut vivre des expériences merveilleuses et être dupé. Les visions qu’une personne peut avoir sont déterminées par son conditionnement. Vous pouvez voir le Christ ou le Bouddha ou tout autre personnage objet de votre culte, et plus vous serez croyant, plus intenses seront vos visions: ces projections de vos désirs.

Si, à la recherche d’une notion fondamentale telle que celle de la vérité, nous voyons Que sa mesure pour nous —est notre plaisir, nous projetons déjà l’idée de ce que serait cette expérience, et elle ne serait plus valable.

Qu’entendons-nous par vivre une expérience? Existe-t-il rien de neuf, d’originel, dans ce que l’on éprouvé au cours d’un tel événement? Il n’est que la réaction d’un paquet de mémoires, en réponse à une provocation. Ces mémoires ne peuvent répondre que selon leur arrière-plan, et plus on est habile à. interpréter l’expérience, plus cette réponse se développe. Vous devez donc non seulement mettre en question les expériences des autres, mais aussi les vôtres.

Si vous ne reconnaissez pas une expérience, c’est que ce n’en est pas une. Chaque expérience a déjà été vécue, sans quoi vous ne la reconnaîtriez pas. Vous la reconnaissez comme étant bonne, mauvaise, belle, sainte, etc., selon votre conditionnement, donc sa récognition doit inévitablement être vieille.

Nous voulons vivre l’expérience du réel —c’est ce que nous voulons tous, n’est-ce pas?— mais vivre le réel c’est le connaître et dès que nous le reconnaissons, nous l’avons déjà projeté et il n’est plus réel parce qu’il est dans le champ de la pensée et du temps. Ce que l’on peut penser au sujet de la réalité n’est pas le réel. Nous ne pouvons pas reconnaître une expérience neuve: c’est impossible. On ne reconnaît que ce que l’on connaît déjà, donc lorsque nous déclarons avoir eu une expérience nouvelle, elle n’est pas du tout neuve. Chercher des expériences nouvelles au moyen d’une expansion de la conscience, ainsi qu’on le fait avec des drogues psychédéliques, c’est encore demeurer dans le champ limité de la conscience.

Nous découvrons maintenant une vérité fondamentale, qui est qu’un esprit à la recherche des expériences vastes et profondes auxquelles il aspire est très creux et obtus, car il ne vit qu’avec des souvenirs.

Si nous n’avions pas d’expériences, que nous arriverait-il? Nous avons besoin de leurs provocations pour nous tenir éveillés. S’il n’y avait en nous ni conflits, ni perturbations, ni changements, nous serions tous profondément endormis. Donc ces rappels sont nécessaires pour presque tout le monde. Nous pensons que sans eux nos esprits deviendraient stupides et lourds, par conséquent nous avons besoin de provocations et d’expériences pour nous faire vivre plus intensément et pour aiguiser nos esprits. Mais en vérité, cet état de dépendance ne fait qu’émousser nos esprits. Il ne nous tient pas du tout éveillés.

Je me demande donc s’il me serait possible d’être éveillé totalement, non en quelques points périphériques de mon être, mais totalement éveillé, sans provocations ou expériences. Cela exigerait une grande sensibilité, à la fois physique et psychologique. Cela voudrait dire qu’il me faudrait être affranchi de toute aspiration, car je provoquerais l’expérience dès l’instant que je l’appellerais. Pour être débarrassé de mes exigences intérieures, de mes désirs et de mes satisfactions, il me faudrait reprendre une investigation en moi-même et comprendre toute la nature de mon désir. Toute demande intérieure provient d’une dualité: «Je suis malheureux, je voudrais être heureux.» En cette aspiration: «Je veux être heureux» est un état malheureux, de même que lorsqu’on fait un effort vers le bien, en cette vertu est le mal. Toute affirmation contient son opposé, et tout effort renforce ce que l’on veut surmonter. Lorsque vous désirez l’expérience du vrai ou du réel, cette demande émane de votre manque de satisfaction au sujet de ce qui «est», et crée, par conséquent, son contraire. Et dans ce contraire se trouve ce qui a été. Nous devons nous libérer de ces incessantes demandes, autrement il n’y aurait pas de fin au couloir de la dualité. Cela veut dire se connaître soi-même si complètement que l’on ne cherche plus.

On a, en cet état, un esprit qui n’appelle pas l’expérience; qui ne veut pas être provoqué; qui ne connaît pas la provocation; qui ne dit ni «je dois», ni «je suis éveillé»; qui est complètement ce qu’il «est». Ce ne sont que des esprits frustrés, étroits, creux, conditionnés, qui recherchent le «plus ». Peut-on vivre en ce monde sans le «plus», sans ces sempiternelles comparaisons? Assurément, c’est possible. Mais on doit l’apprendre par soi-même. Mener une enquête dans toute cette sphère, c’est méditer. Ce mot a été employé, en Orient et en Occident, d’une façon malheureuse. Il existe différentes écoles et différents systèmes de méditation. Certaines écoles disent: «Observez le mouvement de votre gros orteil, observez-le, observez-le, observez-le», d’autres recommandent que l’on s’assoie dans certaines postures, que l’on respire régulièrement, ou que l’on s’exerce à être lucide. Tout cela est purement mécanique. Une autre méthode consiste à vous donner un certain mot et à vous dire que si vous le répétez très longtemps, vous aurez une expérience transcendantale extraordinaire. C’est une absurdité. C’est de l’auto-hypnotisme. Il est certain qu’en répétant indéfiniment Amen, Om, ou Coca-Cola, vous aurez une certaine expérience, parce qu’au moyen de répétitions on se calme l’esprit. C’est un phénomène bien connu en Inde depuis des milliers d’années, que l’on appelle Mantra-Yoga. Avec des répétitions vous pouvez inciter votre esprit à être aimable et doux, mais il n’en sera pas moins un petit esprit mesquin, misérable. Vous pourriez aussi bien placer sur votre cheminée un morceau de bois ramassé dans le jardin et lui présenter tous les jours une fleur en offrande. Au bout d’un mois vous seriez en train de l’adorer, et ne pas lui offrir une fleur serait un péché.

La méditation ne consiste pas à suivre un système; ce n’est pas une constante répétition ou imitation; ce n’est pas une concentration. Une des méthodes favorites de certaines personnes qui enseignent la méditation est d’insister auprès de leurs élèves sur la nécessité de se concentrer, c’est-à-dire de fixer leur esprit sur une pensée et d’expulser toutes les autres. C’est la chose la plus stupide, la plus nocive que puisse faire n’importe quel écolier, lorsqu’on l’y oblige. Cela veut dire que pendant tout ce temps on est le lieu d’un combat entre la volonté insistante de se concentrer et l’esprit qui vagabonde, tandis qu’il faudrait être attentif à tous les mouvements de la pensée, partout où elle va. Lorsque votre esprit erre à l’aventure, c’est que vous êtes intéressé par autre chose que ce que vous faites.

La méditation exige un esprit étonnamment agile; c’est une compréhension de la totalité de la vie, où toute fragmentation a cessé, et non une volonté dirigeant la pensée. Lorsque celle-ci est dirigée, elle provoque un conflit dans l’esprit mais lorsqu’on comprend sa structure et son origine —que nous avons déjà examinées— elle cesse d’intervenir. Cette compréhension de la structure de la pensée est sa propre discipline, qui est méditation.

La méditation consiste à être conscient de chaque pensée, de chaque sentiment; à ne jamais les juger en bien ou en mal, mais à les observer et à se mouvoir avec eux. En cet état d’observation, on commence à comprendre tout le mouvement du penser et du sentir. De cette lucidité naît le silence.

Un silence composé par la pensée est stagnation, une chose morte, mais le silence qui vient lorsque la pensée a compris sa propre origine, sa propre nature et qu’aucune pensée n’est jamais libre mais toujours vieille, ce silence est une méditation où celui qui médite est totalement absent, du fait que l’esprit s’est vidé du passé.

Si vous avez lu ce livre attentivement pendant une heure, c’est cela, la méditation. Si vous n’avez fait qu’en extraire quelques mots et que rassembler quelques idées afin d’y penser plus tard, ce n’est pas de la méditation.

La méditation est un état d’esprit qui considère avec une attention complète chaque chose en sa totalité, non en quelques-unes seulement de ses parties. Et personne ne peut vous apprendre à être attentif. Si un quelconque système vous enseigne la façon d’être attentifs, c’est au système que vous êtes attentif, et ce n’est pas cela, l’attention.

La méditation est un des arts majeurs dans la vie, peut-être «l’art suprême», et on ne peut l’apprendre de personne: c’est sa beauté. Il n’a pas de technique, donc pas d’autorité. Lorsque vous apprenez à vous connaître, observez-vous, observez la façon dont vous marchez, dont vous mangez, ce que vous dites, les commérages, la haine, la jalousie —être conscients de tout cela en vous, sans option, fait partie de la méditation.

Ainsi la méditation peut avoir lieu alors que vous êtes assis dans un autobus, ou pendant que vous marchez dans un bois plein de lumière et d’ombres, ou lorsque vous écoutez le chant des oiseaux, ou lorsque vous regardez le visage de votre femme ou de votre enfant.

Comprendre ce qu’est la méditation implique l’amour: l’amour qui n’est pas le produit de systèmes, d’habitudes, d’une méthode. L’amour ne peut pas être cultivé par la pensée; mais il peut —peut-être— naître dans un silence complet en lequel celui qui médite est entièrement absent. Un esprit ne peut être silencieux que lorsqu’il comprend son propre mouvement en tant que penser et sentir, et, pour le comprendre, il ne doit rien condamner au cours de son observation.

Observer de cette façon est une discipline fluide, libre, qui n’est pas celle du conformisme.

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Accélération des transformations intérieures

Posté par othoharmonie le 22 avril 2013

 

par Monique Mathieu

Accélération des transformations intérieures dans Channeling 20« Nous vous avons beaucoup parlé du nouveau cycle, nous vous avons beaucoup parlé de la transition, nous vous avons beaucoup parlé de ce que vous allez devenir, et nous vous demandons d’être encore beaucoup plus attentifs avec vous-mêmes car vos propres transformations vont s’accélérer de façon très conséquente.

Ces transformations se manifesteront en vous par des moments de vertige pendant lesquels vous aurez du mal à garder votre équilibre. Le fait d’avoir progressivement accès à toutes vos facultés naissantes pourra un peu perturber certains de vous. Il faudra donc sans arrêt vous recentrer dans votre cœur, vous recentrer dans la partie lumineuse et divine de votre être.

Soyez certains que les Etres de Lumière ont pour mission de vous aider dans cette transformation, vos guides également, mais d’une façon totalement différente ».

Devant moi je vois un être humain. Ils me montrent ses centres de force dont les proportions sont beaucoup plus grandes que celles des êtres humains actuels.

Tout s’accélère au point de vue de tous ces centres de force qui intègrent toutes les nouvelles énergies. Ils n’ont plus tout à fait la même coloration que celle que nous avons l’habitude de voir. Je ne peux pas décrire précisément les couleurs, car dans certains centres de force il y a plusieurs couleurs.

Le centre de force cardiaque comporte la couleur verte, la couleur rose et de plus en plus de couleur dorée. Ce sont des couleurs qui sont surtout des lumières. Il y a aussi une lumière indéfinissable que je ne sais pas la définir. Ces couleurs ne se mélangent pas. C’est comme si elles avaient chacune un rôle bien distinct dans ce centre de force spécifique.

« Le centre de force cardiaque aura de plus en plus d’importance dans votre futur développement. C’est un centre de force qui sera beaucoup plus en activité, car il vous sera demandé beaucoup plus d’Amour pour vous-mêmes, beaucoup plus d’Amour pour la vie et pour tout ce qui vous entoure.

Ces différentes couleurs vous aideront à intégrer et à restituer toutes les énergies d’Amour, celles qui viennent de vous et aussi celles que vous recevez de l’extérieur, des plans de Lumière, des mondes et des soleils ».

Ils me montrent encore cet être humain, et je me rends compte à quel point le corps humain est réellement un habit car je le vois maintenant de plus en plus flamboyant. Je vois les centres de force principaux et tous les réceptacles d’énergie. Dans tout le corps, il y a des capteurs, des réceptacles d’énergies ; chacun d’eux capte en même temps plusieurs lumières, plusieurs couleurs.

Ce qui me paraît drôle c’est que l’être qui est devant moi ressemble plus à un sapin de Noël qu’à un être humain, car il a des couleurs de partout. Il y a tellement de lumières et de couleurs que je n’arrive même plus à voir sa masse corporelle, son véhicule de manifestation.

« Nous montrons à notre canal ce qui, pour l’instant, ne peut pas encore être perçu par vos yeux. A partir du moment où vous arriverez à percevoir toutes ces lumières en vous, vous ne serez plus du tout dans la même dimension et vous aurez une beaucoup plus grande capacité de perception ».

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

    qu’il ne soit pas coupé
    qu’il n’y ait aucune modification de contenu
    que vous fassiez référence à  notre site  http://ducielalaterre.org
    que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

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Phénomène Channeling

Posté par othoharmonie le 22 avril 2013

 

l’improbable dialogue

Prêter son corps et sa voix à des entités désincarnées, c’est ce qu’on appelle le « channeling », qui séduit des millions de lecteurs.

Décryptage d’un phénomène.

Lire quelques passages ici 

Phénomène Channeling dans Channeling 12

A plus de 70 ans, Neale Donald Walsch incarne le phénomène du « channeling », sa popularité comme ses ambiguïtés. Originaire du Wisconsin, animateur radio puis journaliste avant de monter sa propre société de relations publiques, il a été sans domicile fixe pendant un an. Alors qu’il avait retrouvé un petit boulot dans une radio locale, il s’est réveillé en pleine nuit, à la veille de ses 50 ans, en proie à une angoisse profonde. « Tout foutait le camp, ma relation amoureuse, ma santé ; et je me suis dit : se lever le matin, aller au boulot, payer ses factures, autant rester dans la rue. Quel est le sens de tout cela ? Que dois-je faire, mon Dieu, pour devenir un bon être humain ? » C’est alors que Dieu lui a répondu, ou du moins une voix si présente qu’il dit avoir mis un certain temps avant de réaliser qu’il était seul dans la pièce. Il a pris un crayon sur sa table de nuit et s’est mis à noircir des pages sous la dictée. Rassemblées dans le premier tome de Conversations avec Dieu, l’ouvrage paru en 1995 a été traduit en trente-sept langues et vendu à 7,5 millions d’exemplaires.

Suivront huit autres tomes de conversations, auxquels s’ajoutent une douzaine de produits dérivés : questions et réponses, méditations, guides d’utilisation, etc. Inspiré par ces conversations, Neale Donald Walsch a signé, sans être en channeling, près d’une vingtaine d’ouvrages ayant trait à la spiritualité. Il a fondé une école, et parcourt le monde pour répandre les messages des Conversations. Tournées, best-sellers en série, ateliers et conférences, tout cela n’est-il pas devenu un business ? « Je comprends qu’on puisse le penser. Mais si c’est un business, c’est le business de Dieu, y en a-t-il de meilleur ? », interroge Neale Donald Walsch avant d’ajouter : « Quinze millions de personnes ont lu mes livres. Quand vous pensez que vous avez touché quinze millions de personnes de manière positive, vous vous dites que c’est vraiment arrivé pour une raison. »

Cette raison, justement, interroge. Pourquoi des millions de gens accordent-ils du crédit à des écrits émanant de parfaits inconnus ? Sans doute parce que le phénomène exerce une forme de fascination. Dans la version nord-américaine moderne que représente Neale Donald Walsch, le channeling – littéralement canalisation – désigne un contact avec une « entité » qui s’exprime par la voix de son « channel », momentanément incarnée. L’approche est différente de la médiumnité classique qui consiste à entrer en relation avec l’esprit d’un défunt. Cette « entité » peut se présenter, à travers les propos du channel, comme une énergie, un être d’autres dimensions, voire un groupe à l’origine indéterminée.

Qui parle ?

Le canadien Pierre Lessard, collaborateur du psychanalyste Guy Corneau, canalise le maître Saint Germain,« un principe énergétique qui a toujours accompagné les êtres humains à travers le temps, en particulier les grands changements d’étape. C’est comme s’il y avait dans l’air, dans l’atmosphère, une lumière, une pure connaissance qui parlaient par une voix intérieure. » Selon lui, le channel entend ces voix et les retransmet ; consciemment ou inconsciemment. « Je vais parler un moment, me laisser guider dans une improvisation, en état d’éveil, puis canaliser en état altéré ; je ne suis alors plus conscient. »

Pour cet ancien professeur de gestion, la nouvelle compétence n’a pas été facile à accepter…

article de http://www.inrees.com/articles/Une-nouvelle-conscience/

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Construire un monde nouveau

Posté par othoharmonie le 20 avril 2013

 

Que nous en soyons conscients ou pas, nous sommes connectés au reste de l’univers – celui-ci nous influence à chaque instant et nous l’enrichissons également à travers nos expériences.  La vie sur Terre est une grande aventure que nous avons choisi de vivre et nous sommes ici pour faire des expériences en toute liberté, avec la clarté et la puissance de notre être véritable.  Cette nouvelle époque est celle où nous ne devons plus nous laisser diriger par notre moi humain, limité, programmé et conditionné, mais donner la direction de notre vie à notre Moi universel, notre identité réelle et éternelle, afin de devenir conscient de notre connexion avec tous les êtres vivants et l’univers.  C’est donc par ce passage du moi humain au Moi universel que nous accomplissons notre destinée et celle de l’humanité.

 

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C’est d’abord par l’intégration de tous les aspects de notre être, c’est-à-dire par la réunification avec notre aspect cosmique et universel, par le contrôle de nos pensées ainsi que par la dissolution de toutes les fréquences et énergies négatives de notre mémoire cellulaire, de notre conscient et de notre subconscient, que nous pouvons effectuer un travail efficace au niveau mondial.  Les nouvelles hautes fréquences ne peuvent nous habiter ou coexister en nous tant que nous sommes remplis des blocages et fréquences négatives dues à tous les traumas que nous avons subis et que nous n’avons pas réglés.

Alors que nous travaillons à équilibrer notre vie, à faire que nos émotions ne nous dominent plus et que notre vie dans le monde physique soit harmonieuse, nous avons un impact puissant sur la conscience collective et la planète tout entière car tout est intimement relié.  Le travail le plus important n’est pas d’aider les autres en premier mais de s’aider soi-même!  Et c’est en accomplissant cela que nous servons véritablement l’humanité entière.  Vouloir aider les autres à tout prix sans comprendre que cela commence par s’aider soi-même, c’est un peu comme voir la paille dans l’œil du voisin sans voir la poutre qui est dans le nôtre.  Vouloir sauver les autres fait partie de l’ancien paradigme.  Le nouveau paradigme, c’est la naissance de la nouvelle conscience en chacun de nous, c’est savoir que l’on est un avec la planète entière ainsi qu’avec toute la Création.  À partir de cette connexion avec la nouvelle conscience, nous sommes alors dans un état nous permettant de créer positivement.  Et simplement par ce que nous sommes, par notre présence sur la planète Terre, nous aidons l’énergie de la nouvelle conscience à se manifester dans tous les domaines, partout sur la planète.

Les méditations globales pour la paix, pour le changement, etc. sont un outil de changement merveilleux, cependant elles seront encore plus efficaces si la demande que nous émettons pendant la méditation est soutenue par une énergie puissante émanant de notre propre champ vibratoire.  Cette énergie est puissante lorsque nous sommes connectés à notre Moi universel et que notre propre champ énergétique EST ce que nous demandons.   Lorsque nous avons trouvé la paix intérieure et que nous sommes en paix avec tout notre entourage, lorsque nous vivons dans la joie et la sérénité à chaque instant, lorsque nous dirigeons notre vie et que nous n’avons plus de charge émotive négative face à ce que la vie nous reflète, les demandes que nous faisons pour la planète sont alors puissantes et précises.

Si notre désir profond est de voir le monde changer et que nous désirons avoir une influence profonde et réelle sur le futur de l’humanité, la façon la plus puissante et la plus sure d’y arriver est de travailler à notre propre transformation.  C’est en manifestant dans notre propre être et dans notre propre vie ce que nous voulons que nous amènerons sa manifestation dans le monde.  C’est aussi simple que cela!  Et c’est pourquoi le travail de chacun d’entre nous, sur nous-mêmes, est si essentiel pour transformer la réalité de tous!

Commencez par vous sentir connectés avec vous-même, avec la planète et avec l’univers.  Ressentez que vous faites partie de ce monde, que vous en êtes le créateur simplement en pensant, ressentant, désirant et agissant.

Dirigez votre vie!  Au début de chaque journée, soyez clair dans votre intention.  Dites ce que vous voulez accomplir, visualisez-vous dans un rayon de lumière vous connectant à la Source universelle et demandez à fonctionnez toujours à partir de cette énergie divine, l’énergie de votre Créateur.  Demandez à vous sentir bien, heureux.  Demandez à avoir le discernement et la clarté nécessaire pour faire des choix qui vous font vous sentir bien.  C’est cette énergie et cette vibration d’amour et de joie que vous voulez refléter à votre entourage!

Réalisez que rien de ce qui vous arrive n’est dû au hasard, c’est le reflet de votre création, de votre champ vibratoire.  Alors demandez-vous comment vous pouvez vous aligner avec une vibration de joie et d’amour de façon de plus en plus constante dans votre vie?

Nous devons devenir de plus en plus conscient de qui nous sommes, comment le cerveau humain fonctionne, comment le système émotionnel fonctionne, comment le système de croyances fonctionne et nous devons apprendre à nous servir de tous ces outils afin de diriger notre vie comme nous le voulons.

Si vous créez un monde heureux autour de vous, vous donnez la possibilité à d’autres personnes de faire l’expérience de cette vibration et d’être entraîné par elle à créer cela aussi dans leur vie.  C’est ainsi qu’en créant votre propre réalité selon la vision que vous en avez, en harmonie avec la nouvelle conscience universelle, vous servez les autres.  C’est en faisant cela que vous prenez la charge de votre vie et que vous influencez positivement et multi dimensionnellement la réalité de tous les êtres vivants sur la Terre ainsi que la Création entière!

Je vous invite à faire l’expérience de cet exercice guidé pour ressentir votre connexion avec l’univers :

Je vous invite également à me rejoindre en direct sur Blog Talk Radio : http://www.blogtalkradio.com/nouvelle-realite 

Construire un monde nouveau dans Chemin spirituel collier-francesca-300x128

 

 

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Médecine énergétique au service de la femme

Posté par othoharmonie le 20 avril 2013

Médecine énergétique au service de la femme dans AUTEURS A CONNAITRE medecin

Cet ouvrage est une ressource indispensable pour la santé énergétique des femmes. De la ménopause au syndrome prémenstruel à la dépression, médecine énergétique au service des femmes offre des solutions que la médecine traditionnelle n’arrive pas toujours à faire.

L’archétype féminin n’est pas qu’un ensemble d’idées et de valeurs flottant quelque part dans l’air. Il est encodé, certes, dans vos énergies, mais aussi dans vos gènes, vos hormones, et dans les gestes qu’ils vous amènent à poser. En vous rapprochant des assises énergétiques du corps et de l’âme de la femme, ce livre devrait vous inciter à effectuer de meilleurs choix santé et à renforcer le lien entre la précieuse sagesse du féminin et votre quotidien.

Médecine énergétique au service de la femme vous permettra de comprendre que votre sagesse corporelle n’est pas tant contenue dans les neurones de votre cerveau que dans des champs d’énergie qui mobilisent vos cellules, coordonnent les stratégies de vos organes pour vous maintenir en santé et vous baignent dans une atmosphère de paix et de joie lorsque les choses vont bien ou dans le stress et l’inquiétude lorsqu’elles vont mal.

Apprendre à rétablir la santé et l’équilibre de votre corps par la médecine énergétique, c’est favoriser le rayonnement de votre véritable nature. C’est mettre en place un terrain d’essai en vue de devenir une force de transformation des énergies environnantes et de bonifier le monde. Et c’est une façon de défendre efficacement l’amour, la coopération et la paix, qui représentent ce que vous avez naturellement à offrir au monde.

AUTRE LIVRE DE CET AUTEUR

Médecine Énergétique

 

dona dans AUTEURS A CONNAITREDonna Eden

Donna Eden, pionnière de la guérison holistique, compte parmi les représentants les plus recherchés, les plus joyeux et les plus crédibles de la médecine énergétique. Elle a enseigné à plus de cinquante mille personnes les bases du système énergétique corporel. Son best-seller, Médecine énergétique – Éveiller le guérisseur en vous (Ariane, 2005), traduit en dix langues, est devenu un classique.

http://editions-ariane.com/ 

 

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Invictus de J.Carlin

Posté par othoharmonie le 20 avril 2013

Invictus de J.Carlin dans AUTEURS A CONNAITRE invictus 

En 1985, Nelson Mandela, alors incarcéré depuis vingt-trois ans, entreprit de vaincre les partisans les plus impitoyables de l’apartheid, de ses geôliers jusqu’aux chefs de l’armée sud-africaine. Il gagna d’abord sa libération, puis remporta la présidence du pays lors de sa première élection libre en 1994. Mais il savait que l’Afrique du Sud était encore dangereusement divisée par cinquante ans d’apartheid. S’il ne pouvait l’unir rapidement, d’une façon viscérale et émotionnelle, son pays allait s’effondrer dans le chaos. Il choisit une cause ayant, a priori, peu de chances de succès : l’appui au Springboks, l’équipe nationale de rugby, lors du tournoi de la Coupe du monde 1995 tenu en Afrique du Sud.

Contre les géants du sport, les perspectives de victoire des Springboks étaient faibles, et leurs chances de s’emparer des cœurs de la plupart des Sud-Africains semblaient encore plus inaccessibles, car ils avaient longtemps incarné le règne des Blancs. Durant l’apartheid, les Springboks et leurs partisans, tous des Blancs, avaient entonné des chants de ralliement racistes, et les Noirs venaient aux matchs des Springboks pour appuyer l’équipe adverse. Mais Mandela estimait que le sport, justement, avait le potentiel nécessaire pour rallier les Sud-Africains de toutes races.  Découvrez ici l’art politique et la sagesse de ce grand homme d’État.

* : Ce livre vous est offert à moitié prix à condition que vous en commandiez au moins un autre à prix cadeau (aussi à moitié prix!). Voir les détails.

Téléchargez un extrait pdf

John Carlin

carlin dans AUTEURS A CONNAITREJohn Carlin, ancien chef du bureau sud-africain de l’Independent, de Londres, offre un portrait singulier, en pleine action, du plus grand homme d’État de notre époque, concoctant jusqu’à l’ivresse le volatil cocktail de la race, du sport et de la politique. Il a puisé dans de longues entrevues avec Mandela, Desmond Tutu et des dizaines d’autres Sud-Africains engagés dans la décisive campagne de Mandela et l’improbable triomphe des Springboks. En un langage émouvant, il explique comment leur championnat a transcendé la griserie de la victoire pour effacer les haines anciennes et unifier un pays.

http://editions-ariane.com/ 

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Le comte de St Germain et les maîtres de l’Aggartha

Posté par othoharmonie le 20 avril 2013

 

Le comte de St Germain et les maîtres de l'Aggartha dans AUTEURS A CONNAITRE iris-violet-300x300

dans l’oeuvre de François Brousse : Saint-Germain 

J’apparais personnellement à travers les âges comme une comète éternelle et vagabonde. On m’a vu dans l’antique continent atlante, tel un sage aux pouvoirs mystérieux. J’ai surgi à la base des grandes civilisations, comme une providence vivante, sous les masques d’Imouthès, le dieu constructeur de pyramide, d’Amourrou, celui qui sait les chemins de la Montagne, de Zerovanus, le contemplateur des deux Principes invincibles. [...] 

Au XVIIIe siècle, alchimiste immortel, je fabriquais de l’or, faisais grossir des perles, purifiais des diamants, guérissais des maladies, dévoilais l’avenir du monde. 

Au XIXe siècle, j’ai fondé, avec Koot- Houmi et Morya, cet édifice de granit, la Société théosophique où furent étudiés les mystères essentiels de l’univers. Sa fondatrice officielle, l’étonnante Helena Petrovna Blavatsky, sortait des sanctuaires initiateurs de l’Asie. Elle fut sur la Terre notre disciple bien aimée, notre messagère fulgurante. [...] 
Aujourd’hui, c’est à vous [François Brousse] que je me présente, apportant révélations métaphysiques, scientifiques, prophétiques et méthodologiques. 
(Propos de F. Brousse, 4e de couverture) 

François Brousse 
Le Voyageur des siècles, Saint- Germain, représente la Haute Magie, dominatrice de la Mort, maîtresse des couleurs et en relation avec le Grand Soleil central de la galaxie. 
Alchimiste suréminent, il fabriquait de l’or, purifiait les diamants, grossissait les perles, chassait les entités du bas-astral, guérissait les malades et révélait les sombres lueurs de l’avenir. (p. 13) 

[En 1743], le maréchal de Belle-Isle revenait d’Allemagne. Il venait d’abandonner, sous la pression des armées impériales, la merveilleuse ville de Prague. [...]. Il ramenait dans ses bagages [...] un étrange personnage : c’était le comte de Saint-Germain. [...] Ce Comte était petit, brun, le visage basané, le regard d’une étonnante profondeur. Il y avait en lui la majesté du mage et, en même temps, la douceur et peut-être, un peu, l’égarement du prophète. Il était vêtu d’une étrange façon, toujours avec des habits admirablement bien taillés, mais ce qui le différenciait de tous les autres courtisans de l’époque, de tous les autres grands seigneurs, c’était le faste, la somptuosité, l’éclat des bijoux. Ses bijoux [...] étaient en train de défrayer les chroniques d’un peuple léger, superficiel, amant néanmoins de la beauté et amant de l’intelligence. [...] Il devint très rapidement l’ami de la marquise de Pompadour et, par la marquise de Pompadour, il pénétra facilement dans l’intimité du roi Louis XV. Le roi Louis XV avait, pour le comte de Saint-Germain, une véritable admiration. (p. 179-180) 

Zoroastre, Hammourabi, Moïse ont rencontré leur Dieu sur la montagne, et nous avons rencontré le Maître sur les flancs des Pyrénées, dont l’étymologie rappelle le Feu créateur. 
C’est aux environs de la ville de Vernet-les-Bains [Pyrénées-Orientales], paradis du Midi, que cette rencontre insolite marqua notre mémoire d’un sceau ineffaçable. J’étais ce jour-là [le 14 avril 1966] en promenade non loin de cette station si douce et si harmonieuse, sur la route qui se dirige vers Casteil, tandis qu’un ciel rayonnant répandait sur la campagne aux arbres frémissants un manteau de gloire azuréenne. 

Je venais d’effectuer un virage majestueux aux environs de l’hôtel Alexandra [...] et voici que je rencontre un personnage d’une taille moyenne, avec un front très large, des yeux au regard insoutenable et un peu malicieux, portant des vêtements clairs et une coupe moderne. Son caractère particulier consistait en un étincellement de bijoux. Une bague à la main droite, avec un rubis flamboyant. Une bague à la main gauche, avec un saphir ensorceleur. Autour de son cou, pendait un vaste collier terminé par une croix gravée de trois roses. C’était la rose-croix, mais sous un style original. 

J’ai pensé tout de suite : « Est-ce un fou, un illuminé, un imposteur ou un homme de génie ? » C’était un joli éventail de possibilités. Pendant que je songeais, l’illuminé-imposteurhomme de génie s’avance vers moi et me dit ex abrupto : -Vous avez raison d’annoncer la chute du général de Gaulle pour 1969*. Je reprends mon souffle et rétorque : -Je suis ravi que la renommée de mes oeuvres soit parvenue jusqu’à vos oreilles ; puis-je me permettre de vous demander à qui j’ai affaire ? Il me répond superbement : 
Au comte de Saint-Phénix. Phénix ou Saint-Phénix, c’était, je le savais, l’un des pseudonymes de l’illustre Saint-Germain. (p. 274-275) 

* Cf. BROUSSE F., Les Clés de Nostradamus, dans Revue Sources Vives, Perpignan, N°32, printemps 1965 

 notesmusique-bougent-137x150 dans AUTEURS A CONNAITRE

Après l’effondrement de l’Atlantide, ce puissant génie a découvert le mouvement perpétuel, la quadrature du cercle et le moyen de transmuter les métaux profanes en métaux précieux. [...] Le Frère immortel poursuit sur la Terre le but d’Élias Artista en trois points fondamentaux : l’unité de toutes les religions, la production d’une richesse intarissable, la perfection de la science et de la morale, de sorte que les humains retrouveraient le paradis primitif. Il laisse entrevoir la rencontre future des fils d’Adam avec une civilisation extraterrestre. [...] Tel est le comte de Saint Germain, un des grands sages de l’Himalaya. (p. 280-281) 

L’humanité évolue, elle est en quelque sorte la dernière fleur de l’arbre animal ; nous avons été successivement à travers les siècles des plantes, des poissons, des reptiles, des amphibiens, des oiseaux, des quadrupèdes, enfin des hommes, des humains, et notre sort est de devenir des surhumains, autrement dit, des dieux. (p. 52) 

Saint-Germain 
Nous sommes, nous, les Frères Aînés, Koot-Houmi, Morya, Saint-Germain, les résultats d’une évolution prodigieuse. Nos êtres, plus anciens que les vôtres, plongent dans une antiquité inconcevable. Ils ont acquis la réalisation définitive. 
Notre suprématie se met au service de l’ascension humaine. Par nos pensées, torrent perpétuel d’amour, de puissance, de sagesse, de beauté, de joie, nous baignons d’un flux vivifiant les multitudes et les penseurs. Parfois, nous nous manifestons directement à quelques privilégiés. 
(Propos de F. Brousse, p. 51) 

François Brousse (4e de couverture) 
Il faut savoir que le but de l’évolution est de fabriquer des humains immortels, non dans leur corps physique (utopie contradictoire), mais dans leur corps éthérique. Ils peuvent alors, par la concentration de leur volonté, condenser des corps tangibles. La nuance est de taille ! 

Ainsi le comte de Saint-Germain et Melchisédech apparaissent-ils d’âge en âge, avec de longues périodes d’occultation. Donc, l’explication éthérico-créatrice illumine les mystères de l’Aggartha. 

L’Aggartha est composée de ces hommes surhumains qui sont devenus des dieux. Ils ont atteint l’immortalité parfaite en ce sens qu’ils ont un corps éthérique indestructible, grâce auquel ils peuvent refaire à leur gré des corps physiques. 

L’Aggartha comprend vingt-deux grands maîtres, ceux qui ont atteint la conscience cosmique et l’illumination permanente. [...] Ces vingt-deux grands sages sont les points de convergence de l’humanité tout entière. En l’Aggartha, il y a la puissance, l’amour, la sagesse et la création de la beauté, ce qui fait que l’homme devient semblable à Dieu, Dieu qui est à la fois le grand poète, le grand géomètre et le grand amoureux éternel. [...] Ces maîtres ont atteint l’immortalité du corps éthérique. [...]. En voici les noms… (Cf. p. 38-39)


ALMA 
Je suis venu sur Terre 
Pour sauver les humains 
Du lucre et de la guerre 
Qui troublent leurs chemins. 
Comte de Saint Germain, 
Tu m’ouvres la barrière 
Des divins lendemains 
Avec Hugo pour père. 
Les galaxies sans nombre 
Contiennent les géants 
Hors du rêve et de l’ombre 
Qui brisent le néant. 
Les abîmes gnostiques 
Donnent l’âme cosmique. 

Les Miroitements de l’infini 
François Brousse 

  Textes de François Brousse édités par www.licorne-ailee.com 

- A lire : Le comte de Saint-Germain et les maîtres de l’Aggartha

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Sortir de notre histoire personnelle

Posté par othoharmonie le 17 avril 2013

 

par Eckhart Tolle 


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Il se peut que vous ne vouliez pas vous connaître parce que vous avez peur de ce que vous pourriez découvrir. Bien des gens ont secrètement peur d’être méchants. Mais, consolez-vous, rien de ce que vous pouvez découvrir sur vous n’est vous. Rien de ce que vous pouvez savoir sur vous n’est vous.

Alors que certaines personnes ne veulent pas savoir qui elles sont parce qu’elles ont peur, d’autres ont une insatiable curiosité en ce qui les concerne et veulent toujours en découvrir plus. Il peut arriver que vous soyez si fasciné par vous-même que vous passiez des années en psychanalyse, que vous scrutiez le moindre recoin de votre enfance, que vous dénichiez vos peurs et désirs secrets, et que vous découvrir les multiples couches complexes qui façonnent votre personnalité et votre caractère.

Dix ans plus tard, votre psychanalyste en aura assez de vous et de votre histoire de vie, et vous annoncera que votre psychanalyse est finie. Il vous laissera peut-être partir avec un dossier de 5000 pages. « Tout cela vous concerne. C’est ce que vous êtes ». Tout en transportant sous votre bras l’énorme dossier, la satisfaction initiale d’enfin vous connaître codera rapidement la place à un sentiment d’incomplétude et au vague soupçon que vous ne pouvez pas juste être ÇA.

Bien entendu, vous êtes plus que ça . Peut-être pas en termes quantitatifs, mais en termes qualitatifs, sur le plan de la profondeur.

Il n’y a rien de mal à entreprendre une psychanalyse ou à découvrir des choses sur votre passé, pour autant que vous ne confondiez pas « en connaître sur vous » avec « vous connaître ».

Le dossier de 5000 pages est « sur vous », sur le contenu de votre mental tel que conditionné par le passé. Tout ce que vous pouvez apprendre avec la psychanalyse ou l’observation est « sur vous ». Ce n’est pas vous. Il s’agit de contenu, pas d’essence.

Quand on dépasse l’ego, on sort du contenu. Vous connaître, c’est être vous-même. Et être vous-même, c’est arrêter de vous identifier au contenu.

La plupart des gens se définissent par le contenu de leur vie.
Tout ce que vous percevez, expérimentez, pensez ou sentez appartient au domaine du contenu. Le contenu est ce qui occupe l’attention totale de la plupart des gens et c’est ce à quoi ils s’identifient. Quand vous dites ou pensez « ma vie », vous ne faites pas référence à la vie que vous êtes, mais à la vie que vous avez, ou semblez avoir. Vous faites référence au contenu – votre âge, votre santé, vos relations, vos finances, votre travail, votre lieu de vie, ainsi que votre état mental et émotionnel. Les circonstances intérieures et extérieures de votre vie, votre passé et votre futur, tout cela appartient au domaine du contenu, tout comme les événements et tout ce qui se produit.

Qu’y a-t-il d’autre que le contenu ? Ce qui permet au contenu d’être, l’espace intérieur de la conscience.

Eckhart Tolle dans « Nouvelle Terre »

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Résumé de la vie en Inde

Posté par othoharmonie le 17 avril 2013

Résumé de la vie en Inde dans VOYAGE EN INDE zen2-213x300

La vie est dans la rue

La vie, toute la vie, est dans la rue. La vie en rose, comme la soie des saris des jolies Indiennes. La vie en blanc grâce à la beauté saisissante et majestueuse du Taj Mahal voisin. La vie en cris et en klaxons bourdonnants, dans une ruche où se croisent des limousines et des rickshaws, ces triporteurs à pédale ou à moteur qui slaloment au beau milieu des vaches errantes, des vieux porteurs de chariots surchargés ou des gamins livrés à eux-mêmes.

La vie en plus noir, où l’on est frappé par le regard des mendiants d’une pauvreté glaçante, où l’on voit des boutiques étroites et sales, des immeubles crasseux, des cochons poussant du groin des ordures dans une décharge à ciel ouvert.

Delhi, concentré d’énergies

Le voyage débute à New-Dehli. Sorti du très moderne et luxueux aéroport international, l’Inde commence par se respirer. Les odeurs suaves du jasmin des jardins ou des hôtels de luxe côtoient celles plus acres d’une pollution endémique et d’eaux stagnantes. Mégalopole d’environ 18 millions d’habitants, Delhi est un concentré d’énergies, positives et négatives.

Les quartiers populaires sont fascinants. Tout y va à toute allure : le négoce, les affaires, les fameux rickshaws. Seules les vaches ralentissent le pouls de la ville, impassibles et parfois immobiles au milieu de cette agitation. On y déambule avec plaisir. Les vendeurs ne vous agrippent pas et le regard des mendiants ne vous reproche pas leur terrible misère. Rien ou presque n’est agressif ou étouffant.

Jodhpur la bleue, Jaipur la rose

Seconde étape, Jodhpur, la ville bleue. Et tout de suite des images fortes, comme le fort Meherangarth, qui domine la cité. Bâtie en marbre et en grès, la forteresse abrite de longs corridors et des cours aux balcons richement et finement sculptés.

Puis l’on rencontre le Thakur Sidhart Singh, descendant d’une longue lignée de Maharajas. Dans son palais de Rohet Garh, bâti en 1622 et reconfiguré en hôtel en 1990, ce descendant des plus hautes castes indiennes nous parle avec optimisme de l’Inde. « Nous avons la chance, par rapport à la Chine, d’être une démocratie et d’avoir d’excellents ingénieurs sortis de nos écoles », se félicite-t-il, avant de dénoncer le pire fléau du pays, à savoir « la corruption ».

Autre rencontre surprenante : les Bishnoïs, dont le mode de vie est ancestralement écologiste et sans concession. Chez eux, la nature et toute forme de vie sont sacrées, à tel point qu’on n’y coupe pas un arbre. La nourriture est végétalienne et on dort dans des huttes. Choc culturel et dépaysement garanti.

De la ville bleue, on passe à la ville rose, Jaipur. Ici, les palais rivalisent de marbre et de richesse. Les images les plus fortes sont certainement le palais des vents (une façade aux centaines de fenêtres) et surtout le palais de l’eau au coucher du soleil. Une pure merveille.

Taj Mahal, un monument d’amour

Et vient le passage obligé : le Taj Mahal. Et contrairement à la grande majorité des monuments à « ne pas rater », on ne ressent aucune déception devant le joyau tant désiré. Bien au contraire, on est saisi par la beauté, la pureté du Taj Mahal.

C’est un monument d’amour, bâti sur une belle histoire d’amour. Inconsolable, l’empereur moghol Shâh Jahân a fait bâtir ce mausolée de marbre blanc au XVIIe siècle en mémoire de son épouse, morte en donnant naissance à leur quatorzième enfant.

Jean-Marie BIETTE.

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L’Unité du modèle pour 2013

Posté par othoharmonie le 15 avril 2013


 L'Unité du modèle pour 2013 dans En 2012-2013 et après 2016 11

De créateurs que nous étions dans la matrice de la séparation, nous sommes entrain de devenir : facilitateurs. La vie lorsqu’elle s’exprime dans la matrice de l’Unité, n’a pas besoin d’être manipulée. Il n’y a rien à faire, rien à forcer. C’est une question de disponibilité.

Pour comprendre l’unité. Il faut premièrement comprendre le GRAND TOUT, c’est notre point de départ maintenant et non pas comme avant, la nano seconde dans laquelle nous avions choisi la séparation. C’est le TOUT il n’y a rien qui ne fasse pas partie du GRAND TOUT. Puis il s’agira de concevoir que cette nano seconde de séparation dans la matrice infinie du Grand tout n’est qu’une possibilité, qu’un moment, qu’un choix. Elle n’est pas tout ce qui est disponible.

 On a amorcé la matrice de la séparation avec un tout petit point dans le Grand Tout, c’est avec cette toute petite particule d’énergie que nous avons créé la matrice de la séparation. Nous n’accédons pas à tout ce qui existe dans le Grand Tout quand nous créons avec l’énergie de la séparation. Nous puisons toujours à partir du même moment, de cette nano seconde. L’énergie de ce moment est épuisée, il est vidé. Nous continuons cependant à créer à partir de ce petit point là. C’est un point séparé de l’unité et en dehors soi dans la matrice de la séparation. Nous maintenons la matrice de la séparation en créant des thèmes et des schémas répétitifs de séparation et d’isolement. ÇA NE MARCHE PAS, toutes les générations avant nous nous l’ont prouvé! Avec l’avènement du solstice du 21 décembre, nous ressentons de plus en plus que la matrice de la séparation se replie sur elle-même, il ne reste plus rien. Nous sommes en train d’assister à la naissance d’une nouvelle année cosmique de 26,000 ans qui ouvre de nouveaux horizons sur notre relation unifiée avec le Grand Tout.

En continuant à créer à partir du schéma de la séparation, nous contribuons à la répétition du thème de la séparation qui est maintenu par un hologramme puisqu’il n’y a plus d’énergie disponible pour manifester la séparation qui n’existe plus. Le but du jeu, dans la matrice de l’unité, est de ne plus créer sa réalité mais d’exprimer l’unité dans notre réalité humaine avec tout ce que cela implique. Nous ne savons pas encore comment vivre sans créer et organiser notre réalité, il s’agira de l’offrir au Grand Tout pour qu’Il puisse manifester son amour et son Unité à travers notre existence, ici et maintenant. Cette place de disponibilité va nous permettre de refaire notre lien avec le Grand Tout.

J’en profite ici pour partager cette citation de Deepak Chopra : « Ainsi, je voudrais terminer avec une petite citation de Franz Kafka que chacun connaît plus ou moins comme un auteur dont la réputation littéraire repose sur la description de la souffrance aiguë. Cependant, il a dit une chose qui constitue une affirmation particulièrement pertinente concernant la voie de l’illumination. Il dit : « Vous n’avez pas besoin de faire quoi que ce soit. Restez simplement là, assis à votre table et soyez attentifs.
Ne soyez même pas attentifs, attendez simplement. N’attendez même pas, soyez juste là, tranquille, calme et solitaire et l’univers se dévoilera à vous. Il n’a pas le choix. Il tombera en extase à vos pieds. »

Selon ces propos, certains ressentent le souffle de la réalité parce qu’ils nous parlent sans perturber leur propre tranquillité. Et si nous voulons vraiment savoir ce qu’ils nous murmurent, alors nous devons apprendre à être tout aussi calmes. »

A LIRE SVP 

Dans cette nouvelle expansion qui nous est offerte, nous n’avons plus envie de nous éloigner de nous-mêmes ou du Grand Tout, nous récupérons notre place essentielle dans la matrice universelle et nous allons choisir de nous y déployer au lieu d’aller créer en dehors de notre Tout Individualisé. Nous avons fini de croire que cette illusion puisse être efficace et qu’elle puisse fonctionner. C’est une disponibilité pour que le chemin de l’Unité s’y ouvre et s’y déploie.

Nous pouvons choisir que nos schémas relationnels, familiaux, professionnels servent d’avenues à l’unité du Grand Tout et à sa manifestation. Laissons de côté nos bonnes idées et nos stratégies pour canaliser toute notre énergie vers une disponibilité maximale à ce que le Grand Tout nous propose dans ces thèmes humains même si nous ne savons pas comment.

Il s’agit donc en cette fin d’année 2012 DE PERMETTRE À L’UNITÉ DU GRAND TOUT DE SE MANIFESTER DANS NOTRE INCARNATION ET NOTRE EXISTENCE HUMAINE, ICI ET MAINTENANT au lieu que ce soit nous qui y installions des schémas de dualité.

Fini le temps où nous nous jugions de ne pas assez manifester, d’amour, d’argent ou de santé dans nos vies, nous arrêtons de jouer à ce jeu! En refusant de jouer et en gardant notre direction, nous allons enfin ressentir un grand silence et un immense soulagement. La plénitude de ne plus contribuer à un schéma de séparation nous apporte la paix et la simplicité du coeur. Et oups, dès que les peurs et les stratégies de bonheurs s’agitent, nous sommes de moins en moins intéressés à y répondre en créant et en imaginant de nouveaux scénarios gagnants!

Ce qui se passe présentement est plus grand que nous, la matrice de la séparation s’étant épuisé par une fragmentation excessive, laisse maintenant libre cours à notre lien avec Tout ce qui est. Lorsque nous serons à nouveau pris par une obsession, un désir ou nos peurs, il ne faut pas chercher à s’améliorer, il s’agira d’offrir ce moment de séparation au Grand Tout en nous arrêtant, en nous ramenant à l’intérieur de l’unité et en ne bougeant plus. Cette offrande permettra à « l’univers de se dévoiler à nous. Il n’a pas le choix. Il tombera en extase à nos pieds.» Il pourra alors facilement se frayer un chemin dans notre vie. Tous et chacun en faisant cela, nous contribuons à ancrer la nouvelle matrice de l’unité sur la Terre comme ailleurs dans le cosmos.

Le but n’est pas d’arrêté d’être humain, c’est d’être dans l’unité quand nous sommes humains. Pendant que nous expérimentons un moment de divergence ou de fuite de 

notre Tout Individualisé, nous choisissons encore de permettre à l’unité de se manifester. Quand on pense à toutes les réactions ancestrales du bulbe rachidien et de la survie, il est normal que nous ayons des réactions humaines et des moments d’inquiétudes. Il ne faut surtout pas se juger d’être humains. La porte existe dans cette manifestation de notre humanité. il y a une porte qui s’ouvre sur l’unité même si parfois nous ne sommes pas capables d’y entrer. Notre but n’est pas de changer la dynamique de la dualité, mais d’ouvrir cette porte pendant que nous la vivons.

En choisissant que notre vie familiale, relationnelle ou professionnelle devienne une porte ouverte sur l’unité pour qu’elle puisse s’exprimer à travers eux, nous allons ressentir un soulagement. Rien faire, rien a force, rien a vouloir et tout se fait tout seul, une fois que nous acquiesçons à ce nouveau paradigme qui était réservé auparavant, aux maitres et au avatars. Quand nous avons envie qu’une crise passe pour que nous puissions retrouver la paix, nous manquons LE MOMENT d’unité dans cette crise, nous manquons la porte qui s’ouvre sur le Grand Tout.

Parfois quand c’est trop confus, on pense qu’il faut s’en aller au centre de soi et se calmer. Ça nous semble être une bonne idée, mais c’est encore une création du mentale ou du corps spirituel. Ce n’est pas l’unité. C’est une réaction à la séparation. En choisissant de devenir disponible à l’unité du Grand Tout dans cette crise au lieu de créer un meilleur moment, nous permettons à cette porte de s’ouvrir, c’est le point de singularité, l’espace sacré dans laquelle se manifestera l’unité. Les nouveaux modèles vont arriver très vite, les vents vont tourner, les inspirations deviendront très claires car il faut savoir que dans l’unité il n’y a pas de crise, il n’y a pas d’urgence.

Notre plus grande résistance vient de la peur de faire une autre erreur. C’est la réalisation que notre bonne idée d’expérimenter la séparation fut vouée à l’échec. Il s’agira de remonter à la décision originelle de cette implication d’isolement, à cette erreur originelle, cette nano seconde de séparation dans le Grand Tout et de demander à l’unité et l’amour du Grand tout de s’y déployer. C’est l’acte de rédemption que nous attendons tous.

En finissant j’ajouterais ne laisser pas passer la situation actuelle que vous vivez car elle est votre porte, votre chance de communiquer directement avec le Grand Tout. Ne la réglez pas avec une autre idée, mais laisser la s’imprégner de la nouvelle relation retrouvée de l’unité.

Namasté

Kishori

 www.kishori.org - Aird  À lire sur http://www.kishori.org/

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Pour créer son énergie soi-même

Posté par othoharmonie le 15 avril 2013

LE PRINCIPE GENERAL POUR CREER SON ENERGIE SOI-MEME

exposé par Léon Raoul Hatem :

L’univers ne consomme aucune énergie. Il ne s’use pas. Il produit en permanence le mouvement dont il a besoin pour évoluer vers son but. Cela aujourd’hui se démontre aisément, même si l’on enseigne encore l’absurde théorie du « Big Bang ».

Pour créer son énergie soi-même dans En 2012-2013 et après 2016 3Pour comprendre le principe producteur d’électricité, il faut connaître le Principe de la Mécanique Universelle qui produit sa propre Energie Cinétique en permanence pour l’Eternité, tant au niveau des particules atomiques qu’au niveau planétaire, sachant que toute masse quelle qu’elle soit, est un AIMANT possédant sa double polarité magnétique, et non une « masse » de « matière » faites de particules à « charge unique », qui s’attireraient par exemple par « gravitation » newtonienne ou équivalent.

Dans la réalité, toutes les masses sont des aimants complets qui se mettent eux-mêmes en rotations synchronisées des pôles magnétiques lorsque les conditions le permettent. Nous le démontrons avec des appareils qu’on peut voir fonctionner sur demande. Deux aimants en présence l’un de l’autre se mettent en mouvement, créant ainsi de l’énergie cinétique sans aucune consommation. L’idée qu’il faut consommer pour produire un travail est fausse. Les aimants montrent chaque jour le contraire. L’univers montre chaque jour le contraire. Il ne puise pas son énergie dans un « stock » pour faire tourner les étoiles jusqu’à une éventuelle « panne sèche ».

Il y a un autre phénomène très important inconnu des physiciens : lorsque deux pôles se rapprochent mutuellement l’un de l’autre, ils produisent plus que lorsqu’un seul pôle se rapproche d’un pôle fixe. Et lorsqu’ils s’éloignent l’un de l’autre, ils ne se freinent pas, bien qu’ils continuent à s’attirer, contrairement à ce qui se passe si un seul aimant s’éloigne d’un autre qui, lui, serait fixe. C’est la DEGRAVITATION ou DEFREINAGE MAGNETIQUE, découverte qui permet de comprendre l’énergie de l’univers pour la première fois : comment un atome ou un système planétaire se met en route, s’accélère puis se stabilise. C’est une révolution scientifique qui, pour le moment, a été tenue à l’écart par la Communauté scientifique..

LE SYSTÊME PRODUCTEUR D’ELECTRICITE

Il ne s’agit pas ici de « mouvement perpétuel », c’est-à-dire de chercher à ce que les mouvements se mettent en route tout seuls, même si dans l’univers c’est le cas.

PRINCIPE MECANIQUE : un moteur alimenté par une source très limitée (solaire, batterie ou courant du réseau etc.) muni d’un disque magnétique entraîne en synchronisme (à distance et sans frottement) un premier alternateur muni aussi d’un disque magnétique à « polarités contraires » au premier. Cet alternateur produit alors son électricité, continue ou alternative selon le cas. Il ne consomme rien (c’est le moteur primaire qui consomme). Cela n’est possible que grâce à la Dégravitation. Jusque là, donc on ne gagne rien. Mais ce premier alternateur peut être en relation avec autant d’autres alternateurs que l’on veut, dans le mêmes conditions magnétiques. Ainsi, chaque alternateur produit sa quantité d’électricité. Mais seul le moteur primaire consomme, et toujours, à très peu de chose près, de la même façon.

On peut donc multiplier la production par des modules ajoutés à volonté, sans augmenter la consommation. Ce n’est pas une hypothèse, même si les physiciens considèrent que ce n’est pas possible. A certaines époques ils considéraient aussi qu’un plus lourd que l’air ne peut voler.

Le système fonctionne, même si cela dérange évidemment, et chacun peut le voir.

La reproduction industrielle pour que chacun puisse l’utiliser chez soi ou dans les entreprises n’est plus qu’une question de moyens financiers et techniques. Alors une partie importante de l’électricité centralisée deviendrait inutile. On pourrait fermer la moitié au moins, sinon les neuf dixièmes, des centrales nucléaires. Un jour ce sera le cas. Il dépend de chacun que ce jour soit proche ou lointain, et si vous voulez y contribuer, il suffit de nous contacter.

On utilise donc des alternateurs à choisir selon les besoins : petits alternateurs de voiture, gros alternateurs de chantiers ou autres, mais pour une industrialisation il sera nécessaire de produire des alternateurs spéciaux mieux adaptés. Ces alternateurs, générateurs ou autres systèmes, alignés en file indienne ou en cercle, sont munis sur leur axe de sortie de disques en plastique dur, aluminium ou autres (non ferreux), munis d’aimants sur la périphérie, disques qui tournent par synchronisme magnétique à l’aide des disques semblables des autres alternateurs, et cela en nombre indéfini.

Les amiants peuvent avoir toutes formes, et être fixés par tout moyen.

Tous les aimants d’un même disque doivent se présenter de même polarité, face à un disque présentant des polarités opposées, et alternativement. L’écartement d’un aimant à l’autre sur le disque peut atteindre la largeur d’un aimant ou plus.

La puissance d’entraînement magnétique doit être au minimum égale à la puissance produite par l’appareil entraîné.

LE MECANISME :

Lorsque le moteur tourne, entraînant son disque (ou des disques accouplés) à proximité d’un autre disque semblable fixé sur l’axe d’un alternateur, ce dernier se met à tourner en synchronisme avec les aimants du disque-moteur.

Et là, nous avons maintenant deux appareils de la même puissance au lieu d’un seul, qui produisent chacun la même énergie en dépensant à peine plus d’énergie du secteur que le seul moteur.

Si vous utilisez deux alternateurs ou même plus de deux, pourquoi pas DIX alternateurs (ou plus), vous produisez alors presque dix fois plus d’énergie que vous n’en dépensez (et mieux encore grâce à une formule tenue secrète pour le moment). Lorsque le moteur tourne, il entraîne toute la série d’alternateurs à la même vitesse de rotation, chacun produisant sa propre énergie qui s’ajoute à toutes les autres.

Les disques en matériaux amagnétiques garnis d’aimants doivent être fixés solidement sur les axes de rotation des divers éléments utilisés (moteur, alternateurs ou autres). Si possible, pour éviter le glissement des arbres sur les axes, il est préférable d’utiliser des alternateurs qui sont munis de clavettes d’entraînement sur les arbres de sortie.

Les applications sont innombrables. Un jour on utilisera ce système dans des trains ou des automobiles pour les rendre autonomes ou presque en énergie. Copier l’univers qui produit sa propre énergie plutôt que consommer une énergie limitée est la formule d’avenir. Evidemment, aujourd’hui, rien ne sera fait officiellement pour aider à cette mutation. Au contraire. Les « Sept Sœurs » (principales compagnies pétrolières) ont réitéré il y a quelques années leur accord secret pour que rien ne soit fait au profit des énergies alternatives tant qu’il resterait une goutte de pétrole dans le monde. Et avec les schistes, elles sont tranquilles (car elles ont le pouvoir d’en imposer l’exploitation). C’est probablement la même chose au niveau de l’uranium.

Le bénéfice de l’électricité libre magnétique pour la communauté sera très vite extrêmement sensible en termes de coût de l’énergie et en termes de respect de l’environnement. Les aimants ne sont pas des produits consommables (même si leur fabrication n’est ni facile ni anodine), ils ne perdent pas leur énergie même après des centaines d’années d’utilisation. Les disques sont donc toujours réutilisables même si les alternateurs finissent par s’user. Les techniques modernes permettent la fabrication d’aimants de plus en plus facilement et de toutes formes, et avec des puissances modulables. Un jour les Terriens résoudront eux aussi tous ces problèmes.

Certains pensent que comme l’Hyperscience n’est pas physique, elle n’est pas expérimentale. C’est l’inverse. On obtiendra beaucoup plus d’applications, et beaucoup plus judicieuses et justes, en s’appuyant sur des principes abstraits non physiques qu’en cherchant la rentabilité immédiate et le profit à court terme à partir de théories accrochées à des préjugés et apparences trompeurs. On remet en cause les théories d’Einstein comme la vitesse de la lumière etc., cela n’empêche pas que les bombes atomiques fonctionnent. Hélas, certes. Mais on n’a jamais cessé de produire des applications efficaces à partir de théories foncièrement fausses. Cela n’a rien à voir. Mais quand une théorie est juste, alors les applications sont foison, voire potentiellement infinies. A chacun de l’expérimenter.

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La Santé par soi-même

Posté par othoharmonie le 14 avril 2013

 

Découvrir le Self Health grâce à Hulda Clark

La Santé par soi-même dans Auto-Guérison guerison“Notre Santé est chose bien trop importante pour la confier aux seuls médecins.” – Voltaire

Le « Self Health » ou Santé par soi-même est un fort apport de la Doctoresse Hulda Clark. Le Self Health se fonde, pour chacun, sur le constat : “J’ai un corps et il est à moi”. J’en ai la libre disposition (un droit fondamental) et j’en suis responsable. C’est d’abord à moi – et non à des tiers, fussent-ils bardés de diplômes – d’en prendre soin. La législation interdit à des non-médecins de venir en aide à des malades, mais, heureusement, rien n’interdit aux patients de se prendre eux-mêmes en charge ! 

Hulda Clark a développé la “Self-Health” (“Auto-Santé”) – comprise comme la mise en oeuvre de tous les moyens terrestres permettant à un être humain de conserver ou de recouvrer sa santé. Cela développe l’Autonomie, qui est aussi Liberté. Ainsi l’Auto-Santé implique le Droit de Savoir, la Liberté de Choisir, la Responsabilité personnelle pour sa propre Santé. 

  Dans “La Guérison est possible”, Hulda dit : 
« L’objectif de ce livre est de vous rendre capable de poser des diagnostics et de vous traiter vous-même, quelle que soit la maladie. 3 nouvelles approches feront de ces voeux une réalité : le fait que seuls les parasites et les polluants vous rendent malades ; le circuit de diagnostic vous permettant de savoir lesquels ; les dispositifs ou recettes de plantes qui tuent les parasites. Pouvez-vous, pour vous guérir, faire vous-même le diagnostic ? Et le réussir ? Pourquoi pas ? Apprendre à bien se porter est un nouveau savoir. 

Depuis des temps immémoriaux le malade a été pris en otage pour son argent. Aujourd’hui, l’industrie médicale prend une part importante du salaire des travailleurs. Ne serait-ce pas beau si médecins et malades pouvaient se remettre au jardinage ? 

Bonne nouvelle, notre corps peut recouvrir sa souveraineté en éliminant parasites et toxiques. Nous devons l’aider en éliminant les polluants. Heureusement, nous n’avons pas à faire tout le travail, nous devons juste l’aider. En réduisant les maladies chroniques à 2 problèmes cela devient maniable et plus facile à gérer. La santé revient et vous récompense. Les tragédies peuvent être évitées. Changer la maladie en bien-être devrait être l’excitante aventure de votre vie. Devenez simples. La santé est primitive. Vous êtes nés primitifs, en bonne santé. Même si vous ne l’êtes pas, vous pouvez réparer beaucoup de dommages “congénitaux”. Vous n’avez pas besoin d’ordonnance de médicaments coûteux et dangereux pour vous débarrasser de votre maladie. Une fois que vous savez ce contre quoi vous luttez, vous pouvez choisir vos méthodes. » 

« Il est immoral de retenir les malades en otage. Il faut mettre un terme à cette pratique fondamentalement contraire à l’éthique. »

« Avec ce livre, j’espère livrer le plus de secrets possible sur l’origine et la guérison de toutes les maladies, en faisant passer la vérité avant les préoccupations professionnelles. Le genre humain ne peut plus se permettre de faire de la maladie une source de profit, une affaire lucrative. Le concept étroit d’une santé réservée à un corps professionnel limité est dépassé. Pour moi, ce livre est un cadeau que je fais à l’humanité. Je m’engage devant le public à ne pas supprimer cette information mais à la répandre. Mon seul critère est que cet ouvrage satisfasse votre exigence en matière de vérité. » 

De même que nous avons la liberté de choisir les solutions religieuses qui nous paraissent les mieux adaptées à notre bien-être spirituel, nous devons être absolument LIBRES de faire de même pour notre bien-être physique. 

« La seule raison qui me pousse à publier ce livre c’est que je souhaite promouvoir l’Autogestion de la Santé signifiant la Liberté en matière de santé, la liberté de choisir. » 

  Découvrez le Self Health dans le livre « La Guérison et possible » et les autres livres de Hulda Clark. Prenez vous-même soin de vous ! Personne ne le fera mieux que vous !

Le livre à découvrir pour se soigner soi-même : 
« La Guérison est possible » 
par Dr Hulda Clark 
Prix spécial découverte jusqu’au 30/11/2012 
A commander sur le site :www.vivrenaturel.com/achat/categori… 

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