Comment préserver notre santé

Posté par othoharmonie le 14 avril 2013

 

- Je crois que les forces spirituelles et mentales jouent un rôle aussi important que les soins médicaux. Un médecin a dit un jour : nous soignons le malade mais c’est Dieu qui le guéri.

- Je continue à me faire suivre par mon médecin et je prie pour lui, pour aider ses connaissances à me guérir.

- Je m’abandonne totalement à la puissance de mon esprit et dis, plusieurs fois par jour : mon esprit est avec moi.

- Je forme dans mon mental l’image de moi-même en parfaite santé. Je ne crains pas une aggravation du mal ou une maladie, je chasse définitivement ces pensées de mon esprit et je n’évoque que des images rassurantes.

- Je ressens en moi le bien-être de la santé.

- Je suis parfaitement naturel.

- Je demande au destin de m’aider et le remercie de ses bons soins : merci.

- Je répète régulièrement : de jours en jours à tous points de vue je vais de mieux en mieux.

- Si j’étais malade, je visionnerais dans mon esprit le mal qui se ferait dévorer par mes globules blancs.

- Je ressens en moi que je suis bien et détendu.

- Je visionne au moins trois fois par jour la photo d’une personne souriante et bien portante.

- Je me relaxe trois fois un quart d’heure par jour.

- Si j’étais malade j’utiliserais le mot contact : changez.

Extrait du livre : Le Pouvoir Suprême de Joseph Marcoulet

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Comment retrouver notre équilibre

Posté par othoharmonie le 14 avril 2013

 

- Je m’étends confortablement. Je ralentis le rythme de ma respiration. J’inspire et expire au maximum de mes capacités. Puis, en remontant des orteils à la tête, je sens chaque partie de mon corps en état de complète relaxation.

- Je dis : mes pieds, mes doigts et mes muscles sont détendus.

- Je me décontracte ainsi plusieurs fois par jour. Je vise à atteindre la flaccidité d’une méduse ou encore celle d’une chaussette. J’imagine que je suis une chaussette.

- Je vois mon esprit comme l’océan agité par une tempête et peu à peu j’imagine que les nuages s’éloignent, que la tempête s’apaise et que l’étendue déchaînée redevient lisse comme un miroir.

- J’évoque, dans mon esprit, sans regret, avec joie et plaisir, les plus belles et paisibles scènes que j’ai admirées : une montagne éclairée par le soleil couchant, un clair de lune sur la mer, un champ de tournesols, un parterre de fleurs etc.

- Je répète lentement, en m’efforçant d’en dégager toute la mélodie, des mots qui expriment la paix. Par exemple : sérénité, tranquillité (j’articule et les prononce tranquillement.) Je cherche des synonymes et les répète de la même manière.

- Je me rappelle les moments de ma vie où j’ai senti sur moi la protection du destin. Je me souviens notamment comment, dans les pires difficultés, la providence me conduisit à bon port.

- Je répète plusieurs fois : ta puissance m’a gardé jusqu’ici. Tu continueras à éclairer ma route.

- Je ressens la paix en moi.

- Je visionne plusieurs fois par jour la photo d’une personne calme et détendue.

- Je me relaxe tous les jours trois fois un quart d’heure.

- J’utilise le mot contact : ensemble.

Extrait du livre : Le Pouvoir Suprême de Joseph Marcoulet

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Dialoguer avec les Etres de Lumière

Posté par othoharmonie le 13 avril 2013

 Dialoguer avec les Etres de Lumière dans Exercices simples chemin

« Chacun de vous, actuellement et dans les temps qui viennent, si proches maintenant, changera de plus en plus de niveau de conscience. Vous relativiserez votre vie de plus en plus, et c’est très bien ainsi.

Même si cela ne s’est pas encore produit, vous nous ressentirez de plus en plus lors de vos méditations, surtout lorsque vous serez dans le calme. Dans l’agitation il est impossible de nous ressentir, parce que les énergies d’agitation et de paix sont assez opposées, assez incompatibles.

Etre en méditation, en communication, de n’importe quelle manière que ce soit, vous élève très grandement. A ce moment-là, vous pouvez nous capter, vous pouvez nous ressentir.

Ce que vous pouvez faire pour vous apprendre à nous ressentir, c’est de dialoguer pendant cinq ou dix minutes, voire plus, avec nous, nous dire tout ce que vous pensez, tout ce que vous espérez, tout ce que vous voudriez au niveau de votre avancement, nous parler de toutes vos craintes, de tous vos soucis. Parlez, même à voix haute, de tout cela, puis lorsque vous aurez « vidé votre sac », parce que c’est important, faites silence, et vous verrez avec étonnement que toutes les réponses à vos questions affluent dans votre conscience humaine.

Cela fait partie de la prière, de la communication entre deux et même plusieurs plans.

Sur Terre, vous communiquez entre vous au travers de la parole et vous avez la réponse lorsque vous posez une question à votre interlocuteur. Il en est de même avec nous.

Nous voudrions vous dire que vous faites trop la séparation entre ce que vous êtes et ce que nous sommes. Ce n’est pas parce que vous ne nous voyez pas que nous ne sommes pas près de vous ! Il n’y a pas de séparation à faire. Vous et nous avançons main dans la main, seulement vous ne sentez pas notre main, mais nous nous ressentons la vôtre, nous ressentons la matière qui vous habille, nous ressentons vos corps d’énergie, nous ressentons parfois vos tourments et vos faiblesses. Nous ressentons votre joie et votre Amour de la même façon.

Tout cela pour vous dire que nous serons de plus en plus présents auprès de vous, et soyez certains que vous aurez besoin de notre présence.

Donc lors de vos méditations, essayez d’avoir ce petit dialogue avec nous. Vous pouvez même vous plaindre, cela n’aura pas de conséquences, car si vous dialoguez avec nous vous vous libérez, vous vous délestez de certaines imprégnations de vécus difficiles. A ce moment-là, nous mettons du baume sur votre cœur, nous vous aidons du mieux que nous pouvons le faire, ou tout du moins du mieux que vous pouvez le recevoir ou le percevoir. »

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

  • qu’il ne soit pas coupé
  • qu’il n’y ait aucune modification de contenu
  • que vous fassiez référence à notre site  http://ducielalaterre.org
  • que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

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Que répondre à la « charge » anti-channeling ?

Posté par othoharmonie le 13 avril 2013

Alain Moreau nous dit :

Que répondre à la

Les sources « canalisées » ne prétendent pas amener les gens vers « l’Eveil », leur seul intérêt étant simplement de fournir une information spirituelle adaptée à notre époque. Et, en ce qui me concerne, ce ne sont pas « le soutien et le réconfort psychologiques » que je recherche dans les textes canalisés ! Ce qui m’intéresse ce sont les informations concrètes et instructives (il y en a parfois dans ce type de sources) sur divers sujets, informations que l’on ne trouve d’ailleurs pas chez les « maîtres spirituels incarnés », chez les ésotéristes ou chez les chercheurs spirituels. Il est vrai cependant qu’il y a, dans le channeling, beaucoup de textes pour ne pas dire grand-chose, et il est plutôt frustrant de constater que, par exemple, sur trois cents pages d’un livre, il y a tout au plus deux ou trois pages d’informations concrètes ! C’est ici que l’on retrouve, effectivement, le « pathos émotionnel » (Amour, Lumière, etc.) caractéristique de nombre de communications de ce type. Néanmoins tous les cas de channeling ne se situent pas à ce niveau « astral » ou « émotionnel ». Les livres de Midaho, de Joseph Whitfield, d’Aurelia Louise Jones et Dianne Robbins, etc., apportent des informations inédites (qui, à défaut d’être vérifiables, sont fort intéressantes) sur des sujets tels que l’« aprè-vie », les civilisations de l’Espace, les continents disparus, le monde souterrain de l’Agartha, etc. Ce sont ces informations qui m’intéressent. Quant au « pathos émotionnel » ou « astral » que l’on trouve dans de nombreuses sources, je « zappe » ! Il faut savoir « élaguer » dans un texte.

Un problème, plus fondamental, est celui de l’identité réelle des sources alléguées. Il est certain que nombre de ces sources donnent de fausses identités afin de faire passer leur message à une frange particulière d’individus sensibles à telle ou telle « signature cosmique ». Il y a aussi des mystificateurs de l’Astral comme ce faux Jésus qui avait annoncé, en mai 2006, qu’un terrible tsunami allait balayer, le 20 mai 2006, la côte Est des Etats-Unis. Et certaines entités semblent en effet se comporter comme des « vampires énergétiques » se gavant de la peur ainsi produite dans la conscience de certains individus.

Faut-il pour autant en déduire qu’il n’y a jamais, dans les textes « canalisés », de sources correspondant réellement, par exemple, à Jésus, à l’Archange Michaël, voire à Dieu ? C’est ici que ma position diffère de celle des auteurs du texte que j’ai pris pour référence.

L’objection relative à la correspondance « univers spirituel/niveau de conscience » semble pertinente, mais faut-il en déduire pour autant que les channels, n’ayant pas de « conscience avancée, éveillée ou sublimée », ne peuvent pas être contactés par des êtres d’un niveau évolutif plus élevé qu’eux ? Helen Schucman n’était probablement pas une personne à la « conscience éveillée ou sublimée », mais ses textes sont d’une « profondeur » métaphysique telle que leur origine christique est même reconnue par un ésotériste comme Benjamin Creme, lequel clame pourtant, ainsi que je l’ai signalé plus haut, que le channeling c’est de « l’Astral » à 99,99% ! Il écrit en effet que le Maître Jésus a inspiré l’ouvrage « A course in miracles », transmis « sur les plans intérieurs à un disciple, qui l’a ensuite dicté au Dr Helen Schucman ». (1)

Autre exemple de contact avec Jésus, celui de l’artiste Glenda Green. Elle aussi ne doit pas être au niveau de la « conscience éveillée ou sublimée », mais elle a reçu un enseignement de Jésus dans des conditions très particulières. Glenda Green a ainsi pu peindre un tableau représentant la vision qu’elle avait du Maître : « L’agneau et le lion ».

La plupart des « canaux » qui pensent servir d’intermédiaires à des anges ou des archanges ne sont probablement en contact qu’avec des « guides spirituels » (de l’Astral supérieur ou du niveau mental), mais une channel comme Ronna Herman, par exemple, est-elle « mystifiée » par une entité de l’Astral supérieur, ou du Monde mental ou causal, se faisant passer pour l’Archange Michaël ? S’il est impossible de le savoir il faut tout de même reconnaître que les textes correspondants sont de qualité.

Quant à Midaho, qui a dit être en contact avec la Source (donc avec Dieu), on notera – outre la correspondance entre les Mondes spirituels donnée par cette source et la classification de Chris et Kessani Iwen – qu’elle a été informée qu’une femme, « qui dirige une secte en Forêt Noire » et qui prétend être le « seul porte-voix de Dieu », ne canalise ni Dieu, ni le Christ, ni Jésus (ces deux derniers étant distincts). Elle entend simplement son guide spirituel (qui appartient, comme la channel, au Monde causal). Ce guide lui fait croire qu’il est Jésus. La Source précise que de nombreux guides se font ainsi passer pour Jésus. Le but de cela « n’est pas de leurrer les gens ». Ces guides se font passer pour Jésus parce que « dans l’esprit de beaucoup d’hommes Jésus est Dieu et sa parole – la parole du Seigneur, la parole du Sauveur – est sacrée, elle a un impact bien plus grand que la parole d’un simple guide ». (2) On peut penser que nous sommes, avec le cas Midaho, en présence d’une source différente de celles de nature « astrale ».

Quant à la prétention de « canaliser » Dieu, qui peut paraître exorbitante, voici ce que Midaho en dit en quatrième page de couverture du tome 2 de « Dialogues avec Dieu » (éditions Hélios, 2001) :

« Lorsque Dieu parle à un être humain, cela peut paraître prétentieux pour celui-ci de dire : ‘Voilà mes amis, Dieu me parle…’’ Cela peut aussi sembler impossible à bon nombre de gens que Dieu puisse parler à un être humain : la puissance de l’énergie divine ferait exploser le petit corps de chair, pensent-ils.

Pourtant, celui qui a entendu Dieu en lui ne reconnaît que l’immensité de Sa Douceur infinie, Sa faculté de doser la puissance de Son Energie afin qu’elle ne détruise pas le petit corps humain qui la reçoit, comme une mère peut tenir dans ses deux mains avec une infinie délicatesse le corps de son nouveau-né. »

Une source canalisée par Aurelia Louise Jones précise qu’il existe des imposteurs qui empruntent l’identité de chaque maître et de chaque groupe d’êtres de lumière. Les informations canalisées ne proviennent pas toutes des maîtres de lumière et de sagesse, les charlatans étant nombreux « et particulièrement rusés ». En outre, dans le même livre, Aurelia Louise Jones, qui canalise Adama (le grand prêtre de Telos), précise qu’à l’heure actuelle des gens prétendent canaliser Adama, et dans certains cas ceci n’est pas vrai. Adama, quant à lui, précise qu’il n’autorise personne d’autre qu’Aurelia Louise Jones à le canaliser officiellement dans le cadre de publications de livres ou encore lors d’événements publics. (3) Voilà un autre texte qui, manifestement, n’émane pas de l’« Astral ».

Propos de Alain Moreau recueillis sur le site  

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Cultiver la paix intérieure

Posté par othoharmonie le 12 avril 2013

Comment cultiver notre paix intérieure?
Quelles techniques d’intériorisation choisir?

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En ce début de millénaire, les approches traditionnelles vers une paix intérieure semblent dépassées ou du moins pas suffisamment appropriées aux réalités d’aujourd’hui. Ce qui ne veut pas dire qu’il est impossible d’atteindre la paix intérieure par le biais de ces moyens. Afin d’y arriver, il est nécessaire de transcender les interdits et les incohérences de l’environnement surtout quand le livre a préséance sur l’expérience.

Je suis coach de vie mais j’ai occupé, de 1980 à 1988, les fonctions de ministre du culte et d’aumônier au sein d’une dénomination protestante. Avec le recul, je prends conscience que durant toutes ces années de ministère, j’ai incité mes paroissiens à se diviser entre le correct et le pas correct, le bien et le mal, le péché et la vertu. Je visais l’épanouissement de la vie. Étant pris dans un milieu ecclésiastique fermé, j’empêchais ainsi les gens (y compris moi-même) d’avoir accès à une véritable paix intérieure. Cette paix croulait sous un amas d’interdits, de méfiance face à la vie et même face aux autres. La paix intérieure véritable passe par l’unification de l’être. En fait, j’enfermais la vie dans un immobilisme rempli de craintes, d’anxiété et d’étouffement de la nature humaine. La paix intérieure était donc inaccessible sauf à certains moments de grâce qui n’étaient que de courte durée. Je travaillais contre la Vie plutôt que de favoriser son épanouissement. 

Aujourd’hui, en tant que coach, je préfère utiliser les concepts approprié et non approprié, permettant ainsi d’avancer vers une plus grande paix intérieure et une plénitude de l’être faite d’apprentissages (essais–erreurs) et d’expériences basées sur, comme le disaient si bien nos grands-parents, le gros bon sens.

En PNL, une des présuppositions de base est que toutes les ressources se retrouvent dans la personne. Par conséquent, celle-ci a donc la sagesse nécessaire pour vérifier ce qui est approprié du moins pour son écologie intérieure. Cependant, parmi toutes les techniques d’intériorisation offertes sur le marché, quelques pistes peuvent nous aider à choisir une approche correspondant mieux à nos besoins. 

Premièrement, nous ne sommes pas des êtres désincarnés. Toute approche qui incite à rejeter le corps devrait être sérieusement mise en doute. Selon Stephen Gilligan, auteur de Le courage d’aimer, il existe un point où la Vie passe par le corps, par le centre, un point sensible et vulnérable. Quand nous ne sommes plus en contact avec ce centre de nous-mêmes, par où se manifeste le Soi, l’Esprit, la Vie ou Dieu, nous devenons piégés par le mental et par nos vieilles manières de penser et d’agir. Nous sommes donc coupés de nos ressources et de nos certitudes car nous ne sommes plus en contact avec cet endroit de notre corps qui nous permet d’être régénéré, plein de ressources et de confiance. Le corps est aussi l’outil idéal pour nous garder dans le moment présent. Il nous donne des signes par le biais de notre ressenti physique pour rester dans le « Je suis », là maintenant, et trouver ainsi notre voie vers notre paix intérieure et enfin vivre en authenticité.

Deuxièmement, tout enseignement de techniques venant à l’encontre de notre liberté de juger par nous-mêmes les informations présentées, devrait aussi être remis en question. Nous avons en nous toute la sagesse pour savoir si les voies enseignées, les vérités ou les demandes qui nous sont faites nous conviennent. Plusieurs vérités circulent en ce monde mais il y en a une incontournable : celle que nous avons le pouvoir et la responsabilité de choisir et de vérifier par nous-mêmes ce qui nous convient. Trop souvent par manque de confiance en soi, des hommes et des femmes remettent à des gourous ou à des leaders leur pouvoir de vérifier les informations enseignées. Tout un chacun a le devoir de respecter son intuition, son intelligence et ses signaux corporels pour s’assurer que ce qui est présenté convienne vraiment à son écologie intérieure.

Troisièmement, l’encadrement ou l’environnement dans lequel se pratiquent ces techniques doit être également considéré. Toutes formes d’élitisme à outrance, de philosophies utilisant la culpabilité, la manipulation, l’intimidation, l’humiliation et le non respect de la personne devraient être jugées comme inquiétantes. La technique ou les croyances qui l’accompagnent peuvent être excellentes mais il est nécessaire que l’environnement de formation ou de croissance soit approprié.

Par ailleurs, une technique convenant à une personne peut très bien ne pas convenir à une autre. Nous sommes tous uniques et nous avons tous un paysage intérieur différent. Certaines personnes sont plus kinesthésiques, d’autres plus auditives ou d’autres plus visuelles; il y a donc des techniques pour chaque type de perception. Par exemple, le kinesthésique sera plus à l’aise avec une technique faisant appel au corps tandis que l’auditif choisira plutôt les approches utilisant la parole et enfin, le visuel se sentira mieux avec les formes de spiritualité qui font appel à des images et des symboles. Il faut donc se connaître et surtout ne pas culpabiliser si une technique nous semble moins accessible. Il se peut fort bien qu’une approche ne convienne nullement à notre type de perception ou à notre personnalité.

En conclusion, il importe d’être à l’écoute de soi et du Soi avant d’employer quelques techniques pour cultiver sa paix intérieure. Si vous en pratiquez une et que vous n’êtes toujours pas en paix, eh bien, il y a possiblement une évidence qui mérite d’être prise en considération. Nous sommes à l’heure des communications, alors au moindre doute, lisez, faites des recherches, posez des questions, consultez ceux qui ont déjà pratiqué ces approches. Si les réponses ne semblent pas vous satisfaire, soyez vigilants. Fiez-vous aux signes de votre corps, à votre intuition et respectez votre intelligence. Soyez ouvert à ce que la Vie vous présente pour cheminer vers une paix intérieure tout en restant responsable de vous-mêmes. De plus, votre sage intérieur, votre Soi, l’Esprit ou tout autre terme poétique, peut vous guider vers la meilleure approche. Cela ne diminue en rien votre responsabilité ainsi que votre pouvoir de vérifier et de choisir.

Lucien-Carol Proulx
Coach de vie certifié en PNL et Hypnothérapeute
Voir ma page Psycho-Ressources 

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Rester soi-même

Posté par othoharmonie le 12 avril 2013

 

Question : Comment ne pas être perturbée par le contact avec les autres qui ne sont pas dans la même énergie ?

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Qu’entends-tu par « même énergie » ? Je resituerai cela plutôt « dans la même Conscience ». Tant qu’il y a une distance, tant qu’il y a la perception que tu es toi et qu’il y a un autre, quel que soit cet autre, il y a, bien évidemment, une distance et une séparation. Cette distance et cette séparation viennent du positionnement au sein de la personnalité (et même au sein du Soi), donnant à vivre une différence, cette différence pouvant s’exprimer sous forme de dissonance. Ainsi donc, toute projection de la Conscience, que cela soit à partir du Je, que cela soit à partir du Soi, se traduira immanquablement par des mises en résistance, par des dissonances qui viennent alors altérer, dans un premier temps, le sens même de ton identité ou de ta personne.

À travers la répétition des expériences, te sera donnée à vivre l’installation de la non-séparativité, de la non-distanciation, bien au-delà de la volonté d’amour, bien au-delà de la communication, bien au-delà de la relation et vous amenant à préparer ce qui est vécu, une fois les portes de la mort franchies. C’est-à-dire non plus une communication, non plus une relation, mais bien l’Amour, dans son sens le plus transfiguré, le plus authentique, c’est-à-dire où n’existe plus aucune barrière. Saisis bien que ce n’est pas ta Conscience du Soi qui est altérée, mais bien les dissonances existant au sein des différents sacs de nourriture, sacs de manteaux, qui se confrontent l’un à l’autre, chacun avec son Illusion personnelle, chacun avec l’impression d’être séparé et distancié. Au sein de ce monde, vous communiquez par des mots, par des expressions, par des sous-entendus, par des Vibrations, par des émanations. Votre émanation vient rencontrer une autre émanation. En l’Absolu, cela n’existe pas. La Transparence est totale, permettant de se laisser traverser par l’information, sans rien en retenir (de cette émanation), sans rien en altérer, sans être dans la dissonance. Le principe même de ce monde, ainsi que de son Illusion et sa Dualité, est la dissonance. La dissonance entretient elle-même, par elle-même, le principe de séparation existant sur ce qui tombe sous les sens, que cela soit les yeux, que cela soit la Conscience elle-même. Tout ceci appartient à cet éphémère. Dans ce qui est appelé les autres Dimensions, comme dans l’Absolu, ce principe de séparation et de résistance, appelé dissonance, ne peut être manifesté, ni même conceptualisé. L’enfermement crée sa propre souffrance. Le fait d’être isolé, de ne pas sortir de ce sac de nourriture, de se sac de pensées, vous donnera immanquablement à rencontrer des mécanismes de dissonance. Tout au plus, en vous installant dans le Soi, dans l’Unité et dans le «Je suis Un», vous allez limiter les phénomènes de dissonance et vous allez pouvoir manifester la loi de Grâce, manifester ce que vous aviez nommé la Fluidité de l’Unité, vous permettant d’approcher de la Joie, de vivre la Joie.

Mais vous avez tous vécu que les contrariétés de ce monde, un jour ou l’autre (excepté si vous restez en Samadhi permanent), vont vous rencontrer. Ce principe de dissonance est inscrit dans le principe de la personnalité, dans le principe de séparation, dans le principe d’isolement, que vous vivez. Vous ne pouvez y échapper. Seul celui installé dans le 4ème état de la Conscience, nommé Turiya, dans le Soi, dans l’Infinie Présence, arrive à manifester un sentiment de permanence au sein de la non-résistance et de la non-dissonance, Intérieure comme extérieure, puisque la distance, Intérieure comme extérieure, n’existe plus. Toutefois, cela ne s’installe pas dans la durée parce que vous êtes inscrit, dans ce corps, dans un principe éphémère. L’éphémère a pour fonction de maintenir l’éphémère. La dissonance (ou la résistance) font partie de la constitution même de ce corps, de ce sac de nourriture, comme de ce sac mental. Vous ne pouvez y échapper tant que votre point de vue reste celui de ce corps ou de ce mental. Il n’y a que en étant Absolu, Révélé, Dévoilé (quel que soit le nom que vous lui donnez), que vous pouvez sentir la résistance, la dissonance, Intérieure comme extérieure, sans en être affecté, parce qu’à ce moment là vous savez pertinemment que vous n’êtes ni ce sac de nourriture, ni ce sac mental, ni rien qui existe au sein de ce monde.

Ainsi, les lois que vous vivez (et que nous avons vécues quand nous sommes incarnés) ne sont absolument pas superposables à ce qui se passe dans les Dimensions autres et encore moins dans l’Absolu, surtout si cet Absolu devient sans forme. Le principe de séparation est, très exactement, ce qui a permis à la Conscience, d’apparaître. Conscience se divisant, comme vous le savez, en subconscient, conscient, supra conscient. Mais qu’est-ce qui a généré la Conscience ? Posez-vous la question. D’où vient la Conscience ? Non pas d’où vient la personnalité, non pas d’où vient l’âme, non pas d’où vient l’Esprit, mais d’où vient la Conscience ? La Conscience est une projection à l’extérieur de quelque chose qui n’était pas conscient et qui, pourtant, est le Tout. Ceci est l’Absolu. Tout mécanisme de projection ne doit pas être envisagé uniquement comme une extériorisation, mais aussi comme une intériorisation, c’est-à-dire à la notion d’un mouvement. L’Absolu est le centre, présent en tout point. Il est donc non-mouvement, non-action, non-être. C’est ce que vous Êtes, c’est ce que nous sommes tous. Ce « tous » qui, d’ailleurs, n’existe pas. Le principe de séparation est l’expérience de la Conscience, quel qu’en soit le niveau, depuis le niveau le plus dense jusqu’à Turiya. Ainsi, vous ne pouvez échapper aux lois de l’éphémère : ce corps apparaît, ce corps disparaîtra. Ce mental apparaît, ce mental disparaîtra. Et vous, où êtes vous ? Ni ce corps, ni ce mental, ni aucune des projections de la Conscience, qui ne sont que des expériences éphémères. De la même façon, passant de Dimension en Dimension, dans les mondes dits Unifiés, il reste une connexion à La Source et surtout à l’Absolu. C’est l’Absolu qui sous-tend les Dimensions, c’est l’Absolu qui permet la Conscience. Mais la Conscience n’est pas l’Absolu. Elle en est partie intégrante. Elle est contenue au sein de l’Absolu, elle en est le support, elle en est la manifestation, Intérieure comme extérieure, divisée ou pas divisée. Bien sûr, les mécanismes de dissonance et de résistance, tels que tu les exprimes, sont absents dans les Mondes dits Unifiés, du fait de la Transparence, Transparence du sac, même si ce sac n’a rien à voir avec son aspect labile, au sein de ce monde. Tout sac est mutable. Votre sac, ici, change de jour en jour mais apparaît entre ce qui est appelé la naissance et la mort. Dans les Mondes Unifiés, le sac est mutable, aucune forme n’est fixe : ce qui explique la Transparence, la mutabilité, la continuité et donc la connexion à La Source, ainsi que le contenu au sein de l’Absolu. Ainsi donc, aucune dissonance ne peut réellement disparaître. Vous connaissez tous, dans vos histoires, dans votre vécu sur ce monde, le déroulement de toutes les histoires, le déroulement de toutes les sociétés, de toute cellule, de tout ce qui est vivant, de tous les systèmes, de tous les concepts. Il y a apparition, il y a croissance, il y a sommet, il y a décroissance, et puis il y a disparition ou mort. Cela est valable pour une cellule, cela est valable pour tout ce qui existe, qui vous est donné à voir, à vivre, à percevoir au sein de ce monde. Ce qui n’existe, bien évidemment, absolument pas au sein des Dimensions Unifiées, comme dans l’Absolu, avec ou sans forme.

Vous ne pouvez vous opposer à la dissonance. Parce qu’en vous opposant à la dissonance, vous maintenez les liens, vous maintenez l’enfermement, vous maintenez l’Illusion. La seule façon de sortir de l’Illusion n’est pas de renier la vie, mais bien de se placer ailleurs, de changer de point de vue, de réfuter ce qui est éphémère, afin de vivre, dans ce sac, l’Absolu avec une forme. Ce n’est qu’à ce moment-là que les dissonances, réelles, pouvant altérer ce que vous êtes, ne peuvent durer, ni affecter sur du long terme, même éphémère, ce que vous Êtes, en Absolu. Les conséquences ne sont pas les mêmes selon que vous êtes établis dans le « je », selon que vous êtes établis dans le Soi, selon que vous vivez l’Infinie Présence, et selon que vous Êtes Absolus. L’intensité de la dissonance peut être vécue, aussi, en étant Absolu. Mais il est extrêmement facile de sortir de cette dissonance, pour celui qui a effectué les Passages du « je » au Soi, et du Soi à l’Absolu, dès que l’Absolu a été révélé.
Vous ne pouvez lutter, parce qu’accorder votre conscience à la lutte renforce l’opposition, renforce l’éphémère, et renforce l’Illusion. Aucune amélioration, au sein de ce monde, ne pourra vous apporter la Vérité, la Libération. Seule, en définitive, la Conscience elle-même, se débarrassant d’elle-même, c’est-à-dire de l’observateur, est à même de s’établir Absolu. Les obstacles sont nombreux. Le premier des obstacles n’est pas la dissonance, le premier des obstacles est de chercher, alors que vous n’avez rien à chercher : tant que vous cherchez, vous vous éloignez. Tant que vous passez votre temps à chercher ce que vous n’avez pas, vous créez des dissonances, vous vous éloignez. Si vous vous contentez de ce qui a toujours été là, c’est-à-dire vous, au-delà du « je », au-delà du Soi, aucune dissonance ne peut vous altérer, aucune souffrance ne peut vous faire souffrir. Ce qui souffre est l’éphémère. Vous savez très bien que, quand il y a une perte, s’exprime la souffrance. Que cela soit par la mort, la perte d’un proche, la disparition d’un proche, d’une situation, des modifications de lieu, cela a pour nom la peur. Parce que la peur est dissonance et résistance. Et la peur vous inscrira toujours dans le « je », et elle est encore présente dans le Soi, dès que vous en sortez. Seul,l’Absolu débarrasse ce que vous Êtes, définitivement, de ce dont vous êtes affublés, au sein de ce monde, qui est appelé la peur.

Tant que vous avez peur, pour vous, pour ce corps, pour votre vie, pour un évènement, pour une personne, vous n’êtes pas Libre. La Liberté est la Dissolution de la peur. La Liberté est l’absence de résistance. Il ne peut exister de pratique, au sens spirituel, qui puisse, définitivement, vous faire disparaître de la peur. La disparition de la peur est liée à votre propre disparition, en tant que personne, en tant qu’individu, en tant que modèle, en tant que concept, en tant que perception, en tant que ressenti. Parce que tous ces éléments ne sont que des projections, et toute projection est dissonance, par essence. Ce qui est en cause, c’est le point de vue, ce n’est pas la Vie. La Vie, ici comme ailleurs, est parfaite. Si vous acceptez cela, non pas comme une croyance, mais en en posant les fondements, de la même façon que cela a été le cas pour la réfutation et l’enquête, vous vivrez, assurément, la fin de la dissonance. La question se résume seulement en cela : voulez-vous être Libre ? Mais ne pouvez prétendre être Libre et être enfermé, nulle part, même pas dans le Soi. La Liberté est l’absence de dissonance, l’absence de résistance, et l’état de Transparence, qui s’appuie sur l’Humilité, la Simplicité. Certaines des Étoiles vous ont dit n’être rien sur ce monde. Si vous n’êtes rien, vous Êtes tout. Bien sûr, cela ne peut être accepté, ni par la personnalité, ni par celui qui se regarde dans le Soi. Tant que vous regardez quelque chose, vous n’êtes pas Libre. Bien sûr, il existe des états, que vous nommez Vibratoires, qui sont à même de résoudre, de façon temporaire, les dissonances : par l’empathie, par la compassion, par l’amour, par la tolérance. Mais ce sont des vertus morales, ce sont des vertus, parfois, spirituelles, mais ce n’est pas Absolu. Seul l’Absolu rompt définitivement le charme de l’Illusion, de l’adhésion à une croyance, de l’adhésion à une vie, de l’adhésion à un monde, quel qu’il soit. Cela ne vous prive pas de ce monde, tant que le sac de nourriture est présent, bien au contraire. Parce que ce n’est qu’à ce moment-là, parcourus par l’Onde de Vie, que vous vivez la Vraie Vie.

Ce que vous appelez la vie, dans le je comme dans le Soi, n’est que l’expression de résistances. L’orgueil spirituel est cela. Acceptez de disparaître, acceptez d’être le plus petit, et vous serez le Tout. « Tant que vous ne vous êtes pas abaissés, vous ne serez pas Élevés » : je reprends, mot pour mot, ce qu’a exprimé le CHRIST. Il n’a rien fait de plus que de vivre, en Totalité, le chemin de la Libération. Dans toutes les civilisations, dans tous les pays, vous avez eu des êtres qui se sont affranchis de tous les conditionnements, même en étant, au départ, adeptes d’un gourou, d’une religion, d’un concept, d’une philosophie. Dès l’instant où vous vous affranchissez de tout cadre, de toute référence, de toute croyance, de toute illusion, à ce moment-là, vous Êtes un Libéré Vivant. Vous n’avez pas besoin de venir de telle culture, ou de telle religion. Vous avez besoin, justement, de vous en Libérer. Il faut oser être Libre. Il n’y a pas de Libération tant que persiste l’illusoire de votre point de vue. Ce qui revient à dire que tant que vous demeurez dans l’action, et dans la bonne action, vous entretenez la réaction.

Rester tranquille, n’est pas ne rien faire, mais laisser faire. Ce n’est pas vouloir Être, mais laisser Être. Ce que vous avez à vivre dépend de votre capacité à envisager votre Liberté, votre Libération, ou pas. Nous vous avons parlé (et surtout les Anciens, plus que moi) des aspects de la Vibration, puisque la Conscience est Vibration. Mais vous ne pouvez percevoir ce que vous Êtes, en Vérité. Parce que vous Êtes l’ensemble des Vibrations. La seule chose que vous ne pouvez voir, c’est vous-même. Il n’y a que quand les projections extérieures de la conscience, ou Intérieures de la conscience (quel que soit le point de vue, éphémère et limité, du « je » ou du Soi), disparaissent, que l’Absolu se révèle, en tant que votre Essence, votre nature, votre pérennité, ce qui n’a jamais bougé, ce qui n’est jamais né, ce qui ne disparaît jamais. Quand vous dites : « je meurs », qui meurt ? Ce qui reste toujours, qui maintient l’illusion, est la peur. Ce qui a été nommé, je crois, les attachements de la personnalité à elle-même (ndr : voir la rubrique « protocoles à pratiquer »). Il n’y a rien à déconstruire, en définitive. Il n’y a rien à chercher. Il n’y a rien à Être : réfutez tout cela, et l’Absolu est là. C’est instantané, il n’y a pas de temps. Si vous envisagez un temps, vous vous éloignez de ce qui a toujours été là. La Paix Suprême, la Demeure de Paix Suprême, est, très exactement, ce qui arrive à la conscience qui a accepté de disparaître. Nombre d’Étoiles vous l’ont exprimé, à travers leur chemin personnel, à travers leur histoire et leur expérience.

Extrait de canalisations de BIDI - Référé par : http://www.autresdimensions.com/

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Vivre ensemble autrement

Posté par othoharmonie le 9 avril 2013

de l’auteur : Pascale d’Erm 

 Vivre ensemble autrement dans Expériences autrement

Vivre les uns sur les autres, les uns à côté des autres, entassés dans des villes, ne signifie pas VIVRE ENSEMBLE, bien au contraire.

Dans nos villes, vivre ensemble rime souvent avec nuisances, stress, conflits de voisinage, etc. Pourtant, nous sommes de plus en plus nombreux à aspirer vivre de façon plus solidaire, en nouant des liens plus authentiques et plus intenses entre nous et avec notre environnement. La crise immobilière, l’isolement des familles monoparentales ou de nos anciens, notre vulnérabilité économique nous incite à nous regrouper pour partager, nous entraider, mutualiser les biens. 

Un peu partout en Europe, des groupes ont commencé à s’extraire de la société de consommation pour donner un sens nouveau à leur vie et fonder, au plus profond de la nature comme au cœur des villes, des îlots de vie collective. Mais quels sont les fondements de ce nouveau « Vivre ensemble » respectueux des libertés de chacun ? A travers des exemples d’habitat collectif européens- un écovillage en Italie, un village coopératif en Ardèche, un écoquartier modèle en Allemagne, un grand pensionnat retapé collectivement en Belgique, un écohameau dans les Cévennes, un village d’insertion sociale en Belgique -voici les clés d’un Vivre ensemble épanouissant et inspirant pour chacun de nous. 

  Quatre mots clés : Plaisir, Parole, Liens et Liberté 
Le vivre ensemble contemporain des lieux que j’ai pu visiter se révèle à travers quatre mots clés, quel que soit le pays d’Europe : 

Plaisir de vivre ensemble : il est bien réel, et renouvelé au quotidien même après parfois 20 ans de vie commune. Un plaisir qui va de pair avec des difficultés -inévitables-. Les problèmes, du Vivre ensemble, « c’est un peu comme dans un couple, mais puissance 10 ! ». Le plaisir naît aussi de l’impression de donner un nouveau sens à sa vie : tous les choix ont un sens (choix du lieu de vie, de son voisin, autonomie prof, etc). Les habitants des lieux collectifs vont de l’avant, « sortent du cadre », réinventent leur quotidien, mais pas seuls…. 

Parole : elle circule beaucoup : l’on se parle, échange, entre soi et avec l’extérieur (certains lieux développent l’accueil de touristes, de classes vertes, etc). Ce ne sont pas des lieux fermés sur eux-mêmes. 

Liens : Il s’agit de retrouver le plaisir du lien quotidien, l’intensité du lien, l’utilité du lien et toutes ces valeurs qui s’entrelacent autours : solidarité, entraide, tolérance, ouverture, échanges, enrichissement mutuel, transmission intergénérationnelle, etc. etc. La nature de ces liens est tout à fait particulière : ni seulement amicale (nous avons tous des amis qu’on adore, mais avec lesquels nous ne pourrions pas vivre), ni familiaux, puisque les habitants des lieux collectifs se choisissent, contrairement à la famille qu’on ne choisit pas… 

C’est une famille de cœur en quelque sorte, fondée sur un projet de vie commun. 

Liberté : Vivre ensemble, et chacun chez soi : c’est l’une des clés fondamentales de ces lieux collectifs, et leur totale modernité. 

L’équilibre entre l’intimité et le collectif permet à chacun de se réaliser, de s’épanouir dans ses deux dimensions, la privée et la sociale. Chacun y possède sa propre maison, avec parfois un jardin même. Mais cet espace privé s’inscrit dans un cadre collectif acquis ensemble (souvent par le biais d’une SCI) partagé et géré en commun : salles de réunions, ateliers, garage, celliers, parfois un parc, etc. En reconnaissant l’importance de l’individu, les nouveaux lieux de co-habitats se démarquent de toutes les tentatives avortées et dangereuses d’utopies imposées, politiques fondées sur l’exclusion, ou peut-être pire, la ressemblance. 

Les écolieux ou lieux communautaires qui perdurent depuis les années 1970 ont su évoluer pour laisser une place de plus en plus grande à la liberté individuelle et aux projets de chacun, en les stimulant même, tout en demeurant portés par des modes de vie collectifs structurés. 
En vivant ensemble ainsi, une vie proche de ses convictions et de ses valeurs, plus autonome, on se libère aussi collectivement d’un gros poids, celui d’une société à laquelle on n’adhère plus vraiment grâce à la mise en place d’une autonomie tous azimuts : alimentaire (potagers, permaculture..), énergétique et eau (usage d’énergies alternatives, récupération d’eau de pluie/toilettes sèches). Sans oublier le co-voiturage, la mutualisation des biens et une vie professionnelle plus indépendante aussi : la liberté est croissante ! Au total : toi+toi+toi+toi = moi puissance 10 ! 
Aujourd’hui, vivre ensemble, ce n’est pas perdre sa liberté, c’est la gagner avec et grâce aux autres.

  Deux exemples d’écolieux pionniers 

TORRI SUPERIORE. Un écovillage de charme en Italie
Torri superiore est un village médiéval à quelques encablures de Ventimiglia, un dédale de ruelles en pierre où dévalent les enfants suivis par les chèvres… ou l’inverse. Il s’agit d’une ancienne ruine rénovée depuis les années 80 : 12 ans de chantier, 162 pièces restaurées sur 8 niveaux. Torri abrite dix familles résidentes propriétaires collectivement et est animé par une association culturelle. Chaque famille a sa maison et son jardin et se partage la salle à manger commune, les salles de réunions, de yoga, l’accueil du public dans les chambres d’hôte. Il y règne une incroyable fluidité collective, sans qu’aucune autorité supérieure ne semble s’imposer…. Le vivre ensemble est fondé sur un travail collectif intense, chacun selon ses compétences : chantier, accueil du public, préparation des repas (70 repas par jour en été). 

L’ECOQUARTIER Vauban, un modèle européen
Il est visité par des milliers de « costumes-cravates officiels » chaque année, dont bon nombre de Français, qui repartent en disant, « hum hum, intéressant, mais difficile à concrétiser… ». 

A Vauban, le lien social et humain est non seulement primordial, mais il est à l’origine de tout, puisque ce sont des étudiants squatteurs qui ont occupé une ancienne friche militaire, puis des « communautés de constructeurs », en fait des groupes d’habitants, qui ont voulu, désiré, conçu, inventé et structuré ce quartier. Les « Baugruppen » voulaient un lieu de vie différent, solidaire, construit avec des matériaux écologiques. Ils ne se connaissaient pas, mais se sont retrouvés, en groupe, à travailler sur des projets d’immeubles collectifs durant parfois deux ans. Ils sont allés chercher des matériaux en Autriche, en s’inspirant des architectes du Voralberg voisin, ont imaginé ces coursives sans barrières, des terrasses sans murs, des garages à vélos, buanderies, et autres lieux collectifs. Ils ont négocié l’absence de voitures et plaidé pour la construction d’une ligne de tram au cœur du quartier, financée par l’achat des terrains. C’est ce pari, cette émulation, ce risque un peu « fou » comme disent aujourd’hui les habitants, qui a littéralement soudé les groupes et qui constitue, aujourd’hui encore, le socle du quartier. 

Au final, Vauban est un « paradis urbain », pourtant doté d’une densité incroyable -5000 habitants y vivent- mais où règne un grand calme. Une multitude d’enfants y jouent dans la rue. Un peu partout, on voit des voisins en train de déjeuner ensemble, se prêter la machine à laver, constituer des groupes de chant, donner de leur temps pour les personnes âgées… 
La réussite de ce lieu ? : Un mélange improbable mais déterminant sans doute d’idéalisme, d’utopie, et de pragmatisme… □ 

etoiles-00049 dans Nouvelle TERRE
  Pascale d’Erm est journaliste, réalisatrice, elle a travaillé aux côtés de la Fondation Nicolas Hulot, de Yann Arthus Bertrand, de l’ex-Cinquième, de France 3 Ouest, de Santé magazine. Actuellement directrice de la collection « les nouvelles utopies » (éditions Ulmer) et auteur de « Vivre ensemble autrement » (paru en octobre 2009 chez Ulmer), et de « Vivre (plus) lentement » et « Se régénérer grâce à la nature » (parution avril 2010). 

  A lire : « Vivre ensemble autrement ». Pascale d’Erm et Patrick Lazic (photos). Editions Ulmer. 24.90€

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Etranges expériences

Posté par othoharmonie le 9 avril 2013

 (voyages conscients hors du corps)

par Jeanne Guesnée - (Revue 3e  Millénaire – ancienne série. No 9. Juillet-Août 1983)

 Etranges expériences  dans Etat d'être 15-petit

Une question s’est toujours posée à mon esprit avec une grande acuité : celle de la mort. Qu’est-ce que la mort ? et, par voie de conséquence, qu’est-ce que la vie ? QUI SUIS-JE ? Un intense besoin de comprendre me poussa irrésistiblement à tenter l’effort insolite et dangereux de me séparer de mon corps, afin de savoir par moi-même si la vie cessait hors de lui. Je réussis après treize mois d’efforts quotidiens à le quitter sans que ma conscience d’exister soit interrompue.

L’expérience est un fait, le raisonnement en est un autre. Le raisonnement est incompatible avec une certaine forme de réalité que l’expérience me fit découvrir. Expérience qui se dérobe à toute formulation précise, puisque je dois me servir de termes exclusivement sensoriels pour la traduire verbalement. Il est certain qu’a priori cela paraît incroyable, je ne cherche nullement à convaincre qui que ce soit. Je vous livre certaines constatations fondamentales que j’ai pu effectuer avec la plus grande lucidité, en dehors de mon organisme physique. Il n’est absolument pas question ici de technique hypnotique, d’autosuggestion ou d’extase médiumnique ressemblant de près ou de loin aux pratiques de soi-disant yogas ou systèmes de méditations qui prolifèrent à notre époque. C’est au contraire une lucidité et une conscience accrues en dehors de toute imagination. J’ajoute que mon entourage immédiat et mes nombreux amis s’accordent à me reconnaître un bon équilibre psychologique.

Ces expériences réclament une parfaite neutralité émotive et mentale associée à une faculté aiguë d’observation. Ce que j’appelle une ATTENTION CONSCIENTE. Elles m’ont apporté la certitude que la Vie EST, et que ma petite existence au niveau du quotidien est un fragment dans le temps et l’espace de la grande VIE UNIVERSELLE, que d’autres sans doute appellent Dieu… La différence ne se situe qu’au niveau de la traduction verbale.

Je ne prétends pas avoir fait l’expérience de la mort. J’ai fait l’expérience de quitter mon corps à plusieurs reprises volontairement et consciemment. Je me suis sentie exister hors de lui, restant tout près et le voyant, le touchant, ou au contraire m’en éloignant à de grandes distances et le réintégrant sans interruption de conscience, en toute lucidité. Il est certain qu’il s’agit de l’acte le plus extraordinaire qui puisse être vécu par un être humain. De toute évidence, il faut posséder un grand calme, beaucoup de bon sens et un esprit critique qui observe au maximum avec l’impartialité et l’objectivité du chercheur scientifique. Je vous livre mon ultime certitude : rien n’est terminé hors du corps.

 

À lire sur :  http://www.revue3emillenaire.com/

Extrait d’une lettre à 3e Millénaire

J’apprécie vivement votre revue pour sa recherche objective de la Vérité jusqu’aux frontières actuelles de la Connaissance. Peut-être serez-vous intéressé par le caractère insolite de ma démarche personnelle, complètement dénuée de toute résonance religieuse, occulte ou surnaturelle ? Je l’ai relatée il y a quelques années dans un ouvrage : le Grand Passage aux Éditions Le Courrier du livre. Elle fut préfacée par le physicien Jean E. Charon. J’ai rédigé un ouvrage plus important et plus approfondi recelant l’essence même de ma recherche du Réel qui a pour titre La Conscience d’Être, Ici et Maintenant aux Éditions Arista.

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En vérité, il n’y a rien à juger

Posté par othoharmonie le 7 avril 2013

transmis par John Smallman

La rivière du temps — cet aspect de l’illusion dont beaucoup d’entre vous sont le plus conscients — s’écoule rapidement et sans à-coups et vous emmène avec elle avec insistance et d’un pas assuré vers votre destination divine. En dépit de tous les doutes et de toutes les incertitudes que vous puissiez entretenir votre arrivée est garantie, divinement garantie. Lorsque des doutes ou des inquiétudes surgissent en vous, concentrez-vous sur la certitude absolue de cette promesse, sachant, comme vous le faites très certainement, que l’Amour de votre Père pour vous vous attire irrésistiblement vers la maison.

En vérité, il n'y a rien à juger dans Channeling 10-petitVous avez un dicton : « Là où est votre maison là est votre cœur ». Et le cœur de votre Soi véritable est éternellement chez lui avec votre Père céleste. Néanmoins, il ne semble pas que ça soit le cas lorsque vous luttez avec les problèmes et les angoisses sous lesquels l’illusion se présente continuellement à vous, tandis que vous vous efforcez avec détermination de trouver un moyen d’en sortir pour revenir à cet état glorieux.

Au moment où un nombre toujours croissant d’entre vous décide qu’ils en ont assez de cette folle souffrance et se décident à y mettre un terme, votre effort devient plus diligent et plus efficace. Et parce que c’est votre intention spirituelle et que vous êtes divinement assistés, rien ne peut empêcher votre réveil de se produire exactement comme c’est divinement prévu.

Tout ce que vous avez à faire est de maintenir votre attention sur votre intention de vous réveiller, et de franchir les étapes personnelles essentielles qui vont avec cette intention en libérant votre esprit de toutes les pensées et de toutes les idées irréelles. Seul l’Amour est réel. Il est donc très facile pour vous d’identifier ce que vous avez besoin de libérer, et vous recevez une aide abondante de ceux des royaumes spirituels pour faire de cette libération un jeu d’enfant.

Vous pouvez parfois avoir le sentiment que certaines offenses sont impardonnables, en particulier si l’auteur prétend soit qu’il était dans son droit, soit que les faits ne se sont pas produits. Souvenez-vous cependant que vous êtes tous des miroirs les uns des autres, et que ce qui vous déplaît le plus chez les autres ou ce avec quoi vous n’êtes pas d’accord, est souvent quelque chose que vous devez résoudre en vous-mêmes.

Commencez donc par examiner en toute honnêteté toutes les attaques que vous avez initiées ; souvenez-vous des circonstances, et déterminez si vous sentez encore que vous devriez y répondre de la même manière et avec la même intensité. Peut-être que maintenant, bien après l’événement, vous préféreriez oublier qu’il est jamais arrivé ? Si vous avez récemment réussi à vous sevrer d’une habitude que vous n’aimiez pas ou dont vous étiez devenus honteux, rendez-vous compte aussi que l’observer chez les autres vous agace encore et que vous vous retrouvez peut-être avec un intense besoin de faire du prosélytisme et de leur inculquer vos propres croyances. Alors, rappelez-vous l’amertume ressentie quand d’autres ont essayé ces méthodes sur vous !

Il s’agit véritablement d’être conscients de votre humanité et des défauts qui vont avec cet état. « L’échec est humain » est un cliché bien connu, mais il est maintenant temps d’apprendre que le seul moyen de sortir de ce cercle d’échec est le pardon.

Tout d’abord, comprenez que vous vous êtes mal conduits et respectez les raisons que vous vous donniez d’agir ainsi : les circonstances atténuantes telles que vous les avez vues à l’époque. En suite, à la lumière de votre nouvelle compréhension, pardonnez-vous d’avoir réagi trop rapidement sur le champ, comme le font beaucoup de gens, au lieu de répondre après mûre réflexion. Admettez que vous, comme les autres, n’êtes pas parfaits et ne pouvez jamais l’être en étant incarnés au cœur de l’illusion mais que, néanmoins, ce n’est jamais votre intention de réagir en attaquant ou en offensant les autres. Utilisez cette soi-conscience pour vous démontrer que vous faites des progrès parce que vos intentions sont bonnes, même si vous ne parvenez pas toujours à les poursuivre jusqu’à leur conclusion. Pardonnez-vous, faites des excuses si c’est nécessaire et si c’est possible et puis avancez sans vous appesantir sur ce qui a pu être. Ce qui est fait est fait, et vous avez appris une précieuse leçon.

Une fois que vous avez commencé à vous voir sous ce jour, il devient plus facile de pardonner aux autres leurs erreurs. Après avoir commencé sur cette voie vous allez vous retrouver en train de vous demander pourquoi quelqu’un se conduit mal, et d’admettre que c’est un appel à l’amour auquel vous pouvez alors répondre de manière appropriée, au lieu de réagir avec colère à sa mauvaise conduite. Votre nouveau comportement va vous apporter beaucoup plus de paix que l’ancien, et votre niveau de stress va diminuer. Être quelqu’un d’aimant est bon pour vous et pour votre santé !

Et chaque fois que vous douterez de votre valeur pour la société, pour le monde, ou pour Dieu, rappelez-vous avec fermeté que vous êtes des êtres divins qu’Il a créés parfaits, et que vos expériences du contraire, si réelles et si douloureuses qu’elles peuvent sembler, sont totalement illusoires et qu’elles auront disparu quand vous vous réveillerez. En tant qu’enfants bien-aimés de Dieu votre valeur est infinie parce que l’Amour est votre essence éternelle et immuable. Détendez-vous dans la connaissance de cette divine vérité que vous pouvez trouver à l’intérieur de vous quand vous lâchez les jugements parce que, en Vérité, il n’y a rien à juger.

Votre frère qui vous aime,

Traduction AD
Page d’origine : 
http://johnsmallman2.wordpress.com/2012/09/30/in-truth-there-is-nothing-to-judge/

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La Présence JE SUIS

Posté par othoharmonie le 7 avril 2013

Clef Sacrée de l’Eveil, du Bonheur et de la Liberté !

Par Dominique-Claire Germain

 

Bouddha affirmait « L’ignorance est la source de tous les maux » ! Platon nous suggérait : « Connais-toi toi-même ! » Jésus répétait : « Vous êtes bien plus que ce que vous croyez !! » Quelle est donc cette connaissance dont parlaient ces Initiés et qui permet de répondre à ces questions tant de fois posées : Qui suis-je ? D’où viens-je ?

La Présence JE SUIS dans SPIRITUALITE c'est quoi ? chemin2-300x168

Notre Puissance Divine : Un trésor oublié 
Tout a été dit, écrit, sculpté, entrepris, fait au nom du divin et, parce que chaque civilisation du monde y a mis sa vérité, il est difficile aujourd’hui d’en comprendre le sens. Le divin reste pour certains une notion, pour d’autres, il est une quête, un trésor oublié car, il EST la Vérité… !

Que s’est-il passé ? 
Il y a plus de 20 000 ans, l’homme vivait sur terre en parfaite harmonie et avait totalement conscience de l’Unité de Toute Vie. Il était uni à sa Présence Divine, « JE SUIS ». 
Puis, la Lémurie et l’Atlantide ont amorcé des relations de conflits et de rapports de force souillant ainsi la pureté de leurs intentions… 
L’Ego a pris ainsi les commandes nous coupant littéralement de notre identité Divine. Nous n’exprimions alors plus assez d’amour pour nous régénérer et c’est ainsi que la maladie, la souffrance la vieillesse, la dégénérescence, la misère, les guerres ont vu le jour. Nous avons oublié que nous étions Divins, et de puissants créateurs.

Coopérer avec sa Présence JE SUIS : clef de toutes les solutions 
Aujourd’hui, l’homme crée toujours sa réalité, mais, depuis trop longtemps, il en a totalement ignoré les principes de base. Depuis toujours des Êtres Eclairés ou Initiés ont tenté en s’incarnant de transmettre cette connaissance sacrée. Grâce à tous ces efforts, nous allons redécouvrir, collectivement et individuellement que nous sommes des Essences Divines, Omnipotentes, Omniprésentes et Omniscientes.

La Puissance de la Présence JE SUIS 
Notre présence JE SUIS détient toutes les solutions. Elle est notre Sagesse, notre, Source, notre Beauté, notre Jeunesse, notre Force, notre Abondance, notre Joie, notre Suprématie, notre Richesse, notre Héritage Divin…

Comment redonner le pouvoir à notre Présence JE SUIS ? Un vieil adage dit : « Tu deviens ce que tu crois, tu deviens ce que tu regardes, tu deviens ce que tu penses, tu deviens ce que tu ressens, tu deviens ce que tu dis, tu deviens ce que tu manges… ». 

De ce fait, en portant toute notre attention à Notre Présence JE SUIS, nous nous imprégnons de son énergie. 
Et, parce que nous devenons ce sur quoi nous portons notre attention, nous devenons, seconde après seconde, Notre Présence Divine. Notre vie devient alors magique et bouleversante d’enchantement. 
Malheureusement, nous sommes faits d’habitudes tenaces et persistantes. Un muscle qui n’a pas fonctionné depuis des mois perd toute sa fibre, sa vitalité, son galbe et sa force. Il en est de même avec notre Divinité. 
De ce fait, le travail de reconnexion avec notre Divin exige la même persévérance. Cela prend du temps, de la constance et de la patience, mais c’est fructueux. Seconde après seconde, il est essentiel d’effectuer ce travail de communion et encore davantage dès que nous devons faire face à une situation plus délicate. 
Il est bon de se dire : « Ma Présence JE SUIS prend les commandes de cette situation et guide moi. » 
Puis, posons-nous cette question : « Est-ce que je nourris le monde de lumière ou de l’ombre en agissant ainsi ? »

De ce fait, notre JE SUIS nous soufflera que nous sommes un trésor, trésor connecté à la Présence JE SUIS de l’Humanité.

Cette reconnexion universelle créera la Nouvelle Terre unissant toutes les races, toutes les religions, tous les peuples, toutes les organisations et toutes les nations. 
Dès lors que notre Présence Divine reprend les commandes, nous déchirons le voile de l’illusion. Derrière le voile se tiennent des splendeurs insoupçonnées !

De l’auteur : « Incroyables Plans Divins, Tome I et II » Editions Persée. CDs de méditation : « Réintégrer sa Divinité JE SUIS » et « La Flamme Violette ». Ces CD sont des outils précieux et puissants de transformation.

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La Kabbale, c’est quoi !

Posté par othoharmonie le 7 avril 2013

 

Qu’est-ce que la Kabbale

La Kabbale, c'est quoi ! dans SAGESSE 3-petitPour certains, les champs magiques ne sont que des flux d’énergie que l’on peut utiliser comme « matière première » pour lancer des sortilèges. Ceci est en partie vrai, et la longue expérience des Nephilim en matière de Magie en est la preuve directe. Ces énergies peuvent, en étant correctement manipulées, avoir des effets spectaculaires sur les mondes physique et magique.

Cependant, cette vision des choses est très limitée, car les champs magiques sont bien plus que de simples flux d’énergie. Ils sont habités. En fait, ce sont de véritables mondes à part entière, emplis d’une vie qui leur est propre. Des myriades de créatures magiques peuplent ces mondes insoupçonnés, et pourtant présents depuis l’aube de l’Univers.
La Kabbale est la science occulte qui veut explorer ces mondes. En effet, le Kabbaliste est celui qui a compris que la connaissance de ces mondes recèle la clef vers l’Agartha. Ces mondes sont nés en même temps que les éthers, ils sont l’expression même du Grand Tout. Qui parvient à faire siens les mondes de Kabbale parvient à comprendre l’Univers et devient Eclairé.

Bien sûr, cette quête est lente et difficile. Ces mondes sont très difficiles à atteindre, et le Kabbaliste devra pour commencer faire venir à lui de faibles créatures depuis ces mondes. Ce seront d’ailleurs des créatures vivant très près de la « frontière » entre notre monde physique et les mondes de Kabbale. Mais peu à peu, il parviendra à communiquer avec des créatures vivant dans des régions de plus en plus reculées, et elles lui parleront de leur monde toujours plus en détail. Jusqu’au jour béni où enfin il pourra lui-même entrer dans ces mondes et commencer l’ultime étape de sa quête, la plus difficile sans doute, celle où il prendra lui-même connaissance des secrets qu’ils recèlent.

La Kabbale est une science occulte qui peut être divisée en quatre domaines d’activité :

  • la Kabbale pratique, qui est celle que pratiquent les Nephilim et qui sera développée en détail dans cet exposé, notamment dans le chapitre  Pratiques et rituels, puisqu’elle concerne justement tout ce qui est rituels pratiques, voyages astraux, construction de talismans, etc. Sa connaissance est reflétée par la compétence Kabbale (Science Occulte).
  • la Kabbale littérale, qui est un art que pratiquent humains et Nephilim, et dans lequel nombre d’humains sont passés maîtres. Elle est elle-même subdivisée en trois grands domaines d’activité : la Gématrie, le Notariqon et la Temurah. Elle sera abordée dans la deuxième partie de cet exposé, Kabbale littérale, et sa connaissance est reflétée par la compétence Kabbale (Tradition).
  • la Kabbale orale, qui est la transmission de la tradition hébraïque par la voie orale. C’est la première des formes historiques de Kabbale (n’oublions pas que le mot même de Kabbale désigne en hébreu la « tradition orale »), et elle ne peut bien sûr pas être abordée dans un tel exposé.
  • la Kabbale dogmatique, qui concerne les fondements théoriques de la Kabbale pratique, au même titre que la Kabbale littérale. Elle a été développée dans de nombreux ouvrages, écrits par des Nephilim ou des humains (cf Bibliographie), et établit des notions telles que l’Arbre de Vie, la cosmologie, les significations sephirothiques. Elle sera abordée notamment dans les chapitres l’Arbre de Vie, les 32 Chemins de la Sagesse et Daath, l’Abîme. Sa connaissance est elle aussi reflétée par la compétence Kabbale (Tradition).

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Invocation de Protection

Posté par othoharmonie le 6 avril 2013

Invocation de Protection dans PENSEE MAGIQUE - LEITMOTIV et RITUELS 1-296x300

Anges de Dieu bien-aimés,
Maîtres de Sagesse, de Paix, d’Amour bien-aimés,
Maîtresses des Cieux bien-aimées,
Bien cher frère, Jésus le Christ bien-aimé,
Grand Maître St Germain bien-aimé,
Père et Mère céleste bien-aimé,
Qui sont au ciel comme sur terre,

Nous voici
Invoquant votre aide céleste en toute chose.
Nous vous demandons de nous protéger en tout temps
Afin que l’ouvre que nous devons faire ici-bas
Ne sera interrompue ou retardée d’aucune façon,

Qu’elle se déroulera avec aisance, En paix et
Qu’elle soit bénite.
Nous sommes reconnaissants pour tout le Bien
Que nous ayons pu faire jusqu’à maintenant grâce à vous.

Nous venons vous demander de continuer à nous protéger
En tout temps et dans toutes les circonstances
Afin de continuer à acheminer le Plan Divin.

Nous demandons une protection continue
Des endroits où nous vivons, travaillons, mangeons et jouons.
Nous demandons aussi une protection continue
De nos bien-aimés en tout temps,

Qu’ils ne puissent jamais servir de pions ou d’outils aux ténèbres
Qui n’est qu’ignorance de l’Amour de Dieu.
Gardez nous toujours dans la lumière la plus vive.
Immunisez nous des forces négatives
Des planètes, des peuples ou des esprits.

Gardez nous dans le bonheur, en voyant la vérité en toute situation,
Épargnez nous de porter des jugements contre nos frères.
Gardez nous conscients de tout danger éventuel
Qui peut provenir de n’importe quelle source,
Qu’il soit visible ou non,
Connu de nous ou non,
Incarné ou désincarné.

Offrez nous une porte de sortie
Pour éviter tout danger ou accident
Chaque fois que ce sera nécessaire.
Permettez nous d’être de vrais instruments divins,
Capable de prévoir, si nécessaire,
La meilleure action à prendre
Dans tout ce qui nous entoure.

Soufflez nous , à l’oreille
Des paroles de sagesse, des bons conseils,
Et veillez à ce que nous soyons toujours entourés
Des anges de lumière, de protection, de sagesse et d’amour.

Que nous puissions refléter
La présence de Dieu
Sur terre comme au ciel.
Veillez à ce que nos vies débordent
De Joie, de Gaieté et d’Amour pour toujours.

Que nous soyons capables
De bénir tous ceux avec qui
Nous entrons en contact.
Que notre présence puisse apporter guérison
Et miracles.

Seigneur Michael devant, Seigneur Michael derrière,
Seigneur Michael à droite, Seigneur Michael à gauche,
Seigneur Michael au-dessus, Seigneur Michael en dessous,
Seigneur Michael, Seigneur Michael partout que j’aille.

JE SUIS, son amour me protège!
JE SUIS, son amour me protège!
JE SUIS, son amour me protège!

 

Issu du site http://www.sanctusgermanus.net/french/Invocation%20of%20Protection.html

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Invocation de la lumière

Posté par othoharmonie le 6 avril 2013

…… dans la conscience de masse

Invocation de la lumière dans PENSEE MAGIQUE - LEITMOTIV et RITUELS 13-petitAlors que le karma mondial se joue, nous, les habitants de la terre avons le droit d’invoquer la lumière et l’aide de la Hiérarchie Spirituelle. Nous avons le droit de penser la vérité à propos de ce qui se passe, peut importe ce que les médias nous racontent. Finalement, nous avons le droit et le pouvoir d’envoyer nos pensées éclairées dans la conscience de masse, sans haine ni émotion mais comme un devoir, étant des porteurs de lumière agissant sur terre. Tout ce mécanisme de pensée est fait de façon interne, loin des yeux des Forces Sombres. Il a l’incalculable force du cosmos derrière lui.

Une fois que nous libérons ces pensées porteuses de lumière dans la conscience de masse, elles trouvent leur chemin vers les esprits ouverts ayant des vibrations similaires. C’est le travail véritable de la Loi d’attraction. À travers cette merveilleuse loi cosmique, la forme pensée porteuse de lumière, trace sa voie dans les plis souvent sombres de la conscience de masse et commence à atteindre de plus en plus de porteurs de lumière et d’esprits ouverts dans le monde entier. L’élan se construit et un effet boule de neige s’ensuit.

Chaque forme-pensée éclairée s’emploie à contrer les mensonges et la supercherie qui habitent dans la conscience de masse, et c’est dans cette conscience de masse que la première guérison du corps mental de la terre prend place.

La conscience de masse peut atteindre plus d’individus que les masses médias et peut acquérir un élan considérable en changeant (faisant basculer) l’équilibre entre la lumière et les ténèbres sur terre. Elle peut toucher les esprits des personnes dans leur sommeil, dans de silencieux moments de contemplation durant la journée, en prières et même dans les moments les plus inattendus de la vie quotidienne de chacun. Et comme les esprits changent, le rééquilibrage commencera à se manifester sur le plan terrestre.

Les Forces Sombres connaissent ce pouvoir et combattent ce processus en créant toute forme imaginable de bruit, de distractions réelles et virtuelles pour semer la confusion. Elles dirigent même leurs agents sur le plan astral pour chuchoter des contre-pensées qui ressemblent à nos propres pensées. Ainsi, elles aussi, alimentent la conscience de masse, mais de mensonges, de demi-vérités et de sophismes. Pour implanter ces distractions, elles projettent n’importe quoi qui titille les chakras inférieurs afin que la pensée soit maintenue dans des chaînes sensuelles.

Mais ceux qui voient au-delà de ces mesures de rétorsion, peuvent façonner la boule de neige initiale dont l’élan et la taille submergeront éventuellement les efforts des Forces Sombres. La conscience de masse se recomposera et ce faisant, représentera les véritables pensées des habitants de la terre.

Donc nous invitons tous nos lecteurs à nous rejoindre dans la conception de pensées semences pertinentes envoyées dans la conscience de masse pour accélérer le changement de manière significative et puissante. Visitez la rubrique Pensée-semence de la semaine élaborée en anglais mais dont quelques traductions françaises vous sont offertes.

 

Issu du site http://www.sanctusgermanus.net/french/Seeding%20the%20Mass%20Consciousness.html

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L’heure de la voix des Peuples

Posté par othoharmonie le 5 avril 2013

 

par Luc Guillory

 

Les événements qui se déroulent dans nombre de pays arabes ont été salués comme une émancipation majeure de populations longtemps soumises au joug de pouvoirs despotiques séculaires. Les chancelleries occidentales ont tout d’abord réagi avec une certaine timidité à l’épanouissement et au succès de ces mouvements populaires tandis que les marchés financiers et les agences de notation s’inquiétaient pour leurs affaires et émettaient des « réserves ». D’autres, comme le vieux despote libyen, regardaient avec effroi et incrédulité le renversement des dictatures voisines, redoutant la contagion à leur propre pays. 

  L’éveil des peuples 

L'heure de la voix des Peuples dans Mythologie/Légende enseignement_universel

Comme le souligne le Maître de Benjamin Creme, « sous l’impact des puissantes énergies désormais focalisées par Maitreya et son groupe, les peuples du Moyen Orient connaissent un éveil majeur ; ils revendiquent des libertés nouvelles, et le droit de participer aux décisions qui conditionnent leur existence ». Mais, précise-t-il, pareilles exigences ne se limitent pas à cette région du globe, des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent de par le monde pour réclamer justice et participation. 

Partout dans le monde, les femmes et les hommes réclament leurs droits auprès des dirigeants politiques qui ont gouverné jusqu’à présent avec pour motivation essentielle, la préservation des privilèges et des intérêts d’une élite alliée à une mondialisation dont la principale caractéristique est la domination des nations par les forces du marché. 

Les jeunes, en particulier, ressentent le besoin d’un monde d’un type nouveau qui leur permettra de s’épanouir et de s’exprimer librement. Ils ont entrepris de briser le carcan d’un asservissement ancestral et ils aspirent à la justice, l’amour et la liberté. 

C’est ce qu’exprime le Maître de Benjamin Creme lorsqu’il indique que ce à quoi nous assistons actuellement n’est « rien de moins qu’une renaissance de la jeunesse de la Terre qui se libère de la tyrannie de la haine et de la guerre, de l’intolérance et de la séparation ». Cramponnés à leur pouvoir, leur richesse et leurs privilèges, ceux qui tirent les ficelles du monde ont engagé une lutte sans merci contre la marée montante du changement, mais rien ne peut entraver durablement cet éveil de la conscience des peuples qui sonne comme la fin d’un long hiver de servitude. 

  L’ère du Verseau, ère du partage et de la paix

La présence parmi nous de ce groupe d’Êtres éclairés appelés Maîtres de Sagesse dans la tradition ésotérique et du plus éminent d’entre eux, Maitreya, est la garantie que les énergies du Verseau affluent désormais avec une puissance accrue et que le nombre de ceux qui répondent à ces énergies ne cesse d’augmenter. 

L’humanité a développé de nombreuses idéologies au cours de l’ère des Poissons, y compris celle du partage et de la fraternité. Mais notre tendance séparatrice nous a, la plupart du temps, amenés à adhérer avec exclusivité, voire fanatisme, à une idéologie et à rejeter celle des autres. Incapable d’aller au delà de leurs divisions apparentes, les hommes se sont dressés les uns contre les autres, nations contre nations, blocs idéologiques contre blocs adverses, religions contre religions. 

Les énergies du Verseau apportent des qualités entièrement différentes et sont porteuses de synthèse et d’unité. Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, nous allons faire l’expérience consciente de l’unité du genre humain. La note clé du Verseau sera l’unité dans la diversité. Une nouvelle dimension empreinte de pragmatisme se fait jour, notamment au sein des nouvelles générations. Les jeunes aspirent au bien commun, respectent les différences, comprennent intuitivement l’unité intrinsèque du genre humain. Ils revendiquent le droit de vivre une vie digne, sans que des groupes politiques, économiques ou religieux ne décident de manière autoritaire quelle place leur sera dévolue. Ils portent en eux les valeurs que les meilleurs idéaux, telle la Déclaration universelle des Droits de l’Homme, ont pu amener dans le mental des hommes, mais à la différence de leurs aînés, ils mettront en œuvre ces idéaux, sans dogmatisme, inspirés par l’énergie d’amour de Maitreya. 

  L’heure du changement est arrivée 

La venue de Maitreya est signe de changements : changement dans notre compréhension des besoins de la planète en vue d’un véritable équilibre écologique, changement dans nos systèmes économiques de sorte que tous les hommes soient nourris et traités décemment, et qu’une vie épanouissante soit possible pour tous et non pour une minorité qui dispose d’un pouvoir d’achat élevé et jouit d’une liberté inaccessible aux masses. 

Les gouvernements finiront par réaliser que leur tâche est de veiller à satisfaire les besoins de leurs populations, non la cupidité des marchés. Les gouvernements qui ignoreront cette voix seront condamnés car ils perdront leur autorité et la confiance de leur peuple. 

La vague de revendication qui déferle aujourd’hui si puissamment sur le Moyen Orient s’étendra au monde entier, touchant l’un après l’autre tous les pays, petits et grands. En France, en Espagne et ailleurs, ce mouvement a déjà commencé. Les groupes qui détiennent le pouvoir depuis des siècles et qui ont édifié des fortunes colossales opposeront la plus grande résistance à l’abandon de leur suprématie. Mais leurs efforts seront vains. Une nouvelle société va se développer. Elle tiendra pour sacré le droit démocratique de tous les hommes à jouer un rôle dans la société et à en façonner l’avenir, leur droit à un niveau de vie acceptable, à la santé et à l’éducation, leur droit de vivre en paix. 

Les mouvements actuels de soulèvement des peuples constituent les premiers pas vers une transformation radicale du monde et de notre civilisation. Les hommes ont compris que lorsqu’ils s’organisent et font preuve de courage, ils sont invincibles. 

  L’émergence de Maitreya 

Depuis plus de trente cinq ans, Benjamin Creme, artiste peintre britannique, ésotériste, rédacteur en chef de la revue Partage international, informe le public et les médias de la présence des Maîtres et de Maitreya dans le monde, et de l’impact que leur émergence publique parmi nous aura sur notre civilisation. 

Après une longue phase préparatoire, la mission publique de Maitreya a commencé. Déjà, sous un nom parfaitement anonyme, il a donné quarante trois interviews télévisées aux États-Unis et au Mexique (au 12 septembre 2011). Bientôt, il sera connu comme un porte-parole éclairé de tous ceux qui aspirent à la justice, à la liberté et au partage des richesses du monde pour une vie meilleure pour tous. 

Maitreya canalisera l’aspiration des multitudes qui trouveront en lui un porte-parole éloquent, qui fera connaître leurs besoins, leur aspiration à un monde de justice et de paix. 

Mais plus important encore, c’est la reconnaissance de notre nature spirituelle et notamment l’expérience que nous en ferons le Jour de la Déclaration de Maitreya, qui nous amèneront à comprendre que le partage et la fraternité sont la voie naturelle pour l’homme et à exiger des gouvernements qu’ils mettent en œuvre les réformes nécessaires aux changements. Nous nous tenons à la veille de la plus grande émancipation spirituelle depuis que l’homme foule cette Terre de ses pas. 

  POUR EN SAVOIR PLUS : Une documentation sur les livres de Benjamin Creme ou un spécimen gratuit de la revue « Partage international » peuvent vous être adressés sur simple demande à :Partage Publication, BP 242, 42014 Saint-Etienne cedex 2 http://partageinternational.org/

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Je Suis – extrait

Posté par othoharmonie le 1 avril 2013

Sri Nisargadatta Maharaj:  extrait du livre:  « je suis » (dialogue N°50)   

  Je Suis - extrait dans APPRENDS-MOI nisar

Q: Ce n’est pas contre la mort que je me rebelle, c’est contre la façon de mourir.

 M : La mort est naturelle, la manière est le fait de l’homme. Se sentir séparé cause la peur et l’agressivité, qui causent, à leur tour, la violence. Débarrassez-vous des séparations crées par l’homme et toutes ces horreurs, ces gens qui s’entretuent, disparaîtront. Mais dans la réalité, il n’y a ni tuerie, ni mort. Le réel ne meurt pas, le non-réel n’a jamais vécu. Mettez votre mental d’aplomb et tout se trouvera d’aplomb. Quand vous savez que le monde est un, que l’humanité est une, vous agissez en conséquence. Mais il vous faut d’abord vous occuper de vous, de votre manière de sentir, de penser et de vivre. A moins que l’ordre ne règne en vous, il ne peut pas régner dans le monde.

 En réalité, rien n’arrive. La destinée projette éternellement, sur le mental, ses images, souvenirs d’anciennes projections ; l’illusion, ainsi, se renouvelle constamment. Les images vont et viennent – lumière interceptée par l’ignorance. Voyez la lumière et négligez le film.

 Q : Que d’insensibilité dans cette façon de voir les choses ! Des gens tuent, d’autres sont tués, et vous parlez de cinéma.

 M : Allez-y donc, et soyez tué – si c’est ce que vous pensez de voir faire. Ou même, allez-y pour tuer, si vous croyez que c’est votre devoir. Mais ce n’est pas la manière d’en finir avec le mal. Le mal, c’est la puanteur d’un mental malade. Soignez votre mental et il  cessera de projeter des images distordues et horribles.

 Q : Je comprend ce que vous dites, mais émotionellement, je ne peux pas l’accepter. Cette vision de la vie, purement idéaliste, me rebute profondément. Tout simplement, je ne parviens pas à penser que je suis, en permanence, dans un rêve.

 M : Comment pourriez-vous être en permanence dans un état causé par un corps impermanent ? L’incompréhension vient de votre opinion d’être un corps. Examinez cette idée, voyez les contradictions qu’elle implique. Réalisez que votre existence présente est comme une pluie d’étincelles – chaque étincelle dure une seconde, la pluie une minute. Un chose dont le commencement est la fin ne peut, assurément, pas avoir de milieu : respectez vos propres termes. La réalité ne peut pas être transitoire. Elle est intemporelle, mais intemporalité ne signifie pas durée.

 Q : J’admet que le monde dans lequel je vis n’est pas le monde réel. Mais il existe un monde réel dont je vois une image distordue. La distorsion est peut-être due à une défectuosité du mental ou du corps. Mais quand vous dites qu’il n’y a pas de monde réel mais seulement un monde du rêve dans mon mental, je ne peux pas y adhérer. J’aimerais pouvoir croire que toutes les horreurs e l’existence ne sont que parce que j’ai un corps. Le suicide serait une issue.

 M : Tant que vous attacherez  de l’importance aux idées, les vôtres et celles des autres, vous connaîtrez le trouble. Mais si vous rejetez tous les enseignements, tous les livres, tout ce qui s’exprime en mots, si vous plongez profondément en vous-même et que vous vous y trouviez, rien que cela résoudra tous vos problèmes et vous laissera la pleine maîtrise de toutes les situations parce que vous ne serez plus  dominé par les idées que vous avez de la situation.

 Prenons un exemple, vous êtes en compagnie d’une femme attirante. Des idées prennent corps à ce sujet et cela crée une situation sexuelle. Un problème vient de naître et vous vous plongez dans des livres sur la continence ou l’art d’aimer. Si vous étiez un bébé, vous auriez pu être nus tous les deux ensemble sans que se pose le moindre problème. Cessez de penser que vous êtes un corps et les questions d’amour et de sexe perdront toute signification. Tout sentiment de limitation disparu, la peur, l’angoisse et la recherche du plaisir – tout disparaît. Seul demeure l’éveil. 

Sri Nisargadatta Maharaj

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Je Suis !

Posté par othoharmonie le 1 avril 2013

Je Suis ! dans APPRENDS-MOI nigVous croyez le monde objectif alors qu’il n’est qu’une projection de votre psyché. Voilà la confusion fondamentale, et ce n’est pas une explosion qui vous guérira. Vous devez vous penser en dehors. Il n’y a pas d’autre voie.

 Comment pourrais-je me penser en dehors quand mes pensées vont en viennent à leur gré. Ce bavardage sans fin me distrait et m’épuise.

 Regardez vos pensées comme vous regarderiez le trafic de la rue. Les gens vont et viennent ; vous enregistrez, mais sans réponse. Au début, ce n’est pas facile, mais avec de la pratique vous vous apercevrez que votre mental peut fonctionner sur plusieurs plans à la fois, et que vous pouvez être conscient de tous. Ce n’est que vous portez un intérêt particulier à un plan précis que votre attention s’y laisse prendre et que les autres plans sont obscurcis. Mais, même alors, ces autres plans continuent à fonctionner, mais hors du champ de conscience. Ne vous battez pas contre vos souvenirs et vos pensées ; essayez seulement d’inclure dans le champ de votre attention les autres questions, plus importantes, telles que :

 « Qui suis-je ? Comment se fait-il que je sois né ? D’où vient cet univers qui m’entoure ? Qu’est-ce qui est réel ? Qu’est-ce qui est transitoire ? »

 Nul souvenir ne persistera si vous ne leur attachez aucun intérêt ; c’est l’attachement émotionnel qui perpétue l’esclavage. Vous êtes toujours à la recherche du plaisir, à vouloir éviter la souffrance, toujours à la poursuite de la paix et du bonheur. Ne voyez-vous pas que c’est la quête même du bonheur qui vous rend misérable. Essayez l’autre voie : indifférent à la souffrance et au plaisir, ne demandant rien, ne refusant rien, donnez une totale attention au plan où le « je suis » est intemporellement présent. Très vite, vous réaliserez que la paix et le bonheur sont inhérents à votre nature, et que les perturbations viennent du fait que vous les recherchez au travers de certaines filières. Evitez les perturbations, c’est tout. Il est inutile de chercher ; vous ne chercheriez pas ce que vous avez déjà. Vous êtes Dieu, la réalité suprême.

 Pour commencer, faites-moi confiance, ayez confiance en votre maitre. Cela vous permettra de faire le premier pas et puis votre confiance trouvera sa justification dans votre propre expérience. Dans la vie la confiance de départ est essentielle à toute démarche. Sans elle on fait peu de choses. Toute entreprise est un acte de confiance. Même manger votre pain quotidien est un acte de confiance. En vous souvenant de tout ce que je vous ai dit, vous réussirez en tout. Je vous le répète à nouveau : vous êtes la réalité omniprésente, transcendant tout. Conduisez-vous en conséquence : pensez, sentez, agissez en harmonie avec le tout, et très vite l’expérience réelle de ce que je vous dis se fera jour en vous. Aucun effort n’est nécessaire. 

Ayez la foi, prenez appui sur elle. Je vous en prie, rendez-vous compte que je n’attend rien de vous. Je parle dans votre intérêt. Parce que vous vous aimez par-dessus tout,  vous voulez pour vous-même la sécurité et le bonheur. N’en ayez pas honte, ne le niez pas. Il est naturel et bon que vous vous aimiez. Mais il faudrait que vous sachiez exactement ce que vous aimez. Ce n’est pas le corps, c’est la vie que vous aimez : percevoir, sentir, penser, agir, aimer lutter ; cette vie qui est tout. Réalisez-là dans sa totalité, au-delà de toute division et de toute limitation, et tous vos désirs se fondront en elle car le plus grand contient le plus petit.

 Trouvez-vous donc, parce qu’en vous trouvant, vous trouvez tout. Tout le monde est heureux d’exister, mais peu en savent la plénitude. Vous parviendrez à la connaitre en demeurant dans l’esprit, dans le « je suis, je sais, j’aime », avec la volonté de pénétrer le sens le plus profond de ces mots. 

Sri Nisargadatta Maharaj – « Je suis » – Extrait de la conversation N° 51.

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