Méditation sur l’inspiration

Posté par othoharmonie le 31 mai 2013

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Méditation sur l'inspiration dans Méditation zen

De l’aveu général, celle-ci peut être la plus difficile parce qu’elle ouvre la porte à toutes les richesses et à tous les avantages du contact de l’âme.

1. Asseyez-vous dans une posture confortable avec votre colonne vertébrale droite et érigée. Vous pouvez vous asseoir dans la position traditionnelle de méditation de yoga ou en étant assis buste redressé sur une chaise confortable.

2. Invoquez la Flamme violette de protection ou lisez l’Invocation de protection sur notre site web www.sanctusgermanus.net

3. Commencez à respirer profondément. Honorez la respiration qui est la vôtre en aspirant et en expirant. Et avec chaque respiration, on devrait réaliser que l’on est en train de puiser dans la lumière et vie pures.

4. Alors que vous respirez profondément, fixez au départ votre attention dans la région de la tête, le sommet de celle-ci en particulier. Prenez alors conscience de votre propre aura.

5. Ensuite, prenez conscience de votre épine dorsale, la poutre centrale du temple de votre corps, la colonne vertébrale, cette magnifique porte d’entrée dans l’espace intérieur. Concentrez-vous sur la colonne dès que vous êtes accoutumé au rythme de la respiration, comme elle entre comme elle sort et éventuellement relâchez votre attention sur la respiration à mesure qu’elle se poursuit à son propre rythme.

6. Fixez toute votre attention sur la colonne vertébrale, la gardant à cet endroit. Cherchez à la visualiser comme un tube de néon de pure lumière blanche. C’est votre ouverture dimensionnelle dans le corps physique aux autres dimensions.

7. Vous devez avoir le désir de vous aventurer en elle, la volonté d’entrer dans le portail dimensionnel. Par un acte de volonté, imposez-vous à y entrer. Vous pourriez sentir que c’est un peu comme quelqu’un qui pagaie dans un canot à contre-courant. Ou comme des saumons qui continuent obstinément de remonter le courant d’une rivière qui continue de les repousser, mais n’arrêtent pas. Utilisez votre volonté pour y entrer, y entrer, y entrer.

8. Au cours de chaque session de méditation, à un certain moment vous rencontrerez un point d’appui intérieur ou un moment décisif. Vous saurez ce dont il s’agit par pure et simple expérience. Si vous pensez que vous ne pouvez aller plus profondément, vous devriez quand même continuer d’essayer jusqu’à ce que vous ne puissiez aller plus loin. À ce point, arrêtez et prenez simplement plaisir de l’environnement intérieur.

9. Devenez conscient de l’atmosphère intérieure alors que la respiration continue à inspirer et à expirer selon son propre rythme régulier.

10. Cherchez à vous connaître tels que vous êtes, au-delà des pensées, des sentiments, des sensations et certainement des corps physiques. Chaque session sera une nouvelle aventure.

11. Arrivez à connaître cette partie de vous-même, l’âme, qui n’a jamais changé et ne changera jamais, la part de vous qui est éternelle. Cherchez à ressentir votre propre infinité.

12. Vous devriez commencer à voir une légère lueur dans votre tête, même dans une chambre sombre, qui deviendra de plus en plus brillante avec le temps. Ceci est une indication que vous vous approchez de l’âme, le Dieu intérieur, qui est logé dans votre glande pinéale.

Pour plus d’information, s.v.p. visitez notre site web à : www.sanctusgermanus.net

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RITUEL DU TOUCHER DE LA TERRE

Posté par othoharmonie le 31 mai 2013

 

Source: Guide pratique du chamanisme : Découvrez le pouvoir de la magie de la terre pour transformer votre viepar Jean-Morgan Wood

 

RITUEL DU TOUCHER DE LA TERRE dans PENSEE MAGIQUE - LEITMOTIV et RITUELS a22

Le rituel est si simple que vous pouvez le faire à tout moment, n’importe où, pour vous concentrer sur la Toile de Vie, et vous connecter avec elle, avant comme après tout travail sacré.

1 Penchez-vous et touchez la terre avec votre main et restez un moment ainsi, pour sentir la présence de la Terre Mère et du Ciel Père et de toute votre parenté dans la Nature.

2 Dites ‘Pour toute ma parenté1et envoyez des pensées d’amour et d’équilibre à la Toile entière.

3 Redressez-vous, inspirez profondément et concentrez vos sens sur ce qui vous environne. Vous pouvez vous apercevoir que, à cet instant, la Toile vous donne une réponse : le cri d’un oiseau, une brise qui se lève.

Soyez créatif et adaptez les rituels à votre situation, à votre environnement. Soyez gentil avec vous-même, car il n’y a pas de compétition, ni de façon idéale de ‘faire comme il faut’. Laissez-vous guider par le soutien des éléments et des esprits autour de vous. Honorez vos besoins et accordez-leur la place qu’ils méritent, et gardez un sens de l’humour – le chamanisme n’est pas toujours solennel. Si je commence à me prendre au sérieux, ou que je me fasse trop de souci au sujet de ma bonne exécution d’un rituel, l’Esprit me rappellera gentiment qu’il convient que je garde les pieds sur terre – je trébucherai sur une souche, un oiseau déposera un présent sur ma tête, ou je serai pris de hoquet !

• Quand vous utilisez un espace pour un travail sacré, veillez à bien obtenir la permis­sion des propriétaires et autres personnes qui y vivent.

• Demandez au lieu que vous voulez utiliser, la permission de le faire. Si vous recevez une forte sensation négative, respectez cela, remerciez l’endroit et cherchez ailleurs. (Ce genre de refus
est très rare).

• Évitez d’utiliser des sites sacrés reconnus, comme des cercles de pierre ou des sources sacrées, car ils ont de fortes énergies, poten­tiellement pertur­bantes.

• Offrez les bienfaits de votre travail sacré à toute la Toile, avec les paroles « Pour toute ma parenté ».

• Gardez à l’esprit les précautions de sécurités quotidiennes.

• Laissez en ordre l’espace que vous avez utilisé, et avec une bénédiction pour ceux qui viennent après vous.

• Veillez à vous sentir concentré et enraciné après votre travail sacré.

• Utilisez des matériaux biodégradables dans vos rituels et vos cérémonies.

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Le Silence sans effort…

Posté par othoharmonie le 31 mai 2013

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Le Silence sans effort... dans Noble Silence-Vipassana chinoisUn lion marchait dans la forêt faisant un sondage pour déterminer qui était le plus grand parmi tous les animaux sauvages. Lorsqu´il a vu l´hippopotame, il s´est enquis: « qui est roi de la forêt ? »  » Vous l´êtes  » a dit l´hippopotame. Ensuite il a rencontré une girafe:  » qui est roi de la forêt ?  » s´est-il enquis.  » Vous l´êtes,  » a dit la girafe. Ensuite il a rencontré l´éléphant. Il lui a donné un bon coup sec et dur sur le genou et a dit:  » Et qui est le roi de la forêt ?  » L´éléphant l´a ramassé avec sa trompe et l´a balancé contre un arbre. Alors que le lion glissait à terre tout en se brossant il dit: « Pas la peine de vous fâcher simplement parce que vous ne connaissez pas la réponse. » 

Malheureusement je connais la bonne réponse. Je ne me fâcherais pas contre vous, mais certainement, je vous dirais là où vous êtes dans le faux, là où vous êtes dans le vrai. 

En premier lieu, être assis près de moi dans ces entretiens n´est rien d´autre que de créer de plus en plus d´état de méditation en vous. Je ne parle pas pour enseigner quelque chose; Je parle pour créer quelque chose. Ce ne sont pas des conférences, c´est simplement un dispositif pour que vous deveniez silencieux, parce que si l´on vous dit de devenir silencieux sans faire aucune sorte d´effort, vous rencontrerez une grande difficulté. 

C´est ce que les maîtres de Zen ont dit à leurs disciples:  » Soyez silencieux, mais ne faites aucune sorte d´effort. » Ainsi, vous mettez la personne dans une difficulté si ardue: Ne faites aucun effort et soyez silencieux… Si elle fait n´importe quel effort elle a tort et il n´y a aucun moyen d´être silencieux sans faire aucun effort. S´il était possible d´être silencieux sans faire aucune sorte d´effort, il n´aurait eu aucun besoin de maîtres, il n´y aurait eu aucun besoin d´enseigner la méditation. Les gens seraient devenus silencieux sans aucun effort. 

Je suis allé aussi profondément que possible dans les efforts du Zen. Le Zen fonctionne depuis presque quatorze siècles, depuis Bodhidharma. C´est l´un des groupes les plus émérites au monde, totalement consacré à une seule chose, la méditation. Il n´y a aucune autre expérimentation, n´importe où qui a été faite pendant aussi longtemps, sans interruption. Mais pourtant il n´y a pas beaucoup de maîtres de Zen. 

Oui, il y a plus de maîtres dans le courant du Zen que dans n´importe quel autre courant dans le monde, mais ils sont toujours très peu comparé au nombre de gens qui ont travaillé. J´avais cherché à découvrir qu´elle était l´erreur de base. Et l´erreur de base est: ces maîtres de Zen leur ont indiqué la bonne chose, mais pas de la bonne façon. Je vous rends conscient du silence sans aucune sorte d´effort de votre part. Le fait de parler est utilisé pour la première fois comme une stratégie pour créer le silence en vous. 

Ce n´est pas un enseignement, une doctrine, une foi, c´est pourquoi je peux dire n´importe quoi. Je suis la personne la plus libre qui aie jamais existé en ce qui concerne dire n´importe quoi. Je peux me contredire cent fois dans la même soirée, parce que ce n´est pas un discours et qu´il n´y a pas à être consistant. C´est une chose totalement différente et cela prendra du temps pour le monde de reconnaître qu´une expérience complètement différente se déroulait.

Dans ce moment, lorsque je suis devenu silencieux, vous devenez silencieux… Ce qui reste est juste une pure attente. Vous ne faites aucun effort, ni je ne fais aucune sorte d´effort. J´aime parler. Ce n´est pas un effort. 

J´aime vous voir silencieux, 
j´aime vous voir rire, 
j´aime vous voir danser.
Mais dans toutes ces activités, ce qui reste fondamental est la méditation. 

Osho, Extrait de: Satyam Shivam Sundram, Chapitre 28

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Rééduquer la mémoire cellulaire

Posté par othoharmonie le 28 mai 2013

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Rééduquer la mémoire cellulaire grâce à l’Écoute Imaginaire

Par Sylvain Bélanger

 Rééduquer la mémoire cellulaire dans Exercices simples vv

Et si la mémoire cellulaire était reliée à un univers psychique dans lequel baigne la mémoire de l’humanité entière ?

L’aura est programmée par nos expériences passées 
Il existe un rayonnement qui se manifeste autour du corps physique que l’on appelle aura. Les recherches du physicien Popp ont démontré que ce rayonnement provient d’une activité cellulaire. Mes observations en tant que thérapeute intuitif depuis près de 25 années, me permettent d’affirmer que la mémoire cellulaire est observable dans l’aura. Elle se manifeste sous la forme d’empreinte mémorielle associées à des souvenirs d’expériences positives et négatives, que la personne a vécue depuis la naissance. Ces événements n’ont pas été vécus de façon harmonieuse d’où la présence d’une empreinte mémorielle dans l’aura. L’ensemble de ces souvenirs constitue une programmation qui va faire en sorte que l’individu, malgré lui, va attirer d’autres individus, ou situations, qui vont favoriser la réactualisation de sa programmation. Ce processus se poursuivra tant que l’individu ne parviendra pas à s’harmoniser aux besoins inassouvis qui animent ces énergies mémorielles. Par exemple, si vous avez une énergie mémorielle de victime dans votre aura, vous allez attirer à vous des individus qui sont animés par des énergies mémorielles de bourreau. Ce processus a pour but de vous rendre conscient de la programmation que vous avez créée. Toutefois, comme vous n’êtes pas conscient des mémoires qui animent votre aura, vous aurez tendance à les réactualiser sans prendre conscience de leur véritable raison d’être. C’est un peu comme si vous traîniez de très lourds bagages dans votre aura.

L’aura est étroitement reliée à la mémoire de l’humanité entière 
Chaque être humain génère des énergies mémorielles qui s’accumulent dans son aura. L’ensemble des échanges énergétiques entre les êtres humains forme un véritable univers psychique. Un thérapeute intuitif qui développe la perception de cet univers, constate que l’humanité entière se trouve inter-reliée par une trame dans laquelle s’accumulent les mémoires de tous les êtres humains ayant vécu sur terre. Cette trame s’apparente à une autoroute d’information qui circule entre les être humains sans qu’ils en soient conscients. Pour parvenir à se libérer de son histoire personnelle, il est nécessaire de se rendre compte que nos mémoires personnelles résonnent avec une multitude d’expériences mémorielles provenant de l’histoire humaine. Ces expériences mémorielles errent dans cet univers car elles n’ont pas découvert la raison d’être de leur existence. C’est seulement lorsqu’il y a une résonance avec un individu vivant sur terre que l’énergie mémorielle est réactivée. Il s’ensuit un échange énergétique grâce auquel la mémoire collective va se nourrir de l’énergie d’une personne. Cette résonance favorise la réactualisation de l’événement à l’origine de la mémoire qui perturbe l’aura de la personne. Ce processus se répètera tant que l’individu n’aura pas résolu la raison d’être du bagage mémoriel qui l’anime. Voyons un exemple. Supposons qu’une énergie mémorielle qui se sent abandonnée résonne avec une mémoire collective d’un soldat de la Grèce antique qui a un sentiment similaire. Ce soldat se sent abandonné car il pose souvent des actions téméraires qui ne sont pas valorisées par ses coéquipiers. Il meurt lors d’un combat parce qu’il n’a pas respecté les consignes de retraite ordonnées par son chef. L’individu qui résonne avec cette mémoire se comporte dans sa vie courante de façon similaire à celle-ci. Cette personne, d’un naturel téméraire, pourrait se retrouver dans des situations où son entourage l’abandonne. Cet abandon pourrait être vécu comme un sentiment de trahison où il a l’impression que son entourage assiste à sa mort sans intervenir. Si l’individu ne développe pas d’habileté pour communiquer avec son énergie mémorielle, il ne pourra pas déprogrammer le schéma de comportement qu’il subit.

La rééducation 
Comment cette personne peut-elle se libérer de ce schéma de comportement ? Mon expérience m’a amené à comprendre la dynamique énergétique sous jacente à la mémoire qui pollue notre aura. À la base de toute énergie mémorielle, il y a toujours une incapacité de l’individu à assumer une partie de lui-même. Pour se protéger d’une souffrance associée à l’énergie qu’il ne peut assumer, l’individu va la rejeter. Cette énergie mémorielle va résonner avec des énergies similaires provenant de l’histoire humaine renforçant le rejet de celle-ci. Cette énergie mémorielle n’a pourtant qu’un seul désir, c’est de revenir à sa source. J’ai développé l’Écoute Imaginaire dans le but d’aider les gens à se réapproprier l’énergie dont ils s’étaient dissociés afin qu’ils assument pleinement tous leurs potentiels. Si on revient à notre exemple, l’Écoute Imaginaire permettrait de communiquer avec l’énergie mémorielle d’abandon. Il est fondamental ici de comprendre que toute énergie mémorielle possède une autonomie propre et qu’il est possible pour un intuitif entraîné d’engager un dialogue avec celle-ci. Et étant donné que l’énergie mémorielle a pour but de se réunifier à sa source, le thérapeute intuitif pourra entrer en communication avec l’énergie mémorielle et dévoiler à la personne qui consulte le chemin vers la réunification. Poursuivons notre exemple : Le thérapeute en Écoute Imaginaire perçoit dans l’aura de la personne une énergie mémorielle de son enfance. Cet enfant explique au thérapeute qu’il agit de façon impulsive car il est convaincu qu’il n’est pas aimé par son entourage. D’autres scènes de l’enfance surgissent de l’aura montrant l’enfant ridiculisé par ses parents… L’enfant explique qu’il est révolté de ce manque de support et c’est pourquoi il agit de façon téméraire pour ne pas montrer ses peurs. Lorsque le thérapeute comprend la raison d’être de l’énergie mémorielle, il a pour objectif de favoriser une entente entre celle-ci et la personne aidée. Le but thérapeutique étant que l’énergie mémorielle se réintègre à la personne. Pour conclure, l’Écoute Imaginaire est une approche intuitive et énergétique permettant de décoder les énergies mémorielles qui animent l’aura et de favoriser leur réintégration dans le champ d’énergie. Parmi les bienfaits ressentis, on dénote une augmentation de l’énergie vitale, un sentiment d’être en harmonie avec soi et de faire les actions justes.

  Sylvain Bélanger est le créateur de l’Écoute Imaginaire et il propose une formation personnelle à l’aide de cd-audio, d’appels-conférences et d’un stage et une formation professionnelle pour devenir thérapeute. Des consultations en personne et téléphoniques sont également disponibles.   Il est auteur des livres : L’Écoute Imaginaire et Devenez Intuitif. 
  e-mail : sbelanger@ecouteimaginaire.com 
  Site : www.ecouteimaginaire.com

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Les Origines de la maladie

Posté par othoharmonie le 28 mai 2013

Les Origines de la maladie dans Auto-Guérison uu

Par Sylvain Bélanger

Selon certaines approches thérapeutiques, la maladie proviendrait d’un désordre énergétique. Selon d’autres, elle proviendrait plutôt d’une perturbation psychique. Et si tout était juste ?

Les approches énergétiques 
Les approches énergétiques reconnaissent l’existence d’une structure qui permet à l’énergie vitale de circuler dans l’organisme afin de préserver la santé. Lorsque l’énergie circule librement dans cette structure, la santé existe et est optimale. Lorsque ce flux est interrompu ou congestionné à quelque endroit que ce soit dans le corps, la communication cellulaire est perturbée et il peut en résulter un problème de santé. Les tenants de ces approches affirment qu’il suffit de rétablir la circulation de l’énergie pour recouvrer la santé. Malheureusement, cet équilibre énergétique ne sera que temporaire si une cause psychique lui est sous-jacente, ce qui est souvent le cas. 

Les approches psychiques 
Quant aux approches psychiques, elles soutiennent que la psyché est à l’origine de la maladie. Un déséquilibre survient lorsque l’information psychique n’est pas bien accueillie par le cerveau. Ce déséquilibre ne favorise ni la santé, ni l’expression des capacités d’un individu. Le déséquilibre demeurera présent tant et aussi longtemps qu’il y aura un conflit entre le cerveau et les demandes du corps. Selon ces approches, le rétablissement passe par une prise de conscience des chocs émotionnels à l’origine du problème de santé. La faiblesse de ces approches est que souvent elles ne tiennent pas compte de la réalité énergétique et corporelle. Ainsi un individu affaibli énergétiquement ne pourra s’adapter à une nouvelle situation entraînée par une résolution de conflit. 

Rétablir la relation psyché-corps 
Pour soigner cette personne, il sera nécessaire de considérer l’énergétique et le psychique et de comprendre la dynamique entre les deux. L’Écoute Imaginaire est une des rares approches qui travaillent sur ces deux aspects. L’Écoute Imaginaire repose sur l’idée que l’imaginaire est un langage permettant de communiquer avec la sagesse animant les énergies subtiles. 
Un déséquilibre énergétique est perçu en Écoute Imaginaire comme une modification du rayonnement cellulaire du corps. Pour comprendre ce qui se passe, le thérapeute va faire une écoute intuitive des organes où le rayonnement semble anormal et interagir dans l’imaginaire avec ces organes. Cela lui permettra de comprendre la dynamique énergétique perturbatrice. Il pourra ainsi adapter le soin en tenant compte des besoins énergétiques que le corps exprime. 

Un déséquilibre psychique est perçu en Écoute Imaginaire sous la forme de personnages se trouvant dans des scènes représentants un contenu psychique avec lequel la personne aidée n’est pas en harmonie. En interagissant dans l’imaginaire, le thérapeute peut identifier la raison d’être de leur présence dans le champ de l’individu. Lorsque les énergies psychiques sont en harmonie avec la personne, cela signifie que l’information circulent librement vers le cerveau et vice-versa. À l’inverse, lorsqu’une énergie psychique est en conflit avec la personne, cela signifie qu’il y a coupure entre le cerveau et le corps et que la région concernée est dévitalisée. Lors d’un soin, le thérapeute va tenir compte de ces deux aspects afin de rétablir l’équilibre psychique et énergétique. L’accueil des nouvelles informations par la personne aidée favorisera une nouvelle vision du monde plus en harmonie avec elle-même. 

  Pour en connaître davantage : Sylvain Bélanger, créateur de l’Écoute Imaginaire sera de passage en France pour salons, conférences, entrevues radio, enseignement et consultations. Pour communiquer avec lui visitez le site internet : www.ecouteimaginaire.com  

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La maladie, une alliée non désirée ?

Posté par othoharmonie le 28 mai 2013

 

 

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Par F. Lewin et M. Gablier :

« La maladie se manifeste sur notre chemin d’évolution pour nous aider à adopter de nouveaux fonctionnements. »

La maladie, une alliée non désirée ? dans Auto-Guérison llLa santé est un bien précieux souhaité par tous. La maladie inconfortable, source de peine et de douleur, percute notre routine et nous demande de modifier notre organisation. Pourtant derrière ces aspects dérangeants et désagréables, nous avons tendance à négliger son utilité, ses fonctions et ses messages. La maladie peut être là, entre autre, pour nous éviter de trop souffrir psychiquement, et pour nous appeler à mieux écouter notre âme. C’est une alliée encombrante, non désirée, mais qui peut être correctrice et initiatique. 

Le corps peut soulager la souffrance psychique 
Face à une perte trop grave, un conflit insoluble, une souffrance récurrente, le corps inhibe les perceptions liées à ces situations pour soulager l’Être. Le conflit passe alors du niveau psychologique au niveau physiologique. Ce processus va atteindre une fonction corporelle : le système digestif, le rythme cardiaque, la vision… qui va se retrouver perturbée dans son fonctionnement et pourra engendrer une somatisation. Les symptômes physiologiques ou les maladies qui apparaîtront seront le résultat de cet effort du corps pour réduire et résoudre la souffrance psychique. Au cours de notre pratique thérapeutique, cette émergence du sens est fréquente. 

Pour illustrer ceci, voici deux exemples. Un adulte, lors d’une séance de Végétothérapie (technique d’amplification des signaux corporels et émotionnels) retrouve les sensations initiales qui ont amenées la surdité de son oreille droite. Il lui vient à la mémoire cette période où enfant, sa famille était plongée dans un conflit qui générait beaucoup de cris quotidiens. Il prend conscience alors que cette surdité lui permettait de dormir l’oreille saine sur l’oreiller avec l’autre devenue sourde pour ne pas entendre les cris. Un autre cas, une petite fille de 11 ans avait une à deux fois par jour, de soudaines absences. Deux ans plus tôt, elle avait eu une méningite. Il apparaît que le couple parental est constamment en menace de séparation. Notre analyse était que cette situation d’incertitude insupportable pour l’enfant, a tout d’abord créé l’inflammation des méninges par sur-activation du cerveau en quête de solution. Son corps a ensuite trouvé la solution de décrocher de la situation en s’absentant. Le travail a été de mettre en conscience la souffrance face à cette insécurité, et de trouver d’autres issues de secours. A la question « Est-ce qu’il y a un moment où tu es très heureuse en famille ? », la réponse immédiate a été « En vacances en Savoie ». Trois alternatives aux absences ont alors été expérimentées avec l’enfant : penser à la Savoie en respirant les yeux fermés pour ressentir le plaisir de ses vacances, s’isoler pour laisser sortir sa rage en frappant un coussin de toute sa force, ou encore exprimer aux parents  » J’ai mal quand vous vous disputez ». A la séance de contrôle cet enfant n’avait quasiment plus d’absences. A la question « Qu’as-tu utilisé ? », elle répondit « Les vacances en Savoie ». 

La maladie nous indique la nécessité d’un changement 
La maladie se manifeste sur notre chemin d’évolution pour nous aider à adopter de nouveaux fonctionnements, quelquefois en opposition avec nos attitudes habituelles. Nous recevons des patients très actifs qui perdent leur capacité à se dépenser (fatigue, jambe cassée, maladie…). Cet empêchement les invite alors à découvrir un espace plus intériorisé et à apprendre à mieux écouter leurs limites et leur besoin réels. Une dépression qui rend toutes choses sans goût peut laisser la place à une contemplation profonde et un re-alignement sur de nouvelles valeurs. Si l’on regarde la maladie dans ce qu’elle nous invite à, ou nous empêche de faire, elle est alors un aiguillon pour se transformer. Quand quelque chose de nouveau apparaît dans nos fonctionnements, cela peut paraître étrange. C’est souvent vécu comme une anomalie. Ce changement impose un lâcher prise des vieilles habitudes et l’acceptation des nouvelles données. Sachant limiter nos excès, ou au contraire, nous forcer à explorer une réalité par delà nos limitations et notre caractère, la maladie permet souvent de franchir des étapes importantes pour notre évolution. Elle est à la fois un garde-fou et un guide. 

La psychologie Biodynamique, à l’écoute de l’âme dans le corps 
L’émergence du sens des symptômes est une porte pour guérir les marques des souffrances, oubliées et graves dans le corps et pour retrouver le mystère intérieur qui cherche à éclore. La psychologie Biodynamique par son regard intégratif et sa compréhension des liens psyché-soma, cherchera à entendre dans les « maux » un appel de l’Etre et un potentiel pour une transformation. Le thérapeute biodynamique est formé à percevoir l’émotion contenue dans les tissus. Tel une sage femme, il accueille l’émergence des matériaux enfouis, pour permettre au noyau sain de s’épanouir. Les outils tel que les Massages Biodynamiques, la Végétothérapie, les Rêves Eveillés, les mobilisations corporelles, accompagnés de la compréhension Biodynamique des processus du vivant, permettront la clôture de cycles émotionnels restés en suspens et l’apparition d’une profondeur parfois insoupçonnée. Le symptôme, d’obstacle encombrant, se transforme en indicateur aidant et stimulant, jusqu’à sa disparition complète s’il n’a plus lieu d’être. 

  François Lewin -Formateur, superviseur et directeur de l’Ecole Biodynamique Miriam Gablier -Présidente de l’APPB 
  Ecole Biodynamique Paris Montpellier Lyon www.psychologie-biodynamique.com 

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Créations au tricot !

Posté par othoharmonie le 26 mai 2013

Dernièrement, j’ai réalisé des jouets pour mes futurs petits enfants…

je vous montre mes réalisations ! 

 

Créations au tricot ! dans Créativité chat7

 le petit chat et le Rasta ! 

 

 

rasta1 dans Photographies 

  je me suis aidée de la vidéo de  FADINOU :  http://www.youtube.com/user/fadinou?feature=watch

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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La méditation est : non-faire

Posté par othoharmonie le 26 mai 2013

La méditation est : non-faire dans Méditation d2

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«Quand les gens viennent me voir et ils demandent :« Comment méditer ? « Je leur dis :« Il n’est pas nécessaire de se demander comment méditer, il suffit de demander comment rester inoccupée. La Méditation arrive spontanément. Il suffit de demander comment rester inoccupé, c’est tout. C’est tout le tour de la méditation – comment rester inoccupé. Ensuite, vous ne pouvez rien faire. La méditation est fleur. Quand vous ne faites rien, de l’énergie se déplace vers le centre, et s’installe vers le centre. Quand vous faites quelque chose, de l’énergie sort. Faire = un moyen de sortir. Non-faire est un moyen d’emménager. L’Occupation est une évasion. Vous pouvez lire la Bible, vous pouvez en faire une profession. Il n’y a aucune différence entre la profession religieuse et laïque de occupation : toutes les professions sont des métiers, et ils vous aident à s’accrocher à l’extérieur de votre être. Ils sont des excuses pour rester à l’extérieur. 

« L’homme est ignorant et aveugle, et il veut rester ignorant et aveugle, parce que de venir vers l’intérieur ressemble à entrer dans un chaos Et c’est ainsi ;  à l’intérieur vous avez créé un chaos Vous devez le rencontrer  et passer par le courage, c’est nécessaire -. courage d’être soi-même, et le courage de se déplacer vers l’intérieur ; je n’ai pas rencontré un plus grand courage que cela -.. le courage d’être méditatif  »Mais les gens qui sont engagés à l’extérieur avec les choses du monde ou de non- choses du monde, sont occupés tout de même, ils pensent – et ils ont créé une rumeur autour d’elles, ils ont leurs propres philosophes – ils disent que si vous êtes introverti vous êtes en quelque sorte morbide, quelque chose qui ne va pas avec vous. Et ils sont en majorité. Si vous méditez, si vous êtes assis en silence, ils plaisantent sur vous: ???? « Que faites-vous – regarder votre nombril : Que faites-vous – l’ouverture du troisième œil ? Où allez-vous êtes-vous morbide … ?.

Parce que ce qu’il y a à faire à l’intérieur…. mais Il n’y a rien à l’intérieur «   »Inside n’existe pas pour la majorité des gens, il existe seulement l’extérieur et à l’opposé c’est le cas – qu’à l’intérieur est réel ; extérieur n’est rien d’autre qu’un rêve . Mais ils appellent cela introvertis morbide, ils appellent les méditants morbide. Dans l’Ouest, ils pensent que l’Orient est peu morbide. Quel est le mal de s’asseoir seul et en regardant vers l’intérieur ? Qu’allez-vous y trouver ? Il n’y a rien.  »David Hume , l’un des grands philosophes britanniques, a essayé une fois … parce qu’il a étudié les Upanishads et ils ont dit : Allez, allez, allez dedans – c’est leur seul message. 

Alors il a essayé. Il ferma les yeux un jour – un homme totalement laïque, très logique, empirique, mais pas méditatif du tout – il ferma les yeux et dit: « C’est tellement ennuyeux… C’est un ennui de regarder les Pensées mouvement, parfois! quelques émotions, et ils vont sur ​​la course dans l’esprit, et vous allez le regarder entre eux – ce qui est le point de lui : Il est inutile – Il n’a aucune utilité »?..  »Et c’est la compréhension de beaucoup de gens  de Hume : celle de la majorité ?.? Que va pénétrer à l’intérieur ? il y a les ténèbres, les pensées flottent ici et là…. 

Que ferez-vous de ce qui va sortir  si Hume avait attendu un peu plus longtemps – et c’est difficile pour ces personnes – s’il avait été un peu plus patient, et par la pensée disparaître, les émotions se calmer. Mais si elle lui était arrivé, il aurait dit: «C’est encore pire, parce que le vide vient. Au moins il y avait d’abord pensées, quelque chose à être occupé avec, à regarder, à penser. Maintenant, même les pensées ont disparu ; que le vide …. Que faire avec le vide ? Il est absolument inutile. «   »Mais s’il avait attendu un peu plus, puis l’obscurité disparaît également. C’est comme quand vous venez à partir de la chaleur du soleil et vous entrez dans votre maison : tout est sombre parce que vos yeux ont besoin d’un peu d’initiation. Ils sont fixés sur le soleil chaud à l’extérieur, comparativement, votre maison est sombre. 

Vous ne pouvez pas voir, vous vous sentez comme si c’était la nuit. Mais vous attendez, vous vous asseyez, vous reposer sur une chaise, et après quelques secondes, les yeux deviennent et l’écoute arrive. Maintenant, il n’est pas sombre, un peu plus de lumière …. Vous reposez pendant une heure, et tout est lumière, il n’y a pas de ténèbres.  »Si Hume avait attendu un peu plus longtemps, alors l’obscurité disparaîtrait également. Parce que vous avez vécu dans le soleil chaud à l’extérieur pour de nombreuses vies, vos yeux sont devenus fixes, ils ont perdu la flexibilité. Ils ont besoin de réglage. Quand on vient à l’intérieur de la maison, on prend un peu de temps, un peu de temps, une patience. Ne pas être pressé.  »En hâte, personne ne peut venir à se connaître. C’est un très très profond attente. Une infinie patience est nécessaire. Car par la méditation l’obscurité disparaît. Il vient une lumière sans source !

Il n’y a pas de flamme en elle, pas de lampe brûlée, aucun soleil n’est là. A la lumière, tout comme le matin : la nuit a disparu, et le soleil ne s’est pas levé …. Ou le soir – le crépuscule, lorsque le soleil s’est couché et la nuit n’a pas encore descendu. C’est pourquoi les hindous appellent leur temps sandhya de prière. Sandhya signifie crépuscule, la lumière sans aucune source.  »Quand vous vous déplacez vers l’intérieur, vous arriverez à la lumière sans aucune source. Dans ce contexte, pour la première fois que vous commencez à vous comprendre, comprendre qui vous êtes, parce que vous êtes la lumière. Vous êtes le crépuscule, n’être que Sandhya, que la clarté pure, que la perception, où l’observateur et l’observé disparaissent, et que la lumière reste. « 

Ecrit par OshoJust Like That  

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La méditation est dans le présent

Posté par othoharmonie le 26 mai 2013

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La méditation est dans le présent  dans Méditation 2a      « L’esprit se concentre:.. Il agit sur ​​le passé des actes de méditation dans le présent, Out of the Present C’est une réponse pure pour le présent, il n’est pas réaction Elle agit pas de conclusions, il s’agit de voir l’existentiel..  » Regardez dans votre vie: il y a une grande différence lorsque vous agissez sur les conclusions.Vous voyez un homme, vous vous sentez attiré – un bel homme, semble très bien, regards innocents. Ses yeux sont magnifiques, l’ambiance est belle. Mais alors, l’homme se présente et il dit: «Je suis Juif » – et que vous êtes un chrétien. Quelque chose clique immédiatement et il est distance: maintenant l’homme n’est pas plus innocent, l’homme n’est pas plus beau. Vous avez certaines idées sur les juifs. Or, il est un chrétien et vous êtes un Juif, vous avez certaines idées sur les chrétiens – ce que le christianisme a fait aux Juifs dans le passé, ce que d’autres chrétiens ont fait aux Juifs dans le passé, comment ils ont torturé les Juifs à travers les âges .. . et tout à coup il est chrétien – et quelque chose change immédiatement.  »Cela agit sur ​​les conclusions, les préjugés, ne cherche pas à cet homme – parce que cet homme ne peut pas être l’homme que vous pensez qu’un Juif doit être … parce que chaque Juif C’est un genre différent de l’homme, chaque hindou est un genre différent de l’homme, est ainsi chaque musulman.  »Vous ne pouvez pas agir sur les préjugés. Vous ne pouvez pas agir par catégoriser les gens. Vous ne pouvez pas cataloguer les gens, personne ne peut être catalogué. Vous avez été trompé par une centaine de communistes, mais quand vous rencontrez le communiste cent unième ne vont pas à croire dans la catégorie que vous avez fait dans votre esprit: que les communistes sont trompeuses – ou quoi que ce soit. C’est peut-être un type différent de l’homme, car il n’y a pas deux personnes qui se ressemblent.  »Chaque fois que vous agissez de conclusion, il est esprit. Quand vous regardez dans le présent et vous ne laissez pas la moindre idée d’entraver la réalité, faire obstacle à la fait, vous regardez juste dans la réalité et agir sur ce regard, c’est la méditation « .

Osho, Le Soutra du cœur ,  

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Libre-arbitre oblige

Posté par othoharmonie le 26 mai 2013

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Libre-arbitre oblige  dans Humeur nnLibre-arbitre oblige : On se sent souvent responsable de ce qui arrive aux autres. 

Les  » J’aurais donc dû  » et les  » Si j’avais su  » affluent alors dans notre tête. Quand on regarde les choses du point de vue de l’âme, rien de ce qui arrive n’a lieu par hasard. Tout a sa raison d’être et sert l’ouverture de conscience des âmes concernées par la situation.

Aucun être, si puissant soit-il, n’a le pouvoir de changer le parcours de quelqu’un d’autre. 

Libre-arbitre oblige. Chacun de nous est responsable de ses choix conscients ou inconscients. Si les choses arrivent ainsi, c’est qu’elles sont au service de notre évolution respective. Elles nous servent à conscientiser notre potentiel et nos limitations. Regrets, remords et culpabilité nous détournent de ce que nous devons apprendre de la situation. C’est davantage en touchant à l’émotion que la situation suscite que nous pourrons découvrir une zone d’ombre et ainsi la mettre en lumière. 

En plus, nous pourrons accompagner l’autre dans son cheminement intérieur au lieu de projeter sur lui une énergie nuisible. Certes, si cela se produit dans notre vie, c’est que nous avons quelque chose à y faire, mais l’action à accomplir concerne notre propre évolution. Nous ne pouvons ouvrir la conscience de l’autre que par notre exemple. Alors, lorsque la culpabilité se pointe, rappelons-nous simplement que notre âme aspire à découvrir une part de lumière, une part d’amour dans la situation. 

Si nous souhaitons réellement être aidant tant pour soi que pour l’autre, nourrir l’énergie de l’amour sera toujours la seule clé qui vaille. 

 Sylvie Ouellet

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Création des Avatars

Posté par othoharmonie le 25 mai 2013

L’Avatar par François Brousse

L’Avatar, si nous en croyons les Écritures saintes de l’Inde, du bouddhisme et du lamaïsme, est un être divin qui est le représentant de Dieu sur la Terre. Il a des qualités extrêmement précises que l’on peut retrouver dans Bouddha, Jésus, Yogananda même et que l’on retrouve admirablement dans Hugo. (Conf. « Victor Hugo », Strasbourg, 18 juin 1988)

Création des Avatars dans Nouvelle TERRE mm

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Qu’est-ce qu’un avatar ? C’est celui qui a pris conscience de sa divinité. Nous sommes tous des dieux, nous sommes tous des enfants de Dieu, mais peu le savent. On commence par croire que l’on est simplement une goutte de gelée vivante, avec des réactions plus ou moins chimiques, qui va en chancelant du berceau à la tombe : c’est la théorie matérialiste. 

On continue par imaginer qu’il y a dans cette gelée plus ou moins visqueuse une âme éternelle ou tout au moins immortelle, c’est la position des religions et dans les religions beaucoup d’êtres prennent conscience de leur immortalité. Enfin il y a ce que j’appellerai la sagesse parfaite dans laquelle on prend conscience qu’il y a, au-delà de l’âme, l’esprit, l’esprit divin qui est en nous. Dans les cas extrêmes, l’homme et l’esprit deviennent Un, alors nous avons affaire à un homme-dieu, c’est-à-dire à un avatar. [...] _ 
Il a deux fonctions : la première, c’est d’apporter un message. Comme dit la Bhagavad-Gita : « Lorsque l’univers est sur le point de tomber dans le chaos, une forme divine s’incarne et apporte aux hommes l’ordre, le salut, la liberté et la lumière. » 

Effectivement, l’Avatar apparaît presque toujours au moment où le monde est au bord du chaos, où, plein de haine, plein de violences, plein de sottises, d’orgueil et de puissance démentielle, il est sur le point de s’entredéchirer comme un fou qui, n’ayant plus le sentiment, l’instinct de conservation, porterait sur lui-même, sur ses membres, ses mains acérées et destructrices. La première qualité de l’Avatar, c’est de rétablir la vérité. 

Il y a une vérité éternelle. La vérité n’est pas, comme le croient les sociologues, le reflet d’une société à travers un moment donné [...] Il semblerait que la doctrine d’amour universel, qui est la vérité morale, se retrouve à travers tous les temps [...], mais à vrai dire il n’y a plus que deux morales : la hauteur divine qui fait de nous les envoyés de Dieu et qui répandent sur la Terre l’amour, la concorde, la sagesse et la beauté et, de l’autre côté, la destruction, l’antimorale, celle qui prône la guerre, la violence, la haine et la destruction. [...] Lorsque nous sommes à la fin d’un cycle, le dieu de la lumière se manifeste et apparaît pour rétablir la vérité, la justice, l’amour, la concorde et l’équilibre divin. Voilà la première des manifestations de l’Avatar. 

La deuxième est plus mystérieuse si j’ose dire, elle est silencieuse, alors que la première est pleine du Verbe éternel et remplie de paroles. [...] L’Avatar réel est composé de silencieux et de parleurs. Que fait le silencieux ? Il apporte une puissance démesurée au point de vue magnétique. 

Le monde tout entier est baigné par des flots de magnétismes et j’ajouterai qu’il y a un équilibre. Il y a des êtres dont le magnétisme s’étend à un ou deux mètres, d’autres êtres dont le magnétisme s’étend à trente mètres, et enfin il y a les avatars dont le magnétisme salvateur s’étend sur toute la Terre [...]. En Asie, au fond des grottes, au Tibet, il existe des êtres qui ne parlent pas, ils se contentent de méditer, ils se contentent d’exister, et, en méditant, en existant, ils lancent sur toute la Terre de merveilleux rayons d’amour, de sagesse, de beauté et d’illumination permanente. C’est grâce à ces êtres, grâce à leurs actions invisibles ou parfois visibles, que le monde peut encore subsister [...]. Le résultat, c’est que [...] l’Avatar complet si j’ose dire est à la fois l’être puissant magnétiquement et l’être puissant par la parole et par le Verbe. (Conf. « Les avatars du XXe siècle », Perpignan, 9 févr. 1984) 


Lorsqu’un avatar se revêt du corps humain, il en accepte toutes les limites, les maladies et les incompréhensions. L’homme ordinaire a pour l’homme de génie une abondance de haine, car il se sent humilié par sa grandeur. Sentiment absurde ! Les Frères Aînés viennent pour délivrer, non pour abaisser. L’admiration, ce flambeau de jouvence, fait de l’admirateur l’égal de l’admiré. Si celui que l’on admire est l’incarnation de Dieu, l’admirateur devient, par là-même, un reflet divin. (BMP, N°57, mai 1988) 


Un avatar n’est pas très exactement ce que nous croyons qu’il soit, il n’est pas un homme, mais habituellement plusieurs hommes touchés par la même Âme cosmique. Il est composé de cinq têtes brillantes qui, chacune, émettent des idées, des oracles, des révélations et qui, tout en étant séparées, sont néanmoins unies. 

[...] Tous les six cents ans environ apparaissent des avatars, c’est-à-dire des maîtres prodigieux qui apportent une vérité. Cette vérité est quintuple, c’est-à-dire qu’on ne peut connaître la Révélation que lorsque l’on connaît les cinq maîtres. (Conf. « Victor Hugo », Perpignan, 2 mai 1974) 

Au VIe siècle av. J.-C. – Ainsi, parurent presque simultanément Pythagore en Grèce, Bouddha et Jaïn aux Indes, Lao Tseu et Confucius en Chine. Cinq lumières vivantes ! Et nous touchons là un nouvel aspect du Pentacle. (Une Torche aux astres allumée) 

Au Ier siècle - Ainsi, aux marges aurorales de l’ère chrétienne, cinq visages brillent dans la lumière : le Maître de Justice, Jésus, Apollonius de Tyane, Patanjali et le Septième Hermès. (BMP, N°118, janv. 1994) 

Au VIIe siècle - Six cents ans après, vous avez encore, ceux-là sont connus, Mahomet, Ali, Merlin l’Enchanteur, les deux Tara et Padma Sambhava. (L’Évangile de Philippe de Lyon) 

Au XIIIe siècle - En 1200, [...] nous avions encore cinq maîtres : Albigès, le maître inconnu des albigeois ; Dante ; Roumi, le maître des soufis ; également saint François d’Assise ; et enfin Ramon Lull qui fut authentiquement un maître et un mage. (BMP, N°251-252, janv.- févr. 2006) 

Au XIXe siècle - Au siècle solaire, le XIXe, ce furent les grandes âmes de Victor Hugo, de Ramakrishna, d’Helena Blavatsky, de Vivekananda et du Bab, la porte de l’Esprit. Elles forment les cinq feux de l’Étoile flamboyante. La méditation de leurs livres permet de conquérir les ultimes secrets de l’homme et du monde. (La Trinosophie de l’Étoile polaire) 


Au XXe siècle - Il faudrait attendre normalement six cents ans avant que ne surgisse une nouvelle armée de géants, eh bien non ! [...] Il semble que la course de l’homme se termine tragiquement vers l’an 2015 (±4 ans), et on ne peut tout de même pas laisser les hommes du XXe siècle dans une ignorance totale. [...] Si on vous avertit qu’une catastrophe va venir – c’est le rôle des prophètes et c’est le rôle des avatars -, vous avez la possibilité de changer cette catastrophe par l’amour, par la sagesse et par la beauté. (Conf. « Les avatars du XXe siècle », Perpignan, 9 févr. 1984) 
Vous avez [M. K.] Gandhi qui apporte une sagesse très simple en cinq points lui aussi [...]. Vous avez également Aurobindo Ghose, infiniment plus complexe, qui est à la fois méditation et en même temps concentration. Vous avez Krishnamurti qui prétend à la lucidité intégrale et au rejet de tout ce qu’il y a en réalité de temporel en nous. Et vous en avez encore deux autres qui doivent probablement surgir avant la fin du siècle. (BMP, N°251- 252, janv.-févr. 2006) 


Le propre d’un avatar est d’équilibrer à lui seul un milliard d’êtres humains. De manière générale, jusqu’à présent, les princes du karma nous mettent autant d’avatars qu’il est nécessaire pour sauver la planète. Mais à présent, nous sommes au Kali Yuga et, à la fin des temps, ils laissent la liberté absolue aux êtres humains. (BMP, N°245- 246, juin-juill. 2005) 


SAUVEURS 
Il faut le proclamer sans cesse 
Les avatars sont des sauveurs. 
Lumière, éternelle princesse, 
Il faut le proclamer sans cesse ! 
Brisons le carcan et la messe ! 
L’esprit nous fit une promesse : 
Les vertigineuses saveurs 
Se donnent aux grands fronts rêveurs. 
Plus hauts que l’Inde et que la Grèce 
S’élancent les révélateurs. 
Enfants de l’aube enchanteresse, 
Du coeur humain sombres graveurs 
Ils impriment en nous l’ivresse 
Des incomparables faveurs. 
Il faut le proclamer sans cesse 
Le monde a besoin de sauveurs ! 

27 janv. 1990 La Rosée des constellations 


  Textes édités par la www.licorne-ailee.com 

  François Brousse (1913-1995) http://www.unsagedebonnecompagnie.fr

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Le Tarot de Marrakech

Posté par othoharmonie le 25 mai 2013

 

Hommage aux créateurs inconnus et aux terres ancestrales

Interview de Georges Colleuil

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Le Tarot de Marrakech dans Tarots et tirages Cartes marac-300x133

  Georges Colleuil vous avez réalisé avec le peintre Valadié un nouveau Tarot et écrit un livre dans lequel vous supposez une origine arabe au Tarot. Pouvez-vous nous expliquer votre démarche ? 
Nous avons voulu Valadié et moi-même, ressusciter le Tarot originel que d’anciennes légendes rattachent à la civilisation pharaonique. Il ne s’agit pas d’une origine exclusivement arabe. Sept sages venus d’Orient et d’Occident se seraient réunis à la fin du XIIème siècle dans la cité de Fez pour mettre en sécurité la totalité des savoirs universels disparus dans l’incendie de la bibliothèque d’Alexandrie et dont ils auraient conservé la mémoire. Depuis plus de deux mille ans le Tarot serait ainsi passé de mains en mains, calligraphié par un artiste de Marrakech en 1198, volé par des brigands, racheté par des cabalistes espagnols persécuté au XV° siècle, sauvé par l’amour d’une femme et quasiment échoué dans la ville de Marseille. Le Tarot contient donc dans ses symboles la mémoire d’une sagesse antique, colorée par l’énergie particulière de Marrakech.

  Comment expliquez-vous que les images du tarot aient pu traverser les siècles et les continents, déclenchant de telles passions ? 
En fait, ces images sont des archétypes. Modèles symboliques universels, les archétypes nous renvoient à ce qu’il y a d’universel dans l’homme… l’humain ! Le Tarot est donc humaniste il nous rapproche de notre humanité. Bien sûr il a pu être perverti, détourné de son but et son sens a souvent été trahi.

   Quel est le point commun entre votre Tarot et l’esprit du Tarot en général, et quelles sont les différences avec le Tarot de Marseille par exemple ? 
Notre récit raconte l’histoire d’une résistance. Notre Tarot de Marrakech, comme tous les tarots du monde, synthétise nos aspirations et notre vision du monde. Il souhaite rendre hommage à l’esprit du Tarot qui depuis des millénaires résistent à la confiscation de la connaissance. Le Tarot suit l’évolution des mentalités. Il est le témoin de son temps. Il interpelle les artistes depuis toujours. Salvador Dali, Niki de Saint Phalle, aujourd’hui Valadié. Il inspire les poètes, Breton, Nerval, Apollinaire, les écrivains, Italo Calvino, Swift, Jules Verne. Il sert de modèle aux constructeurs de cathédrales, de blason aux grandes familles italiennes de la Renaissance. Il constitue une grille de lecture philosophique, un grimoire alchimique. On l’utilise comme test de projection psychologique, outil de développement personnel, de méditation, de voyance, de coaching… A la cour des Miracles comme dans les grottes secrètes d’Orient, il sert de carte d’identité aux sans-papiers. Chaque Tarot, et il y en a des dizaines de milliers différents, met l’accent sur un aspect plutôt que sur un autre. Le « Marrakech » s’intéresse plus particulièrement aux mémoires oubliées qui continuent à vibrer en chacun d’entre nous, et surtout au caractère universel de ces mémoires.

  Les signes et symboles qui sont dans vos lames, les avez-vous voulus ? quelle est la part d’intuition, de connaissances cachées, de choix délibérés, etc.
Eternelle question du processus créatif. « L’auteur veut dire que… ! » Soit il l’a dit – et ce n’est pas nécessaire d’en rajouter, soit il ne l’a pas dit – et alors on est dans une autre alternative : Il ne l’a pas dit mais ça se dit en lui – il ne l’a pas dit mais je le lis en lui !

  En fait quelle est la part de l’inconscient de l’auteur et celle du lecteur ? 
La question est de savoir si ce que je rencontre dans un poème, une musique ou une peinture est plus ou moins réel que ce que l’auteur y a mis. Le Tarot se prête à cette réflexion. Quelle est la part de l’inconscient de l’auteur, de son intuition, de son inspiration et la part de projection du lecteur ? Nous avons abordé la création du Tarot de Marrakech sous cet angle.

  Quel est le message du tarot de Marrakech ? 
Nous avons voulu dire des choses mais sans velléité de transmettre un message. Sachant l’intérêt du processus de projection dans le Tarot, nous avons laissé de grandes possibilités d’interrogation aux lecteurs. Il y a ce que nous avons « voulu dire », ce qui « se dit » à notre insu et ce qui est projeté par le lecteur. Celui-ci a le choix entre « l’auteur a voulu dire que » et « ce que je vois ou comprends est la projection de mes désirs ou de mes peurs ». C’est une des particularités du Tarot d’être en permanence réécrit par ses créateurs mais aussi par celui qui l’utilise.

  Pouvez-vous comparer deux lames ? 
Le Mat et le Mejnoun. Tous deux libres parce que hors les cadres et cheminant loin des sentiers battus. Ils flirtent tous les deux entre folie et sagesse. La sagesse du Mat est atypique et rebelle, celle du Mejnoun est folie d’amour.

  Pour quoi dites-vous que le fou d’amour est un authentique sage ? 
Parce qu’il a dépassé le besoin d’être aimé et prodigue tout son amour avec une vraie générosité. Il ne souffre pas du sentiment d’insécurité affective propre aux hommes en général. Cela ne l’empêche pas de connaître le chagrin mais son chagrin n’est pas une plainte, il se transforme en un chant universel, que les hommes se transmettent ensuite de générations en générations… Le fou d’amour ne connait pas le désespoir car il est fou d’amour pour l’amour, il aime l’amour et l’amour jamais ne l’abandonne.

  Mais il est rejeté par la société ! 
Oui, les hommes ne lui font pas de place au sein de leur communauté. Le Mejnoun, comme le Mat, ne sont inscrits dans aucun parti, n’appartiennent à aucune confrérie, ils ne cotisent à aucune caisse, si ce n’est à la caisse d’insécurité sociale… Le Mat est rebelle à la société, c’est un contrebandier un sdf, un hors la loi, un voyou, un insoumis. Il est insaisissable, inclassable, incassable. Le Mejnoun est tout entier tourné vers l’amour. Les scorpions, les serpents et les hyènes tentent de le détourner de son chemin de sagesse mais ils n’y parviennent pas. Son regard est illuminé. Certains diraient allumé ! Le sourire qu’il affiche est très différent de celui du Mat. Le sourire du Mat est cynique, ironique, j’menfoutiste, provocateur, moqueur comme le chant du merle… Celui du Mejnoun est réjoui, comblé, ravi. Ravi comme si on l’avait ravi des territoires de la médiocrité et qu’un Djinn bienveillant, s’étant emparé de son âme, l’avait conduite vers des terres radieuses !

  Georges Colleuil anime des séminaires sur le Tarot de Marrakech et ses méthodes de tirage
  Pour tout renseignement : Visitez les siteswww.georgescolleuil.com www.tarotdemarrakech.com

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Se connaître avec les cartes

Posté par othoharmonie le 25 mai 2013


Les cartes de tirage ont longtemps été perçues comme un outil « ésotérico-magique ». De plus en plus, elles sont conçues comme un moyen de développer son intuition.

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Se connaître avec les cartes dans Tarots et tirages Cartes carte-300x148

De plus en plus de jeux de cartes paraissent chaque année. Au traditionnel tarot de Marseille et autres classiques, s’ajoutent désormais des jeux destinés à nous mettre en relation avec notre inconscient, nos guides, ou notre intuition, selon la terminologie utilisée. Sur les 3 000 exemplaires du Voyage de Ritavan édités en octobre 2012 – des cartes joliment illustrées dont le personnage principal est un enfant de couleur bleue – plus de 1 500 se sont déjà vendus. « Les jeux sont porteurs de messages de l’âme, les gens qui les utilisent sont dans une démarche spirituelle portée par les peintures des cartes », indique Samuel Djian-Gutenberg, le créateur. « Les cartes prolifèrent et tous les milieux sociaux, toutes les catégories socio-professionnelles, sont désormais concernés », précise Claudia Trédaniel, des éditions du même nom. S’agit-il d’un nouvel avatar de la quête de soi ? 

Plus seulement des supports de voyance

Par le passé, les cartes étaient utilisées essentiellement comme un outil divinatoire. À l’instar d’autres intermédiaires – pièces de monnaie du Yi-King, runes, etc. – la carte est alors un support de l’information reçue. « Toutes les cartes fonctionnent comme un alphabet, comme des lettres qui, associées, prennent tout leur sens », explique Maud Kristen, une voyante célèbre qui milite pour une approche rationnelle de cette capacité. Utilisées pour des personnes aux situations différentes, les cartes sont en quelque sorte un langage personnel exprimant les impressions des voyants, raison pour laquelle certains, comme Maud Kristen, dessinent leur propre jeu. Les cartes permettent d’évaluer les chances de réalisation d’une situation et peuvent répondre à des questions précises. 

Le travail de celui qui les utilise est tout d’abord intuitif. La carte vient en appui de l’intuition et de la sensibilité. Elle précise une vision ou un ressenti. C’est un détail de la carte qui va faire écho. La thérapeute Naty Davillars, qui utilise les cartes de manière marginale dans sa pratique, les qualifie de « support pour avoir de l’information. C’est comme un scénario décliné sous forme d’images en mouvement. Un film se déroule au niveau de l’écran mental, déclenché par la configuration de plusieurs cartes ou un détail sur une seule carte. Cela peut concerner des événements passés, présents ou futurs. » Elle considère les cartes comme des capteurs d’un flux d’informations qui n’a rien de figé et que nos actions peuvent modifier. 

Le miroir de soin

Depuis quelques décennies, les cartes servent à un autre usage, à la fois psychologique et thérapeutique. Dans cette optique, le tirage des cartes, face cachée, cesse de révéler l&e futur. Pourtant, il ne doit rien au hasard. C’est un autre mécanisme qui est sollicité, dont les ressorts sont tout aussi mystérieux que ceux de la divination. Le consultant tire les cartes qui correspondent à ses problématiques profondes. Les cartes permettent alors d’avoir en quelque sorte une photographie du paysage de l’inconscient du consultant à un moment donné, avec ses enjeux, et même les clés qui peuvent permettre de se sortir de telle situation. La pionnière de la psychologie transpersonnelle, Denise Roussel, les décrivait comme « un miroir vivant qui utilise harmonieusement notre intuition. » Elle était insatisfaite des outils dont disposaient auparavant les psychologues et fut l’une des premières à introduire cet « outil projectif » dans son travail thérapeutique. Selon elle, les images servent à canaliser l’inconscient avec une rapidité et une précision stupéfiantes. Cela repose sur l’idée que l’esprit inconscient est capable de choisir parmi une série d’archétypes, sans les voir, celui ou ceux qui sont signifiants pour lui. Les cartes jouent le rôle de miroir pour une psyché aux paysages sans cesse changeants. On y cherche une vision profonde de soi-même, et non plus, comme dans la voyance, des informations renseignant sur une situation extérieure. 

L’un des plus célèbres thérapeutes tarologues est Alejandro Jodorowsky, qui a élaboré une démarche fondée sur la lecture des 78 cartes du tarot de Marseille, conçues comme autant de facettes d’un immense mandala embrassant l’aventure humaine. Le psychanalyste Carl Gustav Jung parlait de synchronicités pour désigner des coïncidences saisissantes entre un événement et un état psychique. Avec le tarot, ces coïncidences sont provoquées, raison pour laquelle Jodorowsky parle de « psychomiracles ». « En 40 ans de pratique, toutes les personnes qui ont travaillé avec moi ont toujours tiré des cartes qui correspondaient exactement à leurs problèmes. Pourquoi ? C’est un mystère. » Dans l’approche de Jodorowsky, le tarot est un outil d’exploration des enjeux profonds, cachés, souvent transgénérationnels, des individus. 

Carole Sédillot, qui enseigne le symbolisme et la mythologie, s’est intéressée notamment au rapport entre les figures du tarot de Marseille et les archétypes jungiens : « Bien utilisées, les cartes viennent nous dire des choses que nous ignorons, elles offrent à chacun l’occasion de révéler la part unique de son être en quête de réalisation. » Selon elle, de nombreux thérapeutes utilisent d’ailleurs les cartes comme outil thérapeutique même si ce n’est pas pleinement assumé. 

Développer son intuition

Désormais, certains voyants utilisent les cartes comme support informatif non plus seulement pour prédire l’avenir mais pour aider l’autre à mieux se connaître et lui « révéler son moi intime », comme l’explique Maud Kristen, qui ajoute que « les cartes permettent de tisser un lien avec soi-même ». Pour cela, « il faut utiliser les cartes de manière respectueuse dans le cadre d’un travail personnel et non prédictionnel, c’est la seule façon d’accéder à la prise de décision juste, avertit la célèbre voyante, l’important est de trouver le jeu qui crée sa propre résonance et se sentir bien avec ». De nombreux jeux de cartes ont vu le jour, qui se détachent du traditionnel tarot de Marseille. A l’instar des Portes de l’intuition, une création de Vanessa Mielczareck, qui a également consacré un livre aux facultés intuitives. « Les gens ont besoin d’être guidés vers les meilleures solutions possibles, et les cartes leur fournissent certains éléments de réponse », analyse-t-elle. Dans son jeu, elle a remplacé les figures traditionnelles par ses propres créations, « en lien avec notre époque actuelle ». La frontière entre divination pure et usage de son intuition reste poreuse : chaque lame du jeu est une porte pour accéder à son intelligence intuitive, et prendre ensuite une décision qui soit en accord avec elle. Les personnages représentés nous invitent à les suivre dans un univers de poésie, nous mettant en contact avec des vérités profondes. « Nous vivons dans une culture rationnelle où la logique est mise en exergue et laisse peu de place à l’intuition. Les cartes doivent permettre à l’individu de se reconnecter avec son intelligence intuitive et d’entrer en contact avec lui-même, en lui donnant accès aux profondeurs de sa psyché », conclut Vanessa Mielczareck. 

Toutefois, « les cartes ne doivent pas devenir un interlocuteur moqueur », met en garde Maud Kristen. Peur et désir interviennent souvent dans un tirage et le faussent. Il faudrait, selon elle, solliciter les cartes lorsqu’on est délesté de charges émotionnelles trop lourdes. Les utilisateurs s’accordent également sur le fait que pour se référer aux cartes, il faut être honnête envers soi-même, et ne pas céder aux sirènes de la pensée magique, qui voit partout, sans discernement, des signes qu’elle crée elle-même. L’idée n’est pas de modifier le cours des choses mais d’apporter une vision supplémentaire. Alejandro Jodorowsky décrivait les cartes comme des « fauves dangereux ne pouvant être domptés que par un sage ». De plus en plus, nous leur demandons d’éveiller le sage qui sommeille en nous.

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SE MAINTENIR EN BONNE FORME

Posté par othoharmonie le 24 mai 2013

 

par Guy DESARDENNES

 

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SE MAINTENIR EN BONNE FORME dans Auto-Guérison espace-bien-etreFonctionnement du corps humain 
Notre cerveau gère la bonne marche de nos organes. Notre volonté n’a aucune action sur le déroulement de la respiration, la digestion, la circulation sanguine ou les processus d’élimination. 
Le cerveau possède, comme un ordinateur central, nos programmes. Il déclenche les réactions chimiques nécessaires au bon moment et dans le bon ordre, suivant les informations qu’il reçoit des multiples capteurs situés partout dans l’organisme, permettant l’accomplissement de toutes nos fonctions essentielles. 

  Les troubles qui surviennent ont 3 origines. 
Ils peuvent être physique (empoisonnement, pollution), émotionnel (bonne ou mauvaise nouvelle, conflit) ou spirituel (mal-être, absence de but, de justice, souffrance des autres). 
Chacun a pu constater l’effet physique d’une mauvaise nouvelle (perte d’énergie immédiate) ou d’une bonne (l’amoureux déborde d’enthousiasme). 

Il y a donc interaction permanente entre ces trois dimensions. 
On peut d’ailleurs s’étonner que la médecine se concentre exclusivement sur notre dimension physique pour expliquer et tenter de guérir les maladies. La méfiance grandissante des patients et leur engouement pour les médecines et produits naturels traduisent certainement cette aberration. 

Notre pharmacopée part du principe que le corps se dérègle et donc un médicament est calculé de façon à ce que les barrières dressées soient contournées ou éliminées. En somme, on force le corps à rentrer dans le rang. 
Arrivent ensuite les effets secondaires qui généreront la prise d’autres médicaments débouchant sur une dépendance définitive. 

N’est-ce pas un constat d’échec de notre civilisation que de réduire ainsi la fin de vie de nos anciens, autrefois respectés et consultés pour leur sagesse ? 

N’est-il pas temps de réconcilier les diverses formes de thérapies afin de mettre au centre l’intérêt des patients plutôt que celui des laboratoires ? Ceci obligerait notre société à changer de point de vue en faisant confiance à notre organisme et en l’accompagnant vers la guérison plutôt que de prendre le pouvoir sur notre cerveau. 

  Besoins essentiels de l’organisme 
Définissons-les sur les 3 plans. 

Pour le spirituel, chacun essaiera de comprendre le sens de l’évolution de l’être humain. Les réponses obtenues permettront de donner une assise, une sérénité plus grande, diminuant ainsi le stress créé par les évènements de la vie. 
Pour le psycho-émotionnel, il me semble essentiel d’avoir régulièrement recours à des thérapeutes (nous n’en manquons pas) qui nous aideront à vider nos émotions, à accepter et tirer les leçons de nos expériences et donc à repartir de plus belle. Ce conseil est vital pour nos enfants soumis au stress de plus en plus tôt. 
Sur le plan physique, la prise de compléments alimentaires donnera les moyens à notre organisme d’optimiser les réponses aux différents stress que la vie nous impose. 

Personnellement, je prends de la vitamine C (carburant essentiel des cellules) tous les jours. Ensuite, je fais 4 cures/an : 
  Colo Vada, nettoyage complet et simple du tractus digestif sans hydrothérapie du côlon 
  Regulat pour aider à maintenir l’équilibre de notre métabolisme par apport d’enzymes naturels 
  L’Aklamath, algue d’eau douce, aliment le plus riche de la planète (vitamines, acides aminés essentiels et semiessentiels, 115 micronutriments) 
  Sérum de Quinton, contenant tous les éléments chimiques nécessaires à la vie (voir tableau périodique de Mendeleiev) Et je suis en forme tous les matins !

  Guy DESARDENNES est l’auteur du roman « HERITAGE », témoignage simple et vrai, pouvant aider chacun à trouver le chemin de l’autonomie et de la bonne santé physique et spirituelle. 
Editions LOUREX, 206 chemin de Lamour. 82100 CASTELSARRASIN
un site www.lourex.com

 

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Redécouvrir la guérison par voie spirituelle

Posté par othoharmonie le 24 mai 2013

par Bruno Groening :

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A l’époque où nous cherchons à préserver ou recouvrer la santé en utilisant différents recours, il existe aussi un chemin que maintenant beaucoup empruntent en s’approchant de leur vraie nature.

Redécouvrir la guérison par voie spirituelle  dans Auto-Guérison 321Ce chemin est la voie spirituelle tracée à travers l’enseignement de Bruno Gröning. Il permet de redécouvrir la possibilité qui s’offre à chacun d’aller mieux, voire dans de nombreux cas, de guérir de maladies réputées incurables. Pour s’en convaincre, un film documentaire intitulé « Le phénomène Bruno Gröning » est diffusé depuis 6 ans sur tous les continents. De plus en plus de témoignages de guérison affluent pour démontrer que le savoir simple et pourtant fondamental dont il est question, et sa mise en pratique sont accessibles à tous. 

  6 années de film documentaire sur Bruno Gröning 
Pourquoi l’intérêt pour ce film ne faiblit-il pas, malgré les nombreuses projections en Europe et dans beaucoup d’autres continents comme l’Australie et l’Amérique ? 

Plus de 50 témoins d’époque relatent dans ce film leurs expériences hors du commun avec un homme sur qui les médias faisaient leurs gros titres comme : « J’en perds la raison. Bruno Gröning guérit des paralysés, des aveugles, des muets…“(Journal allemand : Süddeutsche Sonntagspost, 25.06.1949) Non seulement les guérisons et les événements extraordinaires qui se sont produits du vivant de Bruno Gröning en font un document exceptionnel de l’histoire contemporaine, mais en plus, des spectateurs relatent maintenant des guérisons vécues en regardant tout simplement ce film. 

  France : Monique K., Lille « Ne pouvant pas me débarrasser d’un eczéma sec couvrant tout mon torse et mon cuir chevelu et provoquant des démangeaisons très douloureuses rendant ma vie pénible depuis 4 ans (perte de cheveux par poignées, plaques irritantes avec saignements…) je suis allée voir le film. Pendant la projection je ne ressentais déjà plus aucune douleur. 4 mois après avoir mis en pratique l’enseignement de Bruno Gröning j’ai obtenu la guérison totale. » 

  Commentaire médical : Au regard de la persistance des symptômes durant 4 ans, sans cause apparente, et en l’absence de traitement allopathique local classique, on observe chez cette femme de 65 ans la disparition de l’eczéma en 4 mois. Cette guérison, associée à un changement de philosophie et à une grande joie de vivre, n’est pas du tout habituel sur le plan médical. Dr G. Blättner 

Autres commentaires de par le monde sont très parlants : 
  Hongrie : « J’avais une raideur permanente de la nuque. Après avoir vu le film tout est rentré dans l’ordre. Je pouvais à nouveau bouger mon cou normalement. [...] Je vous remercie pour ce film ». 

  Australie : « Je me sentais comme entre ciel et terre, toutes les douleurs de mon dos avaient disparu. » Bande-annonce du film sur Internet : www.bruno-groening.org/francais/film 

  Des conférences médicales depuis près de 20 ans 
Les aides et guérisons obtenues par voie spirituelle, grâce à cet enseignement, sont recensées systématiquement par les médecins du Groupe médico- scientifique spécialisé (MWF), vérifiées sur la base de documents médicaux établis par des médecins indépendants. Le Groupe MWF du Cercle des Amis de Bruno Gröning est composé de quelques milliers de médecins et autres représentants des professions thérapeutiques de plus de 70 pays. Grâce à cette connaissance et afin de pouvoir aider les personnes malades et en souffrance dans le monde entier, des médecins et psychologues du Groupe MWF transmettent leurs expériences à des collègues et à toute personne en quête d’aide. 

Depuis 1992, des conférences médicales gratuites sont ainsi organisées à travers le monde et notamment en France. 
Là aussi des guérisons se produisent. 

  Lieu de conférence et dates

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Exercices d’estime de soi

Posté par othoharmonie le 23 mai 2013

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Inapte au bonheur, vous portez votre malaise en bandoulière. D’ailleurs, vous en êtes persuadé, la vie ne vous aime pas. Pour (re)conquérir votre estime, les conseils de Maryse Vaillant, psychologue.

Maryse Vaillant

Exercices d’estime de soi dans APPRENDS-MOI a

On les reconnaît à leur façon de raser les murs, de tout faire pour passer inaperçu, de mettre en avant leurs défauts ou les échecs qui ont jalonné leur vie. Ils s’enlisent même parfois dans d’étranges répétitions qui les font souffrir, et manifestent une incroyable aptitude à se rendre insupportables et à se faire rejeter… Ceux qui manquent d’estime de soi ne s’aiment pas.

Toujours prêts à mettre en cause leurs compétences, ils sont persuadés que s’aimer soi-même est un signe d’orgueil ou d’égoïsme dont ils sont heureusement dépourvus. La lucidité est la seule qualité qu’ils se reconnaissent. Peut-on s’estimer, même si on ne s’aime pas ?

Voici quelques-unes des pistes qui permettent de reconquérir l’estime de soi, sans passer par la case amour.

Je suis nulle

Laure n’a pas mené à bien sa scolarité ; elle en souffre, et n’ose jamais donner son avis ou prendre la parole en public. Pourtant, ses enseignants la trouvaient intelligente et avisée. Mais Laure n’entendait que le verdict d’une mère peu aimante : « Tu es nulle, tu ne feras jamais rien. » Depuis, aucun succès ne parvient à la détromper. Ce qui compte, c’est quand elle échoue.

Tout le monde connaît des virtuoses de l’échec. Lorsque tout semble aller bien, ils prennent peur et abandonnent la partie par crainte d’une réussite qui les plongerait dans l’inconnu. Ils ne semblent rassurés que par le ratage de leurs entreprises.
Derrière les répétitions amères de leurs fiascos, on peut souvent débusquer la quête éperdue d’une autre mission : ils sont enfermés dans une injonction à échouer qui vient du plus loin de leur enfance. Réussir serait rompre un pacte…

==> Se guérir par la création
Pour sortir de l’enfermement dans l’échec, il faut accepter de donner torts à ses parents. On commence par de petites choses, et l’on avance doucement vers une version de soi qu’ils n’avaient pas prévue. Il s’agit de se prouver à soi-même ce dont on est capable. On peint, on dessine, on cuisine, on jardine. Et, surtout, on fait l’effort d’écouter les compliments et remarques de ceux qui apprécient. Rien de tel que de créer du beau, du bon, pour se restaurer intimement. Une condition toutefois : s’efforcer de tenir un journal de bord de toutes ces petites merveilles.

Je suis un vaurien

C’est souvent à l’adolescence que les choses se fixent : une identité négative est venue répondre aux doutes et aux incertitudes. A cet âge difficile, on ne sait plus trop qui l’on est. On se cherche dans tous les miroirs, on se laisse capter par tous les discours. Celui qui, pour avoir raté un examen, commis un délit ou fumé un joint, verra son entourage le considérer comme un raté, un toxicomane ou un délinquant, trouvera dans cet étiquetage un modèle rassurant. Il vaut mieux être reconnu comme un vaurien que se perdre dans l’anonymat, avec la crainte d’y disparaître.

Cela reste vrai plus tard. Celui que tout le monde regarde comme un perdant à répétition ne gagnera jamais rien. Le regard des autres le condamne à l’échec. Leur donner raison devient sa raison de vivre. Telle une étiquette, son identité négative lui sert de carte de visite et lui épargne l’effort de se faire reconnaître.

==>Retrouver la dignité
Plutôt que d’aller en prison, le jeune délinquant peut faire une mesure de réparation chez les pompiers ou dans une association d’entraide. Il fait ainsi quelque chose pour compenser les torts qu’il a causés, et retrouve souvent suffisamment d’estime de soi pour ne pas récidiver. Celui qui a raté un examen peut réussir dans une autre branche. Quant à tous ceux qui ont fumé des joints et l’ont oublié, ils sont légions…

Faites comme eux : si vous pensez ne pas valoir grand-chose, allez aux Restos du cœur ou à la SPA, vous verrez que l’on a besoin de vous. Cela fait du bien au moral. A force de voir que les autres peuvent compter sur vous, vous finirez par en faire autant.

Je ne suis pas aimable

Léa est si crispée qu’elle en devient laide. Chacun connaît des gens comme elle : les chipies et les jamais satisfaits ; les moroses et les anxieux, qui cherchent toujours le côté négatif de la vie ; les victimes et les martyrs, qui gâchent les cadeaux qu’ils reçoivent comme ceux qu’ils font. Ils sont malheureux. La vie ne les aime pas. Leurs moments de paix sont de courte durée. Ils sont persuadés de n’être pas aimables, parce qu’ils n’ont pas été aimés.

Longtemps, on a pensé qu’il fallait avoir reçu de l’amour pour en donner. On a même cru que la répétition du pire était toujours assurée : l’enfant battu battrait ses enfants. Ainsi, persuadé de son inaptitude au bonheur, celui qui a souffert de carences affectives ne pouvait que se faire mal à la vie.

==>Apprendre à recevoir
Les cliniciens et les professionnels de l’enfance commencent pourtant à montrer que l’on peut donner ce que l’on n’a pas reçu, et que l’on peut réussir sa vie malgré l’échec de son enfance. Donner, faire plaisir : chacun sait le faire. Accepter les cadeaux de la vie, c’est l’étape suivante. Faites donc la liste de vos petites joies et des gens qui ont compté pour vous. Vous verrez que, même si vous ne vous aimez pas, la vie vous a souri plusieurs fois. Pensez à ce qu’elle serait devenue si vous n’aviez pas rencontré Untel à un moment crucial. Dites-vous que tous les moments sont importants et que l’on s’enrichit des autres.

 

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Votre corps a une mémoire

Posté par othoharmonie le 23 mai 2013

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Par M. Brousse et F. Chabrier

 Votre corps a une mémoire dans Auto-Guérison corps-memoire

 

Notre concept en mémoire cellulaire est issu des recherches de Mère et Sri Aurobindo. Il repose sur le principe que notre corps, composé de cellules vivantes, a engrammé un continuum d’expériences individuelles et collectives. Ces mémoires s’expriment et s’amplifient tant qu’elles ne sont pas conscientisées. Elles mènent une vie autonome par un dialogue cellulaire permanent avec nos ancêtres. Elles nous conduisent à adopter des comportements aberrants. Ces comportements aberrants nous font souffrir, et sont un obstacle à l’expression de notre être essentiel.

Le principe 
Dès notre conception, s’imprime en nous tout ce que nous vivons, au plus profond de notre être, dans nos cellules qui portent aussi l’histoire de nos parents et de nos lignées, (ne sommes-nous pas nés de la rencontre de deux cellules, elles-mêmes nées de la rencontre de deux cellules…. etc.) Ce vécu personnel et l’héritage familial, imprimés comme une meurtrissure, agissent à notre insu sous forme de mémoires qui s’activent cycliquement ou sous l’effet de stimuli subtils, déclenchant en réponse de notre part des comportements automatisés, inadaptés et sources de souffrances. Alors que nous croyons vivre, nous rejouons, répétons, reproduisons, sans même en être conscients. Les nombreuses recherches comportementales effectuées sur les receveurs de greffe du cœur sont venues étayer nos propres résultats de manière incontestables. Sans en être conscient, les perceptions, les goûts du receveur se trouvent modifiés. Après contrôle sur le donneur, on s’aperçoit que ces hologrammes mémorisés lui appartiennent. Ces mémoires stockées dans les cellules du cœur sont traitées et réinterprétées par le receveur. Certaines s’imposent à lui, alors même qu’il sait qu’elles ne lui appartiennent pas.

Finalité 
Comprendre et transformer ce qui doit l’être dans cette vie. Faire naître l’homme au cœur de l’humain. Que chacun retrouve en lui l’individualité et l’unité, seule voie pour espérer bâtir l’Unité Humaine.

L’objectif 
Déchiffrer ces mémoires qui nous manipulent et les rencontrer sur les différents plans où elles agissent pour les désactiver et retrouver notre élan vital : avancer d’un pas alerte et vrai dans la vie.

La démarche 
La reconquête de ces mémoires inconscientes ne s’opère pas du seul fait de notre volonté. Les outils qu’utilise le praticien en Mémoire Cellulaire (grille des cycles de vie, astrologie, biorésonnance cellulaire, arbre généalogique, pratique de la descente dans le corps, astrologie en mémoire cellulaire etc…) éclairent d’un jour nouveau les évènements de notre vie : ils prennent sens lorsqu’on y repère les comportements aberrants et les schémas répétitifs issus de nos mémoires : voir ces mémoires et les accepter, c’est le début du chemin.

Grille des cycles de vie biologiques mémorisés 
Ils sont issus des recherches de Marc Fréchet et ont fait l’objet d’une thèse de doctorat en psychoclinique. La grille permet à chacun de se réapproprier son histoire, de faire des liens entre des dates et des évènements apparemment indépendants. Elle nous permet de revenir plus facilement et plus rapidement sur les évènements de « première ligne » par l’utilisation de techniques reposant sur la connaissance des rythmes et des cycles vibratoires (quinte, quarte, tierce, etc…)

Biorésonnance cellulaire 
Chacun a de nombreuses croyances sur ce qu’il croit être. Or, celui qui sait de manière sûre et qui mémorise toutes nos expériences, c’est le corps. Interface avec le corps, la biorésonnance cellulaire permet de mettre en évidence les programmations négatives empêchant la réalisation de nos objectifs. Interroger le corps directement permet d’inhiber le mode de traitement de l’information caractéristique de l’hémisphère dominant et verbal. Il constitue un extraordinaire « garde fou » pour éviter les fausses pistes et préciser celles qui doivent l’être. Il ne s’agit pas d’en rester au constat. La thérapie par la parole ne suffit plus.

Le but 
Le but ultime est la désactivation de ces mémoires : il s’agit de les rencontrer en vérité par la descente au plus intime de soi dans le corps, où elles sont inscrites. « Le chemin est dans le corps » disait la Mère.

L’une des spécificités du travail proposé par l’EMC réside dans le thérapeuticum : plusieurs praticiens peuvent intervenir ensemble pour accompagner le consultant, l’aidant à identifier le sens de sa vie et les moments où, sous l’action des ces mémoires personnelles ou trans-générationnelles, se sont joués des « contre-sens ». Ce repérage est indispensable à leur désactivation dans le corps. De la convergence des informations fournies par les outils, de la confrontation du regard des intervenants, naît une synergie : l’énergie mise en oeuvre par chacun est démultipliée au service du consultant. Cette synergie opère de façon particulièrement active durant les séminaires. La relation d’aide proposée par l’EMC s’attache particulièrement à rendre le sujet responsable, à l’accompagner dans une neutralité et une bienveillance totale, en dehors de toute connotation idéologique, politique ou religieuse et dans le respect absolu de ce qu’il est. Le thérapeuticum en est l’une des garanties.<

  L’ECOLE DE MEMOIRE CELLULAIRE vous propose une exploration de vos mémoires pour vous transformer et vivre enfin dans le cadre de : 

• Séances individuelles (sur rendez-vous avec un praticien). 
• Séminaires axés sur différents objectifs (« Renaître », « Se reconcevoir », etc) 
• Ecole de Vie 
• Enseignements et Ateliers : Pratique de la descente dans le corps art sacré, Biorésonnance cellulaire, Cycles Biologiques Mémorisés, Massage sensitif, Décodage biologique, Arbre généalogique , Astrologie en mémoire cellulaire. 
• Formation des Praticiens en Mémoire Cellulaire : à l’issue d’un travail personnel approfondi, certains pourront choisir de devenir à leur tour acteurs de cette relation d’aide. Un diplôme sera délivré après soutenance d’un mémoire. Cette distinction est très importante car les praticiens de l’EMC doivent avoir suivi le chemin pour pouvoir accompagner les autres. Ils ont expérimentés par eux même pendant de longues années la nécessité de la « Reliance » et de la maîtrise des outils pour rester sur la ligne fragile du » réel ,concret et vérifiable ».

  Nous contacter : 
  ECOLE DE MEMOIRE CELLULAIRE 10 rue Pérignon 75007 – PARIS 
  Tél : 01 47 34 09 11 
  www.ecoledememoirecellulaire.com

 

 

 

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Ne pas créer des réalités illusoires

Posté par othoharmonie le 20 mai 2013

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 Ne pas créer des réalités illusoires dans Etat d'être 28

« Comme vous n’avez aucune conscience de ce que vous allez vivre dans cinq minutes, de ce que nous allons vous demander de faire dans un quart d’heure, de ce que vous allez faire pendant votre sommeil, nous vous disons ceci :

Ne projetez pas vos angoisses devant vous en permanence, parce que non seulement vous vous traînerez des difficultés que vous avez parfois mal vécues, mais parce que si le faites vous serez totalement étouffés par des angoisses qui n’ont en fait aucune réalité.

Les soucis que vous vous faites en permanence sont les projections de réalités illusoires puisque ces réalités ne se sont pas encore accomplies.

N’oubliez pas la puissance de votre esprit ! Vous pouvez donner une direction à votre vie en fonction de vos pensées et de vos désirs, et c’est pour cela que nous vous disons de ne pas créer de réalités négatives et de ne projeter toujours devant vous qu’un futur merveilleux, un futur que vous devrez créer jour après jour et qui se réalisera.

Même si vous deviez traverser une tempête terrible, vous pourriez passer au travers d’elle sans en être le moins du monde affectés, et cela uniquement si vous avez choisi votre réalité.

En choisissant une réalité positive, vous vous créez comme un vêtement imperméable à toutes les réalités qui vous entourent et qui, automatiquement, interfèrent avec votre propre réalité.

Alors devenez imperméables aux réalités qui ne sont pas les vôtres, à celles que vous n’avez pas choisies ; de ce fait, vous passerez toujours librement au travers de la vie.

Par contre, il faut quand même que vous soyez prévoyants, mais pas insouciants. Nous parlons de prévoyance parce que votre monde vit d’immenses turbulences et qu’il faut que vous puissiez prévoir les désagréments que peuvent occasionner ces turbulences dans votre vie, sans cependant leur donner une importance primordiale. Il faut seulement que vous soyez au courant de certaines choses et que vous agissiez avec cette connaissance. 

Il est aussi mauvais de se mettre la tête sous le sable en disant « mon avenir ne m’occasionnera aucune tourmente puisque je le crée en fonction de ma propre réalité ». Dans un sens, vous avez absolument raison, cependant n’oubliez pas que si vous n’êtes pas suffisamment forts, l’avenir de tous ceux qui sont autour de vous, de vos frères et de la planète toute entière aura automatiquement des interférences sur votre propre avenir ; c’est dans ce sens là que nous vous demandons d’être vigilants et de prendre certaines précautions. Nous ne vous disons pas ceci pour vous apeurer, car c’est tout à fait à l’opposé du but de notre enseignement, nous vous le disons simplement pour vous enseigner sur les autres réalités qui vous entourent.

Dans tout ce que vous ferez, il faudra enlever tout émotionnel négatif, tout émotionnel gérant des peurs.

Nous espérons que nous nous sommes bien faits comprendre par rapport à la différence entre projeter sans arrêt devant soi un avenir difficile avec toutes les conséquences que cela peut entraîner dans votre vie et se mettre la tête sous le sable en disant « peu importe ce qui doit arriver, je ne veux pas le savoir. »

Dans la vie, il faut que vous soyez toujours au courant des difficultés possibles pour pouvoir mieux les affronter le cas échéant, et si ces difficultés ne se produisent pas, remerciez simplement le Père de la grâce qu’il vous a faite d’écarter de votre chemin certaines expériences difficiles ».

 

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

  • qu’il ne soit pas coupé
  • qu’il n’y ait aucune modification de contenu
  • que vous fassiez référence à notre site http://ducielalaterre.org
  • que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

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Nous avons 4 corps

Posté par othoharmonie le 20 mai 2013

Didier Dumas, psychanalyste : “Nous avons quatre corps…”

Cette vision du psychanalyste Didier Dumas explique pourquoi donner un sens à notre vie stimule notre santé.

la rédaction de « Psychologies Magazine »

 

Nous avons 4 corps dans Etat d'être 45Psychologies : Pour le psychanalyste formé à l’acupuncture que vous êtes, que vous signale votre double regard, à la fois occidental et oriental, sur le rapport corps-esprit ?

Didier Dumas : Toutes les grandes traditions chamaniques et ésotériques (dont le taoïsme) disent que la vie implique plusieurs niveaux d’existence et que l’incarnation terrestre concerne les quatre premiers. Nous aurions donc quatre corps.

Le premier est le corps physique. Il est constitué de molécules ; nous pourrions l’appeler  » corps moléculaire « . C’est le seul dont les frontières soient visibles et que reconnaît la science.

Le deuxième corps est fait de cette  » énergie  » très particulière qui différencie un être vivant d’un paquet de viande. Au XIXe siècle, on l’a baptisé  » corps étherique « , parce qu’à l’époque, ce mot sonnait scientifique – on pensait alors que le vide était rempli d’éther. A mon sens, il faudrait simplement l’appeler  » corps de vide  » : c’est uniquement parce qu’il y a du vide dans la matière que les choses peuvent s’animer, vivre. L’acupuncture, qui agit sur ce corps-là, l’a bien compris : l’idéogramme qui désigne un point d’acupuncture signifie vide, cavité.

Le troisième corps a été appelé  » corps astral  » , parce que cette enveloppe mentale permet de se projeter  » jusque dans les astres  » par la pensée. Il est constitué de tout ce qui est de l’ordre de la représentation : images visuelles, acoustiques, tactiles, que nous avons élaborées pour nous représenter le monde. On le nomme également  » corps émotionnel « , car il est le siège des affects. Ce corps est à rapprocher de l’ » image inconsciente  » du corps de Françoise Dolto. C’est à bord de ce corps-là que nous nous embarquons pour le monde des rêves… ou pour vivre une NDE (near death experience, ou expérience de mort imminente).

Mais la représentation seule peut être absurde, la folie autrement n’existerait pas. Le plus étrange des mystères mentaux est que nous puissions donner un sens à notre vie, au monde et aux choses. C’est le quatrième corps : appelons-le notre  » corps de sens « . Il correspond à ce que les psychanalystes appellent la construction du je. D’autres diraient  » corps mental « , tout en reconnaissant qu’il ne s’agit pas vraiment d’un corps, mais plutôt de ce qui structure les trois autres.

Ces  » corps  » s’engendrent-ils les uns les autres ?

Tenter d’expliquer les relations entre ces différentes instances est le but, atteint tant bien que mal, de cette forme moderne de l’initiation qu’est la psychanalyse. Tant pour Freud que pour des visionnaires comme Rudolf Steiner, toute la vie humaine a pour objectif la construction du « corps de sens ». A la base, cette construction repose tout simplement sur le couple plaisir-déplaisir. Chez le bébé, va dans le bon sens, donc a du sens, tout ce qui fait plaisir. A l’inverse, ce qui cause du déplaisir signale une chose qui va dans un sens inverse à celui de la vie et met donc le sujet en danger d’involution. Il est possible de dire comment, pour un psychanalyste, se conçoit l’élaboration de nos corps invisibles :

La première  » enveloppe mentale  » , qui se structure à la naissance, est celle des sensations qui gèrent le rapport à l’interne, à notre dimension la plus intime, d’où la place prépondérante qu’elles occupent dans la sexualité.

A l’inverse– à travers lequel se joue la dimension sociale de notre existence.

Entre les deux, l’enveloppe qui établit le lien entre l’univers des sensations et celui de la parole, est celle des images – visuelles, mais aussi olfactives, auditives, tactiles…

L’imagerie serait la façon dont le corps et l’esprit se parlent ?

La construction de notre appareil psychique implique que les sensations, qui dominent chez le bébé, puissent progressivement s’associer et se connecter au langage – ce qu’elles font par l’intermédiaire des images. A sa naissance, l’enracinement du bébé dans la structure de l’autre est tel qu’il ne différencie pas son propre corps de celui de sa mère. Les yeux jouent, à cet âge-là, un rôle très important pour différencier le moi du non-moi. En connectant les sensations à des images visuelles, ils permettent de se vivre, peu à peu, comme un sujet séparé. Cette structuration du mental perdure toute la vie et se retrouve dans la pensée adulte. Ainsi Einstein pouvait-il dire que ses découvertes lui arrivaient d’abord sous forme d’images et de sensations musculaires.

A LIRE :

Didier Dumas : “La Sexualité masculine”. Grâce à l’acupuncture et au taoïsme, le psychanalyste corrige la grande absence de la théorie freudienne : celle du corps (Albin Michel, 1990).

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Les relations vues par Tollé

Posté par othoharmonie le 18 mai 2013

 

Les relations en tant que pratique spirituelle

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Les relations vues par Tollé dans APPRENDS-MOI 41

De la même manière que l’ego et toutes les structures sociales, politiques et économiques qu’il a créées entrent dans la phase finale de leur chute, les relations entre hommes et femmes reflètent le profond état de crise dans lequel l’humanité se trouve de nos jours.

Comme les humains sont devenus de plus en plus identifiés à leur mental, la plupart des relations ne sont pas ancrées dans l’Être et se transforment donc en source de souffrance du fait qu’elles sont régentées par les problèmes et les conflits.

Des millions de personnes vivent actuellement seules ou en familles monoparentales parce qu’elles sont incapables d’établir une relation intime ou qu’elles ne veulent pas répéter la folie des mélodrames connus dans leurs relations passées. D’autres passent d’une relation à une autre, d’un cycle plaisir-souffrance à un autre, en quête de l’inatteignable objectif de réalisation personnelle par le biais de l’union avec la polarité énergétique opposée. Plusieurs autres encore font des compromis et persistent à vouloir rester ensemble dans une relation dysfonctionnelle au sein de laquelle prédomine la négativité. Elles le font pour les enfants, par besoin de sécurité, par habitude, par peur d’être seules ou pour tout autre avantage mutuel. Ou bien encore parce qu’elles sont inconsciemment dépendantes de l’excitation que leur procurent les mélodrames et la souffrance.

 Chaque crise représente pourtant non seulement un danger mais également une occasion de transformation.

 Si les relations attisent et amplifient les schèmes mentaux et activent le corps de souffrance, comme c’est le cas présentement, pourquoi ne pas accepter cet état de fait au lieu d’essayer d’y échapper ? Pourquoi ne pas coopérer au lieu d’éviter les relations ou de continuer à poursuivre le fantôme du partenaire idéal qui doit prétendument solutionner tous vos problèmes ou vous combler ?

 L’occasion de transformation que comporte chaque crise ne se manifestera pas, à moins que vous ne reconnaissiez et n’acceptiez totalement tous les faits propres à une situation donnée. Aussi longtemps que vous niez les faits, que vous vous en détournez ou que vous souhaitez que les choses soient différentes, vous restez fermé à l’occasion qui se présente et continuez à être pris au piège de cette situation, qui restera telle quelle ou se détériorera.

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Reconnaître et accepter les faits amène aussi un certain degré de libération par rapport à eux.

 Par exemple, quand vous reconnaissez qu’il y a un manque d’harmonie et que vous vous appropriez cette prise de conscience, un nouveau facteur entre en jeu grâce à celle-ci, et le manque d’harmonie ne peut rester tel que.

 

– LECTURE MÉDITATIVE –

Quand vous reconnaissez que vous n’êtes pas en paix avec vous-même, cette reconnaissance crée une atmosphère de calme qui accueille le désaccord dans un mouvement tendre et aimant et le convertit par la suite en paix. En ce qui concerne la transformation intérieure, vous ne pouvez rien faire. Vous ne pouvez pas vous transformer vous-même à volonté, pas plus que vous ne pouvez changer votre partenaire ou quelqu’un d’autre. Tout ce que vous pouvez faire, c’est ménager un espace au sein duquel la métamorphose peut se produire, afin que la grâce et l’amour puissent venir.

Alors, chaque fois que la relation entre vous et votre partenaire ne fonctionne pas, qu’elle suscite en vous deux la « folie », réjouissez-vous, car ce qui était inconscient vient d’être amené à la lumière. C’est là une occasion d’accéder au salut.

 

– LECTURE MÉDITATIVE –

À chaque instant, appropriez-vous la reconnaissance de ce moment, en particulier celle de votre état intérieur. S’il y a de la colère, reconnaissez-là. S’il y a en vous de la jalousie, une attitude défensive, une pulsion à vouloir vous disputer, un besoin d’avoir raison, si votre enfant intérieur exige amour et attention, ou bien si vous ressentez une quelconque souffrance émotionnelle, peu importe ce que c’est, reconnaissez la réalité de ce moment et appropriez-vous-la.

 amour-coeur-00011 dans Chemin spirituel

La relation devient alors votre sadhana, votre pratique spirituelle. Si vous identifiez chez votre partenaire un comportement inconscient, sachez vous approprier cette prise de conscience dans une attitude d’amour afin de ne pas réagir. L’inconscience et la reconnaissance de ce qui est ne peuvent pas cohabiter longtemps, même si la reconnaissance se produit chez l’autre et non pas chez la personne qui agit par inconscience. Pour la forme d’énergie qui sous-tend l’hostilité et l’agressivité, la présence de l’amour est absolument intolérable. Si vous réagissez d’une façon quelconque aux attitudes inconscientes de votre partenaire, vous devenez vous-même inconscient. Mais si vous vous rappelez de reconnaître votre réaction, alors rien n’est perdu.

 L’humanité subit actuellement une grande pression pour évoluer, car c’est sa seule chance de survie en tant qu’espèce. Ceci concerne tous les aspects de votre vie, en particulier les relations intimes. Jamais auparavant les relations n’ont été aussi problématiques et conflictuelles qu’elles le sont actuellement. Comme vous avez peut-être pu le remarquer, elles ne sont pas là pour vous rendre heureux ni pour vous combler. Si vous continuez à utiliser les relations pour trouver le salut, vous serez constamment déçu. Par contre, si vous acceptez qu’elles existent pour vous rendre conscient et non pas heureux, elles vous amèneront effectivement le salut et vous serez alors en harmonie avec la conscience supérieure désireuse de voir le jour dans ce monde.

 Pour ceux qui s’accrochent aux vieux scénarios, il y aura une intensification de la souffrance, de la violence, de la confusion et de la folie.

amour-coeur-000111 dans Exercices simples

 Question : Je suppose qu’il faut que les partenaires soient déterminés à faire de leur relation une pratique spirituelle, ainsi que vous le suggérez. Par exemple, mon partenaire réagit encore en fonction de ses vieux schèmes comportementaux de jalousie et de contrôle. Je le lui ai fait remarquer à maintes reprises, mais il est incapable de le voir.

 Eckhart Tolle : Combien de personnes vous faut-il pour faire de votre vie une pratique spirituelle ? Peu importe que votre partenaire coopère ou pas. La conscience et la santé mentale ne peuvent advenir dans ce monde que par vous. Pas besoin d’attendre que le monde soit sensé ou que quelqu’un d’autre devienne conscient pour vous réaliser. Vous pourriez attendre indéfiniment.

 Ne vous accusez pas réciproquement d’être inconscients. Dès l’instant où vous commencez à vous disputer, c’est que vous venez de vous identifier à une position du mental et que vous défendez non seulement cette position mais également le sens de votre identité. C’est l’ego qui prend les choses en main, et vous tombez alors dans l’inconscience. Il est parfois approprié de faire remarquer à votre partenaire certains aspects de son comportement. Si vous restez très vigilant, très présent, vous pouvez y arriver sans faire entrer en jeu l’ego, sans proférer de reproches, sans accuser l’autre ou lui donner tort.

Lorsque votre partenaire se comporte avec inconscience, renoncez à tout jugement. Car, d’un côté, le jugement amène à associer le comportement inconscient d’une personne avec ce qu’elle est en réalité ou, de l’autre, à projeter votre propre inconscience sur l’autre personne et à prendre cette projection pour ce que cette personne est en réalité.

Renoncer au jugement ne signifie pas que vous ne sachiez pas reconnaître une dysfonction ou l’inconscience quand vous les voyez. Cela veut dire que vous êtes « celui ou celle qui reconnaît » au lieu d’être « celui ou celle qui réagit » et qui juge. Vous serez alors totalement libéré de la réaction ou vous réagirez en reconnaissant que vous le faites, créant ainsi un espace où vous observerez la réaction et lui permettrez d’être. Au lieu de vous battre contre l’obscurité, vous faites la lumière. Au lieu de réagir face à l’illusion, vous la voyez et, en même temps, vous voyez à travers elle.

 Quand vous êtes celui ou celle qui reconnaît, vous ménagez un espace d’ouverture et de présence aimante qui permet à toute chose et à toute personne d’être telles qu’elles sont. Il n’existe aucun catalyseur aussi puissant que celui-ci pour aller vers la transformation. Si vous vous entraînez à agir ainsi, votre partenaire ne pourra pas rester avec vous tout en restant dans l’inconscience.

 Tant mieux si vous tombez tous les deux d’accord pour faire de votre relation une pratique spirituelle. Cela vous permettra l’un l’autre d’exprimer vos pensées, vos sentiments et vos réactions aussitôt qu’ils se présentent. De la sorte, vous ne créerez pas le décalage temporel qui amène une émotion ou une doléance non exprimée ou non reconnue à s’envenimer et à grandir.

 

– EXERCICE –

Apprenez à dire ce que vous ressentez sans faire de reproches. Sachez écouter votre partenaire de façon ouverte et non défensive. Laissez-lui l’occasion de s’exprimer. Soyez présent. Accuser, attaquer, se défendre, tous ces scénarios destinés à protéger et à renforcer l’ego ou à combler ses besoins deviendront alors désuets. Il est vital de faire de la place aux autres et à soi-même. L’amour ne peut s’épanouir sans cela.

 Une fois que vous aurez éliminé les deux facteurs de destruction d’une relation, c’est-à-dire que le corps de souffrance sera métamorphosé et que vous ne serez plus identifié à votre mental et à ses positions, et que votre partenaire aura fait de même, vous connaîtrez tous deux l’extase que représente l’épanouissement d’une relation. Au lieu de vous refléter l’un l’autre votre souffrance et votre inconscience, au lieu de satisfaire les besoins mutuels de vos ego dépendants, vous vous refléterez l’un l’autre l’amour que vous sentez au plus profond de vous, celui qui advient avec la réalisation que vous ne faites qu’un avec le Grand Tout.

 

ET CECI EST L’AMOUR QUI N’A PAS D’OPPOSÉ.

 

Si votre partenaire est encore identifié au mental et au corps de souffrance alors que vous en êtes déjà libéré, ceci représentera un défi de taille. Non pas pour vous, mais pour votre partenaire. Il n’est pas facile de vivre avec une personne illuminée, ou plutôt, c’est si facile que l’ego trouve cela extrêmement menaçant.

N’oubliez pas que l’ego a besoin de problèmes, de conflits et d’ennemis pour renforcer le sentiment de division dont dépend son identité. Le mental du partenaire qui ne s’est pas réalisé sera profondément frustré parce que plus rien ne s’opposera à ses positions fixes, ce qui voudra dire que celles-ci deviendront « chambranlantes » et affaiblies. Elles courent même le risque de « s’effondrer » complètement, ceci se traduisant par la perte du sens de soi.

Le corps de souffrance exige une réaction et ne l’obtient pas. Son besoin de disputes, de mélodrames et de conflits n’est pas satisfait. Mais faites attention ! Certaines personnes qui ne réagissent pas, qui sont repliées sur elles-mêmes, insensibles ou coupées de leurs émotions peuvent penser et essayer de convaincre les autres qu’elles sont illuminées ou du moins que tout va bien chez elles mais que tout va mal chez leur partenaire. Les hommes ont plus tendance que les femmes à agir de la sorte et à considérer leur partenaire comme irrationnelle ou trop émotive. Mais si vous pouvez ressentir vos émotions, c’est que vous n’êtes pas loin du corps subtil radieux qui se trouve juste en dessous. Si vous êtes principalement dans votre tête, la distance est beaucoup plus grande, car vous devez d’abord ramener la conscience dans le corps émotionnel avant de pouvoir atteindre le corps énergétique.

S’il n’émane aucune joie, aucun amour, aucune présence totale ni aucune ouverture face à tous les êtres, alors il n’y a pas illumination. L’autre signe indicateur montrant si une personne est illuminée ou non, c’est son comportement. Quand les choses vont mal, dans des situations difficiles ou placée devant un défi, comment réagit-elle ? Si votre prétendu illumination n’est qu’une illusion de l’ego, alors la vie se chargera très vite de vous lancer un défi qui amènera votre inconscience à se manifester sous une forme ou une autre, soit la peur, la colère, la défensive, le jugement, la dépression, etc. Si vous êtes en relation, un grand nombre de ces épreuves se présenteront à vous par l’intermédiaire de votre partenaire. Par exemple, une femme sera mise au défi par son lien avec un partenaire fermé qui vit presque totalement dans sa tête. C’est son incapacité à l’entendre, à lui accorder de l’attention et à lui faire de la place qui constituera ce défi. Tout ceci parce qu’il manque de présence. L’absence d’amour dans la relation, généralement ressentie avec plus d’acuité par la femme que par l’homme, déclenchera des réactions dans le corps de souffrance de celle-ci, qui attaquera alors son partenaire en lui faisant des reproches, en le critiquant, en lui donnant tort, etc. Cela devient cette fois le défi du partenaire. Pour se défendre des attaques de sa compagne, qu’il considère d’ailleurs comme indues, il se retranchera davantage derrière ses positions en se justifiant, en se défendant ou en contre-attaquant. Il se peut que tout cela déclenche des réactions dans son propre corps de souffrance. Quand les deux partenaires sont totalement devenus le jouet de leur corps de souffrance, ils atteignent un profond niveau d’inconscience, de violence émotionnelle et d’agressivité sauvage. Et ainsi de suite jusqu’à ce que les corps de souffrance aient été rassasiés et retournent à un état latent. Jusqu’à la fois suivante.

Ceci n’est qu’un des scénarios parmi les multiples possibles. De nombreux ouvrages ont été écrits, et bien d’autres pourraient l’être, sur les manières dont l’inconscience ressort dans les relations entre hommes et femmes. Mais comme je l’ai mentionné plus tôt, une fois que vous avez compris l’origine du dysfonctionnement, vous n’avez pas besoin d’en explorer les innombrables manifestations.

Penchons-nous de nouveau brièvement sur le scénario que je viens d’exposer. Chacun des défis qu’il contient est en fait une occasion cachée de trouver le salut, et il est possible de se libérer de l’inconscience à chacune des étapes du processus dysfonctionnel. Par exemple, l’hostilité de la femme pourrait devenir un signal indiquant à l’homme de sortir de son identification au mental, de se réveiller et de revenir dans l’instant, d’être présent, au lieu d’être encore plus identifié à son mental, encore plus inconscient. Au lieu « d’être » le corps de souffrance, la femme pourrait reconnaître et regarder la souffrance émotionnelle qui existe en elle, ce qui lui donnerait accès au pouvoir de l’instant présent et amorcerait la métamorphose de la souffrance. Cela éliminerait la projection compulsive et automatique qu’elle dirige habituellement vers l’extérieur. Elle pourrait donc par la suite exprimer ses sentiments à son partenaire. Bien sûr, rien ne garantit qu’il écouterait, mais cela lui donnerait une bonne occasion de devenir présent et de rompre à coup sûr le cycle dément de l’incessante ronde des vieux schèmes mentaux. Si la femme rate cette occasion, l’homme pourrait alors observer ses propres réactions mentales et émotionnelles devant la souffrance de sa compagne, ses propres attitudes défensives, au lieu d’être totalement en réaction. Il pourrait ensuite observer comment son propre corps de souffrance est déclenché et ainsi conscientiser ses émotions. De cette façon, un espace ouvert et paisible de conscience pure verrait le jour, soit la reconnaissance de ce qui est, le témoin silencieux, l’observateur. Cette conscience ne nie pas la douleur mais se situe au-delà de celle-ci. Cette conscience permet à la souffrance d’être ; pourtant, elle la transforme en même temps. Elle accepte tout et transforme tout. Ainsi, une porte s’ouvrirait chez la femme, lui permettant de se joindre facilement à son compagnon dans cet espace-là.

 Si vous êtes constamment ou du moins généralement présent dans votre relation, ceci constituera le plus grand des défis pour votre partenaire. Il ne pourra pas tolérer votre présence très longtemps tout en restant dans l’inconscience. S’il est prêt, il empruntera la porte que vous venez de lui entrebâiller et se joindra à vous dans cet état de présence. S’il ne l’est pas, vous vous séparerez comme le font l’eau et l’huile. La lumière est trop douloureuse pour quiconque veut rester dans l’obscurité.

Eckhart Tolle/Le pouvoir du moment présent et son guide/Chapitre huit : Les relations éclairées/Les relations en tant que pratique spirituelle

 

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une thérapie du deuil

Posté par othoharmonie le 17 mai 2013

EMDR : une thérapie du deuil

Perdre un être cher… La douleur d’une vie pour de nombreuses personnes. Comment apaiser sa peine et revivre normalement ? Et s’il était possible de communiquer avec l’esprit d’un défunt ? La méthode Allan Botkin, basée sur l’EMDR, change notre façon d’envisager la thérapie du deuil.

 

une thérapie du deuil dans Auto-Guérison 32Alors que l’on croyait la possibilité de communiquer avec des défunts uniquement réservée à certains médiums, la méthode américaine Allan Botkin, basée sur l’EMDR, permettrait à des patients ayant des difficultés à faire le deuil d’un proche, ou témoins de morts violentes, d’entrer en contact avec un défunt. Une méthode « révolutionnaire »« aux bénéfices immédiats », selon le Dr Olivier Chambon, médecin, psychiatre et psychothérapeute, et qui change la façon d’envisager la thérapie du deuil.

Psychologue américain, le Dr Allan Botkin s’occupe de vétérans de guerre souffrant de stress post-traumatique. En 1990, il découvre l’EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing : Désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires), une technique psychothérapeutique utilisée pour le traitement des traumatismes psychiques. Le patient se concentre sur un souvenir douloureux, une émotion telle que la tristesse, la colère, ou encore le sentiment de culpabilité. Il suit ensuite des yeux les doigts du thérapeute sans bouger la tête et réalise ainsi des mouvements oculaires rapides permettant « un retraitement inconscient des données par le cerveau. Les patients adoptent spontanément un point de vue nouveau sur leur traumatisme, beaucoup plus positif. L’EMDR possède la particularité de mettre le patient en état modifié de conscience, afin d’ouvrir les canaux de perception sur d’autres niveaux de réalités » explique le Dr Olivier Chambon, formé par le regretté Dr David Servan-Schreiber qui a popularisé cette méthode américaine en France.

Le Dr Allan Botkin se met donc à pratiquer l’EMDR et constate des résultats spectaculaires. Puis il se l’approprie et, en 1995, lors d’une séance, un de ses patients lui raconte avoir eu un contact avec un défunt. Il affirme l’avoir vu, entendu lui parler, et avoir même senti sa présence physique autour de lui. Des confidences qui le laissent d’abord sceptique. Mais d’autres patients lui font part de récits similaires. Par ailleurs, ces contacts semblent leur apporter beaucoup d’apaisement et de réconfort. Le Dr Allan Botkin poursuit ses expériences pendant plusieurs années et met au point sa méthode, qu’il baptise IADC (Induced After-Death Communication : Communication induite avec les défunts). Il la teste sur plus de 3000 patients. Les résultats sont impressionnants : la très grande majorité d’entre eux disent avoir eu un contact avec un défunt. Il l’enseigne à une trentaine d’internes en milieu hospitalier qui obtiennent le même type de résultats.

La communication induite avec les défunts

Durant ses années d’expérimentations, le Dr Allan Botkin constate que ses patients ressentent généralement trois types d’émotions : la colère, la culpabilité et la honte. Il s’aperçoit que derrière se cache souvent une profonde tristesse et que le travail sur cette émotion en particulier agit également sur les autres. Il demande donc à ses patients de se focaliser principalement sur la tristesse. 

Une fois que celle-ci a diminué, et après le balayage oculaire, le thérapeute demande au patient de garder les yeux fermés. Il a ainsi plus de facilité à se mettre en état de réceptivité sans attente particulière afin d’être ouvert à toute information pouvant provenir du défunt. D’après le Dr Olivier Chambon, le contact s’établit dans environ deux tiers des cas. Le patient reçoit alors des informations « sous forme de contact physique, de voix entendues télépathiquement et de visions qui tout à coup se sont imposées à lui », peut-on lire dans son livre. Pour lui qui a expérimenté cette technique sur lui-même avec l’aide d’un autre thérapeute et l’emploie sur des patients ayant des difficultés à se remettre d’un deuil, il ne s’agit « ni d’hallucination, ni de rêve, ni de mécanisme de défense, ni même de désir inconscient. ». Les messages des défunts peuvent d’ailleurs aller à l’encontre de ce qu’attend le patient. Il peut s’agir d’informations extrêmement précises concernant par exemple une assurance vie, rangée dans tel tiroir dont le vivant ignorait l’existence, ou d’avertissement sur une situation à venir comme un problème de santé. Le Dr Olivier Chambon aime à dire que les défunts sont « de bons psychothérapeutes ». La plupart du temps, « ils précisent qu’ils vont bien, qu’ils sont pleins d’amour pour les vivants, qu’ils leur ont pardonné ceci ou cela ou qu’ils demandent pardon pour certaines choses faites de leur vivant et qu’ils regrettent maintenant. » C’est ce qu’a vécu Priscilla il y a tout juste un an. Agée de 28 ans au moment des faits, elle consulte le Dr Olivier Chambon pour des crises d’angoisse. Au cours d’une séance d’EMDR, elle travaille sur une problématique de sentiment d’abandon. Son angoisse diminue et soudainement, l’image de sa grand-mère maternelle lui apparaît. Priscilla la voit seule, dans sa chambre, couchée dans la position du fœtus. C’est ainsi qu’elle a été découverte 5 ans plus tôt après son décès. Priscilla s’adresse à elle et s’excuse au nom de sa famille de ne pas avoir été plus présents de son vivant, pensant que cela aurait pu changer les choses. A ce moment précis, elle réalise qu’elle porte en elle une culpabilité dont elle ne soupçonnait aucunement l’existence. Elle sent ensuite comme une présence sur sa droite et entend mentalement les propos de sa grand-mère : « Je ne vous en veux pas. Mon heure était arrivée et de toute façon, même si vous aviez été là, cela n’aurait rien changé. »Priscilla voit ensuite l’image de son grand-père, décédé 15 ans plus tôt. Sa grand-mère se tourne vers lui et s’adresse de nouveau à sa petite-fille : « Aujourd’hui je suis avec mon papy (c’est de cette manière qu’elle appelait son mari) là où je suis. Même si j’en avais la possibilité, pour rien au monde je ne voudrais revenir. Dis à tes frères et à ta mère que je les aime et que je ne leur en veux pas. » Priscilla a du mal à réaliser ce qu’il vient de se produire. Pourtant, au plus profond d’elle-même, elle sait qu’il ne s’agit pas d’un rêve. Et même si ce contact est plutôt furtif, ces paroles réconfortantes lui apportent beaucoup. Elle se sent immédiatement libérée de la culpabilité dont elle n’avait pas conscience. Elle observe par ailleurs que le sentiment d’abandon qu’elle ressentait très fortement dès qu’elle se retrouvait seule la quitte progressivement. « Depuis cette séance, j’ai le sentiment d’avoir grandi, de mieux me connaître » analyse-t-elle.

Une transformation instantanée pour le patient

La technique de l’IADC est une « super thérapie du deuil » estime le Dr Olivier Chambon. Dans son livre, il observe que les spécialistes de la thérapie du deuil reconnaissent que les anciennes recommandations consistant à oublier le défunt, ne pas conserver d’objets lui appartenant, et à ne pas entretenir de conversations intérieures « étaient inadaptées et potentiellement dommageables. Au contraire, il faut entretenir la relation qui a finalement changé de niveau : cette relation est devenue plus subtile, mais les liens d’amour peuvent être cultivés plus profondément. » Ainsi, selon lui, la méthode Allan Botkin « accélère incroyablement le processus de deuil ». Les personnes qui vivent cette expérience « en retirent du réconfort, de la compréhension, et une bien meilleure acceptation de la mort. La relation est maintenue, elle n’est pas finie, elle est juste d’une autre nature, elle reste dynamique, interactive, et les gens s’aperçoivent que leurs défunts n’ont pas souffert. » Leur rapport à la mort change: « guand ils ont un contact avec un défunt, les patients savent qu’ils le retrouveront. Ils ont moins peur de la mort et de leur propre mort » confie le Dr Olivier Chambon.

Une expérience « transpersonnelle » bouleversante pour les patients comme pour les thérapeutes. La méthode Allan Botkin permet d’ajouter de nouveaux témoignages de contacts avec des défunts aux milliers d’autres déjà recueillis à travers le monde lors d’autres phénomènes péri-mortels tels que les EMI (Expériences de mort imminente). La vie après la vie, une hypothèse pour certains, une réalité pour de plus en plus de thérapeutes et de personnes.

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Les Œuvres de vie selon Maître Eckhart et Abhinavagupta

Posté par othoharmonie le 17 mai 2013

  • de Colette Poggi


  • Les Œuvres de vie selon Maître Eckhart et Abhinavagupta  dans APPRENDS-MOI oeuvres-de-vie

  • Extrait du titre

    S’il est une raison essentielle qui justifie un rapprochement entre Maître Eckhart (XIVe siècle) et Abhinavagupta (Xe-XIe siècles), tous deux penseurs médiévaux, l’un occidental chrétien, l’autre cachemirien shivaïte, c’est qu’ils placèrent d’emblée, au centre de leur existence comme de leur œuvre, l’accès immédiat à la Réalité d’ordinaire voilée, grâce à une catharsis de la conscience. Pleinement engagés dans la vie spirituelle, riches d’une vaste érudition rassemblant tous les savoirs alors accessibles, ils s’attachèrent à la transmission de cette connaissance souvent indicible certes, mais passée au tamis de leur propre expérience, en approfondissant avec originalité le champ philosophique de leurs doctrines respectives. 
    Un autre trait original de leur métaphysique réunit Maître Eckhart et Abhinavagupta : il n’y a pas, selon eux, de place pour l’inertie ; le principe suprême lui-même est un pur dynamisme, acte créateur, vie surabondante qui, dans la langue imagée d’Eckhart, “ verdoie et fleurit ”, jaillit comme une fontaine, fulgure et scintille ; pour Abhinavagupta, vibration, élan, danse cosmique, émerveillement de sa propre essence. Par delà leur mode respectif d’expression ces deux mystiques de traditions différentes traitent avec une profondeur et une vigueur communes, et souvent étonnantes, de l’Art divin : génération du Verbe ou acte de conscience du point de vue de l’Absolu, création cosmique pour ce qui est de la manifestation.

    Comme leurs témoignages le font explicitement savoir, leurs œuvres sont issues d’une nécessité intérieure d’écrire afin d’alléger l’humanité du fardeau de l’ignorance car “ nombreux sont les êtres ordinaires qui n’ont pas conscience de leur essence innée ! ” constate Abhinavagupta dans le traité de la Reconnaissance1. 
    Avant de donner un bref aperçu sur l’ensemble de cette étude, précisons que son thème essentiel porte sur l’Art — voie sans voie, par delà toute pratique extérieure —, tel que le conçoivent Maître Eckhart et Abhinavagupta, c’est-à-dire la “ connaissance de Dieu ” ou la “ Conscience suprême ”, ainsi que les modes variés (arts) de réalisation.


    Après une présentation des deux maîtres (première partie), de leur vie, leurs œuvres et du contexte dans lequel ils évoluèrent, une approche de leur doctrine (deuxième partie) montrera à quel point elles participent du même dynamisme. Le principe ultime est “ Acte de conscience ”, “ Parole suprême ” ou “ Verbe divin ” qui est par nature conscience de soi et expression ; il est évoqué par Eckhart comme un débordement, un bouillonnement de plénitude et, par Abhinavagupta, sous forme d’une vibration cosmique (spanda) qui donne vie à tout ce qui est.


    Au cours de la troisième partie nous aborderons le “ Jeu divin ”, charnière entre l’Absolu et la manifestation (issue du désir divin d’être connu), source de la temporalité et de la dualité. Quant à l’être humain, il éprouve en sa conscience cette diversification engendrée par la Måyå (illusion cosmique2). Il est néanmoins en son pouvoir de refluer vers la source : instant d’éternité, hors du temps.

    Toujours dans cette troisième partie nous verrons comment ce reflux est rendu possible, quelle est la nature du lien qui limite la conscience et ce qui peut le délier, enseignement ou grâce. Dans cette perspective “ les voies de retour ” correspondent aux énergies fondamentales de l’homme : élan du désir-volonté, connaissance, activité. Les recoupements entre les pensées d’Eckhart et d’Abhinavagupta ne manquent pas ici non plus : il existe d’autre part une quatrième voie, ou plutôt une non-voie, chère aux deux mystiques, supérieure aux autres car elle se passe de moyens. Il s’agit de la voie de la Reconnaissance, selon la lignée d’Abhinavagupta et de ses maîtres Somånanda et Utpaladeva : nous nous appuierons sur la traduction de son œuvre philosophique maîtresse l’¡ßvarapratyabhijñåvimarßinî (IPV), qui fait d’Abhina- vagupta l’un des plus grands philosophes indiens. Bien que ce texte soit ardu dans la forme et le fond, ce fut un vrai bonheur d’entrer ainsi en contact directement, par delà les siècles, avec un écrit d’Abhinavagupta, car la pensée la plus rigoureuse s’y trouve animée de ferveur.

    Après avoir exposé les bases métaphysiques communes au maître du Cachemire et à celui de Thuringe, nous amorcerons la quatrième partie traitant de l’Art en tant que voie intérieure.
    Celle-ci est plus vaste que les autres car elle englobe des thèmes que l’on ne peut scinder ; trois thèmes essentiels la constituent :


    — le premier tente de cerner d’une part le concept d’“ Art de Dieu ” : Genèse, Cosmogonie donnant lieu à la manifestation, puis au retour en la source ; d’autre part celui de Dieu en tant qu’artifex : artiste ou artisan suprême du microcosme et du macrocosme. Liberté, beauté, imagination, création et félicité le caractérisent.


    — le deuxième thème de cette partie consacrée à l’Art s’intitule “ Rite et Art ” car il envisage l’art en tant que voie ; en effet, selon les traditions anciennes, tout acte créateur est en quelque sorte réitération de l’Acte divin de la création. Les aspects particuliers que constituent le rite (forme d’art sacré), le symbole (essence de l’art), et par ailleurs les métaphores du Miroir et de l’Image, permettent de suggérer l’unité foncière de la manifestation, ainsi que son lien au Principe universel qui, telle la lumière unique, fait apparaître en elle-même tout phénomène.


    Abhinavagupta composa un ouvrage particulièrement intéressant sur l’expérience esthétique, l’Abhinavabhåratî, où il développa les notions de rasa (saveur), dhvani (suggestion, résonance intérieure de la beauté perçue), et de mokßa (délivrance) désignant la vocation essentielle de l’expérience esthétique. Celles-ci seront évoquées tour à tour au cours de la présentation de quelques formes d’art (architecture, sculpture, peinture, danse, poésie, musique) grâce auxquelles l’homme depuis toujours a cherché à s’unir au Tout.


    De même dans cette étude traitant du Rite et de l’Art, après avoir évoqué ces aspects particuliers, il reste à envisager le cœur du problème si l’on peut dire : la vie du quotidien, trop souvent morcelée, privée de poésie, car dénuée de sa capacité d’élan, d’émerveillement ! Eckhart comme Abhinavagupta ont nettement insisté sur ce point : plénitude et conscience parfaite ne sont pas réservées à des moments ou à des activités privilégiées de l’existence. C’est pourquoi l’un et l’autre préconisent de “ trouver Dieu ” en chaque instant, selon l’expression d’Eckhart. Le Shivaïsme du Cachemire non-dualiste propose divers chemins pour y parvenir, parmi lesquels cinq “ moyens ” envisagés comme autant d’accès vers le Centre. La vie apparaît ainsi comme l’art le plus complet car il ne laisse de côté aucune sphère de l’existence.
    — Le dernier thème de la partie sur l’Art abordera les ressorts profonds communs à l’expérience esthétique et à l’expérience mystique : ce sont la contemplation, l’intuition illuminatrice, l’état de spontanéité et l’apaisement. Vécus en pleine conscience ces quatre aspects imprègnent peu à peu la vie quotidienne, reliant l’être à son principe, le Soi.

    La cinquième et dernière partie concerne les “ Œuvres de Vie ” proprement dites, émises spontanément d’un cœur unifié ; elle s’articule autour de trois enquêtes : la première, relative à l’attitude d’égalisation entre extériorité et intériorité (kramamudrå), montre comment il est possible de transfigurer le quotidien par cette pratique qui met en œuvre les ressorts subtils de la conscience, aussi souvent que l’élan et l’attention permettent de s’y raccorder.


    Dans la suivante, les rapports entre action et contemplation sont approfondis. Eckhart et Abhinavagupta, nous le verrons, accordent tous deux la prééminence à la vie active illuminée par une vision pénétrante de la Réalité et la paix intérieure. Ainsi peu à peu les deux aspects action-contemplation s’unifient et culminent dans l’attitude dite d’harmonie parfaite : la kramasamatå.


    La dernière partie du chapitre est consacré aux “ œuvres de vie ” ; dans le creuset de la kramasamatå, dans le fond de l’âme divinisée jaillissent spontanément les œuvres vraiment vivantes ; telle était la préoccupation fondamentale de Maître Eckhart qui aimait à se dire non seulement un Lesemeister (maître de lecture, d’érudition), mais surtout un Lebemeister (maître de vie). Renouvellement incessant, félicité, liberté et amour universel rayonnent du jîvan-mukta, le libéré-vivant, tel que le décrit Abhinavagupta. Il est certes aussi difficile de parler de l’Absolu que du saint qui s’y est identifié, en raison de l’infinie subtilité de cet état qui n’est “ ni ceci ni cela ” ; c’est pourquoi de tous temps plus d’une tradition ancienne eut recours aux symboles de l’Arbre de Vie, du Cœur, et de la Roue tournoyante autour de son moyeu immuable.


    “ Ayant acquis une parfaite conscience du Soi, de ses énergies de connaissance et d’action, les ayant reconnues identiques à son propre soi, ainsi cet être jouit des puissances d’action et de connaissance à son gré ”, déclare Abhinavagupta dans sa glose aux versets sur la Reconnaissance du Seigneur (IPV IV 15). Il œuvre au cœur d’un épanouissement de toutes ses énergies, réalisant à la fois plénitude de l’existence et vacuité des phénomènes dans une vision spontanée, sachant bien que :
    “ La rivière de la vie, impétueuse et profonde
    Les deux rives glissantes, et le milieu insondable…  

    Tout s’harmonise alors dans la simplicité et le merveilleux, comme l’exprime si simplement ce poème Tch’an :


    “ Puisez de l’eau et la lune

    Est entre vos mains
    Saisissez des fleurs et votre 
    Vêtement en sera parfumé ”4.

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« Moi, Moi, Moi. » L’araignée dans sa toile

Posté par othoharmonie le 17 mai 2013

 La loi de la correspondance et la loi de la projection

par : Gabriele Würzburg  

 

En cette époque où les valeurs de l’ego dominent, ce livre est plus actuel que jamais. Il décrit sous un angle totalement inédit les processus spirituels à l’oeuvre dans le cadre des relations humaines quand celles-ci ont uniquement pour but la satisfaction de l’ego.

Quand c’est le cas, l’homme vit exclusivement dans la loi des semailles et des récoltes, ce qui est extrêmement dangereux pour lui-même, mais également et surtout, pour ses semblables. Tant que l’homme pense, parle et agit de manière négative, il évolue dans une toile tissée d’égoïsme, de jalousie, de cruauté, de dureté de coeur et de bien d’autres comportements erronés. C’est ainsi que ce livre dévoile comment les hommes s’influencent et se manipulent mutuellement, montrant dans leur réalité crue ce que sont les rapports humains : un vaste commerce d’énergie négative où presque tous les coups sont permis. Dans cet ouvrage, Gabriele, que Dieu appelle sa prophétesse et messagère pour notre époque, puise à la source de sa conscience ouverte pour décrire ces phénomènes avec une profondeur inouïe, mais aussi et surtout pour nous indiquer comment nous en libérer, à la lumière des enseignements du Christ. 

  Voici quelques-uns des thèmes abordés dans ce livre : 
Influencer et manipuler son prochain • Le caractère, le comportement et la forme du corps physique résultent des sentiments, sensations, pensées, paroles et actes de l’homme • Tout est loi : Loi divine ou loi de l’ego • Sous l’effet du péché s’est développée l’auto-perception : l’homme ne voit et n’entend que lui-même • Dieu est-Il juste ? • Il n’y a pas de hasard • L’infini dans son entier est vie et évolution • Les événements spirituels à l’origine du « Big-bang » • … 

  Extrait de la préface : 
L’existence terrestre dans la loi de cause à effet est étrange et dangereuse pour l’âme et pour l’homme. La toile des causes et des effets est un labyrinthe dont on ne trouve que difficilement la sortie. 

Les personnes engagées sur le chemin de la vérité font chaque jour davantage l’expérience que le seul fait d’avoir des connaissances spirituelles ne suffit pas pour traverser la jungle de l’ego humain et encore moins pour défricher cette jungle en totalité. Pour éclairer tous les recoins tellement dispolarisés de notre humain, pour y apporter de la lumière et y créer de l’ordre, il faut s’efforcer sans cesse d’appliquer le contenu de ces connaissances spirituelles. 

C’est pourquoi il est bon d’éclairer et d’observer les choses à partir de différents points de vue. En effet, notre existence terrestre consiste dans le monde des programmes entrelacés qui sont les nôtres, dans le réseau de communications des erreurs, des déceptions et des liens, dans lequel chacun de nous s’est laissé prendre en de multiples occasions. Aujourd’hui c’est tel aspect qui nous aide à nous reconnaître, demain ce sera tel autre. _ Aujourd’hui, par exemple, quelque chose devient soudainement clair pour nous à la lecture d’un passage sur le « caractère », sur le fait de toujours vouloir « mieux savoir » que les autres ou sur le « plasma ». Demain, par contre, notre conscience sera touchée par une explication en rapport avec l’effet des pensées vagabondes et c’est ainsi que les processus de la connaissance de soi-même se mettent en mouvement, ce qui nous donne la possibilité de déposer parties après parties des aspects de ce qui nous charge. 

L’Esprit de Dieu qui se révèle dans la Vie Universelle apporte sans cesse, et avec une patience infinie, les Lois de l’amour de Dieu et du prochain, pour que nous puissions nous libérer de l’étroitesse et des liens, de tout ce qui nous oppresse et nous asservit…

Auteur : Gabriele Würzburg (

  Informations : www.la-parole.com 
  Contact : info@la-parole.com

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L’Initiation et l’évolution

Posté par othoharmonie le 13 mai 2013

L'Initiation et l'évolution dans Chemin spirituel 14

RO. Et quels sont ces cinq étapes ?

BC. La première est la naissance du principe christique. Tout est retracé dans l’Evangile, la vie de Jésus symbolisant le sentier de l’initiation. Bien sûr, tout cela est beaucoup plus ancien que la chrétienté, presque aussi vieux que l’humanité elle-même, et cela fut présenté aux hommes à maintes et maintes reprises, de différentes manières, dans le passé. Dans l’Evangile, la naissance de Jésus à Bethléem, est le symbole de la première initiation, qui est appelée la  » Naissance à Bethléem « , la naissance du Christ dans la caverne du cœur. Elle amène l’individu pour la première fois au sein de la Hiérarchie spirituelle, et indique la maîtrise du corps physique.

La deuxième initiation est appelée le  » Baptême « , et elle est symbolisée par le baptême de Jésus par Jean-Baptiste dans le Jourdain. Elle indique le contrôle du corps astral ou émotionnel.

La troisième initiation est appelée la  » Transfiguration « , et elle est symbolisée par la transfiguration de Jésus sur le Mont des Oliviers. C’est, pour l’initié, le point culminant du processus qui permet l’intégration des trois véhicules inférieurs : physique, astral et mental. Du point de vue des Maîtres, c’est en fait la première initiation, parce que c’est la première initiation de l’âme.

Puis, vous vous acheminez vers la quatrième initiation, qui est symbolisée par la mort de Jésus sur la croix. Elle est appelée la  » Crucifixion « . En Orient, on l’appelle la  » Grande Renonciation « , parce que l’on y renonce à tout, même à la vie si nécessaire, pour manifester l’élévation de l’initié au-dessus de la matière dans le rayonnement de la lumière de l’esprit. Jésus a passé cette initiation sur la croix pour nous en faire la démonstration, pour montrer, concrètement, aux yeux du monde ce qu’est cette grande expérience de renonciation.

Vient ensuite la  » Résurrection « . La résurrection du corps de Jésus, le troisième jour, symbolise cette initiation, lors de laquelle l’individu, devenu un Maître, est libéré pour toujours de l’attrait de la matière. Le Maître vit dans un corps totalement ressuscité, un corps de lumière. Chaque initiation confère à l’initié de plus en plus d’énergie de particules subatomiques. Au moment où il passe la quatrième initiation, les trois-quarts de son corps sont littéralement constitués de lumière. Ce corps paraît parfaitement normal, identique à celui de n’importe qui, mais vu de manière occulte, ésotérique, il rayonne de lumière ; un quart seulement de la structure atomique de ce corps est véritablement atomique, le reste est subatomique. Ce processus s’achève à la cinquième initiation. Le Maître est alors libéré de la planète physique. Il ne lui est plus nécessaire de s’incarner. Il possède maintenant un corps totalement transfiguré et ressuscité dans le sens ésotérique du terme. En fait, de nombreux Maîtres restent sur la planète pour veiller sur notre évolution, mais beaucoup s’en vont sur des planètes plus évoluées, ou quittent même tout à fait notre système solaire.

RO. Quelles sont les conditions préalables pour entamer le processus d’initiation ?

BC. L’âme voit que la personne commence à refléter ses qualités sur le plan physique, le plan émotionnel/astral et le plan mental, qu’elle devient plus altruiste et que ses actions ne sont plus totalement gouvernées par des désirs personnels. La personnalité s’efface au profit de l’âme, et cherche à mener à bien les desseins de celle-ci, même si elle ne sait pas qu’il s’agit de l’âme, et si peut-être elle n’en a guère entendu parler, mais parce que l’âme l’imprègne suffisamment pour pouvoir se manifester à travers elle. On voit alors apparaître une personne de bien qui fait preuve d’altruisme et s’efforce d’agir pour améliorer la condition humaine ; quelqu’un qui accomplira une forme ou une autre de service, et accordera aux autres, à l’évolution et à la société dans son ensemble, plus d’importance qu’à lui-même.

RO. Combien de temps faut-il pour parvenir à ce degré de maîtrise, une fois que l’on a entamé le processus ?

BC. Il faut des centaines de milliers d’incarnations avant de parvenir à la première initiation. Il s’écoule ensuite, de deux à quinze ou dix-huit vies entre la première et la deuxième, la moyenne étant de six ou sept. Après la deuxième initiation, que l’on dit être la plus difficile et qui montre la maîtrise de la nature astrale ou émotionnelle, si puissante chez l’homme, les choses s’accélèrent, et l’on peut passer la troisième initiation dans la même vie ou dans la vie suivante, et la quatrième dans la même vie que la troisième ou dans celle d’après, et la cinquième encore dans l’existence qui suit, si telle est notre destinée. Il existe certaines conditions de caractère trop abstrus pour qu’il soit possible d’en faire état ici, mais, d’une manière générale, le processus évolutif s’achève rapidement en quelques incarnations.

RO. Et pour finir, on devient, comme vous dites, maître de soi-même, maître de sa vie.

BC. Oui. On possède alors la conscience sur tous les plans, et la maîtrise sur tous les plans, qui sont d’ailleurs deux notions différentes. Nous avons tous la conscience du plan physique, qui est une réalité pour nous ; mais peu ont la maîtrise de ce plan. Sur les cinq milliards et demi d’individus en incarnation actuellement, environ 850 000 ont passé la première initiation et ainsi manifestent cette maîtrise.

RO. Ce n’est pas beaucoup.

BC. Non, pas tellement. Environ 240 000 individus en incarnation ont passé la deuxième initiation, environ 2 300 à 2 400 la troisième et environ 450 seulement la quatrième.

RO. Combien ont passé la cinquième ?

BC. Il y a 63 Maîtres restés liés à l’évolution humaine. Mais de nombreux autres Maîtres travaillent à l’évolution des règnes subhumains, les règnes animal, végétal et minéral. Et beaucoup d’autres également s’occupent de l’évolution des anges ou dévas, dont il existe de nombreuses catégories.

RO. Quelle relation existe-t-il entre les Maîtres et nous-mêmes ?

BC. Ce sont nos frères aînés. Ils nous ont devancés et, ayant achevé le processus évolutif dans lequel nous sommes toujours engagés, ils ont pris la responsabilité de veiller sur notre évolution. Ils connaissent le chemin, les dangers, les opportunités. Ils savent quelle est la meilleure marche à suivre, parce qu’il existe de nombreuses voies sans issue, de nombreux pièges sur le sentier, et ils enseignent la voie juste, celle de l’altruisme, de l’oubli de soi. C’est la voie difficile. Elle est lente parce que nous sommes tous tellement égoïstes.

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L’évolution

Posté par othoharmonie le 13 mai 2013

L'évolution dans Chemin spirituel l

RO. La notion d’évolution, pour la plupart d’entre nous, est associée à Darwin et à la transformation physique. En termes ésotériques, considérez-vous l’évolution dans un contexte plus vaste ?

BC. Je parle de l’évolution de la conscience. Il nous semble évident que Darwin a montré l’évolution de l’aspect forme de la nature, le corps physique du règne animal, duquel provient le règne humain. Mais, l’être humain n’est pas seulement un animal : il est également le point de jonction entre l’esprit et la matière. L’âme humaine individualisée s’est incarnée, il y a 18,5 millions d’années, selon les enseignements, pour permettre à un aspect plus élevé de se manifester.

Chaque règne est issu du règne précédent. Il y a d’abord le règne minéral, le plus dense. Du règne minéral est venu le règne végétal. Du règne végétal, le règne animal. Du règne animal, le règne humain ; nous devons notre corps au règne animal. Du règne humain est issu un autre règne (dont nous ne connaissons même pas l’existence, à moins d’être ésotériste) et qui est le règne spirituel, composé des Maîtres et des initiés de ce règne, le Royaume de Dieu ou Royaume des Ames – vous pouvez utiliser l’un ou l’autre de ces termes. Le règne spirituel, ou règne des Ames, est celui qui se situe juste au-dessus du règne humain ; on y pénètre en passant par le règne humain. En évoluant jusqu’au point où l’âme commence réellement à se manifester à travers sa réflexion, l’homme ou la femme en incarnation sur le plan physique, on entre dans le royaume spirituel par la porte de l’initiation. Il existe cinq  » portes  » à franchir pour devenir un Maître. Tous les Maîtres ont passé ces cinq initiations.

RO. Ce sont des étapes que nous devons tous franchir ?

BC. Tout le monde finira par atteindre cette perfection.

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