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Suivez votre guide intérieur

Posté par othoharmonie le 8 juin 2013

Extrait de l’article de Paule Daudier paru dans la revue Lumière vol. 8, no. 1, mars 1999, Québec, Canada

L’intuition comme outil de guérison

Suivez votre guide intérieur  dans Chemin spirituel belle-journee Pour Sylvain Bélanger, auteur principal de l’Écoute Imaginaire, « on n’a pas besoin d’être un médium et un clairvoyant , d’avoir un don ou le troisième oeil ouvert, ou de faire de la spiritualité ou de l’ésotérisme pour pouvoir lire une autre personne. »

Sylvain Bélanger a suivi durant plusieurs années une formation avec des chamans et des guérisseurs de divers pays. Même s’il a été considéré, par la suite, comme un clairvoyant et un médium, il a voulu se dissocier de ces techniques, un peu trop souvent charlatanesque, pour développer sa propre méthode: « Je crois beaucoup à l’intuition, un outil extraordinaire, nous a-t-il dit, et j’ai voulu, avec prétention- je n’ai pas peur de le dire- développer une formation et une thérapeutique originale pour les gens qui seraient prêt à utiliser l’intuition d’une façon professionnelle. »

L’Écoute Imaginaire est une méthode d’«écoute» qui consiste à utiliser son imaginaire pour entrer en relation avec soi-même ou avec la personne aidée. Grâce à cette technique, on capte des images, des voix ou des sensations que l’on apprendra à décoder.

Partant des traditions spirituelles et ésotériques qui enseignent qu’un champ entoure l’être humain, Sylvain Bélanger, grâce à ces observations effectuées pendant plusieurs années de pratique thérapeutique, distingue dans ce champ trois aspects interagissant l’un sur l’autre: la qualité énergétique, la qualité psychique et la qualité transpersonnelle, aspects q’il touche tout au long de son enseignement.

 La qualité énergétique 

« La qualité énergétique est l’ensemble du rayonnement cellulaire », explique-t-il. Lorsqu’un déséquilibre se produit, la communication cellulaire est perturbée, ce qui par Écoute Imaginaire, s’observe par une modification de la qualité du rayonnement de la région concernée. Lorsqu’on a identifié un déséquilibre dans un des différents systèmes ou organes du corps de la personne aidée, il faut apprendre à dialoguer avec l’organe afin de voir de quelle façon la psyché est affectée ou affecte ce problème. 

La qualité psychique: 

Lorsqu’on est en harmonie avec notre dimension psychique, notre énergie circule bien et les influx nerveux montent au cerveau sans difficultés. 

« Si par contre, souligne Sylvain Bélanger, une émotion de se peur se manifeste à nous, par exemple, et que notre éducation nous a fait comprendre qu’il ne fallait pas avoir peur, inconsciemment nous allons nous en dissocier. Lorsqu’un thérapeute en Écoute Imaginaire se met en relation avec cette énergie psychique, il constate qu’elle est dotée d’une personnalité qui lui est propre, et qu’elle est capable d’exprimer ce qu’elle ressent. » Le thérapeute en l’interrogeant, peut obtenir beaucoup d’information sur la dynamique de la personne aidée et en informer celle-ci. Ces énergies psychiques peuvent provenir de sources diverses, notamment des différents stades de la vie (vie foetale, naissance, adolescence, vie adulte, etc.). Le thérapeute pourra également voir le potentiel non actualisé d’une personne et pourra l’informer de ce qu’elle peut faire pour s’adapter, s’harmoniser elle-même à ses besoins et à ses ressources. 

La qualité transpersonnelle:

L’apprivoisement de la qualité énergétique et psychique permet de se mettre en relation avec un principe intelligent et créateur qui se manifeste le plus souvent sous la forme de personnages dotés de sagesse. Ces personnages n’appartiennent pas à la vie inconsciente de la personne aidée, et c’est pourquoi Sylvain Bélanger les identifie comme des énergies transpersonnelles. 

« N’ayant aucune croyance associée à cette dimension et étant très humble, parce que je ne peux donner de réponse, nous a dit Sylvain Bélanger, je la reconnais comme étant une manifestation archétypale d’un principe universel et intelligent, interagissant de façon continue avec les êtres humains. Le thérapeute pourra se syntoniser à cette source intelligente afin d’aider une personne à élargir sa conscience , à pouvoir s’ouvrir davantage à un potentiel qui est en elle. La personne aidée pourra ainsi entrer en contact avec des ressources spirituelles ou créatrices qu’elle ne ressentait pas auparavant, qui vont pouvoir l’aider, entre autre avenues, à entreprendre une démarche plus profonde dans sa vie. » 

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une connexion directe avec l’invisible

Posté par othoharmonie le 8 juin 2013

Jane Roberts et Seth : Par Michka

 

Pendant plus de vingt ans, une femme écrivain a reçu d’une entité « ne se focalisant plus sur le monde physique » des messages qui forment un extraordinaire outil pour bien vivre.

une connexion directe avec l’invisible dans Astrologie et Esotérisme bougie-et-Jane Roberts est née dans l’Etat de New-York en 1929. Depuis son plus jeune âge, elle écrit des poèmes car, quand elle écrit de la poésie, elle a l’impression que « l’univers lui parle en direct ». En 1963, elle est mariée depuis 9 ans, son mari est peintre, elle a déjà publié plusieurs livres, lorsqu’elle fait l’expérience de rêves prémonitoires. Pour elle qui est cartésienne et sceptique, cette expérience est extrêmement déroutante. Son mari lui suggère d’écrire un livre sur la perception extrasensorielle, pour étudier la question. 

  Pour commencer, le couple emprunte, sans y croire, une planchette oui-ja. C’est une planchette sur laquelle se trouve un curseur que l’on tient à la main. On pose une question et le curseur semble parfois s’animer, pointant vers des lettres, ce qui permet d’épeler des mots. À la grande surprise du couple, la planchette livre des réponses cohérentes. Pire, les mots se forment dans la tête de Jane plus vite que le pointeur ne les épelle. Très vite, la réponse aux questions posées arrive, par la bouche de Jane, en paragraphes entiers, que Rob note scrupuleusement.

  Ainsi démarrent les premières sessions avec « l’essence de l’énergie d’une personnalité qui n’est plus focalisée sur le monde physique », et qui déclare s’appeler Seth. Seth ne nomme d’ailleurs jamais Jane et Rob par leurs prénoms usuels, mais, respectivement, Ruburt et Joseph – noms qui, selon lui, correspondent aux entités plus vastes dont sont issues leurs incarnations actuelles. Les propos de Seth, à la fois extraordinairement bienveillants et pleins d’humour, sont totalement pertinents sur le plan personnel, qu’il s’agisse des douleurs dans le dos de Rob ou de leurs rapports familiaux ; ils sont, enfin, d’une profondeur et d’une qualité qui emporte l’adhésion du couple qui, pourtant, ne croit pas – pas encore – à la survie de l’âme. Les sessions ont lieu deux soirs par semaine, dans le salon bien éclairé où se tient le fauteuil à bascule de Jane, faisant face à Rob. Quand elle parle pour Seth, Jane ôte ses lunettes ; ses yeux se font plus sombres, sa voix se fait plus masculine, avec un accent indéfinissable. 

  La bonté inhérente de l’espèce humaine 
La vie de Jane et de Rob devient vite inséparable du phénomène Seth. Cela suppose bien des transformations. Croire en la bonté inhérente de l’espèce humaine, en dépit des enseignements de Darwin et de la théorie de l’Évolution, selon laquelle seuls survivent les plus féroces (en réalité, dit Seth, le monde résulte d’une immense coopération, et l’univers conspire à la réalisation personnelle de tous). Cela suppose de croire en la bonté inhérente de l’individu, en dépit des enseignements de Freud, pour qui nos pulsions les plus profondes sont les plus destructrices. Pour Seth, la conscience précède la matière. Le monde a été rêvé avant de se matérialiser. Nous sommes sur Terre pour apprendre par l’expérience la façon dont nos pensées et nos croyances se matérialisent, pour apprendre à être des co-créateurs, pour faire, dans la joie et la compassion, l’expérience de notre individualité et augmenter, par là même, l’expérience de Tout-ce-qui-est. Loin de renier la chair, la spiritualité véritable comprend une saine appréciation des plaisirs charnels, propres au monde physique. La souffrance n’est pas bonne pour l’âme, sauf si elle enseigne à ne plus souffrir. Après plusieurs années de sessions privées, Seth se met à « écrire » des livres. Il les dicte mot à mot, sans la moindre hésitation, en spécifiant la ponctuation. Rob note scrupuleusement les paroles prononcées, ainsi que les circonstances extérieures – la date, l’heure, le chat qui saute sur les genoux de Jane, la vitesse à laquelle elle parle, le ton de sa voix, la cigarette qu’elle allume, le verre de vin qu’elle boit. Les livres de Seth – il en dictera huit – décrivent un univers multidimensionnel. Le monde physique en trois dimensions que nous connaissons n’est qu’un monde particulier dans un univers en création constante, dans lequel coexistent toutes sortes de mondes. Notre âme existait avant que nous naissions, elle existera après notre mort. Le temps et l’espace sont des illusions liées à notre système de perception, et nous existons simultanément dans différentes incarnations. Et, surtout, nous créons notre propre réalité. Nous la créons littéralement. Nos pensées, nos croyances, nos émotions forment la trame électromagnétique sur laquelle s’accroche la matière. Nous attirons ce sur quoi nous concentrons notre attention. 

  S’en remettre aux impulsions qui montent du moi profond 
Les années passent. La notoriété de Jane, de Rob et de Seth ne cesse de s’étendre. Les livres de Seth sont traduits en de multiples langues, vendus à des millions d’exemplaires dans le monde. Le couple vit simplement, à l’écart du monde, tout à son travail, répondant scrupuleusement à un volumineux courrier. Rob peint et rédige les notes qui accompagnent le matériau de Seth ; Jane continue à écrire ses propres livres, en plus de ceux dictés par Seth. Elle passe chaque jour de longues heures à son bureau, s’imposant des horaires d’écriture rigoureux. 

Or les déplacements de Jane sont de plus en plus limités par une forte raideur musculaire, qui donne lieu à de nombreuses communications de Seth. Convaincue qu’elle s’éparpillerait si elle ne s’imposait pas une discipline contraignante, Jane a pris l’habitude d’ignorer toute impulsion qui pourrait la distraire pendant ses heures de travail (aller se promener, jouer avec le chat, peindre une aquarelle, faire l’amour avec Rob). Seth affirme et réaffirme qu’elle doit avoir foi en son moi intérieur, qu’elle doit s’abandonner aux impulsions qui montent à sa conscience ; c’est ainsi qu’elle progressera le plus vite dans tous les domaines qui lui sont chers. 

Mais, au fil des ans, Jane a mis en place un garde fou tellement rigide qu’elle peine à s’en libérer. Son corps est de plus en plus raide, les mouvements de plus en plus difficiles. Ces « symptômes » – c’est le terme qu’emploie Seth, pour qui regrouper des symptômes sous une appellation médicale particulière ne fait que les renforcer, les figer dans un corps qui est en perpétuel changement – ces symptômes, donc, qui résultaient, à l’origine, d’un raidissement contre les tentations du monde, prennent une ampleur préoccupante. Jane les a sans doute entretenus, dans la mesure où ils constituaient une protection efficace contre un monde extérieur auquel elle ne souhaite pas être confrontée. Ils lui évitent, par exemple, de partir en tournée lors de la parution des livres, ou de se rendre sur les plateaux télévisés. Avec les années, cependant, les symptômes finissent par acquérir une telle inertie que Jane peine à s’en débarrasser. Son état s’améliore à chaque fois qu’elle cesse de s’inquiéter et reprend confiance, ils s’aggravent à chaque fois que l’anxiété prend le dessus. Elle finit par utiliser une chaise roulante pour se déplacer à l’intérieur de la maison. Finalement, Jane est hospitalisée. Les sessions continuent, lui apportant chaque fois une énergie renouvelée. Seth persiste à livrer un message plein d’espoir et de vie, tentant jusqu’à la fin de remettre Jane sur le chemin de la santé. Jane Roberts s’éteint en 1984, laissant derrière elle une œuvre unique. Jane Roberts, Rob Butts et Seth ont formé un inséparable trio. Selon Seth, ils ont en commun certaines données réincarnationnelles personnelles qui lui ont permis de parler par Jane (c’est pourquoi, précise-t-il, Jane est son unique interprète). Les livres de Seth (dont les manuscrits originaux sont légués à l’Université de Yale) présentent un système philosophique complexe, dépourvu de dogme et d’attaches culturelles – un univers d’une complexité inouïe, dont l’essentiel peut se résumer en peu de mots : vous êtes plus que votre corps physique, et vous créez votre propre réalité. 

  SETH, LE NOM 
Seth dit « je me donne le nom de Seth », sans autre explication. Il s’agit là, en tout cas d’un nom très ancien, puisque c’est aussi bien celui d’une divinité égyptienne que, selon la Genèse, celui du troisième enfant d’Adam et Ève (car, dit-Ève, « Dieu m’a donné un autre fils, pour remplacer Abel, qui a été tué par Caïn »). Dans la tradition biblique, Seth fait donc partie de la lignée des patriarches bibliques, d’Adam à Noé, père de l’humanité après le Déluge.

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L’Astrologie en 20 questions

Posté par othoharmonie le 8 juin 2013

 L'Astrologie en 20 questions dans Astrologie et Esotérisme astrologie

ISSU du site : http://www.boudry.net/

1. - QU’APPELLE-T-ON « UN THEME ASTROLOGIQUE » ?

L’état du ciel à la naissance. Avec l’heure, la date et le lieu de naissance, on établit ce qu’on appelle « une carte du ciel ». Les positions planétaires qui y figurent entraînent des déterminations astrologiques mais aussi des possibilités d’évolution. Seul un astrologue professionnel peut faire ce travail de synthèse. Ceci exclut naturellement les machines électroniques. De même, il serait inutile de demander à une machine à écrire d’imaginer « La Divine Comédie ». On peut seulement lui demander de la reproduire.

2. - QUELS SONT LES ELEMENTS DE CE THEME ASTROLOGIQUE ?

Les éléments de base sont au nombre de trois : 

A. Le Zodiaque, formé de douze signes :
Le Bélier, signe de feu entraînant à l’action, ver tout ce qui débute, vers un commencement.
Le Taureau, signe de terre déterminant la construction et tout ce qui accroît ou enrichit.
Les Gémeaux, signe d’air favorisant la multiplication ou la division, tout ce qui rattache un élément donné à un milieu voisin.
Le Cancer, signe d’eau créant fécondité et croissance secrète dans un milieu protégé, l’amnios ou la mer, tout ce qui est susceptible d’être fécondé et de naître.
Le Lion, signe de feu poussant à la force du moi, sa glorification, aux valeurs du jour ; à tout ce qui, à l’exemple du soleil, génère une lumière et un règne.
La Vierge, signe de terre rassemblant tout ce qu’on peut récolter, tout ce qui nécessite un travail préalable donnant lieu à une discrimination ou un examen.
La Balance, signe d’air déterminant la recherche d’un équilibre, le moi soumis à un moi social, le jugement. 
Le Scorpion, signe d’eau entraînant au secret, aux ressources profondes, à tout ce qui est susceptible de mourir et donc de renaître, à tout ce qui peut bénéficier d’une initiation, c’est-à-dire d’un recommencement.
Le Sagittaire, signe de feu montrant une direction un progrès, un enseignement, tout ce qui peut donner lieu à un dépassement sur le plan individuel ou collectif.
Le Capricorne, signe de terre régissant les force poussant à une élévation, un pouvoir ou une connaissance universels.
Le Verseau, signe d’air imposant un progrès, un éclatement, une rupture avec l’ordre antérieur ou une fraternité.
Les Poissons, signe d’eau entraînant à une fuite ou une fusion avec l’universel.

B. Les astres, qu’on appelle des « planètes ».
Le Soleil, qui correspond au coeur du système solaire, et donc de la carte du ciel. Il est le symbole de la vie.
La Lune, qui symbolise la nourriture, la mère, l’opinion.
Mercure, qui régit l’intelligence, les écrits, les fonctions de relation, l’entourage.
Vénus, qui gouverne l’amour, l’adhésion sociale. 
Mars, qui correspond à la guerre, au combat. 
Jupiter, qui détermine le jugement, la loi.
Saturne, qui correspond à la connaissance ou au pouvoir.
Uranus, qui régit l’invention, le progrès, l’amitié. 
Neptune, qui symbolise la foi, la religion, l’inspiration.
Pluton, qui gouverne la sexualité, la mort, l’initiation ou la magie.

C. Les « maisons », qui sont les secteurs d’influence des planètes.
La maison I : le moi physique.

La maison II : les biens, l’accroissement.
La maison III : l’entourage, les voisins, l’intellect. 
La maison IV : le foyer, le patrimoine.
La maison V : l’amour, la création. 
La maison VI : le travail.
La maison VII : les contrats, le mariage.
La maison VIII : la sexualité et la mort, la régénération.
La maison IX : les hautes facultés de l’esprit, l’étrange: 
La maison X : le pouvoir, le destin, les actes.
La maison XI : la publicité, les amis. 
La maison XII : l’introversion.
En réalité, les correspondances se chiffrent par milliard et le principe d’analogie demeure l’outil de travail privilégié de l’astrologue.

3. - POUR DRESSER UN THEME ASTROLOGIQUE SUFFIT-IL DE CONNAITRE SA DATE, SON HEURE ET SON LIEU DE NAISSANCE ?

Oui. Ces renseignements nous situent dans l’univers.

4. - EN SOMME, UN THEME ASTROLOGIQUE S’AVERE LE RESUME DE NOTRE DESTIN ET DE NOTRE MISSION SUR TERRE ?

Oui.

5. - UN PROFANE PEUT-IL DRESSER CE THEME ASTROLOGIQUE ?

Rien de plus simple, avec une Table des maisons, de éphémérides planétaires, et un manuel pratique et clair. 

6. - DE LA NAISSANCE A LA MORT, NOUS SUIVONS DONC EN QUELQUE SORTE UN ITINERAIRE ? L’ASTROLOGIE SERAIT AINSI LA CONNAISSANCE DE CET ITINERAIRE ET NOUS PERMETTRAIT DE CONNAITRE NOTRE VOIE LA PLUS PROPICE ?

Elle vise à accroître notre force, à supprimer la peur, l’ignorance et à renforcer notre volonté. Bien comprise, elle nous enseigne à obéir à tout ce qui est clarté.

7. - TOUS LES ASTROLOGUES ONT-ILS LA MEME CONCEPTION DE L’ASTROLOGIE ?

Non. Beaucoup, faute de la connaître, y voient une sorte de pseudo-psychanalyse, y ajoutent leurs propres problèmes, leurs conflits qu’ils n’ont pu sublimer, et aboutissent ainsi à des erreurs navrantes. D’autres encore, uniquement mûs par le profit, présentent sous ce vocable l’une de ses multiples caricatures.

8. - L’ASTROLOGIE PEUT-ELLE S’ENSEIGNER ? 

Oui.

9. - QU’APPELLE-T-ON « LA TRADITION» ?

L’ensemble des rapports entretenus fidèlement entre l’homme et la Divinité, selon des lois d’équilibre et de respect de la volonté divine qui font la cité humaine correspondre au Cosmos, telle la règle d’or : « ce qui est en est en haut est comme ce qui en bas, et ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ». Ce qui est multiple se modèle sur l’Unité. Ce qui est périssable se réfère à ce qui est Eternel. Ce qui est corruptible se tourne vers ce qui est incorruptible. Ce qui change se soumet à ce qui ne peut changer. Du point de vue physique – la Divinité oeuvrant sur ce plan par l’Incarnation – ces rapports sont définis par les astres. La connaissance des lois astrales forme l’astrologie qui descend donc de l’Unité vers l’humain et part de l’homme pour aboutir à Dieu. Sur le plan physique, ces rapports entre Dieu et l’homme et entre l’homme et l’Unité Suprême sont symbolisés par la propagation de l’onde lumineuse et par les rythmes cycliques des phénomènes du Cosmos.

10. - QU’EST-CE QUE L’INITIATION ?

L’initiation est, après leur compréhension, la soumission à ces lois cosmiques.

11. - QUELLE EST LA DIFF’ERENCE ENTRE SCIENCE ET L’ASTROLOGIE ?
La science est l’hypothèse du moment. Par définition elle s’interdit les rapports de l’homme avec Dieu. Or, en Dieu et en Lui seul se situe l’éternité. L’astrologie ne regarde vers Dieu et ne s’occupe de son oeuvre que pour y étudier son action. Elle représente donc par définition l’étude des rapports qu’entretient toute chose créée avec son Créateur. Elle étudie l’Unité et les rapports – force, temps, espace – de tout ce qui tourne et progresse en fonction de cette Unité et autour d’Elle.

12. - L’ASTROLOGIE EST DONC DEISTE ?

Il ne peut y avoir d’astrologie sans connaissance de Dieu. Le meilleur astrologue serait donc l’homme le plus proche de Dieu, c’est-à-dire de la Connaissance absolue.

13. - L’ASTROLOGIE A-T-ELLE UN DOGME, UN SYSTEME POLITIQUE PREFERES ?

L’astrologie se place en dehors de toute religion, de tout dogme et de tout système politique.

14. - QUELS SONT LES MOTS LES PLUS IMPORTANTS EN ASTROLOGIE ?

Ceux symbolisés par le Soleil : volonté et amour.

15. - L’ASTROLOGIE PERMET-ELLE D’ABORDER DIEU ?

Oui, par la connaissance de son langage, celui de la lumière. Cette lumière se révèle à chacun de nous par notre naissance dans l’un des douze signes du Zodiaque, qui nous a fait prendre part à l’évolution du grand Tout.

16. - QUEL EST LE ROLE VERITABLE DE L’ASTROLOGIE ?

Un rôle de libération.

17. - POURQUOI L’ASTROLOGIE EST-ELLE REJETEE, NIEE OU MAL COMPRISE A L’HEURE ACTUELLE ?

Parce qu’une société basée sur un déséquilibre permanent refuse le langage de Dieu – la lumière – au profit de l’illusoire primauté de la matière. Rejetant ce qui est incorruptible et faisant sien ce qui est corruptible, elle se condamne du même coup.

18. - IL EST DE MULTIPLES FAÇONS DE SE CONNAITRE (TESTS, GRAPHOLOGIE, CARACTEROLOGIE, ETC…). QUELLE EST, SI ELLE EXISTE, LA SUPERIORITE DE L’ASTROLOGIE SUR CES MOYENS ?

A côté de l’homme et au-dessus de lui, elle introduit par le langage de la lumière et des astres, son Créateur. Seule donc, elle montre la Voie qui est Une.

19.- QUE RECLAME L’ASTROLOGIE, SUR LE PLAN INTELLECTUEL ?

Le sens de l’observation et la logique.

20. - QUEL EST, LE DERNIER MOT DE L’ASTROLOGIE ?

Le mot « Unité ».

bonjour14 dans Astrologie et Esotérisme

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