LES ENFANTS DE DIEU
Posté par othoharmonie le 30 juin 2013
Depuis le début des temps, les médiums, les voyants, les «ultra-sensitifs » parlent de « l’aura », ce champ d’énergie qui entour non seulement les êtres humains, mais tout ce qui vit sur terre : créatures, plantes et arbres ; de nombreux savants et sceptiques ont manifesté du dédain à l’égard de ceux qui prétendent voir ce champ d’énergie et se sont ouvertement moqués d’eux, jusqu’aux jours où un couple Russe, Valentina et Simon Kirlean a inventé un appareil capable de photographier « l’aura ». Cette méthode est connue sous le nom de photographie Kirlean. Les Kirlean, qui avaient entamé leurs travaux en 1939, ont dût attendre jusqu’en 1960, lorsque le gouvernement russe a pu leur allouer des fonds pour perfectionner leur invention.
Cette « aura » ; ou champ d’énergie, apparaît au-dessus et au-delà de la surface de la peau et peut envelopper le corps humain sur une distance de plusieurs mètres. Elle est composée de nombreuses couches, couleurs, formes et dessins. Ses caractéristiques varient selon l’état mental, physique et spirituel ou intérieur d’une personne.
En résumé, l’aura est le reflet de l’être. Nous avons ensuite le corps éthérique. De même taille et forme que le corps physique, mais diffèrent de lui, le corps éthérique (ou de l’esprit) ne peut pas être détruit. Il est plus réel et plus solide. Il est celui que nous utilisons, nous, les voyageurs astraux, ainsi que les nombreuses personnes qui ont vécu des expériences de « sorties du corps » au cours desquelles elles regardent leur corps physique d’en haut, tout en gardant une forme corporelle. Cette forme étant le corps éthérique. A notre mort, c’est le corps éthérique que nous utilisons, c’est lui qui nous transport d’ici-bas au monde des esprits.
Nous perdons beaucoup de monde : parents, époux, grands-parents, ami, sœur, frère, oncle… Mais à mes yeux, sans doute la perte l’a plus difficile à supporter est celle d’un enfant.
Dans le monde des esprits, que nous ne pouvons qu’imaginer pour la plupart d’entre nous, notre vie continue ; les enfants rient et jouet, grandissent et apprennent. Dans l’au-delà, nos connaissances s’élargissent et nous nous éveillons au besoin de développement de l’âme. Un travail nous y attend si nous le désirons et de nombreux habitants du monde des esprits confient qu’ils mènent une existence active, remplie et passionnante.
Combien de fois ai-je entendu prononcer ce vieil adage : « laissez les morts reposer en paix ». Il sous-entend une inactivité absolue dans « l’après-vie », dont nous avons du mal à concevoir la réalité. Mes conversations avec d’innombrables âmes indiquent l’inverse. La poursuite de la vie signifie la poursuite du vécu… dans le plein sens du terme. Et c’est exactement ce que nous faisons.
Les animaux aussi survivent à la mort. A ceux d’entre vous qui les aiment, ou qui ont vécu avec une ou plusieurs petites créatures de dieu et ont éprouvé la plus vive affection pour elle.
Extrait de « Une longue échelle vers le ciel » de Rosemary Altea – page 118 à 120.
L’extraordinaire témoignage d’une femme qui dialogue avec les défunts.
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