par Kishori Aird
formation en France et au Québec
Après la découverte de l’ADN dans les années 1950, les scientifiques ont tenté de nous convaincre que l’être humain était entièrement déterminé par son code génétique et que nous ne pouvions rien y changer. Nous étions sensés être programmés de façon irréversible, et les changements génétiques ne pouvaient, selon eux, se produire que sur de longues périodes, au fil d’une lente évolution. 50 ans plus tard, rien n’a véritablement changé : les biologistes continuent à vouloir nous convaincre que la seule façon d’altérer notre génétique est de procéder mécaniquement (ou dans certains cas biochimiquement) : enlever un gène ici, en remettre un là, en détruire quelques autres à l’aide de produits chimiques ou de virus.
Naturopathe professionnelle de formation, Kishori Aird est « une intuitive médicale » qui a vécu dans un ashram dès l’âge de 18 ans et a un long parcours spirituel derrière elle.
Devenue Maître de reiki, elle s’est spécialisée depuis 1990 dans la kinésiologie. Elle a perfectionné cette technique en collaborant avec des chiropraticiens et des naturopathes. Et depuis l’été 1997, elles entreprend des recherches sur l’ADN et sur les moyens par lesquels le reprogrammer et se le réapproprier.
Elle a notamment découvert que notre ADN possède un champ vibratoire et électromagnétique qui est sensible à nos intentions, et que, comme un ordinateur, il contient « des programmations par défaut » sur lesquelles ont peut agir par la pensée et que l’on peut modifier.
La reprogrammation consciente de notre ADN est, selon Kishori, l’une des clés de l’Ascension.
Voici son témoignage :
« La première brèche qui a entamé la certitude scientifique quant à l’impossibilité d’influencer notre génétique par la pensée ou l’esprit, provient des observations de psychiatres sur des individus présentant le « syndrome des personnalités multiples ». Ces individus ont un code génétique unique. Mais ce code est capable de s’adapter en quelques minutes à une identité différente avec un nom différent, une vision du monde différente et un comportement relationnel (et souvent sexuel) différent.
Il est vrai que les programmes génétiques existent et déterminent notre apparence physique, notre biologie, nos aptitudes innées et même une bonne partie de notre psychologie, ainsi que des limitations que nous n’avons pas choisies. Mais ce qui est moins certain, c’est que nous n’y pouvons rien. Nous y pouvons quelque chose.
Les biologistes qui ont travaillé sur le génome humain n’ont défini que 3 % de notre code génétique, 3 % seulement. Selon les scientifiques, il existe un certain nombre d’agencements de gènes qui sont actifs dans notre code génétique et d’autres qui sont latents. Notre patrimoine génétique contient de vastes étendues quasi désertiques entre les gènes ainsi qu’à l’intérieur même des gènes, qu’ils ont appelées « l’ADN superflu ».
Si nous imaginons l’ADN superflu c’est-à-dire 97 % de nos gènes et 41 codons sur 64 possibles comme une partie restreinte, impuissante et inutile de notre ADN, c’est cela qui sera « syntonisé » et la réalité collera à cette image que nous nous en faisons. À l’inverse, si nous parvenons à concevoir une réalité plus vaste, à accéder à un concept temporel plus large en nous rappelant que l’ADN superflu recèle une puissance insoupçonnée, sa réponse sera illimitée. Il suffit de voir les immenses possibilités de ces 3 % d’ADN pour imaginer tout le pouvoir qui peut se trouver dans les 97 % restant.
La deuxième brèche pratiquée dans la tour d’ivoire de la science matérialiste provient de la physique quantique. Grâce à elle, nous savons maintenant que la matière n’est pas aussi « solide » qu’il y paraît, qu’elle est variable et qu’elle interagit avec la réalité tout comme avec le temps. Elle nous apprend en particulier qu’au niveau de l’infiniment petit, la matière n’a plus la même réalité concrète : ce n’est plus de la matière, mais de l’énergie, et la forme (réalité concrète) qu’elle prendra est influencée et même déterminée par l’observateur tout en étant soumise aux lois de la physique.
Les scientifiques ont même fini par admettre que l’onde de l’ADN peut se modifier selon l’état d’esprit de l’individu. La spirale peut s’allonger ou se recroqueviller, selon que nous sommes en état de faiblesse ou de déprime, ou au contraire dans un état créatif ou de bonheur. Cela signifie que la science accepte enfin de reconnaître l’influence de nos pensées sur la conformation physique de l’ADN. L’ADN se comporte comme un petit moteur électrique et il est sensible au magnétisme. Même l’ADN dit « superflu » est capable de répondre à ce que nous commandons, à nos choix et à nos souhaits et à la qualité de notre énergie.
Dans mon livre « l’ADN démystifié », j’ai conçu des protocoles de reprogrammation pour transformer et restructurer les programmes fautifs ou inconscients de notre code génétique. Tout le travail de reprogrammation se fait vibratoirement, au niveau de l’ADN superflu, et les outils en sont l’intention, la kinésiologie (ou une autre méthode de test) et ce qu’elle appelle « l’ingénierie » des protocoles.
L’intention
Si vous avez l’impression qu’il faut avoir atteint un très haut niveau de connaissance ou d’évolution spirituelle pour pouvoir reprogrammer votre propre code génétique, détrompez-vous ! Quand il est question de l’ADN, on s’imagine toujours que c’est vraiment beaucoup plus compliqué que ça ne l’est en réalité. La vérité, c’est qu’il n’est absolument pas nécessaire d’être clairvoyant, de faire partie d’un groupe d’initiés ni même de connaître l’abc de la télépathie pour pouvoir commencer à se reprogrammer. Comme l’ADN superflu a un champ vibratoire et électromagnétique qui répond bien à l’intention, c’est le pouvoir de l’intention qui agira et nous guidera dans ce travail de reprogrammation de notre ADN.
La première chose à faire pour comprendre et savoir comment utiliser l’intention, c’est d’accepter que l’on puisse sortir consciemment de nos vieilles programmations en devenant soi-même programmeur, c’est-à-dire en utilisant nos doutes et nos faiblesses comme pôle négatif d’un aimant et nos nouveaux choix comme pôle positif pour pouvoir magnétiser et commander de nouvelles possibilités. Nous allons devoir commander de nouveaux programmes et nous le ferons par l’intention au point zéro qui inclut ces deux polarités. L’intention représente une commande émise à voix haute concernant l’état dans lequel nous voulons être. Émettre une intention constitue un acte responsabilisant qui redonne à l’individu le contrôle sur sa vie. L’intention est donc une phrase (une commande) mentionnant un nouveau programme à installer en nous en incluant sa contrepartie négative inconsciente « par défaut ».
Une partie de notre ADN est constituée de nos codes originels perdus, enfouis quelque part dans une zone inexplorée que les scientifiques appellent l’ADN superflu ; une autre partie a été programmée de génération en génération par nos aïeux biologiques, une autre partie encore par nos parents et notre environnement à un âge où nous n’avions pas le choix d’accepter ou de refuser ces programmations, et une dernière, le plus souvent inconsciemment, par nos expériences du passé. Ce sont nos programmations inconscientes par défaut, celles auxquelles nous avons tendance à retourner tout naturellement.
Pour expliquer ce que j’entends par « programmation par défaut », j’utiliserai l’analogie avec les systèmes d’exploitation de nos ordinateurs. Actuellement, 90 % des micro-ordinateurs fonctionnent avec un système d’exploitation appelé Windows, développé et commercialisé par Microsoft. Windows est préinstallé dans nos ordinateurs lorsque nous les achetons et offre une foule d’options géniales installées par défaut. Ce système fonctionne depuis si longtemps que presque toute notre correspondance par courriel utilise la même typographie. Nous avons même tendance à penser qu’un micro-ordinateur qui n’affiche pas le logo de Windows au démarrage n’est pas un bon micro-ordinateur, pas un « vrai » micro-ordinateur et qu’il sera inadapté à nos besoins. Parce que Windows est installé par défaut, parce que ses options ou paramètres sont définis par défaut, beaucoup sont convaincus que Windows est le seul système d’exploitation compatible avec nos logiciels. Or, il y a quelques années, des programmeurs indépendants ont décidé de défier Microsoft. Ils ont développé un autre système d’exploitation appelé Linux et ils l’ont offert gratuitement. Pourtant, Linux est très peu répandu. Pourquoi ? Parce que nous choisissons constamment un système d’exploitation « par défaut » – Windows – même s’il est souvent instable, « bogué », complexe et qu’il coûte cher. C’est un peu la même chose avec l’ADN. Notre ADN est « bogué », mais nous continuons de choisir nos programmations par défaut.
Dans notre enfance, notre milieu a installé en nous des programmes qui nous ont semblé aussi parfaits que Windows puisqu’ils venaient de l’autorité parentale (Microsoft). Aussi nos programmations par défaut acquises proviennent-elles le plus souvent de l’enfance. Une personne qui a, par exemple, appris dans son enfance que pour être aimée, elle devait rester silencieuse et ne pas faire trop de bruit, aura tendance, chaque fois qu’elle sentira le besoin d’être aimée, à choisir automatiquement le « mode silencieux », parce que tel est son programme par défaut. Elle achète Windows plutôt que Linux, sans même y penser. C’est un choix par défaut plutôt qu’un choix conscient.
Pour sortir de nos programmes inconscients par défaut, nous devons faire des choix conscients plutôt que de nous soumettre à nos choix par défaut, c’est-à-dire travailler avec des intentions conscientes plutôt que des intentions par défaut. L’intention consciente, c’est l’équivalent d’aller dans le panneau de configuration de notre ordinateur et de choisir des paramètres différents de ceux qui y étaient installés par défaut. En d’autres mots, nous devons devenir semblables à ces programmeurs indépendants qui ont créé Linux, et créer de nouveaux programmes dans notre ADN.
L’une des raisons pour lesquelles nous laissons nos intentions par défaut nous mener est ce que certains ont appelé « la pensée magique » – l’habitude de laisser les choses se faire, de ne pas intervenir, en se disant que le temps finira par tout arranger. « La pensée magique », c’est croire qu’un jour tout s’améliorera sans que je n’aie rien à transformer en moi, c’est croire que je vais gagner le million ou que tout à coup le monde va découvrir que je suis une artiste de talent, bref, c’est croire que les choses que je souhaite vont se produire comme par magie.
La première fois que j’ai entendu cette expression de « pensée magique », j’ai essayé de comprendre ce que cela signifiait au niveau de ma propre vie. Et je me suis rendue compte que j’espérais secrètement qu’un jour, dans un futur hypothétique, par une alchimie quelconque, j’aurais une vie qui me comblerait. Je n’avais pas encore compris que j’allais devoir m’atteler à la tâche et faire face à mes vulnérabilités plutôt que de continuer à espérer que tout allait automatiquement finir par s’arranger. Il m’a fallu bien des déboires pour enfin accepter ma responsabilité de la réalité dans laquelle je vivais.
Dans les années 1980 – 1990, la « pensée magique » est apparue sous la forme des affirmations. Nous pensions qu’il suffisait de faire une affirmation (« Je vais de mieux en mieux chaque jour » est la plus classique) pour que notre réalité s’y conforme et change. J’ai beaucoup utilisé les affirmations, mais j’ai dû admettre que cette technique n’avait pas d’emprise réelle sur les embûches que j’affrontais au quotidien. Aux prises avec les dilemmes de la vie courante et les contraintes de la troisième dimension, les affirmations me procuraient plus de frustration que de plaisir. Pourtant, ces affirmations sont des intentions, des commandes, n’est-ce pas ?
La pensée magique nous convainc que tout va devenir simple et elle a pour résultat que nous nous décourageons lorsque cela ne se produit pas. C’est elle qui se cache dans cette phrase que l’on entend souvent en thérapie : « Je croyais que c’était réglé et que j’en avais fini avec ce problème. »
Lorsque nous espérons voir disparaître notre inconfort « comme par magie », nous abdiquons notre rôle de programmeur, notre pouvoir sur notre réalité. Pourtant, la vie nous demande de nous impliquer dans notre évolution. Elle veut que nous soyons des créateurs imaginatifs travaillant et cocréant avec l’intention consciente, tout en donnant la place qui leur revient à nos souffrances. Et là est la clef, dans les mots « tout en donnant la place qui leur revient à nos souffrances ». Il m’a fallu plusieurs années pour comprendre que j’avais des programmes par défaut qui annulaient l’effet de mes affirmations parce que je niais mes souffrances et ma vulnérabilité, parce que, en d’autres mots, je niais mon humanité, ma dualité.
Cependant, même après m’être attelée à la tâche de changer mes programmes et intentions par défaut grâce à l’intention consciente, j’avais encore de la difficulté à me reprendre et à sortir de l’inertie des programmes par défaut quand les émotions me paralysaient. J’avais beau vouloir être heureuse et créative, je restais sensible aux lundis matin brumeux, à la circulation dense des débuts de semaines et aux exigences domestiques de ma vie familiale.
Mais depuis que j’utilise l’intention pour restructurer mon ADN, j’assiste à une vraie mutation à l’intérieur de moi-même ! Je reste humaine, mais je change tellement que même les lundis matin commencent à se métamorphoser !!! J’ai enfin le sentiment que la réalité change et je peux en témoigner par des améliorations évidentes dans ma vie quotidienne. Une chose est certaine : plus je m’implique dans mon code génétique, plus je change. Plus je change, plus je suis décidée à installer ces nouveaux paradigmes dans ma réalité, et plus ma vie de famille est harmonieuse et plus ma vie professionnelle est active !
La Kinésiologie
En tant qu’« intuitive médicale », j’entre en contact avec l’intelligence innée du corps par le moyen de la kinésiologie qui permet de tester des questions et d’obtenir des réponses pour la reprogrammation de l’ADN.
L’intelligence innée recèle des informations en quantité phénoménale, mais comme elle ne se situe pas dans un fonctionnement linéaire, l’interroger avec une pensée linéaire risque de nous faire passer à côté de trésors. Pour trouver les bonnes questions, il faut procéder par étapes. C’est une condition essentielle pour devenir un bon programmeur de l’ADN. Voici un exemple : à une première question que je me suis posée : « Est-ce que mon gène paternel du diabète, qui me donne des tendances à l’hypoglycémie, accepterait d’être modifié ? » J’ai obtenu un oui. J’ai ensuite demandé : « Est-ce que je peux faire cette modification génétique de façon vibratoire ? » et ainsi de suite. J’ai découvert en pratiquant cette technique que je pouvais accéder au centre de moi-même rapidement, simplement en posant les questions qui me venaient à l’esprit à mon intelligence innée. Par exemple : «Y a-t-il une émotion ou une cause physique qui m’empêche de méditer maintenant ? » Ensuite, je continuais à tester pour trouver laquelle.
Tout réside dans l’art de savoir poser ces questions et dans l’habitude de faire confiance aux réponses. Pour vous entraîner à la programmation de votre ADN, amusez-vous à poser des questions légères et d’autres plus importantes, comme celles qui concernent la reprogrammation de votre ADN. Vous découvrirez un monde d’émerveillement.
Les protocoles
Maintenant que nous avons une meilleure idée des composantes scientifiques de l’ADN, de l’influence de la conscience sur la programmation de nos codes génétiques et de notre responsabilité dans notre rôle de programmeur, nous allons passer à la reprogrammation elle-même. Pour ce faire, j’ai conçu, expérimenté et validé un ensemble de protocoles qui vous permettront de réorganiser, de reprogrammer vos codes génétiques et de vous réapproprier la souveraineté de votre ADN.
J’ai consacré d’innombrables heures à l’élaboration de ces protocoles, car je ne travaille pas en canalisation et je ne voulais pas m’en tenir uniquement à des images ou à de la visualisation. Ma tâche a consisté à « saisir » des concepts vibratoires éthérés pour les traduire dans un mode « terrestre » concret et dans un langage compréhensible. Ensuite, il m’a fallu les ordonner de telle façon que mes lecteurs puissent s’en servir facilement et sans risque.
Chaque protocole permet l’installation d’un nouveau programme, soit pour réveiller des programmes endormis, soit pour éliminer un programme fautif, soit pour réparer un gène fautif, soit encore pour remplacer un programme par défaut. Un protocole consiste donc en une série d’instructions à suivre pour effectuer une reprogrammation directement dans nos gènes.
La simple lecture des protocoles suffit à éveiller ou à accélérer la reconnexion des hélices de votre ADN superflu dans chacune de vos cellules. Et ceux d’entre vous qui saisiront l’essentiel du message et du processus pourront devenir autonomes dans la reconstrutcion cellulaire de leur être par la reprogrammation génétique.
Chaque protocole a fait l’objet d’une longue période d’expérimentation, tant sur moi-même que sur notre petit groupe de travail. À chaque étape, j’ai veillé à inclure dans les protocoles les instructions les plus appropriées pour inscrire dans chaque reprogrammation les données les mieux susceptibles de réveiller les programmes éparpillés dans l’ADN superflu. Mon livre « l’ADN démystifié » est le résultat de ce travail de longue haleine et sa rédaction n’a commencé qu’une fois que j’ai pu sentir et constater que nous avions enfin atteint les résultats attendus, c’est-à-dire une plus grande force vitale, une intuition plus précise et un sentiment de libération. J’ai pris le parti de donner le maximum, car je considère que l’humanité a besoin de se réapproprier la maîtrise de son ADN. Mais il est important de se rappeler que chacune des instructions qui figurent dans les protocoles a sa raison d’être et vise à assurer une reprogrammation sécuritaire de l’ADN.
C’est pourquoi, même si vous êtes un peu sceptiques et considérez les protocoles comme des élucubrations, je vous incite à jouer le jeu et à les suivre à la lettre, du moins jusqu’à ce que vous ayez acquis suffisamment d’expérience pour constater par vous-même le bien-fondé de chaque instruction et la nécessité de les effectuer dans l’ordre indiqué. D’ailleurs, vous saurez que vous maîtrisez véritablement la reprogrammation de l’ADN lorsque vous aurez acquis assez d’expérience dans l’utilisation des protocoles pour comprendre intuitivement comment ils ont été bâtis.
Même si vous trouvez ces protocoles hermétiques ou incompréhensibles, vous pouvez les utiliser avec autant d’efficacité que si votre mental comprenait tout. Surtout, ne vous découragez pas ! Rappelez-vous que l’intelligence innée en vous a accès à toutes les informations qui font partie de la Conscience humaine collective. Ce n’est probablement que votre mental qui rouspète parce qu’il n’y a pas encore accès consciemment et qu’il ne comprend pas (mais ça viendra, c’est certain !). Ou encore, vous avez peut-être un vieux programme par défaut qui vous dit que vous n’êtes « pas capable ». Si c’est le cas, utilisez l’intention : « je peux utiliser efficacement ces protocoles même si je n’y comprends rien » (ou même si je ne m’en sens pas capable » ou toute autre forme du « même si je ne peux pas »). Graduellement, à mesure que vous les utiliserez, vous apprivoiserez ces protocoles et les résultats vous rassureront.
La fréquence planétaire actuelle consiste à installer la fréquence de l’Amour dans la dualité et non pas à installer l’Amour en niant la dualité. C’est cela, la nouvelle spiritualité. C’est une spiritualité en rapport avec le fait de créer une nouvelle fréquence. Nos manipulations génétiques personnelles ne se feront pas en laboratoire. La reprogrammation de notre ADN superflu passe par le non-jugement de notre côté vulnérable et par la prise de conscience de notre rôle de programmeur.
C’est ainsi que nous allons réclamer la richesse génétique qui nous appartient de plein droit et accéder à la maîtrise de notre héritage personnel et humain. »
Kishori Aird : www.kishori.org