Cultiver l’optimisme

Posté par othoharmonie le 31 août 2013

10 bonnes raisons et 7 pistes 

 Cultiver l’optimisme dans L'Esprit  Guérisseur dieu17

L’optimisme est souvent relégué au rang de naïveté confondante, qui nous maintient dans un monde bleu layette (rose bonbon pour les filles?) où tout le monde il est beau, tout le monde il est  gentil.                                                         

Il serait bien plus sûr et réfléchi de lui préférer un réalisme prétendument objectif. Par exemple, avec la crise, soyons lucides, c’est pas le moment de chercher à changer de boulot. Ce réalisme prudent est en réalité teinté de pessimisme et de convictions limitantes qui favorisent le découragement, l’à-quoi-bon et donc l’immobilisme, et les opportunités ratées.

A l’inverse, en fonctionnant comme une autorisation à envisager une tournure favorable des événements, l’optimisme  lucide (par opposition à une expectative béate, euphorique et inactive) libère de l’anxiété d’anticipation face à l’incertitude de l’avenir et encourage l’action.

Il permet de construire l’avenir avec moins d’angoisse et de freins, de ne pas ressasser les événements passés mais plutôt de prendre du recul et d’en tirer des leçons pour les mettre au service de notre avenir.

Il s’agit donc simplement d’admettre que oui, il est tout à fait possible que les choses se passent comme je le souhaite. Surtout si nous agissons dans ce sens.

Que le passé et le présent, avec leurs événements et leurs circonstances ne sont pas l’avenir. Surtout si nous faisons en sorte des les événements malheureux ne se reproduisent pas.

Que nous sommes capables d’atteindre des objectifs, de résoudre des problèmes et de trouver des solutions. Surtout si nous nous y attachons.

Les optimistes bénéficient ainsi grandement de leur perception de la vie et des événements. En vrac:

1 – Ils entretiennent une bonne estime d’eux-mêmes
2 – Ils vivent plus longtemps et en meilleure santé
3 – Ils sont plus satisfaits de leurs relations et de leur vie
4 – Ils réussissent davantage dans tous les domaines de leur vie
5 – Ils sont plus nombreux à s’estimer heureux
6 – Ils sont bien moins nombreux à être confrontés à la dépression
7 – Ils sont nettement moins stressés
8 – Ils sont naturellement plus sereins et confiants
9 – Ils sont plus actifs, plus enclins à entreprendre
10 – Ils sont plus sympas que les pisse-froid.

Auto coaching : 7 pistes pour cultiver l’optimisme

Les pessimistes ont l’égo surdimensionné: ils s’imaginent avoir suffisamment d’importance pour qu’une force supérieure (l’univers, Dieu ou la fée Carabosse) s’intéresse à eux au point de leur balancer une bonne dose de malchance. En réalité, d’après des recherches comme celles du psychologue Martin Seligman, chercheur à l’Université de Pennsylvanie, ils ont construit leur pessimisme à mesure qu’ils ont été confrontés à des expériences malheureuses: trahisons, échecs ou déceptions dont ils n’ont pas pu ou su tirer les leçons pour rebondir. Probablement parce qu’ils n’ont pas appris à le faire. La bonne nouvelle, toujours d’après Martin Seligman, c’est que le pessimisme se désapprend et que l’optimisme s’apprend.

  • Dans quelle mesure êtes-vous plutôt optimiste?
  • Pessimiste?
  • Dans quels domaines?
    D’où cela vient-il?

 1- Cesser de ruminer le passé

Repérez vos pensées sur des événements passés malheureux. Quand vous ressassez, choisissez délibérément de penser à ce que vous pouvez faire pour qu’à l’avenir, les choses se passent comme vous le souhaitez. 

2- Reconnaître sa propre responsabilité dans les événements heureux

Les optimistes pensent qu’ils réussissent pour des raisons de l’ordre de la permanence (ex: parce que je suis un bosseur) et non grâce à des causes externes (parce que le jury a été sympa).

  • Quand un événement heureux se produit, comment réagissez-vous?
  • Quelle part de responsabilité vous accordez-vous?
  • De quelles qualités et talents permanents avez-vous fait preuve, et qui ont directement ou indirectement contribué à cet événement?

3- Se distancier des événements malheureux

Les optimistes voient les causes temporaires et/ou externes des événements négatifs. Ainsi, ils remettent en cause une stratégie, un état d’esprit, pas leur valeur personnelle (je me suis fait taper sur les doigts car contrairement à d’habitude, j’ai consacré trop peu de temps à ce rapport).

  • Quand un événement malheureux se produit, quelles sont les circonstances, états d’esprit, comportements temporaires qui y ont participé?
  • Que pouvez-vous mettre en œuvre pour créer des circonstances plus favorables, à l’avenir?

4- Exploiter ses talents

  • Les qualités et talents qui ont concouru à la réussite de vos entreprises, dans quels autres domaines pouvez-vous les exploiter?
  • En quoi peuvent-ils vous aider à mener à bien d’autres projets?

5- Développer un regard positif sur le monde

Choisir de préférer les aspects positifs des personnes et des événements ne signifie pas choisir le déni de leurs défauts. Faites-en l’expérience:

  • Si vous focalisez sur les qualités des autres plutôt que leurs défauts, si vous préférez la bienveillance à la critique, comment vous sentez-vous?
  • Prenez le temps de voir, de regarder et d’admirer ce qui vous plaît, ce que vous aimez, autour de vous, chez les autres et dans les événements.

6- Remplacer les pensées négatives

Observez le discours silencieux que vous vous tenez à vous-même et identifiez les pensées résolument négatives et déresponsabilisés (version c’est la faute à pas de chance).

  • Que serait-il plus juste de penser?

Il ne s’agit pas de les remplacer par un discours positif du domaine de l’irréel, mais par un discours plus objectif, qui autorise le résultat favorable (en particulier au vu de ce que vous avez mis en œuvre)
Exemple: “Quand est-ce que je vais retrouver du travail?” à remplacer par “Je mène une recherche active”.

7- Se débarrasser des convictions limitantes

Les convictions limitantes sont des certitudes que nous développons en généralisant des expériences négatives. Elles sont souvent à l’origine d’attitudes pessimistes.
Pour s’en débarrasser, commencez par lister les raisons pessimistes pour lesquelles vous évitez de prendre certaines initiatives.

  • Dans quelle mesure ces raisons sont-elles valides, prouvées?
  • Leur arrive-t-il de se révéler fausses? Que serait-il plus juste de penser à la place?

 

Pour tous renseignements, contactez Sylvaine Pascual au 01 39 54 77 32 http://www.ithaquecoaching.com

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L’Esprit, outil très puissant

Posté par othoharmonie le 31 août 2013

 Notre esprit est un outil réellement très puissant …



L'Esprit, outil très puissant dans L'Esprit  Guérisseur b11111« Imaginez que des scientifiques découvrent un nouveau médicament susceptible de guérir ou d’améliorer les symptômes de la plupart des maladies connues – un simple comprimé ! Cette pilule ne ferait-elle pas la une des bulletins de nouvelles partout dans le monde et ne deviendrait-elle pas le médicament le plus vendu de toute l’histoire ? Une telle chose existe. Laissez-moi vous la présenter : le placébo !

Le placébo est un faux médicament qui ressemble en tous points à un vrai médicament. On l’utilise pour tester un médicament avec un groupe témoin au cours d’un essai médical. Il n’est pas censé provoquer la guérison – mais il le fait, car les patients croient qu’il s’agit d’un véritable médicament. C’est leur esprit qui les guérit. »

« Le développement de la technologie de l’imagerie encéphalique a suscité un regain d’intérêt pour l’effet placébo. D’après la recherche actuelle, lorsqu’une personne prend un médicament – qui, en fait, est un placébo – son cerveau s’active comme si elle prenait réellement un médicament, et elle produit ses propres substances chimiques naturelles. »

« Une étude menée à l’Université Harvard a permis de découvrir que des personnes pratiquant des exercices de même niveau en retire des bénéfices différents, selon qu’ils croient ou non à la validité de l’exercice. 

Cette étude a porté sur 84 femmes de chambre dont le travail impliquait un niveau d’exercice supérieur à celui recommandé par l’OSG du Service fédéral de la santé publique américain en matière d’exercice quotidien. 

Or, les femmes de chambre ignoraient cette donnée et la plupart d’entre elles ne se percevaient pas comme physiquement actives. En les interrogeant, les scientifiques ont appris que 56 de ces femmes estimaient ne pas faire du tout d’exercice. Puis, ils ont formé deux groupes. Avec le premier groupe, les scientifiques ont passé en revue toutes les tâches qu’accomplissaient ces femmes dans une journée : déplacer le lourd équipement d’un lieu à l’autre, passer l’aspirateur, changer les draps et tout nettoyer. Ils leur ont ensuite expliqué qu’elles brûlaient plusieurs calories pour chaque activité et ils ont mentionné les quantités. Enfin, ils ont appris à ces femmes que leurs activités quotidiennes dépassaient les recommandations de l’OSG. 

Ils n’ont rien dit de tout cela à l’autre groupe.

Au bout d’un mois, les scientifiques ont pris les mensurations corporelles de toutes les femmes. Dans le groupe de femmes qui savaient maintenant qu’elles faisaient de l’exercice, on a observé une perte de poids et une diminution du rapport taille-hanches, une baisse de l’indice de masse corporelle et du pourcentage de réserves lipidiques dans l’organisme, ainsi qu’une réduction de la tension artérielle de 10%. 

L’esprit est vraiment un outil puissant ! »

Chacun de nous possède les clés d’une pharmacie contenant une gamme époustouflante de composés thérapeutiques : notre propre cerveau… Notre cerveau produit spontanément des médicaments semblables à ceux que le médecin nous prescrit. 

Extraits du livre : Guérir grâce au pouvoir de l’esprit, de David R. Hamilton Ph.D.

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Message rassurant août 2013

Posté par othoharmonie le 30 août 2013

 Message de Anne Givaudan (Août 2013)Message rassurant août 2013 dans Entre amis telechargement-6
 
Aujourd’hui je me suis réveillée avec une étrange sensation de « trop »… je me sens envahie par des mails qui parlent des portes.

Bien sûr il n’y est pas question de portes d’entrée physique mais « d’ouvertures », de « sas », de portes « inter-dimensionnelles », sans compter les mails qui demandent que l’on informe tout le monde en urgence pour ne pas oublier de se mettre en condition pour une date ou une autre afin de contribuer au sauvetage de la planète Terre. J’entends autour de moi ceux qui déplorent de ne pouvoir être au bon endroit ou et au bon moment à cause de ceci ou de cela !

C’est évident qu’à notre époque de transition, il y a des lieux qui se réveillent et des connexions qui se font entre les mondes, les autres dimensions et même avec les autres planètes… Alors, à nouveau agités par un extérieur en mutation, nous nous précipitons vers des lieux énergétiques avec l’espoir de contribuer au passage et à la transformation de la planète Terre.
Pendant ce temps, chaque mois, on nous annonce une possible catastrophe due soit à une guerre bactériologique, soit aux changements des pôles, soit à l’approche d’une planète et nous ne savons où donner de la tête.
 
Je ne voudrais pas jouer les rabat-joie mais il semble bien que, au milieu de toute cette agitation, on ait oublié l’essentiel, une porte qui ouvre sur tous les mondes, sur toutes les dimensions et qui à elle seule est la clé de la transmutation : la porte de notre cœur subtil
 
Cette porte-là est hors du temps et de l’espace mais elle demande, non pas de comprendre mentalement, mais d’agir et c’est cela qui nous est proposé aujourd’hui : agir non pas dans l’agitation mais plutôt selon ce que nous avons appris et aimé ; agir selon ce que nous croyons, et finalement redevenir ce que nous avons oublié : l’Être puissant et lumineux qui, où qu’il soit et quel que soit le moment est en contact avec « les portes  » quelles qu’elles soient.
 
C’est ce que je vous souhaite à tous et à toutes pour les temps présents : là où vous êtes est le bon lieu, là où vous priez ou méditez, c’est le bon moment et sachez que vous serez toujours là où c’est important pour vous.
 
Aller vers les portes, les sas, les autres dimensions « OUI », aller vers la porte du cœur « OUI OUI » !
 
Anne Givaudan 

 

 

Ce que nous appelons DIEU  dans DIEU jacques-vesonemessage transmis par mail, par Jacques Gérard Vésone

  

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Un dialogue avec soi-même

Posté par othoharmonie le 30 août 2013

Un dialogue avec soi-même dans APPRENDS-MOI jiddu-krishnamurti

Je me rends compte qu’il ne peut y avoir amour quand il y a jalousie, qu’il ne peut y avoir amour quand il y a attachement. Mais peut-on être libre de jalousie et d’attachement ?

Je m’aperçois que je n’aime pas. C’est là un fait. Pourquoi me moquer de moi-même ; pourquoi prétendre à ma femme que je l’aime. Je ne sais pas ce qu’est l’amour.

En revanche je sais fort bien que je suis jaloux, et je sais que je lui suis terriblement attaché et que, dans l’attachement, il y a de la crainte, il y a de la jalousie, de l’angoisse ; il y a un sentiment de dépendance. Je n’aime pas être dépendant, mais je le suis parce que je me sens solitaire. On me bouscule au bureau, à l’usine et, quand je reviens chez moi, je veux trouver du réconfort, une présence, je veux échapper à moi-même. Alors je me de­mande : comment puis-je être libre de cet attachement ? Je parle d’attachement à titre d’illustration, comme je pourrais parler d’autre chose.

Au début, je cherche à fuir la question. Je ne sais pas où tout ça pourrait me mener avec ma femme. Si je me détache vraiment d’elle, nos relations risquent de changer. Elle pourrait me rester attachée, tandis que moi je ne le serais plus, ni à elle ni à une autre femme. Néanmoins, je vais m’enquérir. C’est dire que je ne vais pas fuir ce que j’imagine pouvoir être les conséquences d’une libération totale de tout attachement. Je ne sais pas ce qu’est l’amour, mais je vois très clairement, avec une certitude absolue, que l’attachement que je porte à ma femme va de pair avec la jalousie, avec l’esprit de possession, avec la crainte et l’anxiété, et je veux être libre de tout cela. Alors je commence mon enquête ; je cherche une méthode, et je me fais piéger par un système. Un quelconque gourou dit : « je vais vous mettre sur la voie du détachement, faites ceci et cela ; adonnez-vous à tel ou tel exercice ». J’accepte ce qu’il me dit sachant combien il importe d’être libre et parce qu’il me promet qu’en suivant la ligne de conduite qu’il me fixe j’aurai ma récompense. Je constate alors, qu’en agissant ainsi, je suis en quête d’une récompense. Je découvre ma sottise : voulant être libre, je m’attache à l’espoir d’une récompense.

Je ne veux pas me lier, or, me voici, prêt à m’attacher à l’idée que quelqu’un, quelque livre ou quelque méthode me récompensera en me libérant de l’attachement. Ainsi la récompense devient une chaîne. Alors je me dis : « regarde ce que tu as fait ; fais attention ; ne te laisse pas prendre à ce piège ». Qu’il ait pour objet une femme, une méthode ou une idée, ce n’en est pas moins de l’attachement. A ce stade, je suis très attentif, car j’ai appris quelque chose ; j’ai appris à ne pas renoncer à un attachement au profit d’autre chose, qui se révèle être encore un attachement.

Je me dis : « Que dois-je faire pour être libre de tout attachement ? » A quel mobile est-ce que j’obéis quand je veux être libre de tous liens. N’est-ce pas au désir de parvenir à un état où il n’y a ni attaches, ni crainte, et ainsi de suite ? Et tout à coup je me rends compte que tout mobile dicte une orientation et que celle-ci ne pourra que peser sur ma liberté. Pourquoi avoir un mobile ? Qu’est-ce qu’un mobile ? Un mobile est un espoir, ou un désir, de réaliser quelque chose. Je constate que je tiens à un mobile. Outre ma femme, mon idée, la méthode, voici que mon mobile est lui aussi devenu objet de mon attachement !

Ainsi, je fonctionne tout le temps dans la sphère de l’attachement – à l’épouse, à la méthode et au mobile qui me pousse à atteindre un objectif ultérieur. A tous trois, je suis attaché. Je m’aperçois que j’ai abordé une question de la plus haute complexité ; je ne m’étais pas rendu compte qu’être libéré de l’attachement impliquait tout cela. Maintenant je le vois tout aussi clairement que les autoroutes, les routes communales et les villages marqués sur une carte ; rien ne m’apparaît plus évident. Alors je me dis : « M’est-il possible d’être libre de ce grand attachement que j’éprouve à l’égard de ma femme, comme à l’égard de la récompense que je pense obtenir, et à l’égard de mon mobile ? » Je tiens à tout cela. Pourquoi ? Est-ce parce que je ne trouve pas assez en moi-même ? Est-ce parce que j’ai un épouvantable sentiment de solitude, auquel je cherche à échapper en m’accrochant à une femme, à une idée, à un mobile, comme s’il me fallait me cramponner à quelque chose ?

C’est bien cela ; je suis solitaire et j’échappe à ce sentiment d’isolement extrême en m’attachant à quelque chose.

Je voudrais donc comprendre le pourquoi de mon sentiment de solitude, car c’est lui qui est cause de mon attachement. Il m’a contraint à fuir, en me raccrochant à ceci ou à cela ; et tant qu’il persistera, cette succession de réactions en chaîne se reproduira. Qu’est-ce que se sentir délaissé ? Comment en arrive-t-on là ? Le sentiment de solitude est-il instinctuel, ou héréditaire ? Ou résulte-t-il de mon activité quotidienne ? Dans les deux premiers cas, il est inscrit dans ma destinée et je n’y suis pour rien. Comme je n’accepte pas cette explication, je la mets en doute, et demeure avec mon interrogation. J’observe, sans essayer de trouver une réponse intellectuelle. Je n’essaie pas de dire au sentiment de solitude ce qu’il devrait faire, ni ce qu’il est : je l’observe pour que lui-même me le dévoile.

Un état d’attention vigilante s’instaure pour que lui se révèle. Il ne se révélera pas si je fuis ; si j’ai peur ; si je lui résiste. Alors je l’observe. Je l’observe, de sorte qu’aucune pensée ne fait irruption. L’observation est beaucoup plus importante que l’immixtion de la pensée. Et comme toute mon énergie est centrée sur l’observation de ce sentiment de solitude, la pensée n’intervient pas du tout. L’esprit est confronté à un défi, et il doit y répondre. Ce défi le met en état de crise. En situation de crise on développe une immense énergie et celle-ci se maintient sans ingérence de la pensée. Il y a là un défi qui exige une réponse.

J’ai commencé par dialoguer avec moi-même. Je me suis demandé ce qu’était cette étrange chose qu’on appelle l’amour ; tout le monde en parle, l’évoque – songez à tous les poèmes romantiques, aux films, à la sexualité et à tous ses divers autres aspects. Je me dis : l’amour existe-t-il ? et constate qu’il n’existe pas dès lors qu’il y a de la jalousie, de la haine, ou de la crainte. Alors je laisse l’amour de côté pour me préoccuper de ce « qui est », de ma crainte, de mon attachement. Pourquoi me suis-je attaché ? Une des raisons – pas nécessairement l’unique – est que je me sens désespérément seul, mis à l’écart. Plus j’avance en âge, plus ce sentiment s’amplifie. Alors je l’observe. Je suis au défi de découvrir et comme il y a défi, toute l’énergie est là pour y répondre. Cela, c’est bien simple. En effet, s’il se produit une catastrophe, un accident, que sais-je, je me trouve confronté à un défi et l’énergie requise afflue pour y faire face. Je n’ai pas besoin de demander « comment est-ce que je peux trouver l’énergie voulue ? » Quand la maison brûle, je trouve la force de réagir, j’ai une énergie extraordinaire, je ne m’abandonne pas en disant : « Eh bien ! Il faut que je trouve cette énergie », et en attendant qu’elle vienne. Si je le faisais, le feu aurait tout le temps de réduire la maison en cendres.

Jiddu Krishnamurti et son enseignement

 

 

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extrait des dernières prophéties de Peter Deunov

Posté par othoharmonie le 30 août 2013

 extrait des dernières prophéties de Peter Deunov dans Chemin spirituel telechargement-11

La Terre suit maintenant un mouvement ascendant et chacun devra s’efforcer de s’harmoniser avec les courants de l’Ascension. Ceux qui refusent de se soumettre à cette orientation perdront l’avantage des bonnes conditions qui leur sont désormais offertes pour s’élever. Ils resteront en arrière de l’évolution et devront attendre des dizaines de millions d’années la venue d’une nouvelle vague ascendante.  

La Terre, le système solaire, l’Univers, tout se meut dans une nouvelle direction sous l’impulsion de l’Amour. La plupart d’entre vous considèrent encore l’Amour comme une force dérisoire, mais en réalité, c’est la plus grande de toutes les forces ! L’argent et le pouvoir continuent à être vénérés comme si le cours de votre vie en dépendait. À l’avenir, tout sera subordonné à l’Amour et tout le servira. Mais c’est à travers les souffrances et les difficultés que la conscience de l’homme va devoir s’éveiller.  

Les terribles prédictions du prophète Daniel écrites dans la Bible se rapportent à l’époque qui s’ouvre. Il se produira des inondations, des ouragans, des incendies gigantesques et des tremblements de terre qui balayeront tout. Le sang coulera en abondance. Il y aura des révolutions ; des explosions terribles retentiront en de nombreuses régions de la Terre. Là où est la terre viendra l’eau, et là où est l’eau viendra la terre… Dieu est Amour ; et pourtant il s’agit bien là d’un châtiment, d’une réponse de la Nature contre les crimes perpétrés par l’homme depuis la nuit des temps contre sa Mère, la Terre.  

Après ces souffrances, ceux qui seront sauvés – les élus – connaîtront l’Âge d’Or, l’harmonie et la beauté illimitées. Gardez donc votre paix et votre foi quand viendra le temps de la souffrance et de la terreur, car il est écrit que pas un cheveux ne tombera de la tête du juste. Ne vous découragez pas ; poursuivez simplement votre travail de perfectionnement personnel.  

Vous n’avez aucune idée de l’avenir grandiose qui vous attend. Une Nouvelle Terre verra bientôt le jour. Dans quelques décennies, le travail sera bien moins astreignant, et chacun aura du temps à consacrer à des activités spirituelles, intellectuelles et artistiques. La question des rapports entre l’homme et la femme sera enfin résolue dans l’harmonie : l’un comme l’autre auront la possibilité de suivre leurs aspirations. Les relations des couples seront fondées sur l’estime et le respect réciproques. Les humains voyageront à travers les différents plans et franchiront les espaces intergalactiques. Ils étudieront leur fonctionnement et seront rapidement en mesure de connaître le Monde Divin, de fusionner avec la Tête de l’Univers.  

La Nouvelle Ère est celle de la sixième race. Votre prédestination est de vous préparer à l’accueillir, à la vivre. La sixième race se construira autour de l’idée de Fraternité. Il n’y aura plus de conflits d’intérêts personnels ; la seule aspiration de chacun sera de se conformer à la Loi de l’Amour. La sixième race sera celle de l’Amour. Un nouveau continent sera formé pour elle. Il jaillira du Pacifique, pour que le Très Haut puisse enfin établir Sa demeure sur cette planète.  

Les fondateurs de cette nouvelle civilisation, je les appelle « Frères de l’Humanité » ou encore « Enfants de l’Amour ». Ils seront inébranlables dans le bien et ils représenteront un nouveau type d’hommes. Les hommes formeront une famille, comme un grand corps, et chaque peuple représentera un organe de ce corps. Dans la nouvelle race, l’Amour sera manifesté d’une manière tellement parfaite, que l’homme actuel ne peut encore qu’en avoir une idée très vague.  

La Terre reste un terrain propice aux luttes, mais les forces ténébreuses vont reculer et elle en sera libérée. Les humains, voyant qu’il ne reste plus d’autre chemin, s’engageront dans celui de la Nouvelle Vie, celui du salut. Dans leur orgueil insensé, quelques uns continueront jusqu’au bout à espérer continuer à mener sur la Terre une vie que l’Ordre Divin réprouve, mais chacun finira par comprendre que la direction du monde ne lui appartient pas.  

Une nouvelle culture verra le jour, qui reposera sur trois principes directeurs : l’élévation de la femme, l’élévation des humbles, des faibles, et la protection des droits de l’homme.  

La Lumière, le bien et la justice triompheront ; ce n’est qu’une question de temps. Les religions doivent être purifiées. Chacune renferme une particule de l’Enseignement des Maîtres de la Lumière, mais obscurcie par l’apport incessant des déviations humaines. Tous les croyants auront à s’unir et à se mettre d’accord sur un principe, celui de placer l’Amour comme base de toute croyance, quelle qu’elle soit. Amour et Fraternité, c’est cela la base commune !  

La Terre sera bientôt balayée par les ondes extraordinairement rapides de l’Électricité Cosmique. D’ici quelques décennies, les êtres mauvais et fourvoyés ne pourront supporter leur intensité. Ils seront alors absorbés par le Feu Cosmique qui consumera le mal qui les possède. Puis ils se repentiront, car il est écrit que « chaque chair glorifiera le Seigneur. »  

« La Terre sera bientôt balayée par les ondes extraordinairement rapides de l’Électricité Cosmique. »  

Notre mère, la Terre, se débarrassera des hommes qui n’accepteront pas la Nouvelle Vie. Elle les rejettera comme des fruits avariés. Ils ne pourront bientôt plus se réincarner sur cette planète ; les esprits criminels non plus. Seuls resteront ceux qui posséderont l’Amour en eux.  

Il n’est plus d’endroit sur la Terre qui ne soit souillé de sang humain ou animal ; il faut donc qu’elle subisse une purification. Et c’est pour cela que certains continents actuels seront immergés, alors que d’autres surgiront.  

Les hommes ne se doutent pas de quels dangers ils sont menacés. Ils continuent à poursuivre des objectifs futiles et à rechercher le plaisir. Ceux de la sixième race seront au contraire conscients de la dignité de leur rôle et respectueux de la liberté de chacun. Ils se nourriront exclusivement des produits du monde végétal. Leurs idées auront le pouvoir de circuler aussi librement que l’air et la lumière de nos jours.  

Les paroles « Si vous ne naissez de nouveau… » s’appliquent à la sixième race. Lisez le chapitre 60 d’Esaïe. Il se rapporte à la venue de la sixième race, la Race de l’Amour.  

Après les Tribulations, les hommes cesseront de pécher et retrouveront le chemin de la vertu. Le climat de notre planète sera partout modéré et les variations brutales n’existeront plus. L’air redeviendra pur, de même que les eaux. Les parasites disparaîtront. Les hommes se souviendront de leurs incarnations passées et ils éprouveront le plaisir de constater qu’ils sont enfin libérés de leur ancienne condition. 

De même que l’on débarrasse la vigne de ses parasites et de ses feuilles mortes, ainsi agissent les Êtres évolués pour préparer les hommes à servir le Dieu de l’Amour. Ils leur donnent de bonnes conditions pour croître et se développer et, à ceux qui veulent bien les entendre, ils disent : « Ne craignez rien ! Encore un peu de temps et tout va s’arranger ; vous êtes sur la bonne route. Que celui qui veut entrer dans la Nouvelle Culture étudie, travaille consciemment et se prépare. »  

Grâce à l’idée de Fraternité, la Terre deviendra un lieu béni, et cela ne tardera pas. Mais auparavant, de grandes souffrances seront envoyées pour réveiller les consciences. Les péchés accumulés durant des milliers d’années devront être rachetés. La vague ardente émanant d’En Haut contribuera à liquider le karma des peuples.  

telechargement-21 dans Nouvelle TERRELa libération ne peut être davantage remise. L’humanité doit se préparer pour les grandes épreuves inéluctables qui viennent et qui apporteront la fin de l’égoïsme.  

Sous la Terre, quelque chose d’extraordinaire se prépare. Une révolution grandiose et absolument inconcevable se manifestera bientôt dans la nature. Le Seigneur a décidé de redresser le monde, et Il va le faire !  

C’est la fin d’une époque ; un nouvel ordre va se substituer à l’ancien, un ordre dans lequel régnera l’Amour sur la Terre. »  

Peter Deunov – Propos sur l’Avenir – 1944  - Adaptation : Olivier de Rouvroy – Septembre 2003

 

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VIVRE EN VILLE ET POLLUTION

Posté par othoharmonie le 30 août 2013

 Si les humains se groupent dans des centres de vie que sont les villes, ils imitent les insectes et avec le temps ne peuvent plus que vivre comme eux avec leurs avantages, mais aussi leurs inconvénients.

Un homme, une femme, ne seront jamais des insectes, ne seront jamais faits pour vivre dans des cellules empilées les unes sur les autres… même si ces cellules sont assorties de confort.

Observez pour une manifestation de rue où les gens sont nombreux. Regardez bien ce qui se passe autour du flot qui sera discipliné, vous verrez des individus s’agiter sans raison apparente, courant de ci de là ; c’est fantastique comme observation.

 La foule d’une ville, lorsqu’elle est dans le rue et guidée par une idée qui peut-être de revendication ou simplement une manifestation de joie nationale, peut être dangereuse pour les individus de cette foule, pris séparément ; surtout si pour une raison quelconque ils prétendent ne pas suivre le flot !

La ville est dangereuse pour l’homme en ce sens qu’il a tendance à y perdre, en certaines circonstances, son individualité. Il se transforme alors en cellule d’une autre individualité, qui est la grande masse : c’est de la dépersonnalisation.

A certaines époques de sa vie, une ville devient une personnalité et les individus de simples cellules du tout. L’assimilation au monde des insectes de groupes est complète.

Le discours d’un chef politique à la radio ou à la TV a peu de chance de mobiliser les foules malgré la grande portée de ces moyens. Le même devant cinquante mille personnes peut porter tous ces gens à commettre les pires erreurs. Et pourtant, si es gens avaient entendu le même discours chez eux dans le calme et leur foyer, ils n’auraient certainement pas bougé.

 Comment expliquer cela ?

Partout où un grand nombre de gens est rassemblé autour d’une idée, il se crée une forme d’égrégore ou centre d’énergie psychique puissant, qui ne laisse plus à l’individu son indépendance. Certains meneurs agissent sans le savoir comme de vrais sorciers dans le sens négatif du mot. Sans le savoir, ils sont les sorciers noirs d’un peuple.

Beaucoup d’entre-nous sommes obligés de vivre en ville pour le travail par notre civilisation, que peuvent-ils faire pour se soustraire à tout cela et demeurer les individualités indépendantes qu’ils devraient être ?

Sortir des villes le plus souvent possible avec le noyau familial et surtout, une fois en campagne, quitter la voiture qui est une autre cage de faraday comme le béton armé. Marcher, marcher … naturellement, prendre son temps, tout son temps de regarder, de rêver au dehors, respirer inconsciemment mais respirer un autre air… pourtant, ne pas respirer les odeurs de cultures traitées. 

Voir les arbres, les ruisseaux, la mer, tout ce qui n’est pas pollué physiquement, chimiquement. 

La pollution du milieu entraîne la pollution de l’esprit d’une façon non visible, mais certaine. Cela constitue un empoisonnement de l’Etre. 

L’habitude empêche les hommes de voir le vrai danger, certains volcans grondent avant d’entrer en éruption ; la nature polluée est silencieuse et nous piège si nous n’y prenons pas garde. 

A ceux qui sont forcé d‘habiter en bile ayez des plantes vertes dans vos appartements, que vous planterez dans une terre que vous aurez ramenée d’un coin de campagne encore sain. Les végétaux sont nos alliés. Ils peuvent aider l’homme à échapper à la pollution qui les entoure. Prenez des douches chaque jour, même à l’au javellisée à la seule condition de vous passer sur le corps un parfum à la lavande, eau de toilette ; éviter les bains avec cette eau qui vous imprégnerait de clore. 

VIVRE EN VILLE ET POLLUTION dans Chemin spirituel images-4Derniers conseils : cherchez vous les appartements le plus élevés possibles et soumis aux vents – laisser entrer le soleil chez vous, même s’il est pâli par les fumées.

 Signé Jacques R.

 

 

 

issu du livre de Jacques RUBINSTEIN : Le Grand Livre de la Wicca et de la Sorcellerie Bénéfique

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Utiliser la Loi de l’Attraction

Posté par othoharmonie le 29 août 2013

Utiliser la Loi de l'Attraction dans AUTEURS A CONNAITRE alchemy-meditative-artMême si nous pensons « faire ce qu’il faut » pour que nos souhaits aboutissent, les résultats manquent souvent… En réalité, faire un vœu ne suffirait pas : comme nous l’explique Esther Kasri-Wick dans son « Guide pratique de votre réussite », pour qu’il se réalise il faudrait entourer le souhait d’une énergie positive: c’est la Loi de l’Attraction.

Longtemps dans mon parcours, je pensais qu’il suffisait de se répéter sans cesse l’affirmation de ce que je voulais pour l’obtenir. J’ai souvent, très vite, déchanté. Non seulement c’était fatiguant de répéter, mais en plus, je me décourageais lorsque rien ne se passait. J’avais seulement la moitié de la clé de réussite. En me perfectionnant dans le domaine de la pensée positive et en découvrant les clés de réussite par la Loi de l’Attraction j’ai pris conscience qu’il y avait des éléments qui me manquaient. Dès lors, il était tout à fait normal que lorsque je lançais mes désirs en fusée dans l’Univers, ils retombaient comme un soufflé. Le jour où j’ai fait entrer dans mon expérience de vie la Loi de l’Attraction, c’était comme si j’avais ouvert la salle des coffres de l’Univers. Je prenais enfin possession du « bon de commande à l’Univers », avec garantie de succès, pour peu que je l’utilise correctement. Inutile de vous dire que j’ai très vite essayé ce « bon de commande à l’Univers », ainsi que son service de livraison qui quelquefois est express et quelquefois plus long : tout dépend du service logistique de l’Univers et surtout… surtout de la clarté de notre bon de commande. 

En effet, ce que vous voulez existe déjà, c’est pour cela que ce désir vous est venu en pensée. L’Univers gère très bien les stocks. Il suffit de demander et de faire confiance. Tout dépend à présent de ce qui a provoqué l’étincelle du désir. 

Nous demandons plus d’argent, lorsque nous en manquons, n’est-ce pas ? Nous demandons un travail lorsque nous n’en avons pas. Souvent l’étincelle du désir provient d’un manque, ce qui est humain et normal. Ensuite il faut savoir gérer cette demande. Car souvent les demandes issues d’un manque se transforment en peur du manque, en obsession. 

L’obsession est un sentiment issu de la peur et du manque, ce n’est jamais bon de poser sa demande dans ce sentiment obsessionnel qui vous fait ainsi vibrer bas dans vos émotions. Pourquoi, me direz-vous ? Je vais prendre un peu de temps pour vous l’expliquer. Evidemment, tout désir part d’un besoin, d’une envie, d’un manque ; ensuite, une fois ce besoin constaté, il se transforme en désir ; ce désir va être mis en place sous forme de demande, celle-ci doit se baser sur le plaisir de la réalisation, pas sur la peur de manquer. 

Exemple : Si je veux plus d’argent, est-ce par suite d’un sentiment : de manque, de besoin, d’envie, de jalousie… ? Pour les deux premiers, c’est un constat : avoir plus d’argent m’arrange. Pour les deux suivants, c’est un sentiment plutôt négatif. Si j’émets un désir par jalousie, envie, et si le constat de manque et de besoin se transforme en obsession, alors oubliez très vite la possibilité d’être dans l’abondance dans les semaines qui suivent, car cela ne fonctionnera pas. Au contraire, vous accentuez considérablement votre situation de manque, de détresse, de pauvreté, de peur ; conséquence, c’est encore plus de manque, de pauvreté, de détresse et de peur que vous aurez. 

Si vous émettez le désir de plus d’argent parce que cela vous permettra d’acheter l’ordinateur qui vous plaît en ce moment, de vous faire plaisir avec un bijou, une maison, des vacances, une vie joyeuse pleine d’amour, de partage et de lumière, alors, nous sommes sur la bonne voie, celle du Bien-être. Car vous allez déjà vous projeter dans la situation, la ressentir dans la joie, vous allez ressentir comme une excitation positive de l’avoir déjà. 

Vous comprenez la différence ? Dans un cas, vous allez vibrer et ressentir des émotions basses (peur, angoisse de manquer, dépression…), dans l’autre vous vibrez et ressentez des émotions hautes et toujours plus hautes. 

C’est l’un des secrets de la Loi de l’Attraction, tout est énergie et tout est vibration. Si vous envoyez une énergie basse, vous créez un canal qui va vous lier avec l’Univers sur la fréquence basse, si en revanche vous êtes dans une émotion haute, votre énergie vibrera haut, et vous enverrez cette vibration qui vous liera avec l’Univers sur la fréquence haute (c’est comme le réglage des fréquences de radio). Le meilleur moyen d’y arriver, lorsque vous avez un désir qui vous vient, ressentez ce désir, et demandez-vous pourquoi vous voulez telle ou telle chose. Je veux plus d’argent. Pourquoi ? Pour pouvoir être plus confortablement installé, pour faire des voyages, pour offrir des cadeaux, pour m’acheter la voiture de mes rêves… Ensuite imaginez-vous vraiment dans ces voyages, ce que vous y faites, quelles personnes vous rencontrez… Là vous vibrez dans une belle émotion, les choses peuvent se mettre en place, vous leur préparez le terrain. (…)

Vous voyez que la Loi de l’Attraction est simple. Les demandes que vous avez doivent absolument avoir pour énergie le désir de joie, de bonheur, de bien-être, d’amour, dans une légèreté et un détachement complets. Croyez fermement que vous l’avez, puis vivez, vivez, vivez comme si vous l’aviez déjà. (…)

Lorsque vous souhaitez un emploi, c’est parce que vous n’en avez pas, nous sommes bien d’accord. Dès lors, le souhait est basé forcément sur un manque, vous allez nourrir cette pensée de manque, de peur de ne rien trouver et vous continuez à rester dans cette situation de « manque », puisque c’est ce sur quoi vous focalisez, et vous repoussez la possibilité de trouver le poste que vous désirez. Ne vous est-il jamais arrivé de voir des propositions tomber une fois que vous étiez en poste ou que vous abandonniez les recherches ? Vous voyez, c’est parce que le fait d’être en poste vous donne une confiance en vous, vous n’êtes plus obsédé par le manque, vous croyez en vous et vous êtes totalement détaché… C’est là que tout arrive. 

C’est pourquoi, lorsque vous souhaitez trouver un emploi en étant persuadé que cet emploi va entrer dans votre expérience de vie, l’emploi que vous souhaitiez, même si cela prend du temps, vous allez l’avoir. Rien ne vous empêche de mettre à profit le temps où vous êtes encore disponible, pour faire ce que vous ne pouviez pas entreprendre pendant que vous étiez en poste. C’est ce comportement dans votre demande qui fera la différence ; vous abordez cette période (peu importe qu’il s’agisse de recherche d’emploi, de vente de maison, de changement d’orientation) de manière positive, ouvert à toutes les possibilités, constructif dans votre état d’esprit et cela se ressent dans votre comportement. C’est avec cette sérénité que vous rayonnez ensuite autour de vous et c’est elle qui donne naissance à la spirale montante, car vous créez ainsi la réalité que vous voulez vivre. 

couv_1239 dans Auto-GuérisonGuide pratique de votre réussite, Esther Kasri-Wick
Editions Baudelaire (Avril 2013 ; 132 pages) 

vu sur INREES.com 

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LA CROISSANCE NE CRÉE PAS D’EMPLOI

Posté par othoharmonie le 28 août 2013

LA CROISSANCE NE CRÉE PAS D'EMPLOI dans Nouvelle TERRE images-3

N.C. : L’économiste marocain Hassan Zaoual fait remarquer que si l’on s’en tient aux théories économiques en vigueur, qui ne tiennent pas compte du grouillement des « économies informelles », la moitié de l’humanité ne devrait pas être en vie. Selon lui, nous ne sommes pas des homo economicus mais des homo situs, des êtres « situés », un site n’étant pas seulement un lieu, mais aussi une boîte noire de croyances, de mythes, de conceptions non explicites, et une boîte à outils pleine de savoir-faire. La majorité de l’humanité se débrouille avec de tout petits boulots. Et vous nous dites que c’est l’avenir plutôt que le passé ?

T. G. : Il faut cesser de croire aux informations officielles, qui disent par exemple que la croissance crée des emplois. C’est faux ! La transformation actuelle du système technique nous fait passer de la civilisation industrielle à la civilisation cognitive. Or une transformation technique se déroule toujours en deux temps : d’abord, on produit des objets qui facilitent la vie (l’ordinateur, le portable), puis on a une crise de l’emploi parce que la productivité augmente alors que la demande reste stagnante. C’est la crise de jeunesse, comme en 1848 pour l’industrialisation. La réponse de la classe dirigeante est généralement de lancer de grands programmes structurants d’investissements, et d’encadrer les jeunes. Aujourd’hui, on le voit avec la crise de l’immobilier américain, la réponse consiste à créer de la monnaie, dans un système financier international déjà fortement surévalué. Difficile de dire combien de temps les banques centrales vont pouvoir le maintenir sous perfusion – créant ex-nihilo l’été dernier deux cent milliards de dollars en un week-end ! Résultat à prévoir : inflation, appauvrissement général, mais pas plus d’emplois. Nous avons toujours pensé que la période critique se situe entre 2010 et 2020. Il est possible que les Systèmes d’Échanges Locaux, c’est-à-dire les monnaies libres, une fois sur internet et étendus aux entreprises comme cela commence à se faire, représentent une alternative à ces grandes monnaies officielles, qui ont tendance à devenir de plus en plus de la fausse monnaie (cf. article Noubel, page xx). Il y a là des éléments structurants, qui vont se mettre en place en même temps que ce retour, dont je parlais, vers la campagne et des systèmes plus autonomes et locaux.

N.C. : Vous croyez vraiment que les villes vont se vider, alors qu’elles se remplissent de plus en plus, au niveau planétaire en tout cas ?

T. G. : Nous venons, en effet, de passer le cap de la moitié de l’espèce humaine urbanisée, et l’on sait que le gros de la dépense énergétique (70 à 80%) est le fait des villes. Mais qu’est-ce que cela veut dire exactement ? Rapportée au nombre d’habitants, cette dépense est très inégale. Certaines villes, comme Houston ou Los Angeles, consomment énormément, d’autres, comme Hong Kong, très peu. De plus, on assiste à une évolution qui tend à réintroduire la nature dans la ville. Il est possible d’imaginer une adaptation urbaine, ou rurbaine, du style de vie dont je parle, plus autonome et pluri-active. Beaucoup de citadins sont déjà pluri-actifs. Enfin, il faut insister sur un point crucial : les nouveaux systèmes de communication, qui permettent par exemple le travail à distance, n’ont pas encore produit leurs effets sur la structuration des territoires et sur la répartition entre ville et campagne. Ces conséquences vont se faire sentir dans la prochaine décennie : les gens vont faire d’autres choix sur la manière d’équilibrer leur vie, comme on commence à le voir de façon encore très discrète. Cela n’a rien de spectaculaire, ce sont des petites décisions élémentaires, mais le phénomène est appelé à s’amplifier – la technologie y contribue.

 Extrait de l’interview de Thierry Gaudin paru au http://www.cles.com/

 

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tourner la Page du passé

Posté par othoharmonie le 28 août 2013

 

La vision intérieure et extérieure de l’abondance est relative pour chacun d’entre nous. Chaque personne possède en elle sa propre vérité sur ce plan, à l’égard de ce qu’il voit et perçoit de l’abondance. Pour quelqu’un, c’est l’argent en premier lieu, pour d’autres c’est le matériel, et pour certains, c’est l’amour, l’affection, les bonnes relations, etc. et enfin pour d’autres, c’est le paraître. Qui a raison à la fin? Tout le monde a raison de son point de vue. 

Nous devons regarder objectivement que durant notre existence terrestre nos demandes d’abondance ont été plus décevantes que bénéfiques sur plusieurs plans. Or, à compter de maintenant, il est primordial que nous tournions la Page sur notre passé afin de Commander notre abondance avec une vision plus élargie, voire renouvelée de notre conscience actuelle.

 tourner la Page du passé dans Nouvelle TERRE images-2

Il s’agit maintenant de déterminer ce que nous priorisons comme besoins afin d’acquérir la forme d’abondance désirée. Les Clés Multidimensionnelles de l’Abondance peuvent nous donner une idée générale et une perception élargie de l’abondance afin d’arriver à combler nos besoins quels qu’ils soient. Il s’agit, entre autres, de changer simplement nos paradigmes anciens de réflexions ainsi que notre position face à notre attitude, en étudiant objectivement nos priorités en ce qui concerne l’abondance sous toutes ses formes. 

Nous trouvons à l’intérieur du livre Les Clés Multidimensionnelles de l’Abondance du matériel efficace pour nous aiguiller à identifier, à ajuster, à prioriser et à obtenir probablement ce que nous avons toujours rêvé et désiré comme abondance dans notre vie, et ce, à des niveaux raisonnables, voire intelligents que nous aimerions réaliser. 

Toutefois, j’ai mis une emphase sur l’abandon et la libération de nos paradigmes existentiels de l’abondance afin de nous reconnecter à notre aspect multidimensionnel de notre Maître intérieur ou si vous préférez de l’Êtreté en nous; au lieu de la vision limitée du mental, de l’ego et de la personnalité demandeurs. On y retrouve, notamment, tout ce que nous avons besoin d’abandonner judicieusement, tout en nous aidant à libérer des vieilles pensées subjectives inajustées et dépassées que nous avions face à l’abondance. 

Ainsi, nous y retrouvons des mécanismes simples que nous pouvons appliquer journellement : 

  • Les rasions fondamentales de notre déconnexion avec l’Abondance;
  • L’abondance se vit également à l’intérieur de nous;
  • Une présentation détaillée des Clés multidimensionnelles de l’Abondance où il y a des suggestions, des trucs et astuces énoncés afin de faire une remise en question de notre conscience face à l’abondance, en plus de projeter ce que nous souhaitons acquérir de celle-ci;
  • Demande de libération et d’abandon des anciens paradigmes relatifs à l’abondance et à la richesse, incluant les 11 DÉCRETS qui permettent l’abandon de l’ancien pour faire face à du nouveau;
  • Une déclaration solennelle d’engagements d’abandon vis-à-vis une demande d’Abondance multidimensionnelle étalée sur 49 DÉCLARATIONS D’ENGAGEMENTS;
  • Une demande abrégée d’abandon à la Lumière pour un projet à réaliser;
  • Un exercice de formulations vibratoires afin de créer une connexion interdimensionnelle et multidimensionnelle de l’abondance dans toutes les dimensions avec l’Êtreté;
  • Un exercice multidimensionnel sur la Nouvelle vocalisation vibratoire avec le mantra « IS »;
  • Pourquoi vivre le Moment Présent;
  • Exercices sur le Moment Présent et sur une Cure du Silence;
  • Matérialiser l’abondance par le biais de l’Esprit de l’Êtreté. 

Les Clés Multidimensionnelles de l’Abondance est un ouvrage simple, facile et pratique à appliquer dans notre vie de tous les jours. Cet outil instructif et révélateur de 80 pages de techniques inspirantes permettent, à la fois, de retrouver un certain équilibre entre nos besoins, et tout ce qui est nécessaire pour vivre sans nous soucier de demain ou du lendemain qui, souvent, nous projettent dans l’inquiétude et l’angoisse. 

Certes, ce livre nous aide à parfaire notre vie dans l’Ici et Maintenant. Son objectif est de donner une nouvelle méthodologie multidimensionnelle pour créer par nous-mêmes notre propre abondance dans ce que nous souhaitons réaliser, et ce, simplement en changeant graduellement nos paradigmes du passé, de certaines habitudes dépassées et de certains comportements qui n’ont plus leur place dans notre vie. Bref, vous est offert dans cet ouvrage un nouveau langage de mots vibratoires qui sont ajustés à l’actualisation de l’Abondance multidimensionnelle ainsi que de nouvelles applications innovatrices thématisées qui concourent à adapter à votre conscience sous plusieurs plans dimensionnels. 

Enfin, rappelez-vous que dans chaque atome existentiel dans notre 3e dimension désunifiée, il y a de l’Amour Vibral qui est une Loi d’attraction multidimensionnelle. Mais, à partir du moment où nous ouvrons notre Cœur Vibral, nous avons la capacité vibratoire de récupérer les Fruits multidimensionnels de ces atomes du moment où ils sont réunifiés. En outre, il est nécessaire que nous transformions nous-mêmes ces atomes dichotomisés en les réunifiant à la Lumière Vibrale de la multidimensionallité. C’est ainsi que l’exercice pratiqué par les formulations vibratoires de connexions interdimensionnelles et multidimensionnelles permettront de transcender l’atome ancien pour le réunifier à ses origines de créations stellaires. Ce qui nous permettra, dans un premier temps, de rejoindre en nous la 3e dimension unifiée laquelle nous emmènera vers la 5e dimension.

 

« L’abondance doit être considérée comme un droit multidimensionnel,

mais sans en abuser ou s’en glorifier ».

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Ce que nous appelons DIEU

Posté par othoharmonie le 28 août 2013

……est notre cellule et ce qu’il y a dedans

 

Interprétation de Jacques – Gérard Vésone

 

Ce que nous appelons DIEU  dans DIEU jacques-vesoneChers amis de cœur, comment résister à l’envie de vous mettre ici en copie de cette réponse que je donne sur mon blog…. http://www.la-grande-revelation.com/qui-en-est-l-auteur-jacques-gerard-vesone-a1653621?214232

<<  ….Ce que vous avez vécu avec cette vision de l’aigle planeur et planant qui s’écrase est un rêve éveillé d’enseignement que j’analyse ici à la fin du message.

Quant à votre question basique sur la CROYANCE en Dieu (qui hante l’humanité depuis sa création) c’est enfin une question résolue et ce n’est qu’une question de communication et de temps pour que toute cette humanité le sache. La croyance n’est pas concernée du tout. Ce serait comme dire : <<Croyez-vous en l’atome ?>>  Je le constate et je le vis, c’est tout, et c’est plus simple à comprendre !

D’autre part la vérité n’est jamais linéaire et mono-dimensionnelle, jamais. C’est une énorme illusion carcérale. Or nous pensons à Dieu, et au reste, toujours d’une façon linéaire selon la programmation de notre mental devenant le seul code officiel. La conscience n’est pas que mentale.

Ce que nous appelons DIEU, ce tout puissant créateur de tout, est notre cellule et ce qu’il y a dedans, même le vide. L’humanité est l’un de ces nombreux organes. Nous sommes l’une des cellules de Dieu. Ne pas le savoir crée comme une maladie. Certains organes de ce Grand Corps en mutation rapide, ont la capacité par voracité naturelle d’isoler et de parasiter d’autres organes plus faibles pour avoir eux une croissance plus rapide. C’est le cas de la famille reptilienne dont je parle tout au long de mon livre. Cela oblige naturellement les organes affaiblis que nous sommes de créer une antidote par contamination cellulaire.

Ainsi le grand corps universel de Dieu devient plus fort et plus équilibré par notre auto-immunité physiologique. Voilà l’histoire du monde et de l’humanité dans l’une de ses dimensions. L’immortalité reptilienne devient l’une de nos qualités. De même la race reptilienne pure, qui est sans émotion, ni amour, s’en trouve transformée par cette même contamination inverse.

Le phénomène reptilien, qui crée l’Ombre salutaire de la dualité, constitue comme un vaccin favorable à l’humanité. Mon livre et blog décortique ce processus afin de faciliter l’intégration humaine de cette antidote au venin reptilien. Merci à eux, même si les piqures ne sont jamais très agréables ! Pour les nouvelles cellules immunisées le taux vibratoire crée une nouvelle réalité fusionnant les anciennes Ombres/Lumières. C’est ainsi que le corps de Dieu évolue de marche en marche vers son unicité.

Certaines cellules se referment sur elles-mêmes et créent un monde à part. C’est une tentation de fuite très agréable. Par contre un cancer est ainsi créé…L’excès d’individualité poussé à l’extrême provoque ( après l’extase du nirvana de libération artificielle) l’écrasement de notre esprit dans cette expérience. Tel est le message d’enseignement de votre magnifique aigle planeur………… ……. »Boum » ……..faut tout recommencer.    Peu importe, rien ne se perd et tout se transforme. >>

Cordialement de cellule à cellule, mais le plus ouvert possible.  

Jacques  

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La révolte du Maître Peter Deunov

Posté par othoharmonie le 27 août 2013

 La révolte du Maître Peter Deunov dans Nouvelle conscience v

Lecture de la pensée du Maître Peter Deunov :

« Les hommes actuels se laissent séduire par de petites choses.

Si quelqu’un voit que son voisin mange une poule, une dinde, un porcelet, il est tenté et dit: « N’est-ce pas que je suis pauvre! Je ne peux manger ni poule, ni porcelet. » Il ne soupçonne pas combien impure est la viande du cochon. C’est l’animal le plus impur. L’homme croit qu’en jetant les intestins du cochon toutes les impuretés disparaissent. Il n’en est pas ainsi. L’impureté est dans les cellules du porcelet et en général, dans la viande de porc. La nourriture végétarienne est plus pure que la nourriture carnée. La nourriture la plus pure est le blé, ou comme il est dit dans l’Evangile « Notre pain céleste ». En sortant d’Egypte, les juifs furent contraints de manger une nourriture végétarienne par nécessité, mais une révolte s’éleva contre Moïse, ils voulaient de la viande. Ils disaient: « Désormais, nous sommes dégoûtés de la manne ! »

Ce que je dis aujourd’hui s’applique aux disciples. Voulez ­vous être des disciples? Les juifs étaient des disciples de Moïse. Longtemps il les instruisit, mais malgré cela ils se révoltèrent parfois contre lui. Ils n’étaient pas satisfaits de leur vie. Moïse disait: « Ces disciples me lapideront. » Ils étaient adultes et souffraient de l’idée qu’il connaissait beaucoup de choses. Parfois aussi ils ne croyaient pas même que Moïse fût un prophète et ils murmuraient contre lui. »

                             ………………………….

Les Anges eux-mêmes se sont révoltés, comment les juifs, dans le désert, ne l’auraient-ils pas fait! Moïse voulait les nourrir d’une nourriture végétarienne et céleste. Il les fit sortir d’Egypte pour qu’ils aient la liberté, mais après ils se sont révoltés, disant: nous ne voulons pas manger la manne ! Comme une femme qui veut se marier et qui ensuite quitte son mari; mais après, elle veut qu’il revienne !

Ces hommes voulaient la liberté. Dans le désert ils l’avaient, mais où voulez-vous qu’elle les mène? Dans les cabarets? Dans le désert, ils étaient libres et mouraient comme des mouches. Pourquoi ? Parce qu’ils voulaient retourner en arrière et ils furent punis quarante ans ! Ils sont restés dans le désert et beaucoup y sont morts, afin que ne restent que ceux qui voulaient être végétariens. Moïse voulait former un noyau sérieux, mais ils étaient vieux et voulaient encore manger de la viande, s’amuser, symboliquement. C’est pourquoi pendant quarante ans, il ne les a pas menés en Terre promise.

Que représente la viande? Tout le vieux qui n’est pas pur. La manne c’était le nouvel Enseignement; c’était les graines, une végétation, mais aussi le symbole de l’Enseignement nouveau. Moïse les a forgés, instruits; mais les juifs pensaient, disaient que c’était mieux avant ! Partout il en est ainsi. Tous les Instructeurs de l’humanité ont constaté que lorsqu’on est dans un Enseignement et qu’on réalise qu’on ne peut pas manger comme avant, être coléreux comme avant, etc., on est furieux. On vous empêche… et qui empêche ? L’Instructeur. Alors c’est sur lui qu’on se jette … Mais laisser les élèves retourner en arrière, c’est très dangereux. Si vous sentez souffler à nouveau le vent de la révolte, que ceux qui comprennent que c’est mauvais et dangereux, se protègent!

Dans le désert, pourquoi des maladies et la mort sont-elles venues? Parce qu’ils avaient détruit la vie d’harmonie que Moïse leur avait apprise. Quand ils ont transgressé cette loi de l’harmonie, ils ont été balayés. Donc, si de nouveau la nature humaine se révolte contre ce que l’on mange, si elle veut un peu de viande et désire retourner à la vie ancienne, alors qu’on se protège. Ne retournez pas aux défauts de l’art ancien!

Ceux qui comprennent ne marcheront pas du côté de la révolte. Quand on ne réfléchit pas, on peut s’associer au souffle de la révo1te. Ceux qui ne comprennent pas perdront ainsi la nouvelle vie … Ce sera leur punition. Vous direz que cette punition n’est pas grande. Mais au contraire, rien n’est pire que d’être privé de la nouvelle vie; tout le corps sera intoxiqué et toutes sortes de choses pourront se produire. La nouvelle vie purifie les organes, le coeur, le cerveau. Pour ceux qui comprennent, tout est là : vivre la nouvelle vie.

Vous direz: « N’y a-t-il pas des exceptions, des Maîtres sur terre contre lesquels on ne s’est jamais révolté 7″ Je n’en trouve pas, quand je cherche. Du moment qu’on s’est révo1té contre Dieu, pourquoi pas contre les humains ? Que dire de Peter Deunov? Contre lui, beaucoup se révo1taient. Tout le monde le sait là-bas. Il n’y a pas d’exceptions. Et Jésus? Pourquoi l’a-t-on crucifié? On s’est révolté contre lui. La révo1te existe partout, même dans l’organisme de chacun. Vous connaissez ces révo1tes ; quelquefois vous avez des coliques ou autre chose, un abcès … Il y a toujours une révo1te quelque part. Ceux qui sont révo1tés sont chassés. Si on doit se révo1ter, c’est contre soi-même. C’est la révolte la plus préconisée. On doit se révo1ter contre sa personnalité, dire: « Je suis têtu, coléreux, etc., je ferai des réformes, mais laissons les autres tranquilles. » Tous sont d’accord pour faire les réformes au-dehors avant d’avoir accompli les réformes au-dedans. Ce n’est pas sage, et c’est pourquoi la révo1te ne mène à rien, elle vous fait toujours perdre les bons amis, le Bon Dieu.

Cette page est riche d’enseignement mais c’est une question tellement délicate que je fi1tre chaque parole pour ne rien dire que je regretterais ensuite. Voulez-vous être des disciples, dit le Maître? En tant que disciple, vous ne vous révo1terez ni contre Dieu, ni contre les autres, ni contre le soleil, ni contre la nature. Révoltez-vous contre votre intellect, si vous ne comprenez pas. Révoltez-vous contre vos faiblesses, si vous ne savez pas réaliser un travail; mais au lieu de vous révolter même contre vous, il vaut mieux étudier la question. Quelqu’un rouspète, tous sont avec lui, mais il faudrait d’abord réfléchir. On dit:

« Nous ferons la révolution », mais les autres voient que ce n’est pas intelligent, et quand la révolution commence, tous sont partis. Laissons les autres se révolter dans le monde, ils se fatigueront, .mais nous, unissons-nous et travaillons. La révolte, la désharmonie, amènent toujours les désordres, tous les malheurs.

J’ai vu des gens qui sont toujours révoltés. Il y a très peu de gens méchants, mais ils sont toujours furieux contre tout, sauf contre eux; ils se croient impeccables. Je leur ai conseillé de se révolter contre eux-mêmes. Rien à faire! Leur philosophie ne mène nulle part. On ne doit jamais se révolter contre la sagesse, la justice, Dieu, ni contre notre ordre humain. Avant de se révolter contre l’ordre des autres humains, il y a tout un chemin à parcourir. Quand Dieu nous mettra à la place où il faut pour transformer l’humanité, nous avancerons, mais nous ne devons pas nous en occuper avant. .. Même les enfants comprennent cela; mais parfois on galope, on ne s’arrête pas pour réfléchir. Quand on est tranquille, on comprend ce qui est bête ou laid, ou injuste, mais prenez une épingle, piquez quelqu’un et vous verrez s’il comprend. Agitez un peu les gens, ils ne comprennent plus. Jamais les gens ne comprennent quand ils sont excités, ils voient rouge. Il faut les calmer d’abord et alors ils réalisent qu’ils n’ont pas raison de faire ce qu’ils font. Donc il faut tout d’abord calmer ceux qui viennent vous inciter à partager leur révolte.

C’est l’histoire de la femme qui, en Bulgarie, avait un mari ivrogne et qui, durant trente ans, le prêcha des heures entières pendant qu’il était ivre. Contente d’avoir fait son devoir, elle se couchait, mais c’était toujours la même histoire. Un jour j’ai parlé avec elle. Je lui ai demandé pourquoi avec une telle sagesse son mari n’avait jamais changé? Elle m’a dit: « Je ne sais pas pourquoi. » Je lui ai expliqué qu’il fallait lui parler quand il était dégrisé … Elle n’avait jamais pensé à cela! Cette femme était loin de penser qu’il y avait un moment pour chaque chose. Il en est de même pour les coléreux, il faut d’abord les calmer et si on n’a pas de temps pour cela, on les laissera tels qu’ils sont.

Ce que je viens de vous dire, ce ne sont que des miettes.

Comment arriver à se maîtriser, se dominer, conserver l’harmonie? C’est très difficile. La majorité marche dans n’importe quel courant, quelqu’un leur dit quelque chose, ils sont embarqués !

Pourquoi est-ce que je parle ainsi ? Parce que dans toutes les fraternités, l’esprit de révolte existe. Toujours il y a eu des révoltes, toujours il y en aura, c’est tout à fait naturel. Quel est le remède? Réfléchir. On doit se dire: la révolte, je l’aime, mais où conduit-elle? Après une bonne réflexion, on comprend. C’est très facile de détruire. Rien n’est plus facile que de se faire fermer une porte; mais que gagne-­t-on à cela? Il ne faut pas se faire fermer toutes les portes, c’est le contraire. Il faut savoir comment se faire ouvrir les cinquante portes de Binah. Chaque porte s’ouvre sur une parole déterminée. Donc, c’est la langue, le Verbe qui ouvrira toutes les portes. Quand on n’a pas étudié la question de la langue et qu’on parle à tort et à travers, toutes les portes se ferment. Je peux vous donner beaucoup d’exemples, je ne le veux pas. Je pourrais vous dire comment les portes se ferment et s’ouvrent. Les paroles sont transmises n’importe comment; on déforme tout et les gens ne se demandent jamais comment ils transmettent les choses! Les cinquante portes de Binah ! Il faut savoir toujours dire de bonnes choses. Ceux qui ne savent pas garder leur langue perdront tout.

J’avais des amis dans la Fraternité; j’ai tout fait pour les sortir de cette habitude de toujours se révolter, mais comme je né veux pas que ma petite famille soit contaminée, j’ai dû m’en séparer. Je continue à les aimer, mais j’ai dépensé tant de temps, de santé pour cette petite famille que je ne veux pas que l’esprit de révolte se cultive en elle. Pas moyen de les assagir, ils sont nés avec ces courants et ne pensent qu’à l’esprit anarchique. Et les frères et soeurs marchent dans leur voiture parce qu’ils sont aimables et les invitent. .. Les frères et soeurs ne doivent pas se laisser acheter ainsi. Ils ne doivent pas entrer dans des combinaisons, se jeter dans la bagarre et perdre tout. Vous ne devez pas tolérer l’esprit de critique. Quand vous entendez de tels esprits, vous devez les calmer, leur présenter les choses autrement, sinon vous savez que s’ils sont battus, vous le serez également, s’ils sont chassés, vous le serez aussi.

Devons-nous servir le bon Dieu ou l’esprit de révolte? Si tous tirent la couverture à eux, alors c’est moi qui devrai me révolter … Mais jamais je ne me révolte; un jour seulement, en 1942, alors qu’on ne pouvait obtenir le silence, je me suis levé et je suis sorti de la salle, et depuis ce jour-là, on a eu le silence! Mais on me donne des coups! Ceux que je transporte sur l’autre rive, me donnent des coups de pied. Si je les rejette, ils se noient; si je continue, je serai esquinté. Je dis:

« Patience, on arrivera, j’ai tant patienté! » Quand je partirai, soyez prudents. J’ai toujours remarqué que si quelque part vous faites quelque chose de bon, il y a une réaction, et je redoute qu’à mon départ il y ait de nouveau des fermentations. Mais vous n’êtes plus des bébés; il faut savoir marcher, vous êtes des adultes maintenant. Après mon départ, veillez à ce que rien ne s’effrite. Je dois avoir en vous des collaborateurs qui veilleront, surveilleront, seront attentifs. S’il y a de nouveaux trous, comment les combler? Je serai loin! C’est très difficile sur la terre de faire une fraternité … Ne nous attristons pas. Il y a quelques milliers d’années, les juifs se sont révoltés; oublions cette histoire, cela nous est égal du moment qu’il n’y a pas de révolte chez nous … Il n’yen a pas d’ailleurs et il n’yen aura jamais!

Chez certains, et c’est naturel, il y aura toujours des révoltes.

Et quand il y en a au-dedans, elles apparaissent aussi au-dehors. Dieu nous a donné· une sagesse qui doit veiller. Le plus grand danger, c’est quand l’intelligence s’assombrit et ne dirige plus le caractère de quelqu’un. La révolte prouve au moins qu’on est vivant; c’est déjà quelque chose … Il est préférable d’être vivant que mort; c’est pourquoi tous les vivants se révoltent. Même le bébé qui vient de naître, quelle révolte ! Il pousse des cris, il dit: « Dans quel pétrin je suis entré ! » La vie commence par la révolte. Il ne faut pas tellement s’en alarmer, mais il faut être comme les sages-femmes et remédier. Elles ne peuvent empêcher cette révolte mais elles prennent la précaution de bien envelopper l’enfant. .. Heureusement il n’a pas de dents! Pourquoi l’enfant est-il révolté? Il me l’a dit ; les enfants m’ont dit: « On vous le dira à vous, mais ne le dites pas aux autres ! » L’enfant était bien en haut, c’est la descente qui l’a révolté. Quand il était dans l’eau (la mère), il se sentait bien, très bien, dans la paix, dans une harmonie, bercé ! Mais quand on l’a fait sortir, il s’est révolté contre la lumière (bien qu’il ne voie pas),. contre l’air; c’étaient des conditions très bizarres, et maintenant il doit faire fonctionner ses poumons. Spirituellement, c’est aussi un peu vrai; quand on plonge les êtres dans la lumière, ils se révoltent. Après un temps, ils sont bien. Ne vous effrayez pas d’être révoltés mais dirigez votre révolte.

Quand un enfant se heurte contre une pierre, il commence à la battre. Les humains sont ainsi : au lieu de chercher la cause dans leur maladresse, leur inattention, leur façon de marcher, ils se jettent sans réfléchir sur la pierre. Il y a une profondeur dans cet exemple. Plus on réfléchit, plus on voit que la révolte est un manque de quelque chose, pas de nourriture ou d’argent, mais de compréhension, de lumière. On se révolte parce qu’on ne voit pas clair … Si on voyait clair on ne serait, sans doute, pas aussi révolté. Souvent, certains sont révoltés parce qu’on les empêche de se manifester dans la volonté; mais si on les laissait faire ils détruiraient tout. Laissons de côté cette question délicate.

Lisons quelques pages du Maître où il est question de grands hommes. Pour les Initiés il n’y a pas d’ennemis, mais des amis qui ignorent qu’ils sont des amis … Ils sont poussés par une force et ils vous poursuivent; vous fuyez et enfin vous vous faufilez quelque part où vous trouvez beaucoup de richesses. Si vous n’avez pas d’ennemis, c’est que vous ne représentez rien, personne ne s’occupe de vous! N’allez pas au lever de soleil si vous n’avez pas décidé de pardonner à vos ennemis, car le soleil vous apprendra à distribuer la lumière, la chaleur à tous, bons ou mauvais, amis ou ennemis.

Méditons longuement. Concentrons-nous sur ces grands Etres ; en réalité ce sont des divinités réincarnées.

Vous ne songez pas à ces wagons de nourriture et de richesses qui vous sont envoyés chaque jour du monde invisible, seulement pour que vos cheveux restent sur votre tête et ne tombent pas ! Vous ignorez tout ce qui est passé à travers moi pour vous nourrir. Que durant quelques secondes cette alimentation invisible cesse et vous seriez détruits. La vie est une chose perpétuelle, un échange continu. Pensez- vous un peu à cela? Plus on pense à ces choses, plus on s’éloigne des petites choses de la vie. On pense constamment à la manière dont les autres vous ont parlé, vous ont regardé ; mais il faut penser à ces grandes lois, à tout ce qui vient à vous de l’invisible … C’est grand et magnifique! J’oriente toutes vos pensées vers des régions inexplorées.

Mes chers frères et soeurs, pensez un peu au Bonfin et permettez-moi d’aller tout mettre au point. 

DENEV Peter – Omraam Mikhaël Aïvanhov (Conférence du 4 mars 1956)

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Dans vos relations, ne vous en prenez qu’à vous-mêmes

Posté par othoharmonie le 27 août 2013

 

 

Dans vos relations, ne vous en prenez qu’à vous-mêmes dans Nouvelle conscience petit-rubis-sur-gros-diamant-j-10-1055532488-1662529Les relations humaines sont une source de grands défis pour la majorité d’entre nous. J’aimerais vous donner quelques conseils à ce sujet.

 Si vous voulez apporter des changements dans vos relations afin d’obtenir gain de cause ou un résultat spécifique, vous risquez l’échec. Voilà pourquoi il vaut toujours mieux invoquer la solution divine parfaite. Si vous désirez préciser le résultat espéré, il est important de libérer l’espace pour qu’il en soit autrement en ajoutant à votre prière ou requête : « Que ce soit ainsi ou mieux, selon la volonté divine ». Votre Soi supérieur perçoit et connaît la situation d’ensemble qui reste voilée à vos yeux. Si, par exemple, un mariage semble sur le point d’éclater, sur le coup vous dites : « Oh mon Dieu ! J’ai prié et invoqué cette Flamme violette, j’ai fait tout en mon pouvoir pour être aimant, compatissant et résoudre la situation avec amour et clémence, mais j’ai l’impression d’avoir affaire à une catastrophe encore pire ». Et si ce mariage se dissout quand même, cela signifie-t-il un échec pour autant ?

 Je vous assure que non. Ce n’était pas le résultat espéré parce qu’il s’agissait d‘une relation karmique ayant atteint son terme, et votre Soi supérieur est désormais prêt à ouvrir votre vie à quelque chose de plus approprié à votre voie et à votre bonheur. En raison de l’excellente qualité du travail intérieur accompli, vous avez obtenu le droit de passer à une liaison plus épanouissante. Où est donc la catastrophe, si ce n’est dans l’illusion éphémère qu’entretient l’humain ?

 Dans une situation difficile avec votre partenaire, votre rôle n’est pas de décider de l’issue voulue, parce qu’il pourrait alors s’agir d’une attitude de contrôle ne servant pas votre bien suprême ; toutefois, en faisant appel à cette énergie violette, en bénissant ce qui est, en l’inondant d’amour, de tolérance, de compassion dans toutes les circonstances sur votre route et en acceptant la solution divine, vous êtes assuré du meilleur résultat pour vous-même et pour les personnes concernées. On dit aussi de la Flamme violette qu’elle est « faiseuse de miracles ».

 Vous devez vous rappeler que l’intelligence divine sait toujours ce qui servira à votre bien suprême. Vouloir que les choses se passent comme vous le désirez, cela revient à dire : « Eh bien, Dieu, je veux ce truc, mais il faut que ça se passe à ma façon, même s’il ne s’agit pas, en fin de compte, de mon bien suprême ». Et par la suite, si vous insistez pour n’en faire qu’à votre tête, ne soyez pas surpris d’obtenir ce que vous désirez. Mais bientôt, vous vous apercevrez que ce n’était pas vraiment ce dont vous aviez besoin.

 L’humanité va devoir assimiler ces enseignements de manière beaucoup plus vaste. Des événements surviendront en ce monde qui exigeront de graves décisions, les plus graves que vous aurez eu à prendre depuis plusieurs vies. Sous peu, votre Terre-Mère ne tolérera plus le type de séparation qui sévit ici en son corps, et les gens devront s’adapter ou se retirer. Le nouvel « ordre mondial » sur cette planète n’est pas celui que projettent vos dirigeants ; ce sera une vie en union totale avec le Soi divin et le Créateur. L’ordre divin sera établi ici sous peu, que vous le vouliez ou non.

 Toutes vos relations, que ce soit avec votre famille, votre conjoint ou encore en société, sont des miroirs de votre Soi. Tout ce qui se passe sur le plan personnel ou global, dans une ville, lors de l’éruption d’un volcan ou d’un tremblement de terre, est toujours le reflet d’une énergie négative que les gens portent en eux. C’est le miroir de leur colère, de leurs peurs, de leurs déceptions, de leur avidité, des injustices humaines, du chagrin, etc… ce ne sont rien de plus que des reflets de ce qui a été engendré à l’échelle humaine.

 Les gens créent constamment, par leurs pensées et leurs émotions, ainsi que par leurs paroles et leurs actions et part les dialogues intérieurs qui se poursuivent incessamment lorsqu’ils sont éveillés. Ils affirment vouloir le corps parfait, le mariage idéal, et ainsi de suite, mais s’ils surveillaient leurs pensées et leurs sentiments, s’ils en prenaient conscience, ils découvriraient que leur création ou les énergies qu’ils émettent dans leur champ aurique ne peuvent corroborer leurs désirs. Si quelqu’un leur montrait, instant par instant, le caractère de leurs pensées et de leurs sentiments depuis, disons, les derniers cinq à dix ans, et à partir de quelle négativité ils ont tissé leur réalité, ils comprendraient sur le champ pourquoi ils n’ont pas la santé ou le corps parfait qu’ils désirent, pourquoi ils essuient des échecs amoureux et pour qu’elle raison leur situation financière laisse à désirer.

 Chacun doit prendre conscience de ses pensées, de ses sentiments et de ses paroles, pas uniquement de ses actes. Les paroles sont puissantes, et vous renforcez sans cesse la négativité par des mots, particulièrement par le biais de vos émotions. En effet, vos paroles ne correspondent pas toujours à ce que vous ressentez. Vous affirmez peut-être vouloir plus d’argent, mais intérieurement vous êtes un indigent. Vous rêvez d’une relation amoureuse plus heureuse, mais intérieurement vous ne croyez pas la mériter et n’être aucunement disposé à désherber le jardin de votre âme afin d’attirer le partenaire idéal. Vous souhaitez un corps parfait, mais intérieurement vous ne vous appréciez pas, vous n’aimez pas votre corps tel qu’il est, vous n’admettez pas les leçons qu’il vous enseigne. Vous n’acceptez même pas que ce que vous vivez correspond à ce que vous avez façonné par le passé, que ce soit en cette vie ou dans une autre. Le corps ne répond qu’à l’amour ; vous ne l’aimez pas et n’en prenez pas soin comme nous tous à Telos. Très  peu parmi vous s’apprécient suffisamment pour s’offrir les soins nécessaires, la plupart ne donnent pas au corps les nourritures dont il a besoin pour rajeunir et rayonner de santé. Comment donc espérez-vous avoir un corps parfait ?

 Quand vous décrétez que vous êtes malades, fatigués, que vous en avez marre de ceci ou de cela, vous préparez un puissant décret qui vous renvoie les énergies que vous venez d’affirmer. Vous affirmez constamment avec autorité ce que vous ne voulez pas. L’univers entend ; « Oh, elle est malade, fatiguée, elle en a marre, elle a créé toute cette énergie avec tant d’intensité et de puissance, alors on va la lui offrir, c’est certainement ce qu’elle désire ». et du coup, c’est ce que vous obtenez : le reflet de votre miroir.

 Invoquer la Flamme violette est un magnifique rituel à observer chaque jour. Et en vous y livrant, vous n’accumulez pas d’autres énergies déséquilibres. Vous pouvez utiliser cette Flamme pour nettoyer les négativités amassées. Ainsi, il n’y a jamais de surcharge. Chaque humain sur cette planète doit rembourser des dettes à la vie, contractées lors d’incarnations présentes ou passées. Si vous aviez manifesté davantage l’état de maître au cours d’existences antérieures, vous seriez peut-être ici-bas dans une forme physique ne subissant aucune difficulté et menant une vie relativement facile. Deux aspects sont à travailler lorsque vous êtes incarnés sur terre. En premier lieu, vous travaillez avec le quotidien au jour le jour ; en deuxième lieu, vous devez également rééquilibrer vos dettes à la vie datant de votre passé immédiat ou lointain. Le karma joue un certain rôle dans vos expériences humaines. Quand vous acceptez et vous abandonnez à votre lot quotidien, faisant appel aux propriétés purificatrices de la Flamme violette, vous chevauchez la vague de la vie beaucoup plus facilement et avec grâce ; votre karma prend dès lors le caractère d’une bénédiction et non d’un désastre.

 Extrait de TELOS III – Message de Adama, Maître Lémurien, canalisé par Aurélia Louise Jones – page 233

 

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L’HARMONIE, une clé importante pour se qualifier pour l’ascension

Posté par othoharmonie le 27 août 2013


L’HARMONIE, une clé importante pour se qualifier pour l’ascension dans Nouvelle conscience islande-une-soiree-amoureux-thumb-940x705-26265-600x450 Au dernier conseil de ZoharZohar est un maître ancien de la cité intraterrestre de Shamballa. Il a confié à Aurélia Louise Jones qu’il habite depuis des millénaires sur cette planète ; il a vécu 250 000 ans dans le même corps. Il mesure près de quinze mètre de haut, semble avoir environ trente-cinq ans et possède une chevelure blanche lustrée. C’est un scientifique sui se spécialise dan la nature et la création. Son sujet d’enseignement préféré est l’harmonie, une clé importante pour le passage vers la cinquième dimension. C’est également l’un de ceux qui, par sa présence, a éclairé et guidé les Lémuriens dans l’instauration de leur cité. Il les a d’ailleurs assistés, il y a 12 000 ans, lorsqu’ils y emménagèrent ; il les a également aidés et conseillés 5 000 ans auparavant, lorsqu’ils préparaient la cité afin de la rendre habitable, conscients que leur contient serait détruit.

 Voici son message :

Salutations, bien-aimés frères et sœurs, je suis Zohar

Tout d’abord, j’aimerais remercier Aurélia de m’avoir demandé de joindre ma voix à ce livre. Je suis enchanté d’offrir mon énergie à ce projet.

Vous savez, j’ai passé beaucoup de temps à Télos au cours des derniers 12 000 ans, notamment au début. J’en suis venu à aimer cet endroit autant que ma demeure, à Shamballa. Encore aujourd’hui, je passe beaucoup de temps à Télos, mais mes raisons d’y séjourner sont désormais différentes. Je ne m’y rends plus pour surveiller leur progrès et leur développement, mais simplement parce que j’aime m’y retrouver et parce que je prends un grand plaisir à visiter cette merveilleuse cité de lumière ainsi qu’à fréquenter ses habitants.

 Aujourd’hui, mon cœur aspire, tout comme celui de votre famille lémurienne, à vivre de nouveau parmi vous en toute fraternité et à vous offrir mes conseils et ma sagesse.

Tout d’abord, disons que, pour que l’humanité retrouve sa lumière, il est indispensable qu’elle adopte une attitude harmonieuse. Chacun doit s’y livrer, sans hésitation. Et ceux qui, par leur arrogance, refuseront de le faire, mourront, tout simplement. Ces êtres n’auront pas la capacité de vivre dans les énergies de la nouvelle Terre. Comprenez-vous – c’est préférable pour eux.

Il s’agit d’un choix conscient, bien-aimés. L’issue de vote évolution dépend entièrement des choix que vous effectuez au quotidien, à chaque instant de chaque jour. Vous, à la surface, approchez du moment que l’on nomme « le grand rassemblement ». Sachez que les forces qui régissent ce monde, les puissances du côté obscure, les Illuminati, tentent d’empêcher cet événement à tout prix.

Vos gouvernements ne réalisent pas encore l’ampleur de notre intervention. Ils ne comprennent pas que, finalement, ils n’ont aucun contrôle réel sur la situation et que leur règne tire à sa fin, une fin qui sera forcément tragique. La bulle de leurs illusions éclatera bientôt et ils auront à rendre des comptes.

Désormais, distanciez-vous de ceux qui n’ont pas le désir de vivre en harmonie. Voici quelques conseils dans ce sens :

-          Efforcez-vous de demeurer dans un état harmonieux avec l’ensemble de la création, car l’absence d’harmonie entraîne inévitablement la discorde et la destruction.

-          Demeurez en harmonie, même si quelqu’un tente de vous faire du tort. Bénissez-le, mais ne consentez pas à ce qu’il fasse partie de votre réalité. Et face à une situation discordante, prenez vos distances. Rien ne vous oblige à rester là où l’harmonie ne règne pas.

-          Cherchez la vérité et l’harmonie en tout temps et ne consentez plus jamais à dévier de cette règle de vie, ou alors, vous en subirez les conséquences à très court terme. Afin de produire les changements et les transformations que vous espérez, les nouvelles énergies acquièrent désormais une force et une intensité telles que ceux qui résistent s’autodétruiront.

-          Libérez-vous de tout sentiment d’animosité et de culpabilité. Ne vous désolez jamais de ce que vous êtes ou de ce que vous vivez à cause de l’équilibrage de vos dettes karmiques. Cherchez plutôt à vous améliorer sans cesse.

-          L’harmonie devrait toujours être la priorité dans votre vie. Soyez certain qu’elle vous ouvrira les portes de l’ascension. Vous saurez lorsque vous aurez atteint ce niveau, parce que plus rien ne vous dérangera. A partir de ce moment-là, peu importe ce que diront ou feront les gens, vous n’en souffrirez pas.

-          Une personne en harmonie totale avec elle-même accepte inconditionnellement ce qui Est. Une fois que vous y serez parvenu, vous serez prêt à l’ascension.

 Du fait que je sois presque Télosien par association, je serai également là pour vous accueillir et pour clamer votre victoire dans la lumière.

 Namasté, amis bien-aimés. Je vous aime tant.

 

Extrait de TELOS III – Message de Adama, Maître Lémurien, canalisé par Aurélia Louise Jones – page 247

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PRATIQUE de la communication

Posté par othoharmonie le 26 août 2013

 PRATIQUE de la communication dans AUTEURS A CONNAITRE images-81

Marshall B. Rosenberg est le fondateur de la Communication Non Violente. Il parcourt le monde pour promouvoir la paix et proposer sa médiation dans des situations de conflit. Il est auteur et a publié plusieurs ouvrages. L’extrait de ce livre nous invite à découvrir les fondements spirituels de la CNV. Au delà de la manière un peu didactique des formulations, il est à noter combien l’essentiel reste dans la reconnaissance du possible lien à créer avec l’énergie divine de l’autre : comment se mettre à l’écoute de ses sentiments et de ses besoins à l’instant même où le dialogue se passe. 

Je travaillais dans un camp de réfugiés situé dans un pays qui n’appréciait pas beaucoup les ÉtatsUnis. Lorsque mon interprète annonça que j’étais américain – devant une assemblée d’environ cent soixante-dix personnes -, un homme se leva d’un bond et me cria au visage: « Assassin! »

Ce jour-là, je me félicitai de connaître la Communication Non Violente. Grâce à elle, je pus voir la beauté derrière le message de cet homme, ce qu’il y avait de vivant et d’humain en lui. La Communication Non Violente nous permet d’entendre les sentiments et les besoins qui se cachent derrière tout message, quel qu’il soit.

Je lui dis alors: « Êtes-vous furieux parce que mon pays ne comble pas votre besoin de soutien? »

Pour en arriver à m’exprimer ainsi, il fallait que j’essaie de me relier à ses sentiments et à ses besoins. J’aurais pu me tromper. Mais même si nous nous trompons, le simple fait de tenter sincèrement d’entrer en lien avec l’énergie divine de l’autre - c’est-à-dire avec ses sentiments et ses besoins à cet instant – lui montre que, quelle que soit la manière dont il s’exprime, notre attention est tournée vers ce qui est vivant en lui. Et lorsque l’autre a cette confiance, nous sommes bien partis pour établir un lien qui permettra de satisfaire les besoins de chacun.

Dans mon exemple, cela ne s’est pas produit tout de suite, car l’homme était dans une grande souffrance.

Il se fait que j’étais tombé sur le bon besoin, car il me répondit: « Et comment! » et ajouta « Nous n’avons pas d’égouts. Nous n’avons pas de logements. Pourquoi nous envoyez-vous des armes? »

Je lui répondis: « Monsieur, si j’entends bien, vous dites que vous avez besoin d’égouts et de logements, et que cela vous fait mal que l’on vous envoie des armes à la place. » « Évidemment! » me dit-il, « Savez-vous ce que cela représente de vivre ainsi pendant 28 ans? » « Monsieur, vous dites que c’est vraiment pénible et que vous avez besoin de compréhension pour les conditions dans lesquelles vous vivez. »

Une heure plus tard, cet homme m’invita chez lui à manger le repas du Ramadan.

Marshall B. Rosenberg –extrait de : Spiritualité pratique de la Communication Non Violente – Editions Jouvence -

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Introduction au voyage chamanique

Posté par othoharmonie le 26 août 2013

Introduction au voyage chamanique dans Chemin spirituel telechargement-5

Le pouvoir de guérison des chamanes est aujourd’hui pris au sérieux par un nombre croissant de professionnels de la santé. Avec le livre La voix du Chamane traduit par Laurent Huguelit, l’anthropologue Michael Harner nous emmène à la source de la guérison chamanique.

Chamane est un mot de la langue des Tungus ou Toungouses de Sibérie – appelés aujourd’hui « Evenk » – qui a été largement adopté par les anthropologues pour désigner des personnes qui, dans une grande variété de cultures non occidentales, étaient auparavant connues sous les appellations de « sorcière », « sorcier », « homme-médecine », « enchanteur », « homme de magie », « magicien » ou « voyant ». Contrairement à ces étiquettes familières, le terme chamane a l’avantage de ne pas être chargé de préjugés ou de significations contradictoires. Qui plus est, il ne suffit pas d’être un homme-médecine ou un sorcier pour être un chamane.

Un chamane est un homme ou une femme qui entre – volontairement – dans un état modifié de conscience afin de contacter et d’utiliser une réalité qui est d’ordinaire cachée, en vue d’acquérir de la connaissance et du pouvoir, ainsi que pour aider d’autres personnes. Le chamane possède au moins un, et généralement plusieurs, « esprits » à son service.

Comme l’observe Mircea Eliade, le chamane se distingue des autres magiciens et hommes-médecine par son utilisation d’un état de conscience qu’Eliade, suivant la tradition mystique occidentale, appelle « extase ». Mais la pratique de l’extase seule, souligne-t-il avec justesse, ne définit pas le chamane, parce que le chamane dispose de techniques d’extase spécifiques. Eliade explique que par conséquent, « on ne peut donc pas considérer n’importe quel extatique comme un chamane ; [le chamane] est le spécialiste d’une transe, pendant laquelle son âme est censée quitter son corps pour entreprendre des ascensions célestes ou des descentes infernales ». À cela, j’ajouterais que, dans sa transe, le chamane travaille normalement en vue de guérir un patient en restaurant son pouvoir bénéfique ou vital, ou en aspirant des forces nuisibles. Le voyage auquel Eliade se réfère est spécialement entrepris afin de restaurer le pouvoir ou de retrouver une âme perdue.

L’état de conscience extatique, ou modifié, et la perspective acquise qui caractérisent le travail chamanique peuvent être utilement appelés État de conscience chamanique (qui sera à partir de maintenant désigné sous l’abréviation ECC). L’ECC comporte non seulement une transe ou un état de conscience transcendant, mais également une conscience des méthodes et des postulats chamaniques acquis dans cet état. L’ECC s’oppose à l’État de conscience ordinaire (ECO), au sein duquel le chamane retourne après avoir mené à bien son travail spécifique. L’ECC est la condition cognitive dans laquelle sont perçues la « réalité non ordinaire » de Carlos Castaneda et les « manifestations extraordinaires de la réalité » de Robert Lowie. L’aspect acquis de l’ECC inclut des informations sur la géographie cosmique de la réalité non ordinaire, afin que l’on puisse savoir où voyager pour trouver la plante ou l’animal (ou tout autre pouvoir) approprié. Cela inclut la connaissance des moyens par lesquels l’ECC permet d’accéder au Monde d’en bas chamanique.

L’aspect acquis de l’ECC inclut des informations sur la géographie cosmique de la réalité non ordinaire, afin que l’on puisse savoir où voyager pour trouver la plante ou l’animal (ou tout autre pouvoir) approprié. Cela inclut la connaissance des moyens par lesquels l’ECC permet d’accéder au Monde d’en bas chamanique.

En ECC, le chamane éprouve une joie ineffable caractéristique devant ce qu’il voit, une admiration respectueuse face aux mondes superbes et mystérieux qui s’ouvrent devant lui. Ses expériences sont semblables à des rêves éveillés qui paraissent réels et au sein desquels il peut contrôler ses actions et diriger ses aventures. Alors qu’il est en ECC, le chamane est souvent stupéfait par la réalité de ce qui lui est présenté. Il parvient à accéder à un univers entièrement nouveau, pourtant familier et ancien, qui lui fournit des informations profondes à propos du sens de sa propre vie et de sa propre mort, ainsi que sur sa place dans la totalité de toute existence. Durant ses grandes aventures en ECC, il maintient un contrôle conscient sur la direction de ses voyages, mais ne sait pas ce qu’il découvrira. Il est un explorateur indépendant dans les palais infinis d’un splendide univers caché. Enfin, il rapporte ses découvertes afin d’enrichir son savoir et d’aider les autres.

Le chamane est un voyant accompli qui pratique généralement dans l’obscurité, la nuit ou au moins avec les yeux couverts, afin de « voir » clairement. Certaines formes de vision chamanique peuvent être réalisées les yeux ouverts, mais cette sorte de perception est souvent d’une nature moins profonde. Dans l’obscurité, le chamane n’est pas distrait par la réalité et peut se concentrer sur les aspects de la réalité non ordinaire essentiels à son travail. Mais, l’obscurité seule ne suffit pas à la vision chamanique. Le voyant doit également entrer en ECC, assisté par le son du tambour, par des hochets, des chants et de la danse.

La suite du dossier « Une semaine pour découvrir le chamanisme »

EXTRAIT DE La Voie du chamane, Michael Harner (Traduction inédite de Zéno Bianu, mise à jour par Laurent Huguelit)
Mama Editions (Avril 2011) 

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Illumination au féminin

Posté par othoharmonie le 25 août 2013

 

 Illumination au féminin dans APPRENDS-MOI image002

Pourquoi les femmes sont plus près de l’illumination que les hommes

 Question : Les obstacles sur le chemin de l’illumination sont-ils les mêmes pour les hommes que pour les femmes ? 

Eckhart Tolle : Oui, mais de manière différente. Dans l’ensemble, il est plus facile pour une femme de sentir son corps et de l’habiter. Par conséquent, elle est naturellement plus près de l’Être et donc potentiellement plus près de l’illumination qu’un homme. C’est pourquoi de nombreuses cultures anciennes choisissaient instinctivement des personnages ou des symboles féminins pour représenter ou décrire la réalité transcendantale. Cette dernière a souvent été symbolisée par la matrice qui donne naissance à toute chose dans la création et qui la sustente et la nourrit durant sa vie en tant que forme. Dans le Tao-tô-king un des plus anciens et plus profonds livres jamais écrits, le tao, qui pourrait se traduire en français par « Être », est décrit comme « l’éternel et infini présent, la mère de l’univers ». Les femmes lui sont plus proches que les hommes de par leur nature puisqu’elles « incarnent » virtuellement le non-manifeste. Qui plus est, toutes les créatures et toutes les choses doivent retourner à la source. « Toutes les choses se fondent dans le tao. Seul celui-ci se perpétue. » Vu que la source est considérée comme étant de nature féminine, on attribue à cet archétype féminin les polarités de la lumière et de l’ombre à la mythologie et en psychologie. La déesse ou la divine mère a deux aspects : elle donne la vie et elle la reprend.

 Lorsque la pensée prit le dessus et que les humains perdirent contact avec leur essence divine, ils se mirent à imaginer Dieu sous une forme masculine. La société devint peu à peu à dominance masculine, la femme étant soumise à celle-ci. 

Je ne suggère pas un retour aux anciennes représentations du divin par les formes féminines. Certaines personnes emploient maintenant le terme « déesse » au lieu de « Dieu ». Elles rétablissent ainsi l’équilibre rompu entre le masculin et le féminin depuis très longtemps, et c’est bien ainsi. Mais ce n’est encore qu’une représentation et un concept peut-être temporairement utiles comme peuvent l’être une carte ou un panneau de signalisation. Toutefois, c’est plus un obstacle qu’autre chose quand vous êtes prêt à prendre conscience de la réalité qui existe au-delà de tout concept et de toute image. Ce qui reste vrai cependant, c’est que la fréquence énergétique de l’esprit semble essentiellement de nature masculine. L’esprit résiste, se bat pour avoir le contrôle, manipule, agresse, essaie de prendre et de posséder, etc. C’est pour cela que le Dieu traditionnel est un personnage patriarcal, une figure d’autorité qui surveille, un homme souvent en colère qui doit vous inspirer la peur, ainsi que l’Ancien Testament le suggère. Ce Dieu est une projection du mental humain.

 Pour dépasser le mental et reprendre contact avec la profonde réalité de l’Être, il faut des qualités très différentes : le lâcher-prise, l’absence de jugement, l’ouverture qui permet à la vie d’être plutôt que de lui résister, la capacité de s’approprier avec amour la prise de conscience de chaque chose. Ces qualités sont toutes plus apparentées au principe féminin. Alors que l’énergie mentale est dure et rigide, l’énergie de l’Être est douce, malléable, et cependant infiniment plus puissante que le mental. C’est lui qui mène notre civilisation, alors que l’Être est à l’origine de toute vie sur notre planète et au-delà. L’Être est l’intelligence même dont la manifestation visible est l’univers physique. Bien que, potentiellement parlant, les femmes en soient plus proches, les hommes aussi peuvent y accéder. 

À l’époque à laquelle nous vivons, la très grande majorité des hommes ainsi que les femmes sont encore pris au piège du mental, c’est-à-dire qu’ils sont identifiés au penseur et au corps de souffrance. C’est, bien sûr, ce qui empêche l’illumination de se produire et l’amour de fleurir. En règle générale, l’obstacle principal pour les hommes serait le mental et la pensée, alors que dans le cas des femmes, il s’agit habituellement du corps de souffrance. Dans certains cas particuliers par contre, cela peut être le contraire et, dans d’autres, les deux aspects seront à égalité.

Eckhart Tolle/Le pouvoir du moment présent et son guide/Chapitre huit : Les relations éclairées/Pourquoi les femmes sont plus près de l’illumination que les hommes

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le vide n’a pas d’existence

Posté par othoharmonie le 25 août 2013

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 Tout comme il est impossible qu’un son quelconque soit sans le silence, rien ne peut exister sans le néant, sans l’espace vide permettant à toute chose d’être. Tout corps ou tout objet physique émane du néant, est entouré du néant et y retournera à un moment ou à un autre. Non seulement cela, mais même à l’intérieur de tout corps physique, il y a beaucoup plus de « rien » que de « quelque chose ». Selon les physiciens, la solidité de la matière n’est qu’une illusion. La matière prétendument solide, y compris votre corps physique, est constituée presque en totalité de vide, tellement les distances entre les atomes sont grandes comparativement à leur taille. De plus, il en est de même à l’intérieur de chaque atome. Ce qui reste ressemble plus à une fréquence vibratoire qu’à des particules de matière solide, soit davantage à une note de musique. Les bouddhistes savent cela depuis plus de deux mille cinq cents ans. « La forme, c’est le vide, et le vide, c’est la forme », dit le soutra du cœur, un des plus anciens et des plus connus recueils bouddhistes. L’essence de toute chose, c’est le vide. 

Le non-manifesté est non seulement présent dans ce monde sous la forme de silence, mais omniprésent dans l’univers physique entier sous la forme de vide, à l’intérieur comme à l’extérieur. Il est aussi facile de passer à côté du vide que du silence. Tout le monde porte attention aux choses qui se trouvent dans le vide, mais qui s’attarde au vide lui-même ?

 Question : Vous semblez sous-entendre que le « vide » ou le « rien » n’est pas rien justement, qu’il a de par lui quelque mystérieuse qualité. Qu’est-ce donc que ce rien ?

 Eckhart Tolle : Vous ne pouvez poser une telle question. Votre tête est en train d’essayer de faire quelque chose avec le rien. Dès cet instant, vous passez à côté. Le néant, le vide, est l’aspect que prend le non-manifeste en tant que phénomène extériorisé dans un monde perçu par les sens. C’est le plus que l’on puisse en dire, et même cela, c’est une sorte de paradoxe. Le néant ne peut pas devenir un objet de connaissance. Il est impossible de faire un doctorat sur le « rien », sur le néant. Lorsque les savants étudient le vide, ils en font habituellement quelque chose et en manquent ainsi complètement l’essence. Il n’est donc pas surprenant que la dernière théorie sur le vide avance que celui-ci n’est pas vide du tout, qu’il est rempli d’une certaine substance. Une fois que vous avez une théorie, il n’est pas trop difficile de trouver les preuves pour l’étayer, du moins jusqu’à ce qu’une autre théorie se présente. 

Pour vous, le « rien » peut devenir une porte d’accès au non-manifeste seulement si vous n’essayez pas de le saisir et de le comprendre.

 Question : Mais n’est-ce pas ce que nous sommes en train de faire ici ? 

Eckhart Tolle : Pas du tout. Je vous donne des indications pour vous montrer comment vous pouvez amener la dimension du non-manifeste dans votre vie. Nous n’essayons pas de le comprendre, car il n’y a rien à comprendre. 

Le vide n’a pas d’existence propre. Littéralement, « exister » veut dire « se distinguer de ». Vous ne pouvez donc pas comprendre le vide, car il ne se distingue de rien. Bien qu’il n’ait aucune existence propre, il permet à toute chose d’être. Le silence non plus n’a pas d’existence propre, pas plus que le non-manifeste.

 Alors, que se produit-il si vous détachez votre attention des objets se trouvant dans l’espace et devenez plutôt conscient de l’espace lui-même ? Quelle est l’essence de cette pièce ? Les meubles, les tableaux et le reste se trouvent dans la pièce mais ils ne sont pas la pièce. Le plancher, les murs et le plafond délimitent la pièce, mais ne sont pas non plus cette pièce. Alors, qu’est-ce que l’essence de cette pièce ? L’espace, bien sûr, le vide. Il n’y aurait pas d’endroit, pas cet « espace de pièce » sans lui. Puisque l’espace, c’est le « rien », nous pouvons affirmer que ce qui n’est pas là est plus important que ce qui est là. Prenez donc conscience de l’espace qui est là tout autour de vous. N’y pensez pas, mais sentez-le, pour ainsi dire. Prêtez attention à ce « rien ». Lorsque vous le faites, il se produit en vous un changement sur le plan de la conscience. Je vous explique pourquoi. Les objets dans l’espace (meubles, murs, etc.) trouvent leurs correspondants en vous sous la forme d’objets mentaux : pensées, émotions et sens. Et l’équivalent intérieur de l’espace, c’est la conscience qui permet aux objets mentaux d’exister, tout comme l’espace permet aux objets physiques d’être là. Donc, si vous détachez votre attention des choses, des objets dans l’espace, automatiquement vous détachez aussi votre attention des objets mentaux. Autrement dit, vous ne pouvez pas penser et être conscient du vide, ni du silence d’ailleurs. En prenant conscience du vide autour de vous, vous prenez simultanément conscience de l’espace du vide mental, de la conscience pure, du non-manifeste. De cette façon, la contemplation de l’espace, du vide, peut devenir pour vous une porte d’accès au non-manifeste.

 Le vide et le silence sont deux aspects de la même chose, de ce même rien. Ils ne sont que la manifestation extérieure du vide et du silence intérieurs, de l’immobilité intérieure, la matrice infiniment créatrice de tout ce qui est. La plupart des humains sont complètement inconscients de cette dimension. Il n’y a pas d’espace en eux, pas d’immobilité. Ils ont perdu leur équilibre. Somme toute, ils connaissent le monde, ou pensent le connaître, mais ils ne connaissent pas Dieu. Ils s’identifient exclusivement à leurs formes physique et psychologique, et sont inconscients de leur essence innée. Et du fait que toute forme est extrêmement changeante, ils vivent dans la peur. À son tour, cette peur engendre une profonde et fausse perception d’eux-mêmes et des autres humains. Elle crée une distorsion de leur vision du monde. 

Si une contraction cosmique amenait la fin du monde, le non-manifeste n’en subirait absolument aucune conséquence. Dans l’ouvrage Un cours sur les miracles, cette vérité est énoncée avec éloquence : « Rien ne menace ce qui est réel. Rien d’irréel ne peut exister. Voici ce en quoi consiste la paix divine. » 

Si vous restez consciemment en contact avec le non-manifeste, vous valorisez, aimez et respectez profondément le manifeste et chacune de ses formes comme étant l’expression de l’Un au-delà de la forme. Vous savez également que chaque forme est destinée à disparaître et que, en fin de compte, rien n’a vraiment d’importance dans la dimension du manifeste. Vous avez « dépassé le monde » comme le dit Jésus ou, selon Bouddha, « vous êtes passé sur l’autre rive ». 

Eckhart Tolle/Le pouvoir du moment présent et son guide/Chapitre sept : Diverses portes d’accès au non-manifeste/Le vide

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L’immuable sagesse du corps

Posté par othoharmonie le 24 août 2013

L’immuable sagesse du corps dans Auto-Guérison images-141

Le parasympathique, les effets du bien-être Jour et Nuit, Sympathique et Parasympathique Imaginez que le jour s’étende 24 h sur 24, sans plus de nuits… 


À l’image des cycles planétaires, notre corps fonctionne sur ces polarités : jour/nuit, action/repos, régies notamment par le système nerveux autonome ou neuro végétatif (SNV).

Un monde sans sa face nocturne, cette sagesse secrète, se consumerait certainement, emporté dans une course effrénée vers l’assèchement des ressources … De même, si les deux facettes du SNV, sympathique et parasympathique se déséquilibrent c’est invivable ! Si le premier domine le second, plus de repos, ni de récupération…  
Ces deux branches doivent être en équilibre, agir en chœur, en alternance, dans une écoute parfaite. Elles se doivent soutien mutuel. 

Situations de paix 
Le système nerveux, chargé de la régulation des fonctions vitales de l’organisme, est très subtil et lui porter notre attention favorise sa santé. C’est un attrait récent pour une société qui prône les qualités sympathiques : effort, action, productivité. Le revers de ce parti : bloqué en sympathique, le corps ne se régénère plus, les nerfs s’épuisent, le stress persiste (insomnies, burn out, états dépressifs). Le niveau du parasympathique dévalorisé (paresse, oisiveté, siestes) est devenu celui de l’ombre, de l’inconscient : télévision, drogues, maladies soupapes, écarts incontrôlés. Il a besoin d’être reconnu et vécu en conscience.  
Prendre soin de cette balance, c’est retrouver la dynamique naturelle, l’un correspond à la dépense d’énergie, l’action : la partie sympathique et l’autre à la phase de récupération : le « parasympathique » qui renouvelle l’énergie et le tonus, et ainsi de suite…. _ N’est-ce pas fabuleux ? 

« Quand je me repose, je me reconstitue » 
Le parasympathique gère l’inné en nous : respiration, vue, ouie, et autres capacités naturelles… Pour protéger cette mécanique, conscientisons le temps dédié à une détente de qualité : un espace plaisant, un soin porté au corps, au souffle, au calme mental. Cette vertu du corps et de l’être qu’est l’autorégulation parasympathique, assimile alors nos expériences de vie et nous prépare à une action future, actualisée selon nos potentiels. Le ‘psychopéristaltisme’ (gargouillis du ventre), fonction élargie des intestins, signale cet état d’intégration, nettoie les toxines et les résidus chimiques liés aux stress. 

Connexion parasympathique 
Les pratiques qui influencent la respiration : relaxation, yogas, méditation, etc. La sécurité et le temps sont aussi des aspects majeurs pour un repos constructeur. Les massages privilégient cet accès au bien-être : cadre apaisant, présence, écoute, travail sur les rythmes respiratoires. Dans ces voyages intérieurs, on découvre l’Eden du bien-être : activation du parasympathique, stimulation du cerveau droit et des ondes alpha, hausse des sécrétions d’endorphines, ouverture du psychopéristaltisme. Et « être dans le moment présent », c’est une voie royale pour restaurer les systèmes physiologiques, énergétiques, psychologiques et spirituels.

  Renato Pappalardo et Lola Dousse Ortolan sont thérapeutes psychocorporels biodynamiques, et créateurs des formations massage biopulse, 
– Renseignements : - email : formationbiopulse@gmail.com 
www.massagebiopulse.com - Ecole agréée par la fédération française de massage bien-être.

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un pied dans l’avenir

Posté par othoharmonie le 24 août 2013

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La réflexologie vise à mobiliser les processus d’auto guérison du corps. Elle se pratique en exerçant une pression soutenue, avec le bout des doigts, sur des zones ou des points réflexes situés sur les pieds, les mains, les oreilles et le visage, qui correspondent à des organes ou des fonctions organiques.

La réflexologie ne prétend pas guérir des maux spécifiques. Elle cherche plutôt à apporter un certain soulagement à un grand nombre d’affections : des maux de tête ou de dos au syndrome prémenstruel en passant par le stress, les troubles respiratoires, la sclérose en plaques ou les effets indésirables de la chimiothérapie. 
Des illustrations et des textes anciens permettent de penser que les Chinois et les Égyptiens ont utilisé une forme de réflexologie des pieds durant l’Antiquité. 
La réflexologie moderne remonte aux travaux d’un médecin américain, le Dr William Fitzgerald. Sa théorie, élaborée en 1913, repose sur un modèle anatomique qui divise le corps en dix zones énergétiques, allant de la tête aux pieds, chacune étant liée à des endroits précis du corps : les zones réflexes. 

C’est Eunice Ingham (1889-1974), une physiothérapeute américaine, assistante du Dr Fitzgerald, qui a mis au point au début des années 1930 – à partir des découvertes de ce médecin – la réflexologie telle qu’on la connaît aujourd’hui. Elle est l’auteure du premier traité de réflexologie moderne. 
Eunice au long de sa vie a eu pour objectif « d’aider l’humanité autant que nous le pouvons, chaque fois que possible et où que nous soyons. »

Pas de statut officiel en france

La réflexologie est de plus en plus utilisée comme approche alternative, que ce soit par des professionnels ou dans un simple cadre familial ou personnel. Elle a reçu la reconnaissance officielle de nombreux pays. Le Danemark, la Chine et le Royaume-Uni l’ont intégrée dans leur système de soins de santé.

Applications thérapeutiques

La littérature scientifique concernant les effets thérapeutiques de la réflexologie en est encore à ses premiers pas. Certains résultats d’essais cliniques sont toutefois encourageants : Améliorer la qualité de vie des personnes cancéreuses Les études de cas révèlent que beaucoup d’entre eux perçoivent une amélioration de leur qualité de vie, une diminution de leurs symptômes émotionnels et physiques, de leur état d’anxiété, un sentiment de relaxation et une amélioration de leur état de santé général et de leur bien-être. Contribuer à traiter certains troubles mentaux Une étude auprès de patients souffrant de troubles mentaux indique que la réflexologie a été bénéfique pour les aider à gérer leur anxiété et pour leur donner confiance en leur pouvoir de guérison. Réduire les symptômes du syndrome prémenstruel Soulager les douleurs chroniques du bas du dos Améliorer la qualité de vie des patients en soins palliatifs Soulager les problèmes intestinaux

Pratique familiale et professionnelle

Le titre de réflexologue n’est pas protégé et la pratique n’est pas régie par des ordres professionnels. Il est donc plus prudent de s’assurer que son réflexologue fait partie d’une association reconnue. On peut utiliser la réflexologie pour soi-même ou ses proches après avoir suivi un cours de base. 

  Plus d’infos : Guy Largier, masseur-kinésitherapeute. 
Antoine Van-Waeyenberghe : podo-réflexologue certifié membre de le Fédération Française des Réflexologues. http://www.soleil-levant.org

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Intuition sur les origines du toucher

Posté par othoharmonie le 24 août 2013


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 « L’homme implore la santé auprès des dieux, sans toutefois penser que le pouvoir de la conserver est entre ses mains » Démocrite.

Un incontournable du bien être

Dans notre société pressée et stressée, le massage est devenu un incontournable du bien-être. Il est proposé pour ses multiples bienfaits : relaxation, minceur, forme, recherche de traitements et de lutte contre la maladie, développement personnel… Le toucher s’intègre dans les psychothérapies, aidant à guérir les mémoires émotionnelles, améliorer sa posture et sa respiration. Cet essor correspond aux valeurs actuelles : le bio, l’écologie, le développement durable… La prise de conscience de l’importance du corps et de la terre. Le massage sensibilise, ramène à la réalité objective, sort de l’envoûtement mental et virtuel du quotidien (télévision, ressassement du passé, fantasmes). Après des années de négation du corps, où le contact était banni des relations et de la médecine, on découvre et étudie le puissant impact positif du toucher dans plusieurs domaines. On le redécouvre en réalité, car c’est un des plus anciens arts de soigner. Partout dans le monde on trouve des traces d’imposition des mains : sur les fresques des pyramides, dans la bible, dans la Grèce d’Hippocrate, en orient où a perduré et crû un substantiel et précieux savoir…

Relier l’être au cosmos et à sa voie

La science d’imposer et de mouvoir les mains fut soufflée comme un cadeau aux hommes et aux femmes élus par les entités alliées d’un clan : ancêtres, guides, bons esprits, etc. L’aspect sacré faisait partie intégrante de ces pratiques qui liaient l’humain, la nature et le divin. Dans de nombreuses traditions le toucher est un outil initiatique accompagnant des niveaux d’évolution : 

  pour aider à s’incarner, par exemple en Afrique et en Inde le massage rituel des bébés ; 
  pour éveiller l’âme, masser permet de relier l’être au cosmos et à sa voie ; 
  pour purifier le corps et l’esprit, lors de l’ancestrale coutume des bains ; 
  pour libérer les nœuds corporels et modifier sa structure ; 

  pour transformer le présent, travailler sur le passé via un état de conscience modifiée. Les chamans de Sibérie opèrent une transmutation des données dans la mémoire cellulaire dont le corps est la porte d’accès. Pour canaliser, certains guérisseurs oeuvrent avec le monde invisible source d’une pharmacie céleste. Prêter ses mains aux forces de guérison nécessite pureté et maîtrise. Les longues années vouées à l’apprentissage et à la connaissance de soi sont communes aux formations originelles de thérapeutes. Certains étaient vus comme des prophètes tant leurs connaissances étaient vastes.

Aujourd’hui le massage est sous les regards, la science s’intéresse à ses effets, aux perspectives de guérison et de prévention qu’il présente face aux maux de notre époque. Au milieu de cet engouement, il faut considérer le travail accompli par le thérapeute sur son propre soma, sa psyché, son énergie, sa conscience pour acquérir l’humilité et la vigilance essentielles au respect de la liberté du patient, loin des pièges égotiques. Par cette qualité on peut retrouver aussi le caractère sacré des origines…

Renato Pappalardo est psychothérapeute et formateur en massage. Avec Lola Dousse Ortolan il propose la Formation bio-pulse® : Stages résidentiels et formation continue. Renseignements : biopulse@hotmail.fr

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Quelques rituels simples

Posté par othoharmonie le 24 août 2013


Rituel pour le succès professionnel 

- Une bougie verte
– Un morceau de papier vert
– Deux glands de chêne
– Une pièce d’argent

Rituel

Vous devrez réaliser ce sortilège un jeudi matin en lune montante. Allumez la bougie verte. Fermer les yeux et imaginez que la lueur de la bougie vous drape comme un cocon protecteur. Ecrivez votre nom su un papier ainsi que ce que vous désirez professionnellement. Eteignez la bougie et gardez là. Durant toute la journée, gardez les glands, la pièce d’argent dans votre poche. En arrivant au travail, rallumez la bougie et passez rapidement les glands et la pièce au travers de la flamme. Enveloppez les dans du papier et enterrez-les dans un lieu qui vous semble idéal.

 Quelques rituels simples dans PENSEE MAGIQUE - LEITMOTIV et RITUELS banniere-coloree

Pour améliorez votre économie 

- 1 bougie verte, jaune ou doré
– Huile d’olive

Rituel

Allumez la bougie après l’avoir imprégnée d’huile d’olive 7 fois et récitez cette incantation: 
Je t’invoque, toi, Labeserin, qui possède le pouvoir de donner la fortune à ceux qui te le demande. J’ai besoin que tu sois mon mentor et que tu restes à mes côtés pour me guider et m’aider à triompher. Tu le sais, Génie, que ceci est mon désir. 
Je t’ordonne d’accomplir mes désirs et je signe cette déclaration en te disant : SKI-MA-AH-MATHEE-UH. 
Josué le demanda et le Soleil arrêta sa course. 
Que se soit ainsi fait. 
Quand le sortilège et prononcé, éteindre la bougie.

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Pour réussir ses examens II faut

- Une copie de la leçon à apprendre
– Une bougie blanche
– Une feuille de papier

Rituel

Lorsque vous aurez connaissance de la date de l’examen, faite une copie de la leçon à apprendre et chaque nuit faite les 2 choses suivante: 
1. Ecrire sur un papier la formule suivante : 
« je sais que je peux y arriver et cela grâce à ce sortilège et à mon désir d’y arriver. Je réussirai à cet examen » 
2. Lire la leçon 3 fois 
La veille de l’examen, ne récitez pas l’incantation mais posez la bougie sur le papier où vous aurez écrit l’incantation et brulez la tout en récitant mentalement l’incantation. 
Lisez 3 fois la leçon avant de déchirer le papier en petits morceaux Eteindre la bougie, couchez vous et ne vous préoccupez plus pour cet examen.

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Pour favoriser la bonne santé : Ingredients

- 2 miroirs
– 2 récipients remplis de fleurs de couleur orangée
– 2 rubans blancs
ce sortilège s’effectue sur 6 jours et il est conseillé de le commencer le jour du solstice d’été le 11 juin.
C’est en effet la date de la « lune de fraises » quant les agriculteurs de l’Europe septentrionale avaient pour habitude de commencer la récolte des fraises à la lueur de la pleine lune. Il s’agit de « la porte de ‘année », le moment de l’année où il y a le plus de lumière et le moins d’obscurité. La porte de l’année s’ouvre symboliquement pour laisser pénétrer la lumière solaire qui donne la vie et chasser tous les esprits malins. 
Il faut préparer ce sortilège quelques jours avant la date du solstice, car il faut essayer l’installation avant le jour dit.

Rituel

Choisissez un coin de la maison où entrent les premiers rayons de la lumière solaire le matin car il vous faudra vous baigner de cette lumière. Positionnez chaque miroirs derrière un vase avec les fleurs des deux cotés de la pièce, de telle façon que les deux miroirs réfléchissent la lumière du soleil et la renvoie l’un vers l’autre. Marquez 7 segments de la même taille sur les bougies et mettez-la à coté des miroirs. Allumez les bougies dès que le soleil commence à se refléter sur les miroirs. Jusqu’à ce que les bougies brulent jusqu’au premier segment, entourez l’extrémité de votre index droit avec le ruban et laissez le pendre. Positionnez vous entre les miroirs dans la lumière, concentrez vous sur la lumière. Invoquez le soleil salutaire et le bien être spirituel et manifestez votre reconnaissance. Répétez ce rituel, 6 matins en bruant un segment de la bougie chaque jour du sortilège.

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Récupérer un amour perdu Il faut :

- 1 bougie rouge
– 1 aiguille stérilisée

Rituel

Un viernes por la noche. Hacer un agujero en la mecha de la vela con la aguja, encender la vela concentrándose en el amor perdido. Repetir esta encantación:

“ Flamme de Vénus,
flamme de la passion Enflamme
le cœur de (nom de la personne)
Que son amour me revienne
Qu’il revienne je l’attends
Que ma requête soit écoutée
Fiat volontas mea
Qu’il es soit fait »
Faire ce rituel 3 vendredi suivis.

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Tu n’es pas mon père

Posté par othoharmonie le 22 août 2013

À la mémoire de mon père

« Une éducation est réussie quand elle est ratée ! »

Françoise Dolto dans  L’échec scolaire

 Tu n'es pas mon père dans AUTEURS A CONNAITRE telechargement-1

Il est des impertinences qui ne prennent pas de rides. Ainsi, « Tu n’es pas mon père ! », pensée tout bas, ruminée tout haut ou carrément assénée à l’autorité masculine, traverse le temps sans faiblir…

La haine implicite ou plus explicite est au rendez-vous, objectivant quoi qu’il en soit, à chaque verbalisation, refus, opposition et haine farouches à l’encontre de celui qui est chargé d’imposer le respect des limites. Effectivement, en tant que digne représentant de la Loi, le père assure le maintien de l’ordre, a priori initié par la mère.

Si en théorie les choses s’avèrent simples, en pratique les réactions sont plus complexes. À la fois pour des raisons psychologiques sur fond de recherche inconsciente de domination dans un premier temps, puis de rivalité un peu plus tard et, enfin, lorsque le secret de la filiation cherche à se libérer ou que la famille se « recompose ». Ou, encore, quand l’adoption réveille la douleur liée à l’interrogation récurrente du géniteur : image idéalisée et surinvestie de par l’absence de cet inconnu dont le sang coule quand même dans les veines d’un être humain qui ne peut que se représenter de façon confuse et confusionnelle celui qui, pourtant, l’a fait chair…

Être père n’est donc pas facile. Mais ce lien de devoir qui unit un enfant à cet adulte phallique, doué d’un non souvent incompréhensible et inacceptable pour le petit d’Homme en devenir de lui-même, reste le fondement le plus délicat et le plus tortueux de ses futures conduites et de leurs conséquences. Si la société d’aujourd’hui ne facilite pas ce rapport singulier, les décennies, les siècles précédents semblent avoir connu des écueils tout aussi abrupts. Malgré ce, rien d’insurmontable ici comme en attestent, par exemple, Sigmund Freud et son propre père, homme peu doué pour les affaires, ayant entraîné les affres d’un complexe d’infériorité chez le maître de la psychanalyse, retrouvées jusque dans les conditions de ses études de médecine. Mais aussi Jacques Lacan dont le géniteur, littéralement écrasé au préalable par sa belle-famille, ne le reconnaîtra plus vraiment à son retour de la guerre de 14. Voilà pourtant deux génies des sciences humaines qui ont su trouver l’accès à la sublimation d’une autorité défaillante, dysfonctionnante, cette autre forme de non n’étant pas plus aisée à gérer. Tout est donc positivement possible. D’ailleurs, la participation interrogative d’André Malraux l’induit : Le XXIème siècle sera spirituel ou ne sera pas, dit-il, faisant allusion au Nom-du-Père, ultime signifiant rappelant que, finalement, les époques se suivent et se ressemblent… 

texte issu du prologue du Livre « Tu n’es pas mon père »  

 

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Avoir peur de la vérité

Posté par othoharmonie le 22 août 2013

Avoir peur de la vérité dans LECTURES Inspirantes images-47

Comment puis-je surmonter ma peur de voir la vérité, qui, je le sens, est un obstacle qui m’empêche de connaître ma véritable nature?

En premier lieu, soyez heureux de vous rendre compte de cette peur viscérale, car la plupart des humains la refoulent et l’évitent. Dès qu’elle montre le bout de l’oreille dans un moment de solitude ou d’inactivité, ils allument la télévision, vont voir un ami ou se lancent dans une quelconque activité compensatrice. Découvrir votre peur était donc un premier pas crucial.

Je ne sais pas si je l’ai découverte, ma perception n’est pas claire. Peut-être sens-je simplement sa présence.

Vivez avec elle, intéressez-vous à elle, ne la refoulez pas. Adoptez à son égard un « laisser-venir, laisser-partir » bienveillant. Prenez-la pour ce qu’elle est: un amalgame de pensées et de sensations corporelles. Demandez-vous: « Qui a peur? » et vous verrez la peur-pensée vous quitter, laissant encore au niveau somatique des résidus d’anxiété localisés, la peur-sensation. Tout cela n’est au fond qu’un spectacle dont vous êtes le spectateur. Contemplez-le, et contemplez aussi vos propres réactions, vos fuites, vos refus, qui en font également partie. La prise de conscience de votre refus est le début de l’acceptation, du laisser-venir. De cette manière vous prenez la position du contemplateur qui est votre position naturelle.

Alors tout se déploie spontanément. La peur est votre ego, le monstre que vous charriez dans vos pensées et vos sensations corporelles, l’usurpateur qui vous tient à l’écart du royaume bienheureux qui est le vôtre. Laissez-la se montrer en totalité. N’ayez pas peur d’elle, même si ses traits son terrifiants. Puisez dans votre soif d’absolu et de liberté le courage de la regarder. Quand vous commencez à la sentir, pensez: « Viens, peur, montre-toi! Prends bien tes aises, car je suis hors de ton atteinte! » L’efficacité de cette méthode provient du fait que la peur est une chose perçue, donc limitée. Le plus long serpent du monde finit bien quelque part. Une fois qu’il est entièrement sorti des hautes herbes, qu’il est vu en totalité, vous êtes hors de danger, car il ne peut plus vous attaquer par surprise. De même, quand vous voyez en face de vous la totalité de votre peur, quand il ne reste rien d’elle qui vous soit caché, il n’est rien de vous qui puisse s’identifier à elle. Elle est un objet « décollé » de vous. Le cordon ombilical d’ignorance par lequel vous nourrissiez l’ego ne fonctionne plus. Ce moi fantôme, n’étant plus alimenté, ne peut plus se maintenir; il se meurt alors dans l’explosion de votre liberté éternelle. 

Extrait Dialogue avec Francis Lucille : Une tornade de Liberté

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Le combat intérieur

Posté par othoharmonie le 22 août 2013

 

Quelques extraits du MANUEL inédit de la vie – Joe Vitale

Durant toute votre vie, vous croiserez des gens qui sont prêts à mentir, voler, tricher et même tuer pour avoir raison. Cela fait partie de notre mécanisme de survie. Mais la vérité est que ce mécanisme n’est plus nécessaire.

Ce qui est nécessaire dans la vie, c’est de noter ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Efforcez-vous de ne pas chercher à avoir raison et concentrez-vous plutôt à obtenir les résultats que vous désirez. Soyez prêt à abandonner vos habitudes et vos vieux comportements pour en adopter de nouveaux qui vous permettront d’obtenir ce que vous voulez.

Autrement dit, il est normal que vous souhaitiez avoir raison lors de vos discussions, mais même si l’autre personne cesse d’argumenter, elle considérera tout de même que vous avez tort. À son point de vue, c’est elle qui a raison. De votre côté, vous vous dites que c’est vous. Pour L’univers, vous avez tous les deux raison. »

Joe Vitale, Le manuel inédit de la vie, p. 101

La Légende indienne intitulée : Les deux loups

Le combat intérieur dans AUTEURS A CONNAITRE 51aihwxva2l._-193x300

Alors qu’il enseignait à ses petits-enfants, voici ce qu’un vieux Cherokee leur a dit :

« Un combat a lieu tous les jours à l’intérieur de moi-même, et ce, entre deux loups. L’un est mauvais : il est peur, colère, envie, chagrin, regret, avidité, arrogance, apitoiement sur soi-même, culpabilité, ressentiment, infériorité, mensonge, orgueil, supériorité et ego. L’autre, lui, est bon : il est joie, paix, amour, espoir, partage, sérénité, humilité, bonté, bienveillance, amitié, empathie, générosité, vérité, compassion et foi. Le même combat a lieu en vous et en tout individu sur cette Terre. »

Les petits-enfants réfléchirent quelques minutes, puis l’un d’entre eux demanda à son grand-père :

« Lequel des deux loups l’emportera ? »

Le vieux Cherokee répondit simplement : « Celui que tu nourris. »

Extrait de « Le manuel inédit de la vie » de Joe Vitale

C’est un livre exceptionnel qui ne devrait pas vous décevoir, bien au contraire.

Sur le modèle d’un livre d’instructions, ce manuel offre de grande sagesse ainsi que les Secrets qui mènent à une vie meilleure.

Constitué de leçons de vie que bien des gens auraient voulu connaître plus tôt, ce livre utilise l’humour et les anecdotes pour présenter les étapes à suivre pour prendre le contrôle de votre vie, surmonter les obstacles et trouver la plénitude.

Chaque leçon est expliquée simplement, comparée à des expériences de la vie courante, et inclut les étapes à suivre pour que vous puissiez la mettre en pratique chaque jour.

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Je vous recommande ce livre !

telechargement dans AUTEURS A CONNAITRED. Joe Vitale, président de Hypnotic Marketing, Inc., une entreprise située à Austin, au Texas, a écrit trop de livres pour que nous en dressions ici une liste exhaustive. En voici cependant quelques-uns : Il a rédigé le succès de librairie (première position)  » Le facteur d’attraction : 5 étapes faciles pour attirer la richesse ou combler tous vos désirs « , le succès (troisième position)  » The Greatest Money-Making Secret in History  » et le succès (première position)  » Hypnotic Writing « , un livre électronique. Son dernier ouvrage, écrit en collaboration avec Jo Han Mok, s’intitule  » The E-Code : 33 Internet Superstars Reveal 43 Ways to Make Money Online Almost Instantly – with just e-mail « . Son prochain livre s’intitulera  » There’s a Customer Born Every Minute « . En plus de tous ses livres, Joe Vitale a également enregistré le succès (première position)  » The Power of Outrageaous Marketing « , un programme audio, publié par Nightingale-Conant, qui a connu un immense succès. De plus, il offre un cours complet à domicile en marketing sur son site www.HypnoticMarketingStrategy.com  

 

 

 

 

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La pensée de Gandhi

Posté par othoharmonie le 21 août 2013

La Foi

La pensée de Gandhi dans APPRENDS-MOI 220px-gandhi_nehru_1929Gandhi était né hindouiste et pratiqua l’hindouisme toute sa vie, qui inspira la plupart de ses principes. Comme tout hindou traditionnel, il voyait dans toutes les religions autant de chemins possibles pour atteindre la Vérité, et refusait de se convertir à une autre foi. Gandhi écrivit un commentaire sur la Bhagavad Gita en Gujarati.

C’était un théologien avide et il lut beaucoup sur toutes les grandes religions. Il dit sur sa religion :

« L’hindouisme tel que je le connais satisfait complètement mon âme, remplit mon être entier… Quand le doute m’assaille, quand le découragement me regarde en face, quand je ne vois plus aucune lueur d’espoir à l’horizon, je me tourne vers la Bhagavad Gita, et je trouve un vers pour me consoler; et je commence à sourire immédiatement au milieu d’un écrasant chagrin. Ma vie a été remplie de tragédies et si elles n’ont pas laissé d’effet indélébile sur moi, je le dois aux enseignements de la Bhagavad Gita. »

Gandhi croyait que le cœur de toutes les religions était la vérité et l’amour (compassion, non-violence et éthique de réciprocité). Il critiquait l’hypocrisie, les mauvaises pratiques et les dogmes de toutes les religions et fut un réformateur social infatigable. Ses commentaires sur les différentes religions furent :

« Ainsi, si je ne pourrais pas accepter le christianisme comme parfait ou comme la plus grande des religions, je ne pourrais pas non plus considérer l’hindouisme comme tel. Les défauts de l’hindouisme me sont bien visibles. Si l’intouchabilité pouvait être une partie de l’hindouisme, ce serait une partie pourrie ou une excroissance. Je ne pourrais pas comprendre la « raison d’être » d’une multitude de sectes ou de castes. Quel serait le sens de dire que les Vedas sont des textes sacrés inspirés par Dieu ? S’ils ont été inspirés par Dieu, pourquoi pas la Bible ou le Coran également ? Mes amis chrétiens ont été aussi entreprenants pour me convertir que mes amis musulmans. Abdullah Sheth m’a continuellement incité à étudier l’islam, et évidemment avait toujours quelque chose à dire concernant sa beauté. »

 « Dès que nous perdons la base morale, nous cessons d’être religieux. Il n’y a pas de choses telle qu’une religion effaçant la moralité. L’homme donc, ne peut être menteur, cruel ou dépravé et clamer qu’il a Dieu de son côté. »

« Les paroles de Mahomet sont un trésor de sagesse, pas seulement pour les musulmans mais pour l’humanité entière. »

Plus tard dans sa vie, quand on lui demandait s’il était hindouiste, il répondait :

« Oui je le suis. Je suis aussi un chrétien, un musulman, un bouddhiste et un juif. »

Son hymne religieux préféré était le morceau chrétien Abide with me.

En dépit de leur profond respect mutuel, Gandhi et Rabîndranâth Tagore furent impliqués dans des débats prolongés à plusieurs reprises. Ces débats illustraient les différences philosophiques entre les deux plus célèbres Indiens de ce temps. Gandhi s’est consacré à améliorer les conditions de vie des intouchables, les appelant Harijans, le peuple de Krishna. Le 15 janvier 1934, un tremblement de terre toucha le Bihar et causa de nombreuses victimes et dégâts. Gandhi maintint que cela était dû au péché commis par les castes hindoues supérieures de ne pas laisser les intouchables accéder à leurs temples. Tagore s’opposa diamétralement au point de vue de Gandhi, soutenant qu’un tremblement de terre pouvait être seulement créé par des forces naturelles, pas par des raisons morales, aussi répugnante que puisse être la pratique de l’intouchabilité.

La Vérité

Gandhi a dédié toute sa vie à la découverte de la vérité ou satya. Il essaya de l’atteindre en apprenant de ses propres erreurs et en pratiquant des expériences sur lui-même. C’est notamment le thème de son livre Autobiographie ou mes expériences de vérité.

Gandhi établissait que la plus importante bataille à remporter était vaincre ses propres démons, peurs et insécurités. Il résuma ses croyances quand il dit d’abord « Dieu est vérité ». Il changea ensuite cette déclaration en « la vérité est Dieu ». Ainsi satya (la vérité) dans la philosophie de Gandhi est « Dieu ».

C’est en Afrique du Sud, en luttant pour les droits des Indiens que Gandhi découvrit l’importance du respect de la vérité. « Tel un arbre immense, elle donne d’autant plus de fruits qu’on en prend soin. À l’image d’une mine où plus on creuse en profondeur, plus précieux sont les diamants qu’on y découvre, il est remarquable que plus on explore la vérité, plus nombreux et variés sont les services qu’elle nous fait assumer. »

La Simplicité

Gandhi croyait sincèrement qu’une personne impliquée dans le service social devait mener une vie simple qui l’amènerait au brahmacharya. Sa pratique de l’ascétisme s’inspire de la pensée du philosophe et poète américain Henry David Thoreau. Cette simplicité commença par le renoncement au style de vie occidental qu’il menait en Afrique du Sud. Il appela cela « se réduire soi-même à zéro »; « vivre simplement pour que tous puissent simplement vivre » tel était ses valeurs, son mode de vie, ce qui voulait dire abandonner toute dépense superflue, mener une vie simple et laver ses propres vêtements. En une occasion il renvoya les cadeaux offerts par les indigènes pour son aide à la communauté.

Gandhi passait un jour de chaque semaine en silence. Il croyait que s’abstenir de parler lui amenait la paix intérieure. Ceci venait des principes hindous du mauna (en sanskrit, – silence) et shanti (paix). Ces jours-là il communiquait avec les autres en écrivant sur un papier.

Pendant 3 ans et demi, à l’âge de 37 ans, Gandhi refusa de lire les journaux, clamant que les nouvelles tumultueuses du monde lui causaient plus de confusion que son propre trouble intérieur.

Revenant en Inde après son séjour en Afrique du Sud, il abandonna le port de vêtements occidentaux, qu’il associait à la richesse et au succès. Il s’habilla pour être accepté par les plus pauvres en Inde, et il promut l’utilisation de vêtements tissés à la maison (khadi). Gandhi et ses partisans fabriquaient donc les vêtements qu’ils portaient ; ils encourageaient les autres à faire de même dans le but de redonner une certaine autonomie économique à l’Inde rurale, autonomie laminée par la domination de l’industrie britannique qui détenait alors les filatures industrielles. Le rouet fut bientôt incorporé au drapeau du parti du congrès indien.

Gandhi porta le dhotî (équivalent masculin du sari) tout le reste de sa vie, non seulement en signe de simplicité mais aussi parce que cet habit, filé de ses mains, constituait pour lui une garantie de ne pas cautionner l’exploitation d’ouvriers britanniques ou indiens dans des filatures industrielles.

Le Végétarisme 

La pratique du végétarisme est fortement ancrée dans les traditions hindoues et jaïnes, et dans sa terre natale du Gujarat la plupart des hindous et sa famille étaient végétariens. Avant de partir étudier pour Londres, Gandhi avait promis à sa mère qu’il ne mangerait pas de viande. Il tint sa promesse et son végétarisme devint une partie intégrante de sa philosophie politique de non-violence. Il écrivit le livre La Base morale du végétarianisme et plusieurs articles sur le sujet, certains furent publiés par la London Vegetarian Society  dont Gandhi fit partie, et où il se fit de nombreux amis, tel le président Dr. Josiah Oldfield. Ayant lu et admiré les œuvres de Henry Stephens Salt, le jeune Mohandas le rencontra et correspondit longtemps avec le militant végétarien.

Gandhi passa beaucoup de temps à promouvoir le végétarisme pendant et après son séjour à Londres, voyant sa propagation comme une mission à réaliser ; il en vint ainsi à déclarer « que l’on reconnaît la grandeur d’une nation à la manière dont elle traite ses animaux ». En plus de la dimension éthique du végétarisme il considérait la dimension économique, étant donné que la viande était (et est toujours) plus chère que les céréales, les légumes et les fruits, et aidait ainsi les Indiens qui avaient de faibles revenus. Enfin, la production de viande demande une bien plus grande disponibilité de terres et d’eaux pour l’engraissement des animaux, instaure une monoculture qui favorise l’industrie alimentaire et les grands propriétaires terriens plutôt que les productions locales et variées des paysans indiens possédant de petites parcelles de terre cultivable.

Il nota dans son autobiographie que le végétarisme était le début de son profond engagement envers le brahmacharya ; sans un contrôle total sur ses besoins alimentaires il n’aurait pas pu réussir le brahmacharya.

Gandhi avait aussi une très nette tendance au végétalisme, par compassion pour les vaches, déclarant au sujet de son abandon de tout laitage (faisant de lui un végétalien, puisque le « végétarisme indien » exclut les œufs) : « Les considérations religieuses avaient été les plus fortes, quand il s’était agi d’abjurer le lait. L’image des procédés barbares que les govâls de Calcutta employaient pour traire leurs vaches et leurs buffles jusqu’à la dernière goutte de lait, m’avait hanté alors. J’avais eu aussi le sentiment que, de même que la viande n’était pas nourriture humaine, le lait non plus ne pouvait l’être… » ; et, ce faisant : « je me refuse à prendre du lait, les produits dans lesquels entre du lait, et aucune viande. Si ce refus devait signer mon arrêt de mort, mon sentiment est que je n’y devrais rien changer. »

Brahmacharya 

gandhi_kasturba_1942 dans LECTURES InspirantesLe brahmacharya (pureté spirituelle et pratique) est largement associé avec le célibat et l’ascétisme. Le brahmacharya, qui correspond à l’une des quatre périodes de la vie humaine telle que le théorise l’hindouisme, est à rapprocher d’une forme de discipline du corps dont la visée, spirituelle ou religieuse, est le détachement des sens (lesquels entraveraient la libération (moksha) de l’âme). Gandhi concevait le brahmacharya comme un moyen de se rapprocher de Dieu et comme la pierre de fondation de sa réalisation personnelle. Pour Gandhi, brahmacharya signifiait « contrôle des sens en pensée, en mots et en actions ». Ce contrôle passe par l’arrachement à la racine des passions que l’on veut détruire : donc, tout d’abord par la pensée même ; Gandhi considérait – dans la ligne droite de la sagesse hindoue – que celui qui était un vrai pratiquant du brahmacharya ne concevait même plus les passions, non seulement dans son esprit éveillé, mais aussi dans ses rêves, – ces pensées que l’on formule dans le sommeil et que l’on croit incontrôlables : le contrôle de soi conscient passe donc en premier lieu par une maîtrise même de son inconscient, chose qui est explicitée dans la philosophie classique hindoue du Yoga-sûtra de Patañjali.

Dans son autobiographie, il raconte sa lutte contre ses besoins sexuels et les accès de jalousie envers sa femme Kasturba. Il sentait comme une obligation personnelle de rester abstinent afin, d’une part, de pouvoir apprendre à aimer plutôt qu’à rechercher le plaisir, et d’autre part, de cantonner le corps — et plus largement le monde de la matière — au service des aspirations et de la volonté de l’esprit. Cette lutte, d’après ce qu’il expose dans son autobiographie, fut sans relâche, puisqu’à la fin de sa vie, devenu veuf, il partageait régulièrement la couche de sa nièce préférée, Manu, ceci afin d’éprouver la solidité de son vœu passé (ceci fit d’ailleurs scandale à l’époque). Par ailleurs, Gandhi n’eut de cesse toute sa vie d’étendre et d’approfondir les domaines d’application de sa recherche de maîtrise des sens. Outre la maîtrise du désir sexuel, il rechercha également à se détacher du plaisir gustatif : formant régulièrement des « vœux », Gandhi supprimait progressivement tel condiment, tel aliment, ou réduisait toujours plus le nombre d’aliments qu’il pouvait ingurgiter.

 

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