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Aller et retour dans l’au-delà

Posté par othoharmonie le 1 septembre 2013

Aller et retour dans l’au-delà dans En 2012-2013 et après 2016 au-dela

Presque toutes les religions du monde reconnaissent le fait que notre esprit survive à la mort du corps. Mais dites aux gens que vous pouvez communiquer avec ces esprits et ils croiront que vous êtes fou. Alors les esprits existent, mais nous ne pouvons pas communiquer avec eux ? Voilà ce qui est fou !

Bien sûr que nous pouvons communiquer avec eux ! Et nous le faisons, tout le temps, que nous en soyons conscients ou non. En fait, nous ne sommes jamais seuls. A chaque instant de nos vies nous sommes entourés d’un groupe de soutien venant de l’Au-delà qui nous connaît, nous aime et nous comprend mieux que nous nous comprenons nous-mêmes.

Je suis sûre que vous auriez moins de mal à y croire si vous pouviez voir et entendre votre groupe de soutien spirituel aussi clairement que les gens qui vous entourent. Mais regardez les choses sous cet angle : le matin lorsque vous quittez votre maison et votre famille pour aller au travail, croyez-vous que celles-ci cessent d’exister jusqu’à ce qu’elles soient à nouveau devant vous ? Bien sûr que non. Peu importe que vous connaissiez une journée difficile, stimulante ou dévorante, il ne vous viendrait jamais à l’esprit que votre maison et votre famille ne soient plus là où vous le savez laissées en partant.

Puisque votre vie spirituelle est le miroir de votre vie quotidienne, votre esprit et votre cœur peuvent être assurés que votre Maison et votre famille éternelles sont bien réelles. Vous avez quitté votre Maison et votre famille dans l’Au-delà pour venir travailler ici-bas, pour entreprendre un voyage parfois pénible, en sommes, pour connaître cette dure expérience qu’on appelle la vie. Franchement, je suis surprise que nous ne venions pas au monde avec une petite boîte à lunch. Et lorsque votre temps de travail est terminé, vous retrouvez cette même Maison et cette même famille à l’endroit exact où vous les avez laissées, vous retrouvez un monde familier où vous vous sentez en sécurité et où votre famille vous accueille avec tant de joie que vous vous demandez qui vous a donné la brillante idée de les quitter en premier lieu. Si comme moi, vous traversez la vie avec un brin de nostalgie peu importe où vous vous trouvez, c’est que nos esprits se souviennent de cet endroit d’où nous venons et que nous désirons tous ardemment retrouver.

L’Au-delà est le lieu d’où vient notre esprit lorsque nous entrons dans l’utérus de notre mère en attendant de venir au monde et où notre esprit retourne lorsque nous mourons. L’Au-delà, c’est le ciel, le paradis, un endroit d’une beauté plus éblouissante que ne peut l’imaginer notre esprit terrestre. D’ordinaire, nous imaginons qu’il s’agit d’un endroit situé « quelque part là-bas », au-dessus des nuages, au-delà de la lune et des étoiles, par-delà le pays d’Oz, et le Pays Imaginaire de Peter Pan. Cette réaction est compréhensible, puisque ce « quelque part là-bas » est une façon imagée, encore que mystérieuse, de nous imaginer l’Au-delà.

Mais la vérité est encore plus fascinante et réconfortante que nos élucubrations ; l’Au-delà est ici par nous, dans une dimension superposée à celle de notre monde, à environ un mètre au-dessus du sol. Sa fréquence vibratoire est de beaucoup supérieure à la nôtre, ce qui explique pourquoi nous le voyons pas. Par  analogie, pensez à un siffler pour chien – le sifflet émet un son d’une fréquence si élevée qu’il passe inaperçu à notre oreille, alors qu’il est parfaitement audible pour les animaux. (En fait, Dieu accord aux médiums de percevoir des fréquences vibratoires beaucoup plus étendues, ce qui leur permet en retour de communiquer plus facilement que les gens « normaux » avec le monde des esprits).

Les gens qui ont vu des esprits les décrivent toujours comme des formes « flottant au-dessus du sol ». il y a une bonne raison à cela – ils flottent effectivement au dessus de notre sol. Donc au niveau du sol dans l’Au-delà. C’est nous qui sommes les fantômes dans leur monde, et même si nous partageons le même espace, le nôtre semblera toujours irréel en comparaison du leur, puisque les êtres ne sont vraiment complets et « vivants » que dans le monde des esprits. Ici sur terre, nous sommes prisonniers du temps et de l’espace qui règlent notre dimension, de ces lois physiques qui ont permis l’ajout à notre vocabulaire de différentes notions comme celles de « retard » « encombrée, « embouteillage » et « stress ». Les habitants de l’Au-delà ont la chance de fonctionner sans ces restrictions et jouissent de la liberté que leur procurent des lois universelles comme celles d’infinité et d’éternité. Notre existence ici-bas dure le temps d’un battement de paupière dans l’Au-delà, et pour les entités qui y habitent, le mot « encombré » ne veut rien dire, puisque des centaines d’entre elles peuvent prendre place dans un ascenseur sans qu’elles aient besoin de rentrer le ventre.

Tous les esprits ont trente ans dans l’Au-delà. J’imagine que trente ans est un âge adéquat pour la majorité des gens – si nous ne sommes pas à l’aise avec notre corps à cet âge, nous le serons pas davantage en vieillissant. Les esprits peuvent reprendre leur apparence humaine lorsqu’ils nous rendent visite, pour que nous puissions plus facilement les reconnaître, mais dans leur vie de tous les jours dans l’Au-delà, non seulement ils ont trente ans, mais ils peuvent aussi choisir leurs caractéristiques physiques ; leur taille, leur poids et même la couleur de leurs cheveux.

Nous faisons tous partie, ici sur terre et dans l’Au-delà, du même Tout, comme des fibres s’entremêlant dans la toile parfaite que Dieu a créée. Nous sommes séparés les uns des autres par une transition naturelle que nous appelons la « mort », une transition qui est en fait un cycle marquant le retour de notre esprit à La Maison.

La Maison, contrairement à ce que véhiculent les mythes et les représentations artistiques de cartes postales, est beaucoup plus belle et complexe qu’une mer infinie de nuages blancs et duveteux sous un ciel bleu. L’Au-delà est un monde de montagnes, d’océans, de jardins et de vastes forêts s’étendant à l’infini et d’une grandeur à couper le souffle – toutes les merveilles de la nature y sont réunies, magnifiant sa beauté au centuple. Le paysage est parsemé d’édifices à l’architecture brillant et variée – d’inspiration classique grecque et romaine pour les temples, les salles de concert, les cours, les arénas et les autres lieux publics, tandis que les maisons sont conçues afin de plaire à leurs habitants, un imposant manoir victorien côtoyant dans le même quartier un simple chalet en bois rond et des dômes géodésiques.

Les animaux, l’une des plus parfaites créations de Dieu, sont également présents dans l’Au-delà. Tous les animaux qui vivent sur terre existent aussi dans l’Au-delà, débarrassés de leur peur et de leur agressivité, et ils y sont chéris pour ce qu’ils sont ; des esprits candides, purs et innocents. Vous serez probablement aussi soulagé que moi d’apprendre que les entités qui peuplent l’au-delà ne passent pas tout leur temps à jouer de la harpe. Ce serait peut-être amusant d’en jouer cinq à dix minutes de temps en temps, mais toute une éternité ? En fait, les habitants de l’Au-delà sont constamment occupés et stimulés. Franchement, il est ridicule de les considère comme des « morts ». En comparaison, c’est nous qui semblons morts. Ils étudient, ils travaillent, ils font de la recherche –s’ils en ont envie, je tiens à le préciser, et si cela leur apporte de la joie. Ils ont une vie sociale des plus brillantes, remplie de fêtes, de musique, de danse, d’événements sportifs, de défilés de mode et de conférences, en somme, on y retrouve toutes les options possibles, pour tous les goûts. Tous les arts, les métiers, les hobbies et les activités extérieures que nous pratiquons sur terre sont disponibles là-bas, poussés à des extrémités exaltantes. Et des mots comme ennui, solitude et mélancolie ne font pas partie de leur vocabulaire.

Il est particulièrement fascinant de découvrir que les entités de l’Au-delà son tà l’origine de toutes les créations humaines ; inventions, traitements médicaux, arts, musique, philosophie et découvertes scientifiques. Une fois ces créations complétées, elles les transmettent par télépathie à ceux sur terre qui ont les aptitudes, les outils et le dévouement pour les réaliser. Si vous vous êtes déjà demandé pourquoi la plupart des grandes inventions ayant influencé le cours de l’histoire sont apparues presque simultanément à différents endroits du globe, dans la tête de différentes personnes, à présent vous savez pourquoi – l’Au-delà tient à ce que ses plus grandes réalisations attirent l’attention d’un maximum de gens sur terre. Cela n’enlève rien au mérite des plus brillants d’entre nous qui ont fait ces découvertes majeures. Les entités de l’Au-delà ont besoin de gens doués et déterminés pour mettre leurs plans à exécution tout aussi sûrement que nous avons besoin de leur inspiration divine.  La télépathie est le mode de communication le plus populaire parmi les entités spirituelles, encore que la communication verbale soit tout aussi aisée, puisqu’elles parlent et comprennent toutes les langues. La langue universelle de l’Au-delà est l’Araméen de l’ancienne Syrie, un dialecte d’une éloquence descriptive remarquable parlé par le Christ et ses disciples. Toutefois, il est inutile d’apprendre l’Araméen avant de mourir. Comme toutes les entités de l’Au-delà, nous aurons un jour accès à ces connaissances, ainsi qu’aux souvenirs de nos vies passées, précieusement conservés pour l’éternité sous le magnifique dôme du Palais des Archives.

Les nombreuses bibliothèques de l’Au-delà comprennent également les archives askashiques, décrite comme étant la représentation écrite de la mémoire de Dieu. Toutes les entités sont constamment en contact et en communion avec Dieu qui répond à toutes leurs questions en leur « insufflant » des connaissances, transmises directement de l’Esprit Saint à leur esprit.

Il n’y a rien de négatif dans l’Au-delà, ni agression, ni ego, ni jalousie, ni orgueil, ni jugement de valeur. Ces caractéristiques sont typiquement humaines, et n’ont rien à voir avec Dieu, même si ce sont ces caractéristiques humaines qui nous poussent  faire ce choix apparemment irrationnel de quitter de temps en temps Notre Maison dans l’Au-delà pour entreprendre une nouvelle incarnation. Notre but en venant ici-bas est d’apprendre et d’améliorer nos connaissances, comme Dieu l’a voulu en nous donnant des sens et la capacité de nous instruire. Notre esprit était déjà au sommet de son évolution lorsque Dieu l’a créé. Et puisqu’Il fait partie de nous comme nous faisons partie de Lui, il est impossible de s’en « approcher » davantage. Ce n’est pas l’absence d’obstacles qui nous permet d’apprendre, mais le fait de surmonter ceux auxquels nous sommes confrontés en cours de route. C’est pourquoi notre esprit ressent parfois le besoin de quitter l’Au-delà pour venir sur terre – pour expérimenter et surmonter la négativité sous toutes ses formes, en tirer une leçon, puis ramener ce savoir à La Maison.

Il faut la même force, le même courage, la même discipline, la même curiosité et la même foi que nous admirons chez ces gens pour choisir de faire à nouveau l’expérience d’une vie humaine. Nous nous devons,  à nous-mêmes et aux autres, un profond respect, ne serait-ce que pour avoir eu le cran de venir ici. Une fois que notre esprit  a pris la décision d’habiter un corps humain, nous élaborons un plan de vie sur la base de ce qui nous intéresse le plus d’expérimenter et d’apprendre dans le cadre de notre quête éternelle de savoir. Ce plan comprend toutes les circonstances de notre vie future ; le genre de parents, de famille et d’enfance que nous aurons, le cheminement de notre carrière, notre état de santé, notre situation financière, nos préférences sexuelles, notre vie amoureuse, nos enfants et la durée de notre vie. Nous choisissons également une « option » ou un domaine dans lequel nous ressentons le besoin d’être particulièrement éprouvés pendant que nous sommes ici-bas.

Nous avons le choix entre sept options : famille, vie sociale, amour, santé, spiritualité, finance et carrière. Si vous examinez attentivement votre vie, je parie qu’en dépit de tous vos efforts vous n’arrivez jamais à faire les choses comme il faudrait dans l’un de ces domaines.  Dans le pire des cas, ces échecs ont des répercussions sur les six autres domaines et vous donnent l’impression que vous faites tout de travers. Ne paniquez pas. Il ne s’agit pas d’une affliction dont on vous accablerait contre votre gré, mais d’un type d’épreuve que vous avez-vous-même choisi. Voyez cela comme la « matière  principale » que vous avez choisie d’approfondir au cours de cette vie afin d’obtenir un jour votre « diplôme de maîtrise »….

Avant de venir ici-bas, en plus d’établir les grandes lignes de notre plan de vie, nous passons également des contrats sacrés avec des entités de l’Au-delà pour qu’elles veillent sur nous, nous protègent, nous aident et nous conseillent au cours de ce périple terrestre que nous avons choisi d’entreprendre. De tous ces conseillers, celui dont nous sommes le plus proches est sans contredit notre Guide Spirituel, celui avec qui nous avons conçu et révisé notre plan de vie, et qui nous suivra toujours pas à pas avec l’aide de Dieu.

 Extrait du livre : Aller-retour dans l’Au-delà de Sylvia Browne aux éditions Ada – pages 30 à 38.

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Les génies de la forêt nous préviennent

Posté par othoharmonie le 1 septembre 2013

Les génies de la forêt nous préviennent dans LECTURES Inspirantes images-13

Certains pays dont la France sont en train de rompre le grand équilibre séculaire de la nature. Nos ancêtres depuis quatre siècles surtout avaient réussi à équilibrer les cultures et les forêts. Que voyons-nous autour de nous. Les haies, les fourrés détruits, arrachés pour donner à certaines de nos provinces l’aspect de grandes plaines dénudées. Que voyons-nous encore ? Des forêts centenaires de chênes, de hêtres, coupées à blanc pour y replanter d’uniques résineux sous prétexte de besoin en pâte à papier. Il a été complètement oublié dans l’organisation de notre monde que les forêts sont les poumons de la planète et que partout où l’on supprimera complètement les feuillus on apportera un climat froid et sec.

Partout où l‘on instaurera de futurs déserts. Plus d’endroits pour les nids des oiseaux, plus de refuges pour les différents gibiers. Plus rien qui ne retienne l’eau au sol une fois les cultures levées. Des territoires entiers sont livrés à la grande érosion.

Autrefois, la coutume était de ne jamais couper une forêt à blanc ; on préservait disait-on « L’avenir » d’une forêt ; cela voulait dire que l’on réservait pour le futur de jeunes arbres nommés balivaux. Aujourd’hui on est pressé de réaliser en bloc le capital constitué par nos ancêtres qui eux n’utilisaient avec sagesse que le bénéfice d’une forêt, en instaurant des coupes intelligentes qui préservaient la forêt, en l’entretenant. Je me demande si les hommes qui ont fait nos belles forêts ne crient pas au scandale du fond de leur tombeau, voyant ce que les inconscients administrateurs de nos forêts font aujourd’hui. Cela ne correspond à aucune nécessité pour notre pays. Mais que dirons nos petits enfants lorsqu’ils se trouveront face au désert que nous leur préparons. Je suis un peu étonné de ne pas entendre à ce sujet la voix des écologistes. L’arbre est l’ami de l’homme je l’ai déjà dit et cette exploitation forestière se transforme en assassinat.

L’air que nous respirons sera de ce fait modifié car le rejet d’oxyde de carbone épongé par les forêts ne pourra plus l’être lorsqu’elles seront peu nombreuses, et nous nous asphyxierons lentement mais sûrement. Nous porteurs de Lumière, ne pouvons laisser passer cela sans alerter le grand public qui ne sais pas… il est incompréhensible que les hommes au pouvoir qui voyagent pourtant plus que nécessaire, qui connaissent les Etats Unis n’aient pas vu où ce genre d’erreur a été commise, le maximum est fait pour réparer. Dans ce pays on replante des haies, on replante des feuillus etc… Il faudra certes deux cents ans pour redonner un équilibre à la nature de ce pays, victime comme vous le savez, de tornades, cyclones et autres agréments naturels. La sagesse Sorcière dit que chaque homme devrait dans son propre pays être propriétaire de quelques arbres. Je vois avec plaisir les citadins lorsqu’ils ont une propriété en campagne planter des arbres. L’exemple cette fois vient du peuple. Savez vous que les Génies des Forêts sont en colère… bien sûr, cela peut faire rire ou sourire. Mais a son importance. Les arbres sont nos Alliés ils le savent, mais nous savons qu’ils sont les nôtres et nous les défendons autant que faire se peut. Tous à titre individuel attirez l’attention de vos parlementaires sur ce problème en leur disant que vous les rendez responsables des suites que cette contre-écologie pourra manifester. Croyez-moi, ils ne savent pas ce qu’ils font. Je suis certain qu’en quelques heures de calcul aidé par des machines il est facile de prévoir les catastrophes à venir.

Les génies des forêts ont prévenu, viendra le jour où ils  vont réagir, car on ne peut leur enlever le monde, qui est le leur, mais aussi le nôtre…

Propos recueillis de Jacques Rubinstein dans son livre : Le Grand Livre de la Sorcellerie et de la Wicca

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