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Le cercle des Fées du monde

Posté par othoharmonie le 7 septembre 2013

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Par Meena Compagnon Goll

Le cercle des Fées du monde dans Chemin spirituel fee038

Depuis le début de l’Humanité, les Femmes portent la Vie dans leur ventre. Et depuis des décennies, des femmes pleurent sur cette vie qui les a habitées et animées pendant neuf mois.

Trop souvent, la Vie qu’elles ont offerte au monde est détruite brutalement, par les guerres, par la violence physique et psychique, par la drogue et les maladies, par la corruption, la misère sociale, par le suicide, la déchéance morale et physique et la perte du Sens de la Vie… Au nom de Dieu, au nom de la Patrie, au nom de la Vérité, au nom d’Idéologies politiques, au nom de la Paix, au nom du Progrès, au nom de l’Amour… les êtres humains se déchirent et s’entretuent partout dans le Monde depuis la nuit des temps. 

En 2500 ans et sans doute plus, jamais la paix totale n’a existé sur notre magnifique planète. La Peur règne en maître depuis des décennies engendrant les comportements les plus barbares qu’aucun animal ne pourrait concevoir. L’observation montre que la plupart du temps, cette peur archaïque est alimentée par les pensées, par les projections et par les systèmes de croyance qui induisent la séparation… 

Le mental, énergie masculine axée sur l’extérieur fait appel au cerveau gauche, programmé depuis des siècles, à réagir à la peur mais non pas à la transformer. Le cerveau gauche ne crée pas, il analyse et imagine, à travers une connaissance antérieure limitée, puisque basée sur le savoir issu de l’expérience, elle-même issue de la mémoire de l’expérience… Il est condamné à répéter sans cesse à travers une programmation ancestrale. 

Les mêmes causes produisant les mêmes effets, il est passé de l’invention de la massue à celle de la bombe atomique ! Il nomme cela : le progrès. Le cerveau droit, quant à lui, atrophié par des siècles de patriarcat et de dominance yang, est le siège de la création, de l’intuition du « Euréka » émergeant d’une prise de conscience fulgurante, d’une inspiration surgie de l’inconnu. C’est le cœur de l’énergie féminine, le monde intérieur, des sensations et de l’intuition. Il est relié à une magnifique énergie d’Expansion : l’AMOUR 

AMOUR ET VIE sont Energies d’expansion et s’expriment par : Ouverture du Coeur, Compassion, Joie, Créativité, Pardon. 


PEUR ET MORT sont Energies de contraction et se manifestent par : Fermeture du Coeur, Haine, Tristesse, Répétition, Ressentiment.Depuis des siècles, l’Humanité alignée sur le modèle masculin, a utilisé l’action et la « con-traction » pour répondre à la peur qu’elle crée en son sein.. Mais cette action déconnectée du Cœur a amené la planète et ses habitants au bord du gouffre. AIMER c’est se LIBERER DE LA PEUR 

  DE L’AMOUR AU SACRE 
Sortant de siècles, de soumission ou de révolte, (les deux faces d’une même pièce), les femmes oeuvrent depuis des années à se reconstruire au-delà du clivage masculin-féminin, au-delà de la dualité. A travers des heures d’introspection et de travail sur elles-mêmes, elles ont fait leurs l’adage écrit sur le Temple de Delphes : « connais toi toi-même et tu connaîtras l’univers ». 

Pionnières du développement personnel, elles se sont retrouvées pour épancher leurs larmes et leurs colères, transformant leurs blessures en Amour. Leurs yeux s’ouvrent sur la réalité de ce monde qui émerge de siècles de dualité. Elles découvrent que les facettes, « masculin – féminin » de l’Univers sont en elles. Que chacune sont complémentaires et qu’en refuser une, revient à la projeter à l’extérieur et la diaboliser.Elles sont la clé du nouveau Monde, car servir la Vie c’est servir l’Amour. Et servir l’Amour c’est servir la Vie. Il ne s’agit pas d’un amour mièvre ou romantique qui place l’autre comme source d’amour. Il s’agit de cet Amour qui prend racine au plus profond de soi et que l’on nomme l’Amour Inconditionnel. Un Amour qui englobe tout ce qui EST, ce que la physique quantique nomme le Monde Vibratoire. Nous sommes toutes et tous des cellules de cette Humanité. Lorsqu’une seule cellule souffre c’est tout le corps qui souffre. Lorsqu’on tue une seule cellule c’est le corps entier que l’on tue. Ces femmes savent en leur âme et conscience que tout ce qu’elles font à autrui c’est à elles-mêmes qu’elles le font. Lutter, résister, critiquer, revient à occulter un aspect d’elles-mêmes qu’elles refusent d’accepter et qu’elles retrouveront sur leur chemin tant qu’elles ne l’auront pas reconnu. Elles sont le Monde et le Monde est un miroir d’elles-mêmes. L’humanité ne fait qu’un. Ces femmes ont semé, au cours de laborieuses années de travail personnel souvent exigeant et sans concession, des graines de conscience et d’amour dont les fruits sont à l’image de leur maturité intérieure. 

  En contactant leur puissance et leur force qui résonnent dans leur utérus comme le tambour de l’Univers, elles s’autorisent à ouvrir leur cœur et à célébrer le mariage alchimique de leurs énergies yin et yang, les libérant pour toujours de leur dépendance à l’autre. Nourries de leur complétude, entières et reliées verticalement à la terre, le cœur et le ciel, elles intègrent cette prise de conscience : il n’y a pas de réelle puissance sans ouverture du cœur, et il ne peut y avoir de réelle ouverture du cœur sans contacter sa propre puissance.

A travers l’énergie de la nature, de la respiration, de la contemplation, elles nourrissent un lien sacré avec la Vie. Elles rayonnent de la joie d’exister et rendent grâce à leur Mère-Terre, leur Mère Divine, leur Mère Cosmique qui les a nourri en son sein. Elles mettent leur masculin au service de leur féminin, l’action au service de l’intuition, la puissance au service du cœur, pour sortir de l’Urgence individuelle et se mettre au service du Collectif. En sacralisant la vie, elles passent de L’Amour Humain à l’Amour Divin, et créent la seule véritable paix possible : LA REALISATION DU SOI 

  LE CERCLE DES FEES DU MONDE 

Ces Femmes Éclairées Engagées Solidaires émergent d’une Conscience collective et d’une Urgence féminine en résonance avec la souffrance d’une planète agonisante. Unies par le cœur et la conscience de leur responsabilité face à ce Monde en crise, ces Femmes éclairées s’engagent à s’unir pour Servir la Vie. Leur projet commun est le Changement intérieur individuel et collectif. 

L’objectif du Cercle des FEES du Monde est de mettre au Service des femmes, mais aussi des hommes, l’énergie issue de leur transformation individuelle afin de servir collectivement la paix, la vie et l’amour . Cela demande puissance, détermination, amour et humilité. Le Cercle des FEES n’est pas un cercle d’exclusion masculine mais un cercle de retrouvaille entre sœurs, afin d’aider aussi les hommes en chemin à établir le lien coeur – puissance. 

Coopérer est une grande aventure humaine engendrée par le plaisir d’être et de faire ensemble, mais pas forcément une chose en particulier. Cette coopération authentique naît de la joie de partager dans un sentiment d’unité et de sororité. Le Cercle des FEES du MONDE requiert de ne jamais se positionner en personne qui Sait pour l’autre. C’est un cercle vivant, bouillonnant et vigilant. Il est sous tendu par une Charte acceptée et signée par Toutes. Cette charte évolue en consensus. 

  La Charte s’inspire entre autre des quatre accords toltèques de RIUAZ et des trois lois spirituelles que sont la loi de résonance, la loi d’attraction et la loi d’attention : 

Si tu veux la paix sur terre, fais la paix en toi 
Si tu veux l’Abondance et l’Amour crée-les en toi et autour de toi 
Si tu juges l’autre, regarde ce que tu refuses d’accepter en toi 
Si tu te sens seul, observe là où tu t’es coupé des autres 
Si tu es pauvre, trouve en toi la résistance à l’abondance 
Si tu constates que l’autre a un super égo, accueille le tien avec tendresse 
Si tu ne peux pardonner, observe l’espace où tu refuses de prendre ta responsabilité……… 

IL n’y a rien qui se manifeste à l’extérieur qui ne soit un miroir de soi-même. 
Soyons au Service de la Vie et de la Lumière
Si nous voulons changer l’autre : changeons nous-mêmes 
Si nous voulons changer le Monde, changeons nous-mêmes 
Exprimons-nous avec cœur, conscience, authenticité et bienveillance 
Cultivons l’écoute véritable 
Quoi qu’il se passe, n’en faisons pas une affaire personnelle 
Evitons de faire des suppositions 
Accomplissons nos engagements en faisant de notre mieux 
Quoique nous fassions, faisons le totalement et avec passion 
Libérons-nous du triangle dramatique : bourreau victime sauveur 
Développons Gratitude et Compassion pour tout ce qui Est 
Pratiquons quotidiennement la vision intérieure et la méditation 
Les fréquences vibratoires, positives ou négatives, que nous émettons, font résonner les mêmes fréquences chez autrui et gagnent en intensité réciproquement (loi de résonance) 
Nous sommes totalement responsables de notre vie 
Nous attirons chaque événement, personne, circonstance …..qui vibrent sur notre fréquence vibratoire (loi d’attraction) 
Nous attirons et créons ce sur quoi nous portons notre attention (loi d’attention) 

  Créons une Alliance de Cœur et de Conscience avec les Femmes Eclairées Engagées de la Planète dans une Utopie féminine de solidarité et de mise au Service de la Paix, de la Lumière et de la Vie C’est une aventure passionnante, bouleversante, enrichissante Soyons des Femmes Unies pour la vie SOYONS LA PAIX ET L’AMOUR QUE NOUS VOULONS VOIR DANS LE MONDE

SOYONS LE CERCLE DES FEES DU MONDE Pour contacter le Cercle des FEES du MONDE www.feesdumonde.com[avec accès au blog "Fées du Monde" ] 

  Meena COMPAGNON-GOLL Porte parole des FEES DU MONDE Enseignante en transformation intérieure Auteure des livres « Apprivoiser le pardon » (édition Amrita) Et l’Urgence Féminine (en cours) -  meena.compagnon@free.fr

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LE HASARD EXISTE-T-IL ?

Posté par othoharmonie le 7 septembre 2013

LE HASARD EXISTE-T-IL ? dans Chemin spirituel fleur

Bien entendu, vous avez déjà compris. A la lumière de ces quelques évidences ontologiques qui permettent de prouver que tout est le produit d’un BUT, il ne peut pas y avoir de hasard. Seul un but est susceptible de créer quoi que ce soit, puisqu’il est démontré que toute énergie ne peut venir que du futur, et certainement pas du passé. Ou bien il y a hasard, ou bien il y a but. Les deux sont incompatibles. S’il y a but, il ne peut plus y avoir le moindre hasard. Or ce but est désormais démontré. Le hasard n’est que l’invention des matérialistes pour qualifier une cause/but qu’ils refusent.

La question du hasard n’est pas que métaphysique, elle est aussi psychologique. Si chacun finit dans sa propre vie par se rendre compte qu’il n’y a jamais de hasard, c’est parce que dès le départ, dès l’origine de l’être, le but poursuivi est impérieux, et ne laisse aucune place à l’hésitation. C’est la poursuite de ce but qui engendre les outils (l’univers) permettant de le réaliser, et la totalité de l’univers lui est donc subordonnée.

L’idée de hasard ne s’immisce dans les esprits que dans la mesure où l’on refuse à l’univers ce but, où l’on croit que l’univers a été créé accidentellement d’un seul coup, et qu’il continue sur sa lancée au petit bonheur la chance. Cette conception erronnée est simplement un subterfuge de la conscience pour refuser de voir son but en face, et pour refuser l’évidence que la conscience, loin d’être un produit de l’évolution, en est en fait le moteur unique, car c’est elle qui est à l’origine de l’univers (l’univers est toujours un univers personnel). L’HYPERSCIENCE (théorie de l’atome magnétique et de l’origine de l’énergie magnétique spirituelle qui le constitue) prouve de façon définitive :

- que l’univers ne peut pas avoir une création datée dans le passé. Une cause passée peut avoir un effet dans le passé, mais pour qu’il y ait un effet maintenant, il faut une cause maintenant. Par exemple, pour que je souffre aujourd’hui d’un traumatisme ancien, il faut que je crée maintenant les conditions mentales et physiques permettant cette souffrance. Si je ne les crée pas, le passé n’aura aucune incidence présente. L’Univers est recréé en totalité à chaque instant (puisqu’il est perçu à chaque instant), ce qui ne peut être le fruit d’un hasard ; de surcroît, le fait qu’il évolue prouve bien que sa source d’énergie est toujours présente (un effet passé ne peut aller qu’en s’estompant. On appelle cela l’ »entropie ». Mais à chaque instant je suis, donc à chaque instant ma cause est présente. Croire que c’est le fruit du hasard suppose de croire qu’à chaque instant je vais tirer le 6 aux dés) ;

- que son origine est la poursuite radicale d’un but, nécessité absolue et incontournable régissant l’apparition et l’évolution de toute chose. Sans but à atteindre, il n’y a aucune raison qu’une combinaison, moléculaire ou autre, l’emporte sur une autre combinaison « moins adaptée », pour la simple raison qu’il ne peut y a voir de molécule sans cause, et pas davantage de combinaison sans nécessité de se combiner. Ce n’est pas le hasard qui fait que la Vie s’impose partout où elle le peut. C’est sa VOLONTE, c’est-à-dire son but inconscient. Pour défendre sa vie, il faut VOULOIR la défendre. Sinon on ne se fatigue pas à s’adapter : on meurt. L’univers ne meurt pas, les espèces s’adaptent. Sans but inconscient qui les tire, elles en seraient incapables, et aucune vie ne peut se maintenir dix minutes sans autodéfense farouche ;

- qu’en aucun cas les probabilités ne peuvent s’appliquer en l’absence de toute existence. Il faut des éléments à assembler, ainsi qu’un facteur agissant, pour que les probabilités jouent un rôle. Ceci les évacue en ce qui concerne la naissance de l’Etre ou de l’univers. Il y a donc confirmation du but. S’il y a but au départ, tout ce qui suit en est le résultat, tant que le but n’est pas atteint.

- que de toute façon, l’esprit est tout. Ce n’est pas du dogmatisme de le dire. Celui qui n’est pas d’accord n’a qu’à exhiber une chose qui ne soit pas un objet de conscience. Seule une matière sans volonté pourrait être régie par le hasard. Mais il n’en existe aucune. Aucune matière ne peut même naître sans but pour engendrer son énergie (il n’est plus à démontrer que la matière est énergie, ni d’ailleurs l’équivalence entre Energie et Esprit.

En conséquence de quoi il n’y a pas la moindre place pour qu’un hasard quelconque s’insinue, à quelque niveau que ce soit.

bisous11 dans Expériences

Petit(e) veinard(e), vous n’êtes pas le fruit du hasard ! Vous avez un sens ! Votre vie a une signification cosmique ! Et ce n’est pas un hasard non plus si vous avez cliqué sur ce site et interviewé celui qui pense avoir découvert cette première et unique explication rationnelle de l’origine causale de l’être, de l’esprit, de l’espace-temps, de l’énergie-matière et de l’évolution universelle : votre serviteur F. H. 
Cliquez donc ici pour la suite de cette page.

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Ascension vers le Supramental

Posté par othoharmonie le 7 septembre 2013


 Ascension vers le Supramental dans Chemin spirituel champ-fleurs

Nous pouvons aisément concevoir la transformation psychique et les premières étapes de la transformation spirituelle ; leur perfection serait la perfection, la plénitude, l’unité accomplie d’une connaissance et d’une expérience qui font déjà partie des choses réalisées, même si elles ne le sont que par un très petit nombre d’êtres humains. Mais le changement supramental et son processus nous emportent en des régions moins explorées ; il nous découvre la vision de hauteurs de conscience qui, certes, ont été entrevues et visitées, mais dont il reste encore à découvrir la totalité et à dresser la carte. Le plus élevé de ces pics ou de ces hauts plateaux de conscience, le supramental, se dresse très au-delà de la possibilité de toute représentation ou de tout schéma mental satisfaisant, hors de portée de la vision et de la description mentales.

Il serait difficile pour une conception mentale normale, non illuminée ou non transformée, d’exprimer ou de pénétrer ce qui est basé sur une conscience si différente et dont la perception des choses est si radicalement différente. Même si l’on pouvait voir ou concevoir ce domaine, à la suite de quelque illumination ou de quelque ouverture de la vision, il faudrait un autre langage que les pauvres jetons abstraits dont se sert notre mental, pour le traduire en termes qui nous rendent vraiment accessible sa réalité. De même que les sommets du mental humain sont au-delà de la perception animale, de même les mouvements du supramental sont au-delà de la conception mentale humaine ordinaire. C’est seulement quand nous avons déjà eu l’expérience d’une conscience supérieure intermédiaire, que des termes s’efforçant de décrire l’être supramental peuvent transmettre un sens véritable à notre intelligence ; car alors, ayant eu une expérience voisine de celle qui est décrite, nous pouvons traduire un langage inadéquat en des formes que nous connaissons déjà. Si le mental ne peut pénétrer la nature du supramental, il peut la contempler à travers ces hautes et lumineuses voies d’accès et saisir quelque impression réfléchie du Vrai, du Bien et du Vaste qui sont le royaume natal de l’Esprit libre.

Mais même ce qui peut être dit de la conscience intermédiaire est forcément inadéquat ; on ne peut hasarder que certaines généralisations abstraites qui peuvent servir de lumière pour nous guider au début. La seule circonstance qui vienne ici à notre aide, c’est que la conscience supérieure, si différente soit-elle dans sa constitution et son principe, est cependant, sous sa forme évolutive et dans ce que nous pouvons d’abord en atteindre ici-bas, le développement ultime d’éléments qui sont déjà présents dans notre conscience, si rudimentaires et diminués soient la forme et le pouvoir qu’ils revêtent en nous. Un fait qui vient également à notre aide, c’est que la logique du processus suivi par la Nature évolutive persiste, et même si quelques-unes des règles de son fonctionnement se trouvent grandement modifiées, elle reste essentiellement la même dans l’ascension des plus hauts sommets comme dans les commencements les plus bas ; aussi pouvons-nous découvrir et suivre, dans une certaine mesure, les lignes de son suprême fonctionnement. En effet, nous avons entrevu la nature et la loi de la transition du mental intellectuel au mental spirituel ; ce point de départ étant atteint, nous pouvons commencer à suivre le passage vers un plus haut échelon dynamique de la nouvelle conscience et tracer la transition suivante du mental spirituel au supramental. Les indications seront inévitablement très imparfaites, car, par la méthode de la recherche métaphysique, on ne peut arriver qu’à certaines représentations initiales d’un caractère abstrait et général. La connaissance et la description vraies doivent être laissées au langage du mystique et aux images à la fois plus vivantes et plus profondes d’une expérience directe et concrète.

La transition qui conduit au supramental en passant par le surmental, est un passage de la Nature telle que nous la connaissons, à la SupranatureDe ce fait même, il est impossible d’y atteindre par un simple effort mental ; notre aspiration et notre effort personnel ne peuvent à eux seuls y parvenir. 

Car cet effort appartient au pouvoir inférieur de la Nature, et un pouvoir de l’ignorance ne peut atteindre par sa propre force ou par les méthodes caractéristiques qui lui sont accessibles, ce qui est au-delà de son propre domaine naturel. Toutes les ascensions précédentes ont été effectuées par une Conscience-Force secrète opérant tout d’abord dans l’inconscience, puis dans l’ignorance ; son travail a ainsi fait émerger à la surface ses pouvoirs involués, pouvoirs cachés derrière le voile et supérieurs aux anciennes formulations de la Nature. Mais malgré cela, il est nécessaire que ces mêmes pouvoirs supérieurs déjà formulés dans toute leur force naturelle sur leurs propres plans, exercent une pression ; ces plans supérieurs créent leurs propres fondations dans les parties subliminales de notre être, et de là ils peuvent influencer le processus évolutif à la surface. Le surmental et le supramental eux aussi sont involués et occultes dans la Nature terrestre, mais ils n’ont encore établi aucune formation sur les niveaux accessibles de notre conscience interne subliminale, il n’y a encore aucun être surmental ni aucune nature surmentale organisée, aucun être supramental ni aucune nature supramentale organisée, qui agisse soit sur les parties superficielles de notre être, soit dans ses parties subliminales normales – ces grands pouvoirs de conscience sont supraconscients par rapport au niveau de notre ignorance. Pour que les principes involués du surmental et du supramental puissent émerger de leurs profondeurs voilées, il faut que l’être et les pouvoirs de la supraconscience descendent en nous, nous soulèvent et s’expriment dans notre être et nos facultés ; cette descente est la condition sine qua non de la transition et de la transformation.

in « L’Évolution spirituelle – Les six derniers chapitres de La Vie Divine« 
http://intyoga.online.fr/ld2_26fr.htm

Publié dans Chemin spirituel, Nouvelle conscience | Pas de Commentaire »

 

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