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Colorer notre vie grâce au rêve lucide

Posté par othoharmonie le 15 septembre 2013

Vous êtes-vous déjà levés le cœur joyeux au sortir d’un beau rêve, avec le sentiment que cette jolie énergie illuminerait votre journée ? Et si nous pouvions choisir d’agir sur nos rêves afin de renouveler ces expériences ? Stephen Laberge dans « S’éveiller en rêvant » nous apprend à manier nos rêves afin qu’ils viennent enrichir notre vie éveillée.

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C’est un lieu commun en même temps qu’une évidence indéniable que d’affirmer que la vie est courte. Et le fait que nous passions entre un quart et la moitié de notre vie à dormir n’arrange rien. Pour la plupart d’entre nous, nous sommes des somnambules dans nos rêves nocturnes. Nous dormons, inconscients, et nous passons à côté de milliers d’opportunités d’être pleinement conscients et vivants. Vous assoupir dans vos rêves nocturnes est-il le meilleur usage que vous pouvez faire de votre courte vie ? Vous passez à côté d’une partie du temps limité durant lequel vous pouvez être vivant, mais aussi durant lequel vous pouvez jouir d’aventures et de prises de conscience qui pourraient enrichir vos vies. En vous éveillant dans vos rêves, vous ajouterez à votre expérience de la vie, et si vous faites usage de ces heures de lucidité pour expérimenter et exercer votre esprit, vous pouvez alors apprécier davantage vos heures passées dans l’état de veille. (…)

De l’état de rêve lucide, nous pouvons ramener dans l’état de veille diverses formes de connaissance, mais aussi des états émotionnels. Lorsque nous nous réveillons d’un merveilleux rêve lucide en riant et en nous réjouissant, il n’est pas surprenant de constater que notre humeur de l’état de veille a été illuminée par des sentiments de joie. Le premier rêve lucide d’une jeune femme, obtenu après la lecture d’un article sur le rêve lucide, en fournit un excellent exemple. Après avoir pris conscience qu’elle était en train de rêver, elle « essaya de se souvenir des conseils qu’elle avait lus dans l’article », mais la seule chose dont elle se souvint et qui n’avait rien à voir avec l’article était « expérience ultime ». Elle se sentit transportée par « une sensation merveilleuse de fusion et de dissolution dans les couleurs et la lumière » qui « culmina en un orgasme total ». Elle eut ensuite l’impression de flotter gentiment vers l’état de veille et fut imprégnée d’un sentiment de joie pétillante qui subsista plus d’une semaine. Cette importation d’émotion et de sentiments positifs dans l’état de veille est un aspect important du rêve lucide. Les rêves, que nous nous en souvenions ou pas, colorent bien souvent notre humeur au réveil, parfois pour une part significative de la journée. Tout comme les répercussions négatives des mauvais rêves peuvent vous donner l’impression de vous être levé du mauvais pied, les éléments positifs d’un rêve peuvent vous procurer une élévation émotionnelle qui vous aide à commencer la journée avec confiance et énergie. Ceci est encore plus vrai des rêves lucides qui sont source d’inspiration. (…)

En quoi la fraicheur et la richesse de votre expérience ordinaire de l’état de veille a-t-elle un rapport avec l’expérience du rêve lucide ?

La majorité des aspects qui caractérisent votre expérience de l’état de veille caractérisent également l’état de rêve. Si vous étiez en train de rêver, vous expérimenteriez un monde multi sensoriel aussi riche et apparemment aussi réel que le monde que vous êtes en train d’expérimenter maintenant. Vous verriez, entendriez, sentiriez, goûteriez, penseriez, et seriez tel que vous êtes maintenant. La différence cardinale réside dans le fait que le monde multi sensoriel que vous expérimentez lorsque vous rêvez est d’origine interne plutôt que qu’externe. Dans l’état de veille, la majorité de ce que vous percevez correspond à des individus, des objets et des évènements qui existent vraiment dans le monde extérieur. Parce que ces objets de perception dans l’état de veille existent en fait indépendamment de votre esprit, ils demeurent relativement stables. Par exemple, vous pouvez lire et regarder cette phrase, fermer le livre quelques instants, l’ouvrir à nouveau à la même page, et vous verrez la même phrase. Mais comme vous le verrez dans le chapitre deux, la même chose n’est pas vraie dans l’état de rêve. Parce qu’il n’y a pas de source stable de stimulation à partir de laquelle construire le monde de votre expérience, les rêves sont beaucoup plus changeants que ne l’est le monde physique.

Si vous étiez dans un rêve lucide, votre expérience du monde serait encore plus différente de celle de l’état de veille. Tout d’abord, vous sauriez que tout ce que vous vivez est un rêve, et à cause de cela le monde environnant aurait une tendance à se réorganiser et à se transformer de manière plus prononcée que dans les rêves ordinaires. Des choses impossibles pourraient se produire, et la scène onirique elle-même, plutôt que de disparaître à partir de l’instant où vous prendriez conscience de son « irréalité », deviendrait au contraire plus claire et brillante jusqu’à ce que vous soyez abasourdi d’émerveillement. En étant totalement lucide, vous réaliseriez que le monde onirique dans sa totalité existe dans votre esprit, et cette prise de conscience s’accompagnerait d’un sentiment exaltant de liberté. Rien d’externe ne pourrait contraindre votre expérience, ni lois sociales, ni lois physiques ; vous pourriez faire tout ce que vous seriez en mesure de concevoir, tout ce que vous croiriez pour voir faire. (…)

En cultivant la conscience de vos rêves et la conscience dans vos rêves et en apprenant à utiliser votre tapis volant, vous pouvez amener plus de conscience et plus de vie… dans votre vie. Durant ce processus, vous vous réjouirez davantage de vos voyages oniriques nocturnes et vous approfondirez votre compréhension de vous-même. En vous éveillant dans vos rêves, vous pouvez vous éveiller à la vie.

S’éveiller en rêvant, Stephen Laberge
Editions Almora (Mars 2008 ; 121 pages) 

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Les « connexions » des artistes

Posté par othoharmonie le 15 septembre 2013

De nombreux artistes disent avoir rêvé certaines de leurs œuvres. D’autres racontent vivre des états mystiques et seraient comme connectés à d’autres dimensions qu’ils considèrent source de leur inspiration créative.

Les Depuis l’âge de 4 ans, Akiane Kramarik peint des visages, des regards, des scènes de vie, des animaux et des paysages, avec un réalisme, une émotion et une profondeur à couper le souffle. Si la jeune prodige, aujourd’hui âgée de 18 ans, n’a jamais reçu d’éducation religieuse, elle a toujours prétendu être transcendée par Dieu. « Dès l’enfance, j’ai eu de nombreuses visions aux couleurs vibrantes que j’ai reproduites en peinture. Puis, par une nuit froide étoilée, j’ai été réveillée par un souffle à la fois léger et intense. Là, j’ai conversé avec Dieu et visité le Paradis. Depuis, il me guide et m’inspire dans mon art. » 

Akiane Kramarik est loin d’être un cas isolé. Depuis toujours, de nombreux artistes – peintres, musiciens, sculpteurs, écrivains, acteurs… – disent avoir eu l’impression de ne pas être à l’origine d’une œuvre qu’ils ont pourtant créée. La plupart tireraient leur inspiration de leurs rêves, ou lors de moments privilégiés de grâce. 

Rêver une œuvre

Giuseppe Tartini (1692-1770), violoniste et compositeur italien, rêva que le diable était devenu son esclave. Dans son rêve, il lui donna un violon et, à sa grande surprise, le diable se mit à jouer « une sonate d’une telle beauté exquise que cela dépassait les limites de mon imagination », témoignait-il. Au réveil, Tartini se rappela de la musique du mieux qu’il le pu et composa la célèbre Sonate des trilles du Diable. Richard Wagner (1813-1883), compositeur allemand, décrivant son opéra Tristan et Yseult, confiait à l’époque: « Pour une fois, vous allez entendre un rêve, un rêve que j’ai mis en musique … J’ai rêvé tout cela. Jamais ma pauvre tête aurait pu inventer une telle chose délibérément. » En septembre 1853, pendant une sieste, il conçut le prélude pour orchestre de L’anneau du Libelung. En mai de l’année suivante, il termina l’opéra en entier. Robert Louis Stevenson (1850-1894), écrivain britannique, auteur de l’Île aux trésors, constata très jeune qu’il pouvait rêver des histoires entières et même continuer un même rêve les nuits suivantes pour lui trouver une fin différente ou affiner une intrigue. Dans son autobiographie, Across the Plains, Stevenson écrit que ses rêves étaient produits par des petits bonhommes qui travaillaient toute la nuit, jouant devant lui des morceaux d’histoire sur un petit théâtre illuminé. C’est ainsi qu’est né L’Etrange cas du Doctor Jekyll et Mister Hyde. Autre exemple, plus récent, celui du réalisateur américain James Cameron qui aurait, lui aussi, trouvé l’inspiration dans ses rêves pour réaliser le film Avatar. Or, qu’est-ce que le rêve en parapsychologie ? Ce n’est rien d’autre qu’un état modifié de conscience qui se révèle être un terrain très favorable aux expériences de télépathie, d’intuition et de prémonition, et permet d’avoir accès à des sources intarissables d’informations. 

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Timeless 2013 pour Mylène Farmer

Posté par othoharmonie le 15 septembre 2013

Trente ans après ses débuts, la libertine de la chanson attire toujours les foules. Depuis un mois, ses fans campent devant Bercy.

Pour le grand retour de Mylène Farmer ce soir samedi 7 Septembre 2013 à Bercy, les fans ont planté leur tente devant le bâtiment dès début août. Soit… un mois avant le premier concert de leur star! Ce n’est pas fini. «Dès samedi soir à 23 heures, quand le spectacle sera terminé, les fans reformeront une file d’attente pour le concert suivant, raconte Philippe Ventadour, directeur général de Bercy. Et ainsi de suite pendant dix jours. C’est atypique. Nous allons installer des sanitaires et assurer leur sécurité.».

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SI vous souhaitez plus d’éléments sur Mylène, retrouvez mon blog : http://francescax7.unblog.fr/#

 

En attendant, jouant au chat et à la souris avec les vigiles, collant leurs oreilles aux portes, ces admirateurs captent la moindre bribe sonore des répétitions et la moindre rumeur est illico colportée sur Internet. Et tant pis si la diva tient à ses effets de surprise. «Mylène est sortie un peu avant minuit, fenêtre ouverte, un petit coucou, toute mignonne. Ça a duré cinq secondes mais c’était génial», écrit Shad sur Mylène.net, l’un des sites de référence de la «famermania». 

À l’approche du grand soir, la chanteuse affole la Toile: à lui seul, ­le site dépasse les 20.000 clics par jour. Le pic de l’hystérie est attendu demain, dimanche. Invitée au JT de Laurent Delahousse sur France 2, la star pourrait enfin trancher une interrogation qui tient son public en haleine: la tournée Timeless 2013 sera-t-elle sa dernière? À 52 ans, combien de temps ­Mylène pourra-t-elle enchaîner des shows aussi physiques?

Timeless 2013 pour Mylène Farmer dans Musique au coeur images-6 Après quatre ans loin de la scène, la rousse icône reprend la route pour 39 concerts. La tournée la mènera jusqu’à Minsk, Moscou et Saint-Pétersbourg. 420.000 places se sont vendues comme des petits pains (soit une moyenne exceptionnelle de 11.000 spectateurs par date). Les quelques milliers de billets restants s’écouleront sans problème grâce au bouche-à-oreille. Il y a presque un an, le 4 octobre 2012, jour d’ouverture de la billetterie, le public s’est précipité. Les 156.000 places s’étaient arrachées en six heures. Le producteur de Mylène ­Farmer, Thierry Suc, a pu ainsi doubler voire tripler plusieurs dates. Le triomphe de Farmer va même rapporter des dividendes… à l’État français. Celui-ci est en effet actionnaire, via la Banque publique d’investissement à 33 %, de TS3, la société de Thierry Suc. 

39 concerts, pas un de plus. Ce serait impossible pour Mylène qui n’a jamais recours au play-back. Au pire, quand la voix fatigue, elle laisse ses choristes – comme Esther, beauté noire et sœur de Princesse Erika – prendre le relais. Quoi qu’il en soit, la rentabilité s’annonce maximale. Plus les dates dans une même ville sont nombreuses, plus le coût très élevé du montage et du démontage de la scène est amorti. 

Source : paru dans la Presse de LeFigaro.fr 

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