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Spiritualité et sexualité

Posté par othoharmonie le 31 octobre 2013

Spiritualité et sexualité dans APPRENDS-MOI images-151

Comment considérer la sexualité – Extrait des Oeuvres Complètes – Volume 14 – Omraam Mikhaël Aïvanhov

Est-ce qu’il est préférable de vivre dans la chasteté ou, au contraire, d’avoir des relations sexuelles ? 

Chacun se prononce, dit que c’est bon ou que c’est mauvais … mais ce n’est pas ainsi qu’il faut présenter les choses. Ceux qui veulent vivre dans la chasteté et dans la continence, sont-ils dans le vrai ? Tout dépend quel est leur but. Cela peut donner de très mauvais résultats, mais aussi de très bons. La continence peut rendre les uns hystériques, névrosés, malades, et d’autres forts, équilibrés et bien portants. 

Ceux qui donnent libre cours à tous leurs instincts ont-ils raison ? Sûrement, ils ont une certaine raison. Et est-ce que cela peut faire du bien ? Certainement, cela peut faire beaucoup de bien, mais aussi beaucoup de mal. On ne doit donc pas classer les choses en disant : « ça, c’est bon … ça, c’est mauvais. » Le bien et le mal dépendent d’un autre facteur : comment on utilise les forces, comment on les dirige. Rien n’est ni bon ni mauvais, mais devient bon ou mauvais. 

La question, c’est de savoir d’abord quel est votre idéal, ce que vous voulez devenir. Si vous voulez devenir une âme, un esprit, un être exceptionnel, si vous voulez faire des découvertes dans le monde spirituel, communier avec le Ciel, évidemment vous serez obligés de diminuer le nombre de certains plaisirs, ou même d’y renoncer complètement afin d’apprendre à sublimer votre force sexuelle. Mais si vous n’avez pas ce haut idéal, à ce moment-là, c’est idiot de se retenir, d’être chaste et vierge et même vous tomberez malade. Parce que vos efforts ne rimeront à rien … 

Vous pouvez vous procurer les livres d’Omraam aux Editions PROSVETA  

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Un changement de dimension

Posté par othoharmonie le 31 octobre 2013

Un changement de dimension dans Chemin spirituel images-142

La plupart des grands prophètes et des autochtones de la planète ont déjà prédit qu’une « grande transformation » allait bientôt survenir sur terre, touchant toute l’humanité. En fin de compte, nous voyons la chose se préciser sous la forme d’un changement de dimension à l’échelle planétaire, d’une ascension globale jusque sur un nouveau plateau d’existence associé à la conscience christique, ou conscience de l’unité.

Ce que nous commençons à vivre ici-bas sur la Terre afin que tous ces changements soient équilibrés et ne causent pas trop de souffrances, c’est saisir la nature de ce changement de dimension, c’est trouver le moyen d’accélérer sa propre croissance spirituelle et l’utiliser au mieux pendant le temps qu’il nous reste à vivre sur cette planète magnifique.

Un changement de dimension, comme son nom l’indique, c’est lorsqu’une planète ou tout autre corps cosmique passe d’un niveau de conscience à un autre et d’une dimension d’existence à une autre. Dans notre cas, nous allons sortir de la troisième dimension pour pénétrer dans la quatrième. Autrement dit, la planète tout entière, dont tout ce qui se trouve sur elle ou à l’intérieur d’elle, ou encore au-dessous d’elle, va connaître ce véritable passage d’une dimension à une autre. Les Amérindiens croient que nous sommes tous sur le point de passer du quatrième monde au cinquième, un changement qui sera précédé par ce qu’ils appellent « le jour de la purification ». Il y a une différence quant au moment ou à la date, étant donné que dans leur tradition, ils considèrent le grand vide comme un monde et effectuent donc leurs calculs à partir de là. Par conséquent, la troisième dimension, du point de vue des Melchizédek, et la quatrième, selon les Amérindiens, constituent une seule et même chose.

Si tel est votre choix, vous pouvez vous aussi comprendre la nature de cette transformation vers la prochaine dimension de vie, le prochain monde. Quand bien même il s’agira probablement d’une transformation très rapide, nous pouvons déjà voir sa nature et discerner ce que sont ces changements sur lesquels nous allons tous passer. Cela soulève également le voile à propos des événements qui se produisent dans le monde en ce moment et explique pourquoi ils sont là, ce qui rend l’esprit et le cœur plus pénétrants, alors que nous traversons cette période de transformations.

Sur des planètes de cette galaxie, le changement de dimension commence habituellement par l’affaiblissement du champ magnétique et le déplacement de plus en plus désordonné des points géomagnétiques. La civilisation de la planète commence à se fracturer et on entre alors dans la dernière phase. Celle-ci ne dure habituellement pas plus de deux ans, et presque toujours au moins trois mois. Au cours de cette phase, la civilisation se dissout petit à petit et il devient extrêmement dangereux de rester en vie. Tous les systèmes qui, en temps normal, permettaient à la civilisation de continuer, se désintègrent complètement et le chaos règne. C’est la période pour laquelle la plupart des esprits religieux se sont préparés, comme les mormons, par exemple. C’est la période pendant laquelle nous sommes encore sur terre, dans la troisième dimension, et juste avant la transition dans la dimension suivante, la quatrième dans notre cas.

La période de cinq ou six heures avant le changement de dimension proprement dit est un temps très étrange où la quatrième dimension se met à déborder dans la troisième. Le fait de savoir cela à l’avance pourra vraiment nous aider. Quand le changement sera entamé, personne n’en doutera.

Il y aura des manifestations bien précises, des couleurs et des formes auxquelles la conscience de la majorité des humains n’est pas habituée. A partir de ce moment-là, nous aurons quitté la troisième dimension de la Terre pour de bon. Habituellement, l’axe de la planète change, mais nous n’en serons pas conscients parce que nous serons littéralement dans une autre dimension, dans un autre espace-temps. Bien sûr, il y a toujours une possibilité que les choses arrivent autrement, mais ce que je vous donne ici constitue le cours normal.

Une fois que nous aurons traversé le grand vide, nous pénétrerons dans la quatrième dimension de la Terre. La vie aura complètement changé. L’ascension, la résurrection ou la mort finale auront lieu avant cette phase. Dès lors, la naissance dans un nouveau monde sera en cours. Le scénario vous donnera une idée de la manière dont un changement de dimension se passe généralement dans l’univers, mais la Terre représente un cas exceptionnel. Sachez que tout cela dépendra de l’amour que nous avons les uns envers les autres en tant que race humaine. Quelque chose de très important est en train de se produire.

 

Extrait du livre de Drunvalo Merchizédek : L’ancien secret de la Fleur de Vie – Tome 2

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EVOLUER, C’EST RECONNAITRE QU’ON S‘EST TROMPÉ

Posté par othoharmonie le 31 octobre 2013

EVOLUER, C’EST RECONNAITRE QU’ON S‘EST TROMPÉ dans LECTURES Inspirantes historique2

Par Claude Traks

L’homme doit et est en train de faire un saut dans son évolution sans précédent, sinon il va s’autodétruire. Il va sauter de sa nature d’homme à celle d’être humain en « sautant » quelques étapes ! Un être humain, c’est un homme ou une femme qui a intégré son côté féminin, mais attention sur la notion de « féminin » car notre culture nous ment sur la nature même du féminin et du masculin. Je donne toutes les infos dans mon livre. 

  La question principale qui vient à mon esprit, lorsque je lis votre incroyable livre, c’est : comment avez-vous accès à autant d’informations ? 

Depuis toujours, je ne m’intéresse qu’à une chose : identifier les graines des problèmes de notre société. J’ai eu la chance d’approcher de nombreux chercheurs de vérité, et j’ai pu partager leur point de vue sur cette question. Les techniques chamaniques pour communiquer avec les êtres de l’invisible ont été une source déterminante. C’est grâce à elles que j’arrive à communiquer, de manière relativement précise, avec les Déesses qui sont en train de reprendre le pouvoir dans cette Humanité. Ce n’est pas du channelling car on ne nous « dicte » pas un message. Ce sont de réelles discussions ! 

Ces Déesses nous ont donné le feu vert pour lâcher ces informations, mais pas avant 2012. Le but était qu’un maximum d’âmes arrive à ces conclusions par elles-mêmes ! _Car ces infos font vraiment partie des conclusions auxquelles toute âme va arriver un jour ! Ce sont des clefs pour préparer nos Esprits à ce qui arrive. 

Que ce soit ou non en 2012, ce saut, de notre niveau de conscience à un autre, va se produire. L’accélération se fait d’ailleurs sentir très fort chaque jour. Ce qu’il faut changer c’est surtout nôtre État d’Esprit. 

Plus que jamais, la manière dont on voit le monde, dont on le comprend, influence la manière dont ce monde se présente à nous. 

Le moment est arrivé de vraiment vivre ses priorités et de « tâcher de n’avoir qu’une seule attache » : sa petite voix intérieure ; et ; au delà : ce qui fait l’identité de notre Soi, ce qui nous rend unique, notre propre Essence éternelle. Écouter sa petite voix c’est aussi mettre de l’ordre dans son intellect, dans ses croyances, dans ses priorités au jour le jour. Car notre Divinité intérieure est habituée à vivre dans un environnement, avec certaines croyances et Lois qui sont l’essence même de son identité éternelle. Et c’est de l’état d’Esprit de cet environnement dont ce livre parle. A la Lumière de la psychologie, ce livre nous explique en quoi les piliers des modes de vies qui sont à l’exact opposé des piliers de vie patriarcaux, sont les graines les plus saines pour une évolution optimum. 

C’est la compréhension de cela qui libère ! Car la vraie guérison inclut le fait de se guérir des croyances, modes de vie et logiques des cultures « dites » patriarcales. « Dites » car notre culture judéo-chrétienne-musulmano-bouddhiste nous donne une fausse image de ce qu’est la nature éternelle du patriarcat masculin ! 

  Que préconisez-vous pour un monde meilleur ? 
« Tu veux sauver le monde ? Sauve-toi, toi-même ! » Il faut évoluer au plus vite en vivant dans des conditions où l’on peut mettre son évolution en priorité. 

Chaque fois qu’un de nous fait un pas, il entraîne toute l’Humanité avec lui ! Nous sommes tous et toutes des petits Dieux et Déesses en vacances sur terre Gaïa. 

L’Eglise a modelé nos cultures afin de nous éloigner de nos pouvoirs Divins car elle trouve qu’il est trop dangereux pour le commun des mortels de développer ses pouvoirs. 

A nous de nous replonger dans ces cultures plus « Divines » afin de faire naître en nous nos pouvoirs psychiques surhumains qui feront la différence ! 

Quelques êtres peuvent changer le cours des choses, il en a toujours été ainsi ! Il est important de rêver le monde que l’on désire et de partager cette vision ! Cette vision doit être la plus précise possible, avec notamment des lois et des modes d’organisation pour l’accompagnement des enfants, qui soient les plus proches des lois divines (selon notre propre jugement). 

Bien sûr, il est important de vivre le plus en harmonie possible avec cette vision, même si on ne l’incarne pas totalement. L’idéal est de créer des petites tribus d’êtres à forte personnalité qui fabriquent ensemble un vaisseau de Lumière de groupe. Une tribu sans autre hiérarchie que celle du cercle, où chacun peut bénéficier d’autant d’isolement qu’il le désire. 

En ce qui concerne l’Ascension de l’Humanité qui entraînerait chaque individu dans l’Ascension, que cela soit en 2012 ou pas, l’essentiel de la préparation est intérieure. Vous pouvez fabriquer des bunkers et faire des provisions de nourriture, rien de nous évitera « la guérison de gré ou de force ». En effet, tout ce qui en vous est en harmonie avec la culture dite patriarcale sera transmutée. Cela sera comme un portail, un filtre par lequel nous passerons tous ! 

  Le titre de votre livre évoque directement 2012, quelle est votre vision sur cette année ? 
Nous vivons une période très spéciale qui n’arrive que tous les quelques milliards d’années. D’ici à décembre 2012, les fruits de tous nos efforts seront démultipliés. Chaque pas et choix nous rapprochera ou nous éloignera un peu plus de notre Divinité intérieure. Bien sur, chacun sa voie, mais le but ultime de chaque âme est d’un jour se reconnecter avec son Esprit originel après le long voyage de l’âme dans l’illusion de la dualité. 

La période que nous vivons est comme un escalator mécanique. L’énergie vitale (Bovis) va doubler entre le 21 décembre 2011 et 2012 ! Il suffit de se tenir debout (le plus en harmonie possible avec ses valeurs), d’être présent (en acceptant ses émotions et en leur parlant), de vivre nos priorités et nous évoluerons autant en quelques jours que nous ne l’aurions fait en quelques années dans une période classique. 

Le 21 décembre 2012 a été retenu comme date pour faire ce bond évolutionnnel, mais si le nombre de personnes prêtes à faire ce bond consciemment n’est pas suffisant, cette date sera repoussée. A cette date, l’augmentation de fréquence s’arrêtera ! A travers ce bond, nous sortirons du rêve (le maya) dans lequel nous sommes. 

Le maya est une espèce de jeu vidéo auquel sont raccordés tous nos sens, notre intellect et notre corps émotionnel. On pourrait comparer cela à un programme de simulation pour que les Divinités en herbe puissent apprendre à manier leurs pouvoirs sans créer de souffrances inutiles dans la création. 

Dans ce programme on nous fait vivre les souffrances qui pourraient être évitées si l’on vivait plus proche des Lois et modes de Vies de l’Amour. Il existe en effet des modes de vie, des moyens d’élever les enfants qui donnent au potentiel de chacun toutes ses dimensions. _ Ainsi, ce programme fonctionne en circuit fermé, on pourrait appeler ce réseau « la matrice ». Le jeu arrive au bout de ses programmations : nous entrons dans une période où c’est nous qui écrivons la suite. « Notre famille de Lumière » regarde ce jeu vidéo comme si c’était la série TV/jeu vidéo la plus passionnante qui soit. Elle crée des personnages, leur donne toutes sortes d’obstacles et d’opportunités afin qu’ils apprennent au mieux l’importance des Lois de l’amour. En effet, si on veut avoir le plus de pouvoirs Divins possible, il suffit, de se rapprocher le plus possible de l’environnement dans lequel l’être Divin est habitué à évoluer. 

Ce que nous pouvons faire maintenant, c’est la même chose que papa Dieu et maman Déesse en créant à l’intérieur de nous le monde que nous voulons à l’extérieur. Dans cette période unique, on peut donc… 
1/ Créer à l’intérieur la vision du monde dont on rêve. Pour cela, chacun doit comprendre que les « cultures » des mondes divins sont exactement à l’opposé des mondes à cultures patriarcales. 
2/ Être le plus conscient possible des différences qui existent entre notre rêve et notre « réalité » et bien sûr tendre vers le fait de limiter ces différences. 

3/ Mettre en harmonie le plus possible nos croyances, nos modes de vie et nos logiques avec les Lois de l’Amour et donc les modes de vie que nous appellerons « matriarcales androgynes ». Je continue d’employer le mot matriarcal vu que notre culture utilise ce mot pour faire référence aux cultures mariales. Dans cette société les hommes et les femmes étaient vraiment égaux. Le travail sur l’évolution constante, le respect de l’environnement et l’accompagnement des enfants étaient au centre de tout. 

4/ Préparer ses différents corps à des fréquences les plus élevées possibles, en échappant le plus possible à toutes ses habitudes, manger le plus léger possible. 

Il existe 3 moyens de passer dans les mondes Divins : 
a/ Avec son âme, son Esprit et avec ses différents corps. 
b/ Avec son âme son Esprit mais sans son corps physique. 
c/ Sans son âme et sans son corps physique mais avec son Esprit qui est éternel. 

L’idéal c’est de renforcer cette vision, en la visualisant dans des petits groupes de plus ou moins 13 personnes qui représentent chacune l’une des polarités de la création, l’un des 13 signes des zodiaques (Et oui, il y en a 13 !). 

Chacun de ces groupes va visualiser sa propre Humanité et si elle est assez proche des Lois de l’Amour et qu’assez d’êtres visibles ou invisibles avec une puissance de concentration y adhèrent, ce rêve deviendra réel. Bien sûr, la vision existe dès qu’une personne la porte, mais la force du groupe est l’une des clefs ! 

De telles visions peuvent vraiment influencer l’inconscient collectif et sont l’une des meilleures façons de « rendre ce monde meilleur » ici et maintenant. Car la plupart des hommes sont manipulés à partir de l’invisible, donc c’est là qu’il faut agir ! 

Alors, que tout ceci soit vrai ou pas, vivez cette année comme si c’était la dernière, OSEZ vous mettre en danger pour vivre toutes vos priorités en restant le plus proche possible de vos valeurs profondes… Et vous serez toujours gagnant ! 

Pour le reste, je vous conseille vraiment de lire ce livre… images-132 dans SPIRITUALITE c'est quoi ?

Si c’est trop cher pour vous, vous pouvez proposer ce que vous voulez sur www.claudetraks.com et je vous l’envoie… 

N’oubliez pas que votre Esprit est immortel et que le but du jeu est justement de déterminer : qu’est-ce qui en nous est immortel ? 

Malgré les apparences, nous nous aimons tous et toutes depuis et pour l’Eternité.

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Chi ou Quiromancie

Posté par othoharmonie le 30 octobre 2013

Chi ou Quiromancie dans Astrologie et Esotérisme chirom10

Lecture des lignes de la main, méthode divinatoire utilisée par les voyants.

Les mains sont remplies de lignes, de formes, de symboles et de particularités propres à chaque individu. Ce ne sont pas seulement des plis et des rides dues aux mouvements des mains car elles se forment dès le deuxième mois de la grossesse. Elles reflètent donc ce qu’est l’être fondamental, une sorte de code génétique qu’il est possible d’interpréter dans les lignes de la main droite et gauche. La méthode divinatoire de son interprétation se nomme la quiromancie . Chacun de nous possédons des mains uniques et il n’existe pas deux paires de mains identiques au monde. Notre caractère, notre évolution globale, toute notre vie est présente dans nos mains.

La quiromancie est une méthode divinatoire qui étudie la personnalité et le caractère de chacun au travers de nos lignes de la main.

En analysant vos lignes de la main grâce à la quiromancie , vous y trouverez les signes révélateurs de votre destin et de votre personnalité. Vous serez étonné d’y voir les vérités qui se cachent dans nos lignes de la main et ce que nous révèle la quiromancie .

En quiromancie , nous pouvons distinguer 4 grands types de tempéraments pourvus de particularités prononcées et facilement reconnaissable. 

•Le tempérament nerveux 
•Le tempérament bileux 
•Le tempérament lymphatique 
•Le tempérament sanguin

On en parle ICI sur le FORUM « La Vie devant Soi »  

 

TEMPERAMENT LYMPHATIQUE en quiromancie

Ces personnes ont des mains froides, humides et flexibles. Les doigts sont courts, noueux aux jonctions, plutôt gros, carrés et en spatule. En général, ils n’ont pas beaucoup de lignes de la main. Elles sont souvent courtes, épaisses et souvent groupées. Ce sont des personnes de tempérament tranquille. Ils évoluent à un rythme lent sans se préoccuper beaucoup des autres. Ils sont d’une sensualité irrésistible et impressionnent par leurs capacités de réflexion profondes et efficaces.

TEMPERAMENT SANGUIN selon la méthode divinatoire de la lecture des lignes de la main

Ce sont des personnes aux mains chaudes, plutôt fermes. Leurs doigts sont courts, minces, noueux aux jonctions. Les extrémités de leurs doigts peuvent être carrés ou effilées. Les lignes de la main sont bien définies, peu nombreuses et peu profondes. Ce sont des personnes impressionnables mais qui semblent bien prendre les changements brusques. Ils apprécient les choses faites rapidement et ne supporte pas de perdre leur temps. Persévérants et infatigables quand ils sont en action, ce sont des personnes d’une grande sensibilité, chaleureuses et généreuses.

TEMPERAMENT BILEUX

On reconnait ces personnes à leurs mains dures, sèches et généralement chaudes. Leurs doigts sont larges, lisses, coniques ou en spatules. Ils ont de nombreuses lignes de la main. On les distingue facilement car elles sont profondes et bien tracées. Ce sont des personnes d’une grande détermination mais très discrètes. Chez eux, tout est sujet à réflexion et à calcul. Tout est pensé. Ils évoluent à un rythme lent car ils détestent précipiter les évènements.

TEMPERAMENT NERVEUX

Les mains de ces personnes sont froides et secs. Les doigts larges et lisses, pointus ou coniques. Les lignes de la main sont fines et nombreuses souvent entrelacées. 

Ce sont des personnes sensibles, influençable, d’esprit vif et capable de s’adapter à tout. Ils ont une grande imagination et sont très créatifs. Leurs capacités mentales sont très développées mais ils ont le défaut de beaucoup exagérer. 

– Lignes de la main: Comment les lire, comment les interpréter? ICI

Consultez le site référence http://www.oracles.ch/tirage/index.php

 

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La voie de l’à-venir

Posté par othoharmonie le 29 octobre 2013

La voie de l’à-venir dans APPRENDS-MOI images-93

Si je parle dans l’esprit de ce temps, il me faut dire : Rien ni personne ne peut justifier ce qu’il me faut vous annoncer. Me justifier est superflu, car je n’ai pas le choix, il le faut. J’ai appris qu’outre l’esprit de ce temps, un autre esprit est à l’œuvre, celui qui règne sur les profondeurs de tout ce qui fait partie du présent. L’esprit de ce temps veut entendre parler d’utilité et de valeur. Je le pensais moi aussi et ce qui est humain en moi le pense encore. Mais cet autre esprit m’oblige néanmoins à parler, par-delà toute justification, toute utilité et tout sens.

Empli de fierté humaine et aveuglé par l’esprit présomptueux de ce temps, j’ai longtemps cherché à tenir cet autre esprit à distance. Mais je n’ai pas pris en compte que l’esprit des profondeurs fut de tout temps et sera pour tous les temps plus puissant que l’esprit de ce temps qui change au fil des générations.

L’esprit des profondeurs a soumis toute la fierté et tout l’orgueil du discernement. Il m’a ôté la foi en la science, il m’a privé de la joie d’expliquer et de classifier, et il a fait s’éteindre en moi l’enthousiasme pour les idéaux de ce temps. Il m’a contraint à descendre vers les choses ultimes et les plus simples. 

L’esprit des profondeurs s’est emparé de mon entendement et de toutes mes connaissances, et les a mis au service de ce qui est inexplicable et qui va à l’encontre du sens. Il m’a privé de la parole et de l’écriture pour tout ce qui n’était pas au service de cette seule chose, cette fusion du sens et du contre-sens qui produit le sur-sens.

Mais le sur-sens est la voie, le chemin et le pont vers l’à-venir.

C’est le Dieu à venir. Ce n’est pas le Dieu à venir lui-même, mais son image, qui apparaît dans le sur-sens. Dieu est une image et ceux qui l’adorent doivent l’adorer dans l’image du sur-sens.

Le sur-sens n’est pas sens, pas plus qu’il n’est contre-sens, il est à la fois image et force, magnificence et force réunies.

Le sur-sens est commencement et but. Il est le pont du passage et de l’accomplissement.

Les autres dieux sont morts de leur temporalité, mais le sur-sens ne meurt pas, il se transforme en sens puis en contre-sens, et du feu et du sang de la collision des deux s’élève à nouveau, rajeuni, le sur-sens.

L’image de Dieu a une ombre. Le sur-sens est réel et projette une ombre. Car qu’est-ce qui pourrait être réel et physique sans posséder une ombre ? 

L’ombre est le non-sens. Elle est sans force et n’existe pas par elle-même. Mais le non sens est le frère inséparable et immortel du sur-sens. 

Les humains grandissent comme les plantes, les uns à la lumière, les autres à l’ombre. Nombreux sont ceux qui ont besoin de l’ombre et pas de la lumière.

L’image de Dieu projette une ombre qui est aussi grande qu’elle-même.

Le sur-sens est grand et petit, il est aussi étendu que l’espace du ciel étoilé et aussi étroit que la cellule du corps vivant.

 Extraits du Livre Rouge selon C.G. Jung

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Le rejet d’une vision

Posté par othoharmonie le 29 octobre 2013

Le rejet d’une vision dans APPRENDS-MOI 220px-seurat_le_dormeur

On pourrait le croire. Mais la vision du monde de Laplace est très différente de celle du bouddhisme. Certes, comme Laplace, un bouddhiste n’a pas besoin de Dieu pour faire fonctionner le monde. Pour le bouddhiste, le monde fonctionne par l « ‘interdépendance des phénomènes », idée fondamentale du bouddhisme. Rien n’existe en soi, ni n’est sa propre cause. Une chose ne peut être définie que par rapport à d’autres. L’interdépendance est nécessaire à la manifestation des phénomènes. Un phénomène quel qu’il soit — et cela inclut la création de l’univers — ne peut survenir que s’il est relié et connecté à d’autres. Le bouddhisme nie donc catégoriquement la notion d’un dieu créateur, qui existe par lui-même et indépendamment de tout, et qui crée l’univers ex nihilo. Par contre, dans la vision de Laplace, la présence de Dieu est nécessaire pour créer l’univers. Seulement, après avoir créé l’univers, et remonté son « ressort », il assiste de loin à son évolution et n’intervient plus dans les affaires humaines. C’est cet éloignement de Dieu de l’homme qui explique la réplique de Laplace à Napoléon quand celui-ci lui reproche de ne pas avoir mentionné une seule fois le Grand Architecte dans son ouvrage Mécanique céleste : « Sire, je n’ai pas besoin de cette hypothèse ! » Laplace a donc besoin d’un dieu créateur alors que le bouddhisme ne l’accepte pas. 

Mais il existe une autre différence fondamentale entre Laplace et le bouddhisme. Ce dernier donne une primauté à la conscience et au libre-arbitre. Dans l’univers de Laplace (et de Newton), au contraire, il n’y a plus de libre-arbitre, plus de choix, mais un enchaînement déterministe dans le déroulement du monde résumé par la fameuse phrase de Laplace : « Une intelligence qui, pour un instant donné, connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée, et la situation respective des êtres qui la composent, si d’ailleurs elle était assez vaste pour soumettre ces données à l’analyse, embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l’univers et ceux du plus léger atome ; rien ne serait incertain pour elle et l’avenir comme le passé seraient présents à ses yeux. » Autrement dit, le fait que nous soyons ici ensemble à nous parler serait déterminé dès les premières secondes du big-bang. Cela ne paraît-il pas absurde ? Selon le bouddhisme, l’univers n’a nul besoin d’être réglé pour que la conscience apparaisse : les deux coexistant fondamentalement par le principe de l’interdépendance, ils ne peuvent s’exclure. 

Mais je ne suis pas un bouddhiste « orthodoxe » : j’admets que le concept d’interdépendance puisse expliquer le réglage extrêmement précis de l’univers pour qu’il puisse héberger la vie et la conscience. Mais il est moins évident pour moi que l’interdépendance puisse répondre à la question existentielle de Leibniz : « Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Car le rien est plus simple et plus facile que quelque chose. De plus, à supposer que des choses doivent exister, il faut qu’on puisse rendre compte du pourquoi elles doivent exister ainsi et non autrement ». J’ajouterai : « Pourquoi les lois de l’univers sont-elles ce qu’elles sont et non autres ? ». Ainsi je pourrai très bien imaginer vivre dans un univers décrit seulement par les lois de Newton. Or ce n’est pas le cas. Ce sont les lois de la mécanique quantique et de la relativité qui rendent compte de l’univers connu. Le concept d’interdépendance ne suffit pas par lui-même à expliquer l’existence de l’univers et des lois physiques qui le règlent.

Extraits du Livre Rouge selon C.G. Jung

 

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convergence harmonique ; La Reconnexion

Posté par othoharmonie le 29 octobre 2013

 

 convergence harmonique ; La Reconnexion dans APPRENDS-MOI telechargement-5

Nous sommes en ce moment arrivés à une époque où nous avons la formidable opportunité de recréer à nouveau les liens rompus il y a bien longtemps avec notre Source et réintégrer notre Potentiel Originel… Pour davantage d’informations visitez, le site :http://www.Reconnection.fr et http://www.Frequences-Reconnectives.fr

Image de prévisualisation YouTube

 

Une dame de mon environnement professionnel qui est psychomotricienne, nous raconta un jour qu’elle a organisé un cours qui s’intitulait «connaître son corps», il y a eu une seule inscription.

Elle a alors décidé de changer le titre de son cours par : « j’en a plein le dos » et là, miracle, 30 inscrits se sont présentés tout de suite.

Nous en avons re-discuté ensemble après, et avons convenu qu’il semblerait bien que les mentalités réagissent plus facilement quand ça ne va pas, bien entendu on va dire pour que ça aille mieux après !

mais quand ça va bien ?….

on attend que cela se dégrade pour réagir ?

et que pensez-vous d’agir dans la conscience et pas forcément dans la souffrance ?

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La petite fille aux cheveux bleus

Posté par othoharmonie le 28 octobre 2013


La petite fille aux cheveux bleus dans Légendes Indiennes la-petite-fille-aux-cheveux-bleus-de-giorda-912024349_ml

II était une fois un homme et une femme qui n’avaient pas d’enfant.
Cela les désolait beaucoup car ils désiraient très fort en avoir un, au moins un.

Le monsieur disait souvent : je donnerai n’importe quoi pour avoir un enfant : le ciel, la mer, et toutes les richesses de la terre et tous les animaux du vaste monde. Et cela me serait égal que ce soit un garçon ou une fille, qu’il soit brun, qu’elle soit blonde, qu’il soit rouquin, et cela me serait égal qu’il soit gros, qu’elle soit petite.
Sa femme ne disait rien mais elle pensait les mêmes choses, elle aurait tant voulu avoir un enfant depuis le temps. Ce n’était pas qu’elle se sentit vieille, non, mais enfin tout de même, le temps passait et rien ne se passait.

Un soir que le monsieur répétait en encore :
« et cela me serait égal qu’il ait les yeux noirs ou verts, que son nez soit pointu ou en pied de marmite. »
Sa femme ajouta : « ou qu’elle ait les cheveux bleus.
Le bleu c’est tellement beau. »

Neuf mois après, presque jour pour jour quand naquit la petite fille, la première chose que tous ceux qui assistaient à la naissance virent, ce fut ses cheveux bleus et tous étaient émerveillés,
jamais ils n’avaient vu de pareils cheveux et jamais bien sûr de si beaux cheveux.
Naturellement, ils n’osaient pas dire : « c’est tout à fait les cheveux de sa maman ou les cheveux de son papa » parce que la maman avait des cheveux comme vous et moi et parce que ceux du papa ressemblaient à ceux de la maman.

Mais l’un disait : « on croirait voir le ciel quand perce le soleil du matin. »
Mais un autre disait : « elle ressemble à la mer quand il fait pleine lune. » Chacun en la voyant pensait à tout le bleu qu’il y a dans le vaste monde ; aux pierres précieuses, aux torrents qui courent dans les montagnes, aux petites fleurs qu’il y a dans les prairies, aux gros insectes qui volent en bourdonnant, au lac paresseux et aux reflets du ciel sur la neige en hiver.

Au début, il semblait bien qu’il ne lui arriverait rien, tellement son papa et sa maman la surveillaient pour qu’il ne lui arrive rien. Elle s’éveillait le matin, le soir on la mettait au lit et toute la journée, elle restait à la maison.
Parfois, s’il faisait beau, elle sortait dans le jardin pour jouer et courir comme le font les petits enfants.
Mais il ne fallait pas qu’elle enjambe la clôture, ni même qu’elle regarde trop au-delà des limites du jardin ; ses parents avaient si peur qu’il ne lui arrive quelque chose.

Pourtant, un jour, elle avait déjà sept ans, en coiffant ses cheveux, qui étaient devenus très longs et qui étaient toujours bleus, elle trouva dans sa brosse un petit cheveu blond. Elle
courut le dire à sa mère qui répondit tranquillement :
« Ce n’est rien ma fille, c’est un reflet de soleil sur la mer. »
Mais la petite fille n’avait jamais vu le soleil sur la mer.

Le lendemain, la petite fille découvrit dans sa brosse un petit cheveu blanc, elle courut le montrer à son père qui lui répondit tranquillement :
« Ce n’est rien ma fille, c’est une étoile dans le ciel. »
Mais la petite fille n’avait jamais regardé les étoiles dans le ciel.

Et bientôt, chaque jour une couleur nouvelle apparut dans sa chevelure.
Sa mère ou son père lui disait que ce n’était rien, que c’était la queue d’un renard sur une prairie au soleil couchant ou une écaille de poisson faisant la pirouette dans la mer ou bien un chaume de blé vert mêlé à des bleuets en fleurs, à la fin, la petite fille eut envie de connaître, elle aussi, toutes les choses dont lui parlaient son père et sa mère et qu’elle n’avait jamais vues et elle dit à ses parents : « j’ai envie de sortir de la maison, je rendrai ses reflets au soleil, au ciel ses étoiles, sa queue au renard, tout le monde sera content. »
Son père et sa mère pleurèrent beaucoup mais elle leur promit de revenir une fois qu’elle aurait rendu à chacun ce qui leur appartenait.

La petite fille donc s’en fut à travers le vaste monde n’emportant dans son sac que sa brosse en poils de sanglier.
Elle demanda le chemin de la mer, on lui indiqua une direction vague : « là… par là. » et elle se mit en route et la route montait, montait si bien qu’elle se retrouva tout près du ciel.
« Ce n’est pas par là » : se dit-elle, mais au moins maintenant je connais le ciel et la montagne.
Elle était si fatiguée qu’elle s’allongea n’importe où et qu’elle s’endormit en plein soleil.

Un vieux berger qui passait avec son troupeau la réveilla brusquement, « je cherche la mer » : lui dit-elle, « j’ai dû me tromper de chemin. »
Le vieux berger lui dit : « pour aller vers la mer il suffit de descendre, tu ne peux pas t’égarer. » et il la regarda qui s’éloignait pensant que cette petite fille avait de beaux cheveux.

Après plusieurs heures de marche, elle s’arrêta au bord d’une rivière. Il faisait nuit depuis longtemps.
« Maintenant, je connais les rivières et la nuit, mais comment ferai-je pour savoir où est la mer ? »
« La mer, c’est facile à trouver, il te suffit de penser très fort à la couleur de ses vagues pour qu’elle vienne jusqu’à tes pieds. »
Elle ne sut jamais qui lui avait parlé cette fois-là, elle pensa que c’était le vent ou le murmure des eaux, mais elle fit comme la voix lui avait conseillé de faire et tout devint facile tout à coup.

Elle connut ainsi l’eau scintillante de la mer et celle immobile des glaciers
Elle marcha à la rencontre de la nuit éclairée par la lune, elle parla au renard et aux poissons, aux oiseaux et aux papillons et les herbes et les branches se courbaient sur son passage comme pour peigner sa longue chevelure.
À chacun, elle rendit ce qui lui appartenait. À la mer elle dit : « Mer, je te rends les reflets sur tes vagues et les éclairs lumineux des poissons qui font le dos rond sur ton ventre mais donne-moi le cri de tes mouettes et le vacarme de tes tempêtes. »

La mer lui dit merci et lui donna tout ce qu’elle voulut.
À la nuit elle dit : « Nuit, je te rends tes étoiles, garde-les longtemps à la même place pour que je vienne leur dire bonjour de temps en temps, mais donne-moi les étoiles filantes et les nuages longs qui coupent parfois le visage de la lune. »
La nuit la remercia et lui donna tout ce qu’elle voulut.

Au renard et aux autres animaux qu’elle rencontra elle dit :
« - Renard, je te rends l’éclat fauve de ta fourrure mais donne-moi en échange 1’éclair trouble de ton regard.
– Oiseau, reprends les couleurs éclatantes de ton plumage, elles sont à toi et donne-moi la fine pointe de ton bec et la justesse de ton chant.
– Insecte, voilà ta carapace coriace, est-ce que je peux te prendre un peu du pollen de tes pattes ? »
Le renard, 1′oiseau et tous les autres reprirent chacun ce qui leur appartenait et lui donnèrent en échange tout ce qui lui plaisait.

Chaque fois, la petite fille ouvrait son sac pour y mettre avec précaution les cadeaux qu’elle venait de recevoir, elle en reçut beaucoup.
Bientôt son sac fut plein et elle, elle se sentait libre et légère, alors elle décida de rentrer chez elle, maintenant elle savait retrouver son chemin entre la mer et le ciel, la terre et les étoiles, au milieu des animaux et des insectes qui lui semblaient auparavant des géants lointains et menaçants. Elle marcha longtemps sans avoir l’impression de se fatiguer, elle prenait seulement son élan dans les descentes pour escalader les montées, quand la mer voulait bien la porter, elle se laissait pousser par les vagues. Si le soleil se couchait, elle se couchait elle aussi et quand la nuit la rendait à la lumière, elle se remettait en route.

Elle était sûre d’arriver un jour et de retrouver ses parents comme elle les avait laissés.
Une fois à proximité de sa maison, elle ouvrit le petit sac qui ne l’avait jamais quittée et en tira tous ses trésors pour s’en parer. Elle frappa à la porte. Ses parents ne la reconnurent pas d’abord.
Les traits de son visage et les formes de son corps étaient, devenus si fins et si harmonieux qu’à la voir on aurait cru entendre le cri de la mouette et le chant du rossignol.
Son regard aussi avait changé.

Plus lumineux et plus voilé à la fois, car c’était le regard de quelqu’un qui avait regardé le monde en face et tutoyé la mer, le ciel, la lumière et la nuit.
Mais de quelle couleur étaient maintenant ses cheveux ?


Blonds sans doute ou châtains clairs avec des reflets roux peut-être aussi.
images-131 dans Librairie / vidéothèque
En tout cas c’était les cheveux d’une jolie petite fille de douze ans qui avait eu les cheveux bleus.


Quand ses parents l’eurent enfin reconnue, car ses parents la reconnurent bien sûr, c’était toujours leur fille.
Ils se jetèrent dans les bras les uns des autres et cela dura si longtemps que je ne sais pas s’ils ont fini de s’embrasser à l’heure qu’il est.

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L’INHUMANITE DE L’HOMME

Posté par othoharmonie le 28 octobre 2013

 L'INHUMANITE DE L'HOMME dans SAGESSE telechargement-13

Par Osho

Note : Osho est un mystique contemporain qui apporte une vision nouvelle sur l’être humain, ses réponses aux questions sont spontanées et prononcées devant diverses audiences.

Pourquoi les gens se traitent-ils les uns les autres comme ils le font ? Est-ce un conditionnement ou est-ce là quelque chose d’inhérent chez l’homme qui le fait s’écarter volontairement ?

Réponse d’Osho :

C’est les deux.

En premier lieu il y a quelque chose en l’homme qui le mène à s’égarer et deuxièmement, il y a des gens dont l’intérêt est de conduire les êtres humains à s’égarer. Ces deux créent ensemble un être humain faux. Son coeur aspire à l’amour, mais son mental conditionné l’empêche d’aimer.

C’est le problème. L’enfant est né avec un coeur qui aspire à l’amour, mais il est également né avec un cerveau qui peut être conditionné.

La société doit le conditionner contre le coeur, parce que le coeur sera toujours en rébellion contre la société, il suivra toujours son propre chemin, il ne peut pas être transformé en un soldat, il peut devenir un poète, il peut devenir un chanteur, il peut devenir un danseur, mais il ne peut pas devenir un soldat.

Il peut souffrir pour son individualité, il peut mourir pour son individualité et sa liberté, mais il ne peut pas être asservi. C’est le fait du coeur.

51jbmasheyl._bo2204203200_pisitb-sticker-arrow-clicktopright35-76_sx385_sy500_cr00385500_sh20_ou08_ dans SPIRITUALITE c'est quoi ?Mais le mental… l’enfant arrive avec un cerveau vide, un simple mécanisme que vous pouvez arranger de la façon dont vous le voulez. Il apprendra la langue que vous lui enseignez, il apprendra la religion que vous lui enseignez, il apprendra la moralité que vous lui enseignez. C’est simplement un ordinateur; vous l’alimenter simplement avec de l’information et chaque société prend soin de rendre le mental de plus en plus fort de sorte que s’il y a un conflit quelconque entre le coeur et le mental, le mental gagnera. Mais chaque victoire du mental sur le coeur est une misère. C’est une victoire des autres sur votre nature, sur votre être, sur vous et ils ont cultivé votre mental aux fins de servir leur cause.

Ainsi le mental vide, c’est cerveau; vous pouvez y mettre n’importe quoi et avec vingt-cinq ans d’éducation vous pouvez le rendre si fort que vous en oubliez votre cœur, vous resterez toujours malheureux. La misère est que votre coeur peut seulement vous donner de la joie, peut seulement vous donner du bonheur, peut seulement vous faire danser.

Le mental peut faire de l’arithmétique, mais il ne peut pas chanter une chanson, ce ne sont simplement pas les capacités du mental. Ainsi vous êtes déchiré entre votre nature, qui est votre coeur et la société qui est dans votre tête et certainement vous êtes né, tout le monde naît avec ces deux centres. Là est la difficulté.

Et un centre est vide; dans une société meilleure il sera utilisé en accord avec le coeur, pour servir le cœur, ce sera alors une belle vie, pleine des réjouissances. Mais jusqu’ici nous avons vécu dans une société laide, avec des idées putréfiées. Ils ont utilisé le mental et cette vulnérabilité est là: le mental peut être utilisé.

Les communistes l’utilisent d’une façon, les fascistes l’ont utilisé en Allemagne d’une façon, toutes les autres religions l’utilisent de différentes façons. Mais cette vulnérabilité est là en chaque individu, vous avez un mental que vous apportez vide. C’est en fait une bénédiction de l’existence, mais abusée, exploitée. Il vous est donné vide de sorte que vous puissiez en faire un parfait serviteur de votre coeur, de vos aspirations, de votre potentiel. Rien n’est mauvais en lui. Mais les intérêts particuliers, partout dans le monde, ont trouvé là une belle occasion pour eux, d’utiliser le mental contre le coeur. Ainsi vous restez malheureux et ils peuvent vous exploiter de quelques façons qu’ils le souhaitent. C’est pourquoi le monde entier est malheureux.

Tout le monde veut être aimé, tout le monde veut aimer; mais le mental est une telle barrière qu’il ne vous permet ni d’aimer, ni ne vous permet d’être aimé. Dans les deux cas le mental vient en barrage et commence à distordre tout.

Même si par chance vous rencontrez une personne pour laquelle vous ressentez de l’amour et que cette personne ressent de l’amour pour vous, vos mental ne vont pas s’entendre; ils ont été éduqués par différents systèmes, différentes religions, différentes sociétés.

C’est le droit de tout le monde d’être heureux, mais malheureusement la société, les gens avec qui nous avons vécu, ceux qui nous ont introduit dans le monde, n’ont jamais pensé à cela. Ils ont simplement reproduit les êtres humains comme les animaux; pire encore, parce qu’au moins les animaux ne sont pas conditionnés. Ce processus de conditionnement devrait être complètement changé. Le mental devrait être formé pour être le serviteur du cœur, la logique devrait servir l’amour. Alors la vie peut devenir un festival de lumières.

Osho
Extrait de : « Beyond Psychology »

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Un Maître Homme

Posté par othoharmonie le 28 octobre 2013


Graf Dürckheim (par Jacques Castermane) SON SITE / http://www.centre-durckheim.com/v2/voie.html

 

Un Maître Homme dans LECTURES Inspirantes kgdecharpew

L’un des grands disciples du sage allemand qui a quitté son vêtement de chair, nous donne ici son feeling sur l’enseignement et l’héritage de cet homme qui se servait des états d’âme quotidiens comme matière première de la transformation intérieure.

Nouvelles Clés : Graf Dürckheim est mort le 28 décembre 1988. Vous dirigez le Centre qui porte son nom. Vous étiez donc très proches ?

Jacques Castermane : Rien, mais alors rien ne semblait devoir aboutir à cette rencontre, à ces vingt- deux ans de travail avec lui et à cette sorte de filiation. Sans doute est-ce le hasard qui s’écrit destin ? Notre rencontre date de l’année 1967. C’était à Bruxelles à la Maison d’Erasme, où Graf Dürckheim participait à un colloque. Tout de suite le courant est passé. J’étais profondément touché par ce qu’il disait et surtout par sa façon d’être là. Et comme il a bien voulu l’écrire dans la préface de mon livre « je vois encore Jacques Castermane à la Maison d’Erasme, dans son habit bleu, assis sur ma droite. Et, comme cela arrive parfois lorsqu’on fait une conférence, j’avais l’impression que je parlais plus particulièrement pour lui, impressionné par sa capacité d’écouter. »

N. C. : Vous êtes devenu son disciple ?

J. C. : Je ne savais rien de ce que pouvait être une relation entre maître et disciple. Mais il est vrai que quelques années plus tard je ne pouvais plus l’appeler autrement. Après cependant beaucoup d’hésitations, au point de lui demander un jour comment il voyait la différence entre les deux. « La différence entre celui qu’on appelle le maître et celui qu’on appelle le disciple ?

Il n’y en a pas, tous deux sont sur le même chemin, si ce n’est que chez celui qu’on appelle le maître cela se voit déjà un peu plus ! »

N. C. : Il était difficile d’être le disciple de Graf Dürckheim ?

J. C. : Par rapport à lui, non. Par rapport à moi-même, oui. Parce que je me suis senti accompagné, jamais dirigé. Autrement dit j’avais l’impression que ma responsabilité était totale, que jamais il ne me dirait faites ceci ou ne faites pas cela. Dans son beau livre sur le Maître intérieur il dit clairement que le maître est en nous-même, que c’est notre noyau profond, ce qu’il appelle notre Etre essentiel. Pendant ces années d’accompagnement il ne m’a jamais demandé d’obéir à sa voix mais il m’a appris à écouter et à prendre au sérieux ma voix intérieure.

N. C. : Avez-vous un souvenir qui domine les autres ?

J. C. : Mille ! Et sans doute est-ce normal après sa mort, ils sont plus vivants que jamais, précis. Mais il est vrai qu’il en est deux qui sans doute dominent les autres. Le premier est la rencontre, déjà évoquée plus haut, le second est le jour où il m’a invité à travailler en son nom.

N. C. : Comment cela s’est-il passé ?

. C. : C’était en juin 1980. Depuis quelques années j’avais pris la décision d’aller voir Graf Dürckheim une fois par mois, dans la mesure du possible. Mille deux cents kilomètres pour être une heure ou deux avec lui ! Je me réjouissais chaque fois de cette rencontre et je sais qu’il était heureux de ce moment passé ensemble. Ce jour-là il m’a reçu dans sa petite maison en haut du village. Son lieu, son refuge du soir et du dimanche. Un véritable petit musée composé des objets qui l’accompagnaient depuis plus d’un demi-siècle. Une maison où peu de personnes sont entrées ; les leçons se donnaient dans une autre maison au centre du village, le Doktorhaus. Bien que malade d’une sérieuse bronchite il aimait être seul. Tout à coup le cours de la conversation a changé et il m’a dit : « Je fais confiance à votre façon de me comprendre et j’aimerais que vous travailliez en mon nom. »

N. C. : Vous vous y attendiez ?

J. C. : Pas du tout. J’avais l’impression curieuse de recevoir sur mes épaules un seau d’eau glacée qui en même temps était chaude ! Un long silence a profondément relié sa proposition et ma réponse. Je l’ai remercié et je me souviens exactement des mots que j’ai prononcés : « C’est un cadeau que je ne mériterai jamais et, en même temps, je m’en sentirai responsable le temps qui me reste à vivre. » Graf Dürckheim a inauguré le Centre qui porte son nom le 12 juillet 1981.

N. C. : Qu’avez-vous ressenti lorsque vous avez appris sa mort ?

J. C. : Des amis allemands m’ont téléphoné en fin de soirée le 28 décembre. Ce n’ était pas inattendu, au contraire. Je savais pour l’avoir revu quelques semaines plus tôt que cela pouvait arriver à chaque instant. Il n’empêche que ce qui m’a envahit, doucement, c’est une profonde tristesse. La tristesse de la séparation définitive de l’être proche. Mais en même temps je peux dire que j’ai reçu cette nouvelle très calmement parce que dans l’ordre des choses, c’est-à-dire qu’un travail sur le Chemin vous invite à intégrer ce qu’on appelle la vie et ce qu’on appelle la mort. Nous avions bien souvent envisagé le thème de la mort.

N. C. : Que vous disait-il de la mort ?

J. C. : Là encore me reviennent en mémoire quantité de souvenirs. Le 29 décembre, Christina et moi avons pris la route à quatre heures du matin pour le revoir une dernière fois. Graf Dürckheim reposait dans son bureau, là où je l’avais rencontré si souvent. Dès l’instant où je pénétrais dans cette petite pièce de quatre mètres sur quatre, je me sentais touché par une ambiance pénétrante et enveloppante : un silence.

Et dans cette dernière rencontre s’imposait le souvenir de ce qu’il disait du silence : « il y a le silence de la mort, où plus rien ne bouge ; et il y a le silence de la vie où plus rien n’arrête le mouvement de la transformation ». Ce silence impressionnant était celui de la vie. Ou, comme il aimait à le dire, le silence de la grande Vie ?

Dans le cadre d’une leçon, Graf Dürckheim me pose une question inattendue : « Jacques, pensez-vous à la mort chaque jour ? » Il ne me faut pas réfléchir longtemps pour répondre que non. « Quel âge avez-vous ? » J’avais quarante-deux ans. « Si à quarante-deux ans on ne pense pas à la mort chaque jour c’est l’expression d’un manque de maturité ! »

N. C. : Graf Dürckheim avait accepté sa mort ?

J. C. : Oui. Non seulement sa mort mais son mourir. « La mort, cette amie qui vous prend par la main pour vous conduire sur le seuil d’une nouvelle vie… » Voilà encore une phrase qui remonte à ma mémoire. Je ne l’oublierai jamais, bien que je ne l’ai entendu prononcer qu’une seule fois. A entendre les proches qui l’ont accompagné les derniers jours il s’est laissé prendre par la main sereinement. Mais pendant plus d’un an Graf Dürckheim était entré dans ce que j’appelle le mourir. Il était alité, il a été hospitalisé, il a souffert.

durkheim-643a5 dans SAGESSESe mettant en Chemin, beaucoup espèrent pouvoir éviter ces ennuis. Le maître est alors cette sorte de superhomme qui a le droit de vieillir mais en gardant une apparence jeune et en restant en super-santé ! C’est mettre le Chemin au service du petit moi qui a peur de souffrir. Ce qui m’a touché, profondément, chez Graf Dürckheim c’est combien il est resté humain, tout simplement humain, jusqu’au bout. Le 25 octobre, au lendemain de son quatre-vingt-douzième anniversaire j’allai le voir à la clinique de Schopfheim. Savez-vous ce qu’il me dit ? « Le dernier danger pour le moi est de vouloir mourir héroïquement » ! Voilà ce qu’il expérimentait à deux mois de son départ. Le danger de rester encore prisonnier du moi-façade, du moi-rôle.
Un mois plus tôt il m’avait dit quelque chose de très touchant : « Je souffre assez fort. Mais c’est curieux, en acceptant cette souffrance autant qu’il m’est possible, j’ai chaque fois l’impression que ce qui en sort est quelqu’un de plus mûr ! »

Ceux qui idéalisent le maître à leur convenance en imaginant qu’il va se retirer du monde dans une ultime méditation et droit comme un I doivent être déçus. En ce qui me concerne je suis bouleversé par ce témoignage authentiquement humain, profondément humain. Je sais aujourd’hui que le chemin n’a pas pour sens un surhomme mais qu’il peut faire d’un homme… un homme.

N. C. : Si vous aviez à choisir entre les qualités qui caractérisent la vie de tel ou tel homme, quelle est celle que vous choisiriez pour Graf Dürckheim ?

J. C. : Sans hésiter je choisis la bonté. Maria Hippius, sa compagne depuis une quarantaine d’année a annoncé le décès de Graf Dürckheim de la façon suivante – un grand coeur a cessé de battre. C’est très beau et c’ est tellement vrai. La chaleureuse humanité qui émanait de Graf Dürckheim est sans doute la qualité qui a le plus touché ceux et celles qui l’ont approché.

N. C. : Il avait aussi beaucoup d’humour ?

J. C. : Oui, toute rencontre avec Graf Dürckheim aboutissait plus tôt ou plus tard à un grand éclat de rire. Il y a une dizaine d’années un petit groupe était réuni autour du Père Lassalle et de Graf Dürckheim. Afin de se présenter, chaque personne était invitée à se nommer puis à dire ce qui lui était facile et, au contraire, ce qui lui était particulièrement difficile. Arrive le tour du Père Lassalle qui dit : « Ce qui m’est facile c’est de me taire… ce qui m’est difficile c’est de parler. » Vient ensuite Graf Dürckheim qui sourit déjà et en regardant le Père Lassalle annonce: « Ce qui m’est facile c’est de parler… ce qui m’est difficile, par contre, c’est de me taire ! »

Une autre fois, en Belgique, nous étions à table. Graf Dürckheim avait à sa droite Marie-Madeleine Davy. Un garçon s’approche d’elle et lui présente un plateau garni de mets variés. Cet immense plateau était lourd de bonnes choses. Madame Davy arrête le garçon alors qu’il a à peine posé sur son assiette deux morceaux de carottes et une petite feuille de salade.

Le garçon présente le plateau à Graf Dürckheim et lui demande ce qu’il désire. Après avoir regardé, successivement et plusieurs fois ; l’assiette de Marie- Madeleine Davy et l’immense plateau, il regarde le garçon et lui dit : « Tout ce que Madame n’a pas pris ! »

Cet humour il l’a manifesté jusqu’à la fin de sa vie, encore sur son lit à l’hôpital il arrivait à faire éclater de rire la personne qui lui rendait visite. Je crois qu’il manifestait de cette façon un état d’être au-delà des conditions, une sorte de détachement tout en étant au coeur des circonstances difficiles qu’il avait à vivre.

{{{« La vie ne peut plus être ennuyeuse dès qu’un fil d’or
vous relie à votre profondeur »}}}

N. C. : Graf Dürckheim est reconnu comme étant un maître spirituel de notre temps. il était lui-méme très religieux ?

J. C. : Il faut savoir, lorsqu’on évoque la dimension religieuse de Graf Dürckheim, que sa première préoccupation est l’homme et pas telle ou telle religion. Il est lui-même très clair sur ce sujet : « m’intéresse l’homme dans sa profondeur, dans son Etre essentiel ». Pour Graf Dürckheim, l’homme est prédisposé à l’expérience de l’Etre non pas parce qu’il est chrétien ou bouddhiste mais parce qu’il est un homme ! Il n’a jamais fait l’amalgame entre religiosité et confession religieuse. Lorsque nous avons travaillé ensemble à l’ébauche de mon livre
Les leçons de Dürckheim , c’est lui qui m’a proposé d’y insérer son article intitulé « L’expérience religieuse au-delà des religions ». Peu lui importait votre appartenance à tel ordre conceptuel ou philosophique, que vous soyez croyant ou incroyant. « N’oubliez jamais que dans notre travail ne doit nous préoccuper que ce que l’homme devient, et pas ce qu’il est. « Lorsque vous me demandez si lui-même était un homme religieux il est clair que je dois répondre oui ! Marie-Madeleine Davy , déjà citée, me disait un jour en désignant Graf Dürckheim qui était avec d’autres personnes « vous avez vu ses yeux ? Des yeux lavés par la grande expérience » ! C’est en ce sens que je réponds par l’affirmative. Il était nourri par ces expériences religieuses qui n’appartiennent à aucune religion particulière. Expériences qui sont au centre de son enseignement. Je l’ai vu accompagner sur ce qu’il appelait lui-même « le chemin vers l’essentiel » des hommes et des femmes de confessions différentes aussi bien que d’autres qui confessaient un athéisme réfléchi. Au fond il s’intéressait à ce qui en chaque personne est au-delà de ces différences tout en acceptant chacun dans sa différence. Il est dommage que certains, bien inconsciemment sans doute, enferment Graf Dürckheim dans leur différence. Respecter sa mémoire exige sur ce plan d’être très conscient.

N. C. : Cet homme religieux est un thérapeute de l’âme ?

J. C. : Un thérapeute de l’homme, de l’homme entier. Graf Dürckheim reconnaît les maladies physiques, psychiques, psychosomatiques et, en regard de celle-ci, les thérapies pragmatiques qui peuvent aider l’homme a retrouver la santé, c’est- à-dire l’état d’équilibre relatif qui précède la maladie. Mais il envisage ce qu’il appelle lui-même la thérapie initiatique sur un tout autre plan. L’homme en bonne santé, sur les plans qui viennent d’être évoqués, peut être malade de ne pas être celui qu’il est au fond. Dans un langage bouddhiste, on dirait sans doute que l’homme est malade de la distance qu’il a prise avec sa vraie images-12nature. Graf Dürckheim parle de la distance qui nous sépare de notre Etre essentiel. Les symptômes de cette maladie sont le désordre intérieur, le manque de calme intérieur, le sentiment d’insécurité qui conduit à une angoisse existentielle et aussi, il insistait beaucoup sur ce point, un manque de joie de vivre. Lorsque je dis que ce qui m’a touché lors de notre rencontre est sa façon d’être là, c’est bien de ces qualités dont il s’agit. J’avais là, devant moi, un homme de plus de soixante-dix ans duquel émanait une intense joie de vivre. De sa façon d’être là émanait la confiance, un état de confiance. Et il était calme, en ordre. Enfin il avait du temps, cette denrée si rare aujourd’hui. Non pas qu’il était inactif, au contraire. Il était à la fois un homme du monde, un écrivain, un orateur. Chaque jour il recevait huit personnes. A ces huit heures s’ajoutait l’assise en silence quotidienne. Et c’était ainsi toute l’année ! Lorsque j’évoquais son être là et son faire existentiel il revenait toujours à la dimension de l’essentiel. « L’essentiel est présent au fond de nous-même. C’est la lumière qui traverse le jade. Dès que l’homme est plus transparent à l’Etre présent dans son Etre essentiel, un premier critère est l’ouverture à une force qui ne le lâche plus. Cette force est à l’origine d’un ordre intérieur qui s’impose de lui-même. Et cette force a son origine et son aboutissement dans l’unité universelle. Vous vous sentez alors bien en vous- même, sans vous enfermer, et ouvert au monde, sans vous y perdre. » Lorsque je lui dis qu’il avait bien de la chance, que plus rien ne le touchait, que plus rien ne pouvait lui faire perdre l’équilibre, l’énerver, il sourit et dit : « J’aimerais assez qu’il en soit ainsi ! Mais croyez bien que chaque jour encore il y a quelque chose qui me dérange. Le travail sur le chemin n’élimine pas l’insupportable mais il vous permet de le supporter. »

N.C Un facteur important de l’enseignement de Graf Dürckheim est l’exercice. il était lui- méme un homme d’exercice ?

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les origines de l’empathie

Posté par othoharmonie le 27 octobre 2013


les origines de l'empathie dans Etat d'être images-51

Ce n’est pas une seule région cérébrale, mais, au contraire, tout un réseau neuronal qui nous pousse à souffrir des malheurs qui affectent ceux que nous aimons.

Plus la science progresse, plus les chercheurs découvrent que le cerveau est plus complexe que ce que l’on croyait. Et dans tous les domaines. Derniers travaux en date, ceux d’une équipe montpelliéraine de l’Inserm*, récemment publiés dans la revue Cortex. Selon ces spécialistes, il est désormais inutile de tenter de localiser une zone qui pourrait être « associée à la mentalisation », donc à cette fonction qui permet d’éprouver de l’empathie pour les autres. Malgré ce que semblaient indiquer les résultats de travaux précédents, cette sensibilité aux malheurs de notre entourage résulterait de la synchronisation de nombreux réseaux neuronaux connectés entre eux. 

Chirurgie éveillée

« La mentalisation est une fonction extrêmement importante sur le plan social, qui permet de percevoir et d’interpréter les pensées et le comportement d’autrui. Chacun peut ainsi se mettre à la place de la personne qu’il a en face de lui et ressentir ses émotions ou tenter de prévoir ses réactions », rappellent les auteurs de ce travail sur le site de l’Inserm. Et grâce aux progrès de l’imagerie cérébrale, il est désormais possible d’observer l’activation des différentes zones du cerveau des individus en fonction des tâches qu’ils sont en train d’effectuer. C’est ainsi que les chercheurs ont pu affecter, depuis les années 80, des zones spécifiques du cerveau à certaines fonctions. 

Aujourd’hui, il semble que ce concept soit dépassé. Ce que confirme le professeur Hugues Duffau, neurochirurgien et coauteur de ces travaux, grâce à la chirurgie éveillée. Cette technique consiste à ne pas endormir les malades lors d’une opération destinée à retirer une tumeur cérébrale. Elle permet au neurochirurgien d’évaluer en direct l’impact de ses gestes sur les fonctions du patient, et donc d’éviter de créer des lésions définitives dans des régions cruciales du cerveau. Cette approche a déjà permis à Hugues Duffau de combattre l’idée selon laquelle le langage passait exclusivement par l’aire de Broca (située, chez les droitiers, dans la partie inférieure du cortex cérébral gauche). En renouvelant l’expérience chez des patients porteurs de tumeurs qui envahissent le cortex frontal, le chercheur a pu tester l’implication de cette zone dans le processus de mentalisation.

Compensation 

Avant et après l’opération, les patients ont réalisé des tests permettant d’évaluer leur niveau d’empathie. « Après ablation du cortex frontal droit, ils n’ont aucune séquelle. Ils gardent tous d’excellentes capacités de cognition sociale, aussi développées qu’avant l’intervention. Ces résultats montrent que cette région, bien qu’elle soit activée en cas de mentalisation, n’est pas indispensable à cette fonction. Son action peut tout à fait être compensée par d’autres neurones, ailleurs dans le cerveau », explique le chercheur. Pour lui, cette fonction cérébrale serait en fait contrôlée par plusieurs réseaux répartis dans différentes aires, pouvant se compenser les uns les autres.

Sa conclusion rejoint celle d’autres chercheurs en neurosciences : grâce à sa formidable plasticité, le cerveau peut compenser la perte d’une zone, pourtant jugée comme stratégique. Cela prend parfois du temps, mais le développement de nouvelles connexions permet de récupérer des fonctions altérées, par exemple par une intervention chirurgicale. Rassurant, non ?

*Unité 1051 Inserm/CNRS/université de Montpellier 2, Institut de neuroscience de Montpellier, Hôpital Saint-Eloi, Montpellier

extrait article paru sur http://www.lepoint.fr par ANNE JEANBLANC

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LE SIGNE ASTRO. DU CANCER

Posté par othoharmonie le 27 octobre 2013

LE SIGNE ASTRO. DU CANCER dans Astrologie et Esotérisme telechargement-91

Chacun choisit la date, l’heure et le lieu de sa naissance, en fonction de ce qu’il souhaite expérimenter durant cette vie. Mais nous avons tous déjà vécu plusieurs vies au cours desquelles nous avons travaillé pour manifester une valeur qui deviendra un acquis nous ouvrant à de multiples possibilités.

En revenant sur Terre, nous pouvons nous appuyer sur cette valeur intégrée, mais le signe solaire nous en propose une autre qu’il nous faudra manifester en fonction de ce que nous allons vivre.

C’est ce que le signe du Cancer nous montre ici.

Premier signe d’Eau, le Cancer est très marqué par la Mère, car ces Eaux sont les Eaux fœtales. Le Cancer reste également très proche de sa mère biologique.

Sa planète maîtresse, aussi bien exotérique qu’ésotérique est la Lune. Celle-ci lui octroie une intuition très forte. Dans ce signe, on trouve souvent des médiums. Le Cancer aime tout ce qui concerne le foyer, il s’entoure d’amis qu’il invite très volontiers. Il déteste critiquer qui que ce soit, trouvant des excuses à tout le monde; il est d’une extrême tolérance. Mais, derrière cet aspect de dévouement presque instinctif, se cache un égoïsme latent car le Cancer a besoin de se sentir aimé, il demande une attention constante aux autres et n’aime guère la contradiction. Malgré cela, il reste d’une extrême Tolérance et se fait aimer des autres par ce comportement souvent gai et tendre.

C’est un être rêveur, d’une extrême sensibilité qu’il tente de dissimuler sous une carapace. Son besoin d’amour est surtout marqué par un manque presque total de Confiance en lui. Il est craintif et rentre très vite dans sa coquille lorsqu’il pressent une altercation ou une sanction. Il en résulte un être qui mûrit tardivement, se réfugiant dans les rêveries au lieu d’affronter la réalité dont il a peur. C’est pourquoi cet être charmant, souriant, très tendre, fuit les contraintes, les aspects difficiles qu’il peut être amené à vivre et se réfugie dans le rêve. Mais si on lui fait trop de remarques, surtout s’il les ressent comme injustes, il est alors capable d’entrer dans de très violentes colères qu’il regrette aussitôt et il se referme bien vite sur lui-même.

En tout premier lieu, il doit apprendre à se sécuriser, à se protéger afin de mûrir et de devenir non plus dépendant de sa mère (le plus souvent) ou de quelqu’un d’autre mais de lui-même. Devenant autonome, il se plaira dans son travail.

Les deux secteurs d’activité où il excelle sont la médecine et l’enseignement. Il pourra devenir un très bon médecin ou un très bon professeur car il sait expliquer ce qu’il a compris. Toutefois, cet accomplissement professionnel risque d’arriver assez tard dans sa vie car, entre le manque de Confiance en lui et l’indépendance, souvent affective, qu’il doit atteindre, le temps va passer, vite, parfois trop vite.

Le Cancer, porte d’entrée des âmes

Le signe du Cancer est celui où l’âme s’incarne pour la toute première fois. Nous sommes donc tous passés par ce signe car il est la porte d’entrée des âmes. C’est aussi peut-être pour cette raison que l’être est craintif, qu’il se réfugie dans ces Eaux fœtales, qu’il a tendance à se refermer sur lui-même et qu’il lui faut du temps pour mûrir. C’est sa première incarnation sur la Terre qu’il ne connaît pas et sur laquelle il se trouve “transplanté”. Sans doute a-t-il peur de ce qu’il va trouver dans cet endroit inconnu! Ceci n’est évidemment valable que pour la première incarnation, mais il se peut qu’il en garde des séquelles !

La Tolérance l’aidera car il sera en général très aimé des autres puisque lui-même ne fait guère de reproches à qui que ce soit. Acceptant la façon dont l’autre vit, il prend peu à peu Confiance en lui, se disant qu’il peut faire tout aussi bien que celui avec qui il travaille. Sa très grande intuition, apportée par la Lune, l’aidera aussi puissamment en lui permettant de se sentir plus fort, plus mûr et il se rendra très vite compte que ce qu’il a ressenti très profondément, que ce soit au sujet d’un travail, d’une idée, d’une personne, etc., se réalise et lui donne raison. S’il n’y a pas trop de contradictions dans les débuts de prise de conscience de ses possibilités, il va progressivement oser dire les choses telles qu’il les ressent et sa Confiance va se renforcer.

Il pourra maîtriser, contenir son émotivité toujours présente et vivre comme il l’entend, entouré des siens, car il aime énormément son foyer, qu’il soit natal ou conjugal, ce qui renforce encore sa Confiance en lui et en les autres. Il aura atteint son but: ne plus être dépendant de quelqu’un et affirmer sa personnalité au grand jour.

Que nous propose l’allégorie de Martin Schulmann ?

«Astrologie Karmique (Vol.1 «Nœuds de la Lune et Réincarnation»)» – Editions Sum – Hameau Coll. Astrologie (3 septembre 1999) : « À toi, Cancer, Je donne la tâche d’enseigner l’émotion aux hommes. Mon Idée pour toi est de provoquer leurs rires et leurs larmes, pour que ce qu’ils vivent et pensent crée la plénitude au-dedans d’eux. Pour cela, Je te fais don de la Famille afin que ta plénitude puisse te rendre prospère».

On constate que l’allégorie confère en premier lieu au Cancer l’émotivité, mais que pour réaliser la plénitude, il a besoin de la famille qui a une extrême importance. C’est elle qui lui permettra de comprendre que par la Tolérance, il peut se faire aider de ceux qui l’entourent et qu’eux-mêmes vont l’accepter, le tolérer et lui permettre ainsi de s’épanouir à son tour!

C’est elle aussi qui lui permet de devenir adulte, responsable, de se délier de son affectivité excessive et de conquérir son indépendance. Sa famille lui est nécessaire mais il n’en est plus dépendant. Il lui apporte joies ou pleurs car il a compris maintenant qu’il peut lui aussi sanctionner si nécessaire. Il ne subit plus les contraintes comme il le faisait auparavant car il a Confiance en lui, en ce qui l’entoure. Il est en quelque sorte libéré.

 Cancer et Capricorne, opposés et complémentaires

La planète qui gouverne le Capricorne est Saturne, ce qui l’oblige à réfléchir profondément. Il travaille sur des écrits, aime le silence, la solitude. Le Cancer est tout le contraire.

Quand il est avec ceux qu’il aime, il est heureux de les avoir autour de lui. Certes, avec la Lune pour planète, il est un rêveur. Ce n’est pas le cas du Capricorne! Lui travaille sur les livres qu’il étudie à fond, il ne rêve pas.

C’est un orgueilleux qui cherche la clef de la libération définitive, qui ne veut plus être réincarné. Le Cancer n’en est pas là, il n’en est qu’au début. Il lui faut apprendre à se séparer des autres, notamment de sa mère ou de la Mère, à prendre Confiance en lui. Comme c’est un être empli de Tolérance, il va accepter que le Capricorne lui fasse la morale, quitte à ne pas la suivre lorsqu’il va mûrir et le Capricorne, en toute Simplicité, lui expliquera qu’il faut prendre Confiance parce qu’il a des possibilités. 

Comme on peut le faire à un élève, un enfant − et c’est ce qu’est le Cancer −, il va lui faire un cours qui lui permettra de prendre Confiance en lui, doucement, sans brusquerie. L’intuition si forte et si naturelle du Cancer va se révéler et le Capricorne qui la ressent comprend que ce que dit le Cancer est loin d’être stupide, qu’il voit les choses aussi bien que lui. Il va alors s’habiller d’Humilité, qui est le but de cette incarnation, quand le Cancer manifeste la Confiance. 

En douceur, les deux signes ne s’opposent plus mais deviennent complémentaires. Évidemment, il faut du temps pour cela mais, chacun à sa manière, par sa façon de vivre et de comprendre ce qu’il vit, se rapproche de son opposé. L’âme qui, en tout premier lieu, s’est incarnée dans le Cancer peut, par ce travail profond, atteindre son but: la libération! Et c’est par le Capricorne qu’elle peut enfin prendre son envol de façon à pouvoir ensuite et de façon définitive, choisir entre revenir aider ses frères ou rester dans la Lumière Divine. 

Bien sûr, cela ne se fait pas en une seule fois, mais qu’importe le temps ? Il n’existe pas! 

Gilberte Françon de La revue de l’U.L.V. www.universite-libre-des-valeurs.com  

 

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la Mère de cette Humanité.

Posté par othoharmonie le 27 octobre 2013

À la Matrice.
Au Graal…

 

la Mère de cette Humanité. dans AUTEURS A CONNAITRE serpenterre-156x2341Notre nature d’“Humain Lumière Immortel”, notre dimension Reptilienne, nos origines génétiques Stellaires, notre génome créé et manipulé pour le Pire et le Meilleur et planifié pour l’Éveil en ce Temps, grâce au Pire et au Meilleur par les généticiennes au Service de la Source Mère, le véritable passé historique de la Terre et de la galaxie, la France éveilleuse planétaire et son rôle particulier d’intégration Satanique, pourquoi la lignée Royale Mérovingienne… le rôle caché de la région de Rennes le Château et Bugarach. Et oui, il est question de Mystère et de Trésor ! Le rôle de la Chrétienté, découvrir que la France est Terre Sainte promise où se vit la fin de l’Errance pour les 12 tribus d’Israël et ce qu’elles représentent en notre génétique, la véritable nature de la Bête 666 et son “Retournement” Christique, et le Lien entre tout ceci… fut pour moi, Révélations. 

La Lignée Rédemptrice au Service de la Source Mère dont fait partie Yeshoua, Myriam, le collectif AVA, notre Grande Mère Généticienne à l’origine de notre génétique humaine, et bien d’autres Mères… et mon lien avec Elles, fut pour moi Révélation. La résolution du conflit galactique entre Anunnakis et AmaSutum, peuple Reptilien, planifié par les Lignées Stellaires Rédemptrices pour ce temps de fin de cycle où les Portes dimensionnelles d’Uras-Terre s’ouvrent, dont l’Œuvre de Myriam et Yeshoua en France fut capitale, fut pour moi Révélation.

La nature du Graal et les qualités supraconductrices du Sang Lumière émanant de France et syntonisant la génétique de chaque humain fut pour moi Révélation.

Que chaque être humain contienne l’Univers tout entier en sa génétique, et que la génétique soit Conscience, est Révélation.

En cet instantanéité du vécu de la Grâce, souffrance, karma, culpabilité, malédiction, mort, blessure, n’ont jamais existé ; la fin de la Malédiction, la Lumière me l’a révélée.

VOIR et VIVRE au delà de l’Image, est pour moi, Révélation.

Le “Livre 1, Le Processus”, et le Livre 2, La Matrice,   sont synergiques. 
Je ne souhaite pas apporter des informations qui ne nourriraient que le mental ; la Connaissance véritable et l’agrandissement du champ de Conscience est un vécu. L’Ascension est un processus de prises de consciences multidimensionnelles par l’accomplissement de notre vécu en cette troisième dimension dissociée en fin de cycle.

« Examine-toi toi-même afin de comprendre qui tu es…
et tu seras appelé celui qui se connaît lui-même.
Car celui qui n’est pas connu de lui-même n’a rien connu,
mais celui qui se connaît lui-même
a du même coup acquis la profondeur de toutes choses. »


Le livre de Thomas. Textes gnostiques de Shenesêt.

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Recul sur les relations dites malsaines

Posté par othoharmonie le 27 octobre 2013

Recul sur les relations dites malsaines dans LECTURES Inspirantes telechargement-8

Prendre conscience des relations malsaines que nous entretenons dans cette vie – ou que nous avons entretenues par le passé – est la tâche la plus difficile, mais aussi la plus éclairante et la plus libératrice que nous puissions entreprendre. Pour y arriver, vous devrez être honnête envers vous-même et faire preuve d’une grande objectivité, car cet examen s’avère souvent douloureux et embarrassant. Mais vous en serez grandement récompensé. Une fois que vous aurez compris que les relations personnelles ne sont pas des événements aléatoires qui surviennent sans raison, mais le résultat de vos habitudes, vous pourrez reprendre le contrôle, vous rappeler que vous êtes l’auteur de votre plan de vie, et faire les premiers pas pour mettre fin à ces habitudes : « Il faut être fou pour poser sans cesse les mêmes actions et s’attendre chaque fois à des résultats différents ». Le deuxième est plus simple, mais tout aussi vrai. « On récolte ce que l’on sème »…

Sérieusement, cela n’est-il pas plus raisonnable que de dire « Je suis malheureuse avec lui, mais c’est mon karma » ? Nous connaissons tous (et envions parfois) quelques personnes ayant développé des habitudes qui les ont menées au bonheur, au succès, à la tranquillité d’esprit et à une vie personnelle épanouie. L’explication facile consiste à dire qu’elles ont eu plus de chance que nous. Mais il serait plus juste de dire qu’elles ont fait le lien entre leurs actions et leurs conséquences et qu’elles ont pris la responsabilité d’apporter les changements qui s’imposaient dans leur vie. Pour elles, le dicton « On récolte ce que l’on sème » es t une bonne nouvelle, car elles l’ont accepté et refusent désormais de se contenter de moins.

Si vous n’êtes pas l’une de ces personnes satisfaites de leurs relations personnelles – que ce soit en amitié, en amour ou en ménage – il est temps que vous examiniez froidement les gens autour de vous, et encore plus froidement vos propres habitudes. Car même si nous n’aimons pas l’admettre, nous avons choisi tous ceux qui font partie de notre vie. Vous entourez-vous de gens :

-      qui augmentent ou diminuent votre estime de vous-même ?

-      qui ont tendance être plus forts ou plus faibles que vous ?

-      qui sont dans une situation financière meilleure ou pire que la vôtre ?

-      qui sont plus moins instruits que vous ?

-      qui ont tendance à vous dominer ou à vous obéir ?

-      qui ont plus ou moins de succès dans leurs relations personnelles que vous ?

-      qui ont un parcours professionnel meilleur ou pire que le vôtre ?

-      qui ont plus ou moins d’amis véritables que vous ?

-      qui accordent plus ou moins d’importance à l’honnêteté, à l’intégrité et à l’engagement ?

-      qui sont plus ou moins proches des membres de leur famille ?

-      qui explorent plus activement ou moins activement leur spiritualité que vous ?

En répondant honnêtement à ces questions et à d’autres questions du même genre, vous pourrez plus facilement identifier les habitudes que vous avez eu tendance à répéter dans cette vie et dans vos vies passées. En prendre la responsabilité (et en passant, dire « je n’y peux rien »  est exactement le contraire de cela) est la première chose à faire pour vous en débarrasser une fois pour toutes et les remplacer par des habitudes saines. […]  Jamais il nous arriverait d’entrer dans un garage, de pointer du doigt une voiture qui nous plaît et de nous exclamer « Je la prends » !  sans d’abord nous informer de son coût, de son kilométrage et si seulement elle est en état de marche. Mais en matière de relations personnelles, il nous est tous arrivé d’agir de la sorte – nous achetons sur un coup de tête, puis dépensons une fortune en émotions pour réparer quelque chose qui ne vaudra jamais ce que nous y avons investi au départ.

C’est pourquoi je crois fermement aux vertus de l’Entrevue. Surtout si vous pensez à vous engager dans une relation intime, mais que vous n’avez pas encore sombré dans la « folie temporaire » qui s’empare des amoureux (et qui dure ne moyenne trois mois), profitez-en pendant que vous avez encore tous vos esprits. L’Entrevue est un processus qui consiste à poser des questions suffisamment directes pour cerner le caractère de la personne que vous songez à inviter dans votre vie. Les questions présentées plus haut sont un bon point de départ, et vous pouvez en ajouter d’autres selon vos priorités. Soyez très attentif aux réponses et vérifiez si celles-ci correspondent au comportement de la personne. S’il y a une différence entre ce qu’elle dit et ce qu’elle fait, laissez le s mots de côté et fiez-vous à son comportement !

Je sais que tout cela peut sembler évident. Je sais aussi qu’il est facile d’ignorer et/ou d’excuser des écarts de conduite en invoquant les hormones, notre tendance naturelle à nous fier aux gens ou notre désir d’aimer et d’être aimés. Mais quelqu’un qui prétend gagner cent mille dollars par année ne vous empruntera jamais de l’argent ou ne vous demandera jamais, l’air de rien, combien vous gagnez alors que vous venez à peine de faire sa connaissance. Quelqu’un qui prétend croire en l’important de l’honnêteté ne vous mentira pas et ne vous donnera jamais de réponses évasives. Quelqu’un qui prétend être fidèle ne vous trompera jamais. Quelqu’un qui prétend s’intéresser à la spiritualité ne maltraitera jamais un enfant ou un animal, les plus parfaites et innocentes créatures de Dieu.

Et quelqu’un qui prétend vous aimer ne vous rabaissera jamais, n’abusera jamais de vous et n’essaiera jamais de vous contrôler délibérément.

Croyez-moi.

Et au cas où il serait nécessaire de le préciser, je m’adresse à toutes les victimes de violence conjugale. Homme ou femme. La violence est inacceptable peu importe le sexe de la personne qui donne les coups et de celle qui les reçoit. Lorsque vous prenez réellement conscience de votre propre sainteté en tant qu’enfant de Dieu, vous ne pouvez plus tolérer le moindre manque de respect, encore moins le moindre abus. Celui qui vous rabaisse, rabaisse également votre âme divine, et cela est non seulement inacceptable, mais aussi un sacrilège.

Bien qu’on regarde rarement les choses sous cet angle, les relations abusives mettent généralement en cause deux formes d’amour-propre déréglé. Une personne dont l’amour-propre est sain et normal ne ressent pas le besoin de contrôler, de manipuler, de tyranniser et d’avilir un autre être humain pour affirmer son propre pouvoir. Mais les abuseurs ont une si piètre estime d’eux-mêmes qu’ils n’hésitent pas à s’en prendre à ceux qui sont suffisamment vulnérables pour leur donner ce qu’ils recherchent. De leur côté, les victimes d’abus se font souvent piéger par une autre forme d’orgueil qui les pousse à vouloir gagner aux dépens de leur dignité, de leur estime d’elles-mêmes, de leur santé mentale, de leur sécurité et même de leurs propres enfants et qui leur fait perdre de vue tout ce qui est important. Pour elles, « gagner » signifie « tu vas changer, tu vas me respecter, tu vas m’aimer, tu vas me récompenser pour tout ce que j’ai enduré afin de rester à tes côtés » ! Mais malheureusement, les actes en disent plus long que les mots. C’est pourquoi lors que vous dites à quelqu’un qu’il doit changer alors que vous êtes toujours à ses côtés, en réalité vous lui dites : «  Je ne le pense pas vraiment, puisque tu ne changes pas et que je suis toujours là ». Lorsque vous dites à quelqu’un que vous voulez être respecté alors qu’il vous manque constamment de respect, en réalité vous lui dites : « Tu peux me manquer respect autant que tu veux, si cela me dérangeait vraiment, j’agirais en conséquence ». Lorsque vous dites à quelqu’un que vous voulez être aimé alors qu’il vous traite comme s’il ne vous aimait pas, vous lui envoyez comme message qu’il est normal d’agir de la sorte, puisque vous ne vous attendez pas à être aimé s’il ne le veut pas. Pour ce qui est de vous récompenser pour tout ce dont vous avez souffert, pourquoi le ferait-il puisque vous n’avez jamais posé le moindre geste lui signifiant qu’il vous traitait de manière inacceptable ? Rappelez-vous tout ce que vous « acceptez » devient par le fait même « acceptable ». Pour ma part, après avoir pris conscience de cet orgueil qui me poussait à vouloir gagner à tout prix et rétabli le contact avec mon propre ego et ma propre essence divine – et surtout avec l’essence divine de mes enfants qui méritaient tout le bonheur et la sécurité que je pouvais leur offrir – je compris qu’il y avait un moyen de gagner une fois pour toutes : j’abandonnai la partie. Je me tournai vers mon agresseur et lui dis : »Félicitation, tu as gagné. Je te laisse tout – la Promenade, Avenue du Par cet tout mon argent de Monopoly. Je ne joue plus »… […]

Dieu ne nous a pas créés pour souffrir. Les malheurs que nous inscrivons dans notre plan de vie sont là pour être surmontés, et non pour être endurés ou même encouragés. On ne décerne pas de médaille aux martyrs dans l’au-delà, car nous sommes responsables de notre propre plan de vie, comme nous sommes responsables d’offrir à nos enfants un environnement sécuritaire où ils pourront suivre le leur. Et n’oubliez pas, les abuseurs sont également responsables de ce qu’ils ont planifié. En essayant de les changer ou de les « sauver », vous vous chargez de leur plan et de leurs thèmes de vie au point de négliger les vôtres. Sans compter qu’en acceptant d’être abusé, vous retardez leur progression. S’ils ont choisi de s’incarner dans la peau d’un abuseur, c’est à eux de surmonter cet obstacle. Alors si vous voulez vraiment les aider, faites en sorte qu’ils entreprennent ce travail sur eux-mêmes. En d’autres mots, par égard pour vous et pour eux, dites « non » et partez au plus vite ! Que vous demandiez de l’aide à un ami, à un membre de votre famille, à votre église, à votre synagogue ou au poste de police, sachez qu’il y a quelqu’un quelque part prêt à vous aider. Il existe de merveilleuses maisons d’hébergement ou les hommes et les femmes victimes d’abus peuvent se réfugier avec leurs enfants. Et je vous en prie, peu importe ce que vous déciderez de faire, si vous ou vos enfants êtes en danger, téléphonez à une ligne d’entraide. En demeurant dans une relation abusive, c’est à vous-même que vous renoncez, et à Dieu – même si Dieu n’ a pas renoncé et ne renoncera jamais à vous.

Extrait du livre : Aller-retour dans l’Au-delà   de Sylvia Browne aux éditions Ada 

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Les enfants sont nos maîtres de patience

Posté par othoharmonie le 26 octobre 2013

Les enfants sont nos maîtres de patience dans SAGESSE images-32

 Dans le cadre de la série « des valeurs à vivre », Jean-Claude Genel a rencontré pour nous Louise BRISSETTE, une mère adoptive de 25 enfants handicapés. Cette femme est portée par un amour qui engendre la patience et par une patience qui engendre l’amour. 

En arrivant chez Louise Brissette, j’ai compris que je me trouvais dans un espace consacré à une enfance différente. J’ai même senti que le temps n’avait pas ce même pouvoir de contrainte et de stress. Au-delà de l’apparence, il règne ici la paix et la tranquillité. 

Jean-Claude : Louise, qu’avez-vous appris de la patience et de vous-même à travers l’expérience que vous avez choisie ?

Louise : J’ai appris que la patience c’est tout simplement de l’amour ! J’ai vite découvert qu’on ne peut pas aller à la rencontre de ces enfants sans faire un cœur à cœur. Ces enfants sont dans l’instant présent, ils ne vivent pas pour demain ou après-demain, ni pour obtenir quelque chose. Ils vivent pour être et quand tu veux être, la patience fait nécessairement partie de ton bagage. Les adultes, eux, sont toujours désorganisés face à l’imprévu et toujours impatients pour une chose qu’ils veulent immédiatement. Les enfants sont nos maîtres. Ils nous apprennent qui nous sommes. 

Le « cœur à cœur » que vous vivez avec vos enfants devrait-il se vivre aussi entre adultes ?

Oui, nous sommes heureux de rencontrer les autres, mais nous ne savons pas toujours comment entrer en relation avec eux. Nous avons besoin de toutes sortes de repères comme, par exemple, de savoir quelque chose d’eux. Pourtant, Christian Bobin n’a-t-il pas écrit un jour : « Ce que l’on sait d’une personne nous empêche de la connaître ». Mes enfants ne savent rien de personne, ils sont donc dans  l’instant de la relation qui, pour eux, est ce qu’elle est. Comme ils n’attendent rien, ils sont donc naturellement patients. Ces enfants me donnent une soif d’être et je ressens leur patience comme de l’amour, l’amour de l’instant présent. 

Tout à l’heure, je vous entendais dire que l’adulte doit accepter de ne pas tout comprendre tout de suite quand ces enfants s’expriment, il doit donc faire preuve de patience et s’ajuster. 

Oui, c’est un apprentissage et l’on doit accepter que les mots soient parfois des accessoires qui nous empêchent d’aller plus loin dans la relation. Quand ils nous parlent et que nous ne comprenons pas, nous nous efforçons de les regarder dans les yeux car même, si ces enfants sont démunis intellectuellement et physiquement, ils nous parlent dans les yeux. J’ai ainsi découvert que les écouter avec les oreilles ne suffit pas. Combien d’adultes nous disent « bonjour » et, à peine ce bonjour terminé, sont déjà loin ! Ils ne nous ont pas regardés dans les yeux et, finalement, ils ne nous ont pas vraiment salué. Tandis que, pour les enfants handicapés, même s’ils ne disent pas « Bonjour, comment ça va ?», toute leur âme nous parle à travers leurs yeux. C’est là que la patience entre en jeu ! Elle nous permet de quitter nos repères sécurisants, et d’entrer dans ce « cœur à coeur » et de vivre l’instant présent. 

Les gens qui viennent ici me disent qu’ils se sentent dans le « vrai monde » car ailleurs ils ne prennent pas le temps de vivre. Ici, le temps n’est pas une denrée rare, même s’il passe aussi vite qu’ailleurs. Dans leur apprentissage de la vie, les enfants sont toujours en émerveillement. Ils nous montrent comment nous préparer à la saison qui arrive et sur laquelle on n’a aucun contrôle, comment apprécier la manière dont elle se manifeste. Avec eux, nous finissons toujours par voir le meilleur côté des choses. Le temps devient un allié car on n’est pas dans un lieu de performance, mais sur une terre de vécu au quotidien. Autrement dit, on n’a pas d’attente, pas de stress. Si la maladie se présente et fragilise certains de nos enfants, on prend le temps de les accompagner vers la guérison. 

Peut-on dire que la patience nous invite à une autre expression de nous-mêmes, qu’elle nous permet de grandis intérieurement ? 

Continuellement, parce que l’on est pressé, on est juste un paquet d’émotions et de sens, mais on ne vit plus avec nos émotions et avec nos sens. Ce qui est merveilleux dans l’être humain, c’est qu’il peut vibrer avec son cœur, avec son âme. Nos cinq sens sont trop souvent sous-utilisés. C’est la même chose pour les idées. Nous prenons les idées toutes faites car nous n’avons plus le temps de penser par nous-mêmes. La patience est la valeur qui nous permet d’avoir des passions et de vibrer. 

Ces enfants sont-ils patients avec nous ? 

Oui ! Si on ne comprend pas, ils répètent de différentes façons : avec les gestes, ils nous montrent un objet, nous conduisent vers un endroit. Ils sont patients, toujours à l’écoute, continuellement émerveillés de nous retrouver et jamais intolérants. Dès mon réveil, j’ai toujours hâte de les retrouver parce qu’ils sont toujours en amour avec leur mère (rires) ! 

La patience serait-elle une façon de communiquer et d’être présent dans la vie en général et dans la vie de l’autre en particulier. 

C’est une valeur très importante car elle nous apprend à savoir attendre et écouter. Elle nous apprend à nous abandonner à une autre valeur qui est la confiance. Si je regarde un pommier et que je suis impatiente, je me persuaderai qu’en enlevant les belles fleurs, j’aurai des personnes plus rapidement. Et finalement, je ne récolterai rien. C’est la même chose pour l’éducation des enfants d’aujourd’hui, on leur vole leur enfance. Les miens m’apprennent à retrouver la mienne. 

Dans le système éducatif, on veut que les enfants apprennent à marcher de plus en plus tôt, qu’ils montent à vélo encore plus tôt et qu’ils aient de bons résultats à l’école. On les empêche ainsi de se structurer avec l’innocence et la fraîcheur de leurs qualités d’enfants. Si on n’a pas été patient avec l’enfant, comment lui demander de l’être à son tour ? 

Merci à Louise de nous avoir présenté cette valeur si malmenée dans notre vie moderne. Je souhaite de continuer de grandis dans cette patience, donc dans cet AMOUR.

 

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Dakinis, le féminin de la sagesse

Posté par othoharmonie le 26 octobre 2013

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« DAKINIS… » Derrière ce mot ce cache tout un monde . Le principe Dakini c’est le principe féminin.  Le language Dakini s’entend dans le silence, se lit dans le noir ou dans l’espace.   Ouvrir cette porte , c’est accepter d’entrer dans la dimension de l’impalpable , de l’irrationnel…

Le principe Dakini n’appartient pas qu’aux femmes, de même que le principe masculin n’appartient pas qu’aux hommes. Plus un être devient ouvert et réceptif, plus il se rapproche de ce que l’on appelle : « l’être de sagesse Dakini ».

Kandro Tsöring Chodron, éminente Dakini, qui fut la compagne spirituelle d’un des plus grands maitres bouddhistes de tous les temps ,  Jetsun Pema qui a consacré sa vie au TCV (Tibetan children village) afin d’éduquer  ceux que le Dalai Lama appelle « les graines d’avenir du Tibet »,  Ama Adhe, enfermée dans les prisons chinoises pendant vingt sept ans, Dominique Marchal , première  femme pilote commerciale, qui découvrit le bouddhisme tardivement et s’engagea dans l’humanitaire. Des portraits de femmes aussi différents qu’émouvants. Avec la complicité de son guide spirituel, Sogyal Rinpoche, auteur de l’ouvrage « le livre tibétain de la vie et de la mort », Véronique Jannot nous emmène à la rencontre de ces femmes aux destins hors du commun.

«   Les rencontrer, les écouter, est un moment inoubliable. En les quittant on se sent grandis, avec le sentiment d’avoir reçu un cadeau de la vie… »

 

Extrait en vidéo ICI 

 

 

DVD du documentaire disponible ici.

 

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Et si nous étions tous Arabes

Posté par othoharmonie le 23 octobre 2013

Civilisation : nous sommes tous des Arabes !

 

Tous les hommes descendraient d’ancêtres communs ayant peuplé la péninsule arabique, selon les généticiens.

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Nous sommes tous des Arabes ! Telle est la dernière révélation fracassante des généticiens.

Tous autant que nous sommes, Français, Américains, Esquimaux, Chinois ou Papous, nous descendons d’ancêtres communs ayant peuplé la péninsule arabique ! Après être née en Afrique, l’humanité aurait donc fait une étape dans l’Arabie heureuse, après avoir franchi la mer Rouge. C’est du scoop. En effet, jusque-là, les grands experts des migrations humaines pensaient que la division des troupes s’était plutôt faite au Proche-Orient ou en Afrique du Nord.

Les paléogénéticiens des universités de Leeds et de Porto ont été amenés à faire cette hypothèse à la suite des confidences d’un indic ! Un indic qui se cache par milliers dans chacune de nos cellules : la mitochondrie. Ce minuscule organite, qui officie en tant que centrale énergétique de nos cellules, possède son propre ADN. Comme les chromosomes, il peut muter. Ainsi, quand les généticiens observent exactement la même mutation chez deux peuples différents, ils peuvent en conclure que ceux-ci partagent un passé commun. En comparant l’ADN mitochondrial prélevé sur des centaines d’individus à travers le monde et dans la péninsule arabique, les chercheurs sont parvenus à la conclusion que tous les hommes, hors les Africains, ont tous effectué un passage de plusieurs milliers d’années très certainement, en Arabie. Voilà pourquoi nous sommes tous des Arabes et fiers de l’être. L’étude est parue dans American Journal of Human Genetics.

Éden Arabie

Voilà donc comment il faut réécrire l’histoire de l’humanité : après avoir surgi il y a quelque 200 000 ans en Afrique de l’Est, l’homme moderne (homo sapiens) a commencé par se répandre dans toute l’Afrique, se fragmentant en de nombreuses populations. La vie était belle et la nourriture largement disponible jusqu’au jour où une tribu s’est mise en tête d’aller voir si le soleil ne brillait pas davantage ailleurs. Elle a donc profité d’une baisse des eaux pour franchir la mer Rouge et débarquer sur la péninsule arabique. Jusqu’ici, on pensait que le premier passage avait dû avoir lieu, entre – 70 000 et – 40 000 ans. Mais la découverte d’outils façonnés par l’homme moderne datant de 106 000 ans repousse donc la conquête d’au moins 30 000 ans ! 

On a même trouvé le lieu de débarquement, dans le sultanat d’Oman. Il faut dire qu’à l’époque le climat arabique était humide : à la place d’un désert les nouveaux arrivants ont trouvé un paradis terrestre constitué de grandes prairies. L’occupation de ce nouvel Éden aurait duré plusieurs millénaires avant que l’homme ne poursuive sa conquête du monde. D’abord en empruntant la route du Sud-Est asiatique s’achevant en Australie, puis celle de l’est jusqu’au Japon, puis enfin la route du Nord, vers le Proche-Orient, puis l’Europe atteinte voilà environ 40 000 ans. 

Des Indiens dans l’Altaï

L’Amérique est le dernier continent conquis. Mais là encore, il y a du nouveau. Et du lourd ! Grâce à de nouvelles confidences de l’indic mitochondrial, des chercheurs de l’université de Pennsylvanie ont identifié la terre d’origine des Indiens d’Amérique. Ne cherchez pas, vous ne pourriez pas trouver ! Il s’agit de l’Altaï. C’est une région montagneuse au coeur du continent eurasien, là où se rencontrent la Chine, la Mongolie, la Russie et le Kazakhstan. Le grand départ aurait eu lieu voilà 15 000 à 20 000 ans. Quelques dizaines ou centaines d’individus auraient pris la route du nord-est. Après de nombreuses générations, leurs descendants auraient fini par atteindre le détroit de Béring qu’ils auraient traversé en une ou plusieurs fois lors des glaciations, puis ils auraient descendu tout le continent américain. La découverte récente, par des chercheurs de l’université du Texas, d’objets façonnés par l’homme dans l’État de Washington datant de 13 800 ans conforte cette hypothèse.

Depuis sa venue au monde dans un petit bled africain, l’homme n’a cessé d’avoir la bougeotte. Les migrations font partie de sa nature. L’Europe et encore plus la France, située à son extrémité ouest, n’ont pas arrêté d’être enrichies par des vagues d’immigrants. Il n’y a pas de raison que cela cesse…

SOURCE : Le Point.fr – article de 

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En Occident, l’homme descend du sage

Posté par othoharmonie le 22 octobre 2013

 

La sagesse n’est pas une affaire occidentale. On le répète un peu partout. Pour trouver cette denrée rare, une seule direction : l’Orient. Chez les Occidentaux, circulez, il n’y a rien à voir. Tout au plus quelques vestiges plus ou moins décomposés, dans les poubelles de l’histoire. Rien d’autre. par Roger-Pol Droit.

Selon une idée répandue, il y aurait d’un côté l’Occident de la technique et de l’autre l’Orient des sages. C’est faux.

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Dans l’Antiquité, le sage représentait un idéal humain à atteindre.

Progressivement le saint, le philosophe puis le savant lui ont fait de l’ombre.

Voilà ce que je souhaite contester. Car c’est devenu faux, si jamais ce fut vrai un jour. Reste à dire pourquoi. Un coup d’œil sur l’économie mondiale suffit pour savoir que l’industrie, les techniques et les machines, désormais, habitent en Orient. Pas un ordinateur, pas une tablette, pas un téléviseur ou un baladeur qui ne vienne de Chine, du Japon ou de Corée du Sud. L’Asie est technologique, financière et conquérante. Ironie de la mondialisation et ruse de l’histoire globale : les ingénieurs sont passés à l’Est. On pourrait alors imaginer que la sagesse « revient » à l’Occident, comme un retour et comme une responsabilité. Industriellement déclinant, l’Occident serait en passe de devenir le musée des anciennes formes de sagesses orientales. Le Tibet une fois entièrement bétonné, couvert de tôle ondulée et de drugstores chinois, l’esprit du Toit du monde se réfugierait sur les rives de la Dordogne ou dans les vallées de Californie.  

On en finira donc avec ce vieux cliché : l’Occi­dent fabrique des machines, l’Orient des sages. Cet­te fable a même été répandue par des auteurs illustres. Ainsi, à la fin du xixe siècle, l’Indien Vivekananda, le disciple de Ramakrishna, disait carrément : « Lorsque l’Oriental veut s’instruire de la construction des machines, il vient s’asseoir au pied de l’Occidental et apprendre de lui. Lorsque l’Occident veut s’instruire de l’esprit de Dieu, de l’âme, de la signification et du mystère de l’univers, il doit pour apprendre aller s’asseoir au pied de l’Orient. » 

C’était une commode division du « métier de vivre » : aux uns la mécanique, aux autres la spiritualité. La contrée des ingénieurs s’opposait au pays des gourous. Le foyer mythique de la sagesse contrastait avec la patrie, non moins mythique, de la science, de la technique et de la raison. Il est temps de quitter ces images simplistes et déformantes, ces clivages East and West qui ont traversé – du siècle des Lumières à celui des Beatles – nos récits et nos pensées.  

Arrêtons donc de croire qu’il existe, côté occidental, la domination et, côté oriental, le renoncement. Il n’y a pas sur un versant le projet de soumettre la matière et le monde, et sur l’autre le recueillement dans la présence ou la vacuité. Tous ces vieux matchs Occident-Orient paraissent obsolètes, qui faisaient entrer en compétition matière contre esprit, monde présent contre outre-monde, relatif contre absolu, raison contre intuition. On rangeait l’Occident du côté des choses, de l’objectivité et de l’incroyance. Et l’Orient du côté de l’Absolu, des sagesses et des saluts. Encore une fois, c’est terminé. Il n’est pas sûr que la réalité ait jamais été ainsi, mais il est certain que ce n’est vraiment plus le cas.  

On se souvient de plus en plus qu’il y eut des sagesses d’Occident. En 1959, le philosophe anglais Bertrand Russell fut l’un des premiers à consacrer un ouvrage aux penseurs de l’Antiquité grecque sous le titre « Wisdom of the West » (« Sagesse d’Occident »). Il ne considérait pas leurs œuvres comme des vestiges archéologiques. Reste à comprendre, même de manière provisoire, quelle pourrait être la spécificité occidentale dans la sagesse. Aurait-elle un avenir, si oui de quel type ? Questions difficiles à résoudre. Rien n’interdit d’essayer. A mes seuls risques et périls, cela va sans dire.  

L’occident, un artéfact ? 

Demander si l’Occident a encore un rôle à jouer dans le domaine des sagesses, quelque chose à dire et à faire qui soit sien, suppose un préalable : admettre que l’Occident existe. Aujour­d’hui, on répète volontiers, chez les gens qui ont de l’instruction, que c’est une notion illusoire et même dangereuse, un artéfact culturel, un objet idéologique et politiquement néfaste – un mirage à écarter.  

Une brève mise au point n’est donc pas inutile. Il existe une pluralité d’acceptions du terme « Occident ». On peut donner à ce mot un sens géographique (là où le soleil se couche, et de manière délimitée : l’Europe de l’Ouest), un sens religieux (au Moyen Age : la chrétienté), un sens politique (pendant la guerre froide : le camp capitaliste), un sens économique et culturel (l’Europe, les Etats-Unis) ou encore un sens social et anthropologique : aujourd’hui « l’occidentalisation » couvre la planète des mêmes outils techniques, des mêmes laboratoires de recherche, des mêmes modes de vie.  

On doit évidemment être vigilant envers les usages suspects d’une prétendue identité occidentale. L’idée d’une « défense de l’Occident » a fait les beaux jours des extrêmes droites et devint une bannière des fascismes. Mais ce n’est pas une raison suffisante pour nier toute réalité et toute consistance à l’héritage culturel et historique de la pensée dite occidentale. Au cœur de cet héritage, il y a des singularités, des éléments spécifiques. Certains constituent les lignes de force d’une sagesse possible. Essayons de les rassembler.

 

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Message transmis par Monique Mathieu au sujet du pardon

Posté par othoharmonie le 22 octobre 2013

 

Message transmis par Monique Mathieu au sujet du pardon dans Channeling images-101« Lorsque vous vivez une grande souffrance occasionnée par une tierce personne, la première chose est de comprendre pourquoi ! Vous ne devez pas vous révolter et surtout vous ne devez pas « en vouloir » à cette personne ! Il faut que vous pardonniez cet acte, et aussi que vous vous pardonniez vous-même ! En plus de cela, ce qui serait nécessaire est de couper le lien qui vous relie à la personne qui vous a fait souffrir.

Dans votre pensée, coupez le lien énergétique qui vous relie à elle. Il faut couper le lien qui lie la personne qui a créé la souffrance à celle qui l’a reçue, car ce lien est très puissant, il est parfois aussi puissant que les liens de l’Amour.

La première des choses à faire est de pardonner ! Il faut pardonner cette personne et vous pardonner. Il faut comprendre que si vous avez vécu une grande souffrance occasionnée par un être, c’est qu’elle fait partie de la loi de cause à effet ! Cette personne s’est peut-être incarnée pour vous faire subir cela, et même si elle n’est pas « bonne », comme vous le dites, elle a un mauvais rôle à jouer mais elle aussi l’a choisi.

Il est très important de couper le lien émotionnel qui vous relie à cette personne ! Envoyez-lui tout l’Amour du Divin en vous, et petit à petit vous vous libérerez et vous la libérerez.

Il est important de ne pas vivre avec cette souffrance au plus profond de vous-même ! Elle détruit aussi assurément que vous pourriez détruire votre corps. Malheureusement, parfois elle génère dans votre corps des maladies destructrices.

Ce qui est important c’est le pardon que vous faites, l’Amour Inconditionnel que vous donnez à la personne qui vous a fait souffrir ! Mais ce n’est pas facile !

Nous ne vous demandons pas d’aimer celui qui vous a fait souffrir en tant qu’individu ! Nous vous demandons de le faire en tant qu’Être de Lumière. Si c’est trop difficile pour vous, demandez à l’Être Divin qui est en vous de le faire à votre place, et vous verrez que petit à petit tout se cicatrisera et que la souffrance disparaîtra.

Il n’y a pas d’autre moyen pour vous libérer et libérer votre âme d’une grande souffrance, parce lorsque les souffrances sont très fortes, il y a une grande imprégnation au niveau de l’âme. »

Monique Mathieu

 

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Les maîtres spirituels

Posté par othoharmonie le 22 octobre 2013

                                                                                                              

Les maîtres spirituels    dans SPIRITUALITE c'est quoi ? images-92            Ce sont des personnes plus avancées que vous sur la voie de la spiritualité. Ils ont plus de connaissances, plus d’expérience, plus de sagesse. C’est comme à l’école , les professeurs en savent plus que leurs élèves, ce qui ne veut pas dire plus tard que l’élève ne dépassera pas le maître. 

Personnellement, j’estime qu’il y a des êtres plus évolués que moi et d’autres qui le sont moins. Mais nous sommes tous frères et soeurs, nous sommes tous des fragments de Dieu. Après tout, cela n’a pas d’importance, nous arriverons tous au même but, tôt ou tard – réaliser « Dieu ». Le Temps est aussi une illusion. Et reste une énigme quand on est « incarné »

Il ne faut pas croire aveuglément un maître. Garder son propre jugement, sa raison. Il faut aussi lui accorder sa confiance, ce qui paraît contradictoire. Comme dit le Bouddha, nous devons être notre propre lumière. On peut se tromper mais c’est en se trompant qu’on apprend.

Quand l ‘élève est prêt, le maître apparaît, dit-on dans la tradition ésotérique. L’élève est prêt quand il a déjà entamé une recherche personnelle, spirituelle. L’indifférent ne songera pas à trouver un maître.

On trouvera un maître qui correspond à sa sensibilité. J’aime bien Krishnamurti mais franchement, je préfère Osho. D’autres, c’est le contraire. Nous sommes tous uniques et différents. Une pierre ne ressemble à aucune autre.Une fleur non plus

Il est aussi dit qu’il ne faut pas naviguer d’un maître à l’autre. La voie spirituelle nécessite une certaine rigueur et discipline Il faut suivre un enseignement, une pratique avec assiduité après avoir fait son choix. Ne pas être un papillon. Eviter de butiner.

Maître personnel ou pas ? La littérature ésotérique est tellement dense avec souvent du n’importe quoi. On a besoin , je crois, d’être guidé ou bien il faut lire les ouvrages de maîtres déjà reconnus. Ma Ananda Moyi, Krishnamuti, Deshimaru

Il y a plusieurs cheminements spirituels. L’essentiel est d’être sur la voie et d’ailleurs on sera toujours sur la voie. Nous ne connaitrons jamais totalement les mystères de la vie. Il restera toujours quelque chose à découvrir ou à faire. C’est comme lorsqu’on franchit une colline, on s’aperçoit qu’il y en a une autre à franchir. C’est un nouveau challenge. Chaque jour est un jour nouveau.   

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La transformation et Spiritualité

Posté par othoharmonie le 21 octobre 2013

 

Les Saints de toutes traditions spirituelles sont tellement comblés par cet état lorsqu’ils l’ont trouvé, que leur désir de rester en ce monde, de même que leurs autres désirs deviennent de moins en moins présents. Le corps et tous les désirs s’y rattachant sont toujours source de distraction, et même les plus grands saints, qui ont atteint cette septième phase, quittent ce monde sans griefs, soit en route vers le paradis ou bien en quête de libération du cycle de la naissance et de la mort.

Il existe néanmoins une ancienne tradition, en Chine, au Tibet et en Inde, selon laquelle, le développement spirituel ne s’arrête pas au développement spirituel de l’existence, comme ci-dessus dans la septième phase. Réalisant que le Seigneur est Ici, leur abandon au Seigneur est allé plus loin que l’abandon de leur âme au Seigneur, en samadhi. Abandonnant leur intellect, leur désir de savoir, ils sont devenus des sages, capables d’avoir une connaissance profonde de tous les sujets auxquels ils décidaient de s’intéresser. Une telle connaissance n’a pas été acquise de façon ordinaire telle que par apprentissage scolaire ou recherche empirique, mais en devenant intuitivement un avec le sujet d’intérêt. Cette connaissance approfondie, qui exprime les vérités les plus grandes, que nous n’arrivons pas toujours à exprimer, est le résultat d’une conscience suprême atteinte lors d’un état de concentration et de méditation intense, appelé samadhi.

La transformation et Spiritualité dans SPIRITUALITE c'est quoi ? telechargement-4En s’abandonnant au niveau de l’esprit, de tels adeptes devinrent des « siddhas » ou encore celui qui est en mesure de manifester des pouvoirs latents tels que la clairvoyance, la prophétie, la clair audience. En s’abandonnant au niveau vital, mah siddha ou les suprêmes et parfaits adeptes, manifestèrent des pouvoirs encore plus grands tels que la lévitation, la matérialisation d’objets, la dématérialisation de leur corps, le contrôle exercé sur la nature, le contrôle sur les évènements. En s’abandonnant au niveau du physique, les cellules elles-mêmes abandonnèrent les limitations imposées par le cycle de reproduction cellulaire, et devinrent intimement connectées à la volonté et la conscience de l’adepte. Le corps devint invulnérable, immortel, et ne fut plus soumis aux lois naturelles. Un tel abandon progressif au Seigneur n’exprime pas seulement une aspiration à se libérer de ce monde de souffrance, mais notre aspiration à permettre au Seigneur de se manifester à travers nous à tous les niveaux de l’existence, dans les cinq corps, spirituel, intellectuel, mental, vital et physique. Ne faisant plus de différence entre la matière et l’esprit mais en voyant seulement l’esprit, le Divin en tout, les Siddhas sont les guides de l’évolution humaine. Pour eux, réaliser le Divin dans un corps mort n’est pas la perfection. Ils ont réalisé l’injonction de Jésus à ses disciples : « vous serez parfaits comme votre Père céleste est parfait » (Matt.4 :48).

M. Govindan enseigne le Kriya Yoga de Babaji. Il habite en Estrie, au Québec, et il donne des conférences et des séminaires régulièrement en France. Son site web est: www.babajiskriyayoga.net

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Comment jeûner ?

Posté par othoharmonie le 21 octobre 2013

Comment jeûner ? dans SPIRITUALITE c'est quoi ? images-61

Concernant le jeûne hebdomadaire d’une journée, il n’y a pas de précaution particulière à prendre au préalable, simplement de boire un à deux litres d’eau de bonne qualité dans la journée de jeûne. Il semble plus facile et agréable de commencer ce jeûne en supprimant le repas du soir et en remangeant le soir suivant, ainsi trois repas sont passés et l’organisme a pu se reposer. Il vaut mieux ne pas gloutonner à la reprise alimentaire. Il est essentiel de se sentir joyeux et non plaintif et malheureux, car dans ce cas, d’une part le jeûne est plus difficile, ce n’est pas une punition mais un bien que l’on se fait et d’autre part, il est beaucoup moins efficace. Le coeur et l’esprit doivent accompagner le corps. On peut avoir une haleine un peu forte, c’est normal, le corps manifestant le nettoyage et un peu d’acidose surtout si l’organisme est encrassé depuis de longues années. Si l’on veut, mais ce n’est pas indispensable bien que cela rende le jeûne encore plus efficace, on peut se faire un lavement intestinal un peu avant de le commencer, chez soi en utilisant un boc acheté en pharmacie, avec une eau chauffée à la température du corps. Bien que, surtout au cours des premiers jeûnes hebdomadaires, vous allez peut-être vous sentir un petit peu faible, vous pouvez aller travailler sauf si vous êtes de constitution très fragile, auquel cas vous pouvez rester chez vous sans toutefois vous aliter car le jeûne est plus efficace s’il y a une activité musculaire même modérée et une circulation du sang correspondante. Profitez de la reprise alimentaire pour manger très attentivement et en appréciant ce qu’est le fait de manger avec une vraie faim, un privilège rare dans notre société de surabondance où rares sont les personnes qui ne mangent que quand elles ont une vraie faim, celle que l’on qualifie de « cellulaire ».

Pour le jeûne plus long (de 4 à 6 jours), l’idéal c’est de diminuer un petit peu la quantité de nourriture des deux jours ou du jour précédent le début de celui-ci. C’est un jeûne que l’on peut faire deux fois par an, voire quatre fois, pour se régénérer et retrouver sa vitalité ou encore pour guérir une petite maladie, la guérison de maladies plus graves nécessitant un calendrier de jeûnes et un suivi médical pour lequel il vaut bien s’adresser à des organismes spécialisés qui existent en Suisse, en Allemagne ou en Russie. Ici encore, il n’y a pas de précautions spéciales à prendre, sauf qu’il est conseillé de se faire un à deux lavements intestinaux pendant le jeûne, le premier dès le premier jour, le second en milieu de jeûne, il est important de boire abondamment, de l’eau pure et des tisanes douces non sucrées. Les personnes physiquement fragiles doivent surveiller leur images-7 dans SPIRITUALITE c'est quoi ?tension et ne pas mener une activité habituelle mais les personnes en assez bonne santé peuvent mener une activité normale qui sera un peu ralentie, ce qui est normal. On peut aussi, dès le début du jeûne prendre une purge pour bien nettoyer les intestins, par exemple 30 grammes de sulfate de magnésium dissous dans un litre d’eau pure à boire au cours de la première journée pour bien vider les intestins. Pour la reprise alimentaire, il faut reprendre très progressivement, un petit peu de fruits au premier repas, un peu plus au second, quelques légumes et un tout petit peu de riz au troisième puis augmenter progressivement jusqu’à reprendre une alimentation normale à partir du 4ème jour. Il est essentiel d’en profiter pour se mettre à manger consciemment, en se consacrant uniquement à apprécier, savourer, mâcher en purée et sans se presser et aussi pour manger deux repas par jour, à la rigueur un peu de fruits le matin. Maîtriser sa relation avec l’aliment est un acte très puissant, quand on réussit cette maîtrise, toutes les autres maîtrises de soi sont beaucoup plus faciles.

Claude Paul DEGRYSE, auteur de « Chamane, le Chemin des Immortels » et de « Pratique des Gestes Conscients Toltèques » Ed Dervy-Médicis

Extrait du site source…. 

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Ultra-modernité du spirituel

Posté par othoharmonie le 21 octobre 2013

 

Ultra-modernité du spirituel dans SPIRITUALITE c'est quoi ? images-5Le Magazine « Nouvelles Clés » interroge Frédéric Lenoir sur sa formidable fresque d’histoire et de psychosociologie du phénomène religieux : Les Métamorphoses de Dieu (éd. Plon).

Nouvelles Clés : Dieu n’est pas mort, dites-vous, il se métamorphose. Le sacré prend de nouveaux visages… ou bien revêt des habits très anciens, mais dans tous les cas, le résultat est, selon vous, que nous vivons actuellement “ l’une des plus grandes mutations religieuses que l’homme ait jamais connues. ” Une mutation qui nous mettrait en résonance avec le 16ème siècle et la Renaissance, c’est-à-dire avec les débuts de la modernité, que vous prenez soin de distinguer de ses développements ultérieurs. Il y aurait eu plusieurs modernités ?

Frédéric Lenoir : Que sont les premiers modernes ? Des gens comme Pic de la Mirandole, pour qui l’homme doit être parfaitement libre de ses actes et de ses choix, y compris de ses choix religieux – ce qui, à l’époque, est une révolution considérable -, chacun doit exercer sa raison, son esprit critique… mais cela ne le ferme pas au sacré, bien au contraire ! L’être libre, conscient de son incomplétude, est en quête de quelque chose de plus grand que lui.

Il se passionne pour toutes les sciences, toutes les langues, toutes les traditions. Il relit la Bible, plonge dans la kabbale, expérimente l’alchimie, l’astrologie et tous les langages symboliques qu’ont explorés les cultures humaines et dont il découvre, ébloui, qu’ils sont à sa disposition. Cette émergence à la liberté de conscience, ce désir de tout expérimenter, s’accompagnent d’une immense soif de tolérance. Là, nous trouvons Montaigne, qui sait allier ses convictions catholiques profondes avec une acceptation des opinions les plus différentes, voire les plus opposées à la sienne.

Cette modernité première, je pense que nous sommes en train d’en retrouver l’esprit en ce moment même, mais riche de cinq siècles de folle traversée – d’où ma proposition de l’appeler “ultra-modernité” : ce n’est pas une “post-modernité” qui serait en rupture avec les idéaux de la Renaissance, bien au contraire : la caractéristique n°1 n’a pas changé, c’est l’autonomie du sujet, l’individu reste LA référence. En revanche, je la distingue d’une modernité seconde, qui a lentement émergé au 17ème siècle, s’est affirmée au 18ème, pour devenir hégémonique au 19ème… Avec Descartes en effet, on scinde le monde en deux : d’un côté la foi en Dieu, l’imaginaire, le symbolique, qui deviennent des affaires privées, sans prise sur le monde physique ; de l’autre côté, la science, en pleine ascension, qui étudie une nature désenchantée, habitée par des hommes-machines doués de raison, et qui va prendre le pouvoir. Ce deuxième temps de la modernité est systématisé par les Lumières. Kant ou Voltaire sont aussi croyants que Descartes, mais leur Dieu, lointain et froid architecte de l’univers, n’a plus qu’un ascendant moral sur les hommes. Leur quête principale, guidée par la raison, entièrement accaparée par une laïcisation du décalogue (la loi kantienne) et par la recherche scientifique, n’a plus rien à faire du symbolique ou de la Kabbale. Un siècle plus tard, le scientisme règne, moteur des grands systèmes athées et aboutissement logique de la scission entre foi et raison. Feuerbach, Marx, Nietzsche, Freud, chacun à sa façon, tirent la leçon des Lumières

: si le “grand architecte” n’a plus de rapport réel avec le monde, si l’on ne peut même plus raisonner sur lui, c’est donc qu’on peut se passer de lui, il n’est plus qu’une idole ! C’est l’apothéose du mythe de la modernité. Sa caricature. L’homme ne se rend pas compte qu’il se coupe de la nature, de son corps, pour ne plus être qu’une sorte de cerveau qui, finalement, a réponse à tout et peut apporter le bonheur à l’humanité entière. L’illusion du progrès rationnel triomphe avec le marxisme et ses lendemains radieux… Là-dessus, l’humanité se prend sur la figure le siècle le plus violent de l’histoire humaine – d’Auschwitz au clonage, en passant par le Goulag et Hiroshima – et nous nous retrouvons, à l’aube du troisième millénaire, à nous interroger.

Remettre en cause les fondements de la modernité, à commencer par la liberté individuelle ?

Certainement pas. Mais revenir sur la coupure entre l’humain et la nature, entre l’esprit et le corps, entre la raison et l’émotion ? Certes oui.

41d0bx5tptl._aa190_ dans SPIRITUALITE c'est quoi ?

La nouvelle modernité est donc modeste et mûre. Adulte. Tolérante. C’est-à-dire qu’elle accepte les limites du rationnel, du scientifique, de la technologie, et du coup, le sacré redevient possible. C’est d’ailleurs pourquoi j’estime que les chercheurs qui ont travaillé sur l’imaginaire, sur le mythe, sur les archétypes, etc., Carl G. Jung, Mircea Eliade, Gilbert Durand ou Edgar Morin, sont ceux qui ont le mieux compris de qu’était l’essence de la modernité débarrassée de son propre mythe. Ils ont su nous rendre la dimension dont nous avions été amputés.

Les métamorphoses de Dieu  

 

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Mémoire cellulaire et traumas

Posté par othoharmonie le 20 octobre 2013


Mémoire cellulaire et traumas dans APPRENDS-MOI images-31Avant que notre esprit quitte l’Au-Delà pour entrer dans l’utérus, nous élaborons tous un plan de vie. Ce plan inclut les maladies et les problèmes de santé auxquels nous serons confrontés, bien qu’il soit toujours possible de modifier son contenu en cours de route – un rhume, par exemple, n’a pas forcément à dégénérer en pneumonie si nous prenons les mesures nécessaire.

Dans l’au-delà, nous avons accès à tous les souvenirs conscients de nos vies passées et élaborons notre plan de vie en conséquence. Mais ces souvenirs conscients passent dans notre subconscient au moment où nous entreprenons notre nouvelle vie sur terre.

Les cellules qui nous composent, chacune d’entre elles étant un organisme vivant, retiennent ces souvenirs provenant de nos vies passées et y réagissent comme notre esprit réagit à l’expérience familière de se retrouver à nouveau dans un corps. Pensez à ces endroits particuliers que vous avez appris à associer au cours de votre vie à des événements heureux, tristes, effrayants ou traumatisants. Chaque fois que vous retournez là-bas, ces mêmes émotions remontent à la surface, peu importe le nombre d’années qui se sont écoulées depuis les événements qui ont conduit à cette association. L’esprit expérimente la même impression de familiarité lorsqu’il intègre un nouveau corps, tandis que les cellules de ce corps absorbent les souvenirs de cet esprit et y réagissent comme elles ont été programmées à le faire, bien qu’elles soient incapables par elles-mêmes de faire la différence entre le passé et le présent, cette vie-ci et les vies passées de l’esprit.

Les enfants, eux, se souviennent en général de leurs vies passées étant donné qu’ils viennent à peine de quitter l’au-delà. […]

Dans chaque cas, on peut adresser des affirmations constantes à l’esprit spirituel logé dans le subconscient afin qu’il se libère pendant son sommeil de ces traumas passés. Que ce soit une maladie chronique ou une phobie, après avoir consulté un médecin ou psychiatre qualifié, essayez de la prière…

« Mon Dieu,

peu importe ce que mon esprit spirituel et ma mémoire cellulaire retiennent des mes vies passées, si cela peut me faire du mal, aidez-moi je vous en prie à m’en libérer dans la blanche lumière purificatrice du Saint Esprit. Amen ».

Si vous êtes sceptique ou encore si vous ne croyez pas un mot de tout cela, essayez quand même, ne serait-ce qu’une semaine. Cela ne vous fera certainement pas de mal, et peut-être allez-vous constater les mêmes effets bénéfiques de certains qui ont déjà atteint ce stade.

La mémoire cellulaire peut s’avérer une force aussi puissante chez les adultes que chez les enfants, physiquement et émotionnellement. Rappelez-vous, l’impression de familiarité inhérente au fait d’habiter à nouveau un corps peut créer un phénomène de déjà-vu qui déclenchera à son tour une réaction physiologique, le corps réagissant toujours aux signaux que lui envoie l’esprit spirituel.

Imaginons, par exemple, q’à l’âge de trente-quatre ans vous développiez du jour au lendemain, sans raison apparente, un grave problème respiratoire résistant à tous les traitements. Peut-être dans une vie passée êtes-vous mort d’une pneumonie à l’âge de trente-quatre ans, à une époque où cette maladie était presque toujours mortelle ; votre esprit spirituel, se retrouvant à nouveau dans l’environnement familial d’un corps, a pu se dire : « oh, regarde ! Je suis à nouveau dans un corps, et il a trente-quatre ans. Cela veut dire que je vais encore souffrir d’une maladie respiratoire, car je souffre toujours d’une maladie respiratoire à l’âge de trente-quatre ans ».  Ou, comme cela est arrivé à un proche, vous développez pour la première fois de votre vie, à l’âge de cinquante ans, une peur panique de l’eau. Mais si dans une vie passée vous vous êtes noyé à l’âge de cinquante ans, et que votre esprit spirituel et votre mémoire cellulaire retiennent cette information sans distinguer entre le passé et le présent, pourquoi n’auriez-vous pas soudainement peur de l’eau à cinquante ans ?

Il a été démontré grâce aux photographies Kirlian, qui captent sur la pellicule une image de l’énergie ou de l’ »aura » qui émane de tout être vivant, qu’un membre amputé continue à apparaître sous forme d’énergie comme faisant partie du corps longtemps après son amputation. Des études fascinantes ont été menées, en particulier par le Docteur Thelma Moss, avec des personnes souffrant d’un membre amputé comme s’il était toujours présent et rattaché à leur corps – ce qui correspond en fait à la perception de l’esprit spirituel et de la mémoire cellulaire. Une mort violente ou un trauma au cours d’une vie passée peut produire la même réaction et le même genre de douleurs reliées à la présence d’un « membre fantôme ».

Mais une fois que l’esprit spirituel a saisi le message « Une autre époque, un autre endroit, une autre vie, un autre corps », il peut se libérer de la douleur, de la peur, du trauma ou de la maladie qu’il retenait en lui. Et c’est beaucoup plus facile que vous ne le pensiez. Il n’est même pas nécessaire de connaître en détail le passé auquel réagissent l’esprit spirituel et la mémoire cellulaire – il suffit simplement de reconnaître qu’une vie passée est à la source du problème.

 

Extrait du livre : Aller-retour dans l’Au-delà    de Sylvia Browne aux éditions Ada 

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Messages à tous ceux qui partagent nos vies

Posté par othoharmonie le 20 octobre 2013

Messages à tous ceux qui partagent nos vies dans SAGESSE inde-2

Ce texte s’applique aux couples, aux amis, aux parents, à tous ceux qui partagent notre vie, et par-dessus tout, à la relation essentielle entre nous-mêmes et la Divine Lumière de Dieu à l’intérieur de nous.

Ce texte s’intitule : « L’invitation » !

Je ne veux pas savoir ce que vous faites dans la vie.

Je veux savoir ce qui vous fait envie, et si vous oseriez rêver de satisfaire tous vos désirs.

Je ne veux pas savoir votre âge.

Je veux savoir si vous prendriez le risque de passer pour un imbécile par amour, pour vos rêves, pour avoir la sensation d’être en vie.

Je ne veux pas savoir quel était l’alignement des planètes à votre naissance.

Je veux savoir si vous avez déjà touché du doigt vos propres souffrances, si vous avez été trahi par la vie ou si vous êtes recroquevillé et fermé de peur de souffrir d’avantage.

Je veux savoir si vous pouvez supporter la douleur, que ce soit la mienne ou la vôtre, sans chercher à la cacher, à l’atténuer ou à y remédier.

Je veux savoir si vous pouvez vivre dans la joie, que ce soit la mienne ou la vôtre, si vous pouvez danser follement et laisser l’extase vous gagner de la tête aux pieds sans pour autant nous avertir qu’il faut être prudent, réaliste, et nous rappeler nos limites en tant qu’être humain.

Je ne veux pas savoir si votre récit est vrai ou faux.

Je veux savoir s’il vous arrive de décevoir ceux qui vous font confiance, si vous pouvez supporter les accusations de traîtrise et ne pas trahir votre âme du même coup, s’il vous arrive d’être déloyal et par conséquent, indigne de confiance.

Je veux savoir si vous êtes capable de voir la beauté, même si elle ne se montre pas tous les jours, et si vous pouvez vous y ressourcer lorsqu’elle est présente.

Je veux savoir si vous pouvez vivre dans l’échec, que ce soit le mien ou le vôtre, et néanmoins vous tenir sur la rive d’un lac et crier à la pleine lune « Oui ! »

Je ne veux pas savoir où vous vivez ou combien d’argent vous avez.

Je veux savoir si vous pouvez vous lever, après une nuit de chagrin et de désespoir, fatigué et usé à la corde, et faire ce qu’il faut faire pour donner à manger à vos enfants.

Je ne veux pas savoir qui vous connaissez ou comment vous êtres arrivés ici.

 Je veux savoir si vous êtes prêt à venir au front avec moi et à ne pas reculer.

Je ne peux pas savoir où vous avez étudié, dans quel domaine ou avec qui.

Je veux savoir ce qui vous soutient de l’intérieur, quand tout le reste s’est effondré.

Je veux savoir si vous êtes capable d’être seul avec vous-mêmes et si vous aimez vraiment votre compagnie dans ces moments vides.

- Paroles de Sage Amérindien -

Oriah Mountain Dreamer

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