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les origines de l’empathie

Posté par othoharmonie le 27 octobre 2013


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Ce n’est pas une seule région cérébrale, mais, au contraire, tout un réseau neuronal qui nous pousse à souffrir des malheurs qui affectent ceux que nous aimons.

Plus la science progresse, plus les chercheurs découvrent que le cerveau est plus complexe que ce que l’on croyait. Et dans tous les domaines. Derniers travaux en date, ceux d’une équipe montpelliéraine de l’Inserm*, récemment publiés dans la revue Cortex. Selon ces spécialistes, il est désormais inutile de tenter de localiser une zone qui pourrait être « associée à la mentalisation », donc à cette fonction qui permet d’éprouver de l’empathie pour les autres. Malgré ce que semblaient indiquer les résultats de travaux précédents, cette sensibilité aux malheurs de notre entourage résulterait de la synchronisation de nombreux réseaux neuronaux connectés entre eux. 

Chirurgie éveillée

« La mentalisation est une fonction extrêmement importante sur le plan social, qui permet de percevoir et d’interpréter les pensées et le comportement d’autrui. Chacun peut ainsi se mettre à la place de la personne qu’il a en face de lui et ressentir ses émotions ou tenter de prévoir ses réactions », rappellent les auteurs de ce travail sur le site de l’Inserm. Et grâce aux progrès de l’imagerie cérébrale, il est désormais possible d’observer l’activation des différentes zones du cerveau des individus en fonction des tâches qu’ils sont en train d’effectuer. C’est ainsi que les chercheurs ont pu affecter, depuis les années 80, des zones spécifiques du cerveau à certaines fonctions. 

Aujourd’hui, il semble que ce concept soit dépassé. Ce que confirme le professeur Hugues Duffau, neurochirurgien et coauteur de ces travaux, grâce à la chirurgie éveillée. Cette technique consiste à ne pas endormir les malades lors d’une opération destinée à retirer une tumeur cérébrale. Elle permet au neurochirurgien d’évaluer en direct l’impact de ses gestes sur les fonctions du patient, et donc d’éviter de créer des lésions définitives dans des régions cruciales du cerveau. Cette approche a déjà permis à Hugues Duffau de combattre l’idée selon laquelle le langage passait exclusivement par l’aire de Broca (située, chez les droitiers, dans la partie inférieure du cortex cérébral gauche). En renouvelant l’expérience chez des patients porteurs de tumeurs qui envahissent le cortex frontal, le chercheur a pu tester l’implication de cette zone dans le processus de mentalisation.

Compensation 

Avant et après l’opération, les patients ont réalisé des tests permettant d’évaluer leur niveau d’empathie. « Après ablation du cortex frontal droit, ils n’ont aucune séquelle. Ils gardent tous d’excellentes capacités de cognition sociale, aussi développées qu’avant l’intervention. Ces résultats montrent que cette région, bien qu’elle soit activée en cas de mentalisation, n’est pas indispensable à cette fonction. Son action peut tout à fait être compensée par d’autres neurones, ailleurs dans le cerveau », explique le chercheur. Pour lui, cette fonction cérébrale serait en fait contrôlée par plusieurs réseaux répartis dans différentes aires, pouvant se compenser les uns les autres.

Sa conclusion rejoint celle d’autres chercheurs en neurosciences : grâce à sa formidable plasticité, le cerveau peut compenser la perte d’une zone, pourtant jugée comme stratégique. Cela prend parfois du temps, mais le développement de nouvelles connexions permet de récupérer des fonctions altérées, par exemple par une intervention chirurgicale. Rassurant, non ?

*Unité 1051 Inserm/CNRS/université de Montpellier 2, Institut de neuroscience de Montpellier, Hôpital Saint-Eloi, Montpellier

extrait article paru sur http://www.lepoint.fr par ANNE JEANBLANC

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LE SIGNE ASTRO. DU CANCER

Posté par othoharmonie le 27 octobre 2013

LE SIGNE ASTRO. DU CANCER dans Astrologie et Esotérisme telechargement-91

Chacun choisit la date, l’heure et le lieu de sa naissance, en fonction de ce qu’il souhaite expérimenter durant cette vie. Mais nous avons tous déjà vécu plusieurs vies au cours desquelles nous avons travaillé pour manifester une valeur qui deviendra un acquis nous ouvrant à de multiples possibilités.

En revenant sur Terre, nous pouvons nous appuyer sur cette valeur intégrée, mais le signe solaire nous en propose une autre qu’il nous faudra manifester en fonction de ce que nous allons vivre.

C’est ce que le signe du Cancer nous montre ici.

Premier signe d’Eau, le Cancer est très marqué par la Mère, car ces Eaux sont les Eaux fœtales. Le Cancer reste également très proche de sa mère biologique.

Sa planète maîtresse, aussi bien exotérique qu’ésotérique est la Lune. Celle-ci lui octroie une intuition très forte. Dans ce signe, on trouve souvent des médiums. Le Cancer aime tout ce qui concerne le foyer, il s’entoure d’amis qu’il invite très volontiers. Il déteste critiquer qui que ce soit, trouvant des excuses à tout le monde; il est d’une extrême tolérance. Mais, derrière cet aspect de dévouement presque instinctif, se cache un égoïsme latent car le Cancer a besoin de se sentir aimé, il demande une attention constante aux autres et n’aime guère la contradiction. Malgré cela, il reste d’une extrême Tolérance et se fait aimer des autres par ce comportement souvent gai et tendre.

C’est un être rêveur, d’une extrême sensibilité qu’il tente de dissimuler sous une carapace. Son besoin d’amour est surtout marqué par un manque presque total de Confiance en lui. Il est craintif et rentre très vite dans sa coquille lorsqu’il pressent une altercation ou une sanction. Il en résulte un être qui mûrit tardivement, se réfugiant dans les rêveries au lieu d’affronter la réalité dont il a peur. C’est pourquoi cet être charmant, souriant, très tendre, fuit les contraintes, les aspects difficiles qu’il peut être amené à vivre et se réfugie dans le rêve. Mais si on lui fait trop de remarques, surtout s’il les ressent comme injustes, il est alors capable d’entrer dans de très violentes colères qu’il regrette aussitôt et il se referme bien vite sur lui-même.

En tout premier lieu, il doit apprendre à se sécuriser, à se protéger afin de mûrir et de devenir non plus dépendant de sa mère (le plus souvent) ou de quelqu’un d’autre mais de lui-même. Devenant autonome, il se plaira dans son travail.

Les deux secteurs d’activité où il excelle sont la médecine et l’enseignement. Il pourra devenir un très bon médecin ou un très bon professeur car il sait expliquer ce qu’il a compris. Toutefois, cet accomplissement professionnel risque d’arriver assez tard dans sa vie car, entre le manque de Confiance en lui et l’indépendance, souvent affective, qu’il doit atteindre, le temps va passer, vite, parfois trop vite.

Le Cancer, porte d’entrée des âmes

Le signe du Cancer est celui où l’âme s’incarne pour la toute première fois. Nous sommes donc tous passés par ce signe car il est la porte d’entrée des âmes. C’est aussi peut-être pour cette raison que l’être est craintif, qu’il se réfugie dans ces Eaux fœtales, qu’il a tendance à se refermer sur lui-même et qu’il lui faut du temps pour mûrir. C’est sa première incarnation sur la Terre qu’il ne connaît pas et sur laquelle il se trouve “transplanté”. Sans doute a-t-il peur de ce qu’il va trouver dans cet endroit inconnu! Ceci n’est évidemment valable que pour la première incarnation, mais il se peut qu’il en garde des séquelles !

La Tolérance l’aidera car il sera en général très aimé des autres puisque lui-même ne fait guère de reproches à qui que ce soit. Acceptant la façon dont l’autre vit, il prend peu à peu Confiance en lui, se disant qu’il peut faire tout aussi bien que celui avec qui il travaille. Sa très grande intuition, apportée par la Lune, l’aidera aussi puissamment en lui permettant de se sentir plus fort, plus mûr et il se rendra très vite compte que ce qu’il a ressenti très profondément, que ce soit au sujet d’un travail, d’une idée, d’une personne, etc., se réalise et lui donne raison. S’il n’y a pas trop de contradictions dans les débuts de prise de conscience de ses possibilités, il va progressivement oser dire les choses telles qu’il les ressent et sa Confiance va se renforcer.

Il pourra maîtriser, contenir son émotivité toujours présente et vivre comme il l’entend, entouré des siens, car il aime énormément son foyer, qu’il soit natal ou conjugal, ce qui renforce encore sa Confiance en lui et en les autres. Il aura atteint son but: ne plus être dépendant de quelqu’un et affirmer sa personnalité au grand jour.

Que nous propose l’allégorie de Martin Schulmann ?

«Astrologie Karmique (Vol.1 «Nœuds de la Lune et Réincarnation»)» – Editions Sum – Hameau Coll. Astrologie (3 septembre 1999) : « À toi, Cancer, Je donne la tâche d’enseigner l’émotion aux hommes. Mon Idée pour toi est de provoquer leurs rires et leurs larmes, pour que ce qu’ils vivent et pensent crée la plénitude au-dedans d’eux. Pour cela, Je te fais don de la Famille afin que ta plénitude puisse te rendre prospère».

On constate que l’allégorie confère en premier lieu au Cancer l’émotivité, mais que pour réaliser la plénitude, il a besoin de la famille qui a une extrême importance. C’est elle qui lui permettra de comprendre que par la Tolérance, il peut se faire aider de ceux qui l’entourent et qu’eux-mêmes vont l’accepter, le tolérer et lui permettre ainsi de s’épanouir à son tour!

C’est elle aussi qui lui permet de devenir adulte, responsable, de se délier de son affectivité excessive et de conquérir son indépendance. Sa famille lui est nécessaire mais il n’en est plus dépendant. Il lui apporte joies ou pleurs car il a compris maintenant qu’il peut lui aussi sanctionner si nécessaire. Il ne subit plus les contraintes comme il le faisait auparavant car il a Confiance en lui, en ce qui l’entoure. Il est en quelque sorte libéré.

 Cancer et Capricorne, opposés et complémentaires

La planète qui gouverne le Capricorne est Saturne, ce qui l’oblige à réfléchir profondément. Il travaille sur des écrits, aime le silence, la solitude. Le Cancer est tout le contraire.

Quand il est avec ceux qu’il aime, il est heureux de les avoir autour de lui. Certes, avec la Lune pour planète, il est un rêveur. Ce n’est pas le cas du Capricorne! Lui travaille sur les livres qu’il étudie à fond, il ne rêve pas.

C’est un orgueilleux qui cherche la clef de la libération définitive, qui ne veut plus être réincarné. Le Cancer n’en est pas là, il n’en est qu’au début. Il lui faut apprendre à se séparer des autres, notamment de sa mère ou de la Mère, à prendre Confiance en lui. Comme c’est un être empli de Tolérance, il va accepter que le Capricorne lui fasse la morale, quitte à ne pas la suivre lorsqu’il va mûrir et le Capricorne, en toute Simplicité, lui expliquera qu’il faut prendre Confiance parce qu’il a des possibilités. 

Comme on peut le faire à un élève, un enfant − et c’est ce qu’est le Cancer −, il va lui faire un cours qui lui permettra de prendre Confiance en lui, doucement, sans brusquerie. L’intuition si forte et si naturelle du Cancer va se révéler et le Capricorne qui la ressent comprend que ce que dit le Cancer est loin d’être stupide, qu’il voit les choses aussi bien que lui. Il va alors s’habiller d’Humilité, qui est le but de cette incarnation, quand le Cancer manifeste la Confiance. 

En douceur, les deux signes ne s’opposent plus mais deviennent complémentaires. Évidemment, il faut du temps pour cela mais, chacun à sa manière, par sa façon de vivre et de comprendre ce qu’il vit, se rapproche de son opposé. L’âme qui, en tout premier lieu, s’est incarnée dans le Cancer peut, par ce travail profond, atteindre son but: la libération! Et c’est par le Capricorne qu’elle peut enfin prendre son envol de façon à pouvoir ensuite et de façon définitive, choisir entre revenir aider ses frères ou rester dans la Lumière Divine. 

Bien sûr, cela ne se fait pas en une seule fois, mais qu’importe le temps ? Il n’existe pas! 

Gilberte Françon de La revue de l’U.L.V. www.universite-libre-des-valeurs.com  

 

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la Mère de cette Humanité.

Posté par othoharmonie le 27 octobre 2013

À la Matrice.
Au Graal…

 

la Mère de cette Humanité. dans AUTEURS A CONNAITRE serpenterre-156x2341Notre nature d’“Humain Lumière Immortel”, notre dimension Reptilienne, nos origines génétiques Stellaires, notre génome créé et manipulé pour le Pire et le Meilleur et planifié pour l’Éveil en ce Temps, grâce au Pire et au Meilleur par les généticiennes au Service de la Source Mère, le véritable passé historique de la Terre et de la galaxie, la France éveilleuse planétaire et son rôle particulier d’intégration Satanique, pourquoi la lignée Royale Mérovingienne… le rôle caché de la région de Rennes le Château et Bugarach. Et oui, il est question de Mystère et de Trésor ! Le rôle de la Chrétienté, découvrir que la France est Terre Sainte promise où se vit la fin de l’Errance pour les 12 tribus d’Israël et ce qu’elles représentent en notre génétique, la véritable nature de la Bête 666 et son “Retournement” Christique, et le Lien entre tout ceci… fut pour moi, Révélations. 

La Lignée Rédemptrice au Service de la Source Mère dont fait partie Yeshoua, Myriam, le collectif AVA, notre Grande Mère Généticienne à l’origine de notre génétique humaine, et bien d’autres Mères… et mon lien avec Elles, fut pour moi Révélation. La résolution du conflit galactique entre Anunnakis et AmaSutum, peuple Reptilien, planifié par les Lignées Stellaires Rédemptrices pour ce temps de fin de cycle où les Portes dimensionnelles d’Uras-Terre s’ouvrent, dont l’Œuvre de Myriam et Yeshoua en France fut capitale, fut pour moi Révélation.

La nature du Graal et les qualités supraconductrices du Sang Lumière émanant de France et syntonisant la génétique de chaque humain fut pour moi Révélation.

Que chaque être humain contienne l’Univers tout entier en sa génétique, et que la génétique soit Conscience, est Révélation.

En cet instantanéité du vécu de la Grâce, souffrance, karma, culpabilité, malédiction, mort, blessure, n’ont jamais existé ; la fin de la Malédiction, la Lumière me l’a révélée.

VOIR et VIVRE au delà de l’Image, est pour moi, Révélation.

Le “Livre 1, Le Processus”, et le Livre 2, La Matrice,   sont synergiques. 
Je ne souhaite pas apporter des informations qui ne nourriraient que le mental ; la Connaissance véritable et l’agrandissement du champ de Conscience est un vécu. L’Ascension est un processus de prises de consciences multidimensionnelles par l’accomplissement de notre vécu en cette troisième dimension dissociée en fin de cycle.

« Examine-toi toi-même afin de comprendre qui tu es…
et tu seras appelé celui qui se connaît lui-même.
Car celui qui n’est pas connu de lui-même n’a rien connu,
mais celui qui se connaît lui-même
a du même coup acquis la profondeur de toutes choses. »


Le livre de Thomas. Textes gnostiques de Shenesêt.

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Recul sur les relations dites malsaines

Posté par othoharmonie le 27 octobre 2013

Recul sur les relations dites malsaines dans LECTURES Inspirantes telechargement-8

Prendre conscience des relations malsaines que nous entretenons dans cette vie – ou que nous avons entretenues par le passé – est la tâche la plus difficile, mais aussi la plus éclairante et la plus libératrice que nous puissions entreprendre. Pour y arriver, vous devrez être honnête envers vous-même et faire preuve d’une grande objectivité, car cet examen s’avère souvent douloureux et embarrassant. Mais vous en serez grandement récompensé. Une fois que vous aurez compris que les relations personnelles ne sont pas des événements aléatoires qui surviennent sans raison, mais le résultat de vos habitudes, vous pourrez reprendre le contrôle, vous rappeler que vous êtes l’auteur de votre plan de vie, et faire les premiers pas pour mettre fin à ces habitudes : « Il faut être fou pour poser sans cesse les mêmes actions et s’attendre chaque fois à des résultats différents ». Le deuxième est plus simple, mais tout aussi vrai. « On récolte ce que l’on sème »…

Sérieusement, cela n’est-il pas plus raisonnable que de dire « Je suis malheureuse avec lui, mais c’est mon karma » ? Nous connaissons tous (et envions parfois) quelques personnes ayant développé des habitudes qui les ont menées au bonheur, au succès, à la tranquillité d’esprit et à une vie personnelle épanouie. L’explication facile consiste à dire qu’elles ont eu plus de chance que nous. Mais il serait plus juste de dire qu’elles ont fait le lien entre leurs actions et leurs conséquences et qu’elles ont pris la responsabilité d’apporter les changements qui s’imposaient dans leur vie. Pour elles, le dicton « On récolte ce que l’on sème » es t une bonne nouvelle, car elles l’ont accepté et refusent désormais de se contenter de moins.

Si vous n’êtes pas l’une de ces personnes satisfaites de leurs relations personnelles – que ce soit en amitié, en amour ou en ménage – il est temps que vous examiniez froidement les gens autour de vous, et encore plus froidement vos propres habitudes. Car même si nous n’aimons pas l’admettre, nous avons choisi tous ceux qui font partie de notre vie. Vous entourez-vous de gens :

-      qui augmentent ou diminuent votre estime de vous-même ?

-      qui ont tendance être plus forts ou plus faibles que vous ?

-      qui sont dans une situation financière meilleure ou pire que la vôtre ?

-      qui sont plus moins instruits que vous ?

-      qui ont tendance à vous dominer ou à vous obéir ?

-      qui ont plus ou moins de succès dans leurs relations personnelles que vous ?

-      qui ont un parcours professionnel meilleur ou pire que le vôtre ?

-      qui ont plus ou moins d’amis véritables que vous ?

-      qui accordent plus ou moins d’importance à l’honnêteté, à l’intégrité et à l’engagement ?

-      qui sont plus ou moins proches des membres de leur famille ?

-      qui explorent plus activement ou moins activement leur spiritualité que vous ?

En répondant honnêtement à ces questions et à d’autres questions du même genre, vous pourrez plus facilement identifier les habitudes que vous avez eu tendance à répéter dans cette vie et dans vos vies passées. En prendre la responsabilité (et en passant, dire « je n’y peux rien »  est exactement le contraire de cela) est la première chose à faire pour vous en débarrasser une fois pour toutes et les remplacer par des habitudes saines. […]  Jamais il nous arriverait d’entrer dans un garage, de pointer du doigt une voiture qui nous plaît et de nous exclamer « Je la prends » !  sans d’abord nous informer de son coût, de son kilométrage et si seulement elle est en état de marche. Mais en matière de relations personnelles, il nous est tous arrivé d’agir de la sorte – nous achetons sur un coup de tête, puis dépensons une fortune en émotions pour réparer quelque chose qui ne vaudra jamais ce que nous y avons investi au départ.

C’est pourquoi je crois fermement aux vertus de l’Entrevue. Surtout si vous pensez à vous engager dans une relation intime, mais que vous n’avez pas encore sombré dans la « folie temporaire » qui s’empare des amoureux (et qui dure ne moyenne trois mois), profitez-en pendant que vous avez encore tous vos esprits. L’Entrevue est un processus qui consiste à poser des questions suffisamment directes pour cerner le caractère de la personne que vous songez à inviter dans votre vie. Les questions présentées plus haut sont un bon point de départ, et vous pouvez en ajouter d’autres selon vos priorités. Soyez très attentif aux réponses et vérifiez si celles-ci correspondent au comportement de la personne. S’il y a une différence entre ce qu’elle dit et ce qu’elle fait, laissez le s mots de côté et fiez-vous à son comportement !

Je sais que tout cela peut sembler évident. Je sais aussi qu’il est facile d’ignorer et/ou d’excuser des écarts de conduite en invoquant les hormones, notre tendance naturelle à nous fier aux gens ou notre désir d’aimer et d’être aimés. Mais quelqu’un qui prétend gagner cent mille dollars par année ne vous empruntera jamais de l’argent ou ne vous demandera jamais, l’air de rien, combien vous gagnez alors que vous venez à peine de faire sa connaissance. Quelqu’un qui prétend croire en l’important de l’honnêteté ne vous mentira pas et ne vous donnera jamais de réponses évasives. Quelqu’un qui prétend être fidèle ne vous trompera jamais. Quelqu’un qui prétend s’intéresser à la spiritualité ne maltraitera jamais un enfant ou un animal, les plus parfaites et innocentes créatures de Dieu.

Et quelqu’un qui prétend vous aimer ne vous rabaissera jamais, n’abusera jamais de vous et n’essaiera jamais de vous contrôler délibérément.

Croyez-moi.

Et au cas où il serait nécessaire de le préciser, je m’adresse à toutes les victimes de violence conjugale. Homme ou femme. La violence est inacceptable peu importe le sexe de la personne qui donne les coups et de celle qui les reçoit. Lorsque vous prenez réellement conscience de votre propre sainteté en tant qu’enfant de Dieu, vous ne pouvez plus tolérer le moindre manque de respect, encore moins le moindre abus. Celui qui vous rabaisse, rabaisse également votre âme divine, et cela est non seulement inacceptable, mais aussi un sacrilège.

Bien qu’on regarde rarement les choses sous cet angle, les relations abusives mettent généralement en cause deux formes d’amour-propre déréglé. Une personne dont l’amour-propre est sain et normal ne ressent pas le besoin de contrôler, de manipuler, de tyranniser et d’avilir un autre être humain pour affirmer son propre pouvoir. Mais les abuseurs ont une si piètre estime d’eux-mêmes qu’ils n’hésitent pas à s’en prendre à ceux qui sont suffisamment vulnérables pour leur donner ce qu’ils recherchent. De leur côté, les victimes d’abus se font souvent piéger par une autre forme d’orgueil qui les pousse à vouloir gagner aux dépens de leur dignité, de leur estime d’elles-mêmes, de leur santé mentale, de leur sécurité et même de leurs propres enfants et qui leur fait perdre de vue tout ce qui est important. Pour elles, « gagner » signifie « tu vas changer, tu vas me respecter, tu vas m’aimer, tu vas me récompenser pour tout ce que j’ai enduré afin de rester à tes côtés » ! Mais malheureusement, les actes en disent plus long que les mots. C’est pourquoi lors que vous dites à quelqu’un qu’il doit changer alors que vous êtes toujours à ses côtés, en réalité vous lui dites : «  Je ne le pense pas vraiment, puisque tu ne changes pas et que je suis toujours là ». Lorsque vous dites à quelqu’un que vous voulez être respecté alors qu’il vous manque constamment de respect, en réalité vous lui dites : « Tu peux me manquer respect autant que tu veux, si cela me dérangeait vraiment, j’agirais en conséquence ». Lorsque vous dites à quelqu’un que vous voulez être aimé alors qu’il vous traite comme s’il ne vous aimait pas, vous lui envoyez comme message qu’il est normal d’agir de la sorte, puisque vous ne vous attendez pas à être aimé s’il ne le veut pas. Pour ce qui est de vous récompenser pour tout ce dont vous avez souffert, pourquoi le ferait-il puisque vous n’avez jamais posé le moindre geste lui signifiant qu’il vous traitait de manière inacceptable ? Rappelez-vous tout ce que vous « acceptez » devient par le fait même « acceptable ». Pour ma part, après avoir pris conscience de cet orgueil qui me poussait à vouloir gagner à tout prix et rétabli le contact avec mon propre ego et ma propre essence divine – et surtout avec l’essence divine de mes enfants qui méritaient tout le bonheur et la sécurité que je pouvais leur offrir – je compris qu’il y avait un moyen de gagner une fois pour toutes : j’abandonnai la partie. Je me tournai vers mon agresseur et lui dis : »Félicitation, tu as gagné. Je te laisse tout – la Promenade, Avenue du Par cet tout mon argent de Monopoly. Je ne joue plus »… […]

Dieu ne nous a pas créés pour souffrir. Les malheurs que nous inscrivons dans notre plan de vie sont là pour être surmontés, et non pour être endurés ou même encouragés. On ne décerne pas de médaille aux martyrs dans l’au-delà, car nous sommes responsables de notre propre plan de vie, comme nous sommes responsables d’offrir à nos enfants un environnement sécuritaire où ils pourront suivre le leur. Et n’oubliez pas, les abuseurs sont également responsables de ce qu’ils ont planifié. En essayant de les changer ou de les « sauver », vous vous chargez de leur plan et de leurs thèmes de vie au point de négliger les vôtres. Sans compter qu’en acceptant d’être abusé, vous retardez leur progression. S’ils ont choisi de s’incarner dans la peau d’un abuseur, c’est à eux de surmonter cet obstacle. Alors si vous voulez vraiment les aider, faites en sorte qu’ils entreprennent ce travail sur eux-mêmes. En d’autres mots, par égard pour vous et pour eux, dites « non » et partez au plus vite ! Que vous demandiez de l’aide à un ami, à un membre de votre famille, à votre église, à votre synagogue ou au poste de police, sachez qu’il y a quelqu’un quelque part prêt à vous aider. Il existe de merveilleuses maisons d’hébergement ou les hommes et les femmes victimes d’abus peuvent se réfugier avec leurs enfants. Et je vous en prie, peu importe ce que vous déciderez de faire, si vous ou vos enfants êtes en danger, téléphonez à une ligne d’entraide. En demeurant dans une relation abusive, c’est à vous-même que vous renoncez, et à Dieu – même si Dieu n’ a pas renoncé et ne renoncera jamais à vous.

Extrait du livre : Aller-retour dans l’Au-delà   de Sylvia Browne aux éditions Ada 

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