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LA VIE APRÈS LA VIE : comment découvrir vos vies passées

Posté par othoharmonie le 20 octobre 2013


LA VIE APRÈS LA VIE : comment découvrir vos vies passées dans LECTURES Inspirantes lacJe sais avec une certitude absolue que nous avons vécu plusieurs vies sur cette terre. Et plus j’en apprends sur nos vies passées, plus nos vies actuelles me semblent intelligibles. La compréhension de nos vies passées est une clé inestimable qui nous permet de concevoir la mort non pas comme une fin, mais comme une transition au cours du voyage éternelle de nos âmes.

Franchement, l’idée que nous n’avons droit qu’à un tour de piste dans ce monde extraordinairement compliqué m’a toujours paru insensée. Comment un Dieu d’amour peut-il juger de nos succès et de nos échecs au cours d’une si brève existence et ensuite décider si nous allons passer l’éternité au paradis ou en enfer ? Il faut dire que j’ai mis le temps à comprendre que notre esprit n’est rien de plus, rien de moins qu’une pure énergie, une énergie qui ne peut être détruite, et donc que notre esprit est également indestructible. Je trouvai cette explication des plus sensées et remarquai que tout ce qui est vrai finit tôt ou tard par nous sembler évident.

Je pris pleinement conscience de la réalité de la réincarnation et des vies passées au cours d’un après-midi froid et pluvieux, il y a de cela près de quarante ans. J’étais déjà maître hypnotiseur à l’époque, et je me trouvais dans mon bureau avec un client souffrant d’un problème de surplus de poids lorsque soudain, sous avertissement, il piqua une espèce de crise. Il se mit à me parler de l’Egypte et des pyramides de manière très actuelle, comme s’il venait tout juste de quitter le site de construction des pyramides pour me rendre visite sur l’heure du lunch. Puis, il se lança dans une longue tirade passionnée dans une langue que ne je n’arrivais pas à comprendre… […] Comme tous les autres hypnothérapeutes à l’époque, je m’étais intéressée au cas de Bridey Murphy. En 1952, une femme du nom de Virginia Tighe, se mit à parler sous hypnose avec un fort accent irlandais et prétendit être Bridey Murphy, puis une Irlandaise ayant vécu au dix-neuvième siècle. Au cours de nombreuses séances d’hypnose avec Morey Bernstein, qui avait pris soin de les enregistrer, Virginia Tighe, dans la peau de Bridey Murphy, chanta des chansons irlandaises, raconta des histoires irlandaises et décrivit en détail comment s’était déroulée sa vie dans la ville de Cork cent ans plus tôt. Les enregistrements furent par la suite édités et traduits en plus de douze langues, et le livre de Berstein The Search for Bridey Murphey devin un best-seller.

[…] Quoi qu’il en soit, je fis entendre la bande magnétique à mon professeur et il s’avéra qu’il avait passé les trois derniers jours à écouter l’enregistrement à l’analyser et à le faire jouer à ses collèges qui confirmèrent son incroyable conclusion. Ce qui m’était apparu comme du verbiage inintelligible étant en fait un ancien et obscur dialecte assyrien remontant au septième siècle avant Jésus-Christ, constitué de mots imagés et formant une espèce d’écriture cunéiforme parlée.

Sur le plan spirituel, j’étais déjà convaincue de la réalité de la réincarnation, mais cette séance d’hypnose me donna envie de passer aux actes et d’enregistrer méticuleusement toutes les preuves – si preuve il y avait – qui confirmeraient notre hypothèse.

Depuis, à l’instar de mes collègues, j’ai mené des milliers de régressions dans les vies passées grâce à l’hypnose. Jamais je n’ai tenté, même par hasard, de suggérer des informations ou de poser des questions orientées, laissant mes clients me fournir cent pour cent des informations lors de ces séances. Dire que les résultats furent extraordinairement concluants et un euphémisme. Les souvenirs de nos vis passées sont emmagasinés, avec tous leurs riches et étonnants détails, dans l’esprit spirituel de notre subconscient, attendant simplement d’être débloqués et exprimés. Je possède dans mes dossiers suffisamment de comptes rendus d’authentiques régressions dans les vies passées pour remplir un autre livre – et quand je dis « authentique », je pèse mes mots. Nous ne prenons jamais pour acquises les informations que nous donnent nos clients sur leurs vies passées lorsqu’ils sont sous hypnose avant de les avoir vérifiées. Si quelqu’un par exemple, prétend avoir été un vendeur de tissus nommé Cliffort Underwood, ayant vécu à Peoria, en Illinois, en 1897.

En passant, au cours de ces milliers de régressions, je n’ai rencontré la réincarnation que d’une seule « célébrité » – un économiste anglais du dix-huitième siècle dont je n’avais jamais entendu parler et qui n’est connu que de quelques historiens. Je ne me souviens même pas de son nom. A tous ceux qui ont participé à une régression dans leurs vies passées et à qui on a dit qu’ils étaient la réincarnation de Napoléon, de la Sainte Vierge, de William Shakespeare ou de Cléopâtre, je vous conseille fortement de consulte rune autre médium avant d’alerter les média.

Un jour, au cours d’une régression, tandis qu’un client sous hypnose me décrivait une précédente incarnation dans le Richmond d’avant la Guerre de Sécession, je lui demandai en passant : « Quel était votre dessein dans cette vie ? » Sans la moindre hésitation, il me répondit : « j’étais sur terre pour apprendre à devenir constructeur ». Sa réponse était si spontanée et assurée que je la pris aussitôt en note. Ce soir-là, je suggérai aux autres hypnotiseurs de poser la même question à leurs clients, sans élaborer davantage et sans les influencer, pour voir ce qui allait se passer.

Ils acceptèrent, et les réponses qu’ils obtinrent furent aussi spontanées et assurées que celle que j’avais reçue. Nous primes tous rapidement l’habitude de poser cette question et de prendre en note, par écrit et sur ruban, les réponses de nos clients. Ayant découvert de remarquables similarités entre toutes ces réponse,s nous procédâmes à des milliers de régressions supplémentaires. Mais les mêmes quarante-quatre « buts » revenaient encore et encore. Après des années de questionnement, d’étude, de recherche et de discussion avec mon Guide Spirituel, notre travail déboucha finalement sur l’élaboration de ce que j’appelle les thèmes de vie.

Extrait du livre : Aller-retour dans l’Au-delà  Chapitre 5 de Sylvia Browne aux éditions Ada 

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Témoignage d’une NDE

Posté par othoharmonie le 19 octobre 2013


 Témoignage d’une NDE dans Expériences ciel

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 De Mellen-Thomas Benedict

Histoire d’une NDE (Near Death Experience)

« Voyage à travers la Lumière et Retour »

En 1982 je suis mort d’un cancer en phase terminal. Il était inopérable et toutes les chimiothérapies possibles m’auraient laissé comme un légume. On me donnait six à huit mois à vivre.

J’avais eu accès à des informations terrifiantes dans les années 70 et j’avais commencé à devenir incroyablement sensible aux problèmes nucléaires, écologiques et autres. Or, comme je n’avais aucune base spirituelle, je commençai à croire que la nature avait fait une bêtise et que nous étions probablement un organisme cancéreux pour la planète. Je ne voyais aucune solution à tous ces problèmes que nous avions créés nous-mêmes.

Je percevais tous les humains comme un cancer et c’est ce que j’ai récolté.

C’est ce qui allait me tuer.

Faites attention à votre façon de voir le monde. Il se retourne contre vous, particulièrement si c’est un point de vue négatif. Le mien l’était vraiment et il me conduisait directement à la mort. J’essayais toutes sortes de méthodes de guérisons alternatives, mais aucune ne m’aidait.

Je fus donc déterminé à chercher ce qu’il y avait réellement entre moi et Dieu. Parce que jusqu’ici je n’avais pas jugé bon d’avoir affaire avec Lui. A l’époque, j’étais très éloigné de la spiritualité.

Je commençai mon parcours en étudiant les spiritualités. Je décidai de lire toute la littérature sur ces sujets, parce que je ne voulais pas être surpris en arrivant de l’autre côté. J’ai donc lu tout ce qui se rapportait aux diverses religions et philosophies. C’était très intéressant et cela m’a donné l’espoir qu’il y avait quelque chose de l’autre côté.

A la fin j’avais une garde malade. Je me souviens de m’être réveillé un matin à la maison vers 4h30 et j’ai su que ça y était. C’était le jour où j’allais mourir. J’ai donc téléphoné à quelques amis et je leur ai dit au revoir. J’ai réveillé mon infirmière. Nous avions passé un accord pour qu’elle me laisse seule au moins six heures après ma mort, car j’avais lu que toutes sortes de choses intéressantes pouvaient arriver après la mort. Et je me suis rendormi.

Ce dont je me souviens ensuite est typique du commencement de la NDE. Soudain, je fus totalement conscient et debout, mais mon corps était couché. Il y avait cette clarté autour de moi. Être hors de mon corps était même plus vivant que pendant la vie ordinaire. C’était si vivant que je pouvais voir chaque pièce de la maison, je pouvais voir le toit de la maison, je pouvais voir autour de la maison, je pouvais voir en dessous de la maison.

Il y avait une Lumière brillante. Je me tournai vers la Lumière. La Lumière était très semblable à ce que beaucoup de gens ont décrit dans leur NDE. Elle était si magnifique. Elle était tangible ; vous pouviez la sentir. C’est très attirant ; vous désirez aller vers elle comme auriez désiré aller dans les bras de votre père ou votre mère idéale.

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La Grèce Antique et l’au-delà (NDE)

Posté par othoharmonie le 19 octobre 2013

par Patrice van Eersel

La Grèce Antique et l'au-delà (NDE) dans Expériences dr__raymond_moody

Raymond Moody

Il y a une dizaine d’années, dans un livre intitulé Rencontres (Ed. Robert Laffont), Raymond Moody, l’auteur du fameux « Life after life », affirmait qu’une pratique de contact avec les morts nous venait du cœur même de la civilisation grecque. Cette affirmation avait provoqué la stupeur d’un philosophe français, Marc Sautet, fondateur du premier “Café de philosophie” (celui des Phares, place de la Bastille) et connaisseur de la Grèce Antique, lui aussi. La découverte de la Near Death Experience  (NDE) l’avait déjà secoué, mais là…! Du coup, nous avions eu envie de faire se rencontrer les deux hommes, ce que rendit possible la visite en France de Moody, invité à l’époque par le Festival Science Frontières. Et si les philosophes étaient les seuls à pouvoir faire dialoguer scientifiques et religieux sur l’au-delà ?

Inutile de présenter Raymond Moody, le philosophe-psychiatre du sud des États-Unis ; tout le monde ou presque connaît l’auteur de La vie après la vie (Ed. Robert Laffont), inventeur de l’ expression “Near Death Experience” (NDE ou expérience de mort imminente).

Commençons plutôt par Marc Sautet, dont les médias français ont pas mal parlé ces dernières années, après qu’il eut inventé un “Cabinet de philosophie” et décidé d’animer, tous les dimanche matin, à la Bastille, en plein Paris, gratuitement (comme Jodorowsky !), un “Café de philosophie” qui attire une foule de gens, surtout de jeunes, en plein questionnement.

Pourquoi ce par ailleurs très classique philosophe français tenait-il donc à rencontrer le scandaleux Moody, au risque de se faire mal voir par beaucoup de ses confrères ?

Au départ, Sautet – hélas décédé depuis d’un cancer fulgurant – est un matérialiste parfaitement athée, grand lecteur de Démocrite et d’Épicure, pour qui la question de l’au-delà a été réglée une fois pour toute: le néant. Jamais il n’imaginerait ce qui va lui arriver. L’homme, derrière un regard amusé en permanence, est d’une honnêteté rare :

« Mes parents sont morts, nous raconte-t-il, et tout d’un coup l’expérience de la mort m’a touché de beaucoup plus près. Là dessus, j’ouvre mon cabinet de philosophie, où je donne des consultations individuelles, et à mon immense étonnement, une bonne partie de mes clients m’interpelle directement sur la mort – personnes en deuil, thérapeutes, infirmières désireuses d’accompagner les mourants, etc. Très mal préparé, je fouille les librairies, tombe sur la Source Noire (éd. Grasset et Livre de poche), qui m’oblige à lire le bouquin de Moody. J’apprends qu’il a été prof de philo comme moi, avant de devenir médecin-psychiatre… et me voilà en train de relire Platon, et en particulier le Phédon. Je découvre alors une évidence qui m’avait complètement échappé : notre profession de philosophe démarre, se fonde, s’enracine dans cette jubilation que Socrate a eu de mourir. Bouleversement: soudain, c’est tout le débat entre Platon et Épicure qui se trouve rouvert, non plus de manière théorique, comme sur les bancs de l’école, mais pour de bon, sur le terrain où l’ on meurt vraiment. Et je m’ aperçois que Platon a aligné des arguments extrêmement concrets sur l’au-delà !

C’est vrai que le “voyage du soldat Er au pays des morts” ressemble à s’y méprendre à une NDE et que le mythe de la caverne lui-même pourrait fort bien en être une! Je suis on ne peut plus troublé. Comment en rester là ?”

Au diable la prudence des académiciens ! Marc Sautet réalise que notre “civilisation” n’en sera vraiment une que si elle rouvre ce grand débat essentiel, que les religieux et les scientifiques se sont bien arrangés pour bloquer – les premiers affirmant que l’au-delà existe mais que ce « Mystère” ne saurait faire l’objet de discussion, les seconds n’ acceptant le débat que dans un seul dessein, prouver à tout prix que l’au-delà n’existe pas.

“ J’ai alors compris, poursuit Sautet, que nous nous trouvions exactement dans la situation des Grecs antiques à l’époque où la philosophie est née, pris entre la religion populaire parlant ex cathedra et les “scientifiques” matérialistes comme Épicure ou Démocrite. Qui donc a ouvert le débat entre ces deux camps fermés ? Socrate et les philosophes !

“Il me semble qu’à notre tour nous, philosophes, nous trouvons bien placés aujourd’hui, pour inviter à un vaste débat entre, par exemple, les accompagnatrices de mourants (désormais à l’aise jusque dans la mythologie tibétaine!) et les chefs de clinique matérialistes, à qui il serait maladroit de vouloir faire perdre la face.”

Lire la suite de l’entretien avec Raymond MOODY ici   

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Créer des liens pour exister

Posté par othoharmonie le 16 octobre 2013


 

Créer des liens pour exister dans Bonjour d'amitiés telechargement-6L’erreur est douloureuse quand nous faisons de notre histoire familiale notre seule histoire personnelle, sans comprendre les traumatismes qu’elle nous a légués, les enseignements sains qu’elle nous a transmis, et les compétences qu’elle a omis de nous transmettre.

Conséquence: la quiétude interne, qui mériterait d’être construite et étanchéifiée, est ébranlée et le système émotionnel fortement perturbé.

Les heures de travail sont des heures de notre vie. Nous venons de comprendre que nous vivons professionnellement à partir de notre personnalité. Cette personnalité possède des compétences à entretenir et des incompétences à identifier pour les combler.

La souffrance au travail est un symptôme, une plainte. Décrire ce que l’on vit, en identifier les conséquences, trouver des mots pour mieux préciser et classifier tout ce que l’on observe est fondamental pour s’alerter soi-même et alerter les autres, mais peut laisser aussi se développer une passivité observationnelle toxique. Il est certes utile d’avoir des mots pour se plaindre, mais construisons-nous une démarche résolutive en se limitant à cet exercice? Non.

Exemple de définition observationnelle médicale de la souffrance au travail: «La souffrance au travail peut aller du simple malaise (remise en question de son orientation professionnelle) à la mise en danger de sa santé morale (harcèlement). Face à cela, le médecin du travail joue le rôle de médiateur entre l’entreprise et le salarié. Il peut, à la demande du salarié, et si la situation le justifie, établir un arrêt de travail.»

C’est comme dire: «J’ai le pneu avant droit qui s’use sur ma voiture. Il faut que je le change», et oublier d’en décrire la cause: «C’est un défaut de parallélisme». A mes yeux donc, il est préférable de décrire les causes, d’énoncer les faits par des éléments décrivant l’origine des troubles.

Un autre exemple: «Un chef me harcèle, il me dévalorise, je n’en dors plus, je me sens mal à mon poste» devient: «A six reprises sur ces derniers quinze jours, le chef du second service comptable m’a dit «Un escargot déshydraté avancerait plus vite que vous, je n’ai pas choisi de vous avoir comme secrétaire, vous êtes mollasse, quand allez-vous bouger? Faut-il que je vous dé-mollasse?» car il exige que je lui fournisse les tableaux d’amortissement que ma collègue, actuellement en congé maternité, n’avait pas eu le temps d’élaborer. Or, je suis toujours confrontée à la charge de travail de mon service, et je consacre l’intégralité de mon temps restant à la découverte des dossiers de ma collègue. Ces tableaux lui sont nécessaires pour la clôture de l’exercice comptable dans deux mois. J’estime pouvoir les produire dans un délai de deux à trois semaines.

 Ce chef, ne connaissant pas mon sérieux et ma capacité de travail, est probablement inquiet, il pense qu’en les exigeant il les obtiendra plus vite.

Il se sentira alors en sécurité.»Mais aujourd’hui la communication qu’il mène avec moi comporte de sa part des exigences irréalistes et improductives. A notre prochain entretien, je pourrai lui témoigner deux choses: d’une part ma compréhension de sa nécessité et de sa crainte, et d’autre part mon besoin de sérénité et de confiance pour être performante.

Accueillir et nommer avec bienveillance sa vulnérabilité me permettront de créer du lien entre nous ce qui favorisera de sa part l’écoute de mes besoins. Nous pourrons alors développer une stratégie commune.»

Commentaire: Évidemment, c’est très idyllique comme propos, mais pas irréaliste ni irréalisable. Professionnellement, on serait en droit d’attendre cela du manager plus que de l’employée. Idéalement, des deux. Certains chefs d’entreprise ont réalisé ce challenge. Ils ont ouvert leur conscience et ont compris que l’homme n’est pas une ressource mais une finalité. Des formations de Communication Non-Violente ont été suivies par le personnel et la hiérarchie, aboutissant à un épanouissement de tous.

Identifier l’agression…La souffrance au travail est une réalité, mais toute souffrance provient d’une agression. Je raisonnerai dès lors à partir de cette nouvelle vision: l’agression au travail. Selon ma classification personnelle, l’agression au travail provient de trois domaines qui peuvent se cumuler et interagir entre eux par la voie de leurs conséquences: domaine physique, domaine physiologique, domaine psychologique.

J’entends par causes physiques d’agression: les charges matérielles manipulées (le poids), la sédentarité, l’ergonomie défaillante, la cadence de travail excessive, les objets contondants, l’exposition au froid, à la chaleur, à l’humidité, à la sécheresse, au vent, aux radiations, aux rayonnements lumineux, au bruit, aux allergènes, aux bactéries, aux virus, aux parasites, aux champignons, aux toxiques. Tous ces éléments agissent sur notre corps, directement, d’autant plus qu’il est inadapté à ces fonctions professionnelles (constitution insuffisante ou corps mal entretenu). J’entends par causes physiologiques d’agression: les amplitudes horaires (longues), les décalages horaires (travail constant de nuit), les variations d’horaires (les trois huit), les rythmes alimentaires bouleversés (sources d’hypoglycémies avec leur cortège secondaire de troubles d’humeur ou de concentration et de troubles physiques), les erreurs alimentaires (excès et insuffisances), les carences en micronutriments, le manque de sommeil, l’excès de repos, le manque de luminosité, le tabac, l’alcool, les autres drogues ou dépendances.

J’entends par causes psychologiques d’agression: le manque de sens ou d’utilité du travail, les harcèlements moraux ou sexuels, le manque de valorisation, le manque de reconnaissance verbale ou pécuniaire, le manque de communication de qualité, le manque de capacité à gérer sa motivation ou ses émotions ou son estime personnelle, le manque de capacité à communiquer de manière constructive.

Pour en traiter les conséquences. Ces diverses causes s’entremêlent. Un manque de sommeil peut créer une compensation alimentaire sucrée qui provoque dans les deux heures une hypoglycémie réactionnelle qui ensuite diminue la tolérance au stress et laisse émerger une agressivité, orientant vers de mauvais choix alimentaires et perturbant le sommeil. La boucle est bouclée. Et la qualité de ce que j’offre au travail est faussée. Donc, on peut soi-même se mettre en mauvaise condition physique, physiologique ou psychologique pour travailler.

Nos collègues ou supérieurs peuvent faire les mêmes erreurs. L’effet miroir fonctionne alors en amplificateur. Quel que soit le point de départ, moi ou le/les autres, les réactions maladroites se succèdent. Un cumul d’incompétences crée rarement la vertu, plus facilement la médiocrité. Petit mode d’emploi de la vie. Pour Christophe Dejours «Les stratégies collectives de défense contribuent de façon décisive à la cohésion du collectif de travail, car travailler n’est pas seulement avoir une activité c’est aussi vivre: vivre le rapport à la contrainte, vivre ensemble, affronter la résistance au réel, construire ensemble le sens du travail, de la situation et de la souffrance».

L’origine de tout cela est encore antérieure: c’est le manque d’éducation à vivre. Le système d’éducation nationale est défaillant actuellement. Les familles le sont parfois aussi. Les médias le sont pleinement. A mes yeux, l’éducation d’un être humain (d’un enfant par des adultes, d’un adulte par d’autres adultes ou par lui-même) se définit ainsi : Eduquer un être humain, c’est l’aider à:

– devenir autonome dans la gestion de son estime personnelle,

– percevoir sa zone de quiétude émotionnelle intérieure inébranlable (la sérénité spirituelle),

– comprendre comment communiquer avec les autres de manière constructive et bienveillante (à partir de cette zone de quiétude),

– connaître ses besoins nutritionnels et corporels et en même temps, l’aider à:

– acquérir les capacités d’exploiter son environnement à son profit sans que cela ne se fasse au détriment d’autrui ou de la Nature.

L’éducation nationale enseigne et n’éduque pas. Elle enseigne des matières souvent stériles et provenant d’une perception archaïque de l’existence humaine à travers notre historique, sans laisser de place à un futur. Le passé est le chemin de l’expérience. Nos erreurs nous indiquent d’agir autrement. Cet autrement, à nous de l’imaginer. C’est pour cela que notre origine est notre futur.

Ainsi, voici une liste de compétences contenues dans ce que je considère être «le petit mode d’emploi de la vie»:

Compétences physiques: assouplissements, activité cardio-pulmonaire d’endurance, activité pour développer la tonicité des muscles posturaux et des muscles moteurs, hygiène corporelle, ergonomie fonctionnelle. Compétences physiologiques: suppression des irritants (agents infectieux, allergisants, rayonnements (son, lumière, radiation), équilibre alimentaire (le bon aliment, en bonne quantité, au bon moment et de bonne humeur), entretien du système immunitaire, régularité des horaires de vie, bonne gestion du repos et du sommeil, utilisation de la lumino-thérapie, comblement des carences micro nutritionnelles (Fer, Vitamine D, Iode, Magnésium, Acides Gras Essentiels, Acides Aminés Essentiels, …).

Compétences psychologiques: connaissance et pratique de la gestion de la motivation, des émotions et de l’estime personnelle, compréhension de l’origine des blocages dans l’enfance et connaissance des étapes pour s’en libérer, connaissance et pratique de la communication autour des sentiments et des besoins (avec les autres, en couple et avec soi -même), connaissance et pratique des cinq langages de l’amour, perception de la sérénité par la libération du conditionnement négatif des acteurs médiatiques.

Il est évidemment nécessaire d’associer à ces compétences personnelles des compétences techniques professionnelles spécifiques. Ainsi, on pourra exercer son métier en pleine conscience, en tant qu’individu fonctionnel en rapport avec des individus eux aussi fonctionnels, en communion autour d’une activité productive, créatrice pour le genre humain.

Je suis ce que je pense

En résumé, le travail étant en fait inclus dans notre vie, nous y projetons nos maladresses qui deviennent des agressions envers nous-mêmes ou envers les autres, et nous recevons des agressions par les maladresses des autres. Nous souffrons de nos incompétences à vivre sur le plan personnel (physiquement, physiologiquement, psychiquement) et nous y subissons les incompétences des autres à vivre leur personnalité, et aussi l’effet miroir de nos incompétences que nous exerçons sur eux.

On ne vit pas ce que l’on fait, on vit la manière dont on le fait. On le fait en fonction de ce que l’on est. Je suis ce que je pense! Penser, dans sa forme de raisonnement philosophique et spirituel, me fait «être». «Etre» a des besoins. Il est fondamental de déterminer ce que l’on veut «avoir» (en restant vigilant au contentement de ce que l’on a déjà et en quoi le nouveau participera à notre bonheur).

Puis de «faire» pour l’obtenir. Donc, en partant de la qualité d’ «être», on peut définir quoi «avoir» et quoi «faire» pour l’obtenir, dans le contentement et la qualité de vie.

Le malheur provient du ressenti de la frustration de possession. On regarde le vide de ce que l’on n’a pas et on fait pour «avoir» en oubliant l’utilité à l’«être». Alors c’est «avoir» qui détermine ce que nous sommes et qui nous fait paraître (=«pas être»). Nos pensées (philosophiques ou spirituelles), devenues inutiles par l’éloignement de nos préoccupations et par l’oubli, nous déshabitent. Ainsi, nous appauvrissons l’esprit et nous souffrons. La souffrance de vie se retrouve alors au travail. Pour aider quelqu’un en souffrance, nul besoin d’écouter l’intégralité de son discours. Son besoin d’expression est chronophage et une vidange totale est improductive. Il peut en ressentir un soulagement réel et cela s’impose souvent en première étape d’écoute. Mais il reste dans son manque d’habileté à se comprendre et à se soulager. En décryptant le récit, on repère les outils dont la personne a besoin pour avancer. Et à la première opportunité, après avoir validé son autorisation, on lui enseigne. J’appelle cela: partir du factuel pour monter au niveau éducatif conceptuel, puis redescendre analyser le factuel grâce au nouvel outil.

Le factuel est mal vécu par manque de connaissance conceptuelle. De suite, le soulagement se produit. Pour finir, j’observe que le pire dans la souffrance, c’est de l’évaluer en terme d’injustice. En psychologie, l’injustice se définit comme un mécanisme mental d’interprétation empêchant le processus de résolution personnel. La justesse des habiletés remplace favorablement l’évaluation prenant forme d’injustice.

Apportons-nous plus de douceur, ne serait-ce que pour montrer l’exemple. Identifions nos manques et mettons en œuvre les compétences personnelles et relationnelles en pleine conscience de nos responsabilités. C’est un chemin de bonheur.

Laurent Delachery – Médecin – La REVUE de l’U.L.V. www.universite-libre-des-valeurs.com

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CORPS ET ESPRIT comment ça marche !

Posté par othoharmonie le 16 octobre 2013


 

CORPS ET ESPRIT comment ça marche ! dans APPRENDS-MOI images-3

Sylvia Browne

Tous ceux qui possèdent une voiture connaissent la marche à suivre : pour les réparations générales et les mises au point, rien ne vaut un mécanicien qualifié. Mais nous risquons de gros ennuis si nous ne prenons pas la responsabilité de l’entretenir tous les jours. Cela est également vrai du corps que nous utilisons pour nous déplacer. Pour les problèmes sérieux et les bilans de santé, rien ne vaut un bon médecin. Toutefois, c’est à nous de voir à son entretien quotidien. Nous pouvons prendre quelques vitamines le matin et nous dire « voilà », mais nous pouvons aussi jouer un rôle beaucoup plus actif dans le maintien de notre santé et de notre bien-être. Pour ce faire, nous devons comprendre comment notre corps fonctionne, comment il arrive à se guérir, et comment notre corps et notre esprit communiquent entre eux.

Notre corps réagit toujours exactement à ce que lui dit notre esprit. Si vous pensez que votre corps peut le déjouer ou faire sa petite affaire et créer son propre univers en dépit de ce que lui dit votre esprit, n’oubliez pas ceci : sous hypnose – lorsque l’esprit subconscient est aux commandes – si l’hypnotiseur vous dit que son doigt est un tisonnier chauffé à blanc et qu’il vous touche avec ce doigt, il se formera une cloque à l’endroit où il vous a touché. A aucun moment le corps n’intervient pour dire : « Attendez un instant, vous ne m’aurez pas i facilement, mon doigt ne brûle pas ». Il entend « tisonnier chauffé à blanc » et réagit de façon appropriée. Etant donné que l’esprit détient un tel pouvoir sur le corps, comment pourrions-nous douter qu’il contrôle tous les aspects reliés à la santé – ou à l’absence de santé – de notre corps ?

Pour un pays qui se vente de se préoccuper de sa santé, on nous rappelle sans arrêt que nous sommes plutôt censés être malades. Je parie que plus d’Américains peuvent nommer six marques de médicaments contre le rhume en vente libre que nommer les six premiers présidents des Etats-Unis. La rumeur de l’arrivée d’un nouveau virus se répand plus rapidement que les derniers potins. A la télévision, il ne se passe pas une heure sans qu’on nous parle d’une clinique médicale qui vient de découvrir une nouvelle bactérie particulièrement résistante en train de se répandre à la grandeur du pays. Et puis, il y a les barrages publicitaires où des gens souffrent de toutes les maladies inimaginables… Je crois qu’il est important d’être bien informé en matière de santé, mais de nos jours, nous sommes programmés à penser que si nous ne sommes pas malades, c’est que quelque chose ne va pas.

[…] Je crois que nous avons tous vécu ce genre d’expérience : vous vaquez à vos occupations quotidiennes, vous vous sentez en parfait santé, lorsque soudain quelqu’un vous demande : « Tu te sens bien ? Tu n’as pas l’air dans ton assiette ». Et en effet, plus la journée avance, plus vous remarquez que vous ne vous sentez pas si bien après tout. Dix fois sur dix, la personne qui vous a fait remarquer que vous n’aviez pas l’air dans votre assiette n’est pas meilleur juge de votre état de santé que vous-même. Toutefois, elle possède le pouvoir de la suggestion. Avant même de vous en rendre compte, vous vous mettez à penser « si je n’ai pas l’air dans mon assiette, peut-être suis-je malade ? » Votre corps, toujours empressé de se conformer aux vœux de votre esprit, entend « malade » et crée consciencieusement un état d’inconfort quelconque. Le prochaine fois, au lieu de vous dire que vous êtes peut-être malade, essayez de vous dire : « Je n’ai pas de temps à perdre avec ces bêtises ». Répétez cette phrase jusqu’à ce que vous y croyiez vraiment. Et vous pouvez être sûr que vous vous sentirez à la fin de la journée aussi en forme qu’au moment où vous l’avez débutée.

Ceci m’amène à croire que nous devrions éliminer de notre vocabulaire toute une panoplie d’expressions se rapportant au corps, comme tous ces clichés insouciants qui peuvent lui donner le signal de développer un problème de santé…  Si vous vous écoutiez attentivement, vous seriez étonnés de découvrir à quelle fréquence vous sabotez subtilement votre corps en lui ordonnant presque à l’occasion de se saborder lui-même.

De même, votre corps réagit de façon très littérale à l’environnement qui l‘entoure. Au fil des années, j’ai découvert qu’il existait une multitude de variations sur ce thème. Très souvent, lorsque nous avons un problème que notre esprit refuse de regarder en face, notre corps s’arrange pour le lui faire savoir haut et fort :

-      vous avez toujours mal aux pieds ? Qui ou quoi vous les casse ?

-      vous souffrez de maux de dos chroniques ? Qui ou quoi portez-vous sur votre dos ?

-      votre vue baisse ? Y aurait-il quelque chose que vous ne voudriez pas voir ?

-      laryngites à répétition ? Que voulez-vous dire… ou que regrettez-vous d’avoir dit ?

-      baisse d’audition ? Y aurait-il quelque chose que vous ne voudriez pas entendre ? En passant, avez-vous remarqué que dans un couple, il n’y a toujours qu’un seul des conjoints qui devient sourd avec le temps ? Les mots « Je vois de qui vous parlez ! » vous viennent tout de suite à l’esprit, n’est-ce pas ?

-      bronchites chroniques et problèmes de respiration ? Avez-vous un poids sur la poitrine ?

-      vertiges et étourdissements ? Qui ou quoi vous fait perdre votre équilibre ? 

Le fait est qu’en se rappelant comment notre corps réagit à certaines informations, nous pouvons venir à bout de plusieurs problèmes de santé récurrents, si nous identifions la véritable source du problème – notre esprit – et entreprenons les démarches nécessaires. 

Nous devons à notre corps d’être aussi attentifs et sensibles à ses signaux qu’il l’est lui-même aux nôtres. Parfois, parce que notre corps n’est pas capable de réprimer ou de rationaliser n’importe quoi, il s’avère beaucoup plus intelligent que nous. Abusez de lui, négligez-le, donnez-lui de mauvais aliments, poussez-le trop loin ou cesser de lui prêter attention, et il vous le fera savoir.

 

Extrait du livre : Aller-retour dans l’Au-delà   de Sylvia Browne aux éditions Ada 

 

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L’Inattendu

Posté par othoharmonie le 16 octobre 2013

L’Inattendu.
Le retour du Roi du Monde.


L'Inattendu dans ADN Démystifiée serpenterre-156x234Nous remarquons tous que notre rapport au Temps, en cette troisième dimension animée des lois de la polarité, se modifie ; le temps s’accélère, ou s’étire… le magnétisme terrestre est instable, les fonctionnements de la société ne tiennent plus la route, ce qui était pensé immuable se voit changeant. Bref, le Monde se transforme. La planète et les humains, en phase avec les grands cycles Galactiques et Universels, sont appelés à vivre plus large que la petite bande de fréquences à laquelle ils sont conditionnés depuis des millénaires. Tous, nous vivons un changement de paradigme, à tous niveaux de notre vécu, à tous niveaux de notre être. Que nous en soyons conscients ou non, personne n’échappe à la Métamorphose de cette fin d’un Temps ; tous actuellement, nous vivons l’établissement de la Lumière Une en cette troisième dimension. La dissolution de l’Illusion par l’établissement de la Lumière Une est prise de Conscience de la nature multidimensionnelle du Vivant ; certains résistent, d’autres s’y abandonnent, certains vivent en pleine confusion, d’autres avec la Vision du Cœur et bien souvent nous vivons animés de tout cela… Tous nous perdons nos repères en cet espace-temps linéaire au passé perverti.

Ainsi, les Éditions Ariane et moi-même avons choisi de mettre en téléchargement et E-book le « Livre 1, Le Processus.    , afin que chacun puisse se servir rapidement de son contenu comme facilitateur de Métamorphose. 

Faciliter la Métamorphose est activation génétique permettant les prises de Conscience d’informations codées dans notre ADN ; la Matière, devenant Lumière Une supraconductrice par intégration de sa part d’Ombre, s’éveille à son état d’être Christique. Que cela soit le corps planétaire, nos corps humains, le système šolaire, la galaxie, aucune Conscience en cette troisième dimension-matière carbonée n’échappe à ce Processus d’intégration de l’Ombre et révélation du Vivant perverti par l’Illusion issue de la dissociation. Intégrer nos parts d’Ombre est Processus d’Unification des parties de nous gardées dissociées par la peur et la culpabilité. Ceci se vivant en cette incarnation de fin de cycle spatiotemporel est Unification multidimensionnelle.

Nos deux brins ADN, correspondant à cette troisième dimension duelle, contiennent à la fois la mémoire de la perversion issue du passé historique de la Terre et de la Galaxie et les codes štellaires de l’Éveil de notre Unité Divino-Humaine.

L’Ascension est ouverture de notre champ de Conscience-Amour par le vécu du processus d’Éveil de notre potentiel génétique multidimensionnel. L’intégration de l’Ombre, condition nécessaire à l’établissement de la Lumière Une et à notre vécu multidimensionnel conscient, nous éveille à notre état d’être Christique Unifié ; cette étape primordiale de l’Ascension est Accomplissement de notre incarnation et des millénaires historiques falsifiés fixés en notre génétique. La dissolution de l’Illusion et de nos croyances issues de l’enfer-me-ment, dont celles relatives à la mort, à l’énergie šexuelle et pulsionnelle et à l’Amour, est un processus d’éveil génétique par intégration de l’Ombre qui nous amène au vécu de la Lumière Une et des Lois du Vivant telles que la physique quantique et l’astrophysique commencent à les découvrir.

Imaginer “au-delà 2012” en continuant à projeter sur le futur un passé inaccompli est Šamsara et souffrance. Aujourd’hui, en ce Temps de fin de cycle, l’Humanité vit une autre possibilité ; les Portes spatio-temporelles sont ouvertes, à nous d’oser nous abandonner à l’Ouverture ! La Libération, par l’intégration absolue au cœur de notre cœur de TOUT ce qui compose notre être, est par Essence découverte que nous vivons dans un décor alimenté de nos croyances issues du passé falsifié. Cette prise de conscience est Ascension ; le décor n’ayant plus de prise de pouvoir sur notre être se transforme par notre Présent sans projections… c’est le vécu de la Cinquième dimension qui est Conscience multidimensionnelle unifiée.

Tout ceci se vit en chacun de nous, l’“extérieur” est le constat de notre intériorité.

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JOURNEE de DEUIL PERINATAL (parlons-en)

Posté par othoharmonie le 15 octobre 2013

JOURNEE de DEUIL PERINATAL (parlons-en) dans Bonjour d'amitiés 1379963_10201566774350147_633506773_n

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« Le deuil d’un bébé pendant la grossesse ou après, ce n’est pas le deuil du passé, comme le deuil d’un adulte.  C’est le deuil de l’avenir, le deuil du futur et des projets qui viennent avec.  Ce n’est pas un deuil qui se règle en très peu de temps, puisqu’on va peut-être revivre une grossesse, accompagnée d’inquiétudes et de stress.  Et c’est justement à ce moment-là qu’il faudra renégocier la perte qu’on a vécue. »

Ce site a vu le jour le 26 avril 2001.
Il est le premier groupe de soutien virtuel créé
pour les parents qui font face au deuil de leur petit bébé décédé
en cours de grossesse, en naissant
ou durant ses premières semaines de vie.
Depuis, il réunit des parents endeuillés habitant aux quatre coins du monde…
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«Chaque année des milliers de parents vivent le décès d’un bébé en cours de grossesse ou dans les jours, semaines ou mois suivant sa naissance. Aujourd’hui j’appuie ces parents en affichant comme photo de profil le ruban du deuil périnatal, faites comme moi!» 

Cet événement vient de toucher le couple de ma fille et son compagnon ! la grossesse avait atteint 7 mois ! le petit Nolan sera… en pensées ! 2758329009 dans Entre amis

«Un bébé qui meurt entourant sa naissance, c’est toute une vie qui ne sera jamais vécue. Appuyons les parents vivant un deuil périnatal en affichant comme photo de profil le ruban de la cause aujourd’hui»

«La peine ne se mesure pas au nombre de semaines ou au vécu d’un bébé, mais à la grandeur du rêve que portaient en eux ses parents. Aujourd’hui j’appuie la cause du deuil périnatal en affichant le ruban officiel comme photo de profil. Faîtes comme moi!»

«Le deuil périnatal est ce que vivent les parents dont le bébé décède en cours de grossesse ou dans l’année suivant sa naissance. Un deuil méconnu, tabou et très difficile à vivre. Aujourd’hui est la journée internationale de sensibilisation au deuil périnatal, faites comme moi et affichez le ruban de la cause comme photo de profil!»

OSEZ en parler et faites en sorte que le deuil périnatal ne soit plus un sujet tabou pour notre société !

Chaque petit geste compte!

France – Fondatrice

Nos Petits Anges au Paradis
Groupe de Soutien au Deuil Périnatal 


www.nospetitsangesauparadis.com

Nos Petits Anges au Paradis – Deuil Périnatal


www.nospetitsangesauparadis.com

Groupe de soutien pour les parents qui font face au deuil de leur petit bébé mort in utero, décédé à la naissance ou encore suite à de graves malformations menant au décès.

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LA belle histoire du lingam qui donnait des ailes…

Posté par othoharmonie le 13 octobre 2013


LA belle histoire du lingam qui donnait des ailes... dans A et B images-11Sacrée Planète (n°53)… a consacré un article à propos des lingams Ci-dessous, vous pourrez lire le témoignage de Daniel Meurois, à qui Swami Premananda a confié un lingam !

Le témoignage dont j’aimerais vous faire part ici commence au début des années 90… Avec quelques proches, je m’étais rendu en Inde du sud auprès de Swami Premananda, ainsi que j’avais la chance de pouvoir le faire une ou deux fois par an.

Lors d’une conversation privée avec lui, la notion d’accompagnement des mourants a été abordée. Note petit groupe nourrissait en effet le projet de créer une structure d’accueil afin d’aider des personnes en fi n de vie. Le projet était peu avancé mais l’idéal était là, bien présent.

J’avais personnellement l’habitude d’essayer – hors corps – de faciliter le passage de ceux qui allaient “naître au Ciel” et que la vie mettait sur ma route, mais participer à la création d’une structure dans la matière me paraissait important. Swami Premananda s’est aussitôt montré très intéressé et a déclaré sans attendre son intention de nous soutenir par le don d’un ou deux lingams spécifiques.

Sans qu’il se soit expliqué davantage, nous l’avons immédiatement vu bouger légèrement l’extrémité de ses doigts dans l’espace qui se trouvait devant lui et faire jaillir de l’Invisible, un puis deux petits œufs de pierre couleur de chair sous nos yeux émerveillés… et même sous l’objectif d’une caméra.

Swami Premananda nous alors expliqué qu’il venait de matérialiser ceux-ci en leur donnant pour fonction d’aider au détachement de l’âme à l’approche de la mort. Leur utilisation était très simple, leur capacité prenant sa pleine mesure avec le niveau de compassion manifesté par celui qui les utiliserait. L’un de ces deux lingams me fut remis en main propre. Je m’en suis donc retrouvé en quelque sorte le « gardien ».

Bien des années ont passé depuis ce jour béni… Bien des évènements se sont aussi produits. Le projet de créer une Maison d’accueil pour les personnes en fi n de vie n’a pas pu aboutir mais le lingam dont j’avais la responsabilité n’en a pas moins été extrêmement utile. À de nombreuses reprises, il a pu jouer son rôle protecteur et lumineux auprès d’hommes, de femmes et même d’enfants qui s’apprêtaient à quitter ce monde.

Au fi l des années, il n’a jamais cessé d’offrir sa paix, cette si importante décrispation de l’âme et du corps dont nous avons tant besoin lorsque nous arrivons au bout de notre chemin.

Le petit rituel par lequel je sollicitais son aide était toujours le même, très simple, très discret mais d’une portée évidente. Le lingam de Swami Premananda était un vrai don du Ciel… Et puis… le jour est venu qui m’a amené au chevet de ma propre sœur. Elle se nommait Martine et était atteinte d’un cancer généralisé en phase terminale. Elle avait souhaité finir sa vie à son domicile. Chacun avait respecté sa volonté même si cela diminuait inévitablement la qualité des soins médicaux qui pouvaient lui être prodigués. L’instant ultime approchait. Mon épouse Marie Johanne et moi-même, en relais avec quelques amis, passions d’interminables heures à son chevet, attentifs aux moindres fluctuations de sa respiration.

Qu’elles étaient longues et souffrantes ces heures et comme nous aurions voulu voir Martine être libérée au plus vite et sans douleur puisqu’il n’y avait manifestement plus de retour possible ! Mais son âme paraissait être incroyablement chevillée à son corps ; elle ne parvenait pas à entrer dans le lâcher-prise.

J’utilisais le lingam de Swami Premananda cependant, même si je ne pouvais douter de son action subtile, j’aspirais à en voir les effets concrets.

Le visage tourné vers le mur de sa chambre, Martine demeurait fermée, crispée à l’extrême et comme nourrissant dans sa demi-conscience une secrète colère. Il ne fallait surtout pas qu’elle parte ainsi… Mais que faire de plus pour que l’acceptation s’installe en elle et lui permette de déployer ses ailes sans trop attendre ?

À un moment donné, je me suis retrouvé seul avec elle. L’avant de son corps toujours tourné vers le mur – c’était la position qu’elle réclamait – je ne la voyais que de dos, décharnée au point d’en être devenue presque transparente.

Encore une fois, que faire de plus ? La prière, bien sûr… le dialogue intérieur avec son âme aussi, évidemment Soudain, une idée telle une étincelle de lumière a surgi en moi : Et pourquoi ne pas essayer de placer le lingam de Swami Premananda au niveau du cœur de Martine, sous la paume de ma main et directement en contact avec son dos ?

Je l’ai fait sans réfléchir davantage mais tout en continuant à prier sans rien demander d’autre que ce qui devait être. C’est alors qu’au bout de quelques minutes, avec la rapidité de l’éclair, j’ai senti le lingam se faire littéralement absorber par Martine au point précis où je l’avais appliqué sur elle. Ne comprenant pas ce qui se passait, J’ai aussitôt voulu regarder entre la paume de ma main et son dos. Il n’y avait plus rien ; le lingam avait disparu…

Mon premier réflexe a bien sûr été de le chercher dans les draps. Il avait dû glisser quelque part… Ma recherche fut totalement vaine. Le lingam de Swami Premananda s’était comme volatilisé, me laissant avec l’incroyable certitude qu’il avait été ¨avalé¨ par le corps de Martine au niveau de son cœur. Il fallait donc que je me rende à l’évidence… Si le besoin d’aide et d’amour de ma sœur avait fait en sorte que le lingam soit ainsi aspiré par elle, c’était nécessairement juste. C’était aussi l’ultime destin du petit œuf de pierre rose.

Rien pourtant ne changea chez Martine ce jour-là. Il fallut attendre le lendemain matin : Elle avait réussi à se placer d’elle – même sur le dos, une détente s’était délicatement installée sur son visage et son être tout entier semblait enfin connaître l’état de décrispation tant espéré.

Vingt-quatre heures plus tard, Martine prenait son envol…

L’histoire que j’avais à vous conter pourrait s’arrêter là, mettant déjà en évidence l’intelligente douceur et la force du lingam de Swami Premananda… Cependant, il n’en est rien… Quelques heures après le départ de Martine, cette histoire a en effet connu un rebondissement tout à fait inattendu.

Marie Johanne et moi étions alors seuls dans la chambre où nous logions, à quelques centaines de mètres de la maison où tout s’était accompli le matin-même. J’entends encore la réflexion de mon épouse : «Ne sens-tu pas cette odeur ? C’est celle de Martine. Son âme doit être ici…» J’y ai prêté attention et j’ai effectivement perçu cette odeur si caractéristique que la maladie donne souvent à ceux qu’elle emporte. Cela n’a pas duré longtemps mais la perception a été tellement nette qu’il fut impossible d’en douter.

Épuisés par tant de choses, nous sommes ensuite sortis de la pièce pour nous restaurer succinctement… jusqu’au moment où j’ai éprouvé le besoin d’y retourner sans attendre. Je ne sais pas ce qui m’a alors poussé à chercher sur la commode de notre chambre la petite boîte de nacre dans laquelle j’avais pour habitude de ranger le lingam d’accompagnement.

Elle y était, bien à sa place. Je l’ai saisie sans savoir pourquoi et, ce faisant, j’ai immédiatement senti “quelque chose” rouler en elle. Je l’ai ouverte… Le lingam était là. Il était revenu…

Était-ce l’âme de Martine qui avait réussi à le restituer en laissant derrière elle l’odeur de son passage ? Était-ce le lingam lui-même qui, manifestant sa puissance divine, avait su franchir le seuil des mondes afin de retrouver sa place et pouvoir ainsi continuer à servir ? Je l’ignore aujourd’hui encore. Cela ne me questionne cependant pas car, en réalité, ce n’est pas très important. Ce qui l’est, à mes yeux, c’est l’enseignement de tout cela, c’est l’extraordinaire confirmation du caractère divin du cadeau de Swami Premananda.

Cette seule constatation devrait alors suffire à ce que nous nous posions tous la question suivante : Qui est en vérité cet homme pour pouvoir nous faire de tels présents ? Lorsque la subtile Lumière des mondes de l’Esprit accepte de se densifier pour nous rappeler son existence, il n’y a rien de plus beau pour nous faire grandir en Amour.

Et puis… Comment ne pas être émerveillés par l’Intelligence sacrée qui vit et agi au sein d’un petit œuf de pierre ? Il faut que nous repensions notre “ordre du monde” sans tarder…

Daniel Meurois

Article paru au magazine sacrée planète   oct/nov. 2010

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LA CHARTE DE LA COMPASSION

Posté par othoharmonie le 13 octobre 2013

LA CHARTE DE LA COMPASSION dans APPRENDS-MOI images-10

Le précepte de compassion, qui est au cœur de toutes les traditions religieuses, spirituelles et éthiques, nous invite à toujours traiter autrui de la manière dont nous aimerions être traités nous-mêmes. La compassion nous incite à nous engager sans relâche à soulager les souffrances de tous les êtres et à apprendre à ne pas nous considérer nous-mêmes comme le centre du monde, mais à être capable de placer autrui à cette place centrale. Elle nous enseigne à reconnaître le caractère sacré de chaque être humain, et à traiter chacune et chacun, sans aucune exception, avec un respect inconditionnel et dans un esprit de justice et d’équité.

Cela implique aussi de s’abstenir d’infliger de la souffrance à autrui, en tout temps et en toutes circonstances, que ce soit dans la sphère publique ou privée. Agir de manière violente, que ce soit par malveillance, chauvinisme, colère ou égoïsme; exploiter qui que ce soit ou le priver de ses droits fondamentaux; inciter à la haine et dénigrer autrui – même nos ennemis – sont autant de négations de notre condition humaine commune à toutes et à tous. Nous reconnaissons que nous n’avons pas toujours été capables de vivre avec compassion, et que d’aucuns ont même infligé bien des souffrances au nom de la religion.

LA CHARTE DE LA COMPASSION

Rencontre avec KAREN ARMSTRONG du magazine Sacrée planète

Le précepte de compassion, qui est au cœur de toutes les traditions religieuses, spirituelles et éthiques, nous invite à toujours traiter autrui de la manière dont nous aimerions être traités nous-mêmes. La compassion nous incite à nous engager sans relâche à soulager les souffrances de tous les êtres et à apprendre à ne pas nous considérer nous-mêmes comme le centre du monde, mais à être capable de placer autrui à cette place centrale. Elle nous enseigne à reconnaître le caractère sacré de chaque être humain, et à traiter chacune et chacun, sans aucune exception, avec un respect inconditionnel et dans un esprit de justice et d’équité.

Cela implique aussi de s’abstenir d’infliger de la souffrance à autrui, en tout temps et en toutes circonstances, que ce soit dans la sphère publique ou privée. Agir de manière violente, que ce soit par malveillance, chauvinisme, colère ou égoïsme; exploiter qui que ce soit ou le priver de ses droits fondamentaux; inciter à la haine et dénigrer autrui – même nos ennemis – sont autant de négations de notre condition humaine commune à toutes et à tous. Nous reconnaissons que nous n’avons pas toujours été capables de vivre avec compassion, et que d’aucuns ont même infligé bien des souffrances au nom de la religion.

Pour cela, nous invitons solennellement tout le genre humain ~ à placer la compassion au cœur de toute éthique et de toute religion ~ à adhérer au principe ancestral selon lequel toute interprétation des Ecritures qui suscite violence, haine ou mépris, est illégitime ~ à s’assurer que la jeunesse soit informée de manière respectueuse et authentique sur les autres traditions, religions et cultures ~ à encourager une approche positive de la diversité des cultures et des religions ~ à se doter d’une compréhension empathique des souffrances de tous les êtres humains, même de ceux considérés comme ennemis.

Nous devons de toute urgence agir pour que la compassion devienne une force dynamique et lumineuse qui puisse nous guider dans ce monde de plus en plus polarisé. Enracinée dans la ferme détermination à transcender l’égoïsme, la compassion peut faire tomber les barrières politiques, idéologiques, dogmatiques et religieuses. Née de la réalisation de notre profonde interdépendance, la compassion est essentielle aux rapports entre humains et pour une humanité accomplie. Elle est la voie vers l’illumination et elle s’avère indispensable à la création d’une économie plus juste et d’une communauté globale harmonieuse et pacifique.

La charte a été traduite en 30 langues. Elle est téléchargeable sur http://charterforcompassion.org/the-charter/

Dans son intervention devant les Français en avril dernier, Karen Armstrong s’est attachée à susciter une mobilisation active de notre éthique compassionnelle, dans les actes de notre quotidien, convaincue que « nous pouvons changer le monde». Chaque jour, demandez-vous simplement comment vous pouvez changer la vie de quelqu’un seulement par des paroles gentilles…/…

« Regardez votre univers à vous, votre environnement, que pourriez-vous faire pour élargir la compassion dans le monde au travers de votre profession, au niveau de l’éducation, ou encore dans les médias ? et soyez très vigilant sur la façon dont vous vous exprimez avec les autres. Nous vivons une époque de l’information avec un sentiment d’omniscience. Nous savons tout sur tout le monde en cliquant sur une souris.

Même la façon dont nous parlons les uns des autres est « omnisciente », car nous avons tendance à vouloir résumer le mystère singulier de chaque être humain dans une phrase “ il est ceci ou cela”… Chaque fois qu’on s’apprête à parler de la sorte, posons-nous la question sur ce que nous savons réellement de cette personne, quelle sont ses souffrances, les douleurs qu’elle a dû endurer étant enfant ?

Chacun d’entre nous est un mystère extraordinaire. Ce que les Indous font quand ils saluent quelqu’un en joignant leurs mains est une façon d’honorer la divinité présente en chacun d’entre nous. Ne pas juger autrui est une règle d’or et se souvenir à quel point nous savons peu de choses sur les autres est une occasion de ne pas passer à côté de notre propre richesse.

Dieu, omniscient et omniprésent, ne peut pas être confiné, réduit à une seule forme de croyance, de doctrine. Nous avons besoin des autres pour devenir humain. Aller à leur rencontre va nous humaniser et parfois, nous ferons des erreurs. Nous avons un proverbe en Angleterre qui dit : «He who never made mistakes never made anything», c’est-à-dire «celui qui n’a jamais fait aucune erreur n’a jamais rien fait».

Alors, oui, il faut accepter de prendre des risques et de paraître stupide ou ridicule parfois. Saisissons nous de l’humour pour rire de nous-mêmes, de nos petites mesquineries. Qui sait ce qui pourrait se passer tandis que nous nous efforçons, jour après jour, de devenir meilleur ?»

Agir efficacement, DANS LA VIE DE tous les jours ? Le Dalaï Lama, un exemple de compassion.

On ne peut pas se permettre d’attendre d’être des humains accomplis et magnifiques pour commencer à aider les autres, parce que nous nous construisons, en tant qu’être humain en interaction !

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recherche spirituelle personnelle

Posté par othoharmonie le 12 octobre 2013

 

recherche spirituelle personnelle dans SPIRITUALITE c'est quoi ? 92075ccac8L’Université Libre des Valeurs (U.L.V.) est une association loi 1901 qui rassemble, autour des travaux de Jean-Claude Genel, celles et ceux qui ressentent le besoin de s’épanouir pleinement dans un monde en mutation.

Face aux changements irrémédiables qui le secouent, la recherche spirituelle personnelle, avec celle de centaines de millions de gens, joue un rôle décisif. L’humanité est confrontée à de multiples prises de conscience que provoquent les bouleversements actuels. Un monde ancien s’écroule, un monde nouveau s’installe et l’humanité doit s’adapter et contribuer à sa mise en place.

 

« Une nouvelle façon de penser est essentielle
si l’humanité doit survivre. »
Albert Einstein

 

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Participer utilement…

Comment se libérer des croyances héritées d’un passé révolu, imposées par l’éducation reçue et la société ? Comment acquérir cette liberté dont chacun a tant besoin pour s’exprimer selon ses plus profonds désirs : retrouver au fond de son cœur la force d’amour qui l’habite, la certitude qu’un monde meilleur est possible et manifestera le message christique originel : « Aimez-vous les uns les autres ! » Ce message de vie a traversé le temps sans perdre une once de sa puissance.

Les valeurs de l’âme, étudiées dans le cadre de l’U.L.V., sont les outils essentiels qui le rappellent à notre souvenir. Ils permettent à chacun de solliciter son être intérieur, son moi profond, afin d’en manifester toutes les possibilités au quotidien et d’exprimer pleinement son pouvoir personnel.

L’U.L.V. exprime un courant novateur de la spiritualité car elle sait que la multiplicité des approches (science et philosophie, corps et santé, éducation et nouvelle psychologie, etc.) permet à chacun de parcourir, avec sérieux, le chemin qui mène à sa propre vérité. Elle œuvre dans le respect de la liberté de conscience de chacun. Toute personne désireuse d’avancer sur le chemin de la connaissance de soi peut donc participer aux travaux de l’Université Libre des Valeurs.

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Lise Côté et transformation

Posté par othoharmonie le 12 octobre 2013

Lise Côté et transformation dans TRANSFORMATION INTERIEURE lise-199x300Écoutez un extrait du témoignage de Lise Côté présenté lors du télésommet du développement personnel sur http://sommet2013.alchymed.com

Messagère et initiatrice du Féminin sacré, guide spirituelle, auteure, conférencière et formatrice, Lise Côté consacre depuis près de 25 années la majeure partie de sa vie à transmettre les enseignements universels de Maître Marie par des voyages initiatiques dans de hauts lieux vibratoires de la planète, des séminaires, des ateliers, des conférences et des rassemblements. Les enseignements transmis sont libres de toute appartenance philosophique, sectaire et religieuse. Enrichie d’une imposante formation pluridisciplinaire, Lise Côté a œuvré et innové comme sexologue, psychothérapeute et enseignante de niveau primaire à universitaire. Elle est auteure des livres La voie sacrée de l’initié et Féminin Sacré actualisé, Marie-Isis-Myriam aux Éditions Ariane. Lise Côté est aussi directrice de Ahava International, un centre qui propose un parcours initiatique sur la voie sacrée du corps-cœur-âme-esprit.

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Lise raconte son Point de bascule

Il y a de ces moments phares dans un parcours terrestre qui nous placent impérativement devant des changements majeurs et nous invitent à sauter dans une mer d’inconnu. Bien que nous ayons parfois l’impression que tous les murs de notre existence sont en train de s’écrouler, ces points tournants, moments de bénédiction, sont des occasions incroyables d’expansion. J’ai accepté de perdre tous mes repères et de faire éclater mes structures. Ce choix conscient de renoncements et d’accomplissements m’a propulsée au cœur d’un grand voyage, un véritable pèlerinage de l’âme où courage, détermination, humilité et compassion furent au rendez-vous.

Le développement personnel et le mieux-être pour tous. Pour vivre mieux et plus heureux !


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Dr Christian Tal SCHALLER et développement personnel

Posté par othoharmonie le 12 octobre 2013

 

 

Dr Christian Tal SCHALLER et développement personnel dans TRANSFORMATION INTERIEURE images1Écoutez un extrait du témoignage du Dr Christian Tal SCHALLER présenté lors du télésommet du développement personnel et du mieux-être sur http://sommet2013.alchymed.com

Le docteur Christian Tal SCHALLER est un médecin suisse qui enseigne depuis 40 ans que « La santé, ça s’apprend! ». Pour lui, grâce à la médecine holistique et au chamanisme, chacun peut devenir l’artisan d’une vie heureuse, épanouie et consciente. Auteur de plus de 60 livres consacrés à la santé sur tous les plans de l’être, le docteur SCHALLER parcourt le monde avec son épouse, Johanne RAZANAMAHAY-SCHALLER pour donner à tous les outils de l’indépendance et du bonheur.

Christian Tal Schaller raconte son Point de bascule

 

 

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Après mes années d’études de médecine à Genève et une année d’hôpital, je me suis installé comme médecin généraliste. Je prenais soin au mieux de mes patients et leur prescrivais fréquemment, à leur demande, du Valium, cette benzodiazépine ancêtre du Prozac actuel que l’industrie pharmaceutique présentait comme la « pilule du bonheur » qui efface vos problèmes et vous plonge dans une douce euphorie chimique. Un jour, en apprenant que les premiers homéopathes avaient expérimenté sur eux-mêmes toutes sortes de substances pour en connaître les effets, je me suis dit que je devrais prendre du Valium pendant quelques jours pour voir son effet sur mon propre corps. Mal m’en a pris… je ne savais pas que ma vie allait basculer pour toujours!

Le développement personnel et le mieux-être pour tous. Pour vivre mieux et plus heureux !

 

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A l’abandon du Soi

Posté par othoharmonie le 11 octobre 2013

A l’abandon du Soi dans Channeling images-16

Question : pourquoi le Soi, si narcissique, renoncerait-il à lui-même ? 

Il ne le peut pas. La conscience ne renonce jamais à elle-même. La projection entraîne la projection. La créativité entraîne la création. L’expérience entraîne l’expérience. Parce que l’ensemble de ce qui est entraîné, implique une comparaison : conscience Unitaire, conscience dualitaire, etc, etc. Mais ce que tu Es n’est aucunement concerné par cela. Ce n’est pas du Soi qu’on réalise l’Abandon du Soi. Ce n’est pas un acte de volonté, ce n’est pas un acte lié à une pratique (encore moins à une ascèse, encore moins à une morale) mais, bien, ce fameux néant du Soi, ou de la personne, ce cataclysme final de la conscience elle-même, qui te fait découvrir ce que tu Es. De la même façon que, quand la plupart des Frères et Sœurs humains vivent des expériences hors du corps (ou d’approche de la mort), il y a bien un traumatisme (quel qu’il soit), une rupture de la continuité, et donc, cette forme de discontinuité qui conduit à Être ce que tu Es, mais pas avant. Je vais reprendre un autre exemple, qui vous est familier parce qu’utilisé, à de nombreuses reprises, par le Commandeur des Anciens (ndr : O.M. AÏVANHOV). La Conscience, que vous cherchez, vous semble éloignée. Cette Conscience, c’est la cacahuète dans le bocal. Quand vous voyez le bocal et les cacahuètes, il faut mettre la main dans le bocal, pour tenir les cacahuètes. Et que se passe-t-il, à ce moment-là ? La main ne sort plus du bocal. Il convient donc de dépasser la cacahuète, le bocal, et la main. Mais tant que tu considères qu’il existe un bocal, des cacahuètes, et une main pour les tenir, il n’y a pas de solution. La considération des réfutations (menées, ou pas, par vous, jusqu’à présent) était destinée à vous faire changer de point de vue. C’était une forme de logique qui s’adressait à la personne et au mental. Aucune autre activité mentale (de la personne ou, même, de la Conscience la plus élargie) ne vous est d’aucune utilité. Réaliser l’Abandon du Soi, n’est pas une Réalisation : c’est une Libération. Ce n’est pas un objectif à accomplir, c’est, bien au contraire, quelque chose à lâcher. Mais ce quelque chose à lâcher ne doit pas être confondu avec le fait de ne plus rien faire. La conscience est ce qui tient. L’a-conscience est ce qui a lâché. Quoi que vous teniez (avec la conscience, avec les idées, avec les croyances, avec les mémoires, avec les projections), tant que vous tenez à quoi que ce soit de cela, vous n’êtes pas Libre. Celui qui est Libre n’a pas effacé ses mémoires : elles sont toujours là, mais elles ne l’affectent plus. La personne comme la Conscience, l’ego comme la Conscience Unifiée, sont toujours en quête d’une expérience, d’un objectif, et d’un but. Aucun objectif, aucune expérience, et aucun but, ne relèvent de l’Absolu.

Question : la perception d’un mouvement alors que tout est tranquille révèle l’Abandon du Soi ?

Le mouvement est un processus Vibratoire. Tout dépend si ce mouvement est né quelque part dans ce sac, ou s’il prend tout le sac d’un coup. Le mouvement, l’impression de mouvement, ou la perception d’un mouvement, peuvent être reliés à l’une des étapes ultimes de la conscience elle-même. Même s’il n’existe pas de passage, à proprement parler, entre l’Infinie Présence (ou Abandon du Soi, réalisé totalement) et l’Absolu, alors on peut dire que ce sont des prémices, des témoins, si tu préfères, que le point de vue est en train de changer. De la même façon que les expériences de Communion, de Fusion et de délocalisation vous ont préparés. De la même façon que le contact avec d’autres Absolus, par le Canal Marial, vous ont préparés. L’Onde de Vie est aussi un mouvement. Quand la personne est effacée, et quand la conscience arrête de s’observer elle-même (même dans le Soi), alors l’Onde de Vie s’élance. L’Absolu est alors présent. Cela est vécu, et cela est entièrement conscient, parce que vous touchez votre nature, au-delà de la conscience elle-même. C’est ce que vous Êtes.

 EXTRAIT de BIBI canalisation 2012

 

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le QUANTIQUE et Séminaire d’Activation

Posté par othoharmonie le 11 octobre 2013

L’ADN est le point focal entre notre corps physique et notre corps de lumière ou Mercabah.  A mesure que nous activons les couches de l’ADN il se crée un champ
 d’énergie qui est notre véritable essence: le corps que nous avons eu avant l’expérience  “Terre” et celui que nous aurons une fois avoir quitté la Planète. Dans la Nouvelle Energie activer l’ADN est en réalité allumer les moteurs -dans l’incarnation- de ce corps de lumière qui nous contient car en essence nous sommes une géométrie, un son  et une couleur.

Chaque couche de l’ADN se correspond vibratoirement avec un Nom Divin Hébreux. Ces noms existent depuis des millénaires dans la Kabalah et c’est Kryeon qui -dans la Nouvelle Energie- en choisit 12, les ordonne d’une certaine façon et nous dit: voici les Noms pour activer l’ADN multidimensionnel dans le Maintenant. 

Musique et Communications quantique

 le QUANTIQUE et Séminaire d’Activation dans ADN Démystifiée images-15

La musique crée Unité parce que c’est un langage universel. La musique communique Vérité parce que elle s’origine au delà du mental. La musique exprime Amour parce que elle naît dans les profondeurs du coeur.

Mon canal est un « canal musical ». J’ai reçu des fréquences spécifiques qui agissent sur la glande pinéale qui, par connexion quantique, ont le pouvoir d’entrer en résonance avec chaque couche, de leur rappeler leur mélodie et donc les réveiller pour que l’ADN Primordial puisse chanter à nouveau sa chanson.

Activer ton ADN multidimensionnel réveille en toi le souvenir de ton parcours cosmique, de l’énorme voyage que tu fais depuis des éons et qui t’a préparé pour vivre cette vie, la vie la plus importante et transcendante que tu n’as jamais eu. C’est la vie dans laquelle tu te réveilles d’une longue léthargie dans laquelle tu fusionnes ces parties de ton être multidimensionnel laissés dans d’autres plans, d’autres vies pour créer aujourd’hui la Nouvelle Jérusalem: Paix sur Terre. Le chant de chaque couche de l’ADN touchera profondément le centre de ton être. Tu te souviendras de «La Maison», tu te souviendras de ta mission en tant que Guerrier de la Lumière semé sur cette Planète pour créer la Civilisation Primordiale appelée Lémurie. Tu comprendras pourquoi ton âme regarde vers le ciel, vers les Pléiades, et quel rôle elles ont joué et jouent actuellement par rapport à ta génétique. Tu sentiras tout au long d’une journée de chant le pouvoir vibrationnel des lettres hébraïques parce que, à l’origine, ce langage dérivé du lémurien était un langage de lumière, des formes/pensées émanées du coeur du Grand Créateur… 

La Pensée Quantique

 La physique de Newton décrivait l’Univers comme des blocs d’énergie séparés les un des autres et sans communication entre eux, ou le temps et l’espace étaient des absolus. En 1905 Albert Einstein dans sa Théorie de la Relativité Générale nous dit que le temps et l’espace sont relatifs et il ajoute que l ‘Univers existe indépendamment de nous et que pourtant nous n’avons pas d’influence sur lui.

En 1944 Max Planck, le père de la physique quantique prononce un discours révolutionnaire où il dit que «la matière en tant que telle n’existe pas», qu’il existe un champ énergétique, un espace quantique de matière et que la «réalité» est crée et modifiée par la conscience de l’observateur. Le changement de paradigme est total: il place l’homme comme co-créateur de l’Univers avec le pouvoir et la responsabilité de changer sa vie et celle de la Planète.

La pensée scientifique d’aujourd’hui cherche une Théorie Unifiée de la Physique. La Théorie des Cordes naît avec cette intention, postulant que l’Univers est composé d’infimes particules ou cordes vibratoires qui expliquent aussi bien le monde quantique que la vie quotidienne. A l’avant garde de la compréhension de l’origine de la vie et au delà de l’infiniment petit, la Haute Physique est en train de chercher dans l’intangible, supposant l’existence de dimensions subtiles, regardant là où l’on ne voit pas: la Matière Obscure ou Matrice Divine ; le support énergétique de Tout ce Qui Est.

La Matrice Divine nous interconnecte tous avec tout et avec l’Univers. Nous sommes les créateurs qui expérimentons et moulons la réalité parce que nous sommes conscience. Les expériences de la physique quantique montrent que les particules sont modifiées par la conscience de l’observateur et nous sommes la source de cette conscience. 

Guérison quantique

 210px-Eifuku_chimneys dans Guérir en douceur

Dans nôtre descente dans la matière nous avons expérimenté pendant des éons la division. Nous nous sommes «fissionnés» dans des milliers de portions de conscience. Nous l’avons fait par amour, expérimentant à la demande et au nom du Grand Créateur. Aujourd’hui ces parties multidimensionnelles de nôtre être commencent à s’unir, récupérant ainsi l’Unité, la Totalité.

Qu’est-ce que la maladie? Ce sont des cellules qui chantent «faux». C’est l’absence d’information ou de communication à l’intérieur d’un système donné: les cellules ne reçoivent plus l’info de leur fonction à l’intérieur de l’organisme ce que active des signaux biochimiques qui créent des lésions pathologiques.

Quelles sont les causes de la maladie? Il y en a plusieurs: des causes héréditaires, génétiques, des impacts de l’environnement sur le Champ Electromagnétique, radiation solaire, des causes karmiques ou liées à ton contrat. Dans la Nouvelle Energie tout peu changer quand nous comprenons comment co-créer avec la Matrice Divine, parce que nous sommes les créateurs: nôtre ADN est sensible à l’intention et à la conscience de l’humain illuminé, il lui répond immédiatement.

Le temps et l’espace sont dans un étant quantique, c’est à dire que tout ce que j’ai été, tout ce que je suis et serait se trouve dans mon champ d’énergie. La guérison quantique consiste à remplacer des fréquences. Par exemple si dans le Maintenant j’ai développé une maladie; dans mon champ d’énergie il existe encore la fréquence que j’avais quand j’étais sain: je peux alors demander à mon Je Suis de chercher dans mes mémoires vibratoires cette fréquence et de remplacer  la maladie par la santé.

Le Séminaire d’Activation de l’ADN avec le Chant® est un travail de Croissance Personnelle qui ouvre la porte au processus évolutif qui t’amènera à l’auto soutient de ta lumière et de ton pouvoir, te réveillant à la vérité de Qui Tu Es en Réalité; honorant ta Présence dans l’incarnation. Durant la journée tu recevras des informations scientifiques et spirituelles sur l’ADN, tu apprendras sur le pouvoir des lettres hébraïques et sur l’usage conscient du son. 

Activation de l’ADN avec le Chant ® est un séminaire de Croissance Personnelle animé par sa créatrice : Gabriela Gómez http://reikiunitario.com/adn/francais/

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Où en sommes-nous !

Posté par othoharmonie le 11 octobre 2013

Que sera demain ?

Conférence sur l’internet

de Monique Mathieu

mardi 22 octobre 2013 à 14 h 30 (h. du Québec) et à 20 h 30 (h. de Paris)

Où en sommes-nous ! dans Nouvelle TERRE 350px-90_mile_beach

On croit, on ne croit pas… 
Et pourtant, depuis 29 ans, Monique est « canal » et, infatigablement, elle nous retransmet les enseignements des Êtres de Lumière…

Pour beaucoup la fin du monde est pour demain…
Pour beaucoup la 3e guerre mondiale est imminente…
Pour beaucoup la lumière n’est qu’un rêve pieux…

Et pourtant…

Où en sommes-nous ?

À l’heure où la planète se déchire, où les valeurs politiques, religieuses et morales tombent les unes après les autres, il est réconfortant de savoir qu’autour de nous, auprès de nous existent des Êtres merveilleux prêts à nous aider, à nous soutenir dans nos épreuves. Mais ne croyez pas qu’il suffit de s’ouvrir à eux et de se laisser guider, ce n’est pas aussi simple que cela, pour nous humains. Beaucoup de voiles devront se déchirer, beaucoup de croyances devront être abandonnées, beaucoup de doutes devront se surmonter et de peurs être éradiquées.

C’est un long travail intérieur de chaque instant avant de pouvoir spiritualiser notre vie matérielle. Chacun a son propre cheminement. Mille sentiers mènent au sommet de la montagne, vers la lumière. Les Êtres de Lumière par leur enseignement répété sans cesse avec Amour, nous montrent une voie à parcourir. Grâce à Eux les portes de la Connaissance et de la Sagesse s’entrouvrent, et l’on s’aperçoit avec émerveillement que TOUT, enfin ce que notre conscience actuelle peut assimiler, prend place au sein d’un plan gigantesque et qu’il faut absolument reprendre contact avec la partie invisible de la vie, avec Dieu.

Où allons-nous ?

Dans cette expérience de vie que nous expérimentons, la guerre entre l’ombre et la lumière fait rage depuis des millénaires. Cette guerre n’a pas de nombre, mais un nom : la dualité.

Finalement, l’ombre va-t-elle gagner la partie, ou la lumière dissoudra l’ombre ? Cela dépend de chacun d’entre-nous, car la solution est en nous. Cette Lumière, nous la portons au plus profond de notre cœur…

Déroulement de la conférence

Au cours de cette conversation, nous parlerons du chemin de l’humanité qui se situe, aujourd’hui, à un point crucial de son existence.

La Terre qui nous a accueillie, qui nous porte, évolue et se prépare à effectuer un véritable saut quantique, vibratoirement parlant. Au plus profond de notre cœur, souhaitons-nous ou pas l’accompagner dans cette ascension ?

La réponse nous appartient et c’est nous qui ferons le « demain » de notre vie.

Monique Mathieu

C’est en 1984 que Monique est devenue canal après avoir été choisie en fonction de critères très spéciaux tels son refus d’un trop grand intellectualisme, son intégrité morale, sa grande neutralité religieuse.

Il faut entendre par canal quelqu’un qui peut établir une communication avec un être vivant hors de notre réalité de la 3e dimension terrestre. Monique est aussi depuis son plus jeune âge un médium doué de capacités de psychométrie et de voyance (elle a vécue une préparation spéciale par des Entités Spirituelles).

En channeling, elle entre en relation avec des plans très élevés où se trouvent les Êtres de Lumière, et dans cet état, elle peut transmettre un Enseignement Spirituel et philosophique qui s’adresse à l’humanité. Les Entités Spirituelles ou Êtres de Lumière disent d’elle : « Si nous avons choisi ce canal, c’est pour qu’elle ouvre les cœurs, pour qu’elle fasse prendre conscience à ses frères de la Terre de ce qu’ils sont réellement, pour leur faire prendre conscience de leur partie Divine, de leur réalité sur le plan cosmique. » Devant l’importance considérable de l’enseignement reçu, une association s’est constituée afin de pouvoir le diffuser.

images-141 dans Nouvelle TERREMonique Mathieu
Canal, transmetteur d’enseignements célestes
www.ducielalaterre.org

Conférence, accessible en deux clics

Le mardi 22 octobre 2013 à 14h30 (heure du Québec) et 20h30 (heure de Paris)

 

Conférence en accès libre

Pour obtenir le lien d’accès à la salle virtuelle où se déroulera la conférence, il n’est pas nécessaire d’être déjà « Membre Energie-Santé« , mais simplement de s’inscrire. Par contre, l’enregistrement de la conférence ne sera accessible qu’aux »Membres Energie-Santé«  dont le compte est actif, pour visionnement en différé …

Si vous aussi, souhaitez vous exprimer et être présent sur Energie-Santé, Contactez-nous

 

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La dualité transcendée

Posté par othoharmonie le 10 octobre 2013


juger en condamnant

La dualité transcendée dans APPRENDS-MOI images-13Aussi longtemps que nous compartimentons les événements de notre vie en bien ou en mal, nous leur donnons de la force selon l’étiquette choisie et c’est cela qui déterminera le cours de notre existence. Afin de pouvoir mettre un terme à cette fâcheuse situation, puis de la transcender, nous devons absolument nous retirer du domaine de la polarité. En d’autres mots, nous devons changer, et ce changement doit survenir parce que nous jugeons plus le monde, nous ne le condamnons plus.

Ce n’est que par l’exercice de notre jugement que nous pouvons décider si quelque chose ou quelqu’un est « bon » ou « mauvais ». C’est le fondement même du bien et du mal, de notre conscience de la dualité. Il semble que la clé du dilemme réside dans notre capacité de voir tous les mondes et tous les événements dans notre univers comme un tout unique, complet et parfait en lui-même, tout en sachant que l’ADN cosmique, le plan cosmique, se déroule exactement comme le créateur l’a prévu.

La dualité, c’est l’expérience de Lucifer : quand on parle de la « rébellion de Lucifer » on conjure des sentiments contradictoires et bien des conflits dans notre esprit et celui des gens qui nous entourent, tout cela remontant au début de l’introduction de la Bible dans le monde. En effet, beaucoup d’êtres humains, spécialement des chrétiens, croient encore que Lucifer est responsable de tout le mal, tout l’obscurantisme, toutes les ténèbres qui n’ont jamais régné sur cette planète. Chose certaine, ce que Lucifer a fait, nous appelons cela « une rébellion » ce qui sous-entend que celui-ci a agi contre le plan cosmique universel. Mais la conscience de l’unité voit le travail de Lucifer sous un angle tout à fait différent. Son travail est perçu comme une expérience et non comme une rébellion.

C’est un test pour voir si certains paramètres dans la vie vont marcher. La vie tout entière est une expérience. Les instructions de la part de Dieu à l’homme, au début de la période d’expérimentation de Lucifer, était : « Vivez dans le libre arbitre ». Or que signifie le « Libre arbitre »  ?

Il a été donné à la vie l’opportunité de faire tout ce qu’elle veut. Toutes les possibilités sont à sa disposition. C’est exactement cela qu’on appelle « le libre arbitre ». Et qui enfante la conscience universelle, qui en est l’auteur ? Le Dieu unique, c’est à dire… Dieu. Ce n’est pas Lucifer qui a façonné le libre arbitre, mais par ses actions et ses décisions, il en a fait une réalité. C’est Dieu qui a engendré Lucifer, de manière que le libre arbitre puisse être. Avant l’expérience de Lucifer, il n’y avait pas de libre arbitre, sauf en trois autres occasions. Mis à part cela, qui remonte à très très loin dans le passé, la vie tout entière se déroulait selon la volonté de Dieu, selon l’ADN cosmique. Il n’y avait aucune déviation et le libre arbitre existait seulement à l’état potentiel, comme quelque chose que la vie pourrait un jour expérimenter ou non.

A un moment donné, et parce que le libre arbitre s’avérait chose possible, nous réalisâmes que nous pourrions faire l’expérience de cette réalité d’une façon particulière qui  n’avait jamais été essayée auparavant. Alors, c’est ce que nous fimes. En fait, nous avions déjà essayé à trois reprises auparavant, et nous échouâmes chaque fois. Trois fois de suite, tout se termina par un désastre absolu. La dernière expérience en date et par conséquent, la quatrième de ce genre, est celle de Lucifer, avec une approche légèrement différente dans cette perspective de créer le libre arbitre. Cette fois-ci, en effet, Dieu choisit un domaine de conscience juste au-dessus du plan d’existence humain. L’expérience commença avec les anges, qui introduisirent ce concept de libre arbitre au sien de l’humanité afin qu’il soit vécu ici-bas, dans ces mondes plus denses. Et la vie tout entière observa ce qui allait se passer.

Avec un grand respect entre deux frères, la bataille entre le « bien » et le « mal » prit forme. C’était une lutte à mort où, pourtant, ni l’un ni l’autre ne pouvait mourir. Mais cette bataille devait avoir lieu, car telle était la volonté de Dieu. Pour le bien général de l’univers, l’archange Michaël choisit de focaliser l’option de la lumière et le bien, alors que Lucifer, lui choisit l’option des ténèbres et le mal. Nous étions tous sur le point de vivre une nouvelle possibilité. Et dire que pour nous autres humains, cette idée de libre arbitre paraissait épatante !!!

L’archange Lucifer, en compagnie de nombreux autres anges, amorça donc son expérience afin de voir ce qu’il pourrait apprendre grâce à elle. Comme nous l’avons déjà dit, une expérience de ce genre avait déjà été tentée et chaque fois avorté. Mais Lucifer avait bien l’intention de reprendre la vieille expérience et, cette fois-ci, de la réussir en recourant à de nouvelles méthodes.

La première chose qu’il fit fut de couper net les liens d’amour qui le retenaient encore à Dieu. Puis il créa un Mer Ka Ba qui n’était pas fondé sur l’amour. en fait, il s’agissait d’une immense machine interdimensionnelle à remonter le temps, ou à descendre dans le temps, ce que nous appelons de nos jour  un vaisseau de l’espace. Ce vaisseau qui a souvent la forme de deux bols inversés et collés bord à bord, mais qui peut aussi se présenter sous de nombreuses autres formes, était en fait beaucoup plus qu’un simple véhicule, selon la définition que nous donnons actuellement à ce mot. Il pouvait non seulement se déplacer à travers la réalité multidimensionnelle dans l’espace et le temps, mais aussi créer des réalités apparemment toutes aussi réelles que la création originelle. Ainsi, Lucifer façonna ce Mer Ka Ba synthétique pour créer une réalité séparée de Dieu, de manière à pouvoir accéder aux hauteurs les plus exaltées et à être aussi bon que Dieu, du moins dans son propre esprit. Ne pouvant pas être Dieu, il serait comme Dieu, son héros.

Dès lors, afin de convaincre les autres anges que cette expérience était nécessaire, il choisit d’emprunter une nouvelle voie pour sortir du grand vide, ce qui lui permettrait alors d’engendrer la réalité synthétique dont nous avons parlé plus haut et assurément, quelque chose d’unique en soi.

Dans le jardin d’Eden, si vous vous souvenez, il y avait deux arbres : l’Arbre de vie, qui menait à la vie éternelle, et l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Dans le modèle de création de la Genèse et tel que cela est illustré par la Fleur de vie, la méthode que le petit esprit utilisa pour sortir de la première sphère qu’il avait créée est associée au premier arbre, l’Arbre de vie. Cet esprit (l’esprit de Dieu) venait du centre même de la première sphère et avait choisi un mouvement de rotation en vortex à partir de ce centre unique, ce qui aboutit finalement à la création de la réalité qui mène à la vie éternelle. L’Arbre de la vie et la leur de vie appartiennent donc à la même création.

Mais l’esprit peut sortir du grand vide d’une autre manière, qui est associée à l’arbre de la connaissance du bien et du mal. En fait, c’est la même géométrie, sauf qu’elle est créée d’un point de vue différent. En d’autres mots, il existe un autre moyen d’utiliser la géométrie sacrée pour sortir du grand vide et d’élaborer une réalité qui paraît être la même, mais qui, géométriquement et expérientiellement, est différente. Lucifer savait cela et il choisit cette deuxième possibilité pour créer un nouveau genre de réalité, qu’il pourrait alors contrôler. Ou du moins, une main-mise sur cette nouvelle réalité, faisait au départ partie de son intention. Par contre, l’intention d’origine de l’archange Mickaël était d’instaurer le libre arbitre. Leurs intentions étaient donc diamétralement à l’opposé l’une de l’autre.

Extrait du livre de Drunvalo Merchizédek : L’ancien secret de la Fleur de Vie – Tome 2

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Les bébés comme les animaux ont une morale

Posté par othoharmonie le 10 octobre 2013

Les bébés comme les animaux ont une morale dans APPRENDS-MOI telechargement-12

Sommes-nous naturellement moraux ou le devenons-nous? Est-ce l’empathie ou le devoir qui dicte notre conduite? La philosophe cherche à comprendre la genèse de notre éthique pour nous aider à vivre mieux.

Son calme apparent, sa façon de parler à voix presque basse, sa prédilection pour les conclusions modérées pourraient laisser croire que Vanessa Nurock n’aime pas prendre de risques. C’est tout le contraire. Voilà une intellectuelle passionnément impliquée dans la vie de ses concitoyens, et pas seulement dans celle de ses étudiants à l’université. L’engouement général de la population pour la philosophie la comble. Bien au-delà des “Cafés philo”, elle participe à des événements hors normes, comme cette exposition lilloise sur l’étrange et le monstrueux (“Anatomie de l’étrange”, jusqu’en mars 2013, au musée d’Histoire naturelle). Et elle scanne les séries télé, découvrant que certaines ouvrent les esprits mieux que tous les catéchismes. Elle défend une “voie du milieu” qui fait dialoguer des disciplines aussi différentes que la neurologie et la philosophie morale. Un dialogue qu’on ne qualifie plus de cuistre mais de révolutionnaire : si l’étude des neurones miroirs permet de découvrir la genèse d’une morale chez les animaux ou les bébés, beaucoup de nos convictions doivent être révisées. Les jeunes philosophes d’aujourd’hui retrouvent la polyvalence de leurs ancêtres des Lumières, voire de la Renaissance. 

Votre livre « Sommes-nous naturellement moraux ? » débute par une histoire horrible, dans l’Angleterre des années 1990, où deux garçons de 10 ans enlèvent un bambin dans un centre commercial et le torturent à mort. On en déduit que l’humain n’est pas « naturellement bon » et qu’il ne saurait vivre sans éducation morale… 

  C’est une histoire terrible qui illustre nos propres ambiguïtés sur les capacités morales des enfants. La question qui s’est posée pendant le procès des deux garçons, c’était de savoir si l’on pouvait ou non « éduquer le sens moral ». Pour bien poser cette question, il ne faut pas confondre deux choses : d’un côté, le fait d’inculquer de l’extérieur des valeurs, des principes aux enfants ; de l’autre, le fait de les aider à développer leurs capacités naturelles. L’éthique ne s’apprend pas comme une leçon, un cours de morale. L’histoire nous montre que des gens très bien éduqués peuvent commettre les pires atrocités. De plus, même s’il est important de lui transmettre des valeurs, l’enfant a aussi le droit de les rejeter. L’éducation morale imposée n’est donc pas forcément la forme la plus adéquate. Je crois qu’on aide le sens moral des enfants à se développer surtout par l’exemple, et en pratiquant l’empathie, en accueillant l’autre, en lui accordant de l’importance.  

Mais vous cherchez quand même à savoir si la morale n’aurait pas des origines « naturelles »… 

  C’est une question philosophique ancienne qui rebondit de façon spectaculaire depuis peu, du fait des découvertes en neurosciences et en éthologie. Il y a notamment cet engouement pour l’empathie qui s’expliquerait par l’action des fameux « neurones miroirs » que nous avons vraisemblablement en commun avec certains animaux. La découverte de cette fonction, en 1996, par des physiologistes italiens, a bouleversé la neuropsychologie : dès la naissance, notre appareil psychique se forme en « photocopiant », par mimétisme, celui des personnes qui s’occupent de nous. Cela redonne du poids à une approche « naturaliste » de la morale (ou de l’éthique, ce qui est synonyme pour moi), à laquelle s’oppose une approche « spiritualiste » selon laquelle la morale est le niveau supérieur de la conscience humaine, détachée  de toute explication bassement physiologique. Ces deux camps ne se parlent pas. C’est dommage : chacun apporte des éléments intéressants. J’ai moi-même une formation de philosophe classique ; travailler sur la morale selon Kant eût été plus simple ! Mais au-delà des modes, il m’aurait semblé restrictif d’ignorer ce que les découvertes neurocognitives peuvent apporter à la réflexion – même si je sais les risques de l’enthousiasme scientiste.  

Concrètement, y a-t-il des germes de morale chez l’animal ? 

  Oui. On trouve chez certains animaux une forme d’éthique primitive, une façon de savoir, non pas ce qui différencie le bien du mal, mais ce qui est bien pour autrui – avec la possibilité de le mettre en pratique. Les éthologues rapportent des démonstrations de solidarité animale vis-à-vis des individus faibles ou malades de la même espèce. On connaît l’attitude altruiste de certains grands singes, en particulier des bonobos (lire la revue CLES n° 77). Il arrive que cette solidarité concerne d’autres espèces, par exemple quand des dauphins sauvent des humains de la noyade.  

Si une « morale animale » rudimentaire existe… 

… se pose aussitôt la question de la réciprocité ! Or, l’éthique que nous appliquons aux animaux n’est pas celle qu’ils mettent en œuvre à notre égard. Ils nous servent, nous nous servons d’eux. C’est toute la définition de notre communauté morale avec eux qui se trouve interpelée. Y toucher changerait beaucoup de choses – dans notre façon de traiter les autres espèces, mais aussi nos propres bébés. Bien avant de développer la capacité de se mettre à la place d’autrui – qui fonde la morale adulte – les petits humains semblent avoir une « morale naïve » qu’il faut comprendre avant de leur reprocher de ne pas appliquer des règles éthiques qu’ils ne sont pas en mesure d’appréhender. C’est le principe « devoir implique pouvoir » : vous ne pouvez exiger d’autrui que ce qu’il est capable de faire et de comprendre. 

A quoi ressemble la « morale naïve » des bébés ?  

  Elle s’appuie sur l’empathie. Mais il y a plusieurs formes d’empathie. J’en distingue trois :

– La première, l’empathie motrice, est un « réflexe relationnel » qui fait que les muscles de votre bras se contractent si vous voyez quelqu’un se taper sur la main avec un marteau, ou vous fait donner un coup de pied involontaire quand, à la télé, un footballeur s’apprête à shooter. Cette motricité mimétique fait que le bébé imite les expressions des personnes autour de lui : il sourit, grimace, fronce les sourcils, bâille, etc. S’ouvrent ainsi en lui les voies neuronales d’une communication possible avec quiconque lui apparaîtra plus tard comme un semblable.

– La seconde forme est l’empathie émotionnelle. Si un bébé se met à pleurer dans une crèche, les autres ne tardent pas à faire pareil. Communiquer avec quelqu’un, c’est entrer en résonnance avec ses émotions, quelles qu’elles soient.

– La troisième forme d’empathie n’émerge que plus tard. Je l’appelle « empathie situationnelle ». Elle fait que je peux me mettre à la place de quelqu’un et imaginer ses sentiments, même s’il n’est pas en

train de les vivre. Si je sais que Pierre trompe Nathalie, je peux imaginer que Nathalie serait triste si elle l’apprenait, alors même qu’à l’instant, elle rit.  

Faire de l’empathie la base de la morale est une idée nouvelle ? 

  Non, c’était déjà celle des philosophes et économistes écossais David Hume et Adam Smith, au XVIIIe siècle. C’était alors révolutionnaire. Jusque-là, la morale était une conséquence de la révélation religieuse. Dieu dicte les dix commandements à Moïse qui doit ensuite les inculquer aux Hébreux. Quasiment toutes les religions ont fonctionné ainsi. En philosophie, Kant a contesté l’approche empirique de Hume et Smith. Sa morale, la plus fameuse d’Occident, se fonde sur un a priori métaphysique. Mais aujourd’hui, notamment avec les neurones miroirs, l’approche expérimentale donne de nouveaux arguments au modèle naturaliste.

Cela dit, Hume et Smith avaient eux-mêmes constaté les limites de leur modèle et inventé, pour le dépasser, le concept de « sens du devoir » : on peut agir moralement sans empathie, mais par devoir. Par ailleurs, si le besoin de justice est essentiel pour expliquer la genèse de notre sens moral, il ne suffit pas. Un autre pilier de démarche éthique est le care. Ce mot anglais désigne une notion relativement ancienne, dont l’application à la philosophie est récente, portée par des chercheuses féministes, en particulier la psychologue Carol Gilligan

Comment définit-on le care ? 

  C’est une façon subtile de considérer la place que nous accordons au « souci pour autrui » dans nos relations (soin, attention, prévenance, sollicitude, responsabilité). Le care se nourrit de l’empathie dans certaines situations, alors que d’autres mettent plutôt en jeu notre « sens de la justice ». Les trois formes d’empathie alimentent ainsi deux niveaux de care : 

– Les deux premières empathies (la motricielle et l’émotionnelle) donnent le careélémentaire : c’est par exemple le petit enfant qui veut en consoler un autre en lui apportant son doudou. Il comprend que quelque chose ne va pas et se met en partie à sa place, mais pas complètement, par manque de compréhension intellectuelle.

– L’empathie situationnelle, elle, donne le care de niveau supérieur : l’altruisme qui fait que je peux réellement me mettre à la place de l’autre. Mais il faut immédiatement préciser que l’altruisme du care n’est pas synonyme d’abnégation.  

C’est-à-dire ? 

  Contrairement à ce qu’une certaine mentalité Bisounours véhicule, se soucier d’autrui ne suppose pas nécessairement que l’on s’efface soi-même. Au contraire : si je me nie, je ne peux me soucier correctement du monde. Si je m’estime moi-même, je peux valoriser les autres. Inversement, accorder une place au care, c’est se demander ce que l’on valorise réellement dans sa vie. En politique, c’est par exemple se demander quels métiers sont d’utilité publique et combien on les paye : décider du salaire d’une infirmière, d’un éducateur, d’une puéricultrice, d’un enseignant, est une question éminemment morale. A ce besoin d’éthique, hommes et femmes politiques ne répondent pas toujours de façon pertinente et sont souvent, de ce fait, incapables de freiner le délitement des liens, la déshumanisation des relations. 

du sens moral d’un enfant ? 

  Comme on accompagne l’éveil de son intelligence, de son imagination et de sa vie affective ? C’est une vraie question, rarement posée. Il faut bien distinguer, d’une part, l’aide à cet éveil intérieur qui doit se faire notamment par l’exemplarité empathique, et d’autre part, l’éducation aux normes que la société impose de l’extérieur – ces dernières pouvant être acceptées, même si elles ne correspondent pas à un ressenti intime. J’ai participé, comme commissaire scientifique, au montage de l’exposition « Anatomie de l’étrange », au musée d’Histoire naturelle de Lille, où nous avons cherché à décortiquer les limites de ce qui nous paraît étrange, fascinant, monstrueux. Nous avons voulu montrer de quelle façon le « normal » et les normes s’établissent, pour chaque société, dans un compromis toujours changeant entre le biologique, le culturel et le social. La polygamie relève-t-elle de la morale ? Pour moi, oui, à partir du moment où il n’y a pas réciprocité. Mais on est en zone limite : d’autres diront que la question relève de la culture…

  L’un des nouveaux outils passionnants dans l’accompagnement du sens moral est le feuilleton et, aujourd’hui, la série télévisée, comme « 24 heures chrono », « Firefly » ou « Buffy contre les vampires ». Pourquoi ? Parce que s’y jouent des dilemmes moraux du genre « sacrifier ma famille ou mon pays », mais surtout parce que les mêmes questions se posent à des personnages très différents qui y répondent chacun dans sa logique, démontrant que la réponse morale peut s’avérer multiforme. C’est un formidable vecteur d’éducation éthique. S’éveiller à la morale, pour un enfant, un jeune (ou un moins jeune d’ailleurs), c’est certes intégrer des normes, mais c’est aussi ne pas en devenir dupe et comprendre qu’il y a une multiplicité de points de vue. C’est un ressort classique de la littérature. Il est intéressant de le voir utilisé dans les séries télé.

Vos théories vous aident-elles personnellement à mieux vivre ?

   Je ne suis pas maso ! Je travaille sur ce qui m’intéresse et cela m’aide évidemment à mieux vivre. Mais l’important est surtout que nos recherches aident la collectivité à vivre mieux. Aujourd’hui, le public est en demande de philosophie. Non pas de réponses – et surtout pas de cours de morale – mais d’aide à se poser des questions. C’est un signe de maturation et d’ouverture au caractère incertain de toute éthique. L’humanité ne cesse pas pour autant de réclamer des certitudes. Nous avons tous à naviguer entre les récifs de cette ambiguïté.

 

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L’ILLUMINATION, C’EST S’ÉLEVER AU-DELÀ DE LA PENSÉE

Posté par othoharmonie le 10 octobre 2013

L'ILLUMINATION, C'EST S'ÉLEVER AU-DELÀ DE LA PENSÉE  dans APPRENDS-MOI telechargement-11

La pensée n’est-elle pas indispensable pour survivre en ce monde ?

Votre mental est un outil, un instrument qui est là pour servir à l’accomplissement d’une tâche précise. Une fois cette tâche effectuée, vous déposez votre outil. Je dirais ceci : telles que sont les choses, environ quatre-vingt à quatre-vingt-dix pour cent de la pensée chez l’humain est non seule-ment répétitive et inutile, mais aussi en grande partie nuisible en raison de sa nature souvent négative et dysfonctionnelle. Il vous suffit d’observer votre mental pour constater à quel point cela est vrai. La pensée involontaire et compulsive occasionne une sérieuse perte d’énergie vitale. Elle est en fait une accoutumance. 

Et qu’est-ce qui caractérise une habitude ? Tout simplement le fait que vous sentiez ne plus avoir la liberté d’arrêter. Elle semble plus forte que vous. Elle vous procure également une fausse sensation de plaisir qui se transforme invariablement en souffrance. 
Pourquoi serions-nous des drogués de la pensée ? 
Parce que vous êtes identifiés à elle et que cela veut dire que vous tirez votre sens du moi à partir du contenu et de l’activité du mental. Parce que vous croyez que si vous vous arrêtez de penser, vous cesserez d’être. 

Quand vous grandissez, vous vous faites une image mentale de qui vous êtes en fonction de votre conditionnement familial et culturel. On pourrait appeler ce « moi fantôme », l’ego. Il se résume à l’activité mentale et ne peut se perpétuer que par l’incessante pensée. Le terme « ego » signifie diverses choses pour différentes gens, mais quand je l’utilise ici, il désigne le faux moi créé par l’identification inconsciente au mental. 

S’éveiller au-delà de la pensée par Eckhart Tolle.

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Aux yeux de l’ego, le moment présent n’existe quasiment pas, car seuls le passé et le futur lui importent. Ce renversement total de la vérité reflète bien à quel point le mental est dénaturé quand il fonctionne sur le mode « ego ». Sa préoccupation est de toujours maintenir le passé en vie, car sans lui qui seriez-vous ? Il se projette constamment dans le futur pour assurer sa survie et pour y trouver une forme quelconque de relâchement et de satisfaction. Il se dit : « Un jour, quand ceci ou cela se produira, je serai bien, heureux, en paix. » Même quand l’ego semble se préoccuper du présent, ce n’est pas le présent qu’il voit. Il le perçoit de façon totalement déformée, car il le regarde à travers les yeux du passé. Ou bien il le réduit à un moyen pour arriver à une fin, une fin qui n’existe jamais que dans le futur projeté par lui. Observez votre mental et vous verrez qu’il fonctionne comme ça. 

Le secret de la libération réside dans l’instant présent. Mais vous ne pourrez pas vous y retrouver tant et aussi longtemps que vous serez votre mental. 

Je ne veux pas perdre ma capacité d’analyse et de discernement. Je ne suis pas contre le fait d’apprendre à penser plus clairement, de façon plus pénétrante, mais je ne veux pas perdre ma tête. Le don de la pensée est la chose la plus précieuse que nous ayons. Sans elle, nous ne serions qu’une autre espèce animale. 

La prédominance de la pensée n’est rien d’autre qu’une étape dans l’évolution de la conscience. Il nous faut passer à l’étape suivante de toute urgence. Sinon, le mental nous anéantira, car il est devenu un véritable monstre. Je reparlerai de ceci plus en détail un peu plus loin. Pensée et conscience ne sont pas synonymes. La pensée n’est qu’un petit aspect de la conscience et elle ne peut exister sans elle. Par contre, la conscience n’a pas besoin de la pensée. 

Atteindre l’illumination signifie s’élever au-delà de la pensée, ne pas retomber à un niveau si-tué en dessous de la pensée, soit celui du règne végétal ou animal. Quand vous avez atteint ce degré d’éveil, vous continuez à vous servir de votre pensée au besoin.

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Les Enfants : les êtres les plus doués sur le plan psychique

Posté par othoharmonie le 8 octobre 2013

Les Enfants : les êtres les plus doués sur le plan psychique dans APPRENDS-MOI guerissant

Chaque fois que vous posez les yeux sur un nouveau-né ou un bambin, essayez de vous rappeler qu’à l’intérieur de ce tout petit corps à peine capable de prononcer quelques mots, vit un esprit sage, complet et expérimenté et l’un des êtres les plus  doués sur le plan psychique ? Comme ils viennent tout juste d’arriver de l’AU-DELA, ils ont souvent un souvenir extrêmement vivace de leur plan de vie, de leur Guide Spirituel et de leurs Anges, de leurs vies passées. S’ils ont de la chance, personne n’aura eu l’occasion de les mettre mal à l’aise, de les ridiculiser ou de les réprimander lorsqu’ils veulent en parler.

Croire que les bébés arrivent dans ce monde avec un dossier vierge ! Si c’était le cas, comment se fait-il que des enfants naissent avec une passion innée pour les trains, la guerre d’Indépendance, la biologie marine, les grands voiliers, la médecine ou l’archéologie alors qu’ils n’y ont jamais été exposés ne serait-ce qu’une seconde ? es enfants peuvent venir au monde avec différentes phobies, comme la peur des hauteurs ou de l’eau, des endroits exigus, des araignées ou du tonnerre, même si personne autour d’eux n’exprime le même genre de crainte. Comment cela est-il possible ?

Des gens « ordinaires » donnent naissance à des enfants prodiges dont les extraordinaires réalisations bouleverseront le monde des arts, du sport, de l’éducation et de la musique. Comme cela est-il possible ? Franchement, comparée à mon explication parfaitement logique basée sur l’influence des vies passées, l’idée que tout se décide par un coup du sort n’est-elle pas la plus invraisemblable des deux ?

-  Un enfant de cinq ans regarde sa mère droit dans les yeux après qu’elle lui eut servi son repas préféré et lui dit : « tu es la meilleure des quinze mères que j’ai eues jusqu’à présent ».

- Un enfant de six ans n’arrive pas à garder son sérieux tandis que son père le gronde. Son père lui demande ce qu’il y a de si drôle, et l’enfant répond : « Tu te souviens quand j’était ton père et que tu étais mon enfant et que je te grondais comme tu le fais aujourd’hui ?

 - Un couple initie leur petit garçon de quatre ans à la randonnée pédestre. Arrivé près d’un pont enjambant un ruisseau, le petit garçon s’arrête et annonce : « Oh, non ! Je ne veux plus jamais traverser le pont ». A leur connaissance, non seulement il n’avait jamais vu de pont auparavant, mais il ne savait même pas ce que c’était.

 Beaucoup de parents ont envisagé toutes les explications possibles (les rêves, la télévision, les camarades de jeux précoces et même le redoutable « imaginaire débordant »), pour essayer de comprendre l’origine de ces remarques inattendues. Ils ont envisagé toutes explications à l’exception de celle qui est la plus sensée, à savoir, que leur enfant se souvent de ses vie passées, et cela en dépit du fait que ces parents croient également que notre esprit survit après la mort. Vos enfants ne font que vous confirmer ce que vous saviez déjà. Pourquoi tenter désespérément de trouver une autre explication ?

 Les parents demandent souvent ce qu’ils doivent répondre à leur enfant la prochaine fois qu’il leur fera un commentaire aussi « étrange ». Je leur demande alors ce qu’ils ont répondu la première fois. Bien sûr, il faut tenir compte du fait qu’ils ont été pris par surprise, mais en général, ils ont répondu : « Arrête ! », « Tais-toi, tu me donnes la chair de poule ! » ou « les gens vont penser que tu es fou si tu continues à dire des choses pareilles ! » Seulement vingt pourcent des parent voient dans ces commentaires fascinants une occasion unique d’explorer l’esprit et les souvenirs passés de leur enfant, sans parler de discuter avec quelqu’un fraîchement débarqué de l’au-delà.

 Encouragez vos enfants à partager avec vous ce qui leur trotte dans la t^te, apprenez à les écouter et montrez-vous toujours ouvert d’esprit ; c’est de toute évidence un excellent conseil dont devraient tenir compte tous ceux qui ont des enfants. Mais je voudrais aussi que vous les encouragiez dès leur plus jeune âge à vous expliquer les allusions que vous ne comprenez pas. Posez-leur des questions du genre : « Où étais-tu avant de venir ici ?  ou « Qui parmi nous connaissais-tu avant de venir au monde ?  sans juger leurs réponse sou laisser voir votre scepticisme. Vous renforcerez ainsi leur confiance en vous, justifierez la notion voulant que tout ce qu’ils ont à dire est important, et créerez entre vous un espace de dialogue qui durera toute votre vie si vous y prenez garde.

Je suis également prête à parier qu’au cours de ces conversations vous serez étonné de découvrir à quel point vos enfants sont fascinants et tout ce dont ils se souviennent, et que vous vous rappeliez également à leur âge, jusqu’à ce qu’on vous dise qu’il ne faut pas parler de ces choses.

 Les jeunes enfants perçoivent plus facilement que les adultes les esprits, les fantômes, les Guides Spirituels, les Anges et toutes les autres entités qui habitent dans la dimension de l’AU-DELA. Une fois encore, cela tombe sous le sens, car après tout, ils arrivent tout juste de là-bas. S’ils disent voir des gens que vous ne voyez pas ou entendre des vois que vous n’entendez pas, ne leur demandez pas simplement de vous en parler – assoyez-vous ensemble et préparez-vous à avoir une discussion captivante. Demandez-leur de vous décrire leurs « amis imaginaires » pendant que vous y êtes. Il y a de fortes chances qu’ils ne soient pas du tout imaginaires et que vous ayez la chance de côtoyer des petits êtres qui ont l’oreille du monde des esprits.

En fait, l’une des meilleures choses que vous puissiez faire pour votre propre éducation et pour que votre enfant développe sa confiance en lui-même est d’éliminer de votre vocabulaire la phrase « Tu t’imagines des choses ». Premièrement, il est probable que vous vous trompiez. Deuxièmement, je ne sais ce que vous en pensez, mais je n’apprécie pas tellement qu’on me dise que j’imagine des choses quand pour moi ces choses sont bien réelles. Pourquoi les enfants ne souffriraient-ils pas comme nous de se le faire dire constamment ? Je tiens à le répéter : les enfants comptent sur terre parmi les êtres les plus doués sur le plan psychique. Ne l’oubliez pas la prochaine fois que vous tenterez de vous faire convaincre qu’il ne faut jamais se disputer ou se chamailler devant les enfants, comme si un enfant pouvait ne pas savoir ce qui se passe entre ses parents. Ils savent très bien ce qui se passe, même lorsqu’ils dorment – mais je devrais dire – surtout lorsqu’ils dorment, alors que leur esprit spirituel est complètement éveillé. Qu’ils vous entendent consciemment ou non, cela n’a pas d’important. Leur petit esprit subconscient est toujours au courant de tout.

C’est pourquoi je crois qu’il est si important de parler à vos enfants pendant qu’ils dorment. Ne vous inquiétez pas ; ils comprendront ce que vous leur direz. Leur vocabulaire conscient est peut-être limité en raison de leur âge, mais l’esprit auquel vous vous adressez via leur subconscient est éternel et s’exprime avec la même facilité que vous. La sérénité, la sécurité et la guérison que vous pouvez apporter à votre enfant durant son sommeil seront bénéfiques non seulement pour lui, mais aussi pour le lien entre votre esprit divin et le sien. Je sais que cela semble un peu tiré par les cheveux. Mais essayez quand même, tous les soirs pendant deux semaines, lorsque vous vous arrêtez près de leur berceau ou de leur lit pour voir si tout va bien ; cela ne peut pas faire de mal et ne vous prendra que quelques instants, et si j’ai effectivement raison, imaginez tout ce que vous en retirerez !

Tout ce que vous avez à faire est de vous approcher de votre enfant endormi afin qu’il ou elle puisse entendre votre chuchotement sans pour autant se réveiller, puis réciter la prière suivante – ou inventez-en une en choisissant les mots qui vous viennent naturellement : 

« Mon cher enfant, je suis honoré que tu m’aies choisi comme guide et gardien de ton esprit sacré au moment où il entreprend une nouvelle vie sur terre. Je te promets de faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que tu sois toujours en sécurité, en santé, joyeux et en contact avec le Dieu qui t’a créé et qui vit en toi à chaque battement de ton cœur. Je te souhaite de conserver toute la sagesse et le bonheur accumulés au cours de tes vies passées, et de te libérer de la tristesse, de la peur, de la maladie et de la négativité contenues dans ces mêmes vies, afin qu’elles soient dissoutes pour toujours dans la blanche lumière de l’Esprit Saint« . 

Il faut vraiment tout un village pour élever un enfant. Tâchons donc d’inclure tous les enfants du monde dans nos prières et travaillons chaque jour à faire de notre village un endroit meilleur, plus sûr et plus accueillant. 

Extrait du livre : Aller-retour dans l’Au-delà   page 118 – de Sylvia Browne aux éditions Ada 

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CHANGER DE MONDE

Posté par othoharmonie le 8 octobre 2013

CHANGER DE MONDE dans Nouvelle conscience images-a1

Le pouvoir citoyen. Est-ce que cela vous dit quelque chose? Depuis 2007, une communauté supranationale – elle diffuse en 15 langues- réunit des millions de cyber militants à travers le monde. Leur but: « encourager tous les citoyens du monde à se mobiliser pour réduire l’écart entre le monde que nous avons et celui voulu partout par le plus grand nombre » En 24 heures Avaaz peut rallier des millions de voix pour lutter contre une infamie. Certaines luttes sont longues, mais les résultats confirment qu’il y a là une nouvelle forme de pouvoir avec une vision planétaire d’équité, une manifestation concrète de la très jeune ère du Verseau.

Mais si vous êtes inconscient de cette force montante, vous ne pouvez pas y goûter, en faire partie ni y trouver réconfort. Que reste-t-il de nos amours ? La vie de tous les jours. Et pour beaucoup de gens, cette vie de tous les jours est grignotée par des attentes, des envies de plus d’argent, des désirs inassouvis, des conflits et toute une série de fausses obligations dont ils semblent incapables de se dépêtrer. On peut dire alors que leur vie est gérée par le Mental.

Le Mental est un obsédé du temps (le temps c’est de l’argent) Sa théorie : Comme il y a tant à faire, il faut sauver du temps. Pour vivre plus tard. Mais dès que vous sortez de l’emprise du mental, cela devient évident que ce ne sera jamais le temps, qu’il aura toujours quelque chose à faire.

Le Mental- qui est sûrement lié au cerveau gauche- est comme un ordinateur, un agenda intelligent. Merveilleux pour toutes sortes de tâches, mais pour bien vivre, vous avez besoin d’apprendre que vous avez aussi un cerveau droit. Équilibrer le Mental, ne pas lui laisser toute la place, c’est un des bienfaits de la pratique de la méditation. Vivre maintenant, être dans l’expérience, les enfants semblent le savoir spontanément. Les adultes ont plus tendance à l’avoir oublié.

Le cerveau droit semble davantage intéressé à l’expérience en soi, qu’à la comptabilité. Il est impliqué quand on relaxe, médite. C’est avec lui qu’on semble créer, se dépasser, celui avec lequel on vit d’autres espaces. Tant que vous ne réalisez pas que vous pouvez choisir, vous vivez avec le programme par défaut. Celui qui est pressé de cocher sur sa liste pour pouvoir vivre plus tard.

Le mental va dire : « pas besoin de regarder cette main-là, une main c’est fait comme ça ! » Toujours pour sauver du temps, le mental pense à autre chose en écoutant. « Il y a un gros 40% de redondance ». « Ben oui ! Une rose ça sent bon ! Pas besoin d’y mettre son nez » Dans la même lignée de pensée, facile d’affirmer « que la vie c’est toujours pareil, que jamais rien ne change. Le mental se justifie ainsi de courir sans regarder autour, de «trouver ça plate, déprimant au boutte! » Pour finir par croire qu’il est tout seul avec ses problèmes et sa liste de choses à faire. Et que c’est ça la vie ! 

En cette année du Serpent, belle occasion de cesser de se mordre la queue !

Y a-t-il encore quelqu’un qui ignore le rôle joué par nos croyances dans notre vie ? Ben oui! Nos croyances dirigent nos vies. Ainsi, si vous ne croyez pas à l’astrologie, vous vous coupez des forces diffusées par les planètes. Cet automne. Il y a des trigones Scorpion/ Poisson/Cancer. Grande sagesse et compassion que vous pouvez intégrer dans votre vie.

En octobre, pas moins de cinq planètes sont en Scorpion. Cette énergie nous ramène à l’intérieur, dans nos profondeurs. Associées à Neptune en Poisson et Jupiter en Cancer, elles peuvent nous aider à sortir de nos noirceurs, à élargir nos idées, à amener plus de sagesse, d’équité dans nos vies personnelles.

Il faut croire au possible pour le rendre possible. Ah ! Ah ! Bien sûr il ne s’agit pas d’une baguette magique, mais d’une ouverture sur un nouveau mode, autant dire un nouveau monde. Voir que vous pouvez prendre vos distances de votre mental. Ne plus penser qu’il a toujours raison. Oh que non !

Par Diane Sandesh Cadoret, astrologue

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Tranche de vie de Krishnamurti (partie 2)

Posté par othoharmonie le 8 octobre 2013

 

  Tranche de vie de Krishnamurti (partie 2) dans APPRENDS-MOI images

Vendredi 30 mars 1984 

Ce matin, nous descendions sur la route. C’était le printemps et le ciel était exceptionnellement bleu, sans le moindre nuage, le soleil chaud sans excès. On se sentait bien. Les feuilles brillaient dans l’air étincelant. Tout était vraiment d’une beauté extraordinaire. La haute montagne était là, impénétrable, entourée de collines verdoyantes. Comme nous marchions tranquillement, sans trop penser, nous avons aperçu à nos pieds une feuille morte, marquée de jaune et de rouge éclatant, une feuille d’automne. Comme elle était belle, si simple dans sa mort, si vivante, pleine de la beauté de la vitalité de son arbre, de l’été. Elle ne s’était pas fanée. En la regardant de près, on pouvait distinguer toutes ses nervures, sa tige et sa forme parfaite. Dans cette feuille s’inscrivait l’arbre entier. Pourquoi les hommes meurent-ils si lamentablement, dans une telle affliction, dans la maladie, les infirmités du grand âge, la sénilité et cette affreuse décrépitude du corps ? Pourquoi ne peuvent-ils pas mourir naturellement, aussi beaux dans la mort que cette feuille ? Qu’est-ce qui ne va pas en nous ? Malgré le grand nombre de médecins, les médicaments et les hôpitaux, les opérations et tous les efforts de l’existence comme ses plaisirs, nous ne semblons pas capables de mourir dans la dignité et la simplicité, avec le sourire.

 Un jour que nous marchions le long d’un chemin, nous avons entendu derrière nous une psalmodie mélodieuse, rythmée, empreinte de la force immémoriale du sanskrit. Nous étant arrêtés, nous avons vu le fils aîné, nu jusqu’à la taille, qui portait un récipient de terre cuite dans lequel brûlait un feu. Derrière lui venaient deux hommes portant son père mort, dont le corps était recouvert d’un linceul blanc. Tous marchaient en psalmodiant et, comme nous connaissions ce chant, nous avons failli nous joindre à eux. Comme ils nous dépassaient, nous les avons suivis quand ils ont descendu la route, toujours psalmodiant. Le fils aîné pleurait. Ils ont porté le père jusqu’au rivage où ils avaient déjà amassé un grand tas de bois. Ayant posé le corps au sommet de ce tas, ils y ont mis le feu. Tout était si naturel, si extraordinairement simple. Point de fleurs, de corbillard, point de voiture attelée de chevaux noirs. Tout cela se déroulait dans un grand calme, dans une parfaite dignité. Et devant cette feuille surgissaient à l’esprit les milliers de feuilles de l’arbre. L’hiver l’avait conduite de sa branche-mère jusqu’à ce chemin où elle se dessécherait complètement, se fanerait pour disparaître, emportée par les vents, perdue pour toujours. Comme on enseigne aux enfants les mathématiques, l’écriture, la lecture et tout ce qui a trait à l’acquisition du savoir, il faudrait aussi leur apprendre la grande dignité de la mort. Elle n’est pas une chose morbide et douloureuse à laquelle nous sommes confrontés un jour ou l’autre, mais fait partie de la vie de chaque jour – comme le regard que l’on porte sur le ciel bleu ou la sauterelle posée sur une feuille. Elle fait partie de l’apprentissage de la vie, comme la poussée des dents et les maladies infantiles avec leurs fièvres. Les enfants sont doués d’une extraordinaire curiosité. 

Si vous comprenez la nature de la mort, vous n’aurez pas à indiquer que tout meurt, que la poussière retourne à la poussière, mais, sans aucune peur, vous leur expliquerez doucement la mort. Vous leur ferez sentir que vivre et mourir ne font qu’un, ne sont qu’un seul mouvement qui ne commence pas à la fin de la vie après cinquante, soixante ou quatre-vingt-dix ans, mais que la mort est comme cette feuille. Voyez les hommes et les femmes âgés, comme ils sont décrépits, perdus, malheureux, comme ils sont laids. Serait-ce qu’ils n’ont pas compris ce que signifie vivre ou mourir ? Ils ont utilisé la vie, s’en sont servis, l’ont gaspillée dans le conflit sans fin qui ne fait qu’exercer et fortifier la personne, le moi, l’ego. Nous passons nos jours en conflits et malheurs de toutes sortes, parsemés d’un peu de joie et de plaisir, mangeant, buvant, fumant, dans les veilles et le travail incessant. Et, à la fin de notre vie, nous nous trouvons face à cette chose qu’on appelle la mort et dont on a peur. Et l’on pense qu’elle pourra toujours être comprise et ressentie en profondeur.

 L’enfant, avec sa curiosité, peut être amené à comprendre que la mort n’est pas seulement l’usure du corps par l’âge, la maladie, ou quelque accident inattendu, mais que la fin de chaque jour est aussi la fin de soi-même. Il n’y a pas de résurrection, c’est là une superstition, une croyance dogmatique. Tout ce qui existe sur terre, sur cette merveilleuse terre, vit, meurt, prend forme, puis se fane et disparaît. Il faut de l’intelligence pour saisir tout ce mouvement de la vie, et ce n’est pas l’intelligence de la pensée, des livres ou du savoir, mais l’intelligence de l’amour, de la compassion avec sa sensibilité. Nous sommes tout à fait certains que si l’éducateur comprend la signification de la mort et sa dignité, l’extraordinaire simplicité de mourir – s’il la comprend, non pas intellectuellement mais en profondeur – il parviendra alors à faire saisir à l’étudiant ou à l’enfant que mourir, finir, n’a pas à être évité car cela fait partie de notre vie entière. Ainsi, quand l’étudiant ou l’enfant grandira, il n’aura jamais peur de sa fin. Si tous les humains qui nous ont précédés, de génération en génération, vivaient encore sur cette terre, ce serait terrible. 

Le commencement n’est pas la fin. Et nous voudrions aider – non, ce n’est pas le mot juste – nous aimerions, dans l’éducation, donner à la mort une certaine réalité factuelle, non pas la mort d’un autre, mais la nôtre. jeunes ou vieux, nous devrons inévitablement lui faire face. Ce n’est pas une chose triste, faite de larmes, de solitude, de séparation. Nous tuons si facilement, non seulement les animaux destinés à notre alimentation, mais encore ceux que nous massacrons inutilement, par divertissement – on appelle cela un sport. Tuer un cerf, parce que c’est la saison, équivaut à tuer son voisin. On tue les animaux parce que l’on a perdu contact avec la nature, avec les créatures qui vivent sur cette terre. On tue à la guerre au nom de tant d’idéologies romantiques, nationalistes ou politiques. Nous avons tué des hommes au nom de Dieu. La violence et la tuerie vont de pair. Et devant cette feuille morte dans toute sa beauté, sa couleur, peut-être pourrions-nous être conscients au plus profond de nous-mêmes, saisir ce que doit être notre propre mort, non pas à la fin ultime, mais au tout début de notre vie.

 La mort n’est pas une chose horrible, une chose à éviter, à différer, mais plutôt une compagne de chaque jour. De cette perception naît alors un sens extraordinaire de l’immensité.

 Extrait du « Dernier Journal » De J. Krishnamurti (Ed du Rocher)

 

 

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Tranche de vie de Krishnamurti (partie 1)

Posté par othoharmonie le 7 octobre 2013


 Tranche de vie de Krishnamurti (partie 1) dans APPRENDS-MOI 220px-jiddu_krishnamurti_01

Mardi 19 avril 1983

Cet hiver, il a plu presque constamment depuis trois mois. La Californie a un climat assez extravagant. La terre y est noyée de pluies ou subit une sécheresse absolue. Il y a eu de grands orages et quelques rares jours de soleil. Hier il a plu toute la journée et ce matin les nuages sont bas et le temps est plutôt triste. La pluie d’hier a battu toutes les feuilles. La terre est très mouillée. Les arbres et ce magnifique chêne doivent se demander ce qu’est devenu le soleil. Ce matin, alors que les nuages cachent les montagnes et les collines presque jusqu’au fond de la vallée, surgit la question: que signifie être sérieux ? À quoi correspondrait un esprit ou un cerveau très calme et sérieux? Sommes-nous jamais sérieux? Ou vivons-nous toujours dans un monde de superficialité, allant de-ci de-là, nous battant, nous disputant violemment au sujet de choses triviales.

Que serait un cerveau très éveillé, non limité par ses propres pensées, ses souvenirs, ses évocations ? Qui serait libre de toute l’agitation de la vie, de la douleur, de l’angoisse et de la souffrance sans fin ? Pourrait-il exister un esprit totalement libre, qui ne soit pas déformé par les influences, par l’expérience et par l’immense accumulation de savoir ? Le savoir est du temps ; apprendre exige du temps. Pour apprendre à jouer du violon, il faut une patience infinie, des mois d’exercices, des années de concentration fervente. Acquérir un savoir-faire, devenir un athlète, créer un bon moteur ou se rendre sur la lune, tout cela exige du temps. Mais y a-t-il quelque chose à apprendre au sujet de la psyché, de ce que nous sommes, toutes les inconstances, les complexités de nos actions, de nos réactions, l’espoir, l’échec, la peine et la joie, qu’y a-t-il à apprendre dans tout cela ? Ainsi que nous l’avons dit, dans un certain domaine de notre existence physique, il faut du temps pour recueillir le savoir et agir à partir de celui-ci. Serait-ce que nous utilisons ce même principe, ce même mouvement du temps, dans le monde psychologique ? Là aussi, nous nous disons que nous devons apprendre ce qui se passe en nous, nos réactions, notre comportement, nos exaltations et nos dépressions, nos idéations; nous pensons que cette connaissance aussi exige du temps.

On peut étudier ce qui est limité, mais pas l’illimité. Et nous nous essayons alors à étudier le champ entier du psychisme, et disons que cela exige du temps. Mais dans ce domaine le temps est peut-être une illusion, il peut être un ennemi. La pensée crée l’illusion, et cette illusion évolue, grandit et s’étend. Il est probable que l’illusion de toute l’activité religieuse a commencé très simplement, et maintenant voyez où elle en est, avec cet immense pouvoir, ces possessions, cette grande accumulation d’oeuvres d’art, de richesses, et cette hiérarchie religieuse qui exige l’obéissance et vous exhorte à une plus grande foi. Tout cela est l’évolution de l’illusion, son expansion et sa culture qui se sont développées au cours des siècles. Et le psychisme est tout le contenu de la conscience, la mémoire de toutes choses passées et mortes. Nous attachons une telle importance à la mémoire ! Le psychisme est mémoire. Toute tradition n’est en fait que le passé. Nous nous y attachons désespérément, cherchons à la connaître dans tous ses aspects, pensant que cette étude exige du temps, comme celle des autres domaines.

Je me demande si nous nous posons jamais la question d’un arrêt possible du temps – le temps de devenir, le temps de s’accomplir. Y a-t-il quoi que ce soit à apprendre à ce sujet ? Ou peut-on voir que le mouvement entier de cette mémoire illusoire, qui semble si réelle, peut prendre fin ? Si le temps peut s’arrêter, quelle est alors la relation entre ce qui est au-delà du temps et toutes les activités physiques du cerveau, telles que la mémoire, le savoir, les souvenirs et les expériences ? Quel rapport y a-t-il entre ces deux domaines ? Comme nous l’avons souvent dit, le savoir et la pensée sont limités. Ce qui est limité ne peut avoir de relation avec l’illimité. Toutefois, l’illimité peut avoir une sorte de rapport avec ce qui est limité, mais cette communication sera toujours partielle, étroite et fragmentaire. Si l’on a l’esprit mercantile, on peut se demander l’utilité de tout ceci, l’utilité de l’illimité, en quoi cela peut être utile à l’homme. Nous voulons toujours une récompense. Nous vivons sur le principe de la punition et de la récompense, comme des chiens dressés que l’on récompense quand ils obéissent. Et nous sommes presque semblables à eux puisque nous voulons être récompensés pour nos actions, notre obéissance, etc. Une telle exigence naît du cerveau limité.

Le cerveau est le centre de la pensée, laquelle est toujours limitée, en toutes circonstances. Elle peut inventer l’extraordinaire, le théorique, l’incommensurable, mais son invention sera toujours limitée. Voilà pourquoi il faut être complètement libre à l’égard du travail et du labeur de la vie, comme de l’activité égocentrique, pour que l’illimité puisse être. L’incommensurable ne peut se mesurer par des mots. Nous essayons toujours de l’inclure dans le cadre des mots, pourtant le symbole n’est pas ce qui est. Mais nous vénérons le symbole, vivant ainsi toujours dans une condition limitée. Comme les nuages sont en suspens au-dessus des arbres et que les oiseaux se taisent dans l’attente de l’orage, ce matin convient à une réflexion sérieuse, remettant en question l’existence toute entière, les dieux eux-mêmes et toute l’activité humaine. Nos vies sont si courtes, et durant ce petit laps de temps il n’y a rien à apprendre sur le champ du psychisme, le mouvement de la mémoire ; nous ne pouvons que l’observer. L’observer sans mouvement de la pensée, l’observer sans le temps, sans savoir passé, sans l’observateur qui est l’essence du passé. Simplement regarder. Regarder ces nuages qui se forment et se reforment, les arbres, les petits oiseaux. Tout cela fait partie de la vie.

Quand on regarde attentivement, assidûment, il n’y a rien à apprendre. Il n’y a que cet immense espace, le silence et le vide, l’énergie dévorante.

Extrait du « Dernier Journal » De J. Krishnamurti 
(Editions du Rocher)

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La spiritualité

Posté par othoharmonie le 7 octobre 2013

La spiritualité dans SAGESSE images-19

Introduction aux enseignements de la Sagesse éternelle

Le terme « spirituel », généralement associé à une forme ou une autre de religion ou de pratique religieuse, a en fait un sens beaucoup plus large. Depuis les temps les plus reculés, un ensemble d’enseignements spirituels, connus sous le nom de Sagesse éternelle, se transmet de génération en génération, le plus souvent par voie orale et de maître à disciple. Les arts et les sciences d’innombrables civilisations puisent leurs racines dans cet ensemble d’enseignements, qui constitue la « philosophie ésotérique ». Cette philosophie permet également d’éclairer les fondements de toutes les grandes religions du monde.

L’énergie, base de l’univers

L’idée que tout est énergie, vibrant à des fréquences variables, a fait son chemin au point de modifier sensiblement notre perception du monde. La science a aujourd’hui démontré que l’énergie et la matière sont interchangeables, et représentent : deux aspects complémentaires d’une même réalité.

Cette même notion est l’un des fondements de l’ésotérisme, qui réunit en une synthèse les philosophies d’Orient et d’Occident, et peut être considéré comme la science de l’évolution de l’homme et de la nature, du point de vue de la conscience comme des énergies qui la guident. L’ésotérisme nous renseigne sur la structure énergétique de l’univers, et sur le rôle qu’y joue l’homme. Il permet d’entrer en contact avec des énergies émanant de sources élevées, et de s’en servir comme d’un outil d’évolution.

L’ésotérisme se fonde sur le principe que Dieu est la somme de toutes les lois de l’univers et de toutes les énergies qu’elles gouvernent, qui constituent la totalité de ce qui existe dans les mondes manifesté et non manifesté, perceptible et non perceptible.

L’homme, quant à lui, est une étincelle divine, un esprit s’exprimant à travers une âme (ou Soi supérieur) et à travers une personnalité constituée de trois véhicules, les corps mental, émotionnel et physique. Chacun de nous est donc essentiellement de nature divine, même si pour la plupart nous ne reconnaissons ou ne manifestons que de manière embryonnaire ce potentiel divin.

La réincarnation, école d’évolution

C’est par le processus de la réincarnation, c’est-à-dire des vies successives, que nous apprenons à rendre manifeste le divin en nous. A chaque nouvelle naissance, comme les enfants qui entrent à l’école maternelle, nous réapprenons à faire usage de notre potentiel physique, émotionnel et mental, sans connaître pour autant notre véritable filiation spirituelle.

Grâce à l’expérience que nous tirons d’un grand nombre de vies – dans les pays et les civilisations les plus divers, parfois en tant qu’hommes, parfois en tant que femmes -, nous apprenons à travers nos réussites et nos échecs de très nombreuses leçons. Nous avançons ainsi progressivement dans notre voyage évolutif vers la Source dont nous provenons tous, les acquis subjectifs de chaque vie nous permettant de progresser davantage dans les vies suivantes.

A la base de ce système « éducatif » des vies successives se trouve la loi de cause et d’effet (ou karma pour les orientaux), présentée dans la Bible en ces termes : « Tu récolteras ce que tu auras semé ». Dans le langage de la physique, cette même loi est ainsi formulée : « Toute action engendre une réaction égale et opposée ». Chacune de nos pensées et de nos actions constitue ainsi une cause qui, inévitablement, entraînera certains effets, heureux ou malheureux. En comprenant cette loi impersonnelle qu’est la loi de cause et d’effet, en en tirant les conséquences dans notre vie, nous apprenons à faire des choix plus éclairés et, graduellement, nous prenons le contrôle de notre destinée.

Cette maîtrise de soi progressive est marquée par cinq grandes expansions de conscience appelées « initiations », qui nous conduisent chaque fois à une connaissance plus approfondie et à une vision plus inclusive de la réalité et de nous-mêmes. La vie de Jésus peut être comprise comme une représentation symbolique de ces cinq initiations, à travers les étapes de sa naissance, du baptême dans le Jourdain, de la transfiguration, de la crucifixion et de la résurrection.

Une personne ayant reçu la cinquième initiation (la « résurrection ») est appelée un Maître, car elle a traversé toutes les expériences offertes par la vie dans ce monde et, par ce processus, a acquis une maîtrise totale d’elle-même. De ce fait, un Maître n’est plus soumis à la nécessité de se réincarner, mais peut revenir de son plein gré afin de servir l’humanité et le Plan de Dieu.

La Hiérarchie spirituelle

Les Maîtres, qui forment ensemble la Hiérarchie spirituelle, sont les gardiens du Plan divin pour cette planète. Ils ont inspiré à l’humanité ses plus grandes réalisations tout au long de l’histoire, en oeuvrant par l’entremise de leurs disciples dans tous les domaines. Ils guident et enseignent, mais c’est l’humanité elle-même qui, selon la manière dont elle répond à leur enseignement en fonction de son libre arbitre, crée les structures qui forment la base de ses civilisations successives.

A travers l’histoire, chaque fois que l’humanité s’est trouvée face à une crise de grande ampleur, la Hiérarchie spirituelle lui a envoyé un Instructeur pour la guider. Parmi ces grands messagers spirituels figuraient Krishna, le Bouddha, le Christ et Mahomet, pour n’en mentionner que quelques-uns. En cette période particulièrement critique de l’histoire humaine que nous traversons aujourd’hui, la plupart des Maîtres reviennent ensemble dans le monde pour la première fois depuis des milliers d’années sous la conduite de Maitreya, le « Maître de tous les Maîtres », chef de la Hiérarchie spirituelle. Grâce à leur inspiration et à l’extraordinaire stimulation qui résultera de leur présence physique dans le monde, l’humanité construira la civilisation de l’avenir.

Qui est le Christ ?

Dans la tradition ésotérique, le mot « Christ » n’est pas un nom propre mais sert à désigner celui qui est à la tête de la Hiérarchie spirituelle des Maîtres. Maitreya, le Maître des Maîtres, est le Christ depuis environ deux mille ans, et le restera pour la totalité de l’ère du Verseau, soit pendant plus de deux mille ans encore.

Le Christ Maitreya est le « Frère aîné » de la famille humaine : il a pleinement accompli et réalisé son potentiel divin, potentiel qui est latent en chacun de nous et destiné à se réaliser au cours de notre propre évolution. Il vient aujourd’hui nous révéler un nouvel aspect du divin, et guider l’humanité dans la prochaine étape de son cheminement spirituel.

En Palestine, il y a deux mille ans, Maitreya a oeuvré par l’entremise de son disciple Jésus de Nazareth. A partir du baptême de Jésus dans le Jourdain et jusqu’à sa crucifixion, la conscience de Maitreya l’a « adombré », ce qui signifie que Maitreya se manifestait à travers Jésus, avec l’entier consentement de celui-ci. Il s’agit là d’une méthode parfois employée par les Maîtres pour présenter, à travers leurs disciples, un nouvel enseignement à l’humanité. C’est ainsi que Maitreya a pu répandre dans le monde cette grande énergie spirituelle qu’est l’Amour. Jésus, devenu lui-même un Maître, a joué un rôle important pour préparer la voie à l’actuel retour de Maitreya, et sera parmi les premiers Maîtres à se présenter au monde après le jour de la déclaration

Qui est l’Antéchrist ?

Selon les enseignements de la Sagesse éternelle, l’Antéchrist n’est pas un individu qui ferait son apparition à une période donnée de l’histoire, mais une énergie qui se répand avant l’avènement du Christ, pour détruire les structures cristallisées qui pourraient entraver de nouveaux développements dans la société, et préparer ainsi la voie aux forces constructrices qu’apporte le Christ. Bien qu’il s’agisse d’une énergie, l’Antéchrist se manifeste historiquement à travers certains individus : parmi eux ont figuré notamment l’empereur romain Néron et, au cours de ce siècle, Adolf Hitler et quelques-uns de ses proches collaborateurs. A l’issue de la Seconde Guerre mondiale, la défaite des puissances de l’Axe a marqué la fin de la période de manifestation de l’énergie de l’Antéchrist, qui ne refera son apparition que dans trois mille ans environ.

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2012, et l’homme devient Humain !

Posté par othoharmonie le 7 octobre 2013

 

2012, et l’homme devient Humain ! dans En 2012-2013 et après 2016 claude_traks

 

Au journal, nous connaissons Claude Traks depuis une douzaine d’années. C’est un chercheur, un homme engagé, épris de liberté, qui consacre sa vie à l’ouverture des consciences. Nous sommes heureux de lui donner la parole afin qu’il nous parle de son tout nouveau livre.

Propos recueillis par Marjolaine Watelle 

  Claude, en un mot, quel message principal souhaitez-vous passer avec ce nouvel ouvrage* ? 

Je prétends ni plus ni moins apporter un message nécessaire à la libération de l’Humanité ! Je comprends que cela puisse faire sourire, mais concentrez-vous plutôt sur le message, car il est d’une logique indestructible et compréhensible pour toutes intelligences. 

Attention toutefois car c’est un message très difficile à accepter : il remet en question quasi tous les fondements de notre culture judéo-chrétienne ! C’est donc très difficile à accepter pour l’orgueil car il nous demande de reconnaître que l’on s’est trompé ! 

EVOLUER, C’EST RECONNAITRE QU’ON S‘EST TROMPÉ ! _ L’homme doit et est en train de faire un saut dans son évolution sans précédent, sinon il va s’autodétruire. Il va sauter de sa nature d’homme à celle d’être humain en « sautant » quelques étapes ! Un être humain, c’est un homme ou une femme qui a intégré son côté féminin, mais attention sur la notion de « féminin » car notre culture nous ment sur la nature même du féminin et du masculin. Je donne toutes les infos dans mon livre. 

  La question principale qui vient à mon esprit, lorsque je lis votre incroyable livre, c’est : comment avez-vous accès à autant d’informations ? 

Depuis toujours, je ne m’intéresse qu’à une chose : identifier les graines des problèmes de notre société. J’ai eu la chance d’approcher de nombreux chercheurs de vérité, et j’ai pu partager leur point de vue sur cette question. Les techniques chamaniques pour communiquer avec les êtres de l’invisible ont été une source déterminante. C’est grâce à elles que j’arrive à communiquer, de manière relativement précise, avec les Déesses qui sont en train de reprendre le pouvoir dans cette Humanité. Ce n’est pas du channelling car on ne nous « dicte » pas un message. Ce sont de réelles discussions ! 

Ces Déesses nous ont donné le feu vert pour lâcher ces informations, mais pas avant 2012. Le but était qu’un maximum d’âmes arrive à ces conclusions par elles-mêmes ! _Car ces infos font vraiment partie des conclusions auxquelles toute âme va arriver un jour ! Ce sont des clefs pour préparer nos Esprits à ce qui arrive. 

Que ce soit ou non en 2012, ce saut, de notre niveau de conscience à un autre, va se produire. L’accélération se fait d’ailleurs sentir très fort chaque jour. Ce qu’il faut changer c’est surtout nôtre État d’Esprit. 

Plus que jamais, la manière dont on voit le monde, dont on le comprend, influence la manière dont ce monde se présente à nous. 

Le moment est arrivé de vraiment vivre ses priorités et de « tâcher de n’avoir qu’une seule attache » : sa petite voix intérieure ; et ; au delà : ce qui fait l’identité de notre Soi, ce qui nous rend unique, notre propre Essence éternelle. Écouter sa petite voix c’est aussi mettre de l’ordre dans son intellect, dans ses croyances, dans ses priorités au jour le jour. Car notre Divinité intérieure est habituée à vivre dans un environnement, avec certaines croyances et Lois qui sont l’essence même de son identité éternelle. Et c’est de l’état d’Esprit de cet environnement dont ce livre parle. A la Lumière de la psychologie, ce livre nous explique en quoi les piliers des modes de vies qui sont à l’exact opposé des piliers de vie patriarcaux, sont les graines les plus saines pour une évolution optimum. 

C’est la compréhension de cela qui libère ! Car la vraie guérison inclut le fait de se guérir des croyances, modes de vie et logiques des cultures « dites » patriarcales. « Dites » car notre culture judéo-chrétienne-musulmano-bouddhiste nous donne une fausse image de ce qu’est la nature éternelle du patriarcat masculin ! 

  Que préconisez-vous pour un monde meilleur ? 
« Tu veux sauver le monde ? Sauve-toi, toi-même ! » Il faut évoluer au plus vite en vivant dans des conditions où l’on peut mettre son évolution en priorité. 

Chaque fois qu’un de nous fait un pas, il entraîne toute l’Humanité avec lui ! Nous sommes tous et toutes des petits Dieux et Déesses en vacances sur terre Gaïa. 
L’Eglise a modelé nos cultures afin de nous éloigner de nos pouvoirs Divins car elle trouve qu’il est trop dangereux pour le commun des mortels de développer ses pouvoirs. 

A nous de nous replonger dans ces cultures plus « Divines » afin de faire naître en nous nos pouvoirs psychiques surhumains qui feront la différence ! 

Quelques êtres peuvent changer le cours des choses, il en a toujours été ainsi ! Il est important de rêver le monde que l’on désire et de partager cette vision ! Cette vision doit être la plus précise possible, avec notamment des lois et des modes d’organisation pour l’accompagnement des enfants, qui soient les plus proches des lois divines (selon notre propre jugement). 

Bien sûr, il est important de vivre le plus en harmonie possible avec cette vision, même si on ne l’incarne pas totalement. L’idéal est de créer des petites tribus d’êtres à forte personnalité qui fabriquent ensemble un vaisseau de Lumière de groupe. Une tribu sans autre hiérarchie que celle du cercle, où chacun peut bénéficier d’autant d’isolement qu’il le désire. 

En ce qui concerne l’Ascension de l’Humanité qui entraînerait chaque individu dans l’Ascension, que cela soit en 2012 ou pas, l’essentiel de la préparation est intérieure. Vous pouvez fabriquer des bunkers et faire des provisions de nourriture, rien de nous évitera « la guérison de gré ou de force ». En effet, tout ce qui en vous est en harmonie avec la culture dite patriarcale sera transmutée. Cela sera comme un portail, un filtre par lequel nous passerons tous ! 

  Le titre de votre livre évoque directement 2012, quelle est votre vision sur cette année ? 
Nous vivons une période très spéciale qui n’arrive que tous les quelques milliards d’années. D’ici à décembre 2012, les fruits de tous nos efforts seront démultipliés. Chaque pas et choix nous rapprochera ou nous éloignera un peu plus de notre Divinité intérieure. Bien sur, chacun sa voie, mais le but ultime de chaque âme est d’un jour se reconnecter avec son Esprit originel après le long voyage de l’âme dans l’illusion de la dualité. 

La période que nous vivons est comme un escalator mécanique. L’énergie vitale (Bovis) va doubler entre le 21 décembre 2011 et 2012 ! Il suffit de se tenir debout (le plus en harmonie possible avec ses valeurs), d’être présent (en acceptant ses émotions et en leur parlant), de vivre nos priorités et nous évoluerons autant en quelques jours que nous ne l’aurions fait en quelques années dans une période classique. 
Le 21 décembre 2012 a été retenu comme date pour faire ce bond évolutionnnel, mais si le nombre de personnes prêtes à faire ce bond consciemment n’est pas suffisant, cette date sera repoussée. A cette date, l’augmentation de fréquence s’arrêtera ! A travers ce bond, nous sortirons du rêve (le maya) dans lequel nous sommes. 

Le maya est une espèce de jeu vidéo auquel sont raccordés tous nos sens, notre intellect et notre corps émotionnel. On pourrait comparer cela à un programme de simulation pour que les Divinités en herbe puissent apprendre à manier leurs pouvoirs sans créer de souffrances inutiles dans la création. 

Dans ce programme on nous fait vivre les souffrances qui pourraient être évitées si l’on vivait plus proche des Lois et modes de Vies de l’Amour. Il existe en effet des modes de vie, des moyens d’élever les enfants qui donnent au potentiel de chacun toutes ses dimensions. _ Ainsi, ce programme fonctionne en circuit fermé, on pourrait appeler ce réseau « la matrice ». Le jeu arrive au bout de ses programmations : nous entrons dans une période où c’est nous qui écrivons la suite. « Notre famille de Lumière » regarde ce jeu vidéo comme si c’était la série TV/jeu vidéo la plus passionnante qui soit. Elle crée des personnages, leur donne toutes sortes d’obstacles et d’opportunités afin qu’ils apprennent au mieux l’importance des Lois de l’amour. En effet, si on veut avoir le plus de pouvoirs Divins possible, il suffit, de se rapprocher le plus possible de l’environnement dans lequel l’être Divin est habitué à évoluer. 

Ce que nous pouvons faire maintenant, c’est la même chose que papa Dieu et maman Déesse en créant à l’intérieur de nous le monde que nous voulons à l’extérieur. Dans cette période unique, on peut donc… 

1/ Créer à l’intérieur la vision du monde dont on rêve. Pour cela, chacun doit comprendre que les « cultures » des mondes divins sont exactement à l’opposé des mondes à cultures patriarcales. 

2/ Être le plus conscient possible des différences qui existent entre notre rêve et notre « réalité » et bien sûr tendre vers le fait de limiter ces différences. 

3/ Mettre en harmonie le plus possible nos croyances, nos modes de vie et nos logiques avec les Lois de l’Amour et donc les modes de vie que nous appellerons « matriarcales androgynes ». Je continue d’employer le mot matriarcal vu que notre culture utilise ce mot pour faire référence aux cultures mariales. Dans cette société les hommes et les femmes étaient vraiment égaux. Le travail sur l’évolution constante, le respect de l’environnement et l’accompagnement des enfants étaient au centre de tout. 

4/ Préparer ses différents corps à des fréquences les plus élevées possibles, en échappant le plus possible à toutes ses habitudes, manger le plus léger possible. 

Il existe 3 moyens de passer dans les mondes Divins : 
a/ Avec son âme, son Esprit et avec ses différents corps. 
b/ Avec son âme son Esprit mais sans son corps physique. 
c/ Sans son âme et sans son corps physique mais avec son Esprit qui est éternel. 

L’idéal c’est de renforcer cette vision, en la visualisant dans des petits groupes de plus ou moins 13 personnes qui représentent chacune l’une des polarités de la création, l’un des 13 signes des zodiaques (Et oui, il y en a 13 !). 

Chacun de ces groupes va visualiser sa propre Humanité et si elle est assez proche des Lois de l’Amour et qu’assez d’êtres visibles ou invisibles avec une puissance de concentration y adhèrent, ce rêve deviendra réel. Bien sûr, la vision existe dès qu’une personne la porte, mais la force du groupe est l’une des clefs ! 

De telles visions peuvent vraiment influencer l’inconscient collectif et sont l’une des meilleures façons de « rendre ce monde meilleur » ici et maintenant. Car la plupart des hommes sont manipulés à partir de l’invisible, donc c’est là qu’il faut agir ! 

Alors, que tout ceci soit vrai ou pas, vivez cette année comme si c’était la dernière, OSEZ vous mettre en danger pour vivre toutes vos priorités en restant le plus proche possible de vos valeurs profondes… Et vous serez toujours gagnant ! 

Pour le reste, je vous conseille vraiment de lire ce livre… L’auteur est : Claude Traks :  Si c’est trop cher pour vous, vous pouvez proposer ce que vous voulez sur www.claudetraks.com et je vous l’envoie… 

N’oubliez pas que votre Esprit est immortel et que le but du jeu est justement de déterminer : qu’est-ce qui en nous est immortel ? 

Malgré les apparences, nous nous aimons tous et toutes depuis et pour l’Eternité.

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LA BEAUTÉ DE DIEU

Posté par othoharmonie le 6 octobre 2013


 LA BEAUTÉ DE DIEU dans Channeling kryeon12

Kryeon canalisé par Lee Carroll

Salutations, chers Êtres Humains, je suis Kryeon du Service Magnétique. Nous vous répétons que les énergies d’ici sont douces. C’est un temps de réflexion. C’est un temps pour l’énergie. C’est un temps pour examiner. Il y en a qui ont l’impression que le channelling est inapproprié. Donc, je vais commencer par vous répéter ce que j’ai déjà mentionné maintes et maintes fois. Le channelling est la manière dont les Êtres Humains communiquent avec l’Esprit, et vice versa. Pendant que j’explique ceci, quelques-uns parmi vous commencent à ressentir la douceur de l’Esprit, autour d’eux. Le simple fait de votre présence ici, signifie que vous donnez la permission d’être touchés. Si vous ne le voulez pas, votre volonté sera respectée intégralement.

Si vous le permettez, vous serez touchés d’une manière qui sera particulière à votre individualité. Ces énoncés n’ont pas pour but de créer de la controverse. Aucune des écritures ou Saintes Écritures de cette planète ne fut écrite par Dieu. Elles furent toutes écrites par des Êtres Humains, sous l’influence de l’Esprit [NDT - Selon ma perception, Esprit = notre propre divinité intérieure]. Quelques-unes des plus profondes écritures furent faites par des Êtres Humains qui étaient en prison, peut-être quelques semaines avant leur mort. Pourtant, leurs plumes écrivaient à quel point ils étaient dans une joie et une paix profondes. Chers Êtres Humains, c’est ce que vous appelez « le channelling ».

Avez-vous déjà eu les larmes aux yeux, en entendant une musique sublime, ou en contemplant l’oeuvre d’un grand peintre ? Oui ? Cela signifie que l’artiste était en contact avec l’Esprit. Là encore, c’est du channelling. C’est un phénomène qui est commun aux femmes et aux hommes. Parmi vous, il y a des personnes qui sont spécialisées dans la guérison, et vous savez très bien ce que je veux dire. Je sais qui vous êtes. Bénies soient ces personnes qui ont ouvert leur coeur et qui ont pu canaliser leur pouvoir de guérison. Elles ont permis que l’Esprit guide leurs mains durant le processus de guérison. C’est du channelling.

Nous revenons souvent, afin de vous parler d’une manière qui vous est familière, autant aux femmes qu’aux hommes. Ce message ne provient pas de l’homme qui est en face de vous. Non, il se tient en retrait, et il permet à Kryeon de « tenir le plancher », pour ainsi dire. Je suis Kryeon. C’est le nom actuel sous lequel vous m’identifiez. Il est important que vous compreniez certaines choses au sujet de Dieu. Nous sommes éternels. Il n’y a ni féminin ni masculin ou les deux, selon votre choix, dans cet amour pur et magnifique. C’est ce que je représente. Il y a plusieurs sortes de channellings de Kryeon. Les deux sujets principaux se rapportent à l’énergie et à l’éducation. Lorsque nous parlons d’énergie, vous écoutez et ressentez. Quand nous parlons d’éducation ou formation, nous vous faisons des suggestions. Nous allons aborder les deux sujets, au cours de ce channelling. Commençons par le sujet de l’énergie.

Parlons de votre coeur. Posons-nous quelques questions et observons des faits. Ce n’est pas le moment de prendre des notes, car nous allons discuter de choses profondes. Permettez-moi de vous les présenter de manière à ce qu’elles restent gravées dans votre coeur. Je souhaite vous parler personnellement, de coeur à coeur. Commençons par examiner le mystère et la majesté de Dieu. Plus de 85 % de l’humanité à déjà entendu parler d’un Dieu quelconque. Ce n’est pas un phénomène local, moderne et temporaire. C’est une majorité impressionnante. Ces Êtres Humains croient qu’il y a un Dieu créateur. Qu’est-ce que cela signifie pour vous ? C’est intuitif et incorporé dans votre structure cellulaire. Les Êtres Humains cherchent – instinctivement – le Créateur, et le résultat est majestueux. Quel est le mystère de Dieu ? Regardons un peu ce que l’humanité recherche.

Venez avec moi et regardons la Création des univers. Quel mystère ! La science ne comprend pas vraiment comment le tout fut créé. Pourtant, ces univers sont pleins de physique quantique. Pouvez-vous imaginer que vous êtes là, en train d’observer la création de cette splendeur ? Mystérieux, n’est-ce pas ? Le spectacle est de toute beauté. Vous voyez les voûtes célestes en cours de création. Vous voyez toute cette activité qui a littéralement duré des milliards d’années. Vous voyez également la naissance et le développement de votre propre système solaire : les planètes, les lunes, la ceinture d’astéroïdes, etc. Nous pouvons aussi voir le début de la vie sur Terre, ainsi que les cycles où la vie a cessé et recommencé. Oh, le mystère de Dieu doit être grandiose ! Le Créateur est magnifique. Tous les Êtres Humains ressentent l’amour de Dieu, au fond de leurs coeurs ou dans leur for intérieur. Ils ressentent une sorte d’énergie parentale. C’est pourquoi l’on fait souvent référence à Dieu comme étant un père ou une mère céleste, comme des parents qui débordent d’amour inconditionnel pour leurs enfants.

Vous souvenez-vous du temps où vous étiez un enfant… Du temps où vous n’aviez aucun souci en rapport avec les besoins essentiels de la vie dans un corps physique ? Vous saviez que vos parents s’occupaient de tout ce dont vous aviez besoin. La plupart d’entre vous ont vécu cette enfance. Les leaders religieux vous diront que c’est l’amour de Dieu qui est toujours prêt à vous tendre la main, comme une bonne mère ou un bon père. Regardez le grand nombre de lieux ou d’endroits où vous pouvez adorer Dieu. De superbes structures sont érigées aux quatre coins de la Terre. Dieu doit certainement être grand et imposant, pour mériter une telle adoration. La majorité de la population mondiale va s’agenouiller dans ces lieux de culte, afin de lui rendre hommage. Toutefois, Dieu semble être intouchable, intangible. Dieu est au Ciel, et les humbles humains sont sur le plancher des vaches. Selon les apparences qui sont parfois trompeuses, il semblerait que Dieu peut écraser les minuscules êtres humains, comme s’ils étaient de vulgaires insectes.

La pensée prédominante de l’humanité dit que personne ne peut toucher le visage de Dieu. En effet, c’est une philosophie qui est très sensée, si l’on tient compte de la limitation 3-D des divinités incarnées. Comment comprendre le mystère de Dieu, puisque cela appartient à Dieu ? Le mystère de la Création appartient à Dieu ! Il semble que vous êtes l’une des choses qui ont été créées par Dieu. Voilà pourquoi il est un intouchable.

Parlons maintenant de la communication avec Dieu. Comment pouvez-vous communiquer avec lui ? Le pouvez-vous ? Vous êtes encore dans le brouillard, car il y a tellement de doctrines qui vous donnent une foule d’informations à ce sujet. Dans quelques-unes de ces doctrines, vous devez aller voir une hiérarchie de personnes qui sont spécialisées dans ce domaine, afin qu’elles servent d’intermédiaire à la communication entre Dieu et vous. D’autres vont à des écoles spécifiques. D’autres vont lui dédier leurs vies. D’autres iront même jusqu’à marier Dieu, afin d’être en mesure d’intercéder auprès de lui, en votre faveur. Oh ! Le mystère de Dieu semble réellement « un vrai et grand mystère ».

Chers Êtres Humains, je viens de vous définir cinq attributs du mystère de Dieu. Avez-vous remarqué que ces attributs, mes cinq définitions de ces attributs, ont indirectement dominé cette planète pendant des millénaires ? Il est vrai que les groupes religieux les ont enseignés selon leur vérité, mais c’était, pour ainsi dire, du « pareil au même ». En réalité, la structure était toujours la même. Dieu a tout créé. Dieu est la mère ou le père, et vous êtes toujours un enfant, sous la « domination généralement bienveillante » de Dieu. Donc, vous lui devez une sorte de vénération ou adoration. C’était la manière habituelle ou usuelle de communiquer avec Dieu. Il en était ainsi, au moment où vous êtes nés. Pour un bon nombre d’entre vous, il en est encore ainsi. C’est une attitude dite sacrée qui n’a pas changé.

Regardons ce qui a été dit. Même si vous percevez Dieu d’une manière différente de ceux et celles qui font encore partie des cinq attributs, ne vous méprenez pas. Dieu est grandiose. Dieu est magnifique. Dieu est amour. Dieu est le créateur de tout ce qui est. Il doit être, à tout le moins, « abracadabrant, giga-exceptionnel », etc. Il est maintenant temps de regarder ces cinq attributs sous la lumière ou la connaissance de la « vraie » vérité.

Une réalité que plusieurs parmi vous commencent à ressentir. L’entendement de notre message de ce jour se rapporte principalement à l’énergie dans laquelle vous baignez, plutôt qu’à l’information nouvelle. À partir de cette entité qui est appelée Kryeon… Celle qui, à vos yeux, est une représentation du corps de Dieu – en ce moment – selon votre coeur, vos oreilles et vos yeux. Voici une vérité absolue : « Vous Êtes des Créatures Divines ! » Vous provenez directement du Ciel ou des Cieux (selon l’entendement humain), puisque vous êtes une partie intégrale et complète du corps de Dieu. Oh, vous n’osez peut-être pas, essayer d’accepter et d’intégrer cette vérité absolue, car l’on vous a enseigné et vous avez enseigné, depuis de multiples vies dites antérieures, que vous étiez des êtres déchus, dès la naissance. Ceci est complètement faux. C’est l’un des pires mensonges de toute l’histoire humaine. Une fausseté qui dit que Dieu va vous rejeter du revers de la main si vous ne faites pas quelque chose pour lui. Comment les Êtres Humains en sont-ils venus à avaler une telle couleuvre, alors que l’amour de Dieu est une composante de leur structure cellulaire. C’est l’amour de la Famille divine. S’il vous plaît, ouvrez votre coeur et votre intuition, puisque ce message vous parle d’énergie, d’amour et de beauté.

Vous, les âmes ancestrales de cette planète, sachez qu’à chaque fois où vous êtes revenus, j’étais avec vous. De mon côté du voile, j’ai vu les transformations, j’ai vu l’énorme travail que vous avez effectué et que vous effectuez encore. Lors de vos réincarnations, le même scénario se répétait. Je vous demandais si vous étiez vraiment décidés à retourner dans cette sorte de « fosse de goudron », je vous rappelais que ce n’était pas une sinécure. En outre, vous devez laisser tomber plus de la moitié de votre divinité derrière vous, quand vous vous réincarnez. Je vous disais que vous ne vous souviendriez même plus que vous êtes divins, que vous êtes une partie de Dieu. Je vous disais que vous alliez m’oublier… Et vous me disiez : « Oui, je le sais, mais nous avons commencé la création d’un chef d’oeuvre sur cette planète, et nous voulons la terminer. Nous ne voulons pas manquer la fin. » Vous me disiez que vous étiez en amour avec la planète Terre et les Êtres Humains.

Je vous remémorais le fait que la plupart des Êtres Humains n’arrivent pas à effectuer un éveil de conscience, au cours de leurs vies incarnées. Ils restent endormis ou hypnotisés par le matériel et le corps physique. Vous me répondiez que vous vouliez réessayer. Vous me disiez : « Si je réussis, si je m’éveille, je vais devenir un Être Humain puissant. Un Être Humain qui a finalement allumé sa propre lumière divine. Le royaume de mes pensées et mon corps physique seront différents. Je vais avoir la faculté d’aimer chaque Être Humain, puisque je vais voir sa propre divinité intérieure, cachée derrière son masque humain. »

J’étais là, et je voyais des parties de Dieu qui s’incarnaient. C’est la vérité. Vous souvenez-vous ? Nous étions côte à côte, et nous observions la création. Oh ! C’était magnifique. Nous avons vu des univers qui partaient et revenaient, puisque le temps n’existe pas. Donc, vous n’êtes ni vieux ni jeunes. Tout est comme une rivière de beauté qui coule éternellement. Vous souvenez-vous du moment où votre système solaire fut créé ? Vous aviez deux soleils, mais vous en avez perdu un. Vous souvenez-vous de la vue spectaculaire des planètes en transition ? Je m’en souviens, puisque vous étiez tout près de moi. Nous avons observé la formation de la Terre et de la grille magnétique. La Terre a patiemment attendu votre arrivée. L’on pourrait dire qu’elle était comme un aliment astral et divin, en train d’être cuisiné pendant quatre milliards d’années (rires de Kryeon). Vous n’étiez pas impatients.

Lors de vos méditations, est-ce vous ressentez parfois le Soi-supérieur, l’énergie de la mère et du père ? Avez-vous l’impression d’être chez vous ? Si oui, cela signifie que vous ressentez ce que vous êtes. Vous reprenez votre enfant intérieur, et vous ne vous souciez plus de ce qui va arriver. Vous êtes calmes et confiants. Je vous suggère de faire confiance à ces sentiments, puisque vous recevrez toujours des indications au moment opportun. Tout est approprié. Vous n’êtes pas venus ici pour souffrir. Il n’y a aucun écrit ou contrat qui dit que vous êtes venus ici pour souffrir. Connaissez-vous des parents qui enverraient volontairement leurs enfants dans un lieu de souffrance ? Feriez-vous une telle chose à vos propres enfants ? Alors, pourquoi un Dieu aimant le ferait-il ? En réalité, vous êtes vos propres parents, sauf que vous avez scindé votre totalité ; un Être Humain et un Soi-supérieur. Il y en a parmi vous qui commencent à le comprendre. Ils ont découvert la manière de toucher leur Soi-supérieur, afin de rétablir la connexion divine.

Que dire de l’adoration ? Permettez-moi de vous dire ce que cela signifie, de notre point de vue. Les Êtres Humains ressentent la majesté de Dieu, puisqu’ils ont déjà habité dans cet endroit majestueux. Les Écritures disent que les Êtres Humains sont créés à l’image et à la ressemblance de Dieu. Cela peut-il être plus clair ? L’image de Dieu ? En effet, vous êtes l’image de Qui et de Ce que vous êtes. Comment est-ce qu’un Dieu ou une Déesse (selon votre choix) pourrait se créer sans être sa propre image ? L’image n’est pas celle du corps humain… Elle est celle de la splendeur et du mystère de Dieu. Voilà ce qu’est l’image. Chaque Être Humain est une image de cette réalité divine.

Les architectes qui ont créé ces édifices d’adoration ont simplement copié le souvenir de leur propre majesté. Donc, si vous allez dans l’un de ces édifices pour adorer Dieu, est-ce que cela signifie que vous aimez réellement et sincèrement Dieu ? Si oui, et que vous regardez ce que je viens de vous dire, alors vous êtes en amour avec vous-mêmes. Les Êtres Humains n’aiment pas cet aspect. Ils n’aiment pas aller dans une maison de prière, afin de prier leur propre divinité ou prier leur « soi-même » au lieu de Dieu (sourire de Kryeon). Ce n’est pas ce que nous suggérons. Nous vous proposons une action qui est plus en harmonie avec votre réalité. Pourquoi ne pas vous regarder dans le miroir, et dire avec la force de l’humilité : « Je Suis Ce que Je Suis ! Je Suis en amour avec le Dieu qui est en moi. Je m’aime. J’aime la créature que Je Suis. »

Votre mental va peut-être vous rappeler vos échecs et vos objectifs ratés. Vous ne faites peut-être pas toujours les choses de la bonne manière. Oh, vous êtes vraiment des Êtres Humains ! Cette mentalité n’a pas de rapport avec ce que nous vous disons. Comment voyez-vous l’image ? Pouvez-vous voir l’image ? Pouvez-vous aller dans une cathédrale somptueuse, regarder sa majesté, et dire : « Ceci est ma maison ! Maintenant, je me souviens. » ? Savez-vous pourquoi je suis ému en ce moment ? C’est parce que l’énergie actuelle est propice à l’activation de votre mémoire divine. Vous pensez que Dieu est intouchable ? Non ! Vous touchez sans cesse ces parties de Dieu qui représentent votre majesté. Chaque fois où vous touchez votre Soi-supérieur, vous touchez le visage de Dieu. L’on vous a enseigné qu’il est intouchable et que vous ne deviez pas tenter de le faire, mais c’est faux.

Si seulement vous aviez su. Si seulement vous aviez su. Lorsque vous entrez en méditation et que vous dites : « Cher Dieu, laisse-moi trouver la main de mon Soi-supérieur », est-ce que vous réalisez que l’énergie de votre intention devient un catalyseur ? De l’autre côté du voile, votre Soi-supérieur vous tend la main depuis votre naissance. Les anges chantaient autour du lit de votre naissance, attendant de créer la synchronicité que vous méritez. Ne permettez jamais à qui que ce soit de vous dire que vous ne le méritez pas. Vous méritez le souvenir de votre origine divine, vous méritez de vivre en paix, vous méritez de recevoir les solutions à vos problèmes, vous méritez de vivre longtemps sur cette planète [NDT - Si tel est votre choix], vous méritez d’avoir le coeur en fête. Est-ce que vous vous souvenez de moi ? Commencez-vous à vous souvenir de moi ? Je suis en amour avec vous. Cette nouvelle énergie est très profonde, et elle touche les entités comme moi, qui sont de l’autre côté du voile. C’est la première fois qu’une telle opportunité se présente sur Terre. Votre ADN commence à s’accorder à un degré qui n’a jamais été aussi élevé. C’est du jamais vu sur cette planète. Votre divinité commence à s’éveiller. Cette énergie est abondante dans les salles de réunions comme celle-ci, et elle imprègne celles et ceux qui sont en train de s’éveiller.

Que dire de la communication ? C’est ce que, vous et moi, sommes en train de faire. Pensez-vous que la communication actuelle est à sens unique ? Si oui, c’est votre limitation 3-D qui vous fait penser ainsi. En ce moment, j’entends et je ressens l’amour. J’entends presque 500 voix qui commencent à se souvenir. Si cet enseignement vous est étranger, alors, pourquoi ne pas lui donner le bénéfice du doute ? Qu’avez-vous à perdre ? Je ne vous demande pas de me croire sur parole. Ne vous laissez pas avoir par ces instants où les émotions sont peut-être en train de vous bouleverser. Voici ce que nous vous suggérons. Dès que vous le souhaiterez, trouvez un coin tranquille et entrez en communication profonde avec vous-mêmes. Demandez à l’Esprit si vous êtes vraiment une partie de la Création, une partie de Dieu [NDT - Personne ne sera là pour rire de nous ou rouler les yeux, si rien ne se passe, huummm, huummm.]

Il se peut très bien que vous receviez une réponse. Oh ! La réponse ne viendra pas d’une voix physique. En réalité, vous venez d’effectuer une première. Vous venez de donner, pour la toute première fois, la permission aux anges de toucher votre coeur. Je parle des anges qui sont venus pour vous soutenir, pour vous épauler. Ceux qui ont marché à côté de vous pendant toute votre vie. Vous pouvez me dire : « Kryeon, je sais, je sais. Je parle souvent à Dieu et aux anges. » Ah oui ? Vraiment ? Est-ce que vous leur parlez réellement avec votre âme à nue ou de la manière qui vous a été enseignée ? Pensez-y bien ! Le moment est maintenant venu d’ouvrir la porte et de communiquer avec votre propre divinité. Votre propre divinité, non pas celle que les autres vous ont enseignée. Ce message vous est présenté en tout amour. Il respecte et honore tous les systèmes de croyances. L’on pourrait dire qu’il a pour but de « cerner » le mystère et la majesté de Dieu.

Notre message de ce jour est totalement dédié à votre mémoire endormie dans la limitation humaine. Il cherche à raviver ou ranimer votre mémoire divine. Celle qui sait, sans l’ombre d’un doute, que vous êtes une partie de Dieu. Initiez le processus qui va permettre à votre structure cellulaire de montrer votre propre divinité. Oserez-vous le faire ? Si oui, cela va changer votre vie. Parmi cet auditoire, il y a des shamans qui sont venus ici, sans aucune raison personnelle. Leur but est simplement de maintenir ou soutenir cette énergie pour votre bénéfice, afin que vous commenciez à vous souvenir. Ils travaillent en équipe avec nous. Ils savent que le moment est propice pour les éclairs de conscience intérieure. Ce n’est pas une métaphore. Ils sont « physiquement » ici, assis sur le plancher ou sur des chaises. Ils se souviennent des tribulations et des épreuves de leur prise de conscience divine. Bénis soient-ils, puisqu’ils sont ici pour vous.

L’intention de notre message est de vous rappeler que la compréhension du mystère et de la majesté de Dieu est inscrite dans chacune des milliards de cellules ou molécules de votre ADN. Votre nom individuel et divin est inscrit dans votre ADN. Évidemment, ce n’est pas le nom du rôle humain que vous jouez actuellement ou celui de vos multiples vies dites antérieures. Je parle de votre nom qui a toujours existé, qui toujours existe, et qui toujours existera. Vous êtes une partie intégrale des Créateurs de la Terre. Est-ce que cela vous semble sensé, raisonnable ? Vous ne pourrez peut-être pas le comprendre avec l’intellect, car les questions et réponses ne sont pas là, dans cette manière linéaire de procéder. Pourtant, la vérité est là, dans vos coeurs.

Nous vous invitions à commencer ce processus, afin de constater que Dieu est beaucoup plus majestueux que ce que vous pensiez, et vous en faites partie. En outre, c’est vous qui faites le travail sur Terre. Voyez-vous pourquoi nous venons symboliquement vous baigner les pieds ?

Et c’est ainsi.

Kryeon

Publié dans Channeling, DIEU, En 2012-2013 et après 2016 | Pas de Commentaire »

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