LA LIBÉRATION INTÉRIEURE CLÉ ESSENTIELLE DE NOTRE GUÉRISON
Posté par othoharmonie le 11 novembre 2013
Rencontres
Je n’arrive plus à me détendre, je me sens remplie de violence, j’ai sans cesse mal au dos, je fume, je bois trop, je suis épuisé, le stress me bouffe, j’étouffe, j’ai peur, je me sens si mal, si seul, mon corps me pèse…”. Ces cris du corps et de l’âme, soufflés sur ma table de thérapeute énergéticienne par des femmes et des hommes déconstruits par leur activité professionnelle m’interpellent durement.
Mais enfin, quelle place laisse-t-on à l’Être au sein de nos organisations, de nos entreprises? L’ampleur que prend aujourd’hui la souffrance au travail* dans un environnement économique qui génère tellement de chômeurs angoissés par leur devenir, est un de nos grands paradoxes sociétaux.
Cette espèce de trou noir dans l’intelligence managériale de nombreux dirigeants, cadres et petits chefs de tous ordres, pointe le peu de respect porté aujourd’hui à la valeur intrinsèque du salarié, supposé être co créateur de ressources, de valeurs. Une absence de révérence à l’importance de l’Autre, le collaborateur. Et surgit le maître-mot, collaborateur et sa définition: personne qui travaille de concert avec un ou plusieurs individus à une œuvre… La simple analyse de cette phrase et de ses projections donne le vertige, tant nous sommes éloignés de la notion d’œuvre, résultat d’un travail communautaire… Que penser des situations d’entreprise et de travail telles celles de France Telecom, (27 suicides et 16 tentatives en 2010)**, sinon d’en déduire que la progression hiérarchique des valeurs dans notre société se base de plus en plus sur les marchés, les actionnaires, la rentabilité.
A défaut d’une vision holistique
La rentabilité: une valeur dominante aujourd’hui sous tendue par ce terme terrifiant «ressources humaines» qui induit que le salarié est désormais une ressource à gérer, utiliser, manipuler, façonner et cela d’autant plus avec des concepts tels que la qualité totale, le zéro défaut. S’ils font du bien à l’image de l’entreprise et canalisent la concurrence, ces concepts renvoient sans relâche des collaborateurs simplement humains, à leur marge d’erreur.
Dans une vision holistique, le travail se définit comme un juste retour nourricier, une source de plaisir, de construction et réalisation de soi, de reconnaissance, une contribution à l’œuvre collective permettant de trouver sa place parmi les autres. Mais dans sa représentation, le travail s’articule désormais, dans de nombreuses entreprises, comme une simple activité productrice nécessitée par le besoin.
Globalisation, fusions, acquisitions, restructurations, réorganisations incessantes, manque de communication et de visibilité, environnements déshumanisants ont induit un facteur de rupture sociétale: le travail est une valeur en voie de disparition aux yeux des salariés qui, en quelque sorte, deviennent spectateurs de leur activité. Et cela, dans des entreprises qui ne sont plus capables de les reconnaître, de maintenir un lien autre que de subordination, mais qui, au contraire, cautionnent et favorisent le débordement du travail dans la sphère privée par le biais des nouveaux outils et n’assurent plus la pérennité de l’emploi… Exit le collaborateur. La contradiction entre la psychorigidité des modèles de gouvernances actuels (management hiérarchique très centralisé et bureaucratique) et la valse des transformations organisationnelles, sous couvert de faire toujours plus et plus vite, ancrent chez celui qui n’est plus qu’un salarié, une sensation d’impuissance, une désagrégation de sa relation aux autres et à lui-même.
Sans reconnaissance, l’employé est en quête constante de sens. Comment s’étonner alors que le travail, dont le terme issu du latin trepalium signifie instrument de torture, se télescope avec la dimension de souffrance?
Se reconstruire différemment
Mentalisation, décharge musculaire, somatisation… sont les manifestations de ce conflit psychique qui, par ses nombreuses formes physiques et mentales, gangrène toutes les sphères de la vie du salarié. Si le premier acteur du collectif, vers qui un salarié peut se tourner, est le médecin du travail, maillon central des dispositifs de santé, il n’en reste pas moins que l’urgence de sa démarche individuelle sera de restituer ses propres ressources intérieures. Et si le pouvoir de l’auto-guérison est avéré, pour y accéder, il s’agit pourtant de recouvrer cette volonté de bientraitance de soi-même, d’accéder à la réunification de toutes les parcelles de son être: physique, émotionnel, mental, spirituel… en tout amour.
Ce tout amour peut se retrouver, se reconstruire, se reconnaître dans celui, inconditionnel que d’aucuns appellent le soi supérieur, le vrai Soi, la conscience pure ou encore la présence divine, ceci étant facilité par l’aide d’un thérapeute énergéticien. Et pour cela, l’Univers qui est Amour inconditionnel (penchons-nous sur la perfection de la Création) a généré, entre autres, deux principes merveilleux: la résonance et l’effet d’entraînement. Ainsi, deux systèmes similaires comme deux êtres humains vibrant à des fréquences différentes auront tendance à harmoniser leurs fréquences s’ils sont mis en contact. Lors d’un soin, le praticien élève et maintient son niveau vibratoire pour devenir la fréquence dominante, le consultant, par résonance et entraînement, se synchronise sur cette fréquence. L’apport d’énergie ainsi fourni sera utilisé par l’intelligence innée du corps de la personne qui reçoit et agira dans le sens que ce corps estime utile pour favoriser sa guérison.
Re-lier l’Autre à cette puissante énergie de l’Univers
En effet, il ne s’agit pas pour le thérapeute de poser ses mains sur un être en souffrance pour «simplement» soigner des symptômes alors même que le corps de ce dernier appartient aussi bien à l’univers des ondes que des particules comme le démontre désormais la physique quantique. Il s’agit pour le praticien de se connecter à cet amour inconditionnel, à la pure conscience, au vide de son soi, pour re-lier l’Autre à cette puissante énergie de l’Univers.
Celle qui constitue l’essence même de tout être et que le thérapeute (en grec ancien θεραπευτής therapeutes: serviteur, celui qui prend soin de quelqu’un) réactive simplement, tout en faisant circuler par ses mains l’énergie vitale, force de vie qu’il capte au travers de l’air, du soleil et de la terre. Soutenu par l’application d’un protocole rigoureux qui intègre toutes les dimensions de la personne à re-lier, le travail énergétique effectué sur ses centres d’énergie, ses organes et autres différents points, conduit le consultant à une véritable libération intérieure, la clé essentielle de Sa guérison. Servant d’interface au psychisme et au physique, cet accès au Soi supérieur permet de libérer les différents blocages et les mémoires toxiques chez la personne qui accède à un espace intérieur vaste qu’elle découvre pleine de joie, de compassion et de non-jugement d’elle-même. Recouvrer son Être véritable et sa paix intérieure est la véritable alchimie qui nous dégage des traumas physiques et émotionnels ancrés dans le corps, et des croyances et limitations qui entravent la progression de notre Être…
Le rire d’Esther
«Ils vont me faire crever!» Sa première phrase posée, Esther regarde sa tasse de thé comme le fond d’un abîme. J’attends qu’elle se pose, tandis qu’elle sucre et re-sucre sa boisson. Son pied bat la mesure de ses angoisses… Et j’entrevois tout le désarroi et la souffrance de cette femme de 39 ans, maman en solo d’une adolescente − «une vraie peste en ce moment» − lorsqu’elle prononce cette phrase: «je suis partie trop tôt ce soir du bureau (il est 19h30 !), pour bien faire, demain j’y serai à 7h30». Esther vibre telle une corde trop tendue, prête à rompre, et parle de sa vie dont «les contours sont si flous» car pour «bien faire» elle se sent en collision constante avec sa hiérarchie qui la bouscule et sa fille qui l’interpelle! «J’ai mal au dos, un lumbago sur lequel rien n’agit…» se plaint-elle, en plus d’un syndrome du canal carpien qui handicape sa main droite depuis une mauvaise chute. Après avoir aligné énergétiquement sa posture debout, je fais allonger Esther toute habillée sur la table de soins. Ensemble, nous testons les zones de son corps. Ce bilan énergétique lui donne des informations sur son état à l’instant T et me permettra d’observer l’évolution, les changements durant le soin. La séance est belle, douce et, dans des moments précieux, Esther partage ses ressentis tandis que mes mains la reconnectent à son énergie vitale, zone par zone. Celle des intestins, notre deuxième cerveau, est un havre de souffrance pour elle. Doucement mais systématiquement, je libère chaque section, testant sans relâche la diminution de ses douleurs. Esther baille, soupire et plonge dans un micro sommeil réparateur dont elle émerge en riant. «Je me sens si légère».
Ici, pas de psychothérapie
Epaules, nuque, crâne bénéficieront de la même libération avec une attention particulière sur son canal carpien et l’atlas. Passant sur le ventre, elle m’offre son dos à décharger. Ce dos plein de maux lui renvoie ces mots «pour bien faire, plaire…» et un souvenir, une image ancienne qu’Esther, toute étonnée, relie à une source d’enfance… Mais, ici pas de psychothérapie, nul besoin de raconter les choses; l’espace d’amour inconditionnel et sa portée énergétique, le simple partage, le non jugement libèrent Esther de cette mémoire jusqu’alors toxique. Son rire éclate à nouveau, tandis que je dégage sa colonne de ses tensions et son psoas (muscle allant des vertèbres lombaires à la hanche) qui se révèle, sous mes mains, être la source de son lumbago. Après une harmonisation globale et un temps d’intégration, Esther reprend pied doucement dans la réalité, comme au sortir d’une méditation. Son visage reposé reflète la joie, la quiétude, elle s’étire tel un chat, heureuse de sa nouvelle souplesse, «mon lumbago m’a lâchée!». Rajustée, «comme remise dans mon axe», Esther commente ses sensations de clarté d’esprit, d’apaisement et son sentiment d’unité.
Une unité qu’elle consolidera au fil des séances dont deux suffiront pour régler son problème de canal carpien. Ne travaillant plus pour bien faire et plaire mais pour se faire du bien, Esther par le biais de la formation interne a pu changer de service, «lever le pied», trouvant enfin le temps de s’occuper d’elle et, différemment, de sa fille. Sa fille, tout jeune bouton d’Or qui vient désormais s’éclore sur la table de soin, pour «devenir cool comme ma mère aujourd’hui…».
Zoom sur la médecine énergétique
Youri Kheffeits, médecin-praticien russe et chercheur en médecine quantique à l’Institut d’énergétique de Moscou donne cette définition: “La santé consiste dans l’harmonie des relations énergétiques d’information entre l’individu et la Nature. Cette harmonie s’exprime par l’optimisation des mécanismes d’autorégulation, d’autodéfense et d’autoguérison de l’organisme vivant… Soit une dynamique de santé active impliquant la personne tout entière, sur le plan physique, mental et spirituel…” Pour ce faire, la médecine énergétique associe les dernières découvertes sur la nature profonde du vivant issues de la physique quantique et l’expérience millénaire des grands systèmes de médecine traditionnelle chinoise, ayurvédique indienne et yunani greco. Elle traite la réalité énergétique de l’être vivant. En utilisant d’infimes doses de radiations électromagnétiques, soit des quantas d’énergie, elle tend à rétablir le champ électromagnétique de l’information altéré par la pathologie, en ramenant ce champ dans un état stable. Ces émissions électromagnétiques travaillent à l’unisson, en résonance avec les processus d’information énergétique de l’organisme vivant, influençant positivement les fonctions de la cellule, du tissu, de l’organe, puis du système de l’individu tout entier***.
Ces quantas d’énergie présents dans l’espace et dans la matière occupent tout le “vide” qui nous entoure et la physique quantique tend à démontrer que chaque mètre cube autour de nous contiendrait une quantité phénoménale de cette énergie !
SOURCE : Katherine Franciscus – La revue de l’U.L.V.
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