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LA LIBÉRATION INTÉRIEURE CLÉ ESSENTIELLE DE NOTRE GUÉRISON

Posté par othoharmonie le 11 novembre 2013

LA LIBÉRATION INTÉRIEURE CLÉ ESSENTIELLE DE NOTRE GUÉRISON dans TRANSFORMATION INTERIEURE telechargement2

Rencontres

Je n’arrive plus à me détendre, je me sens remplie de violence, j’ai sans cesse mal au dos, je fume, je bois trop, je suis épuisé, le stress me bouffe, j’étouffe, j’ai peur, je me sens si mal, si seul, mon corps me pèse…”. Ces cris du corps et de l’âme, soufflés sur ma table de thérapeute énergéticienne par des femmes et des hommes déconstruits par leur activité professionnelle m’interpellent durement.

Mais enfin, quelle place laisse-t-on à l’Être au sein de nos organisations, de nos entreprises? L’ampleur que prend aujourd’hui la souffrance au travail* dans un environnement économique qui génère tellement de chômeurs angoissés par leur devenir, est un de nos grands paradoxes sociétaux.

Cette espèce de trou noir dans l’intelligence managériale de nombreux dirigeants, cadres et petits chefs de tous ordres, pointe le peu de respect porté aujourd’hui à la valeur intrinsèque du salarié, supposé être co créateur de ressources, de valeurs. Une absence de révérence à l’importance de l’Autre, le collaborateur. Et surgit le maître-mot, collaborateur et sa définition: personne qui travaille de concert avec un ou plusieurs individus à une œuvre… La simple analyse de cette phrase et de ses projections donne le vertige, tant nous sommes éloignés de la notion d’œuvre, résultat d’un travail communautaire… Que penser des situations d’entreprise et de travail telles celles de France Telecom, (27 suicides et 16 tentatives en 2010)**, sinon d’en déduire que la progression hiérarchique des valeurs dans notre société se base de plus en plus sur les marchés, les actionnaires, la rentabilité.

A défaut d’une vision holistique

La rentabilité: une valeur dominante aujourd’hui sous tendue par ce terme terrifiant «ressources humaines» qui induit que le salarié est désormais une ressource à gérer, utiliser, manipuler, façonner et cela d’autant plus avec des concepts tels que la qualité totale, le zéro défaut. S’ils font du bien à l’image de l’entreprise et canalisent la concurrence, ces concepts renvoient sans relâche des collaborateurs simplement humains, à leur marge d’erreur.

Dans une vision holistique, le travail se définit comme un juste retour nourricier, une source de plaisir, de construction et réalisation de soi, de reconnaissance, une contribution à l’œuvre collective permettant de trouver sa place parmi les autres. Mais dans sa représentation, le travail s’articule désormais, dans de nombreuses entreprises, comme une simple activité productrice nécessitée par le besoin.

Globalisation, fusions, acquisitions, restructurations, réorganisations incessantes, manque de communication et de visibilité, environnements déshumanisants ont induit un facteur de rupture sociétale: le travail est une valeur en voie de disparition aux yeux des salariés qui, en quelque sorte, deviennent spectateurs de leur activité. Et cela, dans des entreprises qui ne sont plus capables de les reconnaître, de maintenir un lien autre que de subordination, mais qui, au contraire, cautionnent et favorisent le débordement du travail dans la sphère privée par le biais des nouveaux outils et n’assurent plus la pérennité de l’emploi… Exit le collaborateur. La contradiction entre la psychorigidité des modèles de gouvernances actuels (management hiérarchique très centralisé et bureaucratique) et la valse des transformations organisationnelles, sous couvert de faire toujours plus et plus vite, ancrent chez celui qui n’est plus qu’un salarié, une sensation d’impuissance, une désagrégation de sa relation aux autres et à lui-même.

Sans reconnaissance, l’employé est en quête constante de sens. Comment s’étonner alors que le travail, dont le terme issu du latin trepalium signifie instrument de torture, se télescope avec la dimension de souffrance?

Se reconstruire différemment

Mentalisation, décharge musculaire, somatisation… sont les manifestations de ce conflit psychique qui, par ses nombreuses formes physiques et mentales, gangrène toutes les sphères de la vie du salarié. Si le premier acteur du collectif, vers qui un salarié peut se tourner, est le médecin du travail, maillon central des dispositifs de santé, il n’en reste pas moins que l’urgence de sa démarche individuelle sera de restituer ses propres ressources intérieures. Et si le pouvoir de l’auto-guérison est avéré, pour y accéder, il s’agit pourtant de recouvrer cette volonté de bientraitance de soi-même, d’accéder à la réunification de toutes les parcelles de son être: physique, émotionnel, mental, spirituel… en tout amour.

Ce tout amour peut se retrouver, se reconstruire, se reconnaître dans celui, inconditionnel que d’aucuns appellent le soi supérieur, le vrai Soi, la conscience pure ou encore la présence divine, ceci étant facilité par l’aide d’un thérapeute énergéticien. Et pour cela, l’Univers qui est Amour inconditionnel (penchons-nous sur la perfection de la Création) a généré, entre autres, deux principes merveilleux: la résonance et l’effet d’entraînement. Ainsi, deux systèmes similaires comme deux êtres humains vibrant à des fréquences différentes auront tendance à harmoniser leurs fréquences s’ils sont mis en contact. Lors d’un soin, le praticien élève et maintient son niveau vibratoire pour devenir la fréquence dominante, le consultant, par résonance et entraînement, se synchronise sur cette fréquence. L’apport d’énergie ainsi fourni sera utilisé par l’intelligence innée du corps de la personne qui reçoit et agira dans le sens que ce corps estime utile pour favoriser sa guérison.

Re-lier l’Autre à cette puissante énergie de l’Univers

En effet, il ne s’agit pas pour le thérapeute de poser ses mains sur un être en souffrance pour «simplement» soigner des symptômes alors même que le corps de ce dernier appartient aussi bien à l’univers des ondes que des particules comme le démontre désormais la physique quantique. Il s’agit pour le praticien de se connecter à cet amour inconditionnel, à la pure conscience, au vide de son soi, pour re-lier l’Autre à cette puissante énergie de l’Univers.

Celle qui constitue l’essence même de tout être et que le thérapeute (en grec ancien θεραπευτής therapeutes: serviteur, celui qui prend soin de quelqu’un) réactive simplement, tout en faisant circuler par ses mains l’énergie vitale, force de vie qu’il capte au travers de l’air, du soleil et de la terre. Soutenu par l’application d’un protocole rigoureux qui intègre toutes les dimensions de la personne à re-lier, le travail énergétique effectué sur ses centres d’énergie, ses organes et autres différents points, conduit le consultant à une véritable libération intérieure, la clé essentielle de Sa guérison. Servant d’interface au psychisme et au physique, cet accès au Soi supérieur permet de libérer les différents blocages et les mémoires toxiques chez la personne qui accède à un espace intérieur vaste qu’elle découvre pleine de joie, de compassion et de non-jugement d’elle-même. Recouvrer son Être véritable et sa paix intérieure est la véritable alchimie qui nous dégage des traumas physiques et émotionnels ancrés dans le corps, et des croyances et limitations qui entravent la progression de notre Être…

Le rire d’Esther

«Ils vont me faire crever!» Sa première phrase posée, Esther regarde sa tasse de thé comme le fond d’un abîme. J’attends qu’elle se pose, tandis qu’elle sucre et re-sucre sa boisson. Son pied bat la mesure de ses angoisses… Et j’entrevois tout le désarroi et la souffrance de cette femme de 39 ans, maman en solo d’une adolescente − «une vraie peste en ce moment» − lorsqu’elle prononce cette phrase: «je suis partie trop tôt ce soir du bureau (il est 19h30 !), pour bien faire, demain j’y serai à 7h30». Esther vibre telle une corde trop tendue, prête à rompre, et parle de sa vie dont «les contours sont si flous» car pour «bien faire» elle se sent en collision constante avec sa hiérarchie qui la bouscule et sa fille qui l’interpelle! «J’ai mal au dos, un lumbago sur lequel rien n’agit…» se plaint-elle, en plus d’un syndrome du canal carpien qui handicape sa main droite depuis une mauvaise chute. Après avoir aligné énergétiquement sa posture debout, je fais allonger Esther toute habillée sur la table de soins. Ensemble, nous testons les zones de son corps. Ce bilan énergétique lui donne des informations sur son état à l’instant T et me permettra d’observer l’évolution, les changements durant le soin. La séance est belle, douce et, dans des moments précieux, Esther partage ses ressentis tandis que mes mains la reconnectent à son énergie vitale, zone par zone. Celle des intestins, notre deuxième cerveau, est un havre de souffrance pour elle. Doucement mais systématiquement, je libère chaque section, testant sans relâche la diminution de ses douleurs. Esther baille, soupire et plonge dans un micro sommeil réparateur dont elle émerge en riant. «Je me sens si légère».

Ici, pas de psychothérapie

Epaules, nuque, crâne bénéficieront de la même libération avec une attention particulière sur son canal carpien et l’atlas. Passant sur le ventre, elle m’offre son dos à décharger. Ce dos plein de maux lui renvoie ces mots «pour bien faire, plaire…» et un souvenir, une image ancienne qu’Esther, toute étonnée, relie à une source d’enfance… Mais, ici pas de psychothérapie, nul besoin de raconter les choses; l’espace d’amour inconditionnel et sa portée énergétique, le simple partage, le non jugement libèrent Esther de cette mémoire jusqu’alors toxique. Son rire éclate à nouveau, tandis que je dégage sa colonne de ses tensions et son psoas (muscle allant des vertèbres lombaires à la hanche) qui se révèle, sous mes mains, être la source de son lumbago. Après une harmonisation globale et un temps d’intégration, Esther reprend pied doucement dans la réalité, comme au sortir d’une méditation. Son visage reposé reflète la joie, la quiétude, elle s’étire tel un chat, heureuse de sa nouvelle souplesse, «mon lumbago m’a lâchée!». Rajustée, «comme remise dans mon axe», Esther commente ses sensations de clarté d’esprit, d’apaisement et son sentiment d’unité.

Une unité qu’elle consolidera au fil des séances dont deux suffiront pour régler son problème de canal carpien. Ne travaillant plus pour bien faire et plaire mais pour se faire du bien, Esther par le biais de la formation interne a pu changer de service, «lever le pied», trouvant enfin le temps de s’occuper d’elle et, différemment, de sa fille. Sa fille, tout jeune bouton d’Or qui vient désormais s’éclore sur la table de soin, pour «devenir cool comme ma mère aujourd’hui…».

Zoom sur la médecine énergétique

Youri Kheffeits, médecin-praticien russe et chercheur en médecine quantique à l’Institut d’énergétique de Moscou donne cette définition: “La santé consiste dans l’harmonie des relations énergétiques d’information entre l’individu et la Nature. Cette harmonie s’exprime par l’optimisation des mécanismes d’autorégulation, d’autodéfense et d’autoguérison de l’organisme vivant… Soit une dynamique de santé active impliquant la personne tout entière, sur le plan physique, mental et spirituel…” Pour ce faire, la médecine énergétique associe les dernières découvertes sur la nature profonde du vivant issues de la physique quantique et l’expérience millénaire des grands systèmes de médecine traditionnelle chinoise, ayurvédique indienne et yunani greco. Elle traite la réalité énergétique de l’être vivant. En utilisant d’infimes doses de radiations électromagnétiques, soit des quantas d’énergie, elle tend à rétablir le champ électromagnétique de l’information altéré par la pathologie, en ramenant ce champ dans un état stable. Ces émissions électromagnétiques travaillent à l’unisson, en résonance avec les processus d’information énergétique de l’organisme vivant, influençant positivement les fonctions de la cellule, du tissu, de l’organe, puis du système de l’individu tout entier***.

images-2 dans TRANSFORMATION INTERIEURECes quantas d’énergie présents dans l’espace et dans la matière occupent tout le “vide” qui nous entoure et la physique quantique tend à démontrer que chaque mètre cube autour de nous contiendrait une quantité phénoménale de cette énergie !

SOURCE : Katherine Franciscus – La revue de l’U.L.V. 

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LA MAGIE DE L’EAU : ACTIVEZ VOTRE POUVOIR SACRÉ

Posté par othoharmonie le 11 novembre 2013


Jean-Claude Genel nous a proposé, le 28 avril à Paris, un colloque autour de l’eau et sa magie. A ses côtés, Carole Sédillot y a évoqué les aspects philosophique, symbolique et spirituel de cet élément et Dominique Jacquier, hygiéniste-naturopathe, a fait le lien entre notre corps et l’eau, écho de nos émotions et guérisseur puissant. (Par  Tania Cholat ET Geneviève Dijoux)

Qu’est-ce que l’eau?

Cette eau est primordiale pour l’être humain. Elle couvre les 3/5 de la planète, représente 70% du corps humain, 85% de notre cerveau et même 99% de la cellule humaine. C’est aussi, aux dires des scientifiques, leur plus grande énigme. En 1988, Jacques Benveniste a découvert qu’elle est capable d’enregistrer de l’information et de la restituer; mais il faudra de nombreuses années avant que cette connaissance soit reconnue. L’eau est aussi un liquide structuré, le seul capable d’intelligence et d’organisation. C’est ce que montre le chercheur japonais Masaru Emoto qui, avec des photos de cristaux d’eau, met en évidence l’influence que peut avoir la musique ou les mots sur celle-ci.

LA MAGIE DE L’EAU : ACTIVEZ VOTRE POUVOIR SACRÉ dans Chemin spirituel images1

Les différentes symboliques de l’eau

Carole Sédillot nous a d’abord rappelé que le symbole est la fonction en nous qui permet la reconnaissance: on ne cherche pas le symbole, on le trouve parce qu’il est en nous et qu’on le reconnaît, même si on l’ignore. En nous, quelque chose est prêt et laisse émerger le message que l’on comprend ou pas, selon que l’on sait, ou non, faire un lien avec la réalité du vécu. Carole nous rappelle aussi que rien ne peut être abouti dans la réalisation si nous n’y mettons pas une intention. La qualité de l’intention est en correspondance avec la qualité de la forme, de la réalisation.

C’est ce que les travaux de Masaru Emoto démontrent avec les expériences qu’il a conduites sur la cristallisation de l’eau: grâce à des musiques classiques ou des mots aux belles vibrations comme «Amour» et «Gratitude», les cristaux sont magnifiques alors que des musiques déstructurées ou des mots négatifs les enlaidissent et les déforment.

L’eau est un des 4 éléments − Air, Feu, Eau et Terre − qui sont en lien avec les élémentaux et qui représentent la Vie. L’eau nous permet de passer du profane au sacré; il s’agit toujours de la même eau et c’est l’intention qui la positionne à un niveau ou à un autre. Nous devons nous réapproprier l’eau afin de devenir fertiles et féconds.

En astrologie, les 3 signes d’eau sont le Cancer, le Scorpion et les Poissons. Ils représentent 3 eaux différentes, de 3 niveaux différents. Le Cancer correspond à une eau matricielle, celle de l’origine, de la naissance; elle correspond à l’émotion naissante en nous. Le Scorpion est une eau alchimique, exigeante, une eau de mort pour renaître. C’est l’eau de transmutation. Les Poissons sont une eau océanique, universelle, cosmique.

Vivre l’eau en nous, c’est vivre une alchimie qui nous permet de prendre notre place d’individu dans le collectif. Or, en alchimie, l’Albedo, l’œuvre au blanc, est une eau principe en nous, une eau purificatrice.

D’autres symboles correspondent à l’eau. Ce sont la Lune et l’Argent. L’eau est également associée au 2 qui, dans la symbolique des nombres (différente de la numérologie), signifie la visibilité de l’eau: quelle conscience ai-je de cette circulation énergétique en moi?

En tarologie, on retrouve l’eau chez la Papesse, la Grande Mère qui a la connaissance de la nature. Dans son grand livre, certains chapitres sont liés à l’eau. Elle nous invite à nous interroger: qu’ai-je mis en conscience de mon savoir ou de ma connaissance (qui allie le savoir et l’expérience) de l’eau?

En mythologie, c’est Neptune en nous, la rencontre avec l’eau océanique qui représente l’intuition, la fonction médiumnique. C’est la force de l’émergence.

Carole ajoute quelques remarques supplémentaires:

– L’écriture fluide, ronde, plastique peut être qualifiée d’écriture-eau,

– Un visage rond, dilaté, souple sera considéré comme un visage-eau,

– Une main souple et qui a de la détente sera aussi considérée comme une main-eau.

Plus tard dans la journée, elle nous a fait participer à une expérience avec les 6 lames du Tarot qui offrent un aspect eau, à savoir le Bateleur, la Papesse, Tempérance, l’Etoile, la Lune et le Monde. Chaque participant a tiré une de ces 6 lames et écouté quelle énergie de son corps elle faisait résonner en lui, en fonction de sa symbolique. Ensuite, Carole a donné les explications suivantes.

images-1 dans Créativité

Lame I: Le Bateleur – Avec cette lame, nous sommes au début de quelque chose. L’eau se trouve parmi les autres outils dans le petit gobelet qui deviendra une coupe dans les lames ultérieures. On remet l’eau sur la table pour redémarrer quelque chose. C’est aussi l’eau en nous (notre âme et nos émotions), une impulsion qui demande à émerger, le désir de donner vie à un projet.

Lame II: La Papesse – L’eau n’y est pas évidente: à quelle page se trouve-t-elle dans le livre? Dans quel chapitre? À quelle ligne? Il s’agit de retrouver quelque chose que l’on a déjà appris, que l’on sait déjà et qu’il nous faut découvrir et relire. A quel niveau cette eau parle-t-elle de moi? Cette eau nécessite d’avoir rencontré nos propres émotions et de les avoir travaillées. Je transmets ce que je suis qui représente bien davantage que ce que je fais.

Lame XIIII: Tempérance – Cette lame représente le féminin en tant que principe. Ses ailes symbolisent le dépassement de la matière pour contacter l’espace sacré. Les deux cruches évoquent un transvasement, la circulation de quelque chose qui alimente, nourrit, tels les différents fluides qui circulent en nous dans le visible et l’invisible. Cette lame montre l’équilibre, la douceur, la souplesse, une certaine écoute mais sans excès, le partage. C’est la circulation matérielle et spirituelle qui a besoin de s’exprimer dans notre eau. Tempérance est aussi la valeur qui est liée au chakra de la gorge, au verbe: on dit ce que l’on sait juste parce qu’on l’a vérifié par l’expérience. Le mot est purificateur; il harmonise.

Lame XVII: L’Etoile – Cette lame contient visiblement les 4 éléments. Le personnage est une femme à genoux et nue; elle tient dans chacune de ses mains un vase rouge. La main gauche verse l’eau sur la terre tandis que la main droite verse l’eau dans l’eau, créant ainsi un ruisseau qui remonte à la source; c’est un retour aux origines, à notre mémoire. La source n’est jamais tarie, elle est un enrichissement: avec cette eau-là, j’enrichis la terre, l’être incarné que je suis. L’Etoile me maintient en vie et donne du sens à ma vie. C’est ma capacité à être relié à l’espace du cœur qui donne du sens à ma vie.

Lame XVIII: La Lune – Cette lame symbolise le grand féminin décliné sous tous ses aspects. Dans le plan d’eau, une écrevisse qui rappelle l’eau du cancer, matricielle représente l’inconscient dans toute sa dimension, un accès à nos profondeurs, à la petite mémoire, celle qui contient notre patrimoine, ce qui est inscrit dans notre histoire mais qui n’est pas notre histoire.

Lame XXI: Le Monde – Dans une position similaire au Christ en gloire, une danseuse tient le centre de la lame. La baguette dans sa main droite symbolise le masculin et le coquillage dans sa main gauche, le féminin. C’est Hermaphrodite, l’être accompli qui a unifié les contraires. Elle est entourée des 4 évangélistes symbolisés (on y retrouve les 4 éléments):

Saint Luc, c’est le Taureau, la Terre, le Printemps,Saint Marc, c’est le Lion, le Feu, l’Eté,Saint Jean, c’est l’Aigle, l’Eau, l’Automne, Saint Mathieu, c’est l’Ange, l’Air, l’Hiver. Le 5ème élément, c’est l’Amour, la valeur du féminin qui est en l’être humain, l’aboutissement, l’achèvement, la circulation de l’eau, la connexion avec l’âme en soi.

Les interactions de l’eau avec notre corps : Dominique Jacquier, de son côté, nous a fait partager ses connaissances et son expérience à propos de l’importance de l’eau pour nous et notre santé physique et mentale. L’eau est dominante dans notre corps. Elle est en nous; son mouvement perpétuel symbolise le mouvement de la vie. Elle est aussi autour de nous, dans la nature et dans l’air que nous respirons. Sa mission universelle est d’être une messagère divine.

Elle accueille, reçoit, mémorise, transporte et surtout partage. Elle rencontre tous les éléments de notre corps et favorise l’échange des informations. L’eau métabolique véhicule les éléments nutritionnels et effectue aussi un nettoyage par l’élimination.

Notre corps est la résultante de notre manière d’être et de penser qui doit être consciente. Si elle ne l’est pas, l’eau qui a une conscience universelle et est en relation avec notre psyché nous rappelle à l’ordre dans notre corps. Si on est bien pensant, on est bien portant.

L’eau entre en résonance avec notre pensée et la répartit dans tout notre corps; elle est l’intermédiaire entre tous les mondes subtils et la matière. Nos manières d’être peuvent même influencer la structure de nos molécules d’eau en positif comme en négatif car l’eau est aussi en lien étroit avec nos émotions; or le monde émotionnel nous permet d’être à l’écoute. L’eau nous permet donc de rencontrer l’intime de qui nous sommes. Elle garde la qualité vibratoire de l’émotion vécue dans l’événement dans des «capsules», sorte d’enregistrement du vécu lui-même mais aussi de la vibration de l’émotion avec laquelle on l’a vécue.

Certains organes de notre corps entrent en résonance avec cela. Les reins enregistrent nos peurs et nos angoisses. Le foie est le siège de la colère en lien avec la valeur courage : la colère nous donne le courage de faire face. Les poumons sont en connexion avec la tristesse, le chagrin. Le chagrin est souvent silencieux parce qu’on n’arrive pas à transmuter certaines peurs qui paraissent injustes. L’ADN est seulement réactif et non actif; il devient actif si nous nous mettons en mouvement. Nous retrouvons alors la notion de libre arbitre.

La guérison dépend de nous. Nous devons apprendre à nous guérir. Le principe de guérison n’est autre que le principe d’amour. La guérison est un apprentissage de l’amour de soi et le corps nous guide dans cet apprentissage. La thérapie allopathique ne fonctionne plus aujourd’hui parce que c’est l’heure de nous révéler et de cesser de fuir notre énergie de guérison. Il nous faut chercher l’origine de nos maux pour les mettre en mots, c’est-à-dire les conscientiser et ne conserver que ce qui nous appartient. Les valeurs, guides de notre vie spirituelle, nous aident pour la gestion de notre corps et de notre santé. Par exemple, nous activons la valeur courage pour nous mettre en mouvement et accepter de rencontrer notre réalité ou bien la valeur honnêteté pour reconnaître notre responsabilité, notre vérité et accepter que les autres la voient. La guérison, c’est s’installer dans un nouvel état d’être en totale résonance avec ce que nous sommes profondément car nous jouons notre vie «pour de vrai». S’il y a récidive, c’est parce que le travail de compréhension et de bouleversement de conscience n’a pas été réalisé.

L’eau est un agent guérisseur. Les liquides du corps véhiculent les énergies de vie du corps. Si la circulation ne s’effectue pas correctement, qu’il y a stagnation, dépôt puis maladie. En 24 heures, 5 litres de sang et 1 litre de lymphe dont la fonction est de nettoyer les déchets dont les cellules n’ont plus besoin circulent en permanence dans le corps humain. Une activité physique régulière – marcher, courir, faire du vélo − active la circulation des eaux de notre corps. Par exemple, une heure de marche génère 5 litres de lymphe en 24 heures. L’eau que nous absorbons peut être dynamisée par un mot, une image. Ce qui est bon pour nous, ce sont les eaux vivantes: l’eau de mer, les jus de fruits et de légumes crus les plus colorés. Les eaux minérales sont des eaux de cure qui ne doivent être consommées que temporairement.

Il est également bénéfique de faire de temps en temps une cure de jeûne hydrique. Marcher en extérieur et/ou prendre des bains hypercaloriques génèrent la transpiration et, suivis d’eau froide sur les jambes et de repos bien couvert, favorisent les échanges dynamiques entre le chaud et le froid. Il est bon d’alterner chaud puis froid sans toutefois rester longtemps dans le froid.

Notons aussi que les plantes en infusion favorisent le drainage et que la méditation et la relaxation sont des éléments complémentaires importants.

Éclairage et expériences mystiques Jean-Claude Genel est intervenu régulièrement au cours des exposés de Carole Sédillot et de Dominique Jacquier.  Tout ce que nous vivons est symbolique, mais nous ne savons pas toujours l’interpréter. Quand nous prenons conscience, nous «comprenons» qu’il y a un envers à notre décor ou qu’il nous faut considérer l’autre côté du voile, selon la terminologie de chacun. Dans la vie quotidienne, chaque scène, même insignifiante en apparence, a du sens si nous nous donnons la peine de le chercher. Regarder au-delà des apparences permet de trouver la Volonté et ainsi de rencontrer la Beauté.

La maladie est un message envoyé par l’âme, via le corps, pour nous aider à nous purifier. Jésus était appelé «le Vivant»; Il est venu éveiller l’humanité, élever l’âme à un autre niveau de conscience. Nous sommes actuellement appelés à rendre le Vivant de notre corps.

Jean-Claude Genel nous a donc invités à prier pour purifier notre corps, comme certains sages ont prié auprès de lacs pollués pour en purifier l’eau. Les mots «Merci» et «Gratitude» ont un pouvoir puissant d’activation positive de  l’eau parce que dire merci, c’est donner de l’Amour. Il nous a, par ailleurs, fait participer, au cours de la journée, à 3 expériences avec de l’eau qui avait été activée lors de la soirée de Wesak, grâce à l’énergie du Christ et du Bouddha, et renforcée par la vibration des bols de cristal. Par trois fois, nous avons donc bu de cette eau, en écoutant une prière à la Mère. Puis des bruits d’eau – pluie, cascade, ruisseau, vagues… − nous ont amené à observer ce qui se passait dans notre corps. La plupart d’entre nous ont réveillé quelque chose en eux-mêmes et reçu des idées, des images.

Lors de la dernière de ces expériences, Jean-Claude nous a invités à visualiser les chakras avec leurs couleurs et les valeurs correspondantes afin de trouver les archétypes dont nous avons besoin:

1 – Courage – rouge – racine

2 – Honnêteté – orange – hara (ventre)

3 – Tolérance – jaune – plexus

4 – Justice – vert – cœur

5 – Tempérance – bleu/gris acier – gorge

6 – Obéissance – indigo – 3ème œil

7 – Persévérance – violet – coronal

La journée s’est terminée par des échanges entre le public et les intervenants. Voici les principaux thèmes abordés:

– La puissance de notre pensée captée par l’eau rend celle-ci capable de réagir quelle que soit la langue avec laquelle elle est en résonance.

– La tendance des êtres humains à s’isoler, même en public, avec leur téléphone, leur iPod…: au lieu de nous en plaindre, ne pouvons-nous pas regarder la personne qui téléphone, ne serait-ce qu’avec un sourire, pour communiquer avec elle. Elle ne peut que nous voir, tout dépend de l’énergie que nous y mettons.

images-61 dans Travail sur soi !– L’intention elle-même n’est pas habitée d’un vouloir; elle doit émaner du cœur de l’être pour avoir le pouvoir de transformer.

– L’Âme imprègne son message lorsqu’elle s’incarne.

Les mots « Merci » et « Gratitude » ont un pouvoir puissant d’activation positive de l’eau parce que dire merci, c’est donner de l’Amour

SOURCE : La revue de l’U.L.V. 

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