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Et si la lumière…

Posté par othoharmonie le 10 janvier 2014

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La Lumière, au sens spirituel de l’Esprit, la Lumière, au sens physique et donc visible, vient vous rappeler le serment de retourner à la Lumière si tel était votre désir. Ce processus appelé « ascension » n’est que la réintégration en votre Grâce, en votre Unité, en votre Divinité. L’heure est enfin venue, mes enfants, de retrouver votre héritage, de retrouver ce que vous avez perdu en expérimentant ces plans de la dualité que vous avez pourtant acceptés de parcourir afin de fortifier en vous, non pas les forces incarnantes, mais la Lumière de votre âme. Bien-aimés, les manifestations élémentaires que vous observez à la surface de cette planète, comme sur la surface des autres planètes de ce système solaire, n’en est qu’à ses prémices. Votre seule sauvegarde, votre seule persistance de l’intégrité de ce que vous êtes, ne peut s’obtenir à travers des précautions de nature matérielle. Il ne sert strictement à rien d’être prévoyant sur le plan matériel. Seule votre foi, votre détermination à retrouver la Lumière que vous êtes, sera votre garant du retour à la Lumière. Vous ne devez compter sur personne d’autre que vous-mêmes avec la Lumière. Aucune aide extérieure ne peut vous mener à la Lumière. Certes, vous n’êtes pas seuls. Certes, vous êtes entourés, encadrés, guidés, aimés comme jamais vous ne l’avez été. Mais néanmoins, vous et vous seul pouvez faire le pas, le grand saut du retour à votre Unité. Ainsi en est-il dans les mondes des mondes, lors de ce passage terrifiant et magnifique, du passage de la dualité à l’Unité.

Vous êtes, certes, tous, enfants de la Lumière, même ceux qui à votre regard se présenteraient comme des forces de l’obscur et du multiple ne sont que des enfants qui expérimentent la multiplicité, la division et qui ne sont pas prêts à faire le retour à l’Unité. Mais, cela, comme vous le savez, est leur liberté fondamentale. En cela, il vous est demandé de ne pas juger ni les évènements, ni les êtres mais de rester affermis dans votre Unité, dans votre foi et dans votre Lumière. Il n’y a pas d’autre alternative. Le Christ disait : « qu’il vous soit fait selon votre foi » et cela se passera exactement comme cela. La foi en la Lumière est le moteur de votre ascension. La paix de votre être et de votre cœur face aux bouleversements élémentaires en cours et votre garant de retour à l’Unité. Vous êtes dans les derniers moments de la dualité, vous êtes dans les moments les plus durs que vous avez à vivre dans la dualité. Ce moment est le moment où la dualité s’aperçoit qu’elle n’existe pas et qu’elle vient de l’Unité. Certes, beaucoup d’âmes, beaucoup de peuples renonceront, par égoïsme ou par peur, à ce retour à la Lumière. Ne jugez pas, ne condamnez pas, contentez-vous de vivre en votre intérieur la Lumière qui vient. Le meilleur service que vous puissiez rendre à vos frères dans la douleur n’est que d’être vous-mêmes affermi dans votre foi, dans la Lumière et dans la Vérité. Nulle autre attitude, nul autre comportement ne peut mieux aider que cela.

La Lumière, si vous l’acceptez, vous nourrira physiquement, psychologiquement, spirituellement. La Lumière, si vous l’acceptez, irradiera de vous et elle se suffit à elle-même car elle est capable, si vous irradiez au travers de votre être, de conférer la Paix, de conférer l’Amour et de conférer la recherche de l’Unité envers les autres êtres humains qui auront la chance de se trouver en face d’un tel être. Votre périple de l’incarnation prend fin. Ce qui signifie que c’est la fin, tout simplement, de la réalité telle que vous la connaissez. Vous allez retrouver votre héritage divin. Vous allez retrouver vos potentiels divins, en totalité. La séparation d’entre les dimensions (qui était l’une des caractéristiques de ce monde en dualité) n’existera plus, non plus. Certains d’entre vous perçoivent, ressentent et voient les mondes invisibles. Certains d’entre vous pressentent, vivent le contact avec leur Ange. Cela est Vérité. Cela est la voie de l’Unité. Comme cela vous a déjà été dit par les énergies Archangéliques, les signes sont nombreux et ils seront de plus en plus nombreux à l’intérieur de vous et au niveau du ciel. Ne vous préoccupez pas des réactions de la dualité à cette Unité qui vient. La peur nourrit l’ombre. La Lumière nourrit la Lumière. Vous êtes enfants de Lumière. Vous êtes sur le point de vivre l’expérience la plus divine que puisse vivre une âme en ses différents chemins. Bien-aimés enfants, vous avez marché, emprunté de nombreux corps, vous avez participé, chacun à sa manière, à l’évolution de ces mondes, de ce système solaire. Rappelez-vous les paroles du Christ : « vous êtes sur ce monde mais vous n’êtes pas de ce monde ». Là, se trouve une clé capitale au lâcher prise, à la maîtrise et à l’abandon à la Lumière. Vous devez, plus que jamais, au fur et à mesure que les manifestations élémentaires voulues et déclenchées par l’Archange Mikaël et par votre soleil seront assourdissantes, au fur et à mesure que cet assourdissement, ce vacarme tel que je l’ai nommé grandira, au fur et à mesure, vous devrez rentrer en votre espace intérieur, en votre Unité, en votre Divinité.

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Pourquoi dites-vous que l’extériorité de la pensée est une évidence

Posté par othoharmonie le 10 janvier 2014

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S.T. : L’inconscient est, selon le mot de Freud, une mémoire phylogénétique c’est-à-dire une mémoire transgénérationnelle. Nous portons un savoir qui nous précède, nous possédons des souvenirs qui nous sont antérieurs. La plupart de nos symptômes sont l’expression de douleurs qui sont celles de nos aieux. Ils s’expriment par nous et nous parlons pour eux mais aussi par eux. Vous voyez pourquoi toutes ces choses mystérieuses effrayent les rationalistes au point de les exclure de leur domaine de réflexion et de les rabattre dans les zones sombres du paranormal. C’est ainsi que de nombreux faits psychiques en rapport avec des pathologies psychiatriques sont absents des classifications psychiatriques. La pratique clinique offre de multiples manifestations dites surnaturelles. J’aborde plusieurs exemples dans le livre à deux voix que nous avons écrit avec Marc Menant, Bien réel le surnaturel (éd. Alphée/Jean-Paul Bertrand). Les patients psychotiques ont souvent une intuition exacerbée, la télépathie est une modalité de connaissance. Ils peuvent avoir accès à votre propre univers intérieur, vous parlant par exemple de ce que vous avez fait la veille. Pour les schizophrènes, les voix hallucinées parlent dans la langue maternelle, ceci même s’ils n’ont pas connu leur mère ou qu’ils n’ont pas été élevé dans cette langue. Freud parlait de la télépathie avec Ferenczi – tout en lui conseillant de rester discret sur le sujet (il y est revenu ouvertement dans la dernière partie de son oeuvre). En fait, toute la psychanalyse nous donne un matériel conceptuel pour aborder la transmission de pensée. J’en fais quotidiennement l’expérience : la pensée n’est pas une fonction cérébrale, elle ne doit pas être réduite à un ensemble de fonctions cognitives. Certes, il se passe des choses passionnantes dans le cerveau, mais ça n’est pas la pensée, ni l’inconscient, qui se déploient hors espace-temps.

Étudiant les hystériques, Freud commence par se dire que c’est leur corps qui pense à la place de leur tête. Mes patients entendent des voix par les différentes parties de leur corps. Les neurologues redécouvrent aujourd’hui avec ébahissement ce que savaient déjà les Grecs : nous avons plusieurs “cerveaux” dans le corps ! Socrate évoquait la sagesse des Anciens qui situaient le siège de la pensée au niveau du diaphragme, là où nous posons spontanément la main pour dire : « C’est moi.»

Que penser de tout cela ? Ma conviction – que je vérifie empiriquement à l’hôpital – est que l’approche platonicienne, que j’ai étudiée à travers Plotin, offre la meilleure réponse à toutes ces questions. Ma thèse de doctorat de philosophie s’intitulait « Penser l’extériorité de la pensée » ; je crois nécessaire de considérer qu’il y a un savoir, une pensée extérieure à nous…

N.C. : En ce cas, nos corps, en particulier nos cerveaux, seraient quoi ? Des sortes de récepteurs de cette pensée extérieure ?

S.T. : Le cerveau existe aussi chez les animaux, il intervient dans toutes les fonctions dites cognitives qui nous permettent la relation, la communication, la connaissance de notre environnement, etc. La pensée extérieure dont je parle ne doit pas être dite en termes spatiaux-temporels. Dire qu’elle est « extérieure » est trompeur, parce qu’il donne l’impression qu’elle est localisable. Je dis « extérieure » pour bien signifier qu’elle se distingue de l’intériorité propre à notre conscience. La pensée extérieure désigne la part strictement humaine en l’homme. Nous n’avons guère avancé depuis Diogène, qui parcourait les rues d’Athènes avec une lanterne allumée en plein jour, répétant : « Je cherche un homme. » Ou est l’homme ? Nous parlons souvent du « corps humain » mais l’expression est étrange parce qu’il n’y a rien d’humain dans le corps. Tous les organes, toute la chimie, toute la physiologie existent aussi chez l’animal. La pensée ? Elle n’est pas dans le corps ! Elle est ailleurs. Dans un ailleurs que la folie explore. C’est pourquoi celle-ci peut nous aider à trouver l’homme.

N.C. : Edgar Morin nous mettrait-il sur la piste en nous baptisant Homo sapiens demens ?

S.T. : C’est une belle formule. J’ajoute que pour connaître l’homme, il faut le connaître dans ce qui le spécifie : une fois de plus, l’art, la folie et la foi sont les trois portes qui nous donnent accès à l’humanité en l’homme. Connaître la folie, c’est connaître l’homme. La condition humaine n’est pas étrangère à la folie. Je dirais même que la folie est la condition d’humanité, l’homme n’est jamais autant homme que dans la folie !

N.C. : Pourquoi ? Parce que le côté prométhéen de l’homme civilisateur est forcément fou, en particulier à une époque où l’on est capable de construire des tours d’un kilomètre de haut ?

S.T. : Evidemment. La folie a toujours à voir avec l’élévation. La condition humaine, c’est de s’élever, pas de se rabaisser. Dans le symbolique comme dans la réalité, la folie collective, c’est toujours la Tour de Babel. Or, dans la psychose, il y a une élévation. Un cheminement qui va de l’existence vers l’Être.

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