La Conquête du DIEU est en Soi

Posté par othoharmonie le 12 janvier 2014

 

images12Vous êtes la force qui joue avec votre esprit et qui utilise votre corps comme son jouet favori pour s’amuser. Voilà la raison pour laquelle vous êtes ici : pour jouer et vous amuser. Nous naissons avec le droit d’être heureux, et le droit de jouir de notre vie. Nous ne sommes pas ici pour souffrir. Si quelqu’un souhaite souffrir, il est libre de le faire, mais personne n’y est contraint. 

Alors, pourquoi souffrons-nous ? Parce que le monde entier souffre, et que nous supposons donc qu’il est normal de souffrir. Ensuite de quoi, nous créons un système de croyances qui justifie cette « vérité ». Les religions nous disent que nous sommes venus ici pour souffrir, que la vie est une vallée de larmes. Souffrez aujourd’hui, soyez patient, et vous serez récompensé une fois mort. Ça a l’air formidable, mais ce n’est pas vrai. 

Nous choisissons de souffrir, parce que nous avons appris à souffrir. Si nous continuons à faire les mêmes choix, nous continuerons de souffrir. Le Rêve de la Planète contient l’histoire de l’humanité et l’évolution des humains, or la souffrance est le résultat de l’évolution humaine. Nous, humains, souffrons, parce que nous savons ; nous savons ce que nous croyons, et nous croyons tous les mensonges qu’on nous a inculqués, et comme nous ne parvenons pas à nous y conformer, nous souffrons. Il n’est pas vrai que vous allez en enfer ou au paradis après votre mort. Oui, vous vivez en enfer et au paradis, mais maintenant. L’enfer et le paradis n’existent que dans notre esprit. Si nous souffrons maintenant, nous souffrirons encore après notre mort, car l’esprit ne meurt pas avec le cerveau. Le rêve continue et s’il est infernal, lorsque notre cerveau est mort nous continuerons de rêver le même enfer. La seule différence entre la mort et le sommeil est que, lorsque l’on dort, on peut se réveiller, puisqu’on a un cerveau. Lorsqu’on est mort, on ne peut plus se réveiller, puisqu’on a plus de cerveau ; mais le rêve est toujours là. L’enfer et le paradis sont présents ici et maintenant. Vous n’avez pas à attendre d’être mort. Si vous assumez la responsabilité de votre vie, de vos actes, votre futur est alors entre vos mains, et vous pouvez connaître le paradis en étant encore en vie. 

Le rêve que créent la plupart des humains est, de toute évidence, infernal. Cela n’est ni juste ni faux, ni bon ni mal, et il n’y a de reproches à faire à personne. Faut-il en accuser nos parents ? Non. Ils ont fait de leur mieux en vous programmant quand vous étiez enfant. Leurs propres parents avaient fait la même chose pour eux : ils avaient fait de leur mieux. Si vous aviez des enfants, vous ne sauriez pas non plus quoi faire d’autre. Comment pouvez-vous vous faire des reproches ? Devenir conscient ne signifie pas qu’il faille accuser quiconque, ni se sentir coupable de ce qu’on a fait. Comment peut-on avoir honte ou se sentir coupable d’une maladie qui est hautement contagieuse ? 

Vous savez, tout ce qui existe est parfait. Vous êtes parfait tel que vous êtes. C’est la vérité. Vous êtes un maître. Même si vous êtes maître de la colère et de la jalousie, votre colère et votre jalousie sont parfaites. Même si votre vie est faite de nombreux drames, ceux-ci sont parfaits, ils sont merveilleux. Vous pouvez aller voir un film comme « Autant en emporte le vent » et pleurer durant toute la séance. Qui dit que l’enfer n’est pas beau ? Il peut vous inspirer. Même l’enfer est parfait, car seule la perfection existe. Même si vous rêvez l’enfer dans votre propre existence, vous êtes parfait tel que vous êtes. C’est seulement notre savoir qui nous fait croire que nous ne sommes pas parfait. Mais le savoir n’est rien d’autre qu’une description du Rêve. Le Rêve n’étant pas réel, le savoir ne l’est pas non plus. D’où qu’il vienne, le savoir n’est réel que d’un certain angle de perception. Nous ne nous trouverons donc jamais nous-mêmes grâce à lui. Et au bout du compte, c’est bien ce que nous cherchons : à nous trouver, à être nous-mêmes, à vivre notre vie, et non celle du Parasite, c’est-à-dire celle qu’on nous a programmé à vivre. 

Ce n’est pas le savoir qui nous conduira à nous-mêmes : c’est la sagesse. Il faut distinguer l’un de l’autre, car ils ne sont pas pareils. On se sert principalement du savoir pour communiquer avec les autres, pour se mettre d’accord sur ce que l’on perçoit. Le savoir est notre outil pour communiquer, car les humains ne communiquent pour ainsi dire pas de cœur à cœur. L’important, c’est notre façon d’utiliser notre savoir, car nous en devons les esclaves et nous ne sommes plus libres. 

La sagesse n’a rien à voir avec le savoir ; elle concerne la liberté. Lorsque vous êtes sage, vous êtes libre d’utiliser votre esprit et de gouverner votre vie. Un esprit sain est un esprit libéré du Parasite ; il est libre comme il l’était avant sa domestication. Lorsque vous guérissez votre esprit, vous vous libérez du Rêve, et alors vous n’êtes plus innocent, mais sage. Vous êtes à nouveau semblable à un enfant, à bien des égards, mais avec une grosse différence : l’enfant est innocent, il ne sait pas, et c’est pourquoi il peut chuter dans la souffrance et le malheur. Mais celui qui a transcendé le Rêve est sage ; c’est pourquoi il ne retombe plus, car désormais il sait ; il possède la connaissance du Rêve. Vous n’avez pas besoin d’accumuler le savoir pour devenir sage ; tout le monde peut devenir sage. Tout le monde. Une fois sage, la vie devient facile, car vous devenez qui vous êtes vraiment. Par contre, il est difficile de s’efforcer d’être qui vous n’êtes pas, d’essayer de vous convaincre, ainsi que les autres, que vous êtes quelqu’un d’autre. Jouer à ce jeu vous vide de toute votre énergie. Alors qu’être vous-même n’exige aucun effort. 

Lorsque vous devenez sage, vous n’avez plus besoin d’utiliser toutes les images que vous avez créées ; vous n’avez plus à prétendre être quelqu’un d’autre. Vous vous acceptez tel que vous êtes, et cette acceptation totale de vous-même débouche sur l’acceptation totale d’autrui. Vous n’essayez plus de changer les autres ni d’imposer votre point de vue. Vous respectez les croyances d’autrui. Vous acceptez votre corps et votre propre humanité, ainsi que tous vos instincts. Il n’y a rien de mal à être un animal. Nous sommes des animaux, et les animaux suivent toujours leurs instincts. Mais nous sommes aussi humains, et comme nous sommes intelligents, nous apprenons à réprimer nos instincts ; nous n’écoutons pas ce qui vient du cœur. Et voilà pourquoi nous agissons à l’encontre de notre propre corps et essayons de réprimer ses besoins ou de nier leur existence. Ce n’est pas faire preuve de sagesse. Lorsque vous devenez sage, vous respectez votre corps, vous respectez votre esprit, vous respectez votre âme. Lorsque vous êtes sage, votre vie est régie par votre cœur, pas par votre tête. Vous cessez de vous saboter vous-même, et de saboter votre bonheur et votre amour. Vous n’avez plus honte et ne vous sentez plus coupable ; vous mettez fin à tous ces jugements envers vous-même, et vous ne jugez plus personne d’autre. A par tir de cet instant, toutes les croyances qui vous rendaient malheureux, qui vous poussaient à vous battre dans la vie, et rendaient celle-ci difficile, disparaissent purement et simplement. 

Abandonnez toutes les idées que vous cultivez concernant qui vous êtes, et devenez qui vous êtes véritablement. Lorsque vous vous abandonnez à votre vraie nature, à ce que vous êtes réellement, vous ne souffrirez plus. Lorsque vous vous abandonnez à votre vrai moi, vous vous en remettez à la Vie, à Dieu. Une fois que vous avez fait cela, il n’y a plus de lutte, plus de résistance, plus de souffrance. 

Étant sage, vous recherchez la facilité, c’est-à-dire être vous-même, qui que vous soyez. Souffrir, ce n’est rien d’autre que résister à Dieu. Plus vous résistez, et plus vous souffrez. C’est simple. 

Imaginez que, du jour au lendemain, vous vous réveillez du Rêve, et que vous soyez complètement sain. Vous n’avez plus de plaies, ni de poison émotionnel. Imaginez la liberté que vous allez ressentir. Tout vous rendra heureux d’être simplement en vie, où que vous alliez. Pourquoi ? Parce qu’un être humain sain n’a plus peur d’aimer. Vous n’aurez ni peur d’être en vie, ni peur d’exprimer votre amour. Imaginez comment vous vivriez votre vie, comment vous vous comporteriez avec vos proches, si vous n’aviez plus de plaies ni de poison dans votre corps émotionnel. Dans les écoles de mystère du monde entier, on appelle cela l’éveil. C’est exactement comme si vous vous réveilliez un jour, et que vos plaies avaient disparu. A ce moment-là, les frontières disparaissent, et vous voyez toutes choses telles qu’elles sont, et non plus en fonction de vos croyances. Lorsque vous ouvrez les yeux, libéré de vos plaies, vous devenez un sceptique, mais pas pour accroître votre ego et montrer à tout le monde combien vous êtes intelligent, ni pour se moquer de ceux qui croient encore à tous ces mensonges. Non. Lorsque vous vous éveillez, vous devenez un sceptique, parce qu’il est clair à vos yeux que le Rêve n’est pas vrai. Vous ouvrez les yeux, vous êtes éveillé, et tout devient évident. 

Lorsque vous vous éveillez, vous franchissez une ligne de non-retour, et vous ne pouvez plus jamais voir le monde comme avant. Vous rêvez encore, car on ne peut éviter de rêver, puisque c’est la fonction de l’esprit, mais la différence est que vous savez que vous rêvez. Sachant cela, vous pouvez pleinement jouir du rêve, ou en souffrir. Cela dépend de vous. Être éveillé, c’est comme si vous étiez à une réception où des milliers de personnes sont saoules, sauf vous. Vous êtes les seules personnes sobres. C’est cela l’éveil, car la vérité est que la plupart des humains voient le monde à travers le filtre de leurs plaies émotionnelles, de leur poison émotionnel. Ils n’ont pas conscience de rêver un rêve d’enfer, tout comme les poissons n’ont pas conscience de vivre dans l’eau. 

Quand nous prenons conscience d’être la seule personne sobre au milieu de gens ivres, nous pouvons faire preuve de compassion, car nous aussi étions saoul auparavant. Nous n’avons pas à juger, pas même ceux qui sont en enfer, car nous y étions aussi. Lorsque vous vous éveillez, votre cœur devient une expression de l’Esprit, une expression de l’Amour, une expression de la Vie. L’éveil, c’est quand vous prenez conscience que vous êtes la Vie. Quand vous êtes conscient que vous êtes cette force qu’est la Vie, tout devient possible. Des miracles se produisent sans cesse, car c’est l’œuvre du cœur. Le cœur est en communion directe avec l’âme, et quand le cœur parle, même avec la résistance de la tête, quelque chose change en vous ; votre cœur peut ouvrir un autre cœur, et l’amour véritable devient possible. En Inde, il existe une vieille histoire sur Dieu, Brahma, qui se trouvait tout seul. Rien d’autre n’existait que Brahma, et il s’ennuyait à mourir. Il décida donc de jouer à un jeu, mais il n’y avait personne avec qui jouer. Il créa donc une déesse magnifique, Maya, simplement pour pouvoir s’amuser. Lorsque Maya apparut et que Brahma lui expliqua le but de son existence, elle dit : « D’accord, jouons donc au jeu le plus merveilleux qui soit. Mais tu dois faire ce que je te dis. » 

Brahma donna son accord, et, suivant les instructions de Maya, créa l’univers tout entier. Il créa le soleil et les étoiles, la lune et les planètes. Puis, il créa la vie sur terre : les animaux, les océans, l’atmosphère. Tout.

 Maya lui dit : « Ce monde d’illusion que tu as créé est magnifique. Je veux maintenant que tu crées une sorte d’animal qui soit si intelligent et conscient qu’il apprécie ta création. » Brahma créa donc les humains. Et quand il eut achevé la création, il demanda à Maya quand le jeu allait commencer. 

« On commence tout de suite », dit-elle. Elle prit Brahma et le coupa en milliers de minuscules morceaux qu’elle mit en chaque être humain. Elle dit alors : « Le jeu commence ! Je vais te faire oublier qui tu es, et tu essaieras de le découvrir par toi-même ! » Maya créa le Rêve, et à ce jour, Brahma essaie toujours de se rappeler qui il est. Brahma est là, en vous, et Maya vous empêche de vous souvenir de qui vous êtes. 

Lorsque vous vous éveillez du Rêve, vous redevenez Brahma, et vous recouvrez votre divinité. Alors, si Brahma en vous dit : « Bon, je suis éveillé ; mais qu’en est-il du reste de moi ? », comme vous connaissez les astuces de Maya, vous pouvez partager la vérité avec d’autres qui pourront aussi s’éveiller. Deux personnes sobres dans une réception remplie d’ivrognes peuvent davantage s’amuser. Trois personnes sobres, c’est encore mieux. Commencez par vous-même. Ensuite, les autres se mettront à changer, jusqu’à ce que tout le rêve, toute la réception soit sobre. 

Les enseignements qui nous viennent de l’Inde, des Toltèques, des Chrétiens, des Grecs – de toutes les civilisations du monde – découlent de la même vérité. Tous parlent de recouvrer sa divinité et de trouver Dieu en soi. Tous nous disent d’ouvrir notre cœur et d’acquérir la sagesse. Pouvez-vous imaginer ce que serait ce monde si tous les humains ouvraient leur cœur et y trouvaient l’amour ? Nous pouvons le faire. Chacun peut le faire à sa manière. Il ne s’agit pas de suivre des dogmes imposés ; il s’agit de vous trouver vous-même, et de vous exprimer de la façon qui vous est propre. Voilà pourquoi votre vie est une œuvre d’art. « Toltèque » signifie « artiste de l’esprit ». Les Toltèques sont ceux qui s’expriment avec le cœur, ceux qui ont un amour inconditionnel. 

Vous êtes en vie grâce à la puissance de Dieu, qui est la puissance de la Vie. Vous êtes la force de Vie, mais étant capable de penser, vous avez oublié qui vous êtes. Il est alors facile de penser : « Oh, mais il y a Dieu. Dieu est responsable de tout. Dieu me sauvera ». 

Non. Dieu est simplement venu vous dire – dire à Dieu en vous – que vous devez être conscient, faire un choix, avoir le courage de vous frayer un chemin à travers vos peurs et les transformer, afin de ne plus craindre d’aimer. La peur d’aimer est la peur le plus importante cultivée par les hommes. Pourquoi ? Parce que dans le Rêve de la Planète, avoir le cœur brisé fait de nous une victime, un « pauvre de moi ». 

Vous vous demandez peut-être : « Si nous sommes vraiment la Vie ou Dieu, comment se fait-il que nous ne le sachions pas ? » Parce que nous avons été programmés pour ne pas le savoir. On nous enseigne ceci : « Vous êtes humain ; voici vos limites ». Et ensuite nous limitons nos possibilités à cause de nos propres peurs. Vous êtes ce que vous croyez être. Les humains sont des magiciens puissants. Lorsque vous croyez être qui vous êtes, c’est effectivement ce que vous devenez. Et vous pouvez accomplir cela parce que vous êtes la Vie, vous êtes Dieu, l’Intention. Vous êtes capable de vous transformer en ce que vous êtes maintenant. Mais ce n’est pas votre raison qui contrôle votre puissance ; ce sont vos croyances. 

Vous voyez, tout tourne autour de la croyance. Quelles que soient les choses auxquelles nous croyons, ce sont-elles qui gouvernent notre existence, qui dirigent notre vie. Le système de croyances que nous nous créons est comme une petite boîte dans laquelle nous nous mettons ; nous ne pouvons pas nous en échapper, car nous croyons en être incapables. Telle est notre situation. Les humains créent leurs propres limites, leurs propres frontières. Nous décidons ce qui est humainement possible ou non. Puis, comme nous le croyons, cela devient vrai pour nous. 

Les prophéties Toltèques ont annoncé la venue d’un nouveau monde, d’une nouvelle humanité, dans laquelle les humains assumeront la responsabilité de leurs propres croyances et de leur existence. Le temps approche où vous serez votre propre gourou. Vous n’avez pas besoin que d’autres humains vous disent quelle est la Volonté de Dieu. Désormais, c’est vous et Dieu, face-à-face, sans aucun intermédiaire. Vous cherchiez Dieu, et vous l’avez trouvé en vous. Dieu n’est plus là-bas, hors de vous. Lorsque vous savez que la puissance de la Vie se trouve en vous, vous acceptez votre propre Divinité ; et vous restez humble, parce que vous voyez la même Divinité en chacun. Vous constatez à quel point il est facile de comprendre Dieu, parce que toute chose en est une manifestation. 

Le corps mourra, l’esprit se dissoudra aussi, mais pas vous. Vous êtes immortel ; vous existez depuis des milliards d’années, sous diverses formes, parce que vous êtes la Vie, et que la Vie ne peut pas mourir. Vous êtes dans les arbres, dans les papillons, les poissons, dans l’air, la lune, le soleil. Où que vous alliez, vous êtes là à vous attendre vous-même. 

Votre corps est un temple, un temple vivant dans lequel Dieu vit. Votre esprit est un temple vivant dans lequel Dieu vit. Dieu vit en vous en tant que Vie. La preuve que Dieu vit en vous est que vous êtes vivant. Votre Vie en est la preuve. Bien entendu, il y a des poubelles et du poison émotionnel qui encombrent votre esprit, mais Dieu est là aussi. 

Vous n’avez rien à faire pour atteindre Dieu ou l’illumination, ou pour vous éveiller. Personne ne peut vous conduire à Dieu. Quiconque dit qu’il vous guidera jusqu’à Dieu est un menteur, parce que vous y êtes déjà. Il n’y a qu’un seul être vivant, et, que vous le vouliez ou non, que vous y résistiez ou non, vous êtes déjà avec Dieu, sans effort. 

La seule chose qui reste à faire est de jouir de la vie, d’être vivant, de guérir le corps émotionnel afin de créer sa vie de telle manière qu’on puisse partager ouvertement tout l’amour que l’on porte en soi. Le monde entier peut vous aimer, mais cet amour ne vous rendra pas heureux. Seul l’amour qui sort de vous vous rendra heureux. C’est cet amour-là qui fera la différence, et non celui que les autres ont pour vous. L’amour que vous avez pour chacun est votre moitié de la relation ; l’autre moitié peut provenir d’un arbre, d’un chien, d’un nuage. Vous représentez une de ces moitiés ; l’autre Est-ce que vous percevez. Vous êtes une moitié en tant que rêveur, et le rêve en est l’autre moitié. 

Vous êtes toujours libre d’aimer. Si vous faites le choix de démarrer une relation, et que votre partenaire joue le même jeu que vous, quel cadeau ! Lorsque votre relation se situera totalement hors de l’enfer, vous vous aimerez tellement que vous n’aurez plus du tout besoin l’un de l’autre. C’est par votre propre volonté que vous serez ensemble, afin de créer de la beauté. Et ce que vous créerez ensemble, c’est un rêve paradisiaque. 

Vous êtes déjà un maître de la peur et du rejet de soi ; vous êtes prêt maintenant à revenir à l’amour de vous-même. Vous pouvez devenir si fort et si puissant que votre amour pour vous vous permettra de transformer votre rêve de peur en un rêve d’amour, et votre souffrance en bonheur. Alors, comme le soleil, vous ne ferez que donner votre lumière et votre amour en permanence, sans conditions. Et lorsque vous aimez sans conditions, l’humain et le Dieu en vous s’harmonisent avec l’Esprit de la Vie qui se meut en vous. Votre vie devient l’expression de la beauté de l’Esprit. La vie n’est qu’un rêve, et si vous créez votre existence avec amour, votre rêve devient un chef-d’œuvre. 

Extrait de la maîtrise de l’amour – apprendre l’art des relations, Don Miguel Ruiz

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