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Méditation dans la lumière de Chr. SASTRE

Posté par othoharmonie le 20 janvier 2014

 

Auteur(s) : Christian Sastre

Edition : Lacour-Ollé

Date de parution : 03/01/2014

Nb de pages : 249

ISBN : 978-2-7504-3348-2

 

LIVRE DE Christian

Christian Sastre, né à Nîmes, dans le Gard, est un autodidacte puisant aux sources où le guide sa soif de connaissance. Ses expériences de la vie lui ont fait comprendre que ce qu’il s’efforçait de découvrir de par le monde résidait, en fait, au plus profond de lui-même. Ayant maintenant intériorisé cet idéal, il le définit comme la quête d’un Graal existentiel dont il ressent peu à peu les bienfaits. Ce fut là une merveilleuse découverte, qu’il s’efforce d’approfondir avec amour et conscience, deux vertus qui émergent de son âme. Circonspect dans ses investigations, la démarche de Christian Sastre reste personnelle et captivante. Sa motivation est un approfondissement de quelques facettes du savoir humain, propices au progrès spirituel des êtres. En synthétisant des connaissances scientifiques et mystiques, religieuses et traditionnelles, il tente de réconcilier les civilisations de l’Orient et de l’Occident. Son espoir est que les Hommes assument sereinement leur existence pour la plus grande gloire du Dieu de leur coeur, qui ne demande qu’à les éclairer.

On en parle ici : http://devantsoi.forumgratuit.org/t1398-mon-nouveau-livre-meditation-dans-la-lumiere#11171

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La transdiciplinarité /Basarab Nicolescu

Posté par othoharmonie le 20 janvier 2014

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     « Le processus de déclin des civilisations est d’une grande complexité et il plonge ses racines dans la plus totale obscurité. Bien entendu, on peut trouver après coup de multiples explications et rationalisations, sans parvenir à dissiper le sentiment d’un irrationnel agissant au coeur même de ce processus. Les acteurs d’une civilisation bien déterminée, des grandes masses aux grands décideurs, même s’ils prennent plus ou moins conscience du processus de déclin, semblent impuissants à arrêter la chute de leur civilisation. Une chose est certaine : un grand décalage entre les mentalités des acteurs et les nécessités internes de développement d’un type de société, accompagne toujours la chute d’une civilisation. Tout se passe comme si les connaissances et les savoirs qu’une civilisation ne cesse d’accumuler ne pouvaient être intégrées dans l’être intérieur de ceux qui composent cette civilisation. Or, après tout, c’est l’être humain qui se trouve ou devrait se trouver au centre de toute civilisation digne de ce nom.

     La croissance sans précédent des savoirs à notre époque rend légitime la question de l’adaptation des mentalités à ces savoirs. L’enjeu est de taille car l’extension continue de la civilisation de type occidental à l’échelle planétaire rendrait sa chute équivalente à un incendie planétaire sans commune mesure avec les deux premières guerres mondiales.

     Pour la pensée classique il n’y a que deux solutions de sortie d’une situation de déclin : la révolution sociale ou le retour à un supposé « âge d’or ».

     La révolution sociale a déjà été expérimentée au cours du siècle qui s’achève et ses résultats ont été catastrophiques. L’homme nouveau n’était qu’un homme creux et triste. Quels que soient les aménagements cosmétiques que le concept de « révolution sociale » ne tardera de subir dans l’avenir, ils ne pourront pas effacer de notre mémoire collective ce qui a été effectivement expérimenté.

     Le retour à l’âge d’or n’a pas encore été essayé, pour la simple raison que l’âge d’or n’a pas été retrouvé. Même si on suppose que cet âge d’or a existé dans des temps immémoriaux, ce retour devrait nécessairement s’accompagner d’une révolution intérieure dogmatique , image en miroir de la révolution sociale. Les différents intégrismes religieux qui couvrent la surface de la terre de leur manteau noir sont un mauvais présage de la violence et du sang qui pourraient jaillir de cette caricature de « révolution intérieure ».

     Mais, comme toujours, il y a une troisième solution. Cette troisième solution fait l’objet du présent manifeste.

     L’harmonie entre les mentalités et les savoirs présuppose que ces savoirs soient intelligibles, compréhensibles. Mais une compréhension peut-elle encore exister à l’ère du big bang disciplinaire et de la spécialisation à outrance ?

     Un Pic de la Mirandole à notre époque est inconcevable. Deux spécialistes de la même discipline ont aujourd’hui du mal à comprendre leurs propres résultats réciproques. Cela n’a rien de monstrueux dans la mesure où c’est l’intelligence collective de la communauté attachée à cette discipline qui la fait progresser, et non pas un seul cerveau qui devrait forcément connaître tous les résultats de tous ses collègues-cerveaux, ce qui est impossible. Car il y a aujourd’hui des centaines de disciplines. Comment un physicien théoricien des particules pourrait-il vraiment dialoguer avec un neurophysiologiste, un mathématicien avec un poète, un biologiste avec un économiste, un politicien avec un informaticien, au-delà de généralités plus ou moins banales ? Et pourtant un véritable décideur devrait pouvoir dialoguer avec tous à la fois. Le langage disciplinaire est un barrage apparemment infranchissable pour un néophyte. Et nous sommes tous les néophytes des autres. La Tour de Babel serait-elle inévitable ?

     Néanmoins, un Pic de la Mirandole à notre époque est concevable dans la forme d’un superordinateur dans lequel on pourrait injecter toutes les connaissances de toutes les disciplines. Ce superordinateur pourrait tout savoir mais ne rien comprendre. L’utilisateur de ce superordinateur ne serait pas dans une meilleure situation que le superordinateur lui-même. Il aurait instantanément accès à n’importe quel résultat de n’importe quelle discipline, mais il serait incapable de comprendre leurs significations et encore moins de faire des liens entre les résultats des différentes disciplines.

     Ce processus de babélisation ne peut pas continuer sans mettre en danger notre propre existence, car il signifie qu’un décideur devient, malgré lui, de plus en plus incompétent. Les défis majeurs de notre époque, comme par exemple les défis d’ordre éthique, réclament de plus en plus de compétences. Mais la somme des meilleurs spécialistes dans leurs domaines ne peut engendrer, de toute évidence, qu’une incompétence généralisée, car la somme des compétences n’est pas la compétence : sur le plan technique, l’intersection entre les différents domaines du savoir est un ensemble vide. Or, qu’est-ce qu’un décideur, individuel ou collectif, sinon celui qui est capable de prendre en compte toutes les données du problème qu’il examine ?

     Le besoin indispensable de liens entre les différentes disciplines s’est traduit par l’émergence, vers le milieu du XXème siècle, de la pluridisciplinarité et de l’interdisciplinarité.

     La pluridisciplinarité concerne l’étude d’un objet d’une seule et même discipline par plusieurs disciplines à la fois . Par exemple, un tableau de Giotto peut être étudié par le regard de l’histoire de l’art croisé avec celui de la physique, la chimie, l’histoire des religions, l’histoire de l’Europe et la géométrie. Ou bien, la philosophie marxiste peut être étudiée par le regard croisé de la philosophie avec la physique, l’économie, la psychanalyse ou la littérature. L’objet sortira ainsi enrichi du croisement de plusieurs disciplines. La connaissance de l’objet dans sa propre discipline est approfondie par un apport pluridisciplinaire fécond. La recherche pluridisciplinaire apporte un plus à la discipline en question (l’histoire de l’art ou la philosophie, dans nos exemples), mais ce « plus » est au service exclusif de cette même discipline. Autrement dit, la démarche pluridisciplinaire déborde les disciplines mais sa finalité reste inscrite dans le cadre de la recherche disciplinaire.

    L’interdisciplinarité a une ambition différente de celle de la pluridisciplinarité. Elle concerne le transfert des méthodes d’une discipline à l’autre . On peut distinguer trois degrés de l’interdisciplinarité : a) un degré d’application . Par exemple, les méthodes de la physique nucléaire transférées à la médecine conduisent à l’apparition de nouveaux traitements du cancer ; b) un degré épistémologique . Par exemple, le transfert des méthodes de la logique formelle dans le domaine du droit génère des analyses intéressantes dans l’épistémologie du droit ; c) un degré d’engendrement de nouvelles disciplines . Par exemple, le transfert des méthodes de la mathématique dans le domaine de la physique a engendré la physique mathématique, de la physique des particules à l’astrophysique – la cosmologie quantique, de la mathématique aux phénomènes météorologiques ou ceux de la bourse – la théorie du chaos, de l’informatique dans l’art – l’art informatique. Comme la pluridisciplinarité, l’interdisciplinarité déborde les disciplines mais sa finalité reste aussi inscrite dans la recherche disciplinaire . Par son troisième degré, l’interdisciplinarité contribue même au big bang disciplinaire.

     La transdisciplinarité concerne, comme le préfixe « trans » l’indique, ce qui est à la fois entre les disciplines, à travers les différentes disciplines et au delà de toute discipline. Sa finalité est la compréhension du monde présent , dont un des impératifs est l’unité de la connaissance.

     Y a-t-il quelque chose entre et à travers les disciplines et au delà de toute discipline ? Du point de vue de la pensée classique il n’y a rien, strictement rien. L’espace en question est vide, complètement vide, comme le vide de la physique classique. Même si elle renonce à la vision pyramidale de la connaissance, la pensée classique considère que chaque fragment de la pyramide, engendré par le big bang disciplinaire, est une pyramide entière ; chaque discipline clame que le champ de sa pertinence est inépuisable. Pour la pensée classique, la transdisciplinarité est une absurdité car elle n’a pas d’objet. En revanche pour la transdisciplinarité, la pensée classique n’est pas absurde mais son champ d’application est reconnu comme étant restreint.

     En présence de plusieurs niveaux de Réalité, l’espace entre les disciplines et au delà des disciplines est plein, comme le vide quantique est plein de toutes les potentialités : de la particule quantique aux galaxies, du quark aux éléments lourds qui conditionnent l’apparition de la vie dans l’Univers.

     La structure discontinue des niveaux de Réalité détermine la structure discontinue de l’espace transdisciplinaire , qui, à son tour, explique pourquoi la recherche transdisciplinaire est radicalement distincte de la recherche disciplinaire, tout en lui étant complémentaire. La recherche disciplinaire concerne, tout au plus, un seul et même niveau de Réalité ; d’ailleurs, dans la plupart des cas, elle ne concerne que des fragments d’un seul et même niveau de Réalité. En revanche, la transdisciplinarité s’intéresse à la dynamique engendrée par l’action de plusieurs niveaux de Réalité à la fois . La découverte de cette dynamique passe nécessairement par la connaissance disciplinaire. La transdisciplinarité, tout en n’étant pas une nouvelle discipline ou une nouvelle hyperdiscipline, se nourrit de la recherche disciplinaire, qui, à son tour, est éclairée d’une manière nouvelle et féconde par la connaissance transdisciplinaire. Dans ce sens, les recherches disciplinaires et transdisciplinaires ne sont pas antagonistes mais complémentaires.

     Les trois piliers de la transdisciplinarité – les niveaux de Réalité, la logique du tiers inclus et la complexité – déterminent la méthodologie de la recherche transdisciplinaire .

     Un saisissant parallèle existe entre les trois piliers de la transdisciplinarité et les trois postulats de la science moderne.

     Les trois postulats méthodologiques de la science moderne sont restés inchangés de Galilée jusqu’à nos jours, malgré l’infinie diversité des méthodes, théories et modèles qui ont traversé l’histoire des différentes disciplines scientifiques. Mais une seule science satisfait entièrement et intégralement les trois postulats : la physique. Les autres disciplines scientifiques ne satisfont que partiellement les trois postulats méthodologiques de la science moderne. Toutefois, l’absence d’une formalisation mathématique rigoureuse de la psychologie, de l’histoire des religions et d’une multitude d’autres disciplines ne conduit pas à l’élimination de ces disciplines du champ de la science. Même les sciences de pointe, comme la biologie moléculaire, ne peuvent pas prétendre, tout du moins pour l’instant, à une formalisation mathématique aussi rigoureuse que celle de la physique. Autrement dit, il y a des degrés de disciplinarité en fonction de la prise en compte, plus ou moins complète, des trois postulats méthodologiques de la science moderne.

     De même, la prise en compte plus ou moins complète des trois piliers méthodologiques de la recherche transdisciplinaire engendre différents degrés de transdisciplinarité . La recherche transdisciplinaire correspondant à un certain degré de transdisciplinarité s’approchera plutôt de la multidisciplinarité (comme dans le cas de l’éthique) ; celle à un autre degré – de l’interdisciplinarité (comme dans le cas de l’épistémologie) ; et celle encore à un autre degré – de la disciplinarité.

     La disciplinarité, la pluridisciplinarité, l’interdisciplinarité et la transdisciplinarité sont les quatre flèches d’un seul et même arc : celui de la connaissance .

     Comme dans le cas de la disciplinarité, la recherche transdisciplinaire n’est pas antagoniste mais complémentaire de la recherche pluri et interdisciplinaire. La transdisciplinarité est néanmoins radicalement distincte de la pluridisciplinarité et de l’interdisciplinarité, de par sa finalité, la compréhension du monde présent, qu’il est impossible d’inscrire dans la recherche disciplinaire. La finalité de la pluri et de l’interdisciplinarité est toujours la recherche disciplinaire. Si la transdisciplinarité est si souvent confondue avec l’interdisciplinarité et la pluridisciplinarité (comme, d’ailleurs, l’interdisciplinarité est si souvent confondue avec la pluridisciplinarité), cela s’explique en majeure partie par le fait que toutes les trois débordent les disciplines. Cette confusion est très nocive dans la mesure où elle occulte les finalités différentes de ces trois nouvelles approches.

     Tout en reconnaissant le caractère radicalement distinct de la transdisciplinarité par rapport à la disciplinarité, la pluridisciplinarité et l’interdisciplinarité, il serait extrêmement dangereux d’absolutiser cette distinction, auquel cas la transdisciplinarité serait vidée de tout son contenu et son efficacité dans l’action réduite à néant.

     Le caractère complémentaire des approches disciplinaire, pluridisciplinaire, interdisciplinaire et transdisciplinaire est mis en évidence d’une manière éclatante, par exemple, dans l’accompagnement des mourants . Cette démarche relativement nouvelle de notre civilisation est d’une extrême importance, car, en reconnaissant le rôle de notre mort dans notre vie, nous découvrons des dimensions insoupçonnées de la vie elle-même. L’accompagnement des mourants ne peut faire l’économie d’une recherche transdisciplinaire dans la mesure où la compréhension du monde présent passe par la compréhension du sens de notre vie et du sens de notre mort en ce monde qui est nôtre.

 La transdisciplinarité – Manifeste, Éditions du Rocher, Monaco – Collection « Transdisciplinarité ».

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La crise du monde actuel : Shri Aurobindo

Posté par othoharmonie le 20 janvier 2014

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      »Les moyens que la science a mis à notre disposition écartent les dangers que soient renversée et détruire une civilisation caduque par des peuples primitifs plus forts, mais le péril qui nous menace, c’est que le barbare surgisse à nouveau en nous-mêmes, en l’homme civilisé, et c’est cela que nous voyons autour de nous. Et cela se produira fatalement s’il n’y a pas un idéal mental et moral élevé et agissant qui dirige et soulève en nous l’homme vital et physique, s’il n’y a pas d’idéal spirituel qui nous libère de nous-même et nous conduise en notre être intérieur. Même si on échappe à cette rechute, il subsiste un autre danger, car un autre résultat possible, c’est que cesse l’élan évolutif qu’on se cristallise dans une vie sociale mécanisée, stable et confortable et sans horizon. La raison ne saurait par elle-même faire longtemps progresser la race ; elle ne peut jouer ce rôle que si elle agit en médiateur entre la vie et le corps d’une part et, d’autre part, quelque chose de plus haut et de plus vaste qu est au dedans. En effet, c’est le besoin spirituel intérieur, la poussée de ce qui est en l’homme, mais non encore réalisé, qui maintient en l’homme la tension évolutive, le nisus spirituel, lorsque l’homme a atteint le plan mental. S’il renonce à cela, l’homme doit ou bien retomber en arrière et tout recommencer depuis le début, ou bien disparaître, comme d’autre formes de vie l’ont fait avant lui – comme un échec dans l’évolution, incapable d’entretenir ou de servir l’élan évolutif. En mettant les choses au mieux, il s’arrêterait à quelque sorte de type intermédiaire parfait, comme d’autres espèces animales, tandis que la nature poursuivrait sa route sans lui vers une création plus vaste. 

     Actuellement l’humanité traverse, dans son évolution, une crise où se dissimule pour elle l’obligation d’un choix qui déterminera sa destinée… L’homme a créé un système de civilisation qui est devenu trop grand pour ses facultés et sa compréhension mentale limitées et ses facultés spirituelle et morales, plus limitées encore, puissent l’utiliser et le diriger –serviteur trop dangereux pour son ego maladroit et plein d’appétit… Nous l’utilisons pour multiplier les besoins nouveaux et pour développer de façon agressive notre ego collectif… Or, le fardeau qui est imposé à l’humanité est trop lourd pour la petitesse actuelle de la personnalité humaine, pour son esprit mesquin et ses petits instincts vitaux… Et c’est pourquoi la destinée de la race semble se précipiter dangereusement, impatiemment semble-t-il, et en dépit d’elle-même, vers une confusion prolongée, une crise et une obscurité périlleuse d’incertitude violente et mouvante, sous la poussée de l’ego vital, saisie par des forces colossales qui sont du même ordre de grandeur que l’organisation mécanique énorme de la vie et de la connaissance scientifique qu’elle a acquise, une échelle trop vaste pour que puisse la manier sa raison et sa volonté…


Dans la crise actuelle, tout ce que le mental moderne nous offre comme lumière pour trouver une solution, c’est une formule rationnelle et scientifique de l’être humain vitaliste et matérialiste de sa vie, un effort pour parvenir à une société économique parfaite et au culte démocratique de l’homme moyen. Quelle que soit la vérité à la base de ces idées, il est clair qu’elles ne suffisent pas pour faire face aux besoins d’une humanité qui a pour mission d’évoluer au-delà d’elle-même, et qui, en tout cas, si elle doit survivre, doit évoluer bien au-delà de ce qu’elle est à présent… »

Métaphysique et psychologie, p. 318-319. tiré de La Vie divine p.1582-1592.

Indications de lecture:

     Texte tiré de fragments rassemblés par Jean Herbert. Il est étonnant de voir à quel point ce texte est visionnaire. Parmi les auteurs contemporains, c’est Eckhart Tolle est très proche de cette formulation. Il dit exactement la même chose. On trouvera de nombreux rapprochements possible, avec Günter Anders, Nietzsche, Hans Jonas etc. Voir les livres de Satprem sur cette question.

Publié dans LECTURES Inspirantes, Nouvelle TERRE | Pas de Commentaire »

 

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